Une assurance, c'est bien pour assurer, non ?...

tu as du tomber sur un emploi saisonnier de l'IMA (c'est sans doute la que tu as atterri) il connaît rien au bateau et a lu son argumentaire.
pas plus tard que cette semaine j'ai crevé en moto, et à l'assistance la jeune (sympa au demeurant) m'a demandé si je n'avais pas une roue de secours pour me dépanner ......il a fallu lui expliquer gentiment, et après elle m'a passé un superviseur (un cdi quoi) qui a arrangé l'affaire.

...ça vous fait hurler... mais tout cela n'est que logique en matière d'assistance quand on y réfléchit !
Quand l'assureur paie (doit payer), c'est l'assureur qui décide. Pas question de contracter avec n'importe quel clampin local qui appliquera le tarif à la tête du client assuré alors que l'assureur peut avoir des conventions avec une compagnie avec laquelle les tarifs ont été fixés.
Ce n'est vraiment que lorsque les circonstances ne permettent absolument pas d'autres choix que l'assuré peut prendre les toutes premières mesures lui-même.
Dans le cas présents, le remorquage du large vers le port peut être fait à l'initiative de l'assuré (et souvent, il n'y a pas pléthore de choix quant aux remorqueurs) mais après, tous les actes d'assistance (alors que le bateau a été sécurisé, du quai au chantier p. ex) doivent être décidé/validé par l'assureur. C'est logique puisque c'est lui qui paie la prestation.
Selon les compagnie et les gestionnaires sinistres, ces principes sont appliqués avec plus ou moins de zèle.

mon assureur mutualiste interdit Carglass :-)

Merci les amis ! Quand je lis vos histoires, je tends à relativiser mon problème. Mais du coup ça me met encore plus colère... On est vraiment condamnés à se faire enfler (je suis poli) avec perte et fracas ?

On en arrive à être presque désolé d'avoir un sinistre, ou pire, un accident corporel (Thierry, j'espère vraiment que ta situation va s'arranger), et on est condamnés à culpabiliser de ne pas avoir lu les trucs écrits en petit. Après tout, t'as pas tout lu, c'est ta faute, hein, personne ne t'a forcé la main pour signer.

Le problème, c'est que maintenant, quel que soit l'endroit où l'on signe, on a une grosse probabilité de se retrouver en slip à la fin du compte...

aprés m'ettre fait comme tu dis "enflé" j'ai arrété tous les contrats tous risques et je les ais mis tous en contrats au tiers
l'économie réalisée placée à la caisse d'épargne
je suis couvert si je blesse quelqu'un et aprés au petit bonheur la chance mais comme avant je n'est
pas eu de sinistre particulier je laisse couler
j'ai fait la méme chose pour les mutuelles et à la fin de l'année c'est des milliers d'€ en économies

Hello,

Pour le nautisme, "normalement" ils savent s'adapter même si l'assistance est la même que pour les voitures donc avec des règles pas adaptées à la mer, il n'est pas nécessaire d'appeler l'assistance avant le remorquage.
En tous cas c'est comme ça à la MAAF ou je suis assuré pour le bateau. Ils m'avaient dit pareil que en cas de problème il faut ouvrir un dossier par tel avec l'assistance, mais je leur ai expliqué que en mer en cas de soucis, en plus de ne pas forcement avoir de couverture GSM, il y a un système bien codifié et bien rodé (SMDSM ou GMDSS) et qu'on appel en premier le CROSS qui décide ensuite des moyens à mettre en œuvre, ils se sont renseigné et m'ont dit que oui c'était ok.

En fait avec les assureurs généralistes, on à affaire en premier à des gens habitués à l'automobile, donc c'est normal qu'ils aient un discours qui nous parait curieux, mais en leur expliquant, ils vont voir avec leurs collègues qui gèrent les contrats plaisance et la, tout rentre dans l'ordre ... enfin normalement ça doit se passer comme ça et avec mon assurance ça se passe comme ça, ils sont pas idiots, il suffit de leur expliquer et c'est bon.