Travailler partout dans le monde

Hello les marins,
Voila tout est dans le titre, comment faire pour travailler un peu partout dans le monde au fil des navigations, quel statuts choisir, comment s'y prendre pour être en règle ? (je ne parle pas de quel travail choisir ou comment en trouver) mais plutôt de dois je ouvrir une boite dans chaque pays visité, simplement choisir un pays et voyager en travaillent pour ce pays ? en écrivant ce post je pense au visa... est ce facile pour la plupart ?

L'idée n'est pas de faire fortune simplement de faire profiter dans chaque coin que je visite (j'aime m'arrêter longtemps pour m'imprégner) au grès de mes navigations de mes compétence (electronique, informatique, menuiserie, travaux sous marins, entretient bateau/moteur/etc)

Ou alors est ce tellement la galère que mieux vaut gérer "au black" et s'assurer sois même de sa protection medical, sa "retraite", etc...

Merci d'avance !

L'équipage
05 août 2018
05 août 2018

alors tu fais ONG

05 août 2018

:mdr: la notion d'intérêt publique va falloir la trouver... non vraiment j'ai dit "en règle" :-p

05 août 201805 août 2018

Salut Le-relou… Mon fils qui est "MSDT Cave/Wreck et Tec50" travaille de par le monde. Lui et sa compagne americaine "veto" depensant une veritable petite fortune en visas pros a chaque contrat saisonnier ou meme "a la mission" ont trouve l'astuce pour economiser sur ce budget... ils se marrient… En temps que Franco-anglais et Americaine, cela leur ouvre le marche EU/USA, leur principal "terrain de jeu". Tu sais ce qu'il te reste a faire... epouser une autochtone dans chaque pays visite!!! Cela t'ouvre les memes droits que les locaux!

05 août 2018

Houla, alors il faut trouver des femmes de complaisance, car "gérer" une vraie femme dans chaque pays, ça doit être plus compliqué que de gérer les visas et divers papiers ... :mdr:

Mesdames, pas sur la tête, mon post n'est pas macho, ça doit être pareil (qui à dis pire?) dans l'autre sens pour une femme qui tenterait de gérer un mari dans chaque pays ... ;-)

PS, Damien, tu compte partir loin quand? (à peu près)

05 août 2018

:mdr: :mdr: Un marin n'a t'il pas une femme dans chaque port ? non plus sérieusement ce n'est pas ma priorité j'ai déjà une Dame (de Chine) à gérer ça me suffit :-p

Harry, je n'ai pas de date fixé pour le moment, j'avais espoir pour fin 2018 mais ce sera peut être pour premier quart 2019, le temps de régler ce qui doit être régler pour partir serein et puis surtout une fois près je devrais composer avec les saisons du trajet

05 août 2018

Le mot clé (qu'il faut rechercher ... via google ...) est PT (Perpetual Traveler).

Extrait de "Triptyque Vital" page 114 :

"Certains vont plus loin que d’autres dans la recherche et la mise en pratique d’une vie meilleure. Des hippies des années 60 aux « PT » de ce siècle. Les « Perpetual Travelers » forment un mouvement de pensée internationale moderne et pour qui la règle principale est de s’adapter aux règles qui régissent notre monde.

Par exemple, la règle des 5 drapeaux (PT’flags) :
• Un pour son passeport (nationalité)
• Un pour son domicile (résidence principale)
• Un pour ses revenus (domiciliation de ses activités)
• Un pour ses placements (immobiliers ou mobiliers)
• Un pour ses dépenses (loisirs, voyages …)

L’objectif n’est plus de tenter de corriger les abus de certains pays, mais de favoriser les pays les plus bienveillants en s’intéressant et en participant à leur pavillon. Et ceci en segmentant ses relations avec chacun de ses pays, sachant que philosophiquement, les adeptes se veulent cosmopolites et pas nationalistes (à cause des guerres et autres dépenses militaires)."

05 août 2018

5 drapeaux - 5 emmerdes

05 août 2018

Si tu es Guide de Haute-Montagne, tu peux travailler dans beaucoup de pays, mais à une condition : il faut venir dans le pays avec tes clients, pas les prendre sur place .

05 août 201805 août 2018

Au sein de l’UE, vous avez le droit d’exercer votre activité où vous voulez. Tant que cette activité ne dure pas longtemps dans chaque pays, vous devriez pouvoir faire cela à partir d’une structure dans un seul pays, dans un certain sens selon le principe de la directive européenne ‘travailleurs détachés’.

Si vous restez plus longtemps dans un autre pays de l’UE, vous risquez d’y devenir contribuable et de devoir contribuer à la sécurité sociale du dit pays.

Faudrait probablement consulter un juriste spécialisé dans ces questions.

C’est déjà compliqué au sein de l’UE. Mais en dehors de l’UE, c’est encore bien pire. Chaque pays a ses propres règles. Je pense qu’en général, vous serez traité comme un immigré économique. Ça implique que vous obteniez une autorisation pour ce faire. Dans beaucoup de pays, ça ne sera pas le cas, tout simplement.

Pour certains pays, les traités commerciaux de l’UE offrent peut-être certaines possibilités. Je sais que le CETA contient quelques provisions concernant l’activite rémunérée au Canada (pour quelqu’un de l’UE) par exemple.

05 août 2018

bjr ,seul le statut de professionnel de santé vous permet de travailler en libéral (ou non) partout dans le monde , meme si il faut passer une équivalence a certain endroit.
cdt

05 août 2018

Bonjour,
en tant que profession de santé, une idée semblable à celle de Le-Relou m'a effleuré et continue à être au gout du jour pour mon projet de retraite. Si les compétences de ma catégorie professionnelle ouvrent des portes, celles ci sont le plus souvent dans le bénévolat et donc non rémunérées. La plupart des pays demande une équivalence administrative dont le délai est très long (ex: Australie 6 mois à 1 an). Dans des activités autres, les emplois sont souvent journaliers (agriculture, bâtiments....) sans statut véritable et donc sans protection sociale. Mais je ne dis pas que ce n'est pas réalisable si on oublie l'idée de retraite, sécu et autre. Voila pourquoi je persiste dans mon idée retraite sachant que mes arrières sont assurés.

06 août 2018

Merci à tous pour les infos et d'avoir pris le temps de me répondre.
Je vois que hormis à avoir un job spécifique comme cité au dessus le plus simple sera surement de voir à l'avenant et rester discret :-p

06 août 2018

Bonjour,
tout métier pouvant être exercé en libéral peut l'être également à priori dans tout pays du monde, sauf si le pays d'accueil a réglementé ce métier à l'échelle nationale.
Par exemple, un traducteur libéral comme moi, peut exercer à son bord où qu'il se trouve dans le monde. Les seules contraintes matérielles qu'il devra affronter est son équipement professionnel (capable de résister assez longtemps à la vie marine pour ne pas devoir être changé tous les 4 matins !), ainsi que (dans mon cas) des capacités de transmission de données permettant de recevoir ou de livrer les contrats à temps.
Pour les métiers manuels, la question de l'équipement se pose de la même façon.
Pour ce qui est de la déclaration de revenus, tant que ta déclaration est faite auprès du centre des contributions dont tu relèves actuellement et qu'elle est correcte, pas de problèmes. Là où la question devient plus délicate, c'est tout ce qui concerne le domaines des assurances (santé, retraite, RC professionnelle, etc.). Là, il convient certainement de s'assurer avant de partir que les couvertures correspondantes dont on dispose ou dont on souhaite disposer soit bien assurées pendant ta vie de nomade.
Autrement, principalement pour les métiers manuels, le travail au noir est naturellement interdit, mais comme disent les Allemands, "pas de plaignant, pas de juge"...

Chacun sait ce qu'il a à faire.
Petite réflexion : quels sont les métiers manuels pouvant être exercés partout, avec quel outillage ou matériel, et avec quelle expertise, peuvent l'être le plus facilement autour du monde ? Si tu maîtrises toute la palette des travaux d'entretien et de réparation dans la plaisance et tu peux espérer (si tu n'es pas trop cher !) trouver des clients un peu partout dans le monde...

Cordialement

Christophe

06 août 2018

Merci Christophe pour ta réponse,
Je n'ai effectivement pas une profession libérale donc j'oublie cela, je ne souhaite pas non plus continuer à payer des impôts en France (je n'ai aucune aide et ne profiterais plus du système que je souhaite quitter) ou être auto-entrepreneur français autour du monde. Me restera donc soit à me mettre en règle dans le pays d’accueil si long séjour soit appliquer le dicton allemand pour les plus court :-)

Pour ce qui est des capacités et du matériel, à force de travaux sur le mien j'ai à peu près tout ce qu'il me faut pour les petits travaux, il n'y a que la menuiserie où effectivement ça va être compliqué de trimballer les machines outils mais il y a toujours moyen de sous louer un atelier... je ne me fait non plus aucun soucis quand à trouver des clients mais il faudra effectivement adapter mes tarifs au coût de la vie local... Le but n'étant pas de m'enrichir simplement maintenir la caisse de bord et payer assurance maladie + petit complément retraite pour quand je ne serai plus en état de naviguer si j'y arrive un jour :-)

06 août 2018

Bonjour Damien,
auto-entreprise de services (me semble l'équivalent d'une profession libérale !) te permet de proposer tes services (à toi d'en faire la liste !) partout où tu veux dans le monde. Je pense que dans ce domaine (mais c'est à vérifier !), tu n'es pas obligé d'être soumis à une déclaration française. Seulement pour ne pas être trop "sauvage", il te faudra bien quelques assurances pro, ne serait-ce qu'une RC. L'avantage de l'Europe étant qu'elle recèle quelques "oasis" en matière de règlementation fiscale (une domiciliation de ton entreprise de services dans les îles anglo-normandes, au Luxembourg, en Irlande, voire en Suisse ou en Autriche !), ou bien encore - plus au soleil - à Malte, devrait te permettre à la fois de "rester dans les clous" et de réduire la pression fiscale afférente. Ne serait-ce que pour l'assurance maladie (voir les conditions pour les personnes en voyage de longue durée !), le complément retraite et l'institut permettant de gérer la caisse de bord (ou alors un coffre-fort dans le bateau ?) il te faudra pourtant trouver un bon service de domiciliation du courrier (voir easy-domiciliation.com[...]lution/ ) et "roule ma poule"...

06 août 2018

Hello,
Je ne sais pas si tu trouveras facilement du travail rémunéré...mais au vu de tes compétences, du vas te faire tout plein de nouveaux copains!!!
Donc au moins quelques apéros et restaus offerts, ça c'est sûr! :acheval:
J'ai un bon copain, désormais aux Fidji, très bricoleur lui aussi, ancien mécano, qui, dans certains mouillages, était intervenu sur pratiquement tous les bateaux!

06 août 2018

Ahaha les mécanos qui sont de vrais bon (pas moi, je fais l'entretient courant et un peu +) sont convoités tel des perles rares :mdr:
comme je disais je pars et me laisse porter il y aura dame de chine à faire voguer et Lila le chat et moi même à nourrir (et entretenir aussi un peu ^^ ) donc des repas et apéro gratuits ne seront pas de refus non plus :-D et les rencontres c'est tout aussi enrichissant

06 août 201806 août 2018
06 août 2018

que de bons conseils ! je crois que je vais appeler mes copains un peu fiscaliste ^^
merci beaucoup Christophe

06 août 201806 août 2018

Gargouillou! Voilà ce qu'un second capitaine me dis quand j'embarquai il y a bien longtemps comme novice sur un pétrolier, quand je répondis à sa question "qu'est ce que tu veut faire à l'avenir ?" un peu interloqué je répondis le pont ou la machine.
Donc être cuisinier Français pour qui voyage me parait assez "Bankable".
Peut être mieux encore, la pâtisserie.
Et pourquoi pas un stage de galettes saucisses et crêpes avant de partir.
Pour le reste...

06 août 2018

dévellope "le reste" car je ne cuisine que pour les proches :mdr:
Je pense qu'on a juste pas la même vision de "la réussite" :-)

06 août 2018

Pardon j'ai compris de travers t'avais tour compris :-)

06 août 2018

Houla, houla! "Que" réussite ?
Notion très, très subjective.
J'avais compris, en lisant et relisant bien: Un gars qui veut naviguer loin, trouver facilement du travail, pour la caisse de bord qui sait peut être s"établir n'importe où.
Pour le reste, c'était l'administratif, qui va dépendre du pays.

07 août 2018

cuisinier patissier ou plus : boulanger . Ce sont les métiers qui sont très demandés .

06 août 2018

Surtout ne jamais travaillé !!! Mais tu peut donner des coups de mains en échange d'un peu d'argent. Tu ne seras jamais riche, tu pourras juste continuer ton voyage.
Dans certains cas tu troc tes talents, pour du matos ,
Évidemment c'est dans le cas où l'administratif te gonfle , si tu souhaite être réglo...je passe la main

06 août 2018

Je prone le troc et le pratique autant que possible ;-)

07 août 2018

Oui, mais à un moment il faut de la "fraiche" car échanger un jeu de voile ou un moteur, contre quoi ?
Il faut donc un fond de roulement sans parler de l'assurance pour soit même. Un jour on se réveille diabétique type 2 Ou autre.
J'ai rencontré un couple de Jersey sur un Amel , lui ancien banquier il tapait sur le Forex et s'en sortait bien.
À savoir que pour les hautes technos, nul part ils nous attendent.
J'ai bossé en Free lance un peu partout, c'est devenu un bordel pas possible et les tarifs quelques fois divisés par Quatre.
Le seul truc que je peux dire c'est faire dans le simple et avoiner.
Bosser avec le bateau, mais là, il faut que ce soit prévu au départ.
Juste un point de vue.

07 août 201807 août 2018

Le troc ne concerne pas que les biens, c'est d'ailleurs celui que je pratique le moin, je troc plutôt des compétences...
Pour ce qui est de s'assurer en cas de blem de santé je pense que la solution fiscale donné plus haut est la clef

07 août 2018

Marcher sur les platebandes des locaux, ça peut aussi être le début des problèmes.
Le mieux c'est de travailler sur internet.

07 août 201807 août 2018

En fait c'est gentil à vous tous de me chercher un travail compatible mais je ne veux ni passer ma vie à coder et chercher un hotspot wifi, ni cuisiner pour autrui. Simplement vivre en mer de la mer ;-)
Pour ce qui est des locaux je ne compte pas supplanter qui sue ce soit du travail il y en a pour tout le monde

07 août 2018

j'ai bien compris c'est pour ça que j'ai une destination en tête comme première étape ;-)

07 août 2018

dans ton post initial tu parles de visa et travail. justement: un visa n'autorise pas toujours de travailler...

07 août 2018

Comme quand on apprend à nager, d'abord le petit bassin:
Tu commences par prendre 6 Mois de congés sans solde par an et tu aviseras.

07 août 2018

Ce n'est pas des congés sans soldes mais c'est le même principe en effet ;-) c'est prévu..

07 août 2018

soit tu as de revenus locatif et tu te balade , bosser en route oui dans les endroits Français selon tes compétences
Ou comme l autre abruti sur yotube qui diffuse des conneries sur la plaisance et qui gagne peut etre des sous comme ça ??

07 août 2018

1US$ pour mille connections avec un minimum de 4000.
Pour la vaga ils ont de bons et de très bons donateurs.

Ne pas oublier l'artistique, musique, peinture sculpture etc.

07 août 201807 août 2018

C'est gentil de pensez à moi :-)
Pour le moment je n'aime pas étaler moi et ma face en publique et encore moin prétendre apprendre aux autres une fois x miles atteint, j'ai une gopro pourrait avoir un reflex mais je ne pense jamais à utiliser l'un d'eux...

Quand à la vagabonde... tout ça pour le moment c'est juste du voyeurisme pour moi.
Quand aux côté artisitique je ne dirais rien mais des projets sont en cours rémunération zéro mais je m'en fou ;-)

07 août 2018

jette des bouteilles à la mer avec un message "j'ai coulé, ma famille n'a plus de soutien financier + numéro de compte pour versement"
... on te met les bouteilles (vides) de coté

07 août 2018

je ne fais pas l’aumône :mdr:

08 août 2018

finalement ce qui a marché le mieux c' est la balade de touristes au black

08 août 2018

Sans accident .oui

08 août 2018

si je peux y rester domicilié sans payer d'impôt en voyageant dans le monde pas de soucis.
Oui l'informatique m'ouvrira pas mal de porte et des fois même facilitera l'obtention de visa (NZ par ex) mais c'est un peu mon filet de retenu.... je sais que je ne mourrai jamais de faim grâce à ça (même possible de travailler en mer) mais.... charpentierie, menuiserie, convoyage, ballades, plongée, etc sont plus en tête de liste ;-)

08 août 2018

Dans l’UE tu profites des 5 libertés et tu peux travailler sans souci et pas comme travailleur détaché qui correspond a d autres cas.

Seuls freins, certificats a obtenir pour certaines professions qui ne correspondent pas a tes neanmoims nombreuses competences

Ensuite du classique dans l ancien empire et possessions francaises

Travail informatique ideal, bricolage au black

Obtention d un visa de travail, croix et banniere partout

08 août 2018

Oui mais au black

09 août 2018

il y a des tourdumondistes qui bossent parfois comme crew sur de grands yachts puis qui reviennent sur leur bateau en fin de contrat

09 août 2018

Passer une formation anglo saxonne mais de crew de base, tu peux le faite a antibes mais tu seras un marin
NON TIDAL
:mdr:

09 août 201809 août 2018

Nan trop cher pour ce que c'est... (pour Antibes )

09 août 2018

je ne crois pas que les indonésiens ou les philippins qui bossent comme crew ait une formation quelconque . C' est à la gueule du client .

09 août 201809 août 2018

Tant que vous avez le certif de sécurité aucun soucis...

09 août 2018

si : ils parlent anglais ! et passent par l'école d'Antibes ... qui est surtout une filière de placement ... qui ne prend que les marins "anglo-saxons" ... enfin surtout ceux des colonies !
c'est vrai que d'aller bosser sur d'autres bateaux, yachts daycharters ou autres peut-être un bon plan sans grande qualif, ont est sur place et on peut même peut-être profiter d'une place pour son boat, le critère majeur étant certainement de parler 2 à 3 langues

09 août 2018

Je suis bilingue donc pas de soucis de ce côté mais le but n'est pas de rester sur la côte d'azur et surtout sortir de la marre :-)

09 août 201809 août 2018

En Marine Offshore les philippins et indonésiens ne sont pas réputés pour être des tanches ou des chèvres bien loin de là.
Des Matelots aux Capitaines je n'ai jamais eu à m'en plaindre.
Les écoles maritimes aux philippines sont assez strictes.
Je ne connais pas le milieu des cruisers mais le peu que j'ai pu voir laisse à réfléchir.
Enfin, ce sont des métiers, des carrières et je ne pense pas que ce soit ce que recherche notre requérant.

09 août 201809 août 2018

En tant que marin je ne sais pas, en tant que personne ils sont au top par contre pour l'entretien... c'est souvent ni fait ni à faire..
Je ne cherche pas effectivement à faire carrière sur d'autre navire, j'ai le mien à gérer.. bien vu ;-)

09 août 2018

pour avoir involontairement passer plus de 2 j sur une cargo ou tout l équipage étaient Philippiens , très pro , capitaine au top

11 août 2018

Si tu cherche du boulot, pour continuer à"avancer" dans les îles françaises tu peux toujours faire de l'intérim, bien souvent c'est de la manutention dans divers milieu, comme les conserveries de poissons.

Phare du monde

  • 4.5 (156)

2022