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Date 31 octobre 2012
Titre
A Marseille, la SNCM veut sauver son bateau
Le pompage des quelque 80 000 m³ d'eau de mer qui ont envahi le "Napoléon Bonaparte" a
débuté hier
La décision d'ouvrir la porte avant du grand car-ferry semble indiquer que le navire a retrouvé
une certaine stabilité.
Le but de la SNCM est de récupérer son bateau", a affirmé hier Erik Lacoste, son directeur de
l'armement, alors que certains évoquent déjà le ferraillage du navire si les réparations devaient
se révéler trop coûteuses. Il est vrai que les dégâts s'annoncent considérables : les ponts 1 et 2
SGAC/JCM 9 novembre 2012
ont été envahis par près de 80 000 m³ d'eau de mer, de même que les compartiments des
moteurs principaux et des groupes électrogènes. Et personne ne peut dire dans quel état se
trouvent les safrans (gouvernails), les hélices et les lignes d'arbres qui relient ces dernières
aux moteurs car toute la partie arrière reste enfoncée dans une épaisse couche de vase.
En attendant d'y voir plus clair, la voie d'eau (en fait, une estafilade de 5 m de long suivie
d'une brèche de 2 m de haut sur 1,50 m de large) a été colmatée hier à l'aide d'une énorme
"rustine" en tôle d'acier, découpée et mise en place par les sociétés ESTC et ECTM.
Intervention qui a permis de débuter les opérations de pompage grâce à la mise en batterie par
la Société des eaux de Marseille et l'entreprise TPA, de pompes d'un débit total de 5 000 m³/h.
"Le ferry était amarré dans les règles de l'art au moyen d'aussières de bonne qualité"
Pompes positionnées dans le garage du Bonaparte, après ouverture de sa porte avant, ce qui
semble indiquer que le navire a retrouvé une certaine stabilité. L'opération pourrait prendre
entre 10 et 24 heures car elle doit être menée de manière très progressive, sans déséquilibrer le
bateau, ce qui suppose de répartir la masse liquide à l'intérieur de celui-ci, et donc de
compenser tout mouvement au fur et à mesure en rajoutant de l'eau à certains endroits.
Concernant les circonstances de l'accident, une source portuaire assure que "le ferry était
amarré dans les règles de l'art, au moyen d'aussières (amarres) de bonne qualité". La SNCM
ajoute "qu'il bénéficiait de l'amarrage maximal permis par l'ergonomie du bateau et du quai",
ce qui veut dire qu'il n'était pas physiquement possible d'en rajouter, au risque d'endommager
l'un ou l'autre.
Les câbles électriques ont été sectionnés, le navire s'est retrouvé en "black-out" total
La SNCM affirme par ailleurs que les deux commandants du car-ferry et du remorqueur qui
l'assistait, ont utilisé judicieusement les moyens dont ils disposaient dans cette situation très
dégradée, parvenant à plaquer le Bonaparte contre le quai du poste 40, ce qui a permis de
répartir l'impact sur toute la longueur de sa coque et éviter ainsi de le concentrer en un point
unique, ce qui aurait sans doute brisé le ferry en deux. La compagnie souligne également
qu'au moment où le Bonaparte a décollé de son quai d'origine, les câbles électriques qui
l'alimentaient depuis la terre ont été sectionnés et le navire s'est alors retrouvé en situation de
"black-out" total, perdant du même coup ses propulseurs d'étrave.
Toujours selon la compagnie, "le navire hiverne chaque année à la digue du Large mais c'est
la première fois que l'on y observait un vent aussi fort, soufflant dans une direction aussi
inhabituelle". Ses quelque 6 000 m² de fardage (surface de prise au vent) - sans doute les plus
importants de tous les ferries opérant dans le port de Marseille -, auront fait le reste...
Le navire-amiral bénéficie d'une bonne assurance
En attendant que les experts déterminent le montant exact des réparations nécessaires à la
remise en service du Napoléon Bonaparte, la SNCM part sur des bases favorables. Son
navire-amiral bénéficie en effet d'une assurance "pour sa valeur à neuf", c'est-à-dire le prix
payé par la compagnie aux Chantiers navales de l'Atlantique (aujourd'hui STX Saint-Nazaire)
lors de sa construction en 1996.
Or, le navire avait été acquis pour un peu plus d'un milliard de francs de l'époque, soit
aujourd'hui environ 150 millions d'euros. Sachant qu'avant son accident, le Bonaparte était à
vendre pour la somme d'environ 65 millions d'euros, on peut penser que la SNCM dispose
d'une certaine marge de manoeuvre pour décider de l'avenir de son bateau blessé.

L'équipage
09 nov. 2012
09 nov. 2012

tout ça est (déjà) developpé dans un autre fil....
ce jour 9 nov il a toujours le cul bien enfoncé......

09 nov. 2012

.
Hier jeudi 8/11, après avoir lancé un appel d'offres et en présence de ses assureurs, la SNCM négociait le contrat et la méthode de renflouement avec le fournisseur pressenti.

L'objectif de la compagnie est très clair : sauver le bateau.
.

09 nov. 2012

Entre le prix du bateau ou de son renflouement, les pertes d'exploitation, l'encombrement du port, les pompages des produits dangereux , et j'en oublie surement, .....la facture va être salée.

10 nov. 2012

En cas de très gros temps, le France prendra le large...

C'était la consigne à l'époque où il était amarré au Havre.

Les navires de guerre US de la côte est ont pris le large à l'approche du cyclone.

Je n'émettrai pas d'allusion autant oiseuse que facile quant à la localisation du ferry.

10 nov. 2012

c'était pas le cyclone sandy, des paquebots de 350 metres ont subi sans pb le vent à marseille

si il faut degager à chaque coup de mistral, pas serieux

mais mieux securiser l amarrage c sur

ne pas oublier que le mistral c'est du vent de terre, pas comme les dépressions atlantiques ou les cyclones arrivant à NY

10 nov. 2012

Il me semble que le France est resté des années amarré et desarmé à un quai du Havre , par tout les temps (et pour cause, 'les conflits" lui avaient coupés les ailes !)....sans jamais traverser le bassin amarres rompues.
Nous en sommes approché un jour ou nous quittions le Havre par nos propre moyen (petrolier de 80000t) pour cause ....de gréve des remorqueurs.(et oui deja à l'epoque !)

11 nov. 2012

Jusqu'a preuve du contraire désarmé ou pas c'est toujours le même fardage !! non ?!

11 nov. 201211 nov. 2012

Ben oui, désarmé... ce n'est plus la même valeur marchande.

11 nov. 2012

toujours dans la meme situaion, ce pauvre Napoleon !!!!

19 nov. 2012

Je l'ai aperçu en cale sèche ce matin depuis le bus entre l'Estaque et la Joliette. Probablement au bassin de radoub.

19 nov. 2012

Je n'avais pas lu ce fil.

Il n'y a rien qui choque personne dans le copier/coller du début du fil.

On est pas censé avoir de vagues notions d'ordres de grandeur sur Hisse et Ho?

Le Napoléon Bonaparte a les dimensions suivantes :

Longueur 172 m
Maître-bau 30,40 m
Tirant d'eau 6,70 m

Ca ne choque personne qu'il puisse accueillir "80 000 m³ d'eau de mer" juste en donnant de la bande?

19 nov. 201219 nov. 2012

Bof.
Pas plus qu'il ait été bouché par une sardine :-D

Remarque subsidiaire, scrupulative et différée :

"On est pas censé avoir de vagues notions d'ordres de grandeur sur Hisse et Ho?"

Non, Môssieur.
On ne reçoit d'ordre de personne, et certainement pas de grandeur.
Non, mais. :-p

19 nov. 2012

bonjour

172 X 30 X 6,7 = 34572 M³

80.000 M³ ????

Pierre

19 nov. 2012
19 nov. 2012

Moi ça me choque pas du tout !

Y'a rien qui dit que les "80 000 m³ d'eau de mer" ont été accueillis en même temps !
:heu:

19 nov. 201219 nov. 2012

Bonjour,
ce qui ne se dit pas ( du moins pas fort ), c'est que ce n'est que la troisième fois que le Napoléon Bonaparte casse ses amarres et part à la dérive dans des circonstances analogues, toutefois avec des conséquences bien moindres.
Peut-être que le doublement d'amarres ne figure plus au programme de la formation de commandant de bord? Ou que M. Alsheimer a encore frappé? Fort, cette fois.

Facile :
Quand on en a parlé pour la troisième fois au commandant de bord il a répondu :

y'en amarre.

Ensuite, une erreur d'interprétation, peut être... :heu:

20 nov. 201220 nov. 2012

Si, effectivement, les amarres sont tournées sur les bites de l'équipage, il est normal que, la flascidité venant, les apparaux se détachent.

Serait-ce par futile vanité virile que ces méridionaux ont préféré recourir à leurs éphémères phalli plutôt qu'aux bittes destinées, elles, à soutenir dans la durée une rigidité tranquille?

:mdr: :mdr: :mdr: :topla:

20 nov. 201220 nov. 2012

Djobi, djoba...

version diesel 4t

19 nov. 201219 nov. 2012

C'était jour de fête.
Quand on lui a proposé d'ajouter des amarres il a répondu : impossible, toutes les bites sont prises !
Quel dur vît que celle de commandant de ferry.

.

20 nov. 201220 nov. 2012

Et que dire du lamaneur syndiqué qui repart en chantonnant :

"En revenant de Paris jusqu'à Nantes,
J'ai rencontré trois jeunes filles charmantes,
Oh! lala, oh! lala lala lala la la la la lala lala,
J'ai rencontré trois jeunes filles charmantes,

En revenant de Paris jusqu'à Nantes,

Tiens, voilà mon job, job, job

Tiens, voilà mon job, jobi ..... ! ".
.

19 nov. 2012

bonjour hoolof
je l'ai rappelé à plusieurs reprises dans le 1er fil

19 nov. 2012

Le tonneau des Danaïdes
Pourquoi pas 1 million de M3 .
Si les "trous" ne sont pas rebouchés ils peuvent jouer aux Shadocks.
Bravo aux journalistes qui continueront à dire à la téloch ou sur les radios 100 zeuros et qui ne savent pas calculer un volume et/ou vérifier leurs sources.
Salut à tous,
Gilles

19 nov. 2012

Doubler voire tripler l'amarrage est une chose, équilibrer les amarres pour que la tension soit répartie également est trés difficile en fonction de la configuration des plages de manœuvres (plan de pont). il suffit qu'une seule soit plus tendue pour que les autres pètent en cascade. Cela m'est arrivé au poste de la Joliette, à l'époque ou il y avait encore des cargos, lors de mon premiers voyage en 82. Nous étions fin prêt, groupes en route et réchauffage du moteur principal en marche. A 4h00 du mat tout à pété. Nous avons été obligé de déhaler avec le moteur principal, un propulseur d'étrave et prise de deux remorqueurs vers les postes d'arenc pour se mettre sur un quai au vent.
J'ai bien en mémoire la nuit en manœuvre.
Laisser un Bateau comme ça pas manœuvrant, c'est perdu d'avance.(il semble qu'il était sur énergie de quai)

19 nov. 2012

Pour info, quand le Napoléon a rompu ses amarres, Sandy soufflait à 140 km/h sur New-York. Coïncidence, c'est la vitesse enregistrée dans le Vieux Port sur les anémomètres de voisins de ponton. De nombreuses pendilles pourtant entretenues par des plaisanciers soigneux se sont rompues. Le Vieux port est pourtantmieux abrité que le port de commerce par vents de NO à N. Je ne parle pas des génois explosés (des vents de moindre violence suffisent souvent).
Pour dire que les conditions météos rencontrées ce jour là sont extrêmement rares (moins d'une fois par an sûrement).

ben oui, certes "moins d'une fois par an" donc le Napoléon va couler moins d'une fois par an ....

Hubertr, de Cherbourg

20 nov. 2012

J'ai parlé de "moins d'une fois par an car je ne voulais pas dire de bêtise et ne dispose pas des stats. Ce qui est sûr, c'est que depuis l'an 2000 où j'ai eu une place au Vieux port, je n'ai jamais vu autant de casse sur les pontons.

20 nov. 2012

Je veux bien le calcul du volume d'eau, mais celui ci-dessus ne tient pas , extrait de l'article :"C'est la seconde priorité. 50 000 m³ d'eau de mer, soit moins que le laissaient apparaître les premières estimations, se sont engouffrés dans la brèche. Noyant la salle des machines, les ponts inférieurs 1, 2 et 3, ainsi qu'une partie des garages. Une fois la déchirure colmatée, les pompes ont pris le relais pour évacuer une partie de cette eau et stabiliser le navire. Cet objectif est aujourd'hui atteint et l'inclinaison du Napoléon vers le quai a été effacée. Mais si le navire a retrouvé son assiette, plus de 30 000 m³ d'eau sont cependant toujours présents dans ses flancs. "
Le navire a bien 6,7m de TE mais plus de 50m de TA. Or il semble qu'environ 3 étages soient/étaient noyés. Si un étage fait au moins 2m de haut, ca fait le double de ce qui a été calculé (au moins). soit 60000m3 à la louche.

20 nov. 2012

Bonjour Long cours

ou etait amarre le France lorsque tu t'es approche avec ton canot petrolier (quel nom) de 80 000 t?

ou etais-tu amarre, a Jonction?

Sans faire de polemique aucune, les Abeilles en greve tres souvent etait pour la defense des acquis des marins qui naviguaient "au large" car comme tu dois le savoir, ou l'avoir oublie. le droit de greve sur les navires francais etait reglemente, a savoir que les armateurs demandaient aux capitaines de rester service a la mer et ainsi d'eviter le service au port pour casser les mouvements de greve.

c'etait un point de precision a "preciser"

De plus on peut traiter de feignant la SNCF, mais ce ne sont pas les ouvriers boulangers ou charcutiers qui defileront dans la rue...

Regisson

20 nov. 2012

Esso Bourgogne , tu veux peut etre des photos pour appuyer mes dire ?! :lavache:Petit rappel "grace" aux greve Le France est devenus Norway (et rentable !!), la grande cale de Marseille une (pour ne pas dire la )plus grande de
Méditerranée a decouragée tout ses repreneurs, les ports de Marseille , du Havre sont devenus des escales "accessoires" tres loin de Rotterdam ....
Mais une question pourquoi glissez vous toujours vers la politique ?
Perso je n'ai rien dis sr la SNCF mais peut etre y travaille tu ?

Quand au droit de gréve que ne pouvaient exerser les marins "au large" :bravo:cela semble tomber sous le sens ...ne trouve tu pas qu'il y a assez d'abordages comme ca pour vouloir faire gréve sur le tas (c'est à dire "au large")
Mais comme tu dois le savoir , ou l'avoir oublier, ce qui a precipité la chute du France c'est justement une gréve ( plus proche d'une mutinerie )avec immobilisation du navire en mer

20 nov. 2012

Pour autant que je me souvienne, la CGT (pas le syndicat, l'autre, la "Transat") avait des projets de réduction des coûts de fonctionnement de France pour une utilisation moins luxueuse que la précédente qui ne correspondait plus aux besoins du marché.
Les jusqu'auboutistes avaient une position simple : conservation de la totalité de l'équipage, pas un seul de moins et ils ont pris le navire en otage pour aller le mouiller sur rade, sur ancre.
Cette position extrémiste (on aurait pu sauver une partie des emplois) a amené la Transat à désarmer le navire qui a passé quelque temps au "quai de l'oubli", au Havre, avant d'être vendu, puis transformé pour l'utilisation que l'on sait.

21 nov. 2012

Tu parle du vendée globe ? :jelaferme:

20 nov. 2012

et 30 ans apres on a encore evolué sans doute dans le bon sens :

  • pilote automatique .... et chaud devant....
21 nov. 2012

bj

le terme "au large" designe seulement la navigation qui ne s'effectue pas en portuaire et cabotage. C'est le terme utilise par ces marins.

Quant a l'ESSO Bourgogne, il n'a pas pu passer près du France amarre au quai de l'oubli ... car le Esso Bourgogne en tant que petrolier allait decharge au poste appele Jontion .

Quant a glisser sur le politique, c'est toi qui a dérape le premier... et il ne faut pas me tendre la perche..
Regisson

21 nov. 2012

Regarde une photo du port , regarde ou etait amarré Le France et regarde ou etait les terminaux petrolier
Point barre .

20 nov. 2012

Réaction toute bête...??
-La météo annoncait depuis des jours vitesse et direction du vent prévu
-le napoléon s'est appuyé sur le quai au vent en traversant la darse, malgré lui
n'aurait on pas pu "prévenir" ce résultat ????
- en le déplacant de l'autre coté ou appuyé au quai il n'y avait plus de problème

20 nov. 2012

aux dernieres nouvelles , le navire se trouve toujours dans la meme position, contrairement à ce qu'affirment certains sur ce forum.

20 nov. 2012

Oui il est toujours dans le même état...

20 nov. 2012

Mea coule pas, je l'avais vu depuis le bus. Ne connaissant pas trop bien Marseille, j'ai cru qu'il avait été déplacé, mais effectivement les opérations de pompages ne sont pas encore terminées.

21 nov. 2012

elles sont arrêtées depuis longtemps, la question est de comment pomper sans qu'il se retourne (carene liquide)
j en ai parlé par hasard avec un ingenieur de stx st nazaire

21 nov. 2012

Je suis un peu étonné.

Nous, modestes plaisanciers, quand un coup de vent de suet est prévu à granville, nous demandons au port de plaisance de nous attribuer une place moins exposée que la notre pour un jour ou deux et déplaçons notre voilier.

Apparemment, pour un coup de vent qui aurait lieu une fois par an, nous dit on, ce ferry n'a pas été déplacé sous le vent, là où il est venu se caler naturellement.

N'est ce pas ce qu'on appelle manquer de sens marin ou y a t-il eu un blocage administratif?

21 nov. 2012

j'ai l'impression qu'il faut être pragmatique :
Le napoléon tient droit parce qu'il a le cul au fond posé au fond de l'eau, la SNCM ne tient debout (et encore) que parce que les contribuables mettent la main à la poche, et le bateau etait à vendre pour 3 * moins que sa valeur assurée.

Un coup de google images montre qu'il ne bougera pas sans une opération de renflouage lourde.

21 nov. 2012

Une question me taraude grave.

Comme nous, ils sont tenus d'avoir du matériel de sécurité à bord.
Pourquoi n'ont-ils pas utilisé les pinoches, les écopes et le seau après le choc ?

21 nov. 2012

Et les gaffes pour deborder ou les avirons pour godiller ? :mdr: :tesur:

et les pare bat'...

21 nov. 2012

@Regisson , j'ai ressorti mon vieux fascicule et à l'époque ou j'etais embarqué le France n'etait absolument pas au "quai de l'oubli" mais quai Joannès Couvert ou il est resté 3 mois , explique moi comment on aurait pu reculé et pivoté sans le voir ?
:reflechi: :lavache:
Ceci dit ,cela n'explique en rien pourquoi les navires de la SNCM ont la facheuses tendance à rompre leurs amarres et à emboutir les quais (premiere fois ou j'ai pu en etre temoin (entre fin 74 et debut 75 à Bastia )

21 nov. 2012

Long cours= mea culpa en janvier 1974 il était a Joannes Couvert3 ou 4 et tu devais etre a la CIM

21 nov. 2012

Vivre dans le doute est très inconfortable.
Mais vivre dans une parfaite certitude est ridicule.

21 nov. 2012

c'est sûr.

21 nov. 201221 nov. 2012

coucou les mecs, je ne connais pas les syndicats, pour moi et beaucoup d'autres c'est juste le risque total....CGT pour ceux qui ne comprennent pas çà veut dire syndicat ou tout autre concept apparenté= c'est trop compliqué comme point de vu..
par ailleurs ces gens sont il eloingN2S du syndicat docker( je vais dire syndicat) a 4000€ mensuel...je voudrais bien savoir combien sont payés les mecs de la SNSM
je vous rappelle que l'on est sur un forum mer, que la mer c'est dangereux elitiste exigeant , et que celui qui perd son bateau est forcement le seul fautif, c'est la philosophie theorique du marin , de l'alpiniste, du plongeur..
Dans ces activitéS qui ne sont pas des hobbies le bon pratiquant est un pratiquant independant et vivant...c'est du moins l'idée des extremistes, vivants, modeste avec un peu d'experience

21 nov. 2012

Il y a des capitaines imprudents, il y a de vieux capitaines mais il n'y a pas de vieux capitaines imprudents ! :heu: :oups:

Le phare du Creac'h à Ouessant, un soir d'automne (1985, image argentique, ce qui explique le grain)

Phare du monde

  • 4.5 (18)

Le phare du Creac'h à Ouessant, un soir d'automne (1985, image argentique, ce qui explique le grain)

2022