Quelques questions pour lancer le débat oiseux comme d'habitude :
- Le pilote aurait-il pu s'en tirer avec un bib, peut être utile en l'espèce, ce qui aurait entraîner l'inutilité de l'intervention de la SNSM?
- La SNSM est elle réellement habilité à sauver un pilote d'avion?
- La SNSM est elle réellement utile?
- La rapidité d'intervention de la SNSM n'est-elle pas due à un heureux hasard?
A vos claviers!
Je décernerai, peut être, des médailles à l'arrivée.
Heu.... Vu la distance de la plage, pas besoin de snsm, ni de bib. 5mn de natation. Rien de mieux pour le pilote pour reprendre ses esprits. ;-)
je comprends enfin pourquoi les avions ont des gilets de sauvetage et pas de parachute !
D'ou à mon avis l'utilité du permis de natation 100 mètres pour les pilotes d'avion qui vole ... heuh ... naviguent en solitaire... Et pas besoin de bib, il était à moins de 6 miles de la plage.
:langue2:
A Propriane c'est une piste d'aviation juste à la sortie du port. La SNSM y est hyper équipée avec 2 vedettes, 3 semi-rigides, jetskis, etc et uniformes oranges flambant neufs...Cet épisode a du les sortir d'une certaine tranquillité...
À ta première question : non ,parceque l administration n'a pas encore homologué les avirons dans le Bib
- Leur intervention n'aurait - elle pas été plus efficace si la SNSM n'employait pas des volontaires ?
- Le pilote avait-il au moins cotisé à la SNSM ?
- A-t-il sauvé son chat ?
- C'est une honte de s'abîmer en mer en pleine zone Natura 2000.
Crash est un grand mot, je dirais décollage raté.
Si cela se trouve il avait pied. :heu:
Mais il ne voulait pas marcher sur les merdiers de posidonie :mdr:
Hum....a t il paye sa taxe mouillage? Parce que je le soupçonne d avoir maquillé un mouillage forain en naufrage pour échapper à la taxe.
Personnellement je décerne le prix de la plus mauvaise foi à ftiti ! :whaou: :pouce: :-D
je vois pa ce qu'il y a d'extraordinaire comme sauvetage,mais c'est vrai dans le sud un rien devient extraordinaire
Le lien suivant n'est pas hors du commun, mais l'illustration d'une prise de risques un peu idiote.
Faire du dériveur en Mer du Nord, fin novembre par force 10... Je comprends la passion des sport extrêmes mais là... j'ai du mal à percevoir le plaisir.