pour ceusse qui s'intéresse

Reportage très intéressant

Merci Philippe!!!

Alain

pourquoi

le smiley triste?

c'etait couru d'avance....trop de construction sans plan de reprise d'ancien (comme pour l'automobile)

mais il est clair qu'il est plus facile de recycler des vieilles bagnoles que des vieux bateaux delaminés ;-) et que ça a un coût

La qualité

montrée dans ce document, ne semble pas ce retrouver dans la solidité des voiliers, j'ai pu en croiser 1 a Cherbourg , en gros il perdait sa quille apres qqs miles de nav , fond delaminé ....
commentaires du proprio :

dommage il marchait bien !

Cas unique ?

Machine numérique

Oui, elle doit tourner pas mal. Mais elle n'est pas obligée de fabriquer que des bateaux. Rien ne lui interdit, entre 2 bateaux, de fabriquer des carroserries d'utilitaire frigorifique, ou camping car ou autre. C'est l'interêt des machines numériques ou il suffit de charger un autre prog pour faire autre chose.

Ensuite, la machine était elle réellement adaptée ? Faut il une précision millimétrique, ou mieux, hors de prix, pour une découpe de hublot ou capot. Une machine 10 fois moins chère, avec seulement 3 ou 5mm de précision n'aurait elle pas fait le même boulot tout en étant nettement plus facilement amortissable ?

Sinon, la vidéo passe beaucoup de temps sur la réalisation coque pont automatique. Mais ce n'est pas le plus gros poste coût dans la construction d'un voilier.

Hello ;-)

Ca a l'air d'aller dans le bon sens

www.poncinyachts.com[...]ite.php

:-)

je crois

que Catana et White Shark tire le groupe vers le haut (grosse réputation dans les deux cas)

et harmony plutot vers le bas ?

Savoir faire : pas d'accord

Le savoir faire, ce n'est plus de savoir tenir le rabot, il est dans le bureau d'étude, dans la conception et la programmation des machines. Ou dans l'atelier de maintenance de ces machines. Les machines automatiques, jusqu'a preuve du contraire, ça ne se conçoit pas tout seul, et ça ne se programme pas non plus tout seul.

Au temps de la préhistoire, savoir faire du feu avec 2 bout de bois était un savoir faire VITAL(Au sens réel, nécéssaire pour la survie). La durée de vie s'est allongée de je ne sais combien de dizaines d'année depuis. Qui sait encore faire du feu avec 2 bouts de bois ?

C'est de la pub

Le film proposé est destiné à induire cette idée que tout est automatique, rapide et reproductible dans la précision.

Dans la réalité, Lorenzo le sait bien, en dehors des quelques images qui sont montré, tout est fait à la main... Vous les avez vu, coller les cloisons, ajuster les modules d'aménagement, poser les vaigrages, monter les hublots, poser l'accastillage, raccorder les faisceaux de câbles, peindre les œuvres vives... Reprendre à la mai les infusions ratés, démonter des préformes pour forcer les emboitement, jouer de la meuleuse pour que sa rentre, couper à la scie sauteuse parce que le programme n'est pas au point, stratifier à la main ou acheter ailleurs les capots. Acheter en europe de l'est des modules d'aménagement ... J'en passe.

J'imagine aussi que comme dans tous les films de ce genre même ce qui n'a jamais marché en vrais pouvait au moins bouger ce jour là.

Le fantasme de faire des bateaux comme des voitures...on ne peut pas comparer une chaine de voiture en sort 200 à 2000 par jour. Là, dans le meilleur des cas 50 par an.

Donc pipo, pipo, pipo.

Je répète

c'est l'ancien ouvrier qui parle.

Les bureaux d'études, rois.
Tant mieux pour ceux qui préfèrent que leur bateaux soit construits comme les bagnoles.
A la chaine.

Chacun sa vision du monde maritime futur.

je trouve les procedures

industriels toujours trés intéressantes à voir et à se faire expliquer.
Quand c'est en plus dans un domaine que j'affectionne particulierement...

Merci pour cette video Philippe.

sans commentaires

www.boursorama.com[...]o.phtml

à ce prix là, il serait dommage de s'en priver .
C'est l'Eurotunnel de la construction nautique .

Illusion industrielle ?
Caprice d'un fils de famille ?

En tout cas, catastrophe sociale !

En effet

Juillet 2006 :
"Au moment de recevoir des mains des co-présidents Quérou et Mahieu le prix qui lui était décerné, Monsieur Poncin n'a eu de mots que pour la méthode : « Une stratégie gagnante demande essentiellement de bien connaître son marché, d'avoir une idée claire sur la taille critique que l'on doit avoir sur ce marché pour perdurer, d'arriver rapidement à l'indépendance financière, et de savoir saisir les opportunités, notamment d'acquisitions, dès qu'elles se présentent. Une fois la stratégie arrêtée, il s'agit d'établir un bon dialogue avec son personnel, innover et maintenir la qualité, tout en faisant preuve d'humilité ».

Une feuille de route que nous pourrions chacun adopter dans la conduite de nos propres affaires ! Pourquoi pas ? De la part d'un entrepreneur qui au cours de sa vie d'industriel a créé 1.500 emplois qui perdurent sur notre territoire, qui a bâti en six ans le quatrième chantier naval français, qui a investi 40 millions d'euros en France dans le secteur manufacturier tout en dégageant dès 2005 un cash-flow significatif, cette feuille de route possède une certaine légitimité."

Août 2009 :
« L’Assemblée Générale Extraordinaire du 31 août 2009 a réduit le Capital Social de 42 149 871 Euros pour le ramener de 42 833 190 Euros à 4 683 319 Euros par apurement du Report à Nouveau Débiteur et réduction de 5 Euros à 0,50 Euro de la valeur nominale de chacun des 9 366 638 actions. »

Et combien d'emplois perdus ?...