Pas facile la voile il y a 50 ans

  • Les franc-bords était faibles, l'avant soulageait peu et l'équipage prenait vite des paquets de mer. Les bateaux « mouillaient » beaucoup. Aujourd'hui on navigue mieux protégé.
  • Lorsque l'on embarquait par l'arrière,( ca m'est arrivé deux fois) le cockpit se remplissait et mettait gravement le bateau en danger. Aujourd'hui le cockpit se vide presque instantanément.
  • La préoccupation sur les bateaux en bois étaient les « coutures » qui pouvaient s'ouvrir sur la coque suite aux contraintes. Les bateaux faisaient de l'eau, ils étaient généralement humides. Aujourd'hui, nous naviguons au sec à l'intérieur.
  • On disait à l'époque : « La tempête vient sans prévenir ». Aujourd'hui grâce aux modèles de prévisions et aux animations graphiques on la voit venir au point même de pouvoir totalement y échapper. Si l'on veut du gros temps, il faut vraiment aller le chercher.
  • Au grand large les prévisions meteo étaient transmises en morse et l'on devait faire soi-même la carte météo . Aujourd'hui les flèches de vent transmises via satellite apparaissent sur une carte électronique.
  • On utilisait les radio-phares pour faire des relèvements et se positionner. Le GPS a fait disparaître la gonio. De même que le sextant et les calculs fastidieux.
  • Pour la longitude, le top horaire était donné par radio, il permettait de régler la montre du bord. Aujourd'hui le top horaire a disparu.
  • Entre deux points on naviguait à l'estime. La distance, approximative, était donnée par un loch à hélice. Le pif et l'expérience comptait plus que l'exactitude de la mesure.
  • Si l'on mouillait dans un endroit inconnu, un coup de plomb de sonde et un calcul de marée avec la règle des douzièmes, quelques repères sur la côte pour vérifier que l'on ne chassait pas rassuraient le skipper . Aujourd'hui, un coup d’œil au sondeur, une vérif du reste à descendre ou a monter sur l'appli marées, une tape sur la position de l'ancre sur l'appli Anchor watch et on part dormir tranquille le smartphone pas loin de l'oreille.

Voilà quelques vieux souvenirs que ceux qui ont connu la voile de papa et de grand papa peuvent compléter.

L'équipage
25 juil. 2018
25 juil. 2018

France / Tahiti il y a 40 ans pour moi sur mon 9 m hyper simple , pas d enrouleur , juste un sondeur a éclat , un seul winch pour tout le bateau , un sextant Ebco en plastique , et ce beau voyage a 20 ans ....

25 juil. 2018

Antibes 1974
Bateau en bois 10,80 x 2,90 12tonnes gréement houari cotre
Sans moteur sans électricité sans sextant
On disait les bateaux sont en bois, les marins dessus en acier
Ah jeunesse insouciante :mdr:

25 juil. 2018

Je vous lis et hormis quelques point je me dis qu'on a bien perdu au change... plus de morse gratuit mais du satellite pour riche, plus de radiophare, plus de top horaire, etc... par contre les bateaux humides qui font de leau existent encore j'ai passé les dernier mois sous la pluie dormez tranquille :mdr:

25 juil. 2018

noroit 5.5m en ag4 pont cp roof polyester et gréement de ponant
continent corse aller retour 2 ans de nav en côtière en med compas cartes et gonio
1970 après le m de plus le sylphe .là sextant
baléares ,corse le triangle
alain

25 juil. 2018

vous etes des vieux?? on va faire le club des vieux: d'un coté il y aura les dessal , machine a laver, routeur , traceurs, transpondeurs , winch electriques, dock n go, connectés, 25nds.
de l'autre les vieux, supernavitech , loch planchette/pince a linge, plomb de sonde, balcon. meteo au doigt mouillé
philippe qui est vieux maintenant

25 juil. 2018

la vieillesse est un état ce n'est pas un défaut
et tous n'y arrivent pas en bon état ,s'ils y arrivent …
tremblez jeunes gens vous ne savez pas ce que l'avenir vous réserve .

alain :doc: :oups: :lavache:

26 juil. 201826 juil. 2018

@ fritz.
bah si.... tu nous prends pour des gogoles? évidement qu'on sait ce qui nous attend... : devenir aveugle, impuissant, sourd et faible, sans dents ni cheveux... avec éventuellement un crabe dans le cornet ou un grelot dans le ciboulot.
Et on ne "tremble" pas, car la peur n'a jamais évité le danger.

Pour les anglophones que ça intéresse, cherchez "Martin Manley, life and death" sur le net...
;-)

26 juil. 2018

Le poème fétiche de fritz the cat : "A la Marquise" de Pierre Corneille

Marquise, si mon visage
A quelques traits un peu vieux,
Souvenez-vous qu’à mon âge
Vous ne vaudrez guère mieux.

Le temps aux plus belles choses
Se plaît à faire un affront,
Et saura faner vos roses
Comme il a ridé mon front.

Le même cours des planètes
Règle nos jours et nos nuits
On m’a vu ce que vous êtes;
Vous serez ce que je suis.

Cependant j’ai quelques charmes
Qui sont assez éclatants
Pour n’avoir pas trop d’alarmes
De ces ravages du temps.

Vous en avez qu’on adore;
Mais ceux que vous méprisez
Pourraient bien durer encore
Quand ceux-là seront usés.

Ils pourront sauver la gloire
Des yeux qui me semblent doux,
Et dans mille ans faire croire
Ce qu’il me plaira de vous.

Chez cette race nouvelle,
Où j’aurai quelque crédit,
Vous ne passerez pour belle
Qu’autant que je l’aurai dit.

Pensez-y, belle marquise.
Quoiqu’un grison fasse effroi,
Il vaut bien qu’on le courtise
Quand il est fait comme moi.

Pierre Corneille

:-D ;-)

25 juil. 2018

Un des seuls rares fils du forum qui dit: " CMM "!
(c'est mieux maintenant)
:coucou:

25 juil. 201825 juil. 2018

Ne t'y laisse pas prendre : il dit CMM pour mieux vendre du CMA...

Avec l'été refleurissent les bons vieux fils rétro (nan, j'ai pas dit ringards) : le solex, les bateaux humides, le sextant (en plastique, quand même. On n'est pas des néandertaliens non plus), le seagull...

25 juil. 2018

Il n'y a hélas pas d'âge pour les pisse-vinaigre. Mais je vois que tu suis. :pecheur:

25 juil. 201825 juil. 2018

DANS LES ANNEES 70, LES ECOLES DE CROISIERE.

En 1965/75, on apprenait à naviguer dans une école de croisière avant d'acheter un voilier. On naviguait aussi de nombreuses années avant d'envisager de partir traverser vers les Antilles.

Les écoles de voile qui possédaient une flotte de voiliers de croisière étaient rares.

La première, dès 1947, les Glénans ainsi que l'école de voile de Granville (association ) devenue en 1973 (Centre Régional de Nautisme de Granville) .

Les voiliers étaient des Dogres , Sereine, Bélouga , Corsaires JOG, Mousquetaires, puis Brise de mer...

Dans ces années là, naviguaient aussi sans moteur un Hobereau ( 8m ) à Dahouët et un ou deux Mousquetaire puis Armagnac à Tréboul.

Bien entendu, ces voiliers naviguaient toute l'année, y compris l'hiver, avec un stagiaire de plus que de couchettes existantes . A 5 sur un Mousquetaire ou 4 sur le Corsaire... Le chef de bord, sans aucun diplôme était coopté et bénévole.

Les moteurs n'existaient pas. Et, à Granville, malgré les dizaines de milliers de mille effectués dans ces parages mal famés, je ne me souviens pas du moindre accident ou échouement d'importance sur une dizaine d'années.

A partir de 1974, des écoles de croisières "privées" se sont multipliées. Principalement à St Malo et Granville du fait de leur proximité avec Paris. Les voiliers étaient en moyenne de 8 m ( Armagnac) jusqu'aux superbes Aquavit et Romanée (10 m) neufs.

En Bretagne sud, P.Poupon était chef de bord à L'Ecole Nationale de Voile sur un "luxueux" Centurion vers 1974.

En 1973, le premier loueur qui deviendra professionnel, Jean Lepesqueux, a commencé un louant un Mousquetaire puis dans les années suivantes un Ecume de mer. Il me semble que, à Concarneau, Locabato a loué des Mousquetaires à partir de 1975.

A St Malo, il faudra attendre les années 75/77 pour voir apparaitre des possibilités de location de voiliers. En Bretagne Sud, je ne m'en souviens pas mais cela a surement été un peu plus tardif.

25 juil. 2018

Et oui, à Granville les voiliers Lepesqueux, voiliers simples avec le minimum vital, Armagnac, Arpège, puis Gibsea 105... D'ailleurs l'adage était : Lepesqueux, c'est sérieux! À Saint Malo la location s'était Locagwen mais quelquefois il fallait venir avec sa boîte à outils!! C'est une boutade! Mais on rigolait bien et personne ne se prenait au sérieux.

25 juil. 2018

merci Daniel,

A Perros Guirec il existait un loueur, avec une flotte diverse, il s'appelait Ponant Loisirs
On y avait loué deux muscadet, un cognac et le plan Cornu Yalina

Des gens originaux et sympa, ils nous invitaient à diner le soir de nos arrivées depuis Paris en Ami 6 puis en Id 19 !!

25 juil. 2018

Locabato, c'était dès 1964, cf le fil nostalgique que j'avais lancé.
;-)

25 juil. 2018

Globalement d'accord, mais... dans les années 70, il n'y avait pas de stages en hiver aux Glénans, seulement à partir de Pâques jusqu'en octobre. L'hiver, il y avait les cours théoriques de chef de bord au Ponton sur la Seine à Paris.

"Les chefs de bord sans diplôme" bénéficiaient quand même d'une formation interne pour l'être, théorique, pratique et avec un stage d'application à Pâques sur Le Glénan, côtre 13 m sans moteur.

;-)

26 juil. 2018

Formation d'encadrant probablement, parce qu'il n'y avait pas de stages classiques d'apprentissage à l'archipel ni à Paimpol pendant les vacances de Noël ?

Bien d'accord que les ports n'étaient pas aussi pleins qu'aujourd'hui.

25 juil. 2018

j'ai fait un stage de formation sur la Sereine noël 1974 ...

ce qu'on oublie de dire c'est que faire des manoeuvres avec un bateau tel que la Sereine sans moteur n'est plus possible actuellement vu l'aménagement et l'encombrement des ports . à l'époque pas de port aménagé à l'Aber warch pe

13 août 201813 août 2018

en 1968 l'ecole de voile de Treboul avait acheté des Mousquetaires ,il y avait déjà des Corsaires . Pour les mousquetaires j'en sais quelque chose car j'avais fais le convoyage par la mer, biensûr en fevrier (si ma memoire est bonne) .

mon propos s'adresse à Viking ,il tombe n'importe ou

13 août 2018

il y avait aussi les galiote et nautile de Finot chouettes unités à l'epoque

25 juil. 2018

Bah en plus les vieux, y savent même plus compter, y'a pas besoin de remonter à 50 ans en arrière pour avoir navigué sans GPS, sans pilote, juste avec un sondeur à éclat et dans un bateaux bien humide... C'est mes débuts et pourtant je suis bien plus jeune que vous...

Bon aller un peu de respect pour les ancêtres que diable! On vous aime bien, "nos vieux" d'H&O même si vous radotez un peu, notre tour viendra ( enfin on espère) ;-) :-D

25 juil. 2018

pareil jusqu'à l'année dernière sur mon 5m je naviguais sans rien du tout, même pas de sondeur, certes je ne m'aventurais pas trop au large, mais le risque n'est il pas à la côte? ;-)

25 juil. 2018

Oui Now, ton tour viendra, mais tu ne sauras jamais comment c'était avant vu que tu connais que ce qu'on aura bien voulu te raconter.... :litjournal:
Anna :heu:

26 juil. 2018

Bah, quand je dis "bien plus jeune" c'est une image, c'est dans la tête disons "entre deux" j'ai aussi connu la fin de la période sans pb de place de port ou on pouvais mouiller ou on voulait, ... ;-)

25 juil. 2018

ha oui lacabato j'y ai loué un Gibli (6,5m) en 1979, et un ecume en 80.
en 82, on avait loué un kirk a st raph pour "la grande traversée". il y avait l'eau courante et un frigo , un luxe incroyable.
et pour notre premiere transat, j'avais loué un vrai yacht , un trinidad ( en 84 je crois), avec un enrouleur et un.. satnav.. alors on faisait de concours de vitesse: sextant contre satnav.

apres ca tout a capoter, doucement pour en arriver a l'ultime routeur sur androide et au dock n go .... waouhh la crise :bravo: :whaou:
Mais c'est pas une question de vieux cette histoire , c'est une question d'engagement.. dans mon domaine musique pareil , y'a les groupes qui joue "pop rock varietés" ( buurk) et ceux qui font rock prog, jazz rock, metal ;. a donf

25 juil. 2018

L'été autour de l'Ile de Wight, la journée à tirer sur les écoutes contre les perfides Albionnais , et le soir à tirer leurs équipières ( mais on ne peut pas parler comme ça, c'est politiquement incorrect )
Là c'est la grisounette assurée :aurevoirdame:

25 juil. 201825 juil. 2018

Quelques souvenir du bateau de mon paternel,
- Pas d’enrouleur. Au total, je crois qu’il y avait le choix entre 5 génois et focs à endrailler. C’etait en général moi qui faisait tous les changements de génois/focs. Au près par vent fort, ça mouillait fort tout à l’avant!
- Plusieurs spis également, et même un big boy.
- Pas de winch self-tailing.
- Pas de bloqueurs. Des taquets pour les drisses et les écoutes. Juste un cam cleat sur l’ecoute de GV.
- Il y avait une gonio, un sondeur à éclat et une VHF Sailor.
- Pas de girouette-anémomètre, mais il y avait deux speedos (ancien bateau de course), un avec tube à pitot et l’autre avec hélice.
- Un AP installé à la fin des années 80. C’etait révolutionnaire!
- Drisse de génois en textile+câble. Toujours faire attention aux torons cassés.
- Tangons de spi qui pesaient une tonne.
- Prise de ris sur bôme à enrouleur. Adaptée vers prise de ris classique au début des années 80.
- Moteur peu puissant et moyennement fiable.
- Pas d’eau sous pression, pas de pompe électrique.
- Il y avait un trim tab que mon paternal n’a jamais utilisé. Dommage en fait.

25 juil. 2018

Quel modele ?

26 juil. 2018

maas à fait le taillefer qui est une réussite ,beau rapide et confortable ..
évidement ces carènes fines sont moins habitables ,mais quel passage dans la mer ..
alain

26 juil. 2018

Bateau custom des années 60. Mon paternel l’a acheté dans les années 70. Celui en couverture ici:
www.compromisclub.nl[...]995.pdf

13 août 201816 juin 2020

On est loin du "couloir lesté" : ;-)

25 juil. 2018

Personne ici, sauf peut-être Hi, qu'il m'excuse malgré tout de le rajeunir, n'est allé récupérer le pétrole réservé aux feux de route pour, le dernier jour de nav se faire cuire une soupe ?

25 juil. 2018

Aïe, j'ai dû toucher le mauvais fil ;-)

25 juil. 2018

Attention aux bottes mouillées. :-)

25 juil. 2018

juillet 1978 traversé san remo /Macinaggio 1ecume de mer roof long et 2 edel 4 (quillard et DL) ca a soufflé, 16h de nav mais quel pied l arrivé avec départ au surf sur une longue houle au lever du jour sauf que fallait attendre les 2 edel un poil moins rapide ......j avais 15 ans et c était mon quart.... mon père était au dodo et ma mère cramponné dans le cockpit....
une image a jamais gravé dans ma mémoire.....

le retour moins fun.....22H de moteur pour Macinaggio/Baulieu une pétole de chez pétole avec baignade au milieu pas fier j avais encore dans la tête ce film qui m avait marqué a l époque....les dents de la mer!
coté carburant on etait plus a l aise avec le yanmar diesel mais pour eux avec les 9.9 arbre long en puit pour l un et sur chaise pour l autre le pont était rempli de bidon de mélange avec les serpillières dessus pour les refroidir .....

on avait un PA mis au point par un copain des amis un système de moteur pas a pas fixe sous la barre franche et relié a un compas on faisait 3 tours sur le tambour du moteur du pa et en avant... La pub de l époque de ce pa etait:
" babord tribord c est moi qui barre"
....me souviens plus de la marque du PA

pfuuuuu ca nous rajeuni pas !

25 juil. 2018

Ah oui, oublié de préciser :
On détestait le Bâbord amures, déjà parce que c'est le mauvais bord, mais en plus il fallait écoper, les bordés étaient un peu décousus suite à une mauvaise rencontre . . .
Et on traversait le Channel la bouche en cœur :doc:

25 juil. 2018

Pour nous c'était la visite de la mer d'Etel avec un Belouga bois et à la godille, beurkh les moteurs ! J'avais pas pensé au courant ! Mais j'ai bien changé d'avis pour les moteurs. La gonio du bord n'indiquait que deux radiophares, l'un en Espagne et l'autre vers Brest je crois. Nous avons de très bons souvenirs de cette époque, les enfants jouaient à cache cache dans la cabine du bélouga, quelle rigolade. c'était une époque rude, bon enfant, humide mais on se mouillait où on voulait et il y avait presque toujours de la place dans les ports si on y allait. Il y avait aussi la détaxe mer pour le matériel. On croit rêver !

25 juil. 201825 juil. 2018

mousquetaire , corsaire , samourai sans moteur ni loch ni sondeur , juste un ruban dans les haubans . Enfin le vrai luxe sur le sangria , un 6 ch couach essence monocylindre avec un presse etoupe à tresse qui pissait tout ce qu 'on voulait .
je crois que je vais finir par y revenir

25 juil. 2018

ces derniers temps, j'ai joué avec un XO Racer (une luge de 6.5m, plan paolo buat, 500 kg et 120 m2 de toile au portant) et notre pogo 30
ben je vous promets que la voile avec des bateaux du 21° siècle, c'est bien aussi, ça redonne un coup de jeune et c'est beaucoup beaucoup plus fun !!!

25 juil. 2018

Bonsoir, lune de miel,

pour aller à 20nds, j' ai un trimaran "Bucaneer 33" de 1974, plan Crowther, sister-schip version croisière de "Nova", le premier tri de Riguidel!
Sensations de vitesse garantie!!!

Gorlann

26 juil. 201826 juil. 2018

sans aucun doute !!!
fin juin, nous avons eu à marseille rassemblement et course de vieux multicoques, c'était magnifique

en fait, en bateau comme en moto, l'idéal serait d'avoir plusieurs montures, genre un croiseur irc pour la famille, un mini pour jouer tout seul et un multicoque genre diam 24 pour le rinçage avec les copains ;-)

sauf que c'est beaucoup plus cher que les motos...

26 juil. 2018

Ouahou, Nova ! Quel souvenir, d'abord sur le quai devant la capitainerie au Moulin-Blanc, Eugène, seul à refaire l'anti-fouling et moi, qui aurai dû être à réviser pour le BEPC qui ai osé demander au Monsieur s'il avait besoin d'un coup de main. Une belle rencontre qui s'est prolongée quelques jours plus tard devant le phare de Kermorvan où lui qui partait pour Plymouth et nous sur le Summerwind de mon père étions bloqués par le courant de flot.

Philippe

25 juil. 2018

Ben, moi a cette époque j'étais le petit gamin qui essayait de pécher à la canne du bord de mer, et qui regardais les bateaux en rêvant de monter dedans..

25 juil. 2018

Pareil sauf que je ne m'imaginais même pas en avoir un un jour, c'était un truc de riches, et en plus il fallait s'habiller bizarrement pour monter dessus! le petit canot de mon père de 3-4m avec un 6cv c'était déjà bien!

25 juil. 2018

Je être masochiste, car c'est la navigation de grand papa que je préfère. Bateau en bois, sous-motorisé, gréement aurique, pas de winches, pas de frigo ni de télé, pas de WC, pas de pilote, pont fuyard, électronique minimale, hauteur sous barrots réduite, etc.
De plus, j'aime naviguer en Manche, avec ses courants et sa météo.
Je dois être maso.
J'aime trouver les astuces pour bien faire marcher le bateau, pour simplifier ou sécuriser des manoeuvres. J'aime que tout l'équipage participe à la conduite du bateau. J'aime envisager et réussir des manœuvre difficiles. J'aime la convivialité à bord. Et je préfère manier le rabot que la résine ou l'ordi.
Je dois être non seulement maso, mais aussi has been.
:alavotre:

25 juil. 2018

Mais non il n'y a rien de maso la dedans, la voile est un secteur très large avec beaucoup de styles et variantes. Il y en a autant que de natures humaines, alors le style puriste avec ses plaisirs simples, sa réflexions et son partage a toute sa place.. Je le pratique aussi à ma manière, et j’apprécierai aussi de naviguer sur une bête de course dernières technologies.. J'apprend la carto électronique, et je vais certainement me payer un sextant et apprendre la nav astro..

26 juil. 201826 juil. 2018

Moi je suis à un age charnière ou j'ai eu la chance de connaitre les deux: la voile du père et du grand-père, les dogres de Bananec et la voile d'aujourd'hui à plus de 30 nœuds. Oui la voile a évoluée bien et très mal ! Oui c'est facile et rapide de se situer sur l' eau aujourd'hui. Oui C'est du confort et de la sécurité.
Mais il y a un point aujourd'hui ou nous avons énormément perdu: c'est la gratuité des ports! Maintenant on ce fait ....(je vais resté correcte mais choisissez le plus gros gros mot que vous connaissez!)
Et là précisément je n'aime plus la voile d'aujourd'hui!
Parce que lâcher sans arrêt du pognon dans un port! Et Bien moi ça me rebute!
Ça fait chère la douche quand parfois il faut encore mettre un euro dans le nourrain pour avoir l'eau chaude comme à la ROCHELLE PAR EXEMPLE.
Ils se foutent de notre gueule et nous sommes devenus des portefeuilles sur pattes sans voie!
Aujourd'hui quand je n'ai pas d'autre choix que de m’arrêter dans un port, je n'éprouve plus de plaisir donc j'assume d'être un salle con,exigeant peu aimable et chiant!
Je paye chère trop chère,j'exige.

26 juil. 2018

Je découvre à Horta qu’ici c’est DEUX euros... Finalement LR, c’est très abordable ????

13 août 2018

Ok mais compare en fait le niveau de vie local. Un bon ingénieur au Portugal,c’est 700 euros par mois. 10 euros pour la place de port, c’est déjà plus qu’en France et la douche à 2 euros ??? Mais c’est un luxe incroyable !!!

26 juil. 2018

non c'est trop chère!

26 juil. 2018

A combien est la nuitée du bateau à Horta. Fais l'addition et compare.

26 juil. 2018

Dans les années 70, les 20 à 30 stagiaires de l'école de croisière de Granville arrivaient par le train en provenance de Paris à 23 h 15. On les entassait DEBOUT dans un "tub" Citroën à 15 ou 20 pour les emmener au port.
Ensuite, ils devaient, avec leurs sacs, descendre l'échelle verticale le long du quai. Puis dès que la répartition des équipages dans les 5 voiliers était effectuée.
Si la marée était haute, il fallait sortir rapidement au louvoyage ou à la godille dans les écluses du bassin à flot de Granville ( situé dans l'axe des vents dominants).
C'est ce qu'on fait des générations de chef de bord dans les années 65/75. Les barres de flèches étaient souvent à 30 cm des parois de l'écluse et deux virements étaient à effectuer avec des stagiaires qui arrivaient du train de Paris! Et cela se passait toujours bien...
Vers 6 h du matin, les voiliers arrivaient à St Hélier.

26 juil. 2018

C'est marrant, le coin navigation qui ressemble aujourd'hui à un cockpit de Boeing, avec le PC, les trucs les machins et tous les répétiteurs. Se retrouve en général constamment éteints pendant les grandes nav, et dans se cas le PC ne sert qu'à regarder les films téléchargés pendant les escales.
Je tiens à signaler que j'ai encore les winchs goiot...

26 juil. 2018

moi je gueule mais j'ai plein de boutons:lumieres , c'est tres joli

26 juil. 201826 juil. 2018

Mon bateau est plus ou moins dans l'état de celui décrit pas Numawan...

Ne connaissant rien aux "équipements" quand j'ai acheté le bateau, je me suis dit "je rajoute deux panneaux solaires, un radar, un ais, eau chaude sous pression, un dessalinisateur, un gps, un frigo, et à moi le tour du monde" ... ha ha...vive le "plug and play"...faut dire que jusque là, je n'avais navigué que sur les bateaux des copains pour des durées maxi de deux trois jours...*

....quelques mois après...

C'est d'une telle complexité que je dis : "VIVE LA NAVIGATION D'IL Y A CINQUANTE ANS !!! OUI C'ETAIT PLUS FACILE!"

Avant, quand c'était mieux, je passais des semaines en montagne avec toute ma "maison" sur le dos, et j'étais HEUREUX, mais HEUREUX, tu peux pas savoir..." alors je me suis dit :" mais comment ils faisaient "AVANT" en mer?"
Une coque, un moteur, des voiles, une barre franche, une batterie pour le moteur, une autre pour les rares servitudes (feu de nav, recharge vhf), une vhf, un radeau et un gilet pour la sécu, un compas et quelques cartes, et c'est parti, tu navigues, et t'as pas sorti un rond de plus! Puis quand tu deviens "expert", et que tu veux quitter le cotier, tu apprends le sextant (de toute façon, même si t'avais un gps, c'est pas complètement idiot d'apprendre à se servir d'un sextant, voire de naviguer aux étoiles)

La bouffe : un bleuet et deux casseroles....même sur les trois semaines d'une transat, ça va, tu vas y survivre...hein...ça te fait deux semaines de vivres frais et une semaine de boites. Et des passages de 20 jours sans toucher terre, on en fait pas tous les mois, hein...faut être honnete.

La flotte : 5l par jour en bidons de 20l...ça fait 5 bidons pour une transat.

La douche : à supposer que tu touches pas terre plusieurs jours, savon eau de mer, un seau dans le coquepite, ok elle est pas chaude (oulala, tu vas survivre mon bichon?)

La lumière: quand il fait nuit, tu dors, et quand il fait jour, tu dors pas, c'est pas compliqué...si vraiment besoin, une frontale étanche et basta.

Tu t'emmerdes, vent constant ? prends une liseuse avec toi...100gr et pas de recharge pendant deux semaines. Suis sur que ça fait une blinde que t'as plus pris le temps de lire. profite.

  • A ce sujet, il y a deux jours, je rencontre mon voisin, un jardinier. S'ensuit le dialoque suivant : -"alors, la voile, c'est cool?" -"putain, l'énergie à bord, pour alimenter tout ce merdier electronikoelectrique moderne, c'est un vrai casse-tête" -"ben, pourquoi t'installes pas trois panneaux solaires et tu les connectes au circuit électrique du bord ...?"
  • "ah oui, suis con, j'y avais pas pensé" ...suis rentré chez moi et me suis servi un gin fizz bien tassé...
26 juil. 2018

Très grand respect pour Lulu2 qui navigue en Manche à l'ancienne !
En revenant des Scilly cette année : brouillard dans le rail, 3 bateaux de front à des vitesses différentes. Ils cornaient tous, mais impossible de les localiser par le son.
Sans AIS, la solution était sans doute de faire 1/2 tour ou des ronds en attendant que ca se lève.
Arrivée à Ouessant, aperçue à 1 ou 2 miles. Là aussi, sans GPS, avec une estime pas raffraichie depuis une centaine de miles + les tapis roulants autour, quel stress !
Bref, je ne reviendrais pas en arrière !

26 juil. 201826 juil. 2018

@papaet...

"sans AIS,la solution était de faire demi tour"...avec AIS, tu continues et tu te tapes le bateau qui lui, n'en a pas, d'AIS....est ce que c'est mieux qu'avant?

ok, pour le GPS, c'est vrai qu'on peut s'équiper avec un petit gps portable, je serais de mauvaise foi d'affirmer que ce n'est pas un progrès. ;-)

26 juil. 201826 juil. 2018

OK si tu ne vois pas ton balcon avant, mais 1 mile de visi, c'est suffisant pour apercevoir à temps les bateaux sans émetteur AIS, qui sont en pratique des voiliers traversant.
Les pêcheurs sont en dehors du rail, les autres sont des navires de commerce qui émettent tous.
Mais AIS ou pas, ce n'est effectivement pas le moment d'aller dormir ...

26 juil. 2018

J'ai trouvé amusant de naviguer à l'ancienne en attendant d'équiper mon dernier bateau, mais comme papaet j'ai apprécié ensuite mon radar et mon traceur quand je me suis trouvée dans le brouillard en Galice et lors d'un atterrissage à Gijon - je doute de l'efficacité de la corne de brume au milieu d'une flottille de pêcheurs et sur la trajectoire d'un cargo !

13 août 2018

Les Scilly...En août 1983, déjà 35 ans, j'ai quitté les enchanteresses Scilly en milieu d'après-midi par très beau temps.Une heure après, "en eaux libres" forte brume et plus grave plus de signal DECCA (C'était la première année où le DECCA plaisance fonctionnait)
J'ai fait route vers Cowes, 5 noeuds au speedo. On n'a pas vu le balcon AV, on vu personne...La seule "chose" géniale qui nous a été utiles ce sont les deux puissantes cornes de brume terrestres qui par deux fois m'ont permis de recaler mon estime estimée...Ces antiquités existent -elles encore? Après +/- 190 NM, un pâle soleil a éclairé Wight. Du coup, au lieu de visiter la Cornouaille, on a navigué dans le Solent...

14 août 2018

papaet, nul besoin d' AIS pour traverser les rails d' Ouessant dans la brume (30m de visi ) et en sécurité. Une simple VHF portable à 60 balles port compris sur Ebay et un GPS portable d' occase à 30 euros suffisent pour appeler la tour radar, se présenter, donner sa position et exposer la situation.

Ils se font un plaisir de te communiquer les positions, routes et vitesses de tous les navires potentiellement dangereux sur zone, te signalent auprès de tous en lançant un "sécurité-sécurité" et te rappellent toutes les cinq minutes pour connaître ta nouvelle position.

Certes il faut "quand-même" une VHF portable et un GPS, mais çà permet de traverser le rail par 30m de visi en toute sécurité ( c' est ce qui m' est arrivé à mon avant-dernier retour d' Irlande).

Gorlann

26 juil. 2018

Tous les pêchous de Galice et des Asturies ont des transpondeurs AIS, en tous cas tous ceux que j'ai pu voir dans ce coin. Le radar est dépassé.

26 juil. 2018

Les petits bateaux des plaisanciers locaux n'ont certainement pas des transpondeurs AIS et en été ils pullulent sur toutes les côtes !

26 juil. 2018

avec l'ais perso je ne dors pas
mais avec mon radar zone gardée sur 5 ou 8mn tout autour du bato
et un avertisseur qui gueule ,je dors sereinement

alain

27 juil. 2018

ils l'ont peut etre tous à bord mais très souvent en mode silencieux ...
parcontre toujours le radar en fonctionnement .
C'est pourquoi je bénis mon mer veille ...

26 juil. 2018
26 juil. 2018

Oh nooonnn, tu crois vraiment que c'est humain ça, Skymalk ? :oups:
annA :cheri:

26 juil. 2018

bah quoi....il a de bons arguments,non? étayés par quelques exemples en sus.

26 juil. 201816 juin 2020

A tous les CMA, j'ai trouvé le truc qu'il vous faut ! Y'a pas de winchs, pas de safran, et même pas de quille ni de dérive. Le seul inconvénient c'est que si on y réfléchis bien ça a à peine 50 ans et que pour la navigation en solo, faudra revenir. :langue2:

Philippe

27 juil. 2018

LA COURSE DANS LES ANNEES 70…

Dans les années 60, la course était réservée à une élite qui couraient sur des yachts ou à quelques dizaines de passionnés qui régataient « à la dure » sous la jauge du GCL ou JOG. De nombreuses courses partaient du Havre, du fait de sa proximité de Paris. Les voiliers qui couraient mesuraient de 5.5 m à 9m pour les plus grands. La flotte était hétéroclite : Corsaire JOG, Primaat, Muscadet, Atlante, Super Challenger, Arpège. Les parcours faisaient couramment de 150 à 220 milles ! Par exemple : Le Havre, Cherbourg 1, Tour Nab et retour. Deux traversées de la Manche sans escale en un week-end !

Je me souviens encore de la première fois où, sortant d’un Mousquetaire, j’ai été invité à visiter un superbe Arpège neuf. Je me suis extasié devant un tel volume, un peu comme aujourd’hui, lorsque l’on met les pieds sur un maxi yacht.

Les entraînements dits d’hiver ont réellement débutés en 1973 à Port La Forêt, La Trinité et Lorient, en1975 à Granville et St Malo.

A la Trinité, jusqu’à 50 voiliers régataient en IOR tous les 15 jours, jusqu’à force 7 inclus. La flotte était principalement composée de voiliers de 7.5m à 9 m. De mémoire, autour de 1974, je me souviens que régataient en classe VII, 6 à 8 Flush Poker ; deux Petite Fleur, deux Tarentelles, trois Flot 18 ; en Classe V, un Bes, deux Impensable et deux ou trois Super Arlequin.
Couraient aussi régulièrement, plusieurs Tequila et Sangria, un Arpège et quatre ou cinq Armagnac. Chez les « gros », il y avait deux Swan, un Carter 37, et sans doute deux ou trois autres que j’ai oublié.

Le Flush Poker était un peu ce qu’est aujourd’hui un A35 ou un X de 40 pieds. Son prix était de 70 000 F auquel il fallait ajouter environ 20000F d’électronique et 20 000 F de voiles soit l’équivalent de 5 années du salaire minimum de 1975 !

Je me souviens qu’en 1974, lors de la Course de l’Edhec, la flotte de 106 bateaux est partie de Pornic au louvoyage en début de matinée alors qu’un front approchait. Après avoir louvoyé toute la journée par force 5/6, le vent est passé nord-ouest puis au nord, glacial, vers minuit alors que nous virions Belle-Ile à 2h du matin, au vent des falaises ! Le retour a été très froid et venté, je crois me souvenir que nous avons même essuyé des grains de neige. Et ce n’était qu’une course d’étudiants !

27 juil. 2018

Je me souviens d'un certain Jacques qui naviguait dans les caraibes.....
le blaque perle, un vieux voilier certes, ah ça me reviens : Jacques Sparo.........un fin navigateur assez discret ....... :-D

28 juil. 2018

Oui mais il avait une boussole magique????

27 juil. 201827 juil. 2018

facileeee :topla:
CE SERA MIEUX DEMAIN en 2045 ( vivement qu'on y soit)

Mais voila une situation beaucoup optimiste
Beber s'est acheté un voilier, basé a port camargue,un employé local vaille a son entretien. le boat est super equiper , c'est un fend la bise 58, une petite unité en PET recyclé, ou couleur flashy tres poplove
Beber a des sous il a beaucoup travaillé dans l'humanitaire .. chez Nestlé... mais il n'a pas eu la chance de faire beaucoup de sportn( c'est d'ailleurs deconseiller a la populace a cause des risques encourus) .Du coup son diabete et ses pontages cardiaques l'empechent d'aller sur l'eau.. de toute facon peu s'y aventurent c'est tres dangeureux et imprevisible.
Par contre il profite souvent de son bateau, la nouvelle interface ZIgomar 11 sur , couille molle lamda6 est la pour ca. Il met son casque 3D s'equiê des poignet vertuelles et chausse les bottes "l'aigle" interactives.
Il sort le boat de son dock au moteur, c'est un moteur electrique ( c'est deja ca), les voiles sont en mylar super costaud et dureront au moins deux saisons, la centrale de nav Cyclop5 gere tout, et retransmet les ordres gestuels ou mentaux du Captain (beber est captain200,5) par le reseau satellite "Hors-bite two" dedié au ministere de l'ecologie pan-europen, dont dependent les sports nautique popur assistés grabataires deliquescents :doc:

En cas de coup dur la balise Pasglob peu etre activée et les gardee cotes enverront sur place au domicile de Beber l'assistance anti mort a laquelle son contrat lui donne droit: Beber a droit 7 vies ( comme mon chat) , a la huitieme y se dermerde. Ensuite on le recyclera en cordage dynamex, ou en catfood selon son desir sous contrat..

Les plus aventuriers que Beber pourront traverser ce qui reste d'eau libre sur les oceans ( une bonne parie etant reservé au stokage des residus non polluant encombrant) pour visiter depuis leur salon , sans risque de MOB , froid faim bobo, ni maman j'ai peur, les iles anciennement paradisiaques que j'ai bien connues quand on pouvait encore passer sous les radars de du beau systeme actuel.

notons que y'a deja de mecs qui visitent l'antartique en 2018 sur des paquebots yacht super luxe tres chers chauffés massés nourris, zon a peine besoin de descendre sur le zod pour voir mourir les phoques de chaud

votre obligé philippe : qui part bientot trois mois sur son bato de vieux malgré qu'on ait les moyens d'avoir une meteo fiable ( quel ennui), finalement on se fait deja un peu chier, et faudra que ca tabasse au moins 50 nds une fois, pour qu'on puisse un peu frimer au retour

27 juil. 2018

il y a même des passionnés qui ont refait l'épopée de Shackelton en costume et navire d'époque !!!

27 juil. 2018

C'était l'Aventure avant, en somme !

La voile c'est comme les moulins, c'était mieux avant.

Les Eclaireurs près d'Ushuaia, Argentine.

Phare du monde

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2022