Par dessus bord ...

Tout à fait d'accord, pipo lavabi ou seau dans le cockpit !

Perso, j’ai un bidon plastique découpé dédié à cet usage. Plombé et pourvu d’un bout’ pour le rincer après utilisation.

Il y a bien longtemps, j'ai navigué entre St Malo/ Capetown /Portsmouth (3 étapes de 60 jours) à 7 sur un voilier dont les toilettes avaient été condamnées...

Plus sérieusement, les voiliers avec deux barres à roues et un passage sur l'arrière sont particulièrement sécure pour cette opération.

Direct sur la jupe par gros temps ! et hop, on attend la bonne vague, c’est rincé ! Y’a pas plus écolo, ( a la Moitessier , pas de PQ )
bon, ça va encore couiner , c’est sûr , vite ,le logo 😜…..

Je me met souvent a genou et je vise le trou du vide vite... Si mal visé un seau d'eau de mer et ni vu ni connu

Bonjour,
Pipi dans l’eau est un de mes plaisirs simples. Par mer maniable, calé dans les filières et tenu à un tube du bimini.
Tout va bien depuis des années.
D’aucuns me diront que c’est dangereux, et patati, et patata.
Ça ne changera rien. J’ai vécu des choses bien plus dangereuses.
Bonne journée,
Patrice

Un souvenir du temps des balconnages à l'avant.
Un équipier s'y rend; s'installe debout commodément.
Le hasard a voulu que le soleil l'eclairait et a fait sur le génois une magnifique ombre chinoise bien montée.😱

Diable,diable,que de réponses variées en si peu de temps !
Merci pour le compliment,je fais ce que je peux pour alléger et l'humour est une douceur difficile à ne pas utiliser...
Merci pour les astuces et infos aussi !
J'ai un faible pour le seau de Flora,à bord arrondis,si confortable.
Mais pas pour la petite commission...
Perso c'est au balcon par contre...
Ma mère faisait souvent pipi en équilibre sur le tableau arrière,quand c'était calme,pas attachée evidemment...ça me rendait très nerveux pendant les quarts de nuit et je me faisais engueuler si je m'inquiétais..."Mon fils c'est ma sécurité,si je juge que c'est sans risque je le fais,si ça craint le seau,donc tu arrêtes tes remarques et va faire dodo"...
Une fois,déjà racontée ici,j'ai fait la connerie de ne pas ralentir le bateau au près dans un clapot infernal,avec une personne dans les wc de la cabine avant,elle s'était bien fait mal au coccis...
J'avais honte de n'avoir pas mis 10 degrés de plus sur le pilote alors que j'y avais pensé...
Comme quoi dedans ça peut être aussi dangereux...

Le plus pratique de mon point de vue, c’est d’utiliser un seau.

Le niveau de remplissage du seau dépend de la nature de la "chose", on se réfèrera à l'échelle de bristol pour une parfaite compréhension.. une échelle de plus ;+) ;+)

Après des années de protos de course sans le moindre confort élémentaire intérieur mais à cockpit complètement ouverts à l'arrière et plein de palans de bastaques et pataras pour bien se tenir quand même, j'apprécie désormais sur mon croiseur la présence d'un vrai WC marin abrité.

Toilettes sèches.

l'urinoir de mon bateau ... qui convient, aussi, parfaitement aux filles !

oui mais ca ne change pas le pb de tomber par dessus bord car il faut laver la couche en la faisant tremper derrière le bateau

Avec l'installation d'un régulateur, j'ai ajouté 2 barres d'inox transversales. Pour faire pipi, je vais tranquilement me caler dessus, elles m'arrivent en haut des hanches, donc impossible de passer par dessus. en plus, le régulateur sert de poignée. Et il est très facile de caler ses pieds sur les rebords à la gite.

En hauturier, j'y fait même les number 2, car je suis bien calé au niveau des épaules

C'est ça que j'appelle le luxe en voilier.

PS : mais si ça brasse trop, toilettes quand même.

L'écope avec un bout de 2m. Après utilisation, on l'envoie par dessus la filière d'un geste élégant et elle se rince automatiquement, prête pour la fois suivante.

À la moitessier , juste avec une boite de conserve sous les fesses.
Tout en discutant avec toi ou lui même ....
C'est peut être une légende de quai mais pas de wc sur.Tamata.

En espérant que nos amis les orques ne mettent pas ce message en application …déjà qu’ils ont les voiliers dans le nez ! On est mal!!!!!

Et papier ou lingettes ?

Pour le liquide, c'est par dessus bord ou la bouteille coupée et ébavurée au mieux. Pour le gros-oeuvre, je ne me pose la question que le 3ème ou 4ème jour, rien ne fonctionne avant, ce qui me pose le problème du remplissage de l'estomac pour éviter le mal de mer. Par contre quand tout redevient normal, il vaut mieux que je sois dans un mouillage désert pour disperser la quantité et l'odeur. L'idéal étant alors l'échelle de bain. Vive les nav sous les tropiques ... sinon c'est toilettes et douchette pour le rinçage.
PS : il est alors impératif d'ouvrir le plus de hublots possibles.

Vous savez tout.
Bon petit-déjeuner 😂

Pour se torcher bio, une étude experte et argumentée :

"- J'ai découvert, répondit Gargantua, à la suite de longues et minutieuses recherches, un moyen de me torcher le cul. C'est le plus seigneurial, le plus excellent et le plus efficace qu'on ait jamais vu.

• Quel est-il ? dit Grandgousier.

• C'est ce que je vais vous raconter à présent, dit Gargantua.
  Une fois, je me suis torché avec le cache-nez de velours d'une demoiselle, ce que je trouvai bon, vu que sa douceur soyeuse me procura une bien grande volupté au fondement ;
  une autre fois avec un chaperon de la même et le résultat fut identique ;
  une autre fois avec un cache-col ;
  une autre fois avec des cache-oreilles de satin de couleur vive, mais les dorures d'un tas de saloperies de perlettes qui l'ornaient m'écorchèrent tout le derrière.
  Que le feu Saint-Antoine brûle le trou du cul à l'orfèvre qui les a faites et à la demoiselle qui les portait.
  "Ce mal me passa lorsque je me torchai avec un bonnet de page, bien emplumé à la Suisse.
  "Puis, alors que je fientais derrière un buisson, je trouvai un chat de mars et m'en torchai, mais ses griffes m'ulcérèrent tout le périnée.
  "Ce dont je me guéris le lendemain en me torchant avec les gants de ma mère, bien parfumés de berga-motte.
  "Puis je me torchai avec de la sauge, du fenouil, de l'aneth, de la marjolaine, des roses, des feuilles de courges, de choux, de bettes, de vigne, de guimauve, de bouillon-blanc (c'est l'écarlate au cul), de laitue et des feuilles d'épinards (tout ça m'a fait une belle jambe !), avec de la mercuriale, de la persicaire, des orties, de la consoude, mais j'en caguai du sang comme un Lombard, ce dont je fus guéri en me torchant avec ma braguette.
  "Puis je me torchai avec les draps, les couvertures, les rideaux, avec un coussin, une carpette, un tapis de jeu, un torchon, une serviette, un mouchoir, un peignoir ; tout cela me procura plus de plaisir que n'en ont les galeux quand on les étrille.

• C'est bien, dit Grandgousier, mais quel torche-cul trouvas-tu le meilleur ?

• J'y arrivais, dit Gargantua ; vous en saurez bientôt le fin mot.
  Je me torchai avec du foin, de la paille, de la bauduffe, de la bourre, de la laine, du papier.
  Mais Toujours laisse aux couilles une amorce Qui son cul sale de papier torche.

[...]

• Après, dit Gargantua, je me torchai avec un couvre-chef, un oreiller, une pantoufle, une gibecière, un panier (mais quel peu agréable torche-cul !), puis avec un chapeau. Remarquez que parmi les chapeaux, les uns sont de feutre rasé, d'autres à poil, d'autres de velours, d'autres de taffetas. Le meilleur d'entre tous, c'est celui à poil, car il absterge excellemment la matière fécale. Puis je me torchai avec une poule, un coq, un poulet, la peau d'un veau, un lièvre, un pigeon, un cormoran, un sac d'avocat, une cagoule, une coiffe, un leurre.

"Mais pour conclure, je dis et je maintiens qu'il n'y a pas de meilleur torche-cul qu'un oison bien duveteux, pourvu qu'on lui tienne la tête entre les jambes.
Croyez-m'en sur l'honneur, vous ressentez au trou du cul une volupté mirifique, tant à cause de la douceur de ce duvet qu'à cause de la bonne chaleur de l'oison qui se communique facilement du boyau du cul et des autres intestins jusqu'à se transmettre à la région du coeur et à celle du cerveau."

François RABELAIS, Gargantua, chapitre 13
Comment Grandgousier reconnut à l'invention d'un torche-cul la merveilleuse intelligence de Gargantua.

Et au mouillage ???
Un copain Suisse d'une autre époque était outré de voir les filles Francaises s'accrocher aux haubans pour se soulager.
Effectivement , j'ai pu constater que f.Arthaud était très à l'aise à cet exercice surtout avec des filières rigides. Quelques années plus tard , elle a eu la chance d'être récupérée en Med oû l'eau est supportable.
En l'air , elle n'a pas pû gérer , n'étant pas le capitaine ...

Je n'ai pas analysé l'eau là bas mais avec le froid qu'il y fait , tu n'as pas envie de t'y baigner...
Et les indiens ne se posent pas trop de questions. Une zone femmes, une zone hommes. Un immense dépotoir aux arrêts de bus. Ne pas y aller la nuit... néanmoins , les couchers de soleil y sont merveilleux et j'ai pu y naviguer , au moteur.

A 25 ans en Bretagne c'était sur le balcon à l'avant et les fesses étaient rincées...De nuit tjs en bas et j'en rigole encore en pensant à l'équipier qui avait pissé dans la ventouse du wc (un système qui n'existe plus, il fallait pisser ds la cuvette et non la ventouse...)Par temps calme tjs la jupe...mais avec l'âge et la prudence ça devient surtout en bas!!..bravo pour le sujet Br.

Ps : vérifier le vissage du bouchon avant usage pipi car, bouchon enlevé, le même ustensile sert à faire le plein du réservoir hors bord : exactement le bon diamètre ; rentre pile poil.
Sur un petit bateau on rationalise...