Où passer le CIN ?

Bonjour,

Tu peux aussi faire une formation CIN voir capitaine 200 à l'IPFM (www.ipfm.fr[...]pfm.php ) à la seyne sur Mer près de toulon.
je te conseil de passer directement le capitaine 200 puis après 12 mois de navigation tu peux faire le 750 kilowatt plus intéressant pour trouver du travail.

pour le financement la région peux prendre en charge une partie .
bon courage Xavier Kergal.

Avec le CIN passer en 2 mois je peux bosser directement et valider mes 12 mois, pour ensuite si besoin passer le capitaine 200, ça me semble plus judicieux comme démarche...

OUi merci j'avais vu ça, mais contenu du fait que mon ami parle russe c'est un avantage certains qui je l'espère devrait pouvoir lui permettre d'avancer... et avec un simple CIN j'espérais pouvoir l'aider une fois son business avancé et surtout à ce moment valider mes 1 an de navigation pour ensuite passer le capitaine 200 ou 500 ou pourquoi pas même yacht master... Est-ce que comme cela mon projet vous semble plus réaliste ?

Je viens de faire une demande pour une pré-inscription à séte histoire de voir la comment financer cette formation...

On me signale par MP qu'il n' y a pas trop de voileux en CIN pouvez vous me le confirmer ? j'ai pourtant déjà moi même rencontré dans une promo cap200 des titulaires du CIN qui avaient l'avantage certains d'avoir déjà validé plusieurs mois de nav du coup obtention plus rapide du capitaine 200...

Merci bon WKND

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D'accord avec Erlannic plus haut : le C200 et le 750KW.
Mais commencer d'abord avec le CIN tu trouveras plus facilement un embarquement et surtout tu rentreras plus facilement dans le métier qu'en partant du C200 alors que beaucoup de titulaires qui n'ont que ce diplôme attendent toujours.

Les effectifs en formation de C200 sont le double des CIN.
Tout le monde veut être capitaine !
A Nice par exemple, cent C200 sont délivrés en moyenne par an.
Même s'il est difficile de suivre les diplômés après la formation, Jean-Marie Dufour du Gepy estime qu'un tiers seulement embarque et reste dans le métier.

Il faut savoir jouer la polyvalence : mécanique (gros déficit de mécaniciens), pont et postes à terre (entretien, chantier, ...).

Et les anglo-saxons sont là en embuscade : ils ont plus la culture du yacht qu'en France et ils se sont faits une réputation dans le monde entier : dynamisme du pavillon, langue, formation reconnue dans le monde entier.

C'est toujours très désagréable de ne pas trouver la place qu'on estime mériter.

Mieux vaut un terrien diplômé qu'un bon marin sans diplôme !

Mais autant que tu le saches, le yachting professionnel c'est le monde de la précarité.
Il est très difficile d'y faire sa place et plus encore de la garder.
Il faut savoir cultiver le relationnel car les équipages vivent souvent dans le court terme et se refilent les (bons) coups de bouche à oreille quand il y en a d'autant plus que paradoxalement c'est un milieu où chacun apprend être secret.

Tu vises une clientèle de luxe : plus elle a de l'argent plus elle sera exigeante et plus tu subiras de pression.
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A ce stade un peu touffu de tes interrogations, prends contact avec les centres de formation maritime pour un entretien.

Juste un mot sur les "informaticiens embarqués" :
A bord d'un yacht, le travail du chef-mécanicien ne se limite pas au bon fonctionnement de la partie propulsive. Il doit aussi gérer l'électronique embarquée, celle qui sert à la navigation mais aussi celle des équipements de confort : climatisation, circuits vidéo, écrans plasma dans les cabines, systèmes de communication, téléphonie, accès à internet ... sans oublier le moteur des annexes ou des jets-skis quand il y en a.

Tout doit marcher parfaitement quand la clientèle en a besoin.
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