Le tour du monde du Beligou

Le Beligou a fait le tour du monde entre 1966 et 1968. Pour son "cinquantenaire" le récit, largement illustré est maintenant publié:

Embarquement immédiat pour un monde qui n'existe plus...

L'équipage
09 fév. 2016
09 fév. 2016

le lien marche pas ....

09 fév. 2016

taper dans la barre d'adresse

09 fév. 2016

Bonsoir,
Très sympathique initiative.
Superbes documents,merci de les partager !
Philippe

10 fév. 2016

Merci pour le partage !

10 fév. 2016

:pouce:
Jac

10 fév. 2016

Bonsoir et merci. A cette époque, je faisais le "guignol" en Alemagne.

10 fév. 2016

Marins d'avant , Avec peu de choses et un grand esprit :pouce: :pouce:

11 fév. 2016

on pourrait même écrire 'gaillards d'avant"

11 fév. 2016

:pouce:

11 fév. 2016

Génial merci ! C'est excellent, l'ensemble est téléchargeable et je me régale à lire le récit. Le doc technique est super aussi, les dessins "à l'ancienne" sont top. Beau !

11 fév. 2016

Ah l'époque où l'on n'était pas racketté pour poser son ancre au fond, et où on ne s'embarrassait pas de questions métaphysiques du genre :
faut-il changer les 3 boulons de quille et les cordes de guitare servant de gréement au bout de 5 ans ? Ou peut-on attendre 10 ans sans trop de
risque ?
L'époque où, quand on perdait la terre de vue, c'était pour accéder à des mouillages déserts, sinon peu encombrés où l'on se retrouvait entre virtuoses du sextant, bricolos-inventeurs de génie et poètes des déferlantes.
Au delà de la nostalgie, cet ouvrage est aussi une excellente approche structuraliste de l'architecture navale, les barriquiers de Porto évoquant par leurs formes et leur voilure les floukas du Nil, tandis que les frégates du Tage affichent un air de famille avec les dhows du golfe persique et les dhonis des Maldives.

11 fév. 2016

Surtout, à l'époque, il n'y avait même pas la moitié de la population mondiale actuelle.

Et je parle même pas du niveau de vie...

Donc l'utilisation des ressources naturelles étaient autrement plus faible que maintenant...

Rien que pour l'architecture : Si AUJOURD'HUI, tu veut un mat en spruce, des bordés en iroko, et des membrures en chêne, c'est un autre ordre de grandeur de prix qu'une coque en polyester avec un mat en alu... (Et je parle même pas de la main d'œuvre, simplement des matières premières).

Et le sextant d'époque était autrement plus cher qu'un GPS basique d'aujourd'hui...

11 fév. 2016

Pour évoquer les sixties, une approche financière globale devrait tenir compte du fait qu'en ce temps là, le dormant pouvait être en galva et serre-câbles, ridés sur des palans, les voiles en coton écru, et le pilototo en matériel de récup'.
Sinon, on peut aujourd'hui se faire construire un boutre en teck de 15 m pour l'équivalent de 50 ou 60.000 euros au sultanat d'Oman, moins cher en Inde, mais les matériaux y sont moins "nobles".
Quant au sextant, celui que j'utilise pour ne pas perdre la main est un Davis mark 15, à la précision tout à fait honorable, qui vaut dans les 180 € chez SVB.

11 fév. 201611 fév. 2016

Toujours plus cher qu un GPS basique

11 fév. 2016

Moi j'ai un mat en spruce de 1965 mais je le garde !! :scie: :jelaferme:

12 fév. 2016

Nous un bateau de 1968 et on le garde.
Un sextant en plastique et des cartes papier
Et le récit fantastique

Tranoy, Norvège

Phare du monde

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Tranoy, Norvège

2022