La vie à bord des paquebots de croisières : c'est le paradis !!!

Surtout que c'est illégal de faire un rabais supérieur à 5% sur un livre :
"Les détaillants doivent pratiquer un prix effectif de vente au public compris entre 95 % et 100 % du prix fixé par l'éditeur ou l'importateur. Lorsque le livre est expédié à l'acheteur et n'est pas retiré dans un commerce de vente au détail de livres, le prix de vente est celui fixé par l'éditeur ou l'importateur. Le détaillant peut pratiquer une décote à hauteur de 5 % de ce prix sur le tarif du service de livraison qu'il établit, sans pouvoir offrir ce service à titre gratuit."
www.legifrance.gouv.fr[...]exte.do

ce qui tombe bien, ce site étant enregistré… j'vous le donne Émile… au Panama

des sites comme ça il y en a pléthore....
D'habitude c'est vrai ils vantent plus le fait de travailler depuis son canapé pour 5000€/mois... peut être une façade d'un croisiériste en mal de main d’œuvre ou tout simplement de petit escroc de bas étage comme on en croise partout sur internet

Il n'y a pas un ou une philippin pour donner son point de vue?

Je viens de prendre la Corsica Ferries, progressivement du personnel des pays de l'Est (principalement dans la restauration / hôtellerie) commence à remplacer les italiens ...

@Altair2
Tu as raison.

Passeport confisqué par la compagnie pour ne pas que la main d’œuvre corvéable à merci ait l'idée de s'enfuir, travail rendu insupportable par la chaleur qui règne dans les "sous-sols" des bateaux, des journées interminables, pas de congés, journalistes et syndicalistes interdits de visite dans les coulisses des croisières.
Heureusement que des enquêtes en caméra cachée permettent de montrer la réalité de cette exploitation honteuse.
Le documentaire "La face cachée des croisières" de Mélissa Monteiro et Jérôme Da Silva est particulièrement éloquent à cet égard.
Contrats longs, rarement en dessous de six mois et qui peuvent aller jusqu’à douze mois non stop.
Les horaires ne correspondent qu'aux impératifs de service, sans tenir compte des journées de repos nécessaires, nuits blanches pour faire le net après les soirées à thème, cabines minuscules partagées à plusieurs (6 mètres carrés), promiscuité, mélange des nationalités (on divise pour mieux régner).

L’échelon le plus bas est composé de femmes et hommes de ménage, blanchisseurs, commis de cuisine, qui ne voient jamais le jour, conditions de travail qui ont un impact direct sur leur santé à long terme, discipline stricte, menace permanente de licenciement, pas d'arrêt maladie, il faut continuer à bosser sans courber l'échine en avalant des antidouleurs, ils paient leur formation, achètent leurs uniformes à leurs propres frais ...
Tout ça pour que la croisière s'amuse.

Bref, que du bonheur !

Comme tu dis, ceux-là travaillent mieux et ne font pas grève pour rien.