freedom33/35

je recherche ce type de voilier de preference un 33 dériveur à wisbone modèle cat ketch
tel 0033609451017
alain

L'équipage
02 août 2011
02 août 2011

là , mais on les trouve surtout en angleterre et aux us

www.yachtworld.fr[...]lts.jsp

02 août 2011

bsr,
on en trouve partout!!!!! , toutes ces annonces sont caduques et ne correspondent pas à ma recherche la plupart ont plusieures années et quand on demande des renseignements ils ne répondent jamais , le probleme de ces sites c'est qu'il faut ratisser large ,si on n'a plus on présente autre chose ...je connais bien la manip je l'ai moi méme pratiquée
alain

02 août 201102 août 2011

Alain, je te conseille l'achat d'un Freedom 35 anglais.
Le 33 US dériveur souffre de deux tares assez importantes :
Les aménagement ainsi que les mâts sont trop lourds et rendent le Freedom un peu trop rouleurs.

D'autre part, la gestion du puit de dérive a été bien mieux repensée avec le 35, où il se fait bien plus discret.

03 août 2011

bjr,
je prefere le 33 l'amenagement est plus clair et le cokpit plus convivial ,ce bube dans le cokpit me gene ,c'est le volume de la cabine arriere ..
je crois que le tien c'est un 33 ????
je fais un peu le tour ,mais il n'y en a pas beaucoup ,je dirais meme pas du tout ...
par contre je ne veux pas du md11c volvo ,si c'est la cas il y aura une grosse décote environ 50% de la valeur de remplacement MO comprise .j'ai tout l'hiver pour trouver ça
alain

03 août 201103 août 2011

j'essaie de rester le plus objectif possible à propos de mon Freedom 33. 83ème de la série.
Une transat permet de faire le tour.

Le Freedom 33 a de très belles lignes.

Tous ceux qui passent le voir, sont épatés par la sensation de grand espace intérieur.

La cabine avant est très spacieuse pour un 10m.

Ce qui m'a géné le plus, c'est le carré isolé par ce L que constitue la liaison cuisine/puit : une fois installé dans la carré, il faut faire plus de trois mètres pour aller chercher le sel. j'estime qu'un carré doit être pleinement "connecté" à la cuisine du bord.
Je vais donc réaliser une ouverture au niveau de la cuisine.
Les aménagement sont très beaux et bien construits, mais s'avèrent très lourds ce qui n'est pas le plus approprié pour un dériveur. Ossatures diverses en chêne épais.

Un autre défaut, que je trouve impardonnable de la part du chantier de l'époque. Aucuns des perçages du pont n'a été accompagné d'inserts. Le pire, ce sont les zones de winch où le balsa restent présent.

Le cockpit est une grande baignoire. Très spacieux pour un voilier de cette époque.
Les coffres de cockpit sont peu volumineux.
Il ne faut pas oublier que le Freedom 33 est relativement peu haut de franc bord.
D'où ce roof assez haut mais pourtant si réussi d'un point de vue esthétique.

Le safran version dériveur : tellement large qu'il ne peut être utilisé qu'avec une barre à roue. Aucun barreur ne peut tenir un tel safran, avec une barre franche, plus d'un quart d'heure, avec un vent juste un peu soutenu. Dans un équipet, était présent un secteur en bronze, cassé, et je me suis rendu compte que celui installé sur le safran était fêlé, à l'arrivée en France.
Autant dire que la transmission a intérêt d'être très très solide.
Pour ce qui concerne mon Freedom, la barre à roue a été enlevée, et je remplacerai le safran actuel par deux bisafrans + une barre franche. Dans cette configuration, associée à une voilure repensée, le Freedom devrait s'avérer particulièrement équilibré.

Le mouillage : à l'ancienne avec un écubier, sans baille à mouillage. la chaine et le câblot tombent autour du mât avant. Et l'eau de mer embarquée s'en va dans les fonds.

La voilure : si d'origine à savoir avec wishbone, les prises de ris sont certainement problématiques sur la GV avant. La version "marconisée" restent encore difficile à gérer dans le mauvais temps. Le Freedom33 est parfait pour recevoir un gréement de jonques ou un profil un tant soit peu épais. Et là, je pense que le 33 devient un voilier très facile à vivre.

Les mâts carbones : sensés pesés chacun autour de 70 kilos, il a fallu être quatre pour les porter. je pense qu'il pèsent plus de 100 kilos. La contrepartie : ils sont à mon avis particulièrement solides.

Il me semble que le Yanmar 3GM reste majoritairement présent sur les 33.

Le Freedom 33 a été conçu tel un croiseur familial pour un programme plutôt côtier. C'est donc un voilier très agréable à vivre. Les doutes, sur de l'hauturier, qu'ont exposés certains "forumeurs" américains, sont à évacuer. Il faut juste savoir que le Freedom 33 sera plus rouleur que la moyenne.

Un doute personnel avant de partir sur cette transat : je pensais que le 33 aller s'avérer un peu trop giteur. Ce ne fut jamais le cas. Jamais d'auloffées brusques, et dans des conditions musclés, il se cale sur le plat des lignes en V de cette carène. je fais la comparaison avec les Shpountzs and co, dessinée par Daniel Bombigher dont on sait qu'ils sont peu gîteurs grâce à ces lignes inspirés de voiliers américains.

Pour finir, les 33 sont si peu nombreux en France et l'autre coté de la Manche, qu'il va te falloir avoir une bonne dose de chance.
Ce que je te souhaite ardemment.

03 août 201116 juin 2020

Trois photos qui mettent si bien en exergue les belles lignes du Freedom 33.

03 août 2011

quand tu auras fini de me faire baver ......
mais je sens que je vais en trouver un avec des mats de 70kgs ,il y en a avec des mats alu .je sens que ça va venir
alain

05 août 2011

bjr
pour les problemes de safran ,il y a peut étre un moyen de le modifier en le racourssissant et en mettant une pale pivotante qui augmenterais la profondeur en diminuant le bras de levier , ou bien de faire un systeme avec fletner comme sur les via
je ne vois pas trop comment tu vas monter ça en bi safrans ,interieurs ou exterieurs ?
alain :reflechi:

05 août 2011

Il y avait un 35 à côté de nous ce matin sur l'île d'Arz, comme il pleuvait (pour une fois en Bretagne !) la toile collait sur le mât et l'équipage, britanique évidemment, a eu beaucoup de mal à envoyer les voiles. Le moteur m'a semblé poussif , par contre j'aime bien la finesse de carène et la philosophie de l'engin

05 août 2011

Ah ! j'oubliais, nous avions un voisin britanique en Grèce qui en avait un aussi, il a eu plein de misères avec son bout dehors qui tient l'ancre,(je ne sais pas le nom de ce truc là) Je pense que c'est une pièce à renforcer car il l'a cassé deux fois au mouillage, dans des conditions assez dures il est vrai mais un bateau c'est aussi fait pour ça.

05 août 2011

Le safran actuel du Freedom 33 dériveur : il est énorme, monstrueux j'ai presque envie de dire et sa modification me semble bien difficile. L'adjonction de bisafrans (sur tableau arrière) a déjà été réalisée sur le Trismus 37 et son propriétaire en était fort satisfait. Je préfère ce choix malgré le surplus de travail. 1- ces deux safrans seront bien plus efficaces qu'un safran derrière une quille longue. 2- cela va rajouter de la stabilité de route au 33 qui est déjà plutôt bien loti sur ce point, et grâce aux futurs ailes, je présage un comportement étonnant de facilité.
Je compte réaliser des bisafrans un peu sur le modèle des mono proto 40 pieds, à savoir escamotables uniquement en cas de choc.

Ce que tu signales Jacques concernant les voiles-foureau du 33 n'est pas trop pour me surprendre.
Quant au moteur, le 3GM avec ses 22,7cv est peut être un peu trop léger mais il ne m'a jamais semblé à la peine. Du coté de Saint-Malo, la situation serait sans doute différente…

Le bout-dehors : cela tombe bien, j'ai renforcé le mien !

06 août 2011

effectivement si tu montes deux safrans avec un systeme de sécurité tu peux les faire passer un peu sous la coque pour les compenser pour diminuer les surfaces il faut leur donner 15° d'angle c'est la pente la meilleure pour que celui qui est efficace travaille verticalement à la gîte .pour la liaison des silents blocks de planche à voile doublés
pour la sécurité sont parfaits .
alain

06 août 201116 juin 2020

Comme ce n'est jamais facile de dessiner et surtout quantifier l'échantillonnage d'un bisafran pour un 10m, j'ai réussi à trouver les plans d'un modèle présent sur un 10m dessiné par un architecte connu et réputé, ces bisafrans étant également sur tableau arrière.
Il ne va s'agir alors que de modifier légèrement leur dessin. Principalement la partie haute, pour la calquer sur l'esthétique Freedom.

Il est une autre modification auquel j'aimerais m'atteler, mais j'ai bien peur que cela ne reste qu'à l'état de projet, vu les heures "supplémentaires" qui s'accumulent : c'est l'ouverture du tableau arrière. Découpe de la partie centrale qui deviendrait alors une espèce de porte. L'accés au cockpit serait plus facile au mouillage. Idée intéressante mais il faut parfois calmer ses ardeurs sinon on passe plus de temps sous le hangar que sur l'eau…

Mon actualité est la fabrication d'une capote rigide (Deckhouse ne me semble pas le terme approprié). En premier lieu, le toit. Viendra ensuite le choix de son positionnement en hauteur. Un compromis à trouver afin de conserver une certaine esthétique tout en préservant la facilité de descente dans le bateau. Cette capote abritera celui qui sera assis contre l'hiloire de roof, même par pluie arrière. Par contre on ne s'y tiendra pas debout, à moins de faire parti des petites tailles…

06 août 2011

tes photos c'est le deck house parce que si c'est les safrans c'est pour un pétrolier !!!!!
l'ouverture du TAB j'y ai pensé et avec bi safrans tu dois pouvoir la faire au milieu en enlevant le rail d'écoute avec une petite plateforme et echelle de bains .
le rail d'écoute tu le reportes sur un arceau en tube de 40mm qui va te servir de bossoirs et de portique arrière ainsi que de support pour le bimini .
après on se joue "retour vers le futur"et on fait le plein dans la poubelle du chantier
alain qui délire de plus en plus

07 août 2011

Avec des formes arrières pareilles, j'ai du mal à imaginer un bi-safran !
J'en imagine mal l'utilité .
Sur un bateau à cul large et plat, cela permet d'avoir au moins un safran immergé quand l'autre devient inefficace .
Avantage accessoire pour un bateau qui peut de poser, les safrans peuvent remplacer les béquilles .

Mais en contrepartie on a deux safrans de surface mouillée plus élevée qu'un seul et de plus faible allongement . Passé 15 à 20° de gite, le safran au vent devient inopérant et la bateau passe facilement sur sa barre .

Je suis ravi de naviguer avec mon bisafran (O311) car dans ce cas cela apporte des avantages énormes comparés aux inconvénients : échouage quasi quotidien, marche arrière décomplexée, tirant d'eau faible, ...

Mais sur ton bateau, je verrais plus volontiers un safran avec une lame pivotante ou coulissante . Le safran actuel est un monstre !!!

08 août 2011

Jacques, ton argumentation est tout à fait recevable et crédible. j'ai bien sur pensé à l'idée du safran arrière unique pivotant ou coulissant. Le coulissant serait parfait car simple et très efficace, mais je ne veux pas de safran dont une issue est de finir cassé par mauvaise rencontre.
Reste la solution du pivotant. Mais il reste de toute manière un problème : ce qui me gène dans cette solution safran à surface augmentable, sur le Freedom, c'est que toute la partie derrière la quille longue serait d'une piètre efficacité car le safran serait moins épais que l'originel. Seule la partie sous la quille aurait un rendement optimal.
Ce qui m'interesse dans le bisafran appliqué au Freedom 33, même si la surface mouillée est augmentée, c'est qu'on obtient une barre d'une totale efficacité, spécialement au portant où la stabilité de route deviendra assez exemplaire sur ce voilier. Or mon Freedom est préparé pour de futurs voyages où le portant serait nettement privilégié.
D'autre part, J'aime la plus grande simplicité à bord et les bisafrans me feront le plaisir de se faire totalement oublié.

Ceci-dit, mon choix n'est pas tout à fait arrêté, et il pourrait s'infléchir le jour où je vais m'atteler à configurer tout cela sur la table à dessin de mon écran d'ordinateur. Les avis divergents pèseront alors de tout leur poids !

08 août 201116 juin 2020

Voici ce que cela donne sur un Trismus 37, nommé "Kéou"

- L'esthétique de la partie supérieure des safrans serait à améliorer. Pour les rendre plus discrets.

- Il est clair que la surface mouillée est augmentée. Mais on peut choisir de considérer ce point comme subsidiaire.

- la photo sous-marine parle d'elle même et me fait dire que cette solution semble bien plus probante.

D'autres part, l'avis de Manu, le propriétaire de "Kéou", à la suite d'un échange bref via mail :

"Inconditionnel des doubles safrans sur le trismus sans aucune hésitation!le jeux
en vaut la chandelle et même les manoeuvres au moteur s'en étaient trouvées
facilitées.
Quand au moteur aucun probleme surtout si on sait prendre son temps et ou de
l'espace pour lancer le bateau en marche arrière le controle en devient aisé et
précis.
Par contre je revendique haut et fort des safrans sur tableau arrière
accéssibles et démontables depuis la jupe 'voir les photos de mon bateau!
j'ai pris un filet dérivant et me suis dégagé en 3 mn,et j'ai pris une pendille
un fois et là en 2 mn et la gaffe l'inconvénient était réglé.
Les miens étaient d'un seul morceaux et avec des aiguillots/fémellot un peu
surdimensionnés l'aiguillot étant assez long pour y mettre une grosse goupille
et éviter la perte en cas de chavirage,bien que je ne me suis jamais senti
proche d'un tel point de non retour.
A réfléchir des safrans coulissants dans une tête de safran cage,et donc
réglables en profondeur .
Et enfin des safrans relevables comme on peut voir sur les mini-transats et
autres nouveaux 40 et 60 pieds open."

08 août 2011

bjr c'est un peu comme ça que je voyais ton install ,mais avec la barre à roue
il faudrait faire un systeme de renvoi juste en sortie de verin pour actionner les deux safrans .
alain

08 août 2011

Il n'y aura plus de barre à roue sur mon Freedom.
Son intérêt m'apparait nettement amoindri avec deux safrans bien plus réactifs.
La simplicité d'une barre franche me convainc beaucoup plus. Son utilisation aussi.
Il n'y en aura qu'une.
De toute façon je ne vois guère l'intérêt d'une barre à roue sur des voiliers où l'on barre si peu souvent, ce qui est mon cas.

j'aimerais bien installé une mini-jupe, comme sur ce Trismus, mais uniquement la partie entre les deux bisafrans. D'où accès à bord, facilité, avec une ouverture sur le tableau arrière.

Les idées ne manquent pas. le temps.
Le temps disponible lui, est bien plus difficile à trouver…

08 août 2011

La simplicité d'une barre franche est assez illusoire sur un bisafran ;-)) .
De toute façon il va falloir des axes, des bielles, des rotules, ... A moins de simplifier à l'extrème : deux barres avec une liaison directe
Un des intérêts de la barre franche est de pouvoir utiliser un pilote moins gourmand en énergie que les électro-hydrauliques voire un régulateur d'allure qui lui ne consommera pas d'électricité .

08 août 2011

De mon point de vue, la simplicité d'une transmission barre franche unique/safran est autrement plus évidente que celle d'une barre à roue. On reste dans de la mécanique basique et réparable facilement.

21 août 201121 août 2011

Je fais remonter ce fil à l'intention d'Alain et de tout ceux qui s'intéressent au Freedom 33.
Le précédent propriétaire m'a laissé un classeur contenant deux ou trois choses dignes d'intérêt, entre autres l'extrait d'un livre édité en 1987 par la revue Practical Sailor "The Complete Book of Sailboat buying, volume II". Cet extrait contient l'analyse du Freedom 33.

Vous pouvez la retrouver en Pdf sur mon blog en milieu de page :
lorenzo.heoblog.com[...]dex.php

Je m'attelle à la traduction du texte afin d'en faire bénéficier les moins à m'aise à la langue de Shakespeare. C'est déjà un travail assez conséquent pour moi qui ne là maitrise que très partiellement. Le délai peut s'avérer assez long…

22 août 201122 août 2011

Dimanche soir, around midnight : je viens de mettre en ligne un nouveau Pdf. Cette fois-ci, c'est l'avis de Garry Hoyt himself sur le gréement des Freedoms. Le lien précédent étant toujours le bon chemin pour y accéder.

Quelque part entre Sognefjord et Måløy, Norvège.

Phare du monde

  • 4.5 (196)

Quelque part entre Sognefjord et Måløy, Norvège.

2022