Encore un coup de frein aux "ventes" de bateaux

"La mesure retenue à l'unanimité du conseil est celle d'une période probatoire d'un an, au tarif passager appliquée au nouvel acquéreur, que le cession du bateau vendu soit partielle ou totale.
....
Si l'autorité portuaire après avis de la commission accepte de conserver ce navire sur le périmètre portuaire, l'acquéreur devra garder ce bateau pendant deux années sans possibilité de le vendre".
Voilà ce qui vient d'être voté au conseil portuaire de Palavas Les Flots (avec l'accord des représentants des plaisanciers).
Tout cela pour favoriser les échanges de bateaux .....
Déjà que rien ne se vends alors là ....
Gilles

L'équipage
05 avr. 2013
05 avr. 2013

Ils se croient vraiment tout permis ces ports. Même d'intervenir dans la passation de contrats commerciaux dont les clauses ne les regardent pas. Bientôt ils nous imposeront de peindre les bateaux d'une certaine couleur pour les assortir au port.

05 avr. 201305 avr. 2013

"Ils se croient vraiment tout permis ces ports."

Ou porcs ? : D

Pour ma part je suis assez allergique à ce genre de "lois" votées par d'autres;
Par contre, et bien que je reconnais l'utilisé d'un port (limités en nombre si possibles), ayant des préoccupations écologistes, je suis assez défavorable à la construction de continuelles infrastructures portuaires; Surtout quand on pense à tous ces "bateaux ventouses" qui devraient trouver une place à terre, dans des hangards ou autres; Car toutes ces places non utilisées à l'année (à part quelques jours d'été pour beaucoup) prennent en attendant celles de gens qui ont un vrai projet de voile, voire de vie à bord; Bref, si on stockait ailleurs tous ceux qui prennent ces places (ou déconstruction "écolo" des bateaux hors d'usage ou sans usage) non seulement ils n'auraient à construire un énième port et de détruire un écosystème marin, mais en plus il y aurait des places surement, et pour une vraie utilisation de marins

05 avr. 2013

La vache c'est du délire cette histoire la. Bravo les représentants des plaisanciers . . . Bon courage aux utilisateurs du port de Palavas les Flots.

Gil.

05 avr. 2013

Bonjour à tous. Les contrats proposés par le port de Palavas sont-ils des contrats d'amodiation transmissibles ou bien des contrats annuels de réservation d'emplacement ?
D'autre part, qu'est-il prévu dans ce contrat dans le cas de changement de propriétaire du navire ?

05 avr. 2013

Ce sont des conventions d'usage, droit d'usage des postes d'accostage et c'est un port communal. La réservation est renouvelée ou pas annuellement et bien sur le port est archi plein. Les tarifs sont maintenant du même ordre que la moyenne du golf mais tout change on vient d'apprendre aussi que les tarifs de carénages seront à tarif réduit toute l'année mais pour trois jours sur zone sinon à plein tarif et sans excuses météo ou autres (techniques par exemple) pour plus de jours, jusqu'à présent il y a avait des périodes plein tarif et d'autre moitié pour toujours une semaine.
Par contre le cas de changement de propriétaire n'est pas mentionné, je ne sais pas. Jusqu'à présent si tu vendais ton bateau et que tu en reprenais un autre (taille égale) tu avais ta place ou du moins une place ... mais maintenant ????
La seule chose que je sais c'est que les quelques revendeurs sont en colère ...

Gilles

05 avr. 2013

S'il s'agit de conventions d'usage, habituellement celles-ci sont accordées à un propriétaire pour un navire déterminé. Si ce propriétaire cède son navire, l'acquéreur n'a donc aucun droit sur la place du navire acquis.
En Morbihan, c'est cette règle qui est appliquée. On la retrouve sur le site de la FFPP qui diffuse un règlement type de port de plaisance, dont voici l'article 4:

"ARTICLE 4 : OCCUPATION D'UN POSTE
L'autorité compétente peut consentir des autorisations d'occupation privative des postes
d'amarrage, pour une durée maximale d'un an renouvelable chaque année, suivant l’article R 631-
4 du CDPM.
L'autorisation d'occupation privative est accordée à une personne physique ou morale et pour un navire déterminé. Elle n'est pas cessible. La vente d’un bateau dont le propriétaire ou le copropriétaire est titulaire d'une autorisation d'occupation privative de poste d'amarrage n’entraîne aucunement le transfert du bénéfice de la place du vendeur à l'acquéreur. L’acquéreur doit faire une demande d'autorisation d'occupation privative qui sera satisfaite en fonction des disponibilités.
La demande sera inscrite sur une liste d’attente établie par l'exploitant du port."

Cette décision du Conseil Portuaire (organisme dans lequel les représentants des usagers n'ont qu'une voix consultative) me semble donc moins défavorable que l'application de la règle habituelle qui ne donne aucun droit à l'acquéreur.

05 avr. 2013

C'est une clause que l'on trouve effectivement dans les contrats de la quasi totalité des ports de la côte Atlantique.
Que du reste j'ai trouvé assez sympa - et non pas scandaleuse - quand j'ai cherché à avoir une place de port après avoir acheté un bateau, car elle favorise la rotation des places.

05 avr. 2013

est-ce bien légal?
Personne ne peut t’empêcher de vendre ton bien. Au pire la place ne sera pas transmissible ... comme dans la plupart des ports.

05 avr. 2013

Légal à mon humble avis non.
D'ailleurs, la période probatoire au tarif passager d'un an non plus. Tu es locataire de la place ou non. Si c'est oui c'est les même conditions que pour tout le monde sinon discrimination.

Mais c'est comme pour toute les lois et réglement que l'on sort depuis quelques années, elles sont liberticides mais tout le monde ferme sa gueule en étant bien content que cette fois encore ce ne soit pas sur sa tête que sa tombe.

06 avr. 2013

cette délibration est attaquable devant le tribunal administraif dans le délai réglementaire. une collectivité ne peut quelle qu'elle soit ne peut empêcher la signature et la réalisation d'un contrat de droit privé
.Mais attention peut être faut il lire l'ensemble de la délibératon et ses attendus pour savoir exactement ce qu'il en retourne. Ceci dit qui est l'auteur de la délib? municipalité? conseil portuaire?

sur le fond on comprend quand même que l'organisme tente de clarifier l'anarchie qu'il peut régner dans la gestion des places avec magouilles passe droit etc

05 avr. 2013

Si je comprends bien, un tiers s'arroge le droit d'interdire la conclusion d'un contrat de droit privé pour une durée déterminée ? Le domaine du n'importe quoi ne connait décidément plus aucune limite ... et je reste poli...

06 avr. 2013

Pas exactement. La transaction privée entre les deux parties est tout à fait autorisée. L'autorité portuaire met une condition lors du renouvellement de la location dont elle est partie prenante avec la nouvelle partie acquéreuse avec laquelle elle n'avait jusqu'alors aucun engagement avant la première vente.

06 avr. 2013

Je pense que c'est tout le problème du domaine privé utilisant le domaine publique.
Ce qui me gène encore une fois là-dedans c'est que çà ne fera pas plus de place mais moins de transaction et donc plus de bateau poubelle et plus de mécontents et que ceux qui ont de l'argent pourront encore une fois s'en sortir et le port (donc la mairie) gagnera encore plus d'argent.
Et c'est pas fini le maire passe à 74% des voies ... normal il y a 15% des "plaisanciers" qui votent à Palavas.
Gilles

06 avr. 2013

quand toutes les places sont occupées difficile pour la mairie de gagner plus! non la raison d'une telle décision ne peut être là

06 avr. 2013

en principe (tout au moins ici en Atlantique /Manche) un bateau ayant une place au ponton lorsqu'il est vendu il perd sa place ,le nouveau propriétaire doit quitter le ponton et trouver une autre place car cell-ci est attribué au premier sur la liste d'attente .

seulement cette regle (logique) a l'inconvenient de freiner les ventes car il faut bien avoir une place ,ou alors il faut payer au tarif "visiteur" .

On peut donc pensé que cette nouvelle regle est faite pour favoriser les ventes car la place est toute trouvé

ça se discute

06 avr. 2013

En Méd le pb est qu'il n'y a aucune place de port qui se crée ou presque pas. Quelle que soit la solution retenue il y aura des frustrations.
Ceux qui veulent une place et les pros qui vendent neufs militent pour la rotation des places de port. Ceux qui vendent leur bateau voudraient pouvoir le vendre avec la place sinon pas de vente ou en tout cas bcp plus difficile.

Les deux seules solutions valables à mon sens sont, la création de nouvelles places et débarrasser des ports les bateaux poubelles. Ça donnerait un peu d'air à tout ça et ça limiterait un peu la pression des gestionnaires de port sur les plaisanciers.
Il faut bien avouer que quand on se pose la question de savoir à qui profite le crime il y a pas à réfléchir longtemps. Rien que le flou artistique entretenu sur les listes d'attente pose question...

Je viens de mettre mon bateau en vente (sans la place) et je serai surpris que ça soit une affaire simple

On verra...

06 avr. 2013

Ces systèmes de place "non cessible" est un réel souci dans les transactions de bateaux...
La spéculation immobilière et les "plan littoral" ont bloqué toute possibilité d'augmenter significativement le nombre de places de port...
Les ports le savent bien et ils en profitent pour mettre des clauses léonines dans leurs règlements et ils peuvent en même temps pratiquer des prix aberrants ....
Seules des associations de plaisanciers pourraient les faire fléchir mais les propriétaires de bateaux me semblant très individualistes (comme une majorité de français), comment imaginer que, hormis localement, un groupe de pression puisse voir le jour?
Ce serait pourtant la seule solution.
H&O aurait sans doute son rôle à jouer.....

06 avr. 2013

la grande difficulté c'est que le contrat est passé entre une personne morale et une personne physique ( ou une autre personne morale) et non avec un objet!
donc la place est attribuée au propriétaire dans des conditions d'occupation et de renouvellement fixées dans un contrat.

Si aucun alinéa ou avenant ne précise que le contrat est cessible au nouveau propriétaire c'est en toute légalité que la place est perdue

11 avr. 2013

Bonjour,
Nous sommes bien d'accord, une association de plaisanciers serait une excellente solution. J'y réfléchis depuis quelques temps mais ce n'est pas facile à mettre en place, les responsables devraient être réellement bénévoles mais l'association aurait besoin de fonds pour se développer et monnayer les services d'un avocat.
Il me semble que nous serions très nombreux à accepter une union qui nous permettrait de nous faire entendre sérieusement par les diverses autorités.
Si vous avez des idées, nous pourrions ouvrir un débat.
Marie

11 avr. 2013

Aucune difficulté pour la création d'une association de plaisancier, et l'Unan est un soutien trés appréciables. Ils développent en particulier un service juridique trés performant.

Nous avons fait comme cela à Bandol l'année dernière lors du renouvellement des représentants au conseil portuaire.

J'ai été élu, aprés avoir développé les actions concrètes que nous souhaitions voir aboutir. Juste après l'élection, nous avons créés l"association pour la gestion du Clupp de Bandol" (AG Clupp Bandol).

La cotisation est de 10 €, et nous en reversons 3 € à l'Unan.

Le reste nous sert à payer un site internet (que je n'ai pas encore eu le temps de terminer), les frais de création de l'association et éventuellement de l'achat de documentation. Nous ne demandons aucune subvention, nous n'organisons aucune animation.

Les premières réunions du conseil portuaire ont été assez tendues, mais nous avons fait le choix de bosser sérieusement nos dossiers et d'arriver toujours avec des propositions concrètes, argumentées et validées, et nous sommes maintenant clairement écoutés.

Par contre, cela nous bouffe un temps incroyable. Nous recevons les plaisanciers du port tous les samedi matin sur un voilier. Nous adressons un communiqué d'info à notre mailling liste tous les mois. Et nous cherchons en continu de l'info sur les expériences menées ailleurs.

Mais il ne faut pas se leurrer. La représentation des plaisanciers, en tant que tel, est inexistante en France dans l'administration du port. Au conseil portuaire, nous sommes trois plaisanciers sur 13 membres. Alors même que le conseil portuaire ne donne que des avis.

La situation est vite binaire. Soit l'exploitant du port comprend l'intérêt qu'il a à se concerter avec les plaisanciers, et les relations seront alors constructives, soit l'exploitant ne le comprendra pas, et les plaisanciers parleront dans le vide.

Jacques

11 avr. 2013

Salut Marewa,

Les associations de plaisancier sont d'une manière générale affiliées à l'UNAN. C'est cette instance "supérieure" qui a pour vocation à mobiliser les juristes lorsque les solutions à l'amiable sont épuisées. L'association des plaisanciers sert sur ce volet là de relai local mais ne mobilise pas plus de moyen que sa cotisation annuelle qui est modique.

Par contre une asso a besoin de bras et c'est bien là que tu rencontreras le plus de difficultés. Avec une vingtaine d'euros de cotisation annuelle on fait déjà bcp de choses. Par contre il faut du temps, de l'énergie et de la patience.

Si tu souhaites te lancer tu trouveras facilement de l'aide ou des conseils auprès des autres asso et de l'UNAN.

Nicolas

06 avr. 2013

J'invite ceux qui auraient encore des doutes sur le sujet à lire (ou relire) le Code des Ports Maritimes, librement téléchargeable sur Internet. La totalité des ports situés sur le domaine public maritime doivent s'y conformer, publics ou privés. Les décisions prises en contradiction avec ce Code sont nulles et non avenues.

06 avr. 2013

excat. les compétences des collectivités locales sont libres mais elles ont quand même une barrière : la loi. Elles ne peuvent rien acter en dehors du cadre de la loi.Exemple : lever un impot non prévu par la loi ou à un taux supérieur au maximum prévu par la loi de finances de l'année budgétaire

10 avr. 2013

Et donc ?

Il y a marqué quoi, dans ce code, concernant les transferts de contrats ?

Rien.

Jacques

06 avr. 2013

si on lit bien le sujet de Pendruig je ne comprends mal ou est le probleme .

ce dispositif est en accord avec les representants des plaisanciers il faut donc croire qu'il n'est pas si mauvais que celà puisque les usagers eux sont pour .

10 avr. 2013

je prends part à cette discussion, en faisant état d'un constat: nous ne sommes pas en période de prospérité et visiblement Le Conseil ne tient absolument pas compte de la viabilité du tissu économique du port. Cette augmentation tarifaire relève du fait du prince en quelque sorte....
En d'autres termes "à qui profite le crime?"

10 avr. 2013

Le problème posé est simple : éviter le trafic d'épaves.

La transmission du contrat d'abonnement lors de la vente du bateau n'est pas un droit. C'est une disposition qui doit être prévue au contrat.

Généralement, la régle est que l'usager d'un abonnement public n'est titulaire d'aucun droit sur cet abonnement. Et c'est normal.

Effectivement, dans un marché morose, et alors que nombre de plaisanciers ont atteint un age qui les éloigne de la pratique du bateau, l'interdiction de transférer la place est un frein majeur à la vente de bateaux.

Et j'estime que c'est aussi une des raisons majeurs de la présence de bateaux ventouses dans les ports : plus entretenus parceque le propriétaire, par choix ou contraint, a laissé tombé la plaisance, invendables sans place parce que totalement obsolètes, ils finissent par pourrir dans le port.

Mais le risque d'autoriser le transfert de la place lors de la cession du bateau, c'est d'organiser un trafic d'épave : j'acète toutes les épaves du port, je récupére leur place, j'envoie l'épave à la destruction, et je vends des bateaux neufs ou d'occasions avec la place, en margeant évidement sur le prix au motif que le bateau a une place au port en contrat annuel.

Nous travaillons sur ce sujet à Bandol, et il me semble qu'une règle interdisant le vendeur du bateau de solliciter une nouvelle place dans un délai long est une bonne mesure.

Ainsi, on ne peut vendre qu'une fois un bateau avec sa place. On ne peut pas en faire un métier.

Jacques (association de plaisanciers bandolais AG clupp Bandol)

10 avr. 2013

:pouce:

11 avr. 2013

à Erendil

il y a plusieurs problematique dans la gestion d'une marina ou d'une zone de mouillage :

-la premiere et la plus rependu :le non paiement du ponton ..et là c'est fou les difficultés que l'on y rencontre .et au bout du compte c'est tous les autres qui paient pour les recalcitrants
-la seconde ,les bateaux ventouses ,sujet que je ne developpe pas

,Dans notre asso et dans bien d'autre une solution a été trouvée :
Contrat d'un an ,non renouvelable automatiquement .
- Pour avoir un nouveau contrat d'un an ,le precedent doit etre payé
- le bateau qui reste en place sans bougé toute l'année et prié de trouver une place ailleurs . par contre il aura une place sans attendre durant 3ans .
- celui qui reste a sa place sans autorisation :une plainte est deposé pour occupation d'un emplacement sans autorisation aupres de la gendarmerie marirtime qui s'en occupe ...

11 avr. 2013

mon pauvre ami ,tu n'imagine pas ...surtout les gros ...ici apres des années de procedure un bateau a fini par etre vendu au enchére pour recupérer la dette du ponton ,c'est dire ..

11 avr. 2013

Est ce si répandu que cela les mauvais payeurs ?
(je découvre naïvement le problème)

11 avr. 2013

donc c'est plus facile de se faire expulser d'un logement dont on ne paie pas le loyer ? :reflechi:

10 avr. 2013

On pourrait pas euthanasier les vieux plaisanciers et déconstruire leurs bateaux (le coût étant supporter par les héritiers) ? :doc:

Du coup ça améliorarait la situation du manque de place, le problème des retraites, relancerait la construction navale, abaisserait le déficit de la sécu ! :litjournal:

Bon, c'est un peu radical, mais au moins ça résoud nombre de problèmes. :tesur:

Y'a que celui qui aurait émis l'idée qui serait épargné... :mdr:

10 avr. 2013

"kakos", ça veut pas dire mauvais, méchant, sale, en grec ?....
;-)

10 avr. 201310 avr. 2013

Si, t'as raison Christophe, mais moi je suis tout seul...et c'est une rivière du Venezuela et du Guyana sans le "s"(source wikipédia) donc ça coule de source. :heu:

10 avr. 2013

Bonjour,

il semblerait que MPM (communauté urbaine de Marseille) adopte une pratique similaire :
www.hisse-et-oh.com[...]rseille
en cas de vente, la place n'est plus systématiquement transmissible, le nouveau propriétaire est "à l'essai" (en passager) 2 ans
Moi je me dis que cette mesure a peut être du bon (cela évite les abus : quand on voit le prix de certaines épaves, juste bonne à être coulées !!)
Quand j'ai mis en vente mon O31, c'est vrai que ça m'embêtait qu'il soit vendu sans place ; finalement je l'ai cédé... avec une place à sec à Port St Louis (Navy Service)
Et si ce système se généralise, les rotations dans les ports s'accélèreront... et les plus motivés finiront par l'avoir, leur place à flots (ce qui n'est pas une règle aujourd'hui !)
frédéric
frédéric

10 avr. 2013

ce n'est pas le délai de deux ans qui pose problème mais bel et bien la surtaxe imposée cela relève plus du holdup en col blanc.

11 avr. 2013

Bonjour,
Quelqu'un est il en mesure de diffuser le compte rendu de cette réunion ?

11 avr. 2013

Si c'est de la réunion de Palavas il suffit d'aller sur le site de l'Amicale des Plaisanciers de Palavas et on peut lire le compte rendu.
Gilles

La Corogne, le plus vieux phare d'Europe construit à l'origine par les Romains

Phare du monde

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