Des nouvelles de « qui vous savez »

Qui-vous-savez voulait franchir ce que vous savez, mais sans avoir ce que vous savez qu’il faut avoir.

Ayant donc demandé à les obtenir où vous savez avec l’insuccès que vous savez, il est contraint de changer le programme que vous saviez, et faire route vers où vous ne saviez pas encore. Mais il lui est arrivé ce que vous savez à l’endroit que vous avez su. D’où nouvelle demande de ce que vous savez déjà, avec toujours l’insuccès que vous saviez toujours. Il semble très colère

Un nouveau venu dont on ne sait rien, lui propose de l’emmener où vous savez. Rendez-vous est pris. Mais il y a bien 100 km entre qui vous savez et qui vous ne savez pas. Depuis, on ne sait plus rien de qui on sait. Y a-t-il eu un nouvel incident ? Coronovirus ? Farcs ? La jonction n’a-t-elle pas eu lieu ?

Nous n’en saurons rien, car le généreux dont on ne sait rien, contacté, demande, sèchement : « en quoi cela nous regarde de le savoir ». Visiblement, qui vous savez a craché le morceau à qui dont on ne sait rien, et lui a monté le bourrichon contre nous. L’animosité est contagieuse

En insistant, arguant du fait qu’on aimerait quand même savoir s’il ne lui est rien arrivé en route, il semble que ce soit cette fois qui-vous-savez lui-même qui réponde : « il a été destinataire de trop de conneries sans les avoir demandées ».

Rien demandé en 128 messages en l’espace de 58 jours ?

Comme vous êtes méchants, vous ne saurez donc plus rien de lui.