de l'importance du choix d'un ber!

à fécamp....

?

bien d'accord

je suis bien d'accord avec toi, stp!
c'est pourquoi je parle de ber! car ces "chandelles" installées par un chantier, c'est pas sérieux! et manifestement pas suffisant pour encaisser un coup de vent.

de l'importance...suite

le bateau fait 34" et pèse 7 tonnes
les chandelles ne vous paraissent-elles pas un peu "frêles"? :-(

mouais

encore du travail de sagoin...
pourtant 85 km heure ... c'est pas la fin du monde !!!
:-|

lever la patte...

pour fignoller?

en tout cas, amitiés et bon courage au proprio du canot,
vais peut-etre pas carèner cette année....

j'ai pas retrouvé

ce fil, malgré une recherche en entrant ber et hivernage
désolé

pourquoi faire des bases

si etroites?? plus larges avec les chandelles inclinées seraient certainement mieux ;-)
je touve..

il s'agit

d'épontilles Lepage.
on doit en placer une tous les 2 mètres de ligne de flottaison. sur un 34 pieds il en aurait fallu 3 de chaque coté au moins, plus une cale à la proue et à la poupe.
les épontilles doivent être reliées 2 par 2 (babord avec tribord) avec une chaine et non un bout pour qu'il n'y ait aucune élasticité.
quand on fait comme ça, ça tient aussi bien qu'un berre. venez voir au Havre. il ya 2 ans un Océanis 500 et quelques est tombé de son berre. depuis il utilise ce genre d'épontilles et tout va bien.
l'ensemble pour un 34 pieds tient dans le coffre d'une voiture.pratique pour les stockage.
si ces épontilles ont été placées par un pro, alors là c'est n'importe quoi! :-(

Suis d'accord avec Ozone

Nous utilisons les chandelles reliées avec des chaines depuis 10 saisons, ainsi qu'une centaine d'autres bateaux dans le marina, sans problème. Nous laissons le grément, et le vent d'hiver ici pourrait souffler jusqu'à 100km/hr. Attacher les chandelles au sol ferait bcp d'inconvenients. D'après notre experience, ce serait pas nécessaire. En avoir assez, bien reliées, et bien placées, compte pour beaucoup.

Le ber est à mon avis une hérésie géométrique

Les efforts latéraux dûs au vent sont multipliés par 2 au minimum. En effet, pour un bateau dont le rail de fargue est à 2 m de haut, si le patin du ber est sous la flottaison, disons à 1 m, cela fait un bras de levier de 2. De plus, l'écartement des 2 bras d'un ber placé sous la flotaison est inférieur au maître bau. Il ne travaille donc pas dans de bonnes conditions.

le fameux patin du ber. Comme tout patin, il est fait pour glisser. Un ber qui recoit des efforts latéreaux s'écarte imperceptiblement. A la longue, si sous les rafales, il glisse à chaque fois de quelques milimètres, cela fatigue les équères au niveau du sol.

Je pense que des béquilles, fixées au niveau du rail de fargue, travaillent beaucoup mieux, uniquement à la compression. Quelle force est capable de la faire flamber ? Il ne reste plus qu'à les empécher de glisser au sol.

ber + sangles

voilà un exemple calypso qu'il est bon
l'observation amène à faire une synthèse de différentes pratiques éprouvées
en plus d'un ber, les sangles
de plus des bastaings complémentaires sous l'étrave et au niveau du safran ne sont pas superflus
les chandelles doivent être en nombre suffisant et reliées entre elles au niveau du sol pour éviter l'écartement
sur l'exemple servant d'illsutration, je voulais aussi souligner qu'un chantier (ou plutôt, ce chantier) n'est pas toujours l'exemple à suivre...