Bonne longueur au port ?

Bonsoir,
Pour appliquer son tarif, un port de plaisance peut il demander une autre mesure que celle indiquer dans le livret d'acte de francisation ?
C'est peut etre stupide comme question mais les quelques centimetres à l'avant et à l'arriere on vite fait de faire changer la categorie ( superieur a 8m) et le prix n'est pu le meme

L'équipage
17 jan. 2014
17 jan. 2014

Bin! le port peut mesurer le bateau

Pierre

17 jan. 2014

il parait qu'à Port Vendres, ils prennent le décamètre pour mesurer la longueur hors tout et appliquer le tarif
Donc, peu importe la longueur sur l'acte de francisation

18 jan. 2014

A frontignan la personne du port m'a dit qu'ils sortaient les bateaux pour les mesurer avec un fil à plomb.
Je trouve ça un peu exagéré et je sais pas si c'est vrai (on n'a pas pris la place)
Par contre, à sete, la personne m'a prévenue : ici, on mesure alors attention aux bossoirs et autres arceaux ajoutés.
He oui, tout le monde n'est pas égal devant le décamètre.
Où je suis, je paye la longueur de signalement.

18 jan. 2014

Y'a plus malin encore... Chez moi ils prennent la longueur hors tout et ils multiplient par la largeur au maître bau. Ca se fait à la surface et c'est comme ça que je paie une place de 9m pour un bateau de 8m... Et pis si je suis pas content j'ai qu'à trouver de la place dans un port... où y'a de la place... Ben oui, on est des otages, mais comme personne ne se plaint...

18 jan. 2014

Il faut tout de même être réaliste.
L'espacement des catways est calculé en fonction d'une largeur "normale" et on peut placer deux bateaux entre deux catways.
Normalement, les multicoques subissent un coefficient multiplicateur de 1,5 à 2 car en fait ils occupent pratiquement la place de deux bateaux en largeur.
Certains ports facturent à la surface, ce qui permet de résoudre le problème des multicoques. A Blankenberge, la facturation se fait selon la largeur, ce qui est aussi une approche logique.
Il n'est pas anormal, à mon avis, qu'un bateau dépassant la largeur moyenne standard par rapport à sa longueur passe en catégorie supérieure.
En fait, le bateau occupe une surface et finalement c'est cela qui est facturé par tranche. Donc pour moi, c'est normal.

18 jan. 2014

Oce423 sur livret 12,64 pris pour 13,04 à tout ce qui dépasse compte maintenant

18 jan. 2014

Le calcul au m2 (L x MB) est une pratique fluvial, les cargos, c'est la même chose mais x par le TE. Il y a tellement de petit malin qui on triché sur la Lg, qu'effectivement le port peu venir avec son décamètre est te compter une longueur réelle hors tout (dans mon ancien port, bateau au sec, HB relevé, le gus mesuré jusqu'au bout de l'hélice!!! et bien sur du balcon).
Par exemple les multis souvent coeff de 1.5.
Mais proportionnellement plus tu as un grand bateau, moins c cher???

18 jan. 2014

Si la tarification à la longueur et à la largeur est bien précisée par l'article R 214-2 du Code des Ports Maritimes, c'est le Règlement de Police de chaque port qui indique comment sont mesurées les caractéristiques en question. Ce document doit être à la disposition des usagers pour consultation.
Généralement, la longueur est en effet mesurée hors tout et elle est donc différente de celle inscrite sur l'acte de francisation.

18 jan. 2014

Pratiquement tous les ports mesurent les bateaux.
Après être passé au moins 10 fois a la Rochelle
mon bateaux avait grandi et je passais à 10, 5 m.
devant mon étonnement et divers déplacements à la capitainerie avec livret de Francisation.Une équipe de trois personnes est venu avec un fils a plomb avant et arrière et décamètre pour constater la longueur réelle de 9,85 m
donc moins de 9,99 m comme prévu.
Je passe sur les autres détails assez ridicules.

18 jan. 2014

"Je passe sur les autres détails assez ridicules. "

ben :non: faut nous raconter......on aime bien les histoires :litjournal:

18 jan. 2014

Les longueurs généralement prises en compte dans les ports sont effectivement les longueur HT des navires. Les titres de navigation ou actes de francisation considérant bien souvent les longueurs de signalement, il y a souvent des différences considérables avec la longueur réelle des navires, souvent dues à des modifications ou des aménagement optionnels (Balcon, plage arrière, bossoirs fixes...) Prendre en compte les dimensions exactes des navires n'est pas seulement pour des raisons financières mais avant tout pour une gestion du plan de mouillage et garantir les coefficients de manœuvrabilité minimum pour que les navires quittent ou prennent leur poste, ce qui n'est pas toujours facile. Les dimensions exactes prises en compte informatiquement, déterminent automatiquement le tarif applicable à la catégorie.

Lorsqu'il y a contestation sur les dimensions ou qu'elle ne sont pas faciles à déterminer, le navire est mis à terre et la méthode du fil à plomb est appliquée. Il arrive quelque fois qu'elle profite au propriétaire ou qu'il apporte une modification pour descendre de catégorie.

Même si d'aucuns soulignent le ridicule de cette pratique, elle n'est pas exclusive aux port. Tout ce qui tarifé par rapport à une surface occupée comme par exemple un emplacement de stand sur un marché, impose des limites...

Pour les catamarans c'est effectivement la surface occupée (Lxl) qui est prise en compte.

18 jan. 2014

C'est ce qui m'a valu d'être rallongé et de passer au dessus des 10m 50 pour un gib sea 31 mesuré à 10 m 51 par la capitainerie d'arzal ..avec une jupe .bon là je vais me faire mesurer avec mon nouveau bateau un idylle 10,50 qui est annoncé sur l'acte de vente à 10m 47 ...

18 jan. 201418 jan. 2014

Tréguier

Tréguier

... [ (1) La longueur prise en compte est la longueur Hors-Tout y compris les apparaux fixes.] ...

18 jan. 2014

vu la largeur des derniers mono, la largeur sera de + en + pris en compte... logique à condition que le tarif reste le même pour un bateau "normal" !
pour le cm en trop, c'est là où l'on voit le "bon sens" commercial.... mais à Arzal, difficile à trouver....
stef

18 jan. 2014

pour moi la logique serait d'appliquer le tarif en fonction du type de place occupée. moi je suis passé du first 24 au first 28 en restant à la meme place ! donc pourquoi facturer différemment. si on occupe un ouvrage qui permet de placer des bateaux de 7 à 9 m, un tarif unique dans cette tranche me semblerai logique. dans une place de parking on ne regarde pas quelle voiture vous avez

18 jan. 2014

La moindre des choses pour cette profession de la gestion des ports de plaisance si mal organisée et qui n'hésite pas à nous infantiliser en nous donnant des leçons serait qu'elle normalise la présentation des tarifs portuaires. Nous pourrions alors comparer leurs tarifs et les mettre en concurrence.

18 jan. 2014

Si "normaliser" signifie communiquer les tarifs, il ne peut pas en être autrement puisque leur affichage est obligatoire 15 jours avant la tenue d'un conseil portuaire..(Art R612-2 Code des ports maritimes)

18 jan. 2014

Ce n'est tout de même pas difficile. Avec mon bateau qui mesure x mètre,y centimètres, je paie x € dans tel port et y€ dans tel autre. Peu importe comment sont réparties les tranches de passage d'un prix à l'autre! Mais évidemment, avec cette approche, je ne râle pas!

18 jan. 2014

Les comparaisons ne pourrait se faire qu'avec un tarif de référence et ce serait très difficile. Chaque port inclut ou non des prestations (eau, électricité, sanitaires, place de stationnement...). De plus il faudrait prendre en compte la situation géographique du port car le coût du foncier est différents, le coût des fluides, le cout de traitement des déchets....etc. Même s'il existait un tarif de référence dit "normalisé", l'usager ne paierait jamais la même somme d'un port à l'autre. En fait c'est un peu comme si on voulait normaliser les loyers, taxes d'habitation, impôts foncier. En ce qui me concerne je n'ai pas le sentiment que le "client" soit pris pour une vache à lait par les gestionnaires (dont je ne fais pas partie). Le livre d'or et d'ailleurs bien plus volumineux que le cahier de réclamations en ce qui concerne Cannes qui un des ports (public) les moins chers de la Riviéra avec des prestations haut de gamme. Mais je conçois que tous les ports n'ont pas la même considération à l'égard de leur client...

18 jan. 201418 jan. 2014

Non normaliser ne signifie pas communiquer ses tarifs. Il y a déjà une loi qui oblige à faire cela. Normaliser ne veut pas dire non plus pratiquer les mêmes prix partout, ce serait absurde. Normaliser veut dire calculer ses prix de la même manière partout. Imaginez que la contenance d'un pot de yaourt ne soit pas normalisée!
Les ports doivent se concerter et se mettre d'accord sur la manière de présenter leurs tarifs pour qu'ils sont comparables d'un port à l'autre et pour que le consommateur, cad nous, n'ait pas de surprise.
Pour les ports ce sera le début de l'apprentissage de ce qu'est un client. Après cela la route est encore longue!

18 jan. 2014

Je ne parle pas de tarif de référence mais de mode de calcul du prix.

01 sept. 2019

attention pour ceux qui vont a arzal les tarif annonce pour les contrat a l année n’inclus pas l 'électricité forfait en fonction de la longueur du voilier

18 jan. 201418 jan. 2014

,
Mon Cher Gradlon,
Votre appréciation sur les personnels des ports de plaisance vous appartient.
Je regrette cependant de vous ne vous soyez pas informer avant de la rendre publique sur ce forum.... une convention collective existe, des formations professionnelles existent, les ports sont des équipements techniques gérés comme des entreprises, les choix tarifaires sont ceux d'équipements structurant de l'économie locale, de la commune au département qui y sont souvent impliqués financièrement.

Essayez d'amarrer correctement un bateau de 10 mètres sur un emplacement prévu pour 8 mètres. Vous y réussirez sans doute....

Si un pépin se produit, votre assurance se retournera contre le port, et ses assurances, qui n'aura pas placé le bateau sur un emplacement adapté à son encombrement.

Nous n'avons pas encore parler de tarif, il convient simplement de considérer l'aspect technique des choses.

La longueur sur l'acte de francisation est une longueur administrative (dite de signalement) qui ne correspond pas à la longueur hors tout (entre verticales des points fixes les plus avant et arrière) qui est celle retenu dans les ports.

Les balcons ne doivent pas déborder sur les pontons...,
Les dispositifs d'amarrage doivent être adapté aux dimensions des unités qui y sont amarrés (longueur de catway, rayon d'évitage sur bouée, corps morts en fonction de l'inertie, du fardage et du poids du bateau
Le passage entre les bateaux sur pontons ne doit pas être réduit par des queues de malet, plateformes de bain, jupes, z-drive portique avec annexe, etc...

Quant à la normalisation de la présentation tarifaire, vous ne vous êtes absolument pas renseigner sur les règles qui s'appliquent en la matière de puis les premiers cahiers des charges de concession des ports de plaisance.

Veuillez m'excuser si vous pensez que j'ai voulu vous donner une leçon; je l'espère, les quelques informations figurant ci-dessus ne vous ont pas infantiliser et vous permettront à l'avenir d'être un peu plus nuancé dans
vos jugement sur ceux qui vous accueillent dans les ports de plaisance.

Si vous pouviez naviguer davantage, vous pourriez constater que les tarifs ne sont pas tous au même niveau, que ceux qui naviguent n'ont souvent pas de mouillage à l'année, que l'hivernage se fait dans des chantiers ou ports qu'ils ont librement choisis et que la concurrence ne se situe pas entre les ports mais au niveau du choix du client navigateur en fonction de son programme, de ses besoins etc...

19 jan. 2014

Les ports de plaisance veuillent le 9 et pas le 16. Quant aux appels éventuels en langue étrangère, il faudrait remonter à l'enseignement de celles ci dans nos écoles, collèges et lycées.

20 jan. 2014

Si tu es déjà passés dans le coin de Roterdam ou tu as déjà du le lire ici le mec tout ce qu'il sait dire quand on lui demande la clearance pour traverser le chenal c'est "gardez la fréquence".
Quand on est arrivé à Cuxhaven là où la plupart des plaisanciers font un stop avant ou après le canal de Kiel ben tu peux jacter l'anglais et essayer de te faire comprendre si tu as besoin d'autre chose qu'un renseignement nautique local.
Alors qu'ils critiquent les français mais est-ce qu'ils font un effort pour ne serait-ce que dire bonjour en français.
Je me suis assez accroché avec les anglais et les ricains sur les chantiers pour savoir de quoi je cause.

@+

19 jan. 2014

oui le languedoc rousillon s'est développé à partir des aménagement touristiques et portuaires des stations. (mission Racine)

oui la gestion des petits ports communaux n'est pas toujours au top, mais que font les utilisateurs pour se regrouper, s'informer mutuellement, pour faire valoir leurs demandes, dans l'intérêt general?

il n'y a que demande particulière et individuelle, tarification la plus basse possible, service demandé le plus haut possible, avec prise en charge maxi par la collectivité, donc l'ensemble des contribuable.

Quant au salaire des saisonniers, il y a une convention collective, ou un statut municipal....ou un contrat négociable....

En gestion privé, les actionnaires paient....

19 jan. 2014

Je ne pense pas que les diverses autorités de tutelle aient délibérément choisi de laisser se développer une pénurie.
La création ou l'extension d'un port de plaisance est une opération lourde et coûteuse. Il est vrai que l'accroissement de la demande est constant depuis une bonne quarantaine d'année, de pair avec l'élévation du niveau de vie (cela va bientôt commencer en Chine!).
Mais tout projet se heurte immédiatement à de nombreux intérêts et de nombreuses contestations, surtout en provenance de la mouvance écolo. D'où de multiples recours qui s'ajoutent aux difficultés de financement.
Je me souviens du projet de création d'une marina à St Vaast La Hougue. Malgré de nombreux recours, ce projet a finalement vu le jour et ce village s'en trouve très bien sur le long terme, avec un développement touristique en partie du à la marina qui compte environ 5000 passages par an, soit la moitié de Cherbourg tout proche, les anglais forts dépensiers locaux ayant découvert de petit paradis juste en face de chez eux.
Par contre, l'extension du port des Minimes, décision politique sans études techniques préalables sérieuses et qui est en train de tourner au fiasco technique (la digue du Lazaret qui s'effrondre et continuera de s'effondrer, au point que l'entreprise vient de retirer tout son matériel!) donnera peut être quelques centaines de places supplémentaires si elle arrive à son terme!

19 jan. 2014

questions:
l'utilisation de l'espace public par un port de plaisance doit-il être gratuit? opportunité ou non d'une taxe foncière?

l'utilisation permanente des places de port pour des bateaux qui ne peuvent être utilisés (en continu que 1 ou 2 mois par an) est-elle normale?

les plaisanciers ne doivent-ils pas partager l'espace public aménagé pour répondre à leur activité de loisir?

les plaisanciers ne doivent-ils pas aussi rechercher d'autres solutions que l'occupation permanente d'une place de port?

Est-il besoin d'avoir dans les grands ports aménagés des postes permanents pour des bateaux de moins de 6 mètres?

Une réflexion s'impose pour la (re)définition du port, parking réglant le problème du bateau du plaisancier lorsqu'il ne navigue pas, escale et lieu d'échange entre la mer et la terre pour répondre aux besoins des équipages, à l'approvisionnement des bateaux, aux escales techniques....

Je suis d'accord pour dire que si la gestion des ports doit évoluée, l'esprit des plaisanciers également .
L'espace public est un bien commun et la règle du partage doit s'imposer, pas de contrat permanent qui rejette une grande partie de ceux d'entre nous qui naviguent
pas de réduction au rôle de parking d'un espace prévu pour l'activité nautique et l'escale
plus de saturation de port par des bateaux en " garage mort"

Les professionnels du nautisme ont aussi leur part de responsabilité dans la pénurie des places de ports, leur métier est de vendre, leur prise en considération du client ne porte que sur le produit, et pour ainsi dire pas ou peu sur les services liés à l'utilisation qui devraient se porter sur les solutions à proposer en période de non utilisation....

Il est facile de reporter sur les ports '( dont la réalisation sur l'espace public n'est pas extensible à l'infini) pour faire face à la mise sur le marché toujours plus importante de bateaux petits et plus nombreux ou grands et de plus en plus encombrants.

les solutions à trouver apparaissent dans certains ports, elles permettent de mieux utiliser les équipements existants et de répondre aux besoins divers des plaisanciers;

Voir les ports du Morbihan....

21 jan. 2014

"profession" précise rs'il s'agit celle des ports ou celle des "professionnels du nautisme", ces derniers étant clients des ports il convient de préciser.

l'information et l'échange des usagers et services portuaires sont indispensable à la compréhension et à l'évolution des services. L'effort en aménagement à ses limites, l'ingéniosité des usagers est sans limite.

il est plus simple de dire, le port peut répondre à ma demande, que de rechercher une solution pour parer à l'impossibilité du port à me loger.

Le port a une approche globale d'intérêt général, l'usager cherche son intérêt particulier, emplacement-services-tarif etc...

l'encombrement des bateaux est mesurable.
la circulaire relative à l'harmonisation des bases de la tarification portuaire existe depuis plus de 25 ans.....

Les catégories de longueur sont de 50 en 50 centimètres

les largeurs sont celles de bateaux de l'époque.

Les équipements portuaires ne sont pas aussi différenciés que les caractéristiques des bateaux? en fonction des caractéristiques des postes d'amarrage, en particulier dans les marina privées, les catégories ont été regroupées par 2 ou 3 voire plus.
Ceci s'est également développé dans les ports à gestion publique.

Le coût d'une place de port est variable à la construction, à l'exploitation:

situation, conception,marée, protection,dragage, capacité, services, équipements, etc interviennent dans le niveau de tarification.
Les subventions et apports divers des collectivités concessionnaires sont aussi à prendre en compte.

L'objectif économique du port est plus ou moins pris en compte dans l'établissement des tarifs en fonction de la manière dont les collectivités concoivent l'intérêt de cet équipement.....

les taxes foncières correspondent à une redevance dues à l'état pour l'occupation du domaine public maritime. je ne connais pas les bases de calcul...

La capacité moyenne d'un port permettant l'équilibre de ses comptes n'est pas déterminable en raison des multiples facteurs qui pèsent sur l'analyse...

L

18 jan. 2014

Pir2lune...

Je te remercie d'apporter ta pierre à l'édifice et de tenter d'établir, ou pour certains rétablir, dans leur esprit la vrai philosophie qui anime la majorité des personnels impliqués dans la gestion ou réglementation des ports, quelque soit leur statut (désolé j'oeuvre dans des ports de commerce)....Je me sentais un peu seul dans cette démarche.....

19 jan. 2014

J"ADORE le style et le jargon technocratique comme ''équipements structurant de l'économie locale".
Quand on discute avec les saisonniers sympas payés au lance-pierre l'été, le son de cloche sur la réalité des choses est différent.
Peut-on comparer le port breton à gestion municipale où le népotisme règne en maître et où on vous regarde avec des yeux ronds quand vous suggérez d'installer des échelles de secours sur les pontons et les énormes usines du Languedoc championnes des techniques les plus modernes de gestion des RH et capables de lancer une véritable campagne nationale de désinformation sur l'incidence d'une modification de la fiscalité locale...
Que penser de ce port du Morbihan où à la mi-septembre TOUTES les places visiteurs sont occupées par des bateaux en hivernage ?
Combien de ports veillent encore le canal 16, et sont capables de répondre à un appel simple en langue étrangère ?
Où sont les listes d'attente accessibles sur internet pour les inscrits pour assurer un peu de transparence ?
Combien de ports envoient une lettre d'information par mail aux détenteurs d'une place ? (bilan de gestion, travaux prévus, compte-rendu des discussions avec le comité légal des usagers... ça ne coûte pas une fortune)

19 jan. 2014

D'accord, mais beaucoup d'étrangers utilisent le 16, le 9 étant la norme en France (et avec le dual watch, ça n'est guère un problème si on sait dire "XXX from YYY marina, please switch to channel 9, please"
Puisqu'il faut des saisonniers, pourquoi ne pas privilégier des jeunes qui se débrouillent en langue étrangère ?
J'ai rencontré un couple d'allemand en Espagne qui mouillaient en France plutôt que d'aller dans un port en raison de l'obstacle de la langue (ils parlaient anglais)

19 jan. 2014

Pardonnez-moi si vous avez compris que je mettais en cause la qualité des personnels des ports de plaisance. Il en est de cette profession comme de toutes les autres, on y trouve la même diversité de niveaux de compétences. Je respecte à titre individuel tous ces professionnels.
Par contre, je suis très critique vis de la profession elle-même et de ses instances représentatives ainsi que des autorités de tutelle qui définissent le cadre dans lequel nous utilisons les ports.
Mes principaux griefs portent sur leur incapacité à faire face à l’évolution et à la diversification des besoins des différents types de plaisanciers (je ne peux entrer ici dans le détail), sur le fait qu’ils ont laissé se développer une situation de pénurie pendant plus de trente ans sans se donner les moyens de la résoudre (cas unique dans l’industrie de loisirs), sur le rôle de frein qu’ils ont joué dans le développement des industries nautiques…
Récemment l’instrumentalisation par la Fédération Française des Ports de Plaisance de la révision des modes de calcul des taxes foncières est tout simplement honteuse.
Plus généralement, je pense que la culture des ports de plaisance à l’égard des pratiquants que nous sommes doit profondément évoluer.
Quand je vois les systèmes sophistiqués de flicage qui ont été récemment imaginés pour obliger les bateaux à sortir. Je me dis que vraiment cette profession (pas les employés pris individuellement bien sûr) a encore beaucoup de travail à faire sur elle-même avant de penser à nous donner des leçons.

20 jan. 2014

"Les professionnels du nautisme ont aussi leur part de responsabilité dans la pénurie des places de ports, leur métier est de vendre, leur prise en considération du client ne porte que sur le produit, et pour ainsi dire pas ou peu sur les services liés à l'utilisation qui devraient se porter sur les solutions à proposer en période de non utilisation...."

Absolument....On voit souvent des plaisanciers "novices" qui se font avoir en achetant un navire à des professionnels qui leur laisse la jouissance d'une place de port. Mais ce qu'on ne leur dit pas c'est qu'il doivent la dégager en catastrophe dès que ce même professionnel vent un nouveau navire... Et quelquefois on se fait presque prendre à parti par ces acquéreurs abusés ( et désabusés aussi) parce qu’on ne peut leur trouver une place pour les reloger...Comme si les ports devait assurer le SAV des revendeurs !!!

21 jan. 2014

Ce sont effectivement les bonnes questions à se poser. La compagnie des ports du Morbihan (ex sagemor) me semble avoir su écouter ce que nous lui disions et progresse dans le bon sens.
Pour en revenir au sujet qui est : Quelles sont les bases de calcul de la tarification des ports selon l’encombrement des bateaux ? Peut-on « homogénéiser » ou « normaliser » ou standardiser » ce mode de calcul afin que le plaisancier s’y retrouve et que l'on évite les malentendus et les litiges, afin qu’un inventaire précis des capacités d’accueil des bateaux selon les tailles puissent être réalisé en France, afin que l’on puisse consolider l’offre et la demande dans des bases de données qui n’additionnent pas des « choux et des carottes » etc…
Pour se développer une profession doit commencer par apprendre à compter. Celle-ci est encore aujourd’hui incapable de le faire. Elle énonce de manière compulsive depuis trente ans une pénurie des places de port. Elle fait ça au doigt mouillé et c’est à peu près toujours le même chiffre.
Il y a selon moi une grave carence (dont nous souffrons tous) de l’ensemble de cette profession. Ce n’est pas sa réaction « poujadiste » sur les taxes foncières qui donnera le change et dérivera l’attention sur ses insuffisances.

18 jan. 2014

A La Rochelle :
"La base de tarification est la longueur hors-tout (y compris les apparaux fixes). En cas de dépassement de la largeur maximum, le tarif appliqué est celui de la catégorie correspondant à la largeur réelle du bateau. "

C'est comme ça que mon bateau a grandi d'un coup : trop large... Je suis passé à la catégorie au-dessus !

18 jan. 2014

itou à la roche Bernard. L'aquila de 8.28 est dans la catégorie des 9m car il fait 3m au bau.

18 jan. 2014

oui, longueur ou largeur par rapport à une courbe établie

comme pour le fret, volume ou poids

logique sinon, mon bateau fait 3m50 de long pour 10m50 de large :pouce:

18 jan. 2014

Si je change de bateau, la coque mesure 9m99:p

3,5m de large.

Je suis certain que je vais être facturé pour un 11M.

S.

18 jan. 2014

Tout dépend des catégories tarifaires du port. Il y en a qui changent à x,50 m d'autre à x,00 m. Si je prend ton cas et que tu viens à Cannes, tu seras surclassé car pour un navire de LHT 9,99 m la largeur maxi est 3,40 m. Tu ne sera pas facturé pour un 11 m mais pour un compris entre 10 et 10,99 m (d'où l'importance du centimètre). Le problème étant qu'il n'y a pas d'harmonisation des tarifs portuaires, on peut être considéré différemment selon le port ou l'on fait escale....mais les navires sont très rarement mesurés lors de passages et on s'en tient la plupart du temps aux documents navires, sauf si manifestement il y a incohérence avec l'aspect du navire ...

18 jan. 2014

Sur l"acte de francisation mon bateau mesure 7m96X2m48, donc je suis dans les moins de 8m, se qui permet d'avoir un tarif honnete.
Maintenant si ils mesurent au fil à plomb, il va etre pris en compte la delphiniere se qui va faire plus 30cms , et derriere la je ne sais pas soit la petite passerelle environ 30 cms ou le debort de mon portique avec le solaire la c'est delire.
De toute façon je sort du 8M et cela me fait passer dans un forfait superieur.
Comme j'avais un contrat à l'année et que la j'ai demandé a changer car on va bientot partir, j'ai peur qu'ils appliquent leurs nouveau systeme, et donc de subir l'augmentation.
Pour prendre la mesure au fil à plomb il faut une sortie d'eau, alors à qui les frais de grutage ?
Pierre

18 jan. 2014

Sans aller jusqu'au fil à plomb, un simple décamètre de l'avant extrême à l'arrière est l'outil de mesure généralement utilisé.

19 jan. 201419 jan. 2014

Lorsque la catégorie se joue à quelques centimètres, le décamètre n'est pas suffisamment précis notamment pour les M/Y à cause des cockpits ou passerelles...difficile de passer à travers les sabords....Pour les voiliers, il y a toujours dans l'axe un mât, un étai ou autre qui faussent la mesure. Le seul moyen à notre portée incontestable est bien le fil à plomb...On peut aussi mettre l'étrave en butée contre un quai et prendre une visée de la limite arrière et s'il y a litige on passe à la version fil à plomb qui n'est employée qu'en dernière limite ou lorsque l'opportunité se présente (carénage). On établi un PV de mesure précis qui fait foi en mentionnant les points de référence..........

19 jan. 2014

Quelqu'un pourrait-il préciser à quoi correspond règlementairement la mesure hors-tout et les apparaux fixes (des exemples seraient bien venus) ?
Merci !!

19 jan. 2014

C'est assez simple... On pourrait dire pour que ce soit bien compris que la LHT (ou largeur) correspond à la longueur ou largeur d'encombrement incompressible du navire et qui ne pourrait être modifiée sans démontage d'une partie fixe. par exemple un bossoir s'il est pivotant ne sera pas compris, une delphinière fixe, une plage arrière fixe sera intégrée dans la LHT....Ca pourrait correspondre à la dimension de la boite dans laquelle on peut entrer un navire une fois ses partie mobiles retirées. Mais attention par exemple pour un moteur HB il sera intégré dans la LHT en position relevée car il fait partie intégrante d'un navire lorsque c'est son moyen de propulsion...

19 jan. 2014

questions.assemblee-nationale.fr[...]6QE.htm

13ème législature
Question N° : 102696 de M. Michel Grall ( Union pour un Mouvement Populaire - Morbihan ) Question écrite
Ministère interrogé > Transports Ministère attributaire > Transports
Rubrique > tourisme et loisirs Tête d'analyse > ports de plaisance Analyse > redevance. réglementation
Question publiée au JO le : 15/03/2011 page : 2468
Réponse publiée au JO le : 13/12/2011 page : 13118
Date de changement d'attribution : 29/06/2011
Date de signalement : 06/12/2011
Texte de la question
M. Michel Grall appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur les demandes des usagers des ports de plaisance. En effet les sociétés gestionnaires de certains ports ont effectué des ajustements sur les redevances portuaires à la suite d'opérations unilatérales de mesures des bateaux prenant en compte des parties amovibles. Or il semblerait que, d'une part, seules les autorités douanières seraient habilitées à réaliser cette mesure et, d'autre part, en application de la norme ISO 8666 de février 2003, les seules dimensions officielles d'un bateau sont celles qui figurent sur son acte de francisation ou son titre de navigation qui retient « la longueur et la largeur hors tout mesurées entre les parties extrêmes avant et arrière de la structure permanente du bateau », ce qui exclurait tous les ajouts démontables. Il lui demande de bien vouloir lui préciser la réglementation en la matière.
Texte de la réponse
Les navires de plaisance français désirant effectuer une navigation maritime doivent disposer d'un document administratif délivré par l'administration française. Ce document est, pour les embarcations dont la longueur est supérieure à 7 mètres, un « acte de francisation et un titre de navigation » délivré conjointement par les services des douanes et les services des affaires maritimes. Pour les embarcations dont la longueur est inférieure à 7 mètres, ce document est une « carte de circulation », délivrée par les services des affaires maritimes. Depuis le 16 juin 1998, date d'entrée en vigueur de la directive européenne relative à la construction des bateaux de plaisance, la longueur figurant dans ces documents est la longueur de coque, mesurée conformément à la norme EN ISO 8666 « navires : données principales », c'est-à-dire, la longueur de coque sans tenir compte des appendices démontables et qui ne font pas partie intégrante de celle-ci. Concernant la redevance pour une place d'amarrage dans un port de plaisance, l'article R. 214-2 du code des ports maritimes précise que : « la redevance d'équipement des ports de plaisance est perçue en fonction de la durée de stationnement dans le port considéré ainsi que de la longueur et de la largeur du navire ». Aucune précision n'est donnée quant au type de longueur à retenir. Le choix du type de longueur relève donc d'une décision du gestionnaire de port, validée par l'autorité portuaire. La solution la plus simple, mais qui n'est pas obligatoire, est de retenir la longueur de coque mesurée conformément à la norme EN ISO 8666, longueur utilisée notamment dans le cadre de la réglementation européenne. Quelle que soit la longueur retenue par le gestionnaire d'un port, celle-ci doit figurer dans le règlement intérieur du port, surtout si la référence utilisée n'est pas celle de la longueur de coque mesurée selon la norme EN ISO 8666. De même, cette longueur doit être reprise dans les tarifs et clairement affichée pour l'information des usagers du port.

Remarque perso
A savoir également que pour les navires dont la longueur indiquée dans l’acte de Francisation est la longueur de signalement, cette mesure n’est pas reconduite en cas de transfert de propriété. Elle n’est plus réglementaire. En particulier pour les bateaux construits avant toute normalisation, c’est la longueur indiquée sur le certificat de jauge détenu pour tous les bateaux, de série ou non, par les Douanes qui est porté sur le nouveau document A4. En général, la longueur de jauge est supérieur à la longueur de signalement. Donc pour éviter toute déconvenue à l’occasion de l’achat d’un bateau dont l’Acte de Francisation mentionne la longueur de signalement, se renseigner auprès des Douanes.
Bonne navigation
Philippe

22 jan. 2014

Un voilier classé comme tel a par définition comme mode de propulsion principal la voile. Un moteur HB sera donc par définition un moteur annexe et en principe ne se trouvera que sur les petites unités et pourra de ce fait être retiré facilement au port. Mais sur des navires de ces tailles en général on ne le prend pas en compte...Je parlais surtout pour les moteurs plus puissants qui sont à poste fixe et qui peuvent dépasser d'un mètres en position relevée.

Pour les longueurs voici un tableau intéressant des différentes définitions :

www.unanmed.fr[...]g01.pdf

22 jan. 2014

la longueur de signalemen= longueur pour la jauge du bateau en tonneaux
définition: longueur de la face intérieure de l'étrave à l'axe de la jaumière mesurée au niveau du pont.

22 jan. 2014

le problème n'est pas le tarif mais qui est responsable en cas de pépin.

Une fausse déclaration de la longueur hors tout amènera et pour le port et pour l'assurance du bateau un rejet de la prise en charge des dégats.

c'est pour éviter ces problèmes éventuels et futurs que le mesurage du bateau en présence du propriétaier, ou avec son accord ou après l'avoir informé, est une démarche effectuée dans l'intérêt commun pour éviter des complications....

22 jan. 2014

il y a un tas de "longueur"

il faut comprendre les choses .

sur notre livret les dimensions sont celle du bateau lui m^me et definisent le bateau ... la longueur de signalement est la longueur qui caracterise le bateau c'est à dire sa longueur à la flottaison qui est un parametre de son deplacement de sa vitesse de son echantillonnage etc ..

Par contre les gestionnaires des ports eux ils s'en foutent de ces dimensions ce qui les interessent s'est l'encombrement total de chaque bateaux sur leurs plans d'eau ...

22 jan. 2014

Merci à vous 2 pour ces réponses. Et moi qui croyait que la LHT signifiait Longueur Hors Tout CE QUI PEUT S'ENLEVER... La longueur de la coque en fait !!

PARENTHESE06 : "un moteur HB il sera intégré dans la LHT en position relevée car il fait partie intégrante d'un navire lorsque c'est son moyen de propulsion"
Et dans le cas d'un voilier ?

Solbad : Très intéressant ton texte. Il est important d'apprendre que chaque port choisi son type de longueur pour les contrats à l'année. Il faut juste que ce soit précisé clairement et affiché. En passage les capitaineries se contentent des infos du "livret".

En ce qui concerne la longueur de signalement, ça correspondait à quoi à l'origine cette mesure ?
Mon bateau est de 1976.
Sur mon ancien livret, longueur totale : 7m40, longueur de signalement : 6m65
Sur mon document A4, dimensions de la coque : 7m40 = certificat de jauge. Norme EN ISO 8666 ?

22 jan. 2014

Merci pour ce tableau, m'en vais l'étudier !

22 jan. 2014

Merci ! Je sais tout ! Très instructif tout ça !

Allez, encore une, pour le plaisir, et pour aller au bout du sujet !
Qui a le droit de mesurer le bateau, la douane uniquement ou, comme le dit PARENTHESE06 sur un autre fil, un fonctionnaire assermenté www.hisse-et-oh.com[...]s-ports
Il y a plusieurs "interprétations", voir la PJ ici : www.hisse-et-oh.com[...]s-ports

22 jan. 2014

En effet José, il faut comprendre les choses. :heu:
Donc je suis sûre que tu as compris qu'avant même de les "comprendre" il faut recevoir/détenir/demander/rechercher les informations.
Ça tombe bien, nous avons ici des personnes qui peuvent nous les communiquer !

22 jan. 2014

La longueur de signalement est la longueur entre la verticale de l'étrave et l'axe du gouvernail. Ce fut une mesure utilisée par la douane qui disparait progressivement de nos livrets de francisation. Pour une longueur de coque, qui est également la longueur hors tout de mon Ecume de Mer de 7,90m, la longueur de signalement est 7,05m et la longueur de flottaison de 5,85m.

21 jan. 2014

C'est le bon sens que de tenir compte de l'emcombrement réel des bateaux. Nous savons que les thoniers du passé qui s'entassaient à port tudy avaient le bout-dehors relevé.

19 jan. 201416 juin 2020

Mon bateau mesure 10, 95 longueur hors tout du balcon avant à l'échelle arrière et 3, 70 m de largeur donc à ARZAL je suis en catégorie K. J'ai envie de rajouter une plateforme arrière pour la baignade et autres activités. Et bien si je le fait je passe en catégorie L.
Voila !!!!!!!!!!!!!

Pierre


19 jan. 2014

As-tu pensé à faire une plateforme rabattable ? bon d'accord, tu n'as QUE 4cm de rab :lavache:

19 jan. 201416 juin 2020

Intéressant de voir le prix au m² à Arzal.
50% plus cher au m² pour un bateau de 6 m que pour un bateau de 13 m.

La bourgeoisie se débrouille toujours bien...

21 jan. 2014

le tarif forfaitaire annuel a été créé à la création des ports pour attirer la clientèle.

aujourd'hui, ce même contrat est un obstacle à l'accueil de la clientèle.

il y a quelque chose à revoir. qu'il y ait un tarif différent en fonction des saisons, je le comprends mais que deux bateaux identiques paient différemment pour un même séjour, je pense qu'il y a une infraction au cahier des charge relative à l'égalité de traitement des usagers du port public.

en 1969, le tarif était compté à la journée, sur la base de la longueur, donc au mètre, avec un tarif été et un tarif hiver.

revenir à ce type de calcul serait une révolution égalitaire qui amènerait les bateaux à l'année à trouver d'autres solutions (sachant que les bateaux sont à l'eau-voire utilisés- de 1 a 6 mois par an et qu'en fonction de leur taille, ils n'ont pas nécessairement besoin en permanence de leur place au port à flot.

21 jan. 2014

20 ans comme directeur de port....

les solutions existent uniquement au niveau de chaque port qui a ses propres caractéristiques techniques et une clientèle spécifique; C'est ce qu'entreprend le Morbihan en utilisant ses terre-plein pour l'accueil hivernal de grosses unités....

Les chantiers nautiques ont aussi leurs rôle à jouer pour le stokagetout au long de l'année des bateaux qui ne naviguent pas.

Les locations de bateaux auprès de professionnels sont également une solution moins onéreuse à terme que l'achat d'un bateau qui ne navigue que 3 semaine à 1 mois mais occupe un poste toute l'année.

Les terre plein des zone technique offrent des possibilité de stockage des petites unités à moteur. sans gros aménagement; et les moyens modernes de manutention sont performants.

Une remorque permet de ne pas mettre son bateau au port (jusqu'a 7 mètres) de l'hiverner dans son jardin (le nombre de propriétaire de bateau qui sont propriétaire d'une résidence à proximité est très significatif)

Nombre de propriétaires possédant une embarquation ou un pneumatique semi rigide disposent d'une remorque et ne sontpas tributaires d'un port,ils réclament seulement des cales de mise à l'eau....

Il y à 200 ports en France qui ont chacun à imaginer en fonction de leur clientèle les solutions pour le meilleur accueil.

Il n'est pas interdit non plus aux navigateurs plaisanciers de prendre en charge la résolution de ce problème général.

le port propose, voire impose son point de vue en l'absence d'interlocuteur qui participe à l'évolution des choses.

En son temps j'ai imposé à une société de location de bateau qui faisait venir dans le port des bateaux de particuliers pour les louer, j'ai imposé un paiement à la journée au prix fort.... En fin de saison le professionnel m'a avoué avoir gagner de l'argent (45% de frais de port en moins) et pour le port 10 places de passage disponible,soit une capacité d'accueil de
900 sur les 3 mois d'été....

Je pourrai aussi parler de l'accueil des bateaux arrivant par camion pour une navigation saisonnière (les bateaux n'étaient pas "taxés aux tarifs forts,pendant la période en attende de l'équipage.

22 jan. 2014

Pythéas54:

que proposes-tu à ton modeste niveau de contestataire chevronné?
dans quel conseil portuaire es-tu et quels sont tes actions? quel type de contrat as-tu? quelle autre solution pourrais-tu mettre en oeuvre? combien de temps navigues-tu ?

22 jan. 2014

ce qui se traduit par

les vieux copains du maire sont des incompetents
l'adjoint du maire devarit etre un chomeur
et la gentille secrétaire ta maitresse

ainsi le port serait bien mieux geré

pour info : la composition du conseil portuaire est defini par la loi et toutes les associations oeuvrant dans le cadre du port font obligatoirement parti du conseil portuaire .

donc s'il n'y a pas une association representant les plaisanciers tu peux tres bien prendre l'inititive de la créer et tu siegera au conseil portuaire avec les vieux copains du maire .

22 jan. 2014

juste une remarque :

a Lorient ils sont en train de faire un port à sec , le prix des emplacements est en previsonnel plus cher qu'une place au ponton à l'année ... les places du port à secs sont dejà presque toutes retenues. pourquoi ? dans le coin le temps d'attente est en moyenne 5 ans pour avoir une place

22 jan. 2014

à Lorient il n'y a aucun promoteur sur le coup ,c'est l'agglomeration de communes qui est propriétaire et qui donnera la gestion a la Saillor stucture dirigé par les communes

22 jan. 2014

Ne pas confondre gestion de trésorerie et service public, ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas gérer au mieux, argumenter avec des éléments financiers est cependant dans l'air du temps.
chaque port a une clientèle de proximité de l'ordre de 250 à 300 bateaux, ce qui veut dire qu'un port sera saturé s'il dispose de moins de 250 places et qu'il soit immédiatement saturé et ne plus répondre à la vocation d'un port en l'orientant par les faits vers celle de parking particulier pour usagers locaux également électeurs....

.

21 jan. 201421 jan. 2014

@ a_guy
Je crois qu'il ne faut surtout pas chercher de rationalité devant ces tarifs... C'est un bricolage depuis des dizaines d'années au gré des humeurs des responsables locaux, souvent institutionnels, afin d'assurer un certain équilibre financier en ne mécontentant pas la clientèle locale tout en tentant d'attirer une clientèle lointaine plus fortunée... La demande supérieure à l'offre dans beaucoup d'endroits évite toute réflexion sérieuse: 3% de plus cette année et basta...

21 jan. 201416 juin 2020

Le même Tableau pour le port du Brise Lame Anglet

Encore plus étrange pour allez dans le sens de Pytheas
Un petit bateau de passage paie plus chers qu’un plus de 18 mètres à l’année dans un port à l’année.

Si je peu comprendre que certaines charges sont répercutées par anneau indépendamment de la taille du bateau.(ex un robinet installé par emplacement que le bateau soit grand ou petit ,il faut toujours un robinet ou un disjoncteur).J’ai beaucoup plus de mal a comprendre que les parties consommables ne soient pas proportionnel ! Et pourquoi la courbe n’a pas la même forme (entre ce que paie un bateau de passage et un bateau qui à un anneau annuel !).
J’aimerais bien avoir le détail de ces calculs pour comprendre ! ou Comment est calculé le prix d’un anneau !

21 jan. 2014

"qui amènerait les bateaux à l'année à trouver d'autres solutions "...
20 ans comme directeur de port de plaisance, et pas un mot sur ce que pourraient être ces "autres solutions" ???
Vous êtes vous interrogé sur la raison pour laquelle le stockage à terre des petites unités par exemple est au point-mort: prix du foncier en bord de mer, opposition des écolos devant le saccage du paysage, lourdeur des investissements initiaux et du fonctionnement (racks, portique de mise à flot, pontons pour l'amarrage après la mise à l'eau, gardiennage etc...), aides des collectivités locales impossibles en raison de la situation économique, emprunts bancaires impossibles en raison de la très faible rentabilité prévisible: le coût pour l'usager ne peut être supérieur à celui des ports actuels (qui sont très souvent amortis), sinon il boudera cette solution (sauf à augmenter fortement les tarifs des ports, ce qui est dangereux politiquement pour les élus locaux, les possesseurs de petits bateaux étant souvent du coin); impossibilité d'assurer toutes les mises à l'eau et sorties dans un délai raisonnable pendant les ponts de printemps... J'arrête là cette énumération...

22 jan. 2014

Bon, un catalogue de mesurettes et de voeux pieux...

les ports qui ont de l'espace de stockage sont rares, et l'utilisent depuis longtemps

Les chantiers nautiques sont saturés, et tendent à fermer car l'activité est peu rentable.

Pour la location, il est devenu impossible de trouver des bateaux entre 8 et 10m qui correspond à une grande demande, car ce n'est pas rentable

Pour les petits bateaux et les remorques (sans parler des pneus qui n'ont rien à faire dans cette discussion), beaucoup le font déjà, et ceux qui restent c'est sans doute parce qu'ils habitent un peu trop loin.

"Il n'est pas interdit non plus aux navigateurs plaisanciers de prendre en charge la résolution de ce problème général." Ben voyons, ils peuvent certainement trouvé des solutions quand les professionnels n'en voient pas

"le port propose, voire impose son point de vue en l'absence d'interlocuteur qui participe à l'évolution des choses."

Je l'ai déjà dit: combien de ports souhaite VRAIMENT impliquer les utilisateurs par les biais des nouveaux moyens de com, qui ne coûtent pratiquement rien ? Combien communiquent leur budget, la stratégie à moyen terme, etc..? Il n'y a qu'à voir l'opacité des listes d'attente pour se faire une idée.

Je cherche aussi toujours les analyses et propositions des directeurs de port dont je suis certain que nous payons les cotisations a un (ou plus vraisemblablement) plusieurs associations professionnelles.

On ne trouve pas non plus par exemple de compte-rendu sur le succès du Passeport Escales en Manche / Atlantique. Et pourtant ça doit discuter sec (Perros-Guirec le fait payer 20 €, car ils perdent certainement de l'argent)...

Comment les usagers se sentiraient-ils concernés dans ces conditions ?

22 jan. 201416 juin 2020

J'espérais un retour constructif de quelqu'un qui a été un pro, pas une pirouette digne d'un ancien trotskiste ;-)

PS le conseil portuaire de mon port est composé de quelques vieux copains du maire, gros contribuables de lieu (port à gestion municipale). Le directeur du port est un adjoint du maire, qui cumule bien d'autres casquettes...La gentille secrétaire qui gère tout (y compris l'attribution des places à l'année) est la compagne du responsable technique... La vraie France, qui mériterait une thèse de sociologie.
Je ne gêne en rien, au contraire, il y a des places libres à l'année et pas chère (sur le site du port)

22 jan. 2014

Bravo, Bien vu ;-)
Si, il y a une association, avec local offert par la mairie, et tout... = le conseil portuaire. Un Yacht-Club aussi pour les régates (et l'accueil du TdF, Figaro etc...) qui ne s'entend pas avec l'association, mais comme il y a les subventions de la mairie (la commune est riche)... :jelaferme:
Enfin, je ne suis pas du coin
Quand je pense à tout ces jeunes formés, chômeurs et aimant la voile, je suis triste...

A 20 km de là, un maître de port compétent, présent sur les pannes, communiquant (un blog mis à jour chaque semaine pendant les longs travaux dans son port), à l'écoute même des visiteurs, courtisant la clientèle étrangère pour remplir son port...

Un peu plus loin, de l'autre côté, un port tout neuf, accueil prévenant depuis le zodiac (aide à l'amarrage si besoin) jusqu'à la capitainerie, une pochette dès l'accostage pour les visiteurs avec tout ce qu'il faut savoir sur les commerces, le tourisme, les tarifs du port, etc...

22 jan. 2014

Sans doute la même chose avec le nouveau port à sec de La Pallice... Comme j'ai essayé de le dire plus haut, les ports a sec ne semblent pas être une solution intéressante pour le plaisancier, mais plus pour les promoteurs, avant qu'ils ne fassent faillite...

22 jan. 201422 jan. 2014

Bien sûr, où avais-je la tête...
La Sellor
Un capital de 177 000 euros (moins qu'une maison individuelle) mais un CA de 4,5 M d'euros annuel, 90 salariés à plein temps...
pas trouvé les chiffres d'investissement pour cette opération, mais ça doit être du lourd...

21 jan. 2014

Je ne pense pas que ta première phrase reflète la réalité!
Les bateaux ayant un contrat à l'année apportent l'essentiel de la trésorerie en début d'exercice, les bateaux "visiteurs" représentant un revenu beaucoup plus aléatoire.
Entre les deux, il y a les tarifs à la semaine (inférieurs à 7x jours), les visiteurs payant au mois, éventuellement un tarif visiteurs-hivernage. le tout vise à obtenir un bon compromis entre remplissage et couverture des frais, certainement pas facile à gérer. ET c'est pareil dans les pays voisins.
Face à ces contraintes de gestion, chaque plaisancier a son problème personnel et voudrait que la tarification du port s'y adapte!

19 jan. 2014

Je pense que déjà l'échelle fait plus de 4 cm alors..........
D'un autre coté je ne sais pas vraiment si je rajoute cette plateforme quelqu'un viendra me changer de catégorie ?????
Pour la baignade j'attend de changer de terrain de jeux car la Bretagne c'est génial pour naviguer mais pour se baigner sans combinaison c'est un peu juste pour moi.
Mais effectivement si je rajoute une plateforme je la vois bien rabattable.

Pierre

19 jan. 2014

Je pencherai pour une gratuité des places jusqu'à 7 mètres et de quadrupler le tarif des tailles au-dessus.
Comme ça je serai très content... :acheval: :acheval: :acheval:

19 jan. 2014

Nous verrons bien à notre retour, apparement ils prennent en compte delphiniere, plateforme , panneau solaire sur portique, et meme l'echelle de bain.
Rien a dire au niveau des infrastructures du ports, blocs sanitaires neufs, bornes individuelles d'eau et electricitée, clé electronique pour rentré sur le parking et dans le port, service de securité vendredi/samedi/dimanche soirs ainsi que pendant les vacances et jours feriés.
En fait j'ai remarqué cette année que de plus en plus de ports demandaient la "vraie" longueure du bateau et non celle inscrite sur le carnet, pour certains endroits cela ne change rien la cat2 va jusqu'a 9m, mais pour d'autres elle est de 8m, pour eux le tarifs va etre differents maintenant pour les memes prestations.
Apres je ne suis pas obligé d'aller dans un port, dans le cas ou cela est possible juste resté au mouillage, mais aprés 10/12 jours de mer sur un 8M c'est bien agreable un port.
Un grand merci pour vos exemples et temoignages, nous etions vraiment dans le flou. aller une etoiles pour tous

21 jan. 2014

ce qui est super amusant dans tous vos discours ci dessus c'est que l'on est toujours "contre"
contre le longueur ,contre la surface,contre la gestion,contre les ports,contre le personnel, etc etc ..

mais jamais une seule proposition ,jamais pour quelques choses ... mais c'est peut etre plus compliqué ...

josé

21 jan. 2014

Calipso, reprend mes interventions et fait un commentaire

22 jan. 2014

merci :pouce: :pouce:

21 jan. 2014

pir2lune mon commentaire sur tes interventions !

"Les paroles des grands ne tombent jamais à terre"

Almanach du marin Breton

22 jan. 2014

Non, c'est pas super compliqué. J'ai retrouvé un CR de réunion avec le staff de la Sagemor qui remonte à trois ans et qui est repris dans leur offre Crouesty à la carte. J'étais content de voir que c'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd.

21 jan. 2014

l'idéal est un bateau carré....le bateau large de 4 m et mais très effilé paiera de la surface pour rien, si on ajoute une annexe attachée à l'étrave, mais qui ne dépasse pas la largeur du bateau, en fait stationnée dans les m2 déjà comptabilisée est-ce autorisé ?? oui, oui, vous avez raison je pinaille, la mienne est sur des bossoirs qui tiennent mes panneaux solaires donc mauvaise question. La façon de calculer les tarifs est aussi je pense, suivant le niveau d'accueil ou du prix du m2 dans la région ce qui serait somme toute assez logique. Il doit y avoir rentabilité pour que cela fonctionne

22 jan. 2014

le m² n'est pas une référence applicable sur les postes d'amarrage.

Il peut l'être sur un terre-plein.

une manutention à la longueur n'est pas plus judicieuse que la manutention au poids qui pourrait sembler plus logique, la manutention d'un voilier est peut-être moins délicate que celle d'une vedette, celle d'un cata différente de celle d'un monoqoque...

longueur, largeur, poids, formes et appendices de carène, superstructures et gréement entre en ligne de compte pour la manutention

un élévateur 30 tonnes est utilisé pour sortir un voilier de 10 tonnes; le temps passé et la main-d'oeuvre nécessaire à l'opération correspondent à un certain temps, pour quoi ne pas payer sur une base horaire...

il en est de même pour les poste d'amarrage où la différentiation est de mise pour le placement des bateaux sous la responsabilité du port. tous les postes ne sont pas accessibles à tous les bateaux ou n'importe quel bateau...

et les critères de tarification en fonction de la longueur, avec un élément de largeur ne veut pas dire facturer à la surface....

22 jan. 2014

concernant les tarifications il faut preciser une chose et etre juste .

les recettes des places doivent au moins équilibré les depenses faites ça c'est evident

dans la grande majorité des ports les bateaux paient uniquement les charges de fonctionnement c'est à dire
-le personnel (premier poste)
-l 'energie (electricité,eau)
-l'administration
- taxes .Tva ,taxe fonciere (derisoir)

les gros investissements (construction)etant à la charge des collectivités (communale, departementale, regionnale, etat) .

Or que l'on prenne un bateau de 6m ou un bateau de 12m les frais supporté par le port sont les m^mes
...l'energie consommé sont comparable, le personnel passe autant de temps a surveillé, administré un 6m qu'un 12m
etc
mais on a fait tout de m^me une tarification suivant l'importance du bateau ..

Le grand bateau paie pour le petit qui lui paie moins que celà coute au port ....

on peut peut etre legitiment ce poser la question du pourquoi

22 jan. 2014

petite question vous leur dite rien au port quand ils vienne mesuré votre bateau avec un simple decametre?? en quoi un agent du port avec son metre a ruban est-il plus apte a mesuré un bateau que le constructeur lui meme? le personnel du port n'est en aucun cas assermenté pour mesuré un bateau il est dans l'obligation de se fier au livret de francisation!desoler s'est un ptit coup de gueule mdrr suite a l'autre fil sur heo car si tout le monde refuserait catégoriquement de se faire mesuré par un vulgaire employé on en serait pepetre pas la,il peuvent venir essayé sur mon voilier je me pointe avec les texte de loi direct et sinon jte les envoies au tribunal!

22 jan. 2014

oui mais les ports peuvent aussi faire de m^me aller devant les tribunaux pour les tricheurs .

Ici le port faisait confiance aux declaration des plaisanciers en leur demandant la vrai longueur . Jusqu'au jour ou un employé ayant des doutes a commencé à controler les longueurs .. je ne te dis pas la suite ....

et en la circonstence je ne sais qui est "vulgaire" l'employé ou les plaisanciers tricheur .

22 jan. 2014

en effet calypso j'aurait du me relire le mot vulgaire n'est pas vraiment approprié surtout que le plus part sont quand meme arrangeant, mes excuse

22 jan. 201422 jan. 2014

Si tu as les textes de loi à ce sujet n'hésite pas à les communiquer ici.
J'ai posé la question à ce sujet plus haut, mais je n'ai pas eu de réponse claire et précise, voire légale (même si pir2lune a donné quelques éléments importants à prendre en compte).

22 jan. 2014

calou je suis justement en trin de faire une recherche

22 jan. 2014

bon sa avance doucement j'ai trouvé sa qui est intéressant:
ddata.over-blog.com[...]666.pdf

22 jan. 2014

ça c'est la definition de la longueur pour la DAFV qui n'a strictement rien a voir avec les definitions retenu par la plus part des ports ...

les ports ont un reglement interieur propre dans lequel est defini la longueur et la largeur retenu pour appliquer les tarifs ... point c'est de leur prerogative ...

22 jan. 2014

sa fait bien 2h que je cherche sur le net et j'avoue que je ne trouve rien concernant une quelconque réglementation sur les ports,j'ai ete voir les règlement intérieur de plusieurs port et pareil rien, je vais tenté d'envoyé des mails a des personne plus compétente en espérant avoir plus de renseignement,calypso2 j'espere ne pas m'etre emballé trop vite lol (mais ces possible)je vais bien voir!!

22 jan. 2014

sur ce lien (qui n'est pas officiel) il est stipulé:
Certains usagers ont modifié la longueur extrême de
leur bateau ou l'ont
changé, et occupent une place supérieure à celle d'
origine et apportent une
gêne dans les stationnements des bateaux voisins :
Cela relève de la police du port,
le poste de stationnement devant
être attribué
en fonction des dimensions réelles du bateau.
Cela suppose aussi que
les postes soient clairement identifiés.
a.p.p.l.perso.sfr.fr[...]4cb.pdf

22 jan. 2014

Dans mon post (N° 8 de la liste) tu trouveras pourtant très simplement la réponse à tes questions:
"Si la tarification à la longueur et à la largeur est bien précisée par l'article R 214-2 du Code des Ports Maritimes, c'est le Règlement de Police de chaque port qui indique comment sont mesurées les caractéristiques en question. Ce document doit être à la disposition des usagers pour consultation. "
Où trouver le Code des Ports Maritimes ?
www.legifrance.com[...]Code.do
Où trouver le Règlement de Police de chaque port ? Auprès de la Capitainerie ou du gestionnaire.

22 jan. 2014

en effet toute mes excuse j'ai bien cherché et visiblement je me suis bien emballé, ils peuvent venir mesuré dans se cas la! en meme temps un challenger fait 7m30 et comme je payait jusqu’à 8m ya de la marge! je me souvient maintenant que dans les camping c'est la meme chose il peuvent mesuré eux même la tente ou le camping car

22 jan. 2014

De toute maniere, la demande de place est superieur par rapport aux offres.
Quand on vois que dans certain ports il y'à 5/6 ans d'attente ou plus, avec aucunes transparence sur les attributions.
Donc quand on à une place, on la conserve, faut se satisfaire de se qu'on a, et payer.
Je pense que nous sommes beaucoup à faire la meme erreur, c'est à dire, de signer le contrat de location de la place sans le lire.
je ne savais pas que ma place etait automatiquement reconductible d'années en années, et ceci inclus les augmentations de tarifs.
Pour le moment l'augmentation ne depasse pas 3 euros, mais sous reserve des modifications apportés agissant sur la longueur et la largeur du bateau.
Pierre

23 jan. 2014

la règle, c'est le premier bateau présent pour prendre la place qui a la priorité et non le premier de la liste.

les contrat ne sont pas tacitement reconductibles
les places qui se libèrent ne correspondent pas toujours aux caractéristiques physiques du premier bateau (présent ou sur liste d'attente).

on ne remplace pas un pêche promenade de 6 mètres par un quillard de 10 mètres.

on n'attend pas la fin de la saison pour recevoir le premier de la liste d'attente alors que se présente dans le port un bateau qui peut immédiatement occupé la place libérée.

il n'y a pas 5/6 ans d'attente pour une place de port, la plupart des bateaux en liste d'attente on déjà une place dans un autre port.

si les listes d'attente sont longues c'est parce que la zone de navigation et d'activités sur l'eau est attractive... à moins que ce ne soient des motivations beaucoup plus terrestre: habitation, travail, famille, amis, activités nautiques personnelles.

qui ira faire de la plongée sur les cotes landaises?

24 jan. 2014

Sur ce point je ne suis pas de ton avis dans la généralisation du principe. En ce qui me concerne lorsqu'une place se libère (abonné) elle est proposée dans l'ordre de la liste d'attente lors d'une commission bipartite (concessionnaire /AP) en tenant compte des spécificités du navire certes (bathy) mais aussi de l'historique du demandeur, de l'état du navire amené (lutte contre les navire poubelles mis pour marquer son territoire). S'il y a des navires supposés en attente d'un poste sous contrat déjà dans le port, la majorité des postulants attendent d'être "élus" pour acheter le leur, et la liste d'attente est bien supérieure aux places réservées à la petite plaisance (- 24 m). Mais comme tu le dis justement c'est lié à la zone géographique et à la réputation du port.

24 jan. 2014

Tout comme Parenthèse06, il me semble difficile de généraliser certains de tes points de vue. Chaque Port a ses pratiques et ses contraintes (ports de plaisance communaux, ports mixtes départementaux, etc), et les cahiers des charges et les règlements d'exploitation sont donc différents d'un port à l'autre.
La SPM (ex Sagemor) respecte l'attribution des places en fonction de l'ordre d'inscription sur la liste d'attente (actuellement 12 ans d'attente !). En 2013, sur 158 personnes arrivées en tête de liste et contactées par le Port, 98 ont décliné l'offre (et ont été radiées de la liste d'attente) et 60 ont signé un contrat annuel. Le taux de réponses positives aux offres se situe dont à 38 %. Il y avait 2 682 personnes inscrites sur la liste d'attente au 31/12/2012.
La taille des bateaux ne semble pas être une réelle difficulté pour l'attribution des places, car il est toujours possible sur un grand port de déplacer quelques bateaux pour attribuer une place adaptée à l'attributaire.
Les contrats annuels proposés à la Trinité sont renouvelés chaque année par tacite reconduction, sauf dénonciation par l'une des parties.

23 jan. 2014

Fais attention car en été lorsque l'eau est plus chaude, ton bateau se dilate et devient donc plus long. Je crois que les zotorités locales en profitent pour mesurer en été!

24 jan. 2014

Je ne vois pas l'interet d'etre sur une liste, si on gare le premier zig qui arrive la c'est prendre simplement les gens pour des c..
En plus il y'a certains ports ou il faut casquer pour etre inscrit, et ça tout les ans.
Comme pour nous cela n'avais pas d'importance l'endroit ou on irais on est tombé en normandie, un port neuf en plus, et c'est vrais le contrat n'est pas renouvelé tacitement, c'est juste que si on ne renvois pas le contrat, on conserve la place(si le bateau est dans le port) pratique car comme nous n'avons pas de domicile, ne residant pas a l'adresse indiqué et ou ils nous envoient le courrier, on la retourné bien en retard.
Et je pense pas que c'est le premier bateau qui se presente qui à la place, car avant d'acheter se bateau on en avais trouver un dans un port ( en bretagne), mais comme on ne pouvais pas conserver la place, l'affaire ne c'est pas faite, pourtant la nous etions les premiers, le bateau deja amaré et branché, la capitainerie, nous à expliquer que d'autres etaient en attente, si on voulais, on pouvaient remplir une demande, mais là.....le bateau dois partir !!
Par contre sur les formulaires c'est bien ecrit Longueur HT, mais bon comme chacun fait ça sauce , je pense que la vraie mesure du bateau aujourd'hui se fait en euro.
L'avantage, c'est que quand tu est au visiteur, avec les saisonniers quand tu paye en espece ton bateau il a la bonne taille, et en plus on est pas à un jours pres.

24 jan. 2014

la liste d'attente ne concerne que les postes à l'année, c'est ce type de contrat qui pose problème

24 jan. 2014

Il me semble que pir2lune n'a pas tout faux. Il a raison quand il parle des bateaux occupant une place de port à l'année et qui ne naviguent que 3 semaines.
Une étude (que je ne retrouve pas) disait d'ailleurs que la moyenne de sortie était inférieure à 12 jours par an ...
Je n'ai pas tous vos soucis, je n'ai pas les moyens de toute façon. Mon bateau est au sec dans un chantier naval du Morbihan, ça me coûte bien moins cher qu'une hypothétique place à flot, je n'ai aucun problème d'osmose et c'est plus simple et facile pour bricoler.
Pour mes 4 semaines de vacances le chantier me le met en attente sur une de ses bouées après avoir rechargé les batteries et fait le plein de gasoil (si je lui ai demandé) et hop je pars. Je fréquente peu les ports, sauf pour l'eau et le ravitaillement (et si meteo peu avenante). Quand à ma place sur le terre plein du chantier je la paie bien évidemment à la surface utilisée, longueur réelle par largeur, ce qui me semble logique.
La vraie question est: est-il logique d'emboliser des ports avec des bateaux qui ne sortent pratiquement pas pour leur grande majorité ? Ne serait-il pas plus cohérent de louer ? Ou y-a-t-il encore un besoin de possession ou de standing pour certains ? Pour ce qui me concerne je trouverais aberrant et onéreux de mobiliser une place de port pour les hélas trop nombreux mois pendant lesquels je travaille et ne peux donc pas faire de la voile.

24 jan. 2014

Bravo, c'est aussi ce que je pratique :bravo: :pouce:

24 jan. 2014

Il n'est pas logique "d'emboliser" les ports. Il n'est pas logique d'encombrer le littoral de parkings à bateaux. Les solutions sont connues. Le port est un moyen d'accéder à la mer, il n'est pas un lieu de stockage. Un port à sec ne peut fonctionner qu'en synergie avec un port à flot et non de manière indépendante. Il n'y a pas de solutions unique pour tous les ports mais le concept de gestion dynamique des postes d'amarrage devra nécessairement s'imposer.
La difficulté n'est pas technique, elle n'est pas dans l'insuffisance du foncier pour développer des projets. Tout cela relève de prétextes pour alimenter la résistance au changement. La résistance est culturelle. Les ports sont dans une situation confortable par rapport à leurs clients. Ils n'ont aucune raison d'aller vers des pratiques plus complexes et qui nécessitent plus d'effort. Ils ne changeront que sous l'effet de la contrainte. La prise de conscience du gaspillage de cette ressource rare qu'est le port est en train de se réaliser. Fort heureusement il y a des professionnels de la gestion des ports qui ont compris depuis longtemps. Je souhaite qu'ils accroissent leur influence.

24 jan. 2014

bravo pour cette réponse.

les ports étant publics , c'est la volonté politique qui manque pour une gestion dynamique et le non gaspillage du bien commun.

Le port à sec ne nécessite pas un grand port à flot, mais un équipement adapté à l'attente de la manutention ou de l'appareillage du bateau.

un ponton simple flottant accostable des deux cotés, où les bateaux, généralement à moteur de même type et inférieurs a 7 mètres peuvent se mettre à couple répond à la demande.

20 mètres de ponton, avec 1 à 1.5 mètre d'eau, peuvent prendre momentanément de 12 à 18 bateaux.

24 jan. 2014

je ne pense pas que le passeport escale ait diminué la capacité d'accueil des bateaux de passage en transformant les places de passage en places à l'année.

je pense que c'est le contraire, les bénéficiaires du passeport escale laissent à disposition leur place pour permettre l'accueil des bateaux de passages.

Ainsi, 50 bateaux avec passeport qui naviguent donnent à leur port de base la possibilité d'accueillir en escale sur 50 postes supplémentaires.

24 jan. 2014

Sur le Port de la Trinité, il ne semble pas que la répartition des places entre les différents contrats (annuels, mensuels, visiteurs, professionnels,) aient été modifiée depuis la mise en place du Passeport. Cette répartition est fixée règlementairement.

Par contre, comme le souligne très justement Calypso, le développement de la pratique du Passeport par les plaisanciers est en forte croissance. Ce qui permet ainsi aux ports d'accueillir plus de visiteurs: à la Trinité, 8 865 nuitées ont été ainsi libérées par des canots partis en croisière, ce qui correspond à une centaine de places visiteurs supplémentaires (en plus des 120 places réservées aux visiteurs) sur les 3 mois de haute saison, ce qui est très important.

24 jan. 2014

il y a un probleme avec les ports à sec , et on aura beau faire il faut avant tout etre pragmatique .

Temps que les tarifs de ces ports seront comparable voir plus cher qu'une place au ponton ils seront utilisé dans la plus part des cas faute de trouver mieux.

Une bonne initiative ça a été le passeport escale qui a permis à chaque port de transformer leurs places visiteurs en places à l'année ..Aujourd'hui il y a 62 ports qui adherent à cette formule , comptons 20 places visiteurs transformé celà fait tout de m^me 1200 places recupérées ...soit l'equivalent d'un grand port ... et je croie qu'il y a 200 ports en France 200x20=4000

24 jan. 2014

on est bien d'accord , les places qui étaient dedié aux visteurs sont devenu des places à l'année et les places liberées temporairement par les bateaux parti en mer sont utlisé par les bateaux en escales ... et on a surement augmenté la capacité d'acceuil des visiteurs

du gagnant,gagnant

cette année 4 nouveaux ports ça s'etends de St Valery sur somme à Hendaye ... extraordinaire ... en med aucun ,par contre ils commmencent a etre entouré par l'Espagne et L'Italie qui adherent aussi au systeme

24 jan. 2014

Je pratique la location, elle a ses avantages nombreux : cout, pas d’entretien bateau toujours propre, plein de gaz oil fait, bref tu navigue point final, pas à te soucier de la place de port et pas à te soucier des problèmes de ponton.

Mais elle à aussi des inconvénients : tes affaires perso ne sont pas à bord, l’eau à bord à 6 mois de stagnation, l’ampoule du mat est grillé, le GPS décroche toutes les deux heures, les batteries ne tiennent pas la charge, il manque toujours quelque chose (outillage, ampoule griller, un voltmètre, une couverture supplémentaire, une deuxième veste de quart….)
Bref mille et une petite chose pour transformer votre nav en prb .

Mais surtout ce n’est absolument pas souple (horaire imposé, démarche administrative, papiers, le type de bateau proposé)mais aussi quelques loueurs de brouettes qui se la joue ‘’moi je connais la mer parce que j’habite dans un bled ou il y a une plage et beaucoup de tourisme’’.

Si des pro de la loc voulaient améliorer leurs prestations je suis certains que là oui ! Il y aurait une répercutions sur l’intérêt de posséder un bateau aujourd’hui c’est peu le cas !

Un truc tous bête une carte type carte de crédit avec les coordonnées du client avec son CV valable pour tous les loueurs, des documents pré remplie et des horaires d’ouverture autre que ce d’une banque, toute l’année ! Une sorte de Pay and go.
Mais aussi professionnalisé ce métier la dernière fois c’est moi qui ai montré où se trouver les boulons de quilles ! (ça laisse songeur sur l’entretien dû au propriétaire !!!).

Très cordialement

Eric

24 jan. 2014

bravo pour la démarche et merci pour les observations judicieuses et pertinentes.

Il ne faut pas louer de bateaux de particulier directement ou mis en gérance chez des pros.

Il faut louer des bateaux neufs qui appartiennent à la société de location si possible en avant saison

Il faut s'adresser à de vrais sociétés pros avec référence et pignon sur ports

La différence de coût n'est pas significative,
La différence de qualité existe vraiment.

Ne pas perdre un jour ou deux de location pour mise en état du bateau est toujours appréciable...

Il faut voir hors de France le niveau de qualité de service des sociétés qui louent aux Européens.....

24 jan. 2014

Sur la plupart des règlements de port il est stipulé que tout abonné doit avertir le bureau du port de ses mouvements et absences.
Le passeport escale (invention qui vient de la société qui gère les ports du Morbihan) est dans un sens un aveu de mauvaise gestion des emplacements ou de non gestion de ceux ci, que l'on peut associer aussi à la négligence des plaisanciers qui ne respectent pas cette règle.

Il profite par contre à nous plaisanciers avec les systèmes de ristourne et gratuités mais par contre ce sont les ports qui paient par derrière.
Il profite aussi sûrement à la petite boîte qui l'a "inventé"...

Quand on regarde le système de gestion des ports (en règle générale car il y a des exceptions), on s'aperçoit qu'il s'agit plus de gestion administrative et financière ou politique que d'exploitation des emplacements.

J'ai visité un certain nombre ports en Bretagne et Normandie et souvent discuté avec le personnel et j'ai constaté que rares sont ceux qui font un contrôle quotidien physique des emplacements (occupation). Comment voulez-vous dans ces cas là exploiter les places pour le bénéfice des plaisanciers. J'ai même vu des ports à accès restreint (fermés à marée basse) où certains emplacements étaient squattés, donc non contrôlés) et assisté à des altercations cocasses.

24 jan. 2014

on ne s'improvise pas gestionnaire de port....

24 jan. 201424 jan. 2014

Il serait peut-être intéressant de procéder à un changement de forme du balcon avant pour gagner ces quelques centimètres qui arrangeront une situation limite avec le port.
Les maniements des voiles d'avant et du mouillage en seraient également facilités.

Un investissement dans la longueur du bateau qui devrait même être retrouvé au moment de la vente : les mêmes causes engendrent souvent les mêmes effets.

24 jan. 2014

un balcon avant amovible ou plus court qui ne touche pas la sécurité et qui ne soit pas qu'esthétique, un bout dehors rentrant, une plateforme arrière rabattable, autant d'astuce pour faciliter les choses....

Phare de Sant Joan de Labritja - ES - 27 juin 2021

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