Activité Skipper condamnée.

L'équipage
24 jan. 2018

:bravo: c'est normal !

24 jan. 2018

Effectivement cela parait logique, au vu de l'état actuel de la réglementation française.

25 jan. 2018

Le problème, ce ne sont pas les 4000 euros, mais le "des gus".
Qui accepterait de faire du saut à l’élastique avec "des gus" non brevetés qui font ça au "black". :heu:

24 jan. 2018

Oui c'est vraiment de la chasse aux sorcières , attendons le jugement et il sera a comparer avec le jugement , si il y en a un jour , de fillon et consort ......

24 jan. 2018

ce genre de poursuite est le plus souvent dû à une dénonciation d'un "pro" qui y voyait une concurrence .

ici c'est clair :
"Pour l'avocat de l'association Arman, regroupant les armateurs de navires à passagers, il s'agit du même genre de prestations à la différence que leur activité est déclarée, qu'ils respectent la législation et qu'en cas d'accident, les passagers sont couverts par l'assurance. Il a réclamé 20.000 € de dommages et intérêts au titre du préjudice moral et une décision exemplaire dans ce dossier.
© Le Télégrammehttp://"

24 jan. 2018

Et à partir de cet "acte citoyen" il ne reste plus qu'à éplucher les réseaux sociaux...

A propos du montant de 4000 brouzoufs on peut raisonnablement estimer que le gars ne va clamer haut et fort qu'il a fait plus, si il a un bon conseil, il ne parlera que des sommes qui ont transité par son compte et pas des échanges "main à la main"

Pourquoi n'y a t il pas de procédure à propos des sites qui mettent en relation sur une base juridique floue ? voir leurs FAQ qui sont (volontairement?) vagues ou imprécises... ??

Pauvre Thémis

24 jan. 2018

Travail dissimulé : cela signifie qu’il n’a pas déclaré les revenus de cette activité.

La situation est encore aujourd’hui extrêmement floue, au point que les compagnies d’assurance couvrent dans leur contrat de base loisirs la location avec ou sans le propriétaire à bord.

CaptainRV

25 jan. 2018

Constitue ce délit, la dissimulation intentionnelle :

d’une activité exercée à titre indépendant, dans un but lucratif et en violation des obligations commerciales, fiscales ou sociales (non immatriculation au registre du commerce et des sociétés, au répertoire des métiers, absence de déclaration auprès de l’URSSAF, de la MSA et/ou auprès de l’administration fiscale, etc. ; cette situation peut notamment résulter de la non-déclaration d’une partie de son chiffre d’affaires ou de ses revenus ou de la continuation d’activité après avoir été radié par les organismes de protection sociale en application de l’article L. 133-6-7-1 du code de la sécurité sociale ;

travail-emploi.gouv.fr[...]illegal

24 jan. 2018

Bien sur dura lex sed lex, mais si j etais effraye par 4000 euro sur 3 ans d un "concurrent deloyal/illegal", la premiere chose que je ferais serait de revoir en profondeur mon modele economique :oups:
Si ce n est pas qu un simple cas mais une epidemie, aller a la racine plutot que tirer sur le premier venu, en essayant d en faire un "exemple" qui sera oublie par tout le monde quelques semaines apres?

25 jan. 2018

Sortie de Bénodet à Ste Marine pas loin de 400€, si c'est pas du promène couillon professionnel, je ne vois pas ce que c'est.. Mettre l'annonce en ligne et accepter chèque et virements, c'était pas très malin :mdr:

25 jan. 2018

Le trou juridique va bientot etre bouché et ce skipper va se faire clouer sur la porte pour l exemple, sans doute le premier d une longue liste à venir vu les traces laissées sur le net...
Quand à la prolifération des propositions
Entre les couts d entretiens et les quinquas virés en masse
C est l uberisation pour conserver sa danceuse
Avec des risques et des perils qui se precisent

25 jan. 201825 jan. 2018

Et le site qui propose du black, lui il n'est pas inquiété ?
:reflechi:
Nota bene "Activité Skipper condamnée"
Attention aussi à la loi sur les "fake news", l'article dit poursuivi...
:-D

25 jan. 2018

Le site propose que d'autres personnes puissent y mettre leur annonce. C'est à celui qui dépose une annonce d'être en règle pour l'activité qu'il propose.

De la même manière sur LBC, on ne vérifie pas que le matos n'est pas volé....

25 jan. 2018

@cowboy;
Peu de voleurs vont te faire un papier, donc Il suffit de demander un acte de vente, nominatif, daté etc... .
En plus, en cas de problème tu peux déclarer à l'assurance la valeur du bien acheté d'occasion.

25 jan. 2018

Oui bien sur...Tiens en parlant de travail dissimulé, il en est ou l'ancien candidat à la présidentielle? Justice à plusieurs vitesses...Ca finira par un non lieu...

25 jan. 2018

Ces sites, Filovent, Samboat ou Click and boat, dont je suis client, demandent des déclarations sur l’honneur. C’est contractuel et c’est ensuite à chacun de prendre ses risques, ou pas.
Quant aux petites annonces, comme Airbnb ou Le bon coin, il n’y a aucun contrôle effectué par ces sites, mais les Afmar veillent. J’ai déjà été contrôlé par les Afmar.
Eux sont plutôt à la chasse des bareboat ou location à la cabine.
Et dernier point, de temps en temps, les services fiscaux font une petite descente. Avec souvent des redressements à la clé. Eux sont plus tournés sur les questions de TVA. J’ai aussi été contrôlé par le fisc.
Je pense que, vu le marché, il y a de la place pour tout le monde. C’est vrai que j’ai perdu des contrats qui étaient trois fois moins chers que moi, mais bon, il ne me viendrait pas à l’idée de me lancer dans des dénonciations.
J’ai des charges, non seulement les coûts de port et d’entretien du bateau, mais aussi des assurances (6.000 Euros par an), du personnel systématiquement déclaré comme moi-même, un comptable, des stocks et des locaux.
Un bateau et un service nickel, être clean, des prix raisonnables, c’est la clé du succès des bons loueurs professionnels.
Certains se retirent à la retraite avec un beau pactole (voir Guillemot), mais d’autres se cassent la figure. Ce n’est pas par hasard.
Tout ça fait perdre du temps, mais dura lex sed lex.

CaptainRV

25 jan. 2018

eh oui, c'est le jugement qui donnera le LA et nous verrons...
entre temps, les plateformes s'y sont engouffrés, les assureurs ont assurés, le fisc a dit qu'il s'en foutait, les juristes que ça devrait payer le vent et le gaz oil pour entrer/sortir du port et ont fixés le tarif
comme quoi, les skippers pro et les affaires maritimes sont très efficaces.

si ça clash, restera plus qu'à aller chercher des skippers détachés dans les pays à bas cout, une cascade de boites d'intérim pour masquer l'affaire, les plateformes s'en chargeront et la boucle sera bouclée au royaume du sous prolétariat galopant...

25 jan. 2018

L' activité de "skipper" est vieille comme la navigation . Elle est âgée de 7 000 ans . Et puis récemment cette activité s' est vue réglementée par la loi . On peut remarquer que ni Magellan , ni Christophe Colomb ne seraient autorisés à embarquer des passagers , s'ils revenaient sur terre . A la base de ce changement : pas la sécurité des passagers ( puis-qu 'il est licite d' embarquer des passagers gratuitement ) mais le Fric , le Flouze , le Pèze , l' Oseille . Et tout le monde veut sa part : d' abord le Prince qui détient le pouvoir , déclare hors la loi quiconque fait quelque chose qui ne lui convient pas et qui profite de la chose pour remplir ses caisses . Ensuite les petits malins qui profitent de la chose en s' installant dans un monopole qu 'ils vont créer . En s' arrogeant le monopole du savoir , ils se parent des plumes du paon . Il y a des pros qui sont mauvais et des amateurs qui sont bons . Il n ' y a pas de savoir faire automatiquement délivrés par le miracle d' un bout de papier . Il y a le sens , le bon sens , le savoir faire et l ' art de la chose qui sont impossibles à saisir par une loi .
Encore une fois , une loi est devenu liberticide en supprimant une activité vieille comme le monde.
Et pour répondre à un contributeur qui faisait un parallèle avec le saut à l ' élastique, je dirais qu ' il ne me viendra jamais à l ' esprit de me foutre au delà d' un parapet et que si par hasard je choisissais cette activité , je la ferais avec un amateur expérimenté plutôt qu 'avec un fricard de la chose .

25 jan. 2018

Il t'a fallu être un peu "fricard", pour pouvoir acheter ton voilier !
:-D

25 jan. 2018

Ca, c’est vrai, pendant des siècles, les cochers n’avaient pas de permis.

CaptainRV

25 jan. 2018

Et oui, la réglementation, c'est le mal.
Et puis ya ka déréglementer les transports en commun, les normes, les contrôles techniques.... comme ça tout le monde peut conduire son bus, construire son pont, rouler avec sa poubelle.............
Si vous ne comprenez pas le parallèle avec le saut à l'élastique, allez donc prendre l'avion avec un pilote ayant pris des cours sur le forum vole et oh..............

25 jan. 2018

Message intelligent et pertinent, j'étais entrepreneur, je viens d'arrêter, trop de contraintes administratives, en france on tue l'initiative et mort aux vaches ! Les voileux des années 70*80 doivent bien se marrer!

26 jan. 201826 jan. 2018

Océanix, tu ne serais pas un peu anar, des fois????

09 fév. 2018

Merci de representer l esprit de la mer a contre courant de tous ces pisse froid plus haut et plus bas ferus de regles qui n ont pour but de tout controler et prelever une dîme sous pretexte de diplomes bidon validé en verifiant les tickets de ferry , bien sur que l exemple du saut en parachute est nul et celle du pilote idiote , le partage d une passion fait avec du sens commun : je ne met personne en danger , je suis sur de moi et de mes compétences qui sont réels . Je fait appel a la confiance et a la bienveillance . oui un amateur experimenté et pationé vaut 100 fois n importe quel professionnel humainement en tout cas , les reactions , les bien faits et les bravos le prouvent

25 jan. 2018

C'est le prix des sorties en mer, comparable à celui des professionnels qui a fait réagir les autorités de contrôle. Je crains que si ce genre de contournement des règles ne se développe, cela ne finisse par tuer les initiatives raisonnables d'utilisation des bateaux à coût partagé. La limite qu'il ne faut pas dépasser est difficile à préciser. C'est lorsque ce type d'activité passe du marginal à l'organisé de manière systématique et récurrente que l'on bascule dans le professionnel. Les sites qui permettent ces échanges sont un peu hypocrites en laissant se développer des pratiques qui relèvent du travail au noir alors qu'il leur est facile de les détecter.

25 jan. 2018

C'est le nombre des marins au chômage qui a fait réagir les autorités de contrôle . Elles ont vu là un moyen peu coûteux de se débarrasser de leurs chômeurs sur le dos des plaisanciers , en instituant un monopole à leur profit en leur accordant une équivalence au ppv .

25 jan. 2018

L'"astuce" de ClicknBoat c'est de proposer un système de "co-navigation":
Le locataire loue le bateau, en est entièrement responsable et "invite" le propriétaire à bord.

AMHA, si cela peut tenir la route légalement pour un contrôle (pas de travail de skipper dissimulé), je me demande ce qu'il en sera devant un tribunal quand il y aura un accident sur une personne....

25 jan. 201825 jan. 2018

Ca Me Botte propose carrément des skipper tarifiés, ce qui me semble engager leur responsabilité, contrairement à ce qui est dit par certains...
C'est là que les pros devraient attaquer, et non pas quelqu'un qui fait ce qu'ils ont presque tous fait dans leurs débuts...
:-D

25 jan. 2018

ça sera reprit automatiquement en cas de problème .

25 jan. 2018

drole d'époque ... dresser les un contre les autres , mais qui fait la guerre a qui ???

25 jan. 2018

Et encore une loi... la mer dernier espace de liberté ?
Je me marre et j'espère très bientôt résider avec mon voilier dans un autre pays, si possible plus chaud parce que dans tous les domaines, ce pays devient étouffant.
Issu de la génération des voileux de 70/80, j'ai toujours cru qu'il fallait privilégier la liberté que nous offrait la voile.
A l'époque, on apprenait sur des vauriens et des caravelles, presque gratuitement, les diplômes des encadrants, on s'en foutait. Mimile avait 3 tours du monde, untel était équipier d'un skipper connu etc...
Tu te faisais une semaine de stage gratuit en mettant le matos en place et en préparant les zodiac, tout ca sans contrat évidemment.
L'été aide - moniteur à l'oeil et sans contrat , on embarquait des gens qui voulaient connaitre la voile, un petit tour presque gratos si la jeunette était mignonne.

Je pense sans prétention que c cet état d'esprit de partage, de découverte, d'entraide et de camaraderie qui a tant développé la plaisance.

La pratique de la voile, c la liberté, la beauté; la réglementation, si vous voulez être les vaches à lait d'un état voyou, je vous la laisse, et je largue les amarres !

26 jan. 2018

Rien à voir : la pratique de la voile est toujours libre, on peut toujours enseigner ou balader qui on veut gratuitement sans diplômes. C'est le business qui est réglementé, et sanctionnés ceux qui le font au noir, c'est tout.

26 jan. 2018

La loi réglemente une activité professionnellle, ce qui permet de sécuriser cette activité pour les clients et évite l'exploitation des salariés. Où est la dictature dans cette histoire?

26 jan. 2018

On ne nous fait jamais applaudir au nom du "bien commun", mais plutôt au nom de "l'intérêt général", ce qui ne signifie pas exactement la même chose.
Les "droits des minorités" sont également bien vus...

27 jan. 2018

J'aime bien Alban 52 qui s’apprête à quitter cet " état voyou" et qui va couler des jours heureux, ailleurs, grâce à sa retraite qu'il va percevoir de ce même " état voyou"!
Il n'y a pas comme une contradiction ,là ?

30 jan. 2018

non seulement des cotisations ; certains ont travaillé toute une vie sans jamais cotisé puis la retraite arrive et ils ne touchent rien au presque rien ...et ils ralent

30 jan. 201830 jan. 2018

Non :non:

Le pognon qu'il va toucher ne sera ni celui de son travail ni celui produit par les extorsions dont il a été victime.

La retraite qu'il va toucher est le fruit du travail de ceux qui travaillent alors qu'il est à la retraite réparti selon les promesses de gascons faites par nos salopards de parents pour que eux puissent toucher des sous.

Nuance.

Désolé, mais je ne cotise plus :langue2:

Non, non :non:

29 jan. 2018

Pas de retraite, je me la suis payée en étant entrepreneur, donc je pense savoir à peu près de quoi je parle quand j'évoque le droit du travail et la règlementation, mais je pars avec ma famille car il me reste plein de pays à découvrir. Au fait, j'ai encore le droit de partir avec ma famille ou il faut un permis ?

30 jan. 2018

sa retraite qu'il va toucher n'est pas un don de l'état mais le fruit de son travail et de ses cotisations !

02 fév. 2018

S'il touche une retraite c'est qu'il l'a gagné donc il n'y a aucun problème là dessus.

29 jan. 2018

c'est un peu vrai ,,mais ce n'est pas l'état qui est voyou mais les gens qui le sont devenu et qui ont tout cassé . le "bateau était liberté " maintenant il est "loisir" et fric

..helas

30 jan. 2018

pas qu ' à l ' ENIM

30 jan. 2018

il en est ainsi pour tous les regimes ,regime general, fonctionnaire

31 jan. 2018

c est a partir de 65 ans .

31 jan. 2018

ce n'est pas forcement une question d'age mais de trimestre de cotisations . si l'on a cotisé plus de trimestre que le maxi necessaire pour atteindre le plafond de la retraite ces trimestres supplementaire ne sont pas pris en compte , ils sont perdu , cotisations inutile ..

31 jan. 2018

il ya deux choses distinct l'une de l'autre pour la retraite ..

il ya l'age requis (60, 62 etc )

puis d'un autre coté le calcule du montant de la retraite qui prends en compte le nombres de trimestre de cotisation avec un plafond du nombre de trimestre ...si tu as cotisé moins que le plafond tu as une decote en plus par contre si tu as travaillé tot ,jeune et que tu as plus de trimestres que le plafond c'est pour ta pomme ,ça ne te donne rien ... d'un coté tu as une decote en plus d en'avoir pas le nombre de trimestre et de l'autre tu es grugé aussi

31 jan. 2018

pour les fonctionnaires

31 jan. 2018

je vais tel , car a l année passé la personne a l Enim retraite m a dit 65 ans

On peut aussi avoir en tête qu'il est beaucoup plus facile de dire à quelqu'un qui n'a pas liquidé ses droits :

"une mauvaise nouvelle, la règle du jeu a changé, vous ne pourrez commencer à toucher quelque chose dans seulement 30 ans et non pas la semaine prochaine. Mais vous saviez que les règles seraient variables"

Que de dire à quelqu'un qui touche sa retraite :
"désolé, on arrête de vous verser la rente que l'on s'est engagé à vous verser"

Un "tiens" vaut mieux que deux "tu l'auras". :litjournal:

30 jan. 2018

Toute cotisation versée à l’Enim après 60 ans n’ouvre aucun nouveau droit et est perdue.

A savoir

CaptainRV

Non, c'est à partir de 60 ans lorsqu'on a liquidé ses droits par anticipation.

31 jan. 2018

Non, je confirme, pas à l’ENIM, 60 ans quelque soit le nombre de trimestres cotisés.

CaptainRV

31 jan. 2018

C'est pas tout à fait ça...Si tu as des trimestres supplémentairement APRES l'age légal de départ fixé à 62 ans, tu as une surcote...

31 jan. 2018

Désolé, non. Le nombre de trimestres cotisés après 60 ans ne sont pas pris en compte à l’ENIM.

CatainRV

31 jan. 2018

Bon allez, un petit lien:
solidarites-sante.gouv.fr[...]etraite

En gros, la liquidation de retraite est définitive: une fois liquidé la retraite (même dans un seul régime si on en a fait plkusieurs), on ne se crée pas de nouveaux droits en cas de cumul emploi-retraite.
Et on cotise quand même, pour la solidarité.

Et effectivement, si on dépasse le nombre de trimestres requis, il peut y avoir une surcote.
Alors, rester bosser un an de plus? Calcul à faire: quelle espérance de vie pour récupérer ce que je n'ai pas touché pendant un an, à raison de 10€ supplémentaires par mois...

Pour plus de renseignements: www.lassuranceretraite.fr[...]accueil

[size=6]Et moi, j'ai encore 10 ans à tirer avant d'avoir le taux plein... grrr ![/size]

02 fév. 2018

Ben oui, on appelle ça une réforme...
On a eu dit aussi: "partez à 60 ans, vos enfant et petits-enfants paieront"...
Mettre fin à la retraite à 60 ans (Fillon, ça a fait du bruit.
Bloquer l'ouverture de droits dans tous les régimes si on liquide un régime (Hollande) est passé plus inaperçu... Mais ceux qui avaient de droits possibles assez jeunes, comme par exemple les personnels hospitaliers (infirmières etc...) ont parfois perdu gros...
Et la prochaine réforme est prometteuse... :jelaferme:

02 fév. 2018

fillon,filon;filou !!!

25 jan. 2018

bye bye

26 jan. 2018

Combien d'accidents dus à ces irresponsable skippers sans diplôme???
J'en ai pas connaissance.
Des guides pris dans des avalanches j'en connais.
Le diplôme implique parfois la prise de risque du client qui a payé sa prestation (course ou nav)

En France quel diplôme?? le cap200? :mdr: :mdr:
Personne n'en veut, impossible à passer maintenant ni à faire valider sauf à passer un an dans la salle des machines d'un tanker!

J'avais un temps caressé le projet de terminer mon parcours pro comme skipper en règle c'est carrément mission impossible.
Les pôles emploi ont orienté à tour de bras des chômeurs sur les filières nautisme alors qu'ils n'avaient aucune expérience.

Comme dit plus haut c'est toujours un combat sans véritable raison. Comme pour les mouillages payant qu'on nous vend pour cause d'écologie.
:policier: :policier:

26 jan. 2018

Passez donc le nouveau BPJEPS croisière qui vient de sortir cette année: boulot de skipper beaucoup plus intéressant que ceux accessible avec un capitaine 2OO.

En espérant qu'ils seront meilleurs que les BPJEPS qu'on rencontre au Glenans..
Mais si c'est pour être skipper de charter, ça devrait passer car il n'est pas nécessaire de savoir enseigner (donc pas nécessaire d'avoir compris).

26 jan. 2018

j ' ai connaissance de deux accidents dont un grave causés , un par un skipper "pro" en régate et l ' autre 'un Bordeau 60 mis au plain, au moteur , alors qu 'il était convoyé par deux skipper diplomés (bateau HS )

26 jan. 2018

C'est pas tout : il donne surtout un monopole

26 jan. 2018

ET alors, qu'est ce que ça prouve?
Un diplôme professionnel atteste d'une formation et d'une évaluation minimale, c'est tout.

26 jan. 2018

Oui, le monopole de l'exercice lucratif d'une profession, comme beaucoup de diplômes professionnels.

26 jan. 2018

Ces accidents ont eu lieu en France? A quel endroit? récemment?

26 jan. 2018

Bonsoir, on peux aussi rajouter le naufrage de "La Belle Angèle".
Gorlann

12 avr. 2018

Sans considérer ô combien le fait de passer un an dans la salle des machines d'un tanker profite à la formation d'un bon skipper... - Je crains que faire 3 mois en poissonnerie chez Auchan serait plus intéressant.
Quant à surtaxer toute activité humaine sur prétexte écologique, c'est la vache à lait 2.0 des administrateurs de notre époque toute verte, toute bio, toute responsable... - Hélas, ils ne peuvent trouver de raison plus sacrée pour justifier leurs abus !

Et comme ça rapporte, ça confirme le proverbe : "qui abus, beau haras".

:jelaferme: :acheval:

12 avr. 201812 avr. 2018
26 jan. 2018

Quel est la différence entre le BPJEPS croisière et un capitaine200?
Le premier autorise t il a skipper des passagers stagiaires sur son bateau?

26 jan. 2018

Le capitaine 200 permet le charter (transport de passager) et le convoyage. Le BPJEPS croisière permet l'enseignement (école de croisière) à moins de 200 milles, le DEJEPS croisière le permettant à plus de 200 milles.

26 jan. 2018

le BPJEPS fait de l'enseignement . Le captain 200 fait du convoyage ou du charter .

26 jan. 2018

pardon pour le doublon ....

26 jan. 2018

La limite n’est elle pas floue entre les deux. On peut prendre des stagiaires avec le premier et des passagers avec le second. Les notions de passagers et stagiaires font elles la seule différence?

26 jan. 2018

Beaucoup de pros ont les deux diplômes.
;-)

26 jan. 2018

C'est surtout la différence de diplôme aussi . L'un est un diplôme d'état (BP ) ex brevet d'état et l'autre est un diplôme des affmar .
La limite n'est pas du tout "floue " entre un stagiaire et un passager .

26 jan. 2018

J’ai grossi le trait pour être sur de saisir les différences.

26 jan. 2018

Les deux activités sont très différentes, en matière de diplôme et de réglementation (NUC ou pas NUC), mais peut être et surtout par leurs publics: les clients d'une école de croisière veulent apprendre à naviguer, ceux d'un charter veulent se promener. C'est pas du tout la même chose, commercialement ( la pub, le programme, les zones de navigation ne sont pas les mêmes).

26 jan. 2018

J'ai fait un stage 3 voiles aux Glénans, base de Paimpol. Le moniteur du bord était un monsieur, ingénieur en pré-retraite... Je ne sais pas s'il avait un diplôme pour exercer cette activité occasionnelle, je crois me souvenir que c'était bénévole mais qu'il ne payait rien et qu'il avait accès à d'autres croisières Glénans.
Il était très sympa et pédagogue. Ce fut un stage intéressant.

26 jan. 201826 jan. 2018

Oui c'est les anciens bénévoles modèle "original" de l’association et moi aussi j'en ai eu des supers.. Mais ils ne sont pas assez nombreux hélas..

26 jan. 2018

BPJEPS ça va bien quand tu as 20 ans et que tu veux faire 2 mois à l'UCPA. Je parlais de véritable sésame pour avoir une activité commerciale.
Rien à ce jour.
Je comprend ceux qui ont investi depuis des années en temps et en argentr pour se former.
L'interdiction vient de là et des écoles.
Ca les fait c***r de voir arriver( des gugus qui leur fait de l'ombre point barre... et je veux bien comprendre.
Mais faut arreter de crier au meurtre

27 jan. 2018

Un BPJEPS croisière (et uniquement croisière, j'insiste sur la nouveauté 2018 du diplome) permet une activité commerciale à l'année et ce de manière beaucoup plus simple qu'un capitaine 200. De plus, il est possible pour un BPJEPS d'obtenir un capitaine 200 restreint ( -6 milles). Tous renseignements sur le site de la FFV, rubrique formation.

28 jan. 2018

il est possible avec le bpjeps et le CS croisière moyennant quelques semaines de formation d'obtenir le certificat de capitaine 200, à valider par l'expérience pour le brevet
je suis pas au courant de la nouvelle mouture 2018

29 jan. 2018

de mémoire c'est 6 semaines.
pour rappel la formation c200 pour des grnads débutants dure 8 mois
dans la formulation du BPJEPS monovalent voile que je connais, il faut la niveau technique d'un niveau 5 fédéral en planche, dériveur et croisière. effectivement pas besoin de passer l'examen fédéral mais il y a une évaluation pendant la formation bp

28 jan. 2018

Un "délire" qui correspond pourtant à une activité bien réelle et extrêmement fréquente : les promenades en mer à la journée. En fait il a été créé pour les écoles de voile (qui emploient des BPJEPS) qui organisent des sorties à la journée de découverte de l'environnement ou de simples balades sur des voiliers collectifs, assimilées à du transport de passager (pas d'enseignement dans ce cas). Les restrictions sont importantes : - de 6 milles, diurne, voiliers de moins de 12 m.

31 jan. 2018

Ben non, les Phéniciens naviguaient toujours près des côtes, cela ne les a pas empêché d'aller commercer jusqu'aux Colonnes d'Hercule. Pythéas, lui, n'a même pas essayé de revenir. Il est resté à Marseille.

28 jan. 2018

un capitaine 200 restreint ( -6 milles) vous avez bien lu!
MOINS DE SIX MILLES NAUTIQUES !!!
que ça puisse exister c'est du délire

28 jan. 2018

Ne pas confondre le capitaine 200 restreint, accessible pour un BPJEPS en quelques semaines de formation et la passerelle BPJEPS-capitaine 200 (pas restreint) qui demande quand même quelques mois.
En ce qui concerne le nouveau BPJEPS croisière, il permet d'enseigner la croisière sans niveau 5 en dériveur et planches à voile, puisqu'il est dès le départ uniquement croisière.

28 jan. 2018

Capitaine 200 "voile" seulement dans ce cas.

28 jan. 2018

Cela répond aussi au problème des monos de voile qui devaient amener les stagiaires de voile légère en sécu de la plage jusqu'aux bateaux au mouillage, il fut un temps considéré par le législateur que c'était assimilable à du transport de passager donc qu'il fallait le C200!

26 jan. 201826 jan. 2018

Comme d'hab, ce fil part en couille. On se masturbe la cervelle, alors que le problème est tout simple. Ou tu es skipper détenteur de la peau d'âne adéquate pour l'exercice de ton activité, ou tu es un simple pékin et tu ne peux pas exercer cette activité en étant rémunéré.
Je prendrai pour exemple un dont je ne citerai pas le nom ni le site sur lequel il sévit car je suis marseillais et qu'un marseillais ne balance pas, sauf si c'est bien payé, et ce n'est pas le cas.
Le gars propose des sorties La Grande Motte / Calanques toutes les semaines, planifiées jusqu'en décembre 2018 pour la modique somme de 350€ par personne embarquée. "Participations aux frais".
Si t'es pro et que tu vois ça, tu pètes les plombs, normal...

26 jan. 2018

Toi tu balance pas , tu renseigne ....

25 mars 2018

Tu es aussi marseillais, alors?

26 jan. 2018

Il y a des professions réglementées comme dans tous les pays du monde un peu organisés pour éviter la reproduction de catastrophes au détriment des clients, c'est pas une garantie mais c'est mieux que rien. Il en va ainsi des médecins, des experts comptables, des notaires etc.. De même il est normal que celui qui fait profession d'emmener des néophytes sur la grande bleue soit un minimum contraint d'avoir fait la preuve des ses compétences. Dans le cas contraire l'Etat serait montré du doigt et les victimes auraient de quoi le faire condamner devant les tribunaux, (Comment on a laissé des inconscients emmener de pauvres victimes à l'abattoir! , haro sur le politique irresponsable et mort aux vaches !!). Les mêmes feront un procès qui auront profité d'un vrai/faux skipper à pas cher qui proposent des croisières avec vrai/fausse participation aux frais en exonération des taxes et des prélèvements sociaux, en fait du travail au noir. Les mêmes qui seront scandalisés par la qualité des soins des hôpitaux et l’absence de moyens des services publics après avoir fraudé la SS et les impôts font la promotion de ce type de système. La tartufferie ne s'est jamais aussi bien portée.

Cela n'empêche pas non plus de louer un voilier dont on est le propriétaire avec le loueur comme skipper. Après si on est à bord et que l'on joue en réalité le rôle du skipper, c'est bien de l’escroquerie et de la malhonnêté, à chacun selon sa conscience et du fric pour moi tout seul. Il est peu probable que dans ces conditions un vrai faux skipper se fasse coincer et cette activité à la limite de la légalité a encore de beaux jours devant elle.

26 jan. 2018

Et des coiffeurs ,bouchers , charcutiers , marin-pecheur ,......

27 jan. 2018

Un copain qui est sur "vogue avec moi", remplit chaque we son bateau en demandant une participation à la caisse de bord. Je vois pas la différence.

27 jan. 2018

Tout dépend de la définition de la caisse de bord ????

27 jan. 2018

Partage des frais directs afférents à la navigation, pouvant inclure carburant, nourriture, frais de port, remplacement d'un équipement endommagé par un passager.
Ne pouvant pas inclure l'entretien courant du bateau ni son amortissement.
Je crois que c'est très clair et sur une croisière Odet / Glénans, ça va être difficile de claquer 350 euros / personne même en se pétant le bide chez Castric.

27 jan. 2018

Oui @babouch. Mais je te promet qu'à la sortie, il lui en reste assez pour amener sa femme et ses enfants dans un bon resto.

27 jan. 2018

:reflechi:

27 jan. 2018

Et UBER ?...et blablacar ?.....et les sites de loc de voiture entre particuliers ?....et les sites de prêt d’outils (contre rémunération déguisée) ?...et ceux du style « aide entre voisins.com » ?....c’est pas de la concurrence déloyale aux pros ça ? Pas du travail dissimulé ?
La vérité c’est que ça semble arranger tout le monde : l’etat qui, incapable de maintenir une activité nationale forte et d’endiguer la baisse du pouvoir d’achat ferme les yeux sur des arrangements permettant d’arrondir les fins de mois (ça maintient le bon ordre et évite la gronde), et ceux qui utilisent ces sites, trop heureux de se mettre un billet dans la poche sans le montrer au percepteur.
Moi-même chef d’entreprises, je suis concurrencé par des auto-entrepreneurs aux charges réduites qui, salariés de grosses structures, viennent discounter mon marché pendant leurs RTT, juste histoire de payer leurs cigarettes ou leurs vacances au ski !
Ça me fait bondir, croyez moi, et je ne pense pas que cela nous mène vers du bon, mais je crains qu’il ne faille s’habituer à cette nouvelle concurrence non maîtrisée, issue des facilités offertes par internet et l’aveuglement (incompétence ?) complice de ceux qui prétendent organiser la vie civile.
Amen !

27 jan. 2018

sans compter les entrepreneurs qui embauchent des clandestins ou des "stagiaires" ou qui tripotent la TVA (fraude principale ) ou m^me qui "oublient" les retenus sur salaire à l'URSSAF...

27 jan. 2018

pour uber , tu pourras vérifier qu'il y a formation ,charges sociales etc...
pour les auto entrepreneurs il y a un CA maxi ( mais pas de tva )et une autorisation de leur entreprise s'ils sont salaries...

27 jan. 2018

Ils ne peuvent pas facturer la TVA et la récupérer, mais ils la payent, comme un particulier.

CaptainRV

29 jan. 2018

Vibrisse bosse à la DGFP les gars ! Larguez les amarres !

28 jan. 2018

Je plussoie! il a fallut attendre la garantie du versement des fonds pour secourir notre compatriote dans l'Himalaya. Pour l'instant on est à l'abri de tout ça ...
Donc l'apologie de tout pour kedal finit par avoir ses limites.

27 jan. 2018

@ Pat26: Blablacar, je pratique régulièrement et ça paye même pas le gasoil et l'autoroute.... ceux qui se font du fric sont ceux qui ont une voiture pro avec carte total sinon c'est impossible de gagner de l'argent.
Uber: une nouvelle loi a été l'an dernier et c'est bien plus restrictif depuis Décembre.

27 jan. 2018

Qu'on arrête un peu de toujours demander à l ' ETAT de foutre son nez dans nos affaires . Le " skippage" , on l ,' apprenait par compagnonnage , exactement comme nous l ' avons presque tous appris et ça marchait bien . Alors pour préserver les intérêts de l ' Etat et d'un petit noyau de professionnels on a inventé des barrières .
Pour preuve , ma spécialité professionnelle dans le médical se transmettait par compagnonnage et ça fonctionnait très bien .Et puis des petits malins ont instauré des études de spécialité , un diplôme et voulu se réserver un monopole . Ca a été fait et puis récemment , machine arrière toute , les autorités de la profession ont cassé le monopole et de l ' enseignement et du commercial .
Alors qu 'un skipper indépendant veuille faire payer ses passagers , c' est de la libre entreprise , il y a des assurances qui le couvriront ou pas s' il est nul . Et puis , c' est la coutume venue du fond des temps que de skipper librement . Vive la Tradition !

27 jan. 2018

et si je suis haitien je peux venir te concurrencer Oceanix?

27 jan. 2018

Dans ce pays de fous, l'état demande aux gens d'apprendre à se débrouiller sans lui !
Puis il les écrase si il ne peut pas leur pomper 50 % de leur maigre gain !

27 jan. 2018

Sur le fond, je suis d'accord avec toi @oceanix. Pendant des siècles, la transmission a été le seul vecteur de la formation professionnelle et cumulait le savoir et la connaissance ( je distingue parfaitement ces 2 mots). L'enseignement essentiellement théorique n'a eu pour but que de protéger un monopole et le terme de transmission ou d'expérience est devenu ringard aux yeux de la nouvelle génération d'ingénieurs, de techniciens.
Le seul danger est l'état d'esprit de celui qui met en oeuvre sa compétence à des fins plus ou moins louables. C'est peut être là qu'intervient la réglementation, au risque de perdre l'essence de la formation.
La meilleure parade contre une concurrence sauvage, c'est la compétence.
Enfin, je crois.

27 jan. 2018

Impressionnant la tournure d'esprit de certains... Obnubilés par un état dictateur et qui s'en met plein les poches... On compare la rémunération des grands patrons (et il y en a qq uns) avec celui d'UN président français ? Des 3,4 ou 5 députés issus de chaque département avec celles des plus hauts salaires issus du même département ???

Enfin, Capolarge, tu penses sincèrement que si l'état a mis en place des écoles de dentistes (par exemple), c'est vraiment pour protéger les futurs dentistes ? Pas un peu la population du pays plutôt ???

Ah, tiens au fait, pourquoi on pourrait pas s'instaurer gendarme tout seul ? C'est vrai, ça simplifierait plein de choses !!! :goodbye:

28 jan. 2018

La situation du numerus convient parfaitement à l'Etat: moins de medecin à former = moins de coûts de formation + accueillir ds medecins étrangers = statut permettant de les salarier 2x moins cher qu'un medecin français (dans le public)

28 jan. 201828 jan. 2018

capolarge ( loin de la vérité un peu compliquée.. )

pour les pharmaciens , heureusement que tu as tord .....tu devrais potasser un peu plus les choix de sortie des pharmaciens,puis qui regit le nombre de pharmacies .( et avoir un oeil sur le prix des pharmacies ...juste un oeil ... )
la plainte actuelle des pharmaciens est le numerus clausus trop important et délirant

pour les médecins formés ce n'est pas le nombre qui pose problème mais le choix qu'ils font a l'issue de leurs études .

a force de simplifier .... c'est plus accessible au populisme...n'est ce pas?

27 jan. 2018

Je te réponds un peu tard.
Sache que ce n'est pas l'état (d'abord c'est qui ou quoi l'état ?) mais la profession qui par des moyens politiques, sociaux(grève par exemple) ou économiques fait pression sur le gouvernement pour légiférer sur le statut de la-dite profession. L'exemple type en est le conseil de l'ordre des pharmaciens qui a su imposé un numerus clausus réglementant le nombre de pharmacie.(pratique et facile, pas de concurrence) Résultat: pendant de nombreuses années les facs de pharmacie étaient les plus grandes pourvoyeuses de chômeurs, sauf si papa avait suffisamment de fric pour en acheter une. C'est la profession qui s'est protégée, pas la formation.
Et, entre parenthèses, je ne vois pas ce que vient faire ici la comparaison de salaire. Nous parlons d'une organisation socio-professionnelle, de son évolution et de la législation. A ce jour, la pénurie de profession de santé n'est plus à nier. Nous voyons arriver des médecins, des infirmiers(es) des kinés de pays européens dont le cursus est différent du notre (notamment pas de concours d'entrée, pas de sélection...). Pouvons nous affirmer qu'ils sont moins bons que nos professionnels ? Non, mais ils seront utiles. Et l'"Etat", comme tu dis, sera obligé de revoir sa copie, au risque de ne plus pouvoir soigner la population.

Pour terminer, je n'ai jamais eu besoin d'un gendarme (que je respecte profondément) pour me dire ce qui est bien ou pas.

27 jan. 2018

Un nouvel envahisseur arrive...
Il s'appelle CERTIFICATIONS ! Oui, oui une sorte de racket qui existe déjà, par exemple dans l'industrie pétrolière.
Qu'il s'appelle Nogepa, Bosiet, Opito, Iwcf, etc. Qu'importe IL LES FAUT TOUS ! et quelques fois en double puisque Norvège et Kazakhstan par exemple ne sont pas compatibles. Avec repasse tous les 2 ou 4 ans et nouveau! les niveaux de 1 à 4 pour certains, donc pour un freelance compter un peu plus de 15000 Euros tous les deux ans en comptant les frais annexes. Quand tout va bien au niveau des jobs on avale, même de travers mais quand on est au sec ?
Même si chez nous c'est merdique la mondialisation fait que partout cela devient à peu prés pareil où que l'on se trouve.
Pour la partie Marine Le STCW va bien, très bien puisque l'OMI ce sont les armateurs. Alors à quand l'unification des diplômes pour les charters voiliers ?

27 jan. 201827 jan. 2018

La mise à niveau, c’est plutôt 1.000 que 15.000, mais c’est vrai que c’est insupportable, sans compter le temps perdu pour avoir un tampon.
CaptainRV

27 jan. 2018

L'unification européenne, tout court. C'est ce que l'on croyait et qu'on nous avait promis.

28 jan. 201828 jan. 2018

Quelle belle unanimité pour cracher tour à tour sur l'état, le législateur, les corporations, les petits autoentrepreneurs victimes de leur statut précaire, on n'a pas encore craché sur les infâmes skippers pros, traitres à la pureté antique de leur profession, qui ont osé passer tous ces ignobles diplômes, capitaines de marine marchande ou pire encore, ajoutant à ce lèse majesté la haute trahison politique, les certifications anglaises de la RYA.
.
En ce qui me concerne, professionnellement j'ai toujours appris sur le tas (après avoir fait des études qui ne m'ont pas donné de travail), au contact de mes collèges, dans des métiers où ça n'a jamais causé mort d'homme. Toutefois je suis bien conscient qu'en tant qu'apprenti, j'ai fait pas mal de bourdes, et j'ai pu occasionnellement me mettre en danger.
Ce qui fait que je suis bien content d'être soigné par un dentiste diplômé, et d'acheter mes médicaments chez un pharmacien diplômé et enregistré (donc formé et soumis à contrôles).
Et je comprends que des touristes qui ne connaissent pas la mer fassent confiance à un capitaine diplômé et officiellement déclaré, plutôt qu'à un simple propriétaire qui a décidé pour rentabiliser son bateau de faire payer des gens sans garantie en échange.
Sans parler d'intégrité, d'égalité devant l'impôt, de loyauté de la concurrence qui sont une affaire interne à la profession et qui expliquent largement la plainte / dénonciation.

28 jan. 2018

@vibrisse: C'est un forum, non? on peut exprimer ses arguments sans pour cela être agressif, voire insultant. Le prix d'une pharmacie varie entre 500M et quelques millions d'euros. C'est pas à la portée de tout le monde. Mon sujet était la comparaison entre la formation par coaptation (comme le compagnonnage) et la formation des écoles et facultés . Je ne crache pas sur le diplôme qui m'a permis de m'installer et d'en vivre, je dis seulement que j'ai eu la chance de travailler avec un confrère bien plus âgé que moi, et que c'est lui qui m'a appris le métier. Sur le plan théorique, j'en savais plus que lui, sur celui de l'expérience, j'étais très loin derrière.
@babouch: autre exemple: mon père était capitaine au long cours. Dans les années 80, il a vu arriver des jeunes seconds, formés à l'informatique et à l'électronique, qui paniquaient à chaque bug ou panne de courant et mon père se félicitait de pouvoir compter sur un bosco, formé à bord.
Je soutiens que le diplôme n'est pas un gage de qualité ni de sécurité et que j'aurais tendance à plus faire confiance à un vieil ouvrier qu'à un ingénieur tout frais émoulu de l'école.
Maintenant, si chaque fois que je participe à un fil, je me fais traiter de petit c.., je vais quitter la taverne et rester sur les forums techniques.
:goodbye:

28 jan. 201828 jan. 2018

Franchement, dans le milieu de l'industrie ( ça fait bientôt 30 ans que je suis dans l'industrie chimique), on voit les 2 extrêmes, les jeunes diplômés tous frais sorti du moule mais qui valent pas un calot humainement et techniquement, d'autres qui sont vraiment supers et que j'ai souvent vu démissionner pour aller renforcer leurs expériences, et les vieux qui croient que leurs expérience est sacrée alors qu'ils sont restés bloqués sur des technologies dépassées comme d'autres qui ont valorisé le meilleur de l'expérience et la partagent volontiers à condition qu'on les respecte.. Au global, l'industrie tourne malgré tout et fabrique des produits pour tous les marchés, du haut de gamme au produit de merde..
Dans la voile et chez les marins c'est pareil, et j'ai vu les vieux loup de mer super bons et d'autres moins bon, des BPJEPS merdiques (hélas), et une ou deux fois des jeunes moniteurs performants (je ne me souviens plus de leur filière de formation)..

28 jan. 2018

c’était vrai , il y a 30 ans ...nous sommes en 2018 ! ( le prix des pharmacies s'est écroulé et pas qu'un peu .... )
mais ton reférentiel est bien ancre dans les années 80 .

quand on vient en taverne , ou dans un bar ,c'et dans le monde d'aujourd'hui

28 jan. 2018

J'adore ces posts où on part d'un gars qui a truandé pour se faire passer pour un skipper pro à parler de pharmaciens/médecins et numérus closus... :D

28 jan. 2018

Puisque l'on est dans le mois des bonnes résolutions, privilégier l'argument à l'invective ne serait pas mal.

28 jan. 201828 jan. 2018

Deux camps s'opposent: La totale entreprise en toute liberté et à l'exercice au moins cher et l'entreprise classique qui elle va bien sur cotiser à tout ce qu'il faut.
On ne parle pas de compétences ce qui pourrait fausser le raisonnement.
Le total libertaire entrepreneur aura comme argument "Avec tout ce que je paie en tva ...
Seulement, sans parler d'accident, non, non, juste un petit crabe qui te ronge, quelques années avant de glisser. Notre libertaire grâce à sa nationalité sur laquelle il aura bien chié dans ses discutions de bar Cette société va mettre tout en oeuvre pour le soigner, avec comme on dit un ticket d'entrée à Un million d'Euros minimum. Pour lui tout sera normal et gratuit , il ne regardera même pas le courrier des décomptes de l'assurance maladie.
Le Quidam, bien sur ne manquera pas de se révolter contre le manque de moyens grandissant de notre système hospitalier.
Aura-t'il une pensée pour ceux qu'il appelle les cons et qui auront cotisés pour lui ?
Mais alors ? Et bien il y a de la place pour tout le monde ici bas, le total libertaire, dégagera du système c'est à dire des pays où l'on demande une certaine solidarité par les cotisations. En égoïste accompli il se fera même un petit pays dans sa pauvre tête, la suite ?
Juste un point de vue, peut être un argument.

28 jan. 2018

Ca c' est une caricature . Les partisans de la liberté d' entreprendre acceptent de payer les charges afférentes à leur exercice . Dans le cas du skippage , il faudrait que cette activité ne soit pas monopolisée par des pros .C' est tout .

28 jan. 2018

Ce n'est pas une caricature mais mon interprétation du sujet du fil et du reportage cité en référence.
Juste m'expliquer, comment payer ses charges quand on bosse au noir ?

28 jan. 2018

S'ils acceptent de payer leur charges c'est dèjà bien, ou j'ai un souci c'est votre "monopolisée par les pro" .
Là on n'est pas dans des jobs d'artistes mais dans un secteur qui réclame un certain encadrement, vous en conviendrez.
Il faut donc répondre à un certain standard de connaissances et compétences pour embarquer des passagers en prenant toutes ses responsabilités. Standard qui reste dans un certain cadre, mal défini mais cadre quand même.
Mon souci sur ce point est le suivant: peut on qualifier de généralité le fait que le gars soit super compétent sans diplôme et exercer ?
Je n'aime pas trop les analogies et les transpositions et je vais finir par être d'accord! Et oui, la conduite des pétroliers et le pilotage des avions de lignes sont vraiment monopolisés par des pros.

28 jan. 2018

oui mais un voilier de 10 mètres n ' est pas un super tanker . Et pour emmener quelques passagers en week- end , pas besoin de sortir de polytechnique . Et puis comment expliquer la différence de sécurité pour un skipper avec ses amis en vacances et ce même skipper avec le même bateau sur le même parcours avec d' autres passagers dont la seule différence est un petit chèque ? Ce skipper sera aussi responsable avec les premiers qu 'avec les seconds . Autant rappeler que le skippage de plaisance s' est toujours pratiqué bien longtemps avant l 'existence du ppv , diplôme sorti du chapeau d' un politicien mal informé .Combien de milles parcourent des skippers non diplomés avec un taux d' accident voisin de zero ?

29 jan. 2018

Allez suivre une formation marine marchande, vous comprendrez que la différence n'est pas seulement un petit chèque......
Vous constaterez également que les parasites envoyés par pole emploi pour masquer les chiffres du chômage n'ont fort heureusement pas fait polytechnique et ne risquent pas d'être enrôlés.............

28 jan. 2018

Ça se défend et même chez les pros j'ai vu naviguer sur le diplôme des autres. Seulement ce qui me gène, c'est que ce qui est un cas d'espèce devienne une généralité.
Vous avez la chance de n' avoir peut être connu que de bons exemples.
J'ai fait une partie de mon sapin sur un bateau de servitude et sauvetage en Méditerranée et je pense que nous n'avons pas la même approche sur la compétence moyenne des plaisanciers.

28 jan. 201828 jan. 2018

Moi ce que je trouve hallucinant en France, c'est qu'une personne Chef de quart Ilimité avec certificats STCW 2010 n'ai pas le droit de passer un simple test de ses connaissances en voile pour pouvoir transporter des passagers.

Cependant, en Angleterre, on passe le yachtmaster offshore, qui permet de naviguer jusque 200 milles, et avec ces certificats STCW, il est Commercially endorsed, mais non reconnu sous pavillon francais mais reconnu en uk, belgique, italie, allemagne,pays bas.

Moi c'est clair que je ne resterai pas sous pavilon francais le jour ou j'aurai envie de bosser avec mon voilier quelques jours par ans.

Il serait quand même temps que la France mette à jour ses réglementations de plaisance, nottament la mise en place d'un permis voile, ca limiterai sans doute le nombre de voiliers en panne de moteur qui appellent la snsm quand il y'a 15 noeuds de vent dans la gueule.. Quand on navigue sur les côtes francaises, en bretagne sud, que l'on entends 50 fois par jours des mecs qui appellent le sémaphore ou le cross pour un essai vhf, les panpan pour des mecs en panne de moteur.
Naviguez le long des côtes anglaises, il est plus que rare d'entendre ce genre de choses à la vhf, la lecon que j'en tire: Le matériel est mieux entretenu et les gens mieux formés.

C'est le même genre de conneries que le world sailing, ne reconnait pas les certificats STCW pour les formations sécurité nécessaire sur les régates offshore, car selon eux, ils sont moins poussés que leur formation de quelques jours. Y'a des fois ou je demande si j'ai pas passé 5 ans à rien foutre, quand même.

29 jan. 2018

passer un permis voilier pour éviter les pannes moteur quelle misère d'esprits ...

04 fév. 2018

une formation éviterait ou permettrait de réparer certaines pannes.

29 jan. 2018

On ne doit pas naviguer dans la même Bretagne sud.

Sinon quoi de plus normal (même si je ne le fais pas moi-même) de faire un essai VHF et d'émettre un pan pan quand on est en panne moteur et pas manoeuvrant à la voile.

02 fév. 2018

Tu peux aussi jeter l'ancre en attendant que le vent revienne.

29 jan. 201829 jan. 2018

A Vergoyer
En 2013, V&V publiait une discussion lors d'un forum des professionnels de la voiles , ou il était fait mention de la mise en place d'un possible "yachtmaster à la Française"
www.hisse-et-oh.com[...]0-voile
A ma connaissance , il n'y a rien de nouveau en France.
Wagnon l'éditeur d'ouvrages techniques maritimes, a tenté de mettre en place une formation Française pour l'ICC (équivalent d'un permis voilier utilisé dans certains pays pour la location mais [u]non obligatoire pour la plaisance de loisir[/u] ) mais cela n'a pas pu aboutir.
Perso je n'ai pas attendu et je suis directement parti sur la formation RYA en anglais, et j'ai bien été inspiré car sinon je serai encore en train d'attendre ou de continuer à perdre mon temps dans des stages à la con.
Mais c'est vrais que c'est incroyable qu'il n'y ait pas moyens de faire bouger les choses alors que même les pros du secteurs sont demandeurs..

28 jan. 2018

1: Belgique prend une majuscule, comme France ;)

2: le yachtmaster offshore y est reconnu mais si tu veux transporter des personnes il faut lettre de pavillon commerciale donc obligations légales diverses (pharmacies très complète, équipement sécurité, ...) et visites tout les ? ans pour revérification. Cela implique compta commerciale etc et les contrôles qui vont avec... D'ailleurs en Angleterre c'est pareil je pense.

Pour faire simple, demande à ton assurance si elle te couvre pour une activité avec "paying guests" ou "invités payants" et là tu sera tout de suite rassuré puisque ce sera non.

Pour les tests VHF ça va dépendre de la formation du formateur. En France on t'apprend à appeller le sémaphore (qui s'ennuie) alors qu'en Angleterre tu te fais engueuler par le formateur qui te dis qu'ils ont pas que ça à foutre et qu'appeller un port ça le fait bien. (Peut être qu'en France les ports ne veillent pas ou pas bien, je sais pas moi j'y appelle les sémaphores ;) ou les cargos sur 06 ou 08 )

Charles

"1: Belgique prend une majuscule, comme France ;) "
:tesur:
Un brin raciste... et les autres pays cités ?!?
:pecheur:

29 jan. 2018

Un brin d'insulte ... et puis raciste c'est has been, maintenant on dit nationaliste, régionaliste, autonomiste, indépendantiste (heu...), bref des mecs qui agitent des drapeaux ;)

29 jan. 2018

J'ai déjà fais du clic'n'boat avec un gars, un amateur propriétaire. L'entretien de son bateau était non existant. 5 torons de son étai etais déjà rompu. Trinquette déchiré en route. Bosse de ris 2 et 3 GV cassé. et puis le summum = câble de direction rompu sans rechange et sans barre franche de sécours... À 20 minutes des côtés ça fais un peu chaud. Un bateau poubelle!!!!!
Vivre les skippers pros... former diplomé avec tout la pédagogie nécessaire et que leurs passagers payants puissent naviguer en toute sécurité et assurée!

Pendaison sur la place public à tous ces apprentis skippers propriétaires qui prendre de l'argent illégalement! ;)

29 jan. 2018

C'est un oubli de ma part pour les majuscules aux différents pays. Mea culpa.

29 jan. 2018

Ouais ça va c'était pour pousser un peu, un sursaut patriotique, pour un belge c'est rare... assez rare pour le manifester une fois

29 jan. 2018

nous y voilà ! la profession de skipper réclame l a création d' un permis voile ..... pour la sécurité ???? que nenni simplement pour se réserver une clientèle captive !!! kolossale finesse . Heureusement que F.I.N. s' y est opposée , ce serait la fin des chantiers . Et puis , j ' ai aussi en magasin des conneries grosses comme eux de skippers pro . De ce côté là c' est un partout . J' ai souvenir qu ' un ami a récupéré des gens dont le bateau s' était disloqué : il a fait ça par 25 noeuds de vent , tout à la voile et au ras des rochers du port de Marseille . Voilà une chose que ces ppv qui convoient des bateaux à voile ... sans les voiles mais au moteur , la poignée dans le coin pendant des jours sont bien incapables de faire .

30 jan. 2018

merci de ne pas faire d'un cas une généralité
...

29 jan. 2018

En fait le problème je le poserai différemment : l'activité permet t'elle de dégager un seuil de rentabilité susceptible de pouvoir en assumer les charges ? Compte tenu de la saisonnalité de l'activité je ne le pense pas. CQFD
Ce qui entraîne une large part de travail non déclaré, l'activité n'étant à mon avis que peu rentable. C'est le même problème pour les bûcherons, les vendengeurs, les ceuilleurs de champignons, d'asperges, de monos de ski, etc...
Est ce qu'on s'enrichit ou que c'est un mode de vie ?
Je crois que nous aimons tous la voile.

Et dans ce cas ne peut on pas imaginer la création d'associations type SCIC, afin de contourner la législation, payer les assurances pour préserver les usagers en cas d'accident, tout en salariant les skippers, et éviter les charges sociales impossibles à assumer dans ce type d'activité ?

29 jan. 2018

BBûcherons vendangeur moniteur de ski paient des charges sociales ...alban52

29 jan. 2018

voilà ,toujours le fric ...et encore le fric ...

perso ce sont des copains qui m'ont appris la voile sur leur temps de loisirs... j'ai connu m^me un prof de math qui venait au lycée le soir pour nous faire des cours de nav ...

j'ai passé les permis enseigné par des copains le soir ou les WE ...puis je suis passé moniteur federal toujours avec des enseignant gratos ..

et a mon tour j'ai fait pareil durant plusieurs années :enseigné la voile aux autres ,faire des cours de nav... m^me créer une école de voile avec quelques amis à St Malo (qui vie toujours d'ailleurs)

mais toujours gratos ,

maintenant on veut ce faire du fric avec son petit bateau et dés que quelqu'un demande un service on lui réponds quoi ? tu me paie combien ???

triste epoque ...

31 jan. 2018

Heureusement que ce que tu dis ici n'est que partiellement vrai. Je fais partie d'un SEL, des coups de mains que l'on s'échange avec un pseudo comptage du temps passé, juste pour éviter les abus... mais l'entraide existe encore dans ce bas monde, même si ça fait ch... certains cupides anti assistanat qui voudraient tout imposer (sauf leurs dividendes).

29 jan. 2018

Gratis on est tous d accord .....

29 jan. 2018

Donc, en définitive c'est pas le problème de la sécurité qui vous intéresse, c'est que le gars se fasse du fric dans le dos de l'état. CQFD. :reflechi:

30 jan. 2018

Tu as du mal lire ......ou tu ne veux pas entendre parler de concurrence deloyale .

31 jan. 2018

Pour faire simple, imaginons que ça devienne parfaitement legal
Qui serait pret à le faire et pour quelle participation/jour ?
Seriez vous pret à faire dormir vos passagés à bord ?
A assumer une semaine complete ?

31 jan. 2018

Pourquoi ne serait-ce pas possible... navigant dans un cadre associatif j'emmène parfois de nouveaux adhérents en balade. On termine bons amis dans la plupart des cas.

31 jan. 2018

Je suis assez tenté par l’expérience pour les périodes où je navigue en solo habituellement, c’est à dire en mai et septembre.
J’ai peu d’amis qui aiment la voile ou ils ne sont plus en état de la pratiquer, alors pourquoi pas partager avec de nouvelles têtes.
Si ça me paie une ou deux couches d’antifouling tant mieux mais ce n’est pas le but, c’est plutôt pour vérifier que je supporte encore le genre humain en espérant tomber sur des gens que la voile intéresse vraiment.

C’est comme ça que j’ai commencé la voile, à l'époque c’était une annonce dans Libé et je ne me suis même pas posé la question du diplôme du skipper.
La cohabitation avec des inconnus sur un bateau n’est pas évidente et ces expériences m’avaient incité à passer chef de bord très vite... Une semaine ça peut être long.

Pour le prix à demander ce n’est pas simple, demander le même prix qu’un pro serait exagéré, mais trop bas leur ferait une concurrence déloyale.
Avec des amis on partage les frais de bouffe et de port en principe. Je n’ai jamais évoqué l’amortissement du bateau.

01 fév. 2018

C'est le problème de cette "marchandisation" de la vie quotidienne à l'américaine
:lavache: :oups:

Tu pars en ballade visiter un truc avec des amis; tu peux être soupçonné de faire le taxi.

Tu rends un service à quelqu'un (ça m'arrive aussi); tu es soupçonné de travail au noir

Tu va faire une virée en mer; tu fais le skipper illégal.
etc etc etc

Il y a quelques années, jamais il n'y aurait eu soupçon de quoi que ce soit !
On vit une époque formidable !
:jelaferme:

31 jan. 2018

D'accord avec toi Solent, à 100%. Si tu as vu mes interventions, je pense que l'activité ne dégage de toute façon pas assez de marge pour en assumer les charges.
Par conséquent, quel que soit le diplôme, le niveau etc... même le pro se trouvera en difficulté.
A mon avis, la création de SCOP ou de SCIC par le biais d'associations créées dans les ports pourraient peut-être redonner de l'élan, tout en salariant les skippers formés et jugés aptes par l'association, au vu des compétences réelles et du diplôme.
Cette nouvelle forme de société coopérative permet des baisses de charges importantes, mais aussi des investissements en commun, etc...
Ce peut être une piste à creuser en tout cas ?

31 jan. 2018

Les associations ne peut pas faire n'importe quoi : la jurisprudence parle de prix, proximité, prestation et publicité. Une association ne peut pas faire de la concurrence déloyale aux professionnels...

Plaisance-Yachting : un nouveau brevet pour lutter contre les « faux » capitaines

31 jan. 2018

une asso peut tres bien payé un "pro" avec diplôme et proposé les m^me prestations ... seulement elle ne fera pas de "benefices" et elle s'adressera uniquement à ses adherents

06 fév. 2018

pas avec une scic : c l'avenir pour nos activités, documentes toi tu verras en quoi ca consiste

31 jan. 2018

bonjour,
Apparemment, les choses sont en train d'évoluer dans le bon sens :
actumaritime.wordpress.com[...]taines/

31 jan. 2018

C'est vrai que ça fait un peu farceur, comme texte: au pire, 2 nautiques et au mieux 6, je prédis encore un bel avenir aux co-batureurs...

Bien cela va éclairer la situation des "travailleurs de la mer" en Françe, dommage qu'il n'y est rien de neuf pour la plaisance de loisir, une petite certification facultative de Coastal Skipper à la Française aurait rencontré son public...

31 jan. 2018

Puisque c' est la mode de la " valorisation des acquis " pourquoi ne pas valoriser les acquis des plaisanciers expérimentés , selon des modalité à prévoir par les clubs nautiques, pour donner un bout de papier permettant l' embarquement de passagers - equipiers payants ? Moyennant un forfait à payer aux impôts , à l URSSAF et autres .

31 jan. 2018

"Validation" :heu:

31 jan. 2018

Oceanix>> tu fais référence au Yachtmaster ? Valorisation des acquis.... Avoir de l'expérience...

31 jan. 2018

En législation du travail c'est "VAE": validation des acquis et de l'expérience.

01 fév. 2018

Ce n’est pas aussi simple, même si c’est une piste intéressante. La VAE s’adresse à des professionnels salariés.

CaptainRV

31 jan. 2018

et pas Vélo à Assistance Electrique

01 fév. 2018

va pour validation , pourvu qu 'il y ait le papier au bout.

01 fév. 201801 fév. 2018

Pourquoi avoir créer le brevet restreint? Le permis "mer" ne serait pas une preuve suffisante de la compétence du pilote à piloter son embarcation?

Par ailleurs l'auto-entrepreneuriat n'a pa été créé pour vivre de ses seuls revenus. D'ailleurs combien d'auto-entrepreneur en vit réellement et exclusivement? En plus c'est limité dans la durée.

01 fév. 2018

Pour les skippers recherchant une validation par expérience, le système anglais est déjà une possibilité, il y a quand même quelques prérequis CRR, First aid, sécurité et incendie mais ce ne sont pas des gros modules..
La grosse validation de compétence est durant l'examen.
Là avec ce projet c'est un peu different, en partant du permis plaisance (= hauturier ?) il y a 2 modules lights, securité et reglementation, puis 6 mois de service en mer (? ca va limiter à ceux qui veulent vraiment travailler) et certification.
Je ne vois pas quand les compétence voile sont évaluées..ou alors j'ai pas bien compris le cursus..

01 fév. 2018

A lire les près-requis pour ce nouveau brevet d'aptitude à la conduite des petits navires à voile, il reprend exactement celui du capitaine 200 restreint, c'est à dire qu'il est destiné aux diplômés voile de jeunesse et sports, aux compétences voiles déjà évaluées. Les 6 mois de service en mer peuvent être du simple encadrement voile. En attendant plus de détails...

01 fév. 2018

Ah ok, je pensais qu'après le module règlementation , on pouvait partir dans les 3 débouchés, mais non, le module est commun mais les filières reste en silo vertical. Bon c'est plus logique mais alors ça règle rien du tout pour les autodidactes, car les diplômés voile jeunesse et sport c'est les moniteurs et autres BPjeps ?

01 fév. 2018

HELLO

actumaritime.wordpress.com[...]taines/

Plaisance-Yachting : un nouveau brevet pour lutter contre les « faux » capitaines
Publié le janvier 30, 2018 par actumaritime

Un récent décret en date du 28 décembre 2017 et entré en vigueur en 2018 est venu déverrouiller l’usage professionnel de la mer, et prendre en compte les nouvelles activités (pas si nouvelles que cela) pour lesquelles des petits navires sont utilisés.

Ce décret propose désormais des brevets adaptés inférieurs au Capitaine 200, sécurise le cadre juridique de l’activité, et vient favorise le développement des activités côtières.

Ce décret est une révolution, et permet à présent à plusieurs centaines (voir quelques milliers) de « plaisanciers » de vivre légalement de leurs activités côtières jusqu’alors « sous-marine« , pour lesquelles elles ils prétendaient pour la plupart d’entre eux faire de la co-navigation pour cacher l’activité commerciale de charter, de whale watching, etc. Travail au noir, pas d’assurance en cas d’accident, pas de déclaration fiscale, pas de cotisation, et le risque de se faire arrêter par les autorités, il était nécessaire que la loi s’adapte aux usages.

En effet, si un plaisancier propriétaire d’un voilier ou d’un navire à moteur de 12 mètres souhaitait amortir les frais de son embarcation, ou désirais en vivre, il était soumis :

A la titularisation du premier brevet de commandement à la marine marchande, le capitaine 200 (aussi long à passer que coûteux),
L’inscription du navire à un registre commercial, et de fait, se soumettre aux règles fiscales rattachées au pavillon (le plus souvent français pour des raisons pratiques).

Il existe aussi quelques compagnies sur les régions côtières comme celle des Alpes-Maritimes qui s’affairent en saison estivale à proposer des livraisons de vivres à bord des navires de plaisance et sur les plages, comme des glaces, des cafés, des sandwichs, des jeux de cartes, parfois même des paquets de cigarettes. Ces navires sont exclusivement des semi-rigides d’une longueur de 10 mètres environ.

Les compagnies qui en sont propriétaires ont peut-être fait la démarche de les inscrire au commerce, mais les saisonniers qui les pilotent, en majorité des étudiants, ne sont pas titulaires du Capitaine 200, ils ne sont titulaires que du permis côtier. Ce qui constitue une infraction au regard de la loi. Les Affaires Maritimes ferment les yeux depuis toujours à cause du montage hybride et du flou juridique ambiant.

A titre d’exemple, le site internet du Télégramme a révélé la poursuite judiciaire le lundi 23 janvier 2018 d’un « skipper » pour travail dissimulé et utilisation non conforme d’un navire de plaisance à usage personnel.
Il profitait de la porte ouverte par la législation pour la location de bateau, et proposait via les sites de location (SamBoat, Click&Boat) des sorties facturées entre 345 à 365 €. Le problème est qu’il n’était titulaire que d’un simple permis côtier, et non du brevet de capitaine 200 requis pour le transport de passagers, et qu’il n’a déclaré aucun revenu lié à l’exploitation de son bateau. Pour se défendre, il prétendait ne louer son navire qu’en « coque nue », quand d’autres prétendent que les passagers sont des amis du chef de bord (la fameuse excuse utilisée au même titre par ceux qui exercent illégalement l’activité de taxi).

Désormais, le décret n°2017-1835 du 28 décembre 2017 relatif à la délivrance des titres de formation professionnelle maritime et aux conditions d’exercice de fonctions à bord des navires armés au commerce, à la plaisance, à la pêche et aux cultures marines, vient purifier cette situation floue et apporte des solutions légales adaptées à ces différentes situations qui ne l’étaient pas.

Pour permettre une navigation nationale dans les eaux territoriales, Le texte vient déverrouiller le Code des transports et définit les titres de formation professionnelle maritime et des qualifications correspondant aux capacités que le marin doit avoir, et aux fonctions qu’il est appelé à exercer à bord du navire. Il crée ainsi trois nouveaux brevets :

Le brevet restreint d’aptitude à la conduite de petits navires
Le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires
Le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires à voile

Développement et explication :
Ce que permettent ces trois brevets :

Ces trois brevets offrent un socle commun : devenir capitaine ou matelot de navire à moteur de moins de 12 mètres effectuant une navigation à moins de 2 milles du point de départ et ne transportant aucun passager, et dont la puissance propulsive est inférieure à 250kw.
Ce que permettent le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires et le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires à voile (donc à l’exclusion du brevet restreint) :

Les deuxième et troisième brevets permettent de devenir capitaine ou matelot de navire à moteur de moins de 12 mètres, effectuant une navigation à moins de 6 milles du point de départ, transportant au plus 12 passagers, et d’une puissance propulsive de moins de 250 kW.
Ce que permet le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires à voile :

Ce dernier brevet permet de devenir capitaine ou matelot de navire à voile de moins de 12 mètres effectuant une navigation diurne à moins de 6 milles d’un abri et transportant au plus 12 passagers.

L’objectif de ces trois nouveaux brevets est de prendre en compte les nouvelles activités professionnelles pour lesquelles de petits navires sont utilisés :

Proposer des brevets adaptés inférieurs au capitaine 200
Sécuriser le cadre juridique de l’activité (employeurs et marins)
Favoriser le développement des activités côtières

Par ailleurs, cette mise à niveau réglementaire va créer de nouvelles possibilités d’accumuler du service en mer pour les diplômés d’une formation maritime, permettre l’exercice d’une activité en autonomie dès l’issue de la formation, et apporter une réponse à la diversification des activités des pêcheurs, également concernés.

D’une certaine manière, c’est comme-ci l’Administration des Affaires Maritimes a créé un statut d’auto-entrepreneur pour les petits plaisanciers qui souhaiteraient vivre de leur navire initialement privé.
3 cursus de formation pour accéder à ces nouveaux brevets :

Des acquisitions possibles par équivalence :

Quid des petits services côtiers ?

Et les plaisanciers qui font du « taxi-boat » par exemple ? De petites activités professionnelles de service côtiers de ce type se développent de plus en plus. Ces activités se déroulent à proximité des côtes sur des navires de conception plaisance. Par conséquent, le brevet d’aptitude à la conduite des petits navires s’appliquera selon les besoins.

Mais concernant l’aptitude médicale, la certification et la sécurité de ces navires, la
protection sociale des personnes qui assurent ces activités, rien n’est encore arrêté. Un travail est déjà engagé à ce titre pour réviser la division 222 qui régit la sécurité des
navires de charge et de services afin de faciliter l’utilisation de navire de conception plaisance. Les règles d’aptitude médicale peuvent être en effet adaptées car les textes
permettent de proportionner les exigences aux activités exercées. Les personnels travaillant à bord des navires exerçant certaines de ses activités très côtières pourraient être affiliés au régime général ou au régime des indépendants, sous réserve d’exceptions listées. L’affiliation à l’ENIM serait en effet mal adaptée à ces activités compte tenu de la durée brève et du caractère épisodique (forte saisonnalité, complément en mer d’une activité exercée à terre,…) des activités.

Cette souplesse de l’Administration des Affaires Maritimes est due au fait que ces activités répondent manifestement à des besoins, et peuvent donc être source d’emploi. C’est cet intérêt supérieur qui est retenu.
Trouver les formations près de chez vous :

Si vous êtes intéressé par une formation particulière, vous pouvez désormais grâce au nouveau portail unique PROMETE trouver tous les organismes de la région qui vous intéresse et les contacter directement.

Ainsi, il n’y aura plus d’excuse pour les propriétaires de petits navires de plaisance qui « refusent » de passer les permis et brevets. Toutes les activités côtières et saisonnières en mer ont désormais un cadre juridique adapté.

Et il s’agit surtout d’une bonne nouvelle pour les capitaines et marins professionnels qui font l’effort d’investir leur temps et leur argent dans une formation longue, technique, demandant beaucoup d’abnégation et courant après les recyclages et visites médicales, qui dénoncent en permanence les annonceurs qui profitent des failles et qui ne cotisent aucune charge, sans diplôme, ni qualification, ni formation. Désormais, plus personne n’a d’excuse et tout le monde est astreint à des règles adaptées à sa propre activité. :tesur: :lavache:

01 fév. 2018

Bjr,

Promete inconnu chez Google ????

CaptainRV

01 fév. 2018

merci et bravo !
je ne jouerai pas mais ça devrait clore le débat et éviter de se faire clouer sur la porte
et pour le petit malin qui y a eu droit, c'est l'arroseur arrosé à tirer trop fort sur la corde...

01 fév. 201801 fév. 2018

inadapté , trop de restrictions . Valable pour les marchands de glace avec leurs zodiacs. Mais c' est un début.
Je persiste : puisque la pratique de la voile s' apprend majoritairement par compagnonnage , il faut un système entérinant la capacité acquise par ce mode . Le mieux serait une validation par des pairs : par des égaux , donc par les clubs de voiles affiliés à la FFV . Il pourrait y avoir une commission de sages destinée à juger de la capacité de skipper un bateau. Et qu 'on nous lâche les baskets avec les prérequis à la noix .
Pour les impôts et charges ; un forfait par passager et par jour .

01 fév. 2018

Une commission de vieux sages, comme chez les comanches? Hugh!

Plus sérieusement, le ministère des transports a toujours été mal à l'aise avec le voile. C''est pour cette raison qu'il sous traite le module voile du capitaine 200 à des structures jeunesse et sports (macif par exemple).
Le moteur, ils connaissent : Poutakoff, des épreuves de géométrie appliquée, des QCM de feux de route. Evaluer un niveau en voile demande des compétences, des infrastructures qui n'existent que dans les établissements agréé par la jeunesse et sports.

01 fév. 2018

pour évaluer des compétences, les infrastructures des clubs sont largement suffisantes . En ce qui concerne l ' évaluation , une commission composée de skippers plaisanciers et régatiers chevronnés est toute indiquée. Il n ' est pas difficile de mettre un nom sur de telles personnalités .
Il est regrettable que le monde de la plaisance se soit laissé dépouiller de la reconnaissance des compétences ! Lamentable !

01 fév. 2018

Je suis d'accord avec JP sauf pour les pré requis qui sont utiles (premier secours médicaux, pratique extincteurs, réglementation , survie en mer..)
Mais effectivement pour la formation voile, c'est dommage de ne pas avoir une validation de compétences par des pairs skippers expérimentés, et si le niveau est trop juste, rien n’empêche de partir en stage dédié dans les clubs FFV.
Dans le système proposé, on est quand même obligé de passer par la filière moniteur, ce qui n'est pas du tout la même chose et hélas c'est déjà bien trop noyauté par les acteurs type BPJEPS, avec les dérives et conséquences induites.

01 fév. 2018

c'est la théorie du complot de Fabien qui a été maltraité aux Glénans... :mdr:

01 fév. 2018

""c'est déjà bien trop noyauté par les acteurs type BPJEPS, avec les dérives et conséquences induites"????? Kesako?

01 fév. 2018

Oui mais je vais pas en remettre une couche, je lui ai répondu en mp..
Je vous raconterai la suite des aventures, j'espère cette année faire connaissance avec FVL ou Yakapartir et on verra bien..

01 fév. 2018

Franchement j'ai voulu regarder un peu ces formations, c'est tout bonnement incompréhensible :

D'abord pour le certificat de spéiclisation croisiere on nous dit ca :

Être titulaire du BPJEPS Activités Nautiques Mention VOILE ou mention plurivalente dériveurs, multicoques

Bon je vais voirce que demande l'obtention du BPJEPS :

Être titulaire du PSC1 ou équivalent (ex-AFPS)

Avoir un certificat médical de non contre-indication à la pratique et à l’enseignement datant de moins de 3 mois à la date de dépôt de dossier

Satisfaire aux différentes épreuves d’exigences préalables (et c'est quoi ??)

Permis bateau moteur

Attestation de natation

Epreuves de maîtrise technique correspondant au niveau V de l’AMV de la FFV (ancien niveau A2C du monitorat fédéral) sur chacun des supports de la mention voile (planche à voile, croiseur côtier, dériveur, multicoques)

J'abandonne, pas le courage de chercher ce que requiere le niveau V de je sais pas quoi, anciennement appele AC2.... Mais quelle usine a gaz, comment peut on pondre des reglements aussi abscons ?

01 fév. 2018

Vous êtes un peu de mauvaise foi, c'est pas si compliqué. Ce qui l'est plus c'est de le passer.
Le niveau V est celui de la FFV. A noter que le seul niveau V croisière est maintenant nécessaire pour le BPJEPS croisière.

01 fév. 2018

"Ce qui l'est plus c'est de le passer. " Oui ok, mais si on va dans une structure sérieuse, il n'y a pas de raison que ça ne passe pas ..
Le tout c'est de pas se planter et de bien choisir son club ou assoce.

01 fév. 2018

Le BACPNV est un copié-collé du capitaine 200 restreint, qui avait été créé pour résoudre un conflit important entre les associations de voile (nautisme en bretagne, FFV) et les affaires maritimes qui menaçaient de procés toutes les écoles effectuant des sorties à la journée sur quillards collectifs (genre mentor). Ce diplôme fut donc réservé aux diplomés jeunesse et sport (BE, BPJEPS,DEJEPS). A la lecture de l'article ci dessus, il semble que le BACPNV garde ce pré-requis.

Contrairement à ce que dit l'article, ce pré-requis restreint considérablement l'accés à ce brevet : le propriétaire de voilier qui souhaite organiser des ballades à la journée payantes tout en étant en règle va devoir commencer par passer un BPJEPS : 8 mois de formation!

02 fév. 2018

Du reste, à lecture des arrêtés (merci pour les liens), le capitaine 200 restreint est tout simplement supprimé, remplacé par le BACPNV.

01 fév. 2018

8 mois de formation tu es gentil, c'est faisable uniquement si tu as déjà le niveau technique dans tous les supports concernés par la formation, en général c'est plutôt 2 ans en alternance et encore pas en partant de 0 en voile !
par contre je ne comprends pas ce qu vous dites : on ne peut pas obtenir le brevet restreint voile par la filière permis côtier de + 5 ans et test préalable puis module de sécurité etc. ?
si c'est réservé aux BPJEPS c'est sûr que ça va limiter puisqu'ils ont déjà une passerelle pas trop ardue pour le certificat de C200 !!

01 fév. 2018

Oui il semble bien que c'est la bonne lecture du diagramme en silo. Moi aussi je pensais qu'on pouvait bifurquer de n’importe quel point d'entrée sur les 3 sorties mais non car sinon il n'y a jamais d’évaluation des compétences voile.. Donc seul les diplômes voiles Jeunesse et sport peuvent y aller, ça pas changer grand chose pour l'activité pro à voile..

01 fév. 2018

Je viens de lire le texte de l'arrêté, c'est là :
www.legifrance.gouv.fr[...]exte/fr

Pour le Brevet voile, et pas pour les autres, on trouve cette mention :
"Pour être admis à suivre la formation [...] tout candidat doit être titulaire :
1° [...]
2° De l'un des brevets, certificats ou diplômes mentionnés à l'article 1er de l'arrêté du 5 juin 2013 susvisé."

Après vérification de l'arrêté en question, sont concernés les diplômes suivants :
BE voile
BPJEPS voile + CS croisière
DEJEPS perfectionnement sportif mention voile
DESJEPS performance sportive mention voile

Voilà toutes ces formations sont des cursus longs de plusieurs mois ou années, couteux, qui ouvrent la voie à l'emploi et correspondent en général à une perspective de carrière dans l'enseignement d la voile...
Bref, ce texte est de facto vide, en l'état il ne permet rien de neuf pour les pratiquants de la voile qui ne sont pas déjà des professionnels du nautisme.
poudre aux yeux, et l'article cité tombe carrément dans le panneau... reste à faire du moteur sur un rayon de 2 milles max...

03 fév. 2018

Pour un propriétaire de voilier ayant déjà un bon niveau, celà signifie deux ans de formation (au total) et 15 OOO Euros.
Les déjà diplomés BPJEPS ne sont pas propriétaires de voiliers, ils sont trop mal payés.
Ce nouveau Brevet Voile encourage le travail au noir, puisqu'inacessible à ceux auxquels il est destiné. C'est désolant.

01 fév. 2018

alors que pour évaluer la compétence voile à moindre frais et en utilisant un système déjà en place il suffirait de demander un certificat de niveau 5 habitable FFV, que beaucoup de plaisanciers expérimentés pourraient obtenir moyennant une petite mis à niveau... et qui ouvre aussi la porte à l'encadrement fédéral bénévole ou saisonnier...
c'est vraiment débile -_-

02 fév. 2018

La FFV se prend pour l'état, mais n'est pas l'état, elle le représente dans les compétitions, nuance.. le niveau demandé pour le BPJEPS est le niveau du niveau V : les centres de formation au BPJEPS effectuent des tests d'admission qui confirment ce niveau, le niveau V FFV n'étant pas forcément considéré comme fiable (trop de complaisance).
Ceci dit, bonjour l'usine à gaz pour ces nouveaux brevets.

02 fév. 2018

La FFV se prend pour l'état, mais n'est pas l'état, elle le représente dans les compétitions, nuance.. le niveau demandé pour le BPJEPS est le niveau du niveau V : les centres de formation au BPJEPS effectuent des tests d'admission qui confirment ce niveau, le niveau V FFV n'étant pas forcément considéré comme fiable (trop de complaisance).
Ceci dit, bonjour l'usine à gaz pour ces nouveaux brevets.

02 fév. 2018

atoutnautic.fr[...]e/10559

3 brevets inférieurs au « Capitaine 200 » pour légaliser les activités commerciales des plaisanciers

Jusquà présent, si un plaisancier propriétaire d’un voilier ou d’un navire à moteur de 12 mètres souhaitait amortir les frais de son bateau, en vivre, il devait être titulaire d’un brevet de capitaine 200 et inscrire son bateau à un registre commercial, et donc se soumettre aux règles fiscales en vigueur. La nouvelle réglementation concerne les bateaux de moins de 12 m avec ou sans passagers, avec pour objectif de favoriser ces activités dans un cadre légal.

Le décret date du 28 décembre 2017 et est entré en vigueur en 2018. Il déverrouille l’usage professionnel de la mer en prenant en compte les nouvelles activités pour lesquelles des petits navires sont utilisés.
Les 3 nouveaux brevets

Le brevet restreint d’aptitude à la conduite de petits navires de moins de 12m sans passagers
Le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires de moins de 12 embarquant au plus 12 passagers
Le brevet d’aptitude à la conduite de petits navires à voile embarquant au plus 12 passagers
:jelaferme: :blabla: :blabla:

04 fév. 201804 fév. 2018

"Le brevet restreint d’aptitude à la conduite de petits navires de moins de 12m sans passagers" sert pour quel type d'activité?
Convoyage?
Il n'y a pas grand chose dans l'article.C'est tout nouveau mais rien sur les modalités,etc...

04 fév. 2018

Merci je n'avais pas vu.

04 fév. 201816 juin 2020

Regardes les liens plus haut, il y a plus de détails. En gros pour la voile, ça permet de faire du charter à la journée mais ce ne sera accessible que pour les détenteurs d'un brevet voile jeunesse et sport ou un cap 200, donc ne va pas amener grand chose de nouveau pour les plaisanciers aguerris et auto didactes. Il y aura une filière pour les détenteurs de permis bateau, avec un complément il pourront travailler aux petits boulot de livraison dans les zones de mouillages, et une voie de charter moteur < 12 m mais avec un gros module obligatoire. C'est illustré
par ce schema :

02 fév. 2018

J'aime bien la notion 'brevet d'aptitude a la conduite de petits navire à voiles' .
Bien amené , en douceur ... Une petite étape avant le permis.
Et une fois de plus , et avec un peu de temps , la majorité peinarde va subir les tergiversations d'une minorité casse bonbon (ceux qui trimbalent des gens et s'en font un buisness sans aucune formation ).
A ne pas confondre avec des partages ce qu'on a fait depuis toujours , ou certaines co navigation . Mais de fil en aiguille a moyen pourquoi tous les marins ayant à leur bord copains amis et familles participantes au frais, conserveront -ils -le droit de le faire sans ce certificat ? Diviser pour mieux régner , et hop.
In the baba .

02 fév. 2018

l'ogre capitaliste a constamment besoin d'etre nourrir et il lui faut toujours toujours plus ..sinon il meurt .

dans le m^me genre il est question d'obliger les particuliers qui utilisent une tronçonneuse de passer un examen , examen payant bien evidement .Et donc bientôt pour acheter une tronçonneuse on nous demandera le diplôme ...et donc certains ce tourneront vers un "pro" pour couper leur petit arbre ...

03 fév. 2018

C'est juste l'inverse : le pré-requis BPJEPS pour ce nouveau brevet voile révèle bien que le ministère des transports est incapable d'organiser une validation d'un niveau voile (qui ne peut se résumer à un examen de connaissances) pour un brevet restreint. C'est pour celà qu'il se référe à la seule validation d'Etat de niveau voile existant en France : le BPJEPS. Il n'est donc pas capable à fortiori d'organiser une validation pour le plus grand nombre, c'est à dire un permis.

02 fév. 201802 fév. 2018

Oh, j'ai quand même du mal à croire que l'état va mettre un permis voile ! C'est pas un voilier qui va fonçer à 20 nds dans une zone de baignade et tuer des baigneurs (fait divers tragique années fin 80 -90).
Par contre, en voilier il serait possible que les assureurs imposent des justificatifs de compétences ou un cv nautique minimum, pour proposer un contrat à tarif normal.
C'est d'ailleurs ce qui ce passe actuellement pour l'assurance des voiliers en régate et courses océaniques..

02 fév. 2018

C'est juste une impression. Le sujet revient parfois sur la table ,et on sait qu'une certaine population de naviguant sont dangereux , d'autres abusent et se sont infiltrés dans le flou de la législation de la nav payante, et cela ferait une manne non négligeable ,d'ou mon propos.

05 fév. 2018

Il y a même des promoteurs d'un permis voile sur ce forum !!!
Des masochistes ?

05 fév. 2018

Perso c'est pas du tout un permis obligatoire , c'est une formation facultative pour les neo-plaisanciers non marin, avec une certification commune standardisee et indépendante d'autres considérations qui aurait pu amener un plus.. Ça existe en Angleterre depuis longtemps et il n'y a pas de permis obligatoire..
En France, il n'y a que la filière moniteur/enseignement qui certifie un niveau...

10 fév. 2018

misuarca je crois que tu as mal intérprété. Je ne promeut rien , surtout pas un permis voile . Mais nier que le sujet existe , et se trouve peut être dans des tuyau, ne me parait pas juste.

03 fév. 2018

Hello à tous
Pour ceux qui veulent faire simple et bosser sur leur propre bateau de manière professionnelle, passez le BE voile option habitable...
Plus fractionné à passer, écrit /oral, péda, pratique
Valide à vie sans ces stages débiles à refaire à l'infini pour les skippers et d'obligations de cotisations àux caisses
Assurance Rc pro à moins de 200 € par mois...
Clientèle plus motivée et intéressante...

03 fév. 2018

qui n'existe plus depuis une dizaine d'année maintenant.

03 fév. 2018

et qui à ma connaissance ne permet pas de faire du charter mais de l'école de voile, ce qui n'est pas une nuance sans importance.

04 fév. 2018

hello
excusez je débarque ,je ne savais pas que le diplôme avait à ce point changé !
en fait j'ai un ami qui le fait en prenant même des familles,oui,oui monsieur ,même le petit de deux ans est en école de voile ...il est dans les clous et son bateau est assuré sans devoir être en NUC
oui ça fait une approche complète et différente du milieu ,et même les petits vers 5 ans peuvent barrer et comprendre le vent ,d'une manière plus instinctive que les adultes...
entre une semaine de charter et une semaine d'école de voile,c'est bien plus gratifiant que balader les gens et faire le larbin... une semaine c'est long...Après les gens sympas et ouverts sont souvent intéressés par apprendre,au moins on échange...mes potes skippers angoissent toujours un peu avant les charters...
Les blaireaux qui rentrent bourrés dans la nuit,crâment le vernis de la table avec leur cigare et râlent parceque les filles vénales ne sont pas acceptées au bateau,eux,faut se les farcir !
Mais on gagne sûrement moins en école de voile et les pourboires sont nettement plus légers...
bon,j'arrête,un peu hors sujet ...

05 fév. 2018

Et oui, le temps passe, les BPJEPS et DEJEPS remplacent le BE, le DEJEPS gardant la prérogative + 200 milles du BE. Je ne puis que confirmer vos propos en ajoutant que si les emplois salariés sont à peu près aussi inexistants que pour le cap 200, très mal payés (mini 1400 net selon convention collective), il est beaucoup plus facile de monter sa propre structure administrativement (pas NUC, pas ENIM, autoentrepreneur possible) comme financièrement (un voilier de 10m suffit pour l'école de croisière).

04 fév. 201804 fév. 2018

Pour ceux qui n'ont pas tout lu «le jugement le 25 Février..»
:litjournal:

06 fév. 2018

héo
la machine est lancée !
outlook.live.com[...]/owa/
:oups:

06 fév. 2018

Un petit souci sur ton lien, non ?

07 fév. 2018

oui,mais je ne retrouve plus la source !!! :-p :doc:

07 fév. 201807 fév. 2018

héo
www.boatindustry.com[...]quimper :jelaferme:
Skipper sans brevet sur internet, 1er procès à Quimper
Les armateurs de navires à passagers intentent un procès à un skipper breton qui exerçait sans brevet sur les plateformes de location de bateaux sur internet. Un enjeu majeur pour les professionnels, alors que la législation évolue.
En entrant à Concarneau
En entrant à Concarneau
Briag Merlet
Le 25-01-2018
Procès du skipper à Quimper

Nos confrères du Télégramme rapportent la tenue le 22 janvier 2018 du procès d'un skipper devant le tribunal correctionnel de Quimper. Le marin de 49 ans était poursuivi pour travail dissimulé et utilisation non conforme d'un navire de plaisance à usage personnel. Il offrait ses services sur les sites internet Samboat et Click&Boat pour des navigations de cabotage au départ de Sainte-Marine. Simplement titulaire du permis mer, il ne disposait pas du brevet de capitaine 200 nécessaire à l'embarquement de passagers payants. De plus, il ne déclarait aucun revenu lié à son bateau, son activité principale étant la récolte de champignons, précisent nos confrères.
Appel à un jugement exemplaire

Dans sa réquisition, le procureur a insisté sur la vocation pédagogique de la procédure qui est une première en France. Il a requis 6 000 € d'amende, dont 1 000 € avec sursis pour le délit et 1 000 € d'amende pour la contravention.

De son côté, l'association ARMAM, qui regroupe les armateurs de navires à passagers, estime faire face à une concurrence déloyale. Le skipper propose selon eux des prestations équivalentes aux leurs, sans les déclarer ni assurer les passagers. Elle réclame 20 000€ de dommages et intérêts au titre du préjudice moral.

Le jugement a été mis en délibéré au 26 février 2018.
Evolution de la réglementation

Ce procès se déroule alors que la réglementation pour le transport de passagers évolue. L'arrêté du 28 décembre 2017 relatif à la délivrance du brevet restreint d'aptitude à la conduite de petits navires, du brevet d'aptitude à la conduite de petits navires et du brevet d'aptitude à la conduite de petits navires à voile crée de nouveaux titres pour les navigants. Si les nouveaux brevets seront plus faciles à obtenir pour les titulaires d'un permis mer, ils exigent des formations et ne dispensent pas de déclarer l'activité. L'ARMAM s'inquiète néanmoins dans un courrier adressé le 12 janvier 2018 à la direction des Affaires Maritimes de "la dangerosité d'un tel dispositif permettant à une personne ayant suivi une formation minimale et de surcroît inexpérimentée dans le domaine maritime, de prendre en charge des passagers dans un milieu aussi sensible."

Le procès de Quimper souligne les dérives contre lesquelles la réglementation doit lutter.

07 fév. 2018

Pas mal: 30 000 Euros avec les frais pour un mec qui est raide comme une barre de lit.
On a voulu libérer à tout va pour réduire le nombre de chômeurs en faisant des travailleurs pauvres et en augmentant les jobs au noir.
Auto-entrepreneur, 23000 Euros par an maximum quand c'est sorti. Quand tu as enlevé tes frais et taxes, Tu bouffes avec ça ?
On bouffe le crâne à nos jeunes avec les Start up, et le goût du fric à tout va.

08 fév. 2018

33000 pas 23000

08 fév. 2018

Quand c'est sorti c'est à dire au début.

07 fév. 2018

Cette émission de France Culture explique remarquablement bien le basculement de notre système economique et politique dont le système d'auto-entreprenariat n'est que la suite logique.

www.franceculture.fr[...]re-2017

07 fév. 2018

héo
héhé, je l'ai retrouvé :cheri: :famille:
info VogAvecMoi
Premier skipper poursuivi pour fausse co-navigation!
Un skipper de 49 ans est poursuivi depuis le 22 janvier, devant le tribunal correctionnel, pour travail dissimulé et utilisation non conforme d'un navire de plaisance à usage personnel. Il proposait, via des sites de location entre particuliers, des sorties facturées, de 345 à 365€, au départ de Sainte-Marine vers Les Glénan [...]. Cliquez-ici pour lire l'intégralité de l'article du Télégramme.

Depuis 2015 et le développement des plateformes de location entre particuliers, de simples particuliers louent leur bateau à des passagers tout en skippant eux-même le bateau. Cette pratique est interdite et s'apparente à du charter déguisé. VogAvecMoi en avait déjà alerté les médias en janvier 2016.
Voir notre article du Blog à ce sujet et l'interview d'Antoine Penot dans ActuNautique

Nous rappelons qu'il y a deux activités distinctes:
- la location entre particuliers de bateau, au travers de notre partenaire SamBoat, qui permet de louer son bateau à un tarif attractif à un tiers mais le propriétaire ne doit pas rester à bord;
- la Co-navigation VogAvecMoi, qui permet à un propriétaire d'accueillir à son bord des équipiers pour le plaisir de partager une ou plusieurs journées de navigation et certains frais.

Afin de protéger les membres VogAvecMoi de ces dérives, et dans l'attente d'une réglementation de la co-navigation analogue à celle du co-voiturage, nous avons mis en place notamment 2 règles:

Si le propriétaire demande une participation aux frais d'entretien du bateau, VogAvecMoi contrôle que cette participation est raisonnable par rapport au coût annuel du bateau.
Suppression systématique des annonces des propriétaires dont la motivation est de rentabiliser leur bateau.

Lire également notre article du blog : Contribution aux frais du bateau dans la co-navigation VogAvecMoi
Depuis la création de VogAvecMoi en 2010, nous avons toujours milité pour une co-navigation basée sur le plaisir de naviguer ensemble et respectueuse du travail des autres professionnels du nautisme et notamment des skippers pros. Nous espérons que la décision du Tribunal correctionnel encouragera la pratique dans ce sens.
:litjournal:

07 fév. 2018

Il est possible de louer son bateau. Le propriétaire ne doit pas être à bord . Mais c' est très intéressant. Le propriétaire peut alors conseiller à un locataire , d' inviter gratuitement , untel , qui est expérimenté . En retour , le propriétaire peut bien donner quelques billets usagés au gentil équipier bénévole .

07 fév. 2018

Océanix les bons tuyaux !
:-D :policier: :acheval:

10 fév. 2018

On a vu encore beaucoup plus rigolo avec des brevets marmars mais fô pas dire :pouce: :alavotre:

10 fév. 201810 fév. 2018
10 fév. 2018

Je vois pas pourquoi vous vous prenez la tête : on est en europe, donc si j'avais à faire une activité commerciale : entreprise Bulgare, pavillon Bulgare et secrétaire Bulgare pour 300 € par mois, quelques graissages de patte. Des sociétés spécialisées existent en France pour réaliser cette opération. Pas de charges sociales et 80%d'impôts en moins avec la bénédiction des autorités locales. Attention : je ne cautionne pas, mais c'est ce qui se passe dans mon boulot en ce moment (je suis forestier francais). Et là plus la peine de diplôme bidon qui de toute façon n'empêcheront jamais une fortune de mer !

11 fév. 2018

bonjour,ben j'ai un pote qui convoie des voiliers de moins de 15 mts et qui demande simplement la prise en charge de ses frais et bien sur des frais du voilier;il est en règle avec l'assurance (par le biais d'un montage légal)c'est ce que j'ai fait pendant quelque temps avec beaucoup de plaisir et sans AUCUN probleme quelqu'il soit.Bon vent a tous.Jef;

11 fév. 201811 fév. 2018

Le défraiement ne doit pas être considéré comme un salaire, par contre il n'est donc pas payé. Il le fait gracieusement de manière "charitable", ce qui suppose qu'il dispose par ailleurs de ses propres moyens de subsistance (statut retraité ?).
Coté assurance, il a du communiquer son CV nautique pour justifier de ses compétence. Ainsi cela semble parfaitement possible, le seul hic c'est la concurrence entre des skippers diplômés qui recherchent un travail rémunéré et ceux qui peuvent le faire sans salaire. Si le marché est suffisamment vaste et que ce sont des prestas qui ne se feraient pas de tte façon, pourquoi pas..

J'y pense à demander des embarquements pour filer un coup de mains à des skippers pros gracieusement, je ne sais pas si c'est une pratique courante..L’intérêt pour moi est l'acquisition d'expérience sur des unités différentes..

11 fév. 2018

Je reprends l'analyse de ce fil dont le titre est trompeur, ce qui a entrainé des dérives dans le fil.
Le titre " activité skipper condamné " est faux, jusqu'au délibéré du jugement le skipper est "poursuivi", comme le titre le Télégramme.
Lisons l'article.
Qu'a fait ce propriétaire de bateau : il a loué son bateau pour des sommes de l'ordre de 345 à 365 € la sortie (on ne connait pas la durée de ces sorties, ni le type de bateau, ni rien d'autre...)
L'avocat plaide : des locations du bateau sans présence du propriétaire à bord, ou avec sa présence.
Il compte 16 locations sur 4 ans, pour environ 4000 €.
Ce qui nous fait 4 sorties par an, c'est loin d'être une activité professionnelle (AMHA).
Le tort de ce monsieur est de ne pas avoir déclaré ces revenus qui dépassent la simple participation aux frais d'un co-baturage.
Par analogie, si quelqu'un loue sa voiture, ou une chambre, ou n'importe quoi, ça représente un revenu qui doit être déclaré au Fisc...
Les règles fiscales qui s'appliquent dans ces cas ont été précisées il y a peu, en réaction aux nouvelles façons de pratiquer "l'économie du partage" qui ce sont développées avec l'arrivée des nouvelles technologies de communication.

Attendons le délibéré, annoncé pour le 26 février, et de savoir quelle sera la "condamnation", s'il y en a une, pour préciser nos opinions à ce propos. :litjournal:

11 fév. 2018

Tout à fait.
Toutefois, on ne sait pas comment interpréter le féminin de "condamnée" du titre. Relatif à activité ou simple erreur ?

;-)

11 fév. 2018

" ce sont des prestas qui ne se feraient pas de tte façon" c'est cela en effet car les propriétaires des voiliers convoyés n'auraient pas eu les moyens de le faire faire par des pros.

11 fév. 2018

Oui je m'en doutais, donc on ne peut pas dire que cela fait du tord à un tiers..
Ce type de situation peut se produire dans beaucoup de secteurs, surtout quand on réfléchit aux besoins et nécessites des personnes démunies ..
Proposer des cours scolaire gratuits pour des élèves défavorisés, un hébergement de secours pour des sans abris , ce n'est pas une concurrence déloyale du secteur marchand concerné.. Bien sur je prend des exemples "extrêmes", mais si on l'applique à des cas moins poussées, pour un citoyen lambda non aisé, qui demande un coup de main en échange du gite et couvert, on peut tomber sur un "trou" juridique et cela peut gêner certaine corporation..
Le meilleur exemple c'est celui du projet OLPC
fr.wikipedia.org[...]r_Child
qui a reçu des bâtons dans les roues de la part de très très riches entreprises du privé qui voyaient d'un mauvais œil du business potentiel leur échapper.

(Facile à deviner qui : ordi portable , OS libre, business = --> ???)

14 fév. 2018

Merci maximus99
Je n'ai pas vu le cas auquel je pensais ces derniers jours : celui du club de plongée, qui possède un bateau et emmène ses adhérents (parfois d'un jour) sur un lieu de plongée... celui qui pilote ce bateau doit il être titulaire d'un brevet autre que le permis côtier ou hauturier ?
De même les jeunes qui pilotent les navettes portuaires dans certains mouillages... et qui font ça comme boulot d'été.
Mon fils qui était aide moniteur puis moniteur au club de voile allait chercher des stagiaires et les transportaient dans la "sécu". Il avait juste son permis côtier, puis son brevet de mono.

14 fév. 2018

Je pense que les clubs de plongées avec un support armé au commerce doivent être rares...
:reflechi:

14 fév. 2018

Salut les amis,

Si je peux me permettre d'ajouter mon grain de sel et donner mon avis. Je ne travaille pas dans le domaine maritime, mais je constate que les contraintes économiques poussent de plus en plus les particuliers à avoir un complément de revenu et donc une activité occasionnelle. Je pense que les affmar cherchent à réglementer un état de fait, c'est à dire un situation qui devient hors contrôle. Comme blabla car, uber, ou Airbnb etc, des petits malins (clic & boat et autres) ont cherché un cadre légal permettant de pratiquer une activité occasionnelle dans le domaine marin. Si on s'intéresse un peu à tout ça on sera tous d'accord pour dire que c'est très compliqué voir impossible de pratiquer une activité occasionnelle de ce genre en étant parfaitement en règle. Le cadre actuel ne fait pas de différence entre un cargo et un marchand de glaces. Toute activité marchande, devra suivre les règles de la marine marchande (voir du code des transports): diplôme (C200 ou autre), validation, navire immatriculé au commerce (ou NUC), inspecté, sans possibilité de l'utiliser pour un usage privé, enfin, paiement des cotisations à l'ENIM la caisse des marins. Est il possible de se déclarer comme "Capitaine" d'un petit voilier pour emmener des passagers en étant auto-entrepreneur (Skipper c'est différent) ? Et quid des assurances (essayez d'avoir un écrit qui vous dit que vous êtes couvert si vous emmener des personnes sur votre bateau Click & Boat avec un navire de plus de 15 ans)? Donc si on résume, il est tellement difficile d'être en règle qu'il semble évident d'une part que certains contournent et enfin que notre administration cherche à adapter la réglementation. Personnellement je trouve cette condamnation très intéressante, elle a le mérite de mettre les pieds dans le plat, les capitaines, les plateformes de mise en relation, les autorités, les juges. Les plateformes de "mise en relation" vont devoir s'adapter, les marins, se former mais le sujet est probablement loin d'être clos. Le contenu d'une partie de la formation est assez drôle, puisqu'il s'agit de cours de réglementation. L'accès à la plaisance est de plus en plus difficile financièrement pour les familles. Ces systèmes couvrent un besoin et rendent service aux gens qui peuvent s'offrir une sortie en mer et qui de toute façon ne pourraient peut être pas se le permettre avec des loueurs pros. Souvenez-vous de ce qu'on a dit de FREE, qu'il cassaient le marché et tuerait les autre opérateurs, etc je constate qu'ils sont tous encore là. Ce petit "business" va servir à alimenter le petit commerce d'accastillage, les voileries, à avoir une flotte mieux entretenu, etc, et il y en aura tellement que personne ne pourra en vivre. Ce skipper poursuivi va essuyer les plâtres mais permettra peut être aux gens de se remettre en question.

15 fév. 2018

C’est plus un grain de sel, c’est toute la salière ;-)
Tu compare le marché des télécoms, un marché captif de dizaines de millions de personnes, et un système qui ne sera jamais qu’un petit arrangement « entre amis » plus ou moins légalisé.
Le cas dont il est question en tête de ce fil vient du tarif pratiqué qui dépasse très largement le simple partage de frais et qui fait concurrence directement à des professionnels installés.
Lesquels ont dû se faire un plaisir de signaler le cas aux autorités compétentes.
La colocation permettra à certains d'accéder à la voile avant de louer ou d’acheter peut-être un jour.
C’est comme ça que j’ai commencé la voile avant de louer des voiliers à des pros, (et de finir par acheter un bateau), parce que la location à des particuliers ça atteint vite ses limites.

15 fév. 2018

Tout à fait, mais jugement le 25 Février...
;-)

15 fév. 201815 fév. 2018

C’est sûr que si on compare au port d’Antibes où des équipages entiers sont payés de la main à la main au vu et au su de tout le monde le délit est faible.
(Mais la c’est ce qu’on appelle un arrangement entre émirs)
Mais le pb c’est que c’est du black au même titre que l’employé Municipal qui fait des petits chantiers le WE. Et là c’est l’Urssaf Et tout le tremblement...
À mon avis il ne faut pas faire l’amalgame avec Sam boat ou autre où le pb est plutôt lié à la responsabilité du skipper qu’à des questions fiscales vu les sommes en jeu assez faibles.

15 fév. 2018

Le titre du journal est juste : le skipper est "poursuivi" pour travail dissimulé.
C'est le titre du fil qui est erroné. Jusqu'au rendu du délibéré...

25 fév. 2018

Un tribunal ouvert un dimanche...????

15 fév. 2018

Désolé c'est vrai que c'est la salière... :-) je me suis un peu emballé à refaire le monde :-) je suis d'accord avec toi globalement. Mais c'est un sujet qui me touche car j'ai eu un petit aperçu de ce monde en passant un capitaine 200 voile l'an passé. J'ai heureusement encore un job sérieux, mais cette expérience m'a permis de voir et de comprendre des choses dans ce domaine. Je suis un peu triste de voir un petit gars condamné pour faire un peu de samboat alors que les délits divers et graves coulent à flot en toute impunité sur la côte à bord des Yacht sous pavillon de complaisance...

15 fév. 2018

mais svp quel est sa condamnation ? il est condamné à quoi ???

le titre du journal est simplement accrocheur pour vendre le papier mais totalement faux ..

le skipper connaitera la sentence le 25 fevrier

15 fév. 2018

comme quoi l'on peut etre influencé par H&O :alavotre:

26 fév. 2018

Ben oui, c'est le Jugement de Dieu !
:-D

25 fév. 2018

:pouce: :bravo:

26 fév. 2018

Huppe...

27 fév. 201827 fév. 2018

Vu à l'instant sur la page Facebook de Legisplaisance : le skipper a été condamné à 6000 euros d'amende (1000€ avec sursis)

27 fév. 2018

oh la vache !!!

27 fév. 2018

Je trouve ça plutôt léger comme condamnation.. au plus 2 semaines de loc vu les prix que ce skipper pratiquait ! Pas vraiment dissuasif

27 fév. 2018

tu trouves ?
[b]Il compte 16 locations sur 4 ans, pour environ 4000 €."[/b]
moi je trouve la note bien salée !

27 fév. 2018

quelle est la motivation officielle du tribunal ? je n ai pas fb..
c est plutot le cote " sans autorisations/diplomes" ? , ou bien le manque de declaration? faute legislation travail ? faute legislation fiscale?
merci

27 fév. 2018

C'est effectivement ça qu'il serait intéressant de savoir. L'information sera sans doute publiée sous peu...

27 fév. 2018

L'amende du tribunal semble cantonnée à l'infraction de travail dissimulé.
En plus de l'amende du tribunal, c'est le fisc qui va s'occuper directement du paiement de l'impôt (revenu et tva éventuelle) sur les sommes perçues et non déclarées assorties des pénalités habituelles, le fisc a pas besoin du jugement d'un tribunal sauf si c'est lui qui poursuit pour le motif de fraude fiscale ou si le redevable conteste la demande du fisc devant le tribunal.
Si il y a des cotisations sociales à récupérer l'Urssaf peut aussi se servir pour faire rembourser ce qui aurait dû être versé.
Au total l'addition risque d'être bien salée.

27 fév. 2018

Cloué sur la porte pour l exemple, donc !!!!
Bientot l ouverture de la chasse peut etre
Je souhaite bon courage à nos amis black skippers
pour faire disparaitre l historique de leur activité sur le net
un prochain fil sur le sujet trés bientot ?

28 fév. 2018

Un article peut être dans le Télégramme???

28 fév. 201828 fév. 2018

Dans ce pays (de truands politiques), on est jugé si on ne bosse pas (paul emploi and co) et meme pour "travail dissimulé" , comme si essayer de gagner sa vie hors du systeme et ses abus de pouvoir, etait un crime.
Je ne cautionne pas une activité si elle peut etre dangereuse comme ca peut l etre dans ce cas (navigation sans assurance si accident ou incompetence possible du skipper et prises de risques pour les clients), mais perso j attends plutot qu on juge d abord tous ces truands politicards de tous bords, qui abusent et volent les gens sans etre reellement condamnés "ferme" et pour des sommes bien pires (Cahuzac, sarko, balkany, fillon, etc, etc?)

28 fév. 2018

mais ces "truands politiques" comme tu les appelle n'ont pas forcement tord de tricher ...

plus de 40% des électeurs ont voté pour des candidats ayant des problemes avec la justice au premier tour des présidentiels ..et tout le monde était au courant

Balkany avec toutes ses casseroles a toujours été élu sans probleme ..

alors pourquoi s'en merdé...

28 fév. 2018

« Selon que vous serez puissant ou misérable
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »
C’est sûr que la note est salée vu les sommes récoltées. On a voulu faire un exemple et les pros ont du bien l’enfoncer.
Si ça peut le consoler, il aurait fait ça à Bonifacio il serait entrain de nourrir les crabes.

28 fév. 2018

C'est sur qu'on est pas très bien placé mais c'est plutôt moins bien sur le reste de la planète :
www.transparency.org[...]ex_2017
23 ème sur 180 pays derrière les US, et d'autres grands pays européens à égalité avec les Emirats Arabes Unis!

Mais comparé au reste du monde hum... C'est les pays de droit et démocratiques qui sont les moins corrompus. Il y aurait peut être à redire sur les critères utilisés pour effectuer ce classement.

En France, on peut remarquer récemment que les mailles du filets se dont resserrée avec les lançeurs d'alerte, la loi sur la moralisation de la vie publique et les réactions politiques de tout bord.
Maintenant c'est aussi un sport national que de frauder, travail au noir, fraude fiscale, chacun à son niveau avec les possibilités qui lui sont offertes.
Le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument comme le notait un philosophe anglais du 19ème, on peut dire que c'est inhérent à la nature humaine au degré de liberté des individus placés en situation de frauder et qui se croient dans l'impunité.

28 fév. 2018

Et qu'en est il des "plateformes" Samboat ou Click & boat invoquées dans l'article, qui ont fait la promotion de cette activité, expliqué que c'était légal, expliqué que l'assurance couvre les risques, mis en relation cette personne et ses "locataires", encaissé l'argent et pris une commission sur une activité visiblement illégale ? sont ils impliqués d'une quelconque manière ? Contrairement à ce que laissent à penser ces plateformes, la justice semble considérer qu'il ne s'agit pas de "co-navigation". Visiblement, les conseilleurs ne sont pas les payeurs...

28 fév. 2018

Pour l’instant la co-navigation est tolérée, à condition que ça en soit vraiment.
Là c’était des sorties à la journée « facturées » au prix fort.
C’est le travail au noir qui lui est reproché plus que l’absence de diplôme.
Les sites de mise en relation ne sont pas responsables de l’usage qui en est fait, mais on n’est pas obligé de croire tout ce qu’ils disent non plus.

28 fév. 2018

Les sites comme clic n boat, samboat, boaterfly etc ce sont que des sites de mise en relation. Ce sont comme des sites de "massages" et "escorts girls" les sites ne fait que de la mise en relation et pas de prostitution !
Le pauvre gars condamné (et des milliers d'autres le font aussi) aurait dû tout simplement proposer de partager des frais (cad: quelques litres de carburant et de la nourriture) pas un euro de plus...

28 fév. 2018

D'après ce que je comprends de l'article, ce n'est pas seulement le travail dissimulé mais "l'utilisation non conforme d'un navire de plaisance" qui est condamné, le droit a été appliqué pour les deux aspects. Pour moi la co-navigation c'est ce que dit Celtic Warrior, tu partages le gasoil et le casse croûte (et encore il faut surement un ticket de caisse). Par contre, pour les plateformes web, je pense que ce n'est pas seulement de la mise en relation puisqu'ils prennent en charge la transaction financière, le contrat de location, et surtout propose un cadre juridique de l'activité. Ils parlent même publiquement de leur "flotte" de navires. Ces gens sont plus des geeks que des marins puisqu'ils sont plus là quand y a du gros temps... bon sauf François Gabart qui vient d'investir dans Clic & Boat...

01 mars 201801 mars 2018

qu'il n'a déclaré aucun revenu lié à l'exploitation de son bateau puisque son activité principale est la récolte et le négoce de champignons de forêt, cèpes, girolles, pieds de mouton, truffes.

En l'absence du prévenu., lors de l'audience du 22 janvier, retenu par ses activités professionnelles .
 

© Le Télégrammehttp://
 

Le juge à aussi certainement apprécié l'implication du contrevenant ! :heu:

01 mars 2018

un petit qui gagne péniblement sa croûte et qui met un peu de beurre dans ses maigres épinards sans rien demander , sans rien coûter à la solidarité nationale

01 mars 201801 mars 2018

En résumé
- on peut louer son bateau (comme sa voiture, sa tondeuse, une chambre...) mais il faut en déclarer les revenus.
- on peut embarquer des équipiers (expérimentés ou non) à bord de son bateau et partager les frais de la sortie.
- on ne peut pas faire les deux "en même temps". Sauf à être un professionnel diplômé et enregistré comme il se doit.

Par analogie avec la voiture : on peut la louer, on peut covoiturer, mais on ne peux pas faire le taxi sans la licence... d'où le hiatus avec les VTC et Uber... Et comme tout revenu doit être déclaré au fisc... il ne faut pas faire ça au noir.

01 mars 2018

Il me semble que les plateformes précisent bien qu'en cas de location commerciale du bateau, c'est location seulement, le propriétaire ne doit pas être à bord !
C'est bien là le noeud du problème qui fait de la concurrence déloyale aux skippers diplômés qui ont invest idans une formation pour avoir le niveau technique et la conscience de la sécurité pour minimiser les risques pour ls clients.
Dommage que l'amende ne soit pas associée d'un sursis, puisqu'on veut faire un exemple, on aurait pu lui accorder le bénéfice d'avoir fait comme beaucoup d'autres en France et ailleurs, dans le nautisme ou pas, en l'absence de condamnation antérieure.
Mais on sait bien qu'on cloue les pauvres au pilori sans prévenir, le sursis c'est pour les riches et les élus...

02 mars 2018

1000 euros avec sursis

05 mars 2018

Et maintenant legisplaisance va être obligé de rééditer son guide pfff.

20 mars 2018

Je viens de regarder les documents des 3 nouveaux brevets sur l'aptitude à la conduite d'un petit navire.
Rien à dire pour le brevet BRACPN.
Après je ne trouve pas très logique le BACPNV et le BACPN !
On demande d'être moniteur de voile et d'avoir un BEES ou un BPJEPS ... et de valider 6 mois en mer par les autorités pour promener des personnes sur son voilier !
Par contre il n'est pas demandé d'avoir un diplôme comme le moniteur bateau école pour promener des personnes sur une vedette à moteur !?
Pourtant la vitesse est bien un facteur à risque !?

Ok C'est normal d'avoir un brevet, des notions de sécurités, de secours ... et d'avoir son bateau aux normes !
Pourquoi ne pas avoir le même brevet d'aptitude sur un voilier que sur un bateau à moteur !?
Les propriétaires des bateaux à moteurs et des voiliers ne vont pas demander aux passagers de s'attaquer aux cours des glénan pour une virée à la journée !!??

Le propriétaire du voilier qui va faire une promenade plaisir avec quelques pasagers (comme avec des amis) ne va pas donner un cours complet de voile, mais juste des notions pratico-pratic et une découverte du bateau et du littorale !

Pourquoi pas aller vers une validation des acquis !?

Pour moi les personnes qui font du black aujourd'hui avec leurs voiliers ne vont pas aller passer une année de formation !
Je pense que la commission qui a géré les 3 nouveaux brevets passe à coté de la problématique

Qu'en pensez vous !?

21 mars 2018

Le nouveau BACPN n'est que 3 semaines de formation. Pas de service en mer.
Il faut le permis mer, le CRR et médical gens de mer c'est tout.
Ça veut dire qu'un novice peut commander une navire inférieur à 12m00 avec 12 passagers max. quasiment sans expérience.

...au moins il est formée diplômé et assuré

21 mars 2018

Oui 3 semaines d'une bonne formation pour le bacpn.
Pourquoi le propriétaire d'un voilier (qui navigue depuis des années) devra lui, faire une année de formation de "moniteur" avant de passer la formation BACPNV !?
Lui aussi propose d'aller promener quelques personnes à la journée !!??

Le propriétaire d'un voilier qui veut aller vers la formation BACPNV pour être aux normes n'a pas obligatoirement la prétention d'aller vouloir donner un cours de voile.
Mais comme le bateau à moteur, proposer une journée découverte mais en voilier !

21 mars 2018

Pareil, je ne comprend pas. Cela me semblait pourtant intéressant et m’interessé de passer un examen pour ce g3nre de petites sorties. Pourquoi passer un brevet de monitorat. J’ai pas l’intention de former des stagiaires.

A qui pourrait-on faire remonter cette aberration.

21 mars 2018

[i]A qui pourrait-on faire remonter cette aberration.[/i]

ben, à legisplaisance pardi !
ça leur permettrait peut-être de modifier le ressenti de pas mal d'héonautes à leur égard !
www.hisse-et-oh.com[...]slation

22 mars 2018

Légiplaisance n'a aucun pouvoir. Ils ne font que diffuser l'info juridique concernant la plaisance.
En ce qui concerne cette aberration, elle est due à l'incapacité de l'Etat d'organiser une évaluation voile autre que celles existant déjà pour les professionnels (BPJEPS et cap 200 voile). Une évaluation voile se déroule sur l'eau, sur un certain temps, demande du personnel, des formations adhoc, inenvisageable actuellement.

22 mars 2018

On a le droit de louer mon bateau au prix que je veux bien convenir avec un "client" - et on doit déclarer les revenus de cette location.
On a le droit d'emmener des personnes à bord de mon bateau (cobaturage) et de leur demander une participation au frais, ce qui ne donne pas lieu à déclaration mais ce ne doit être qu'une participation aux frais de la sortie
Mais, selon ce jugement, on n'aurai pas le droit de faire les deux choses "en même temps"...
Ou alors, et je pense que c'est ça, les tarifs proposés par ce propriétaire de bateau étaient différents selon qu'il soit à bord ou non (plus cher s'il est présent), ce qui correspondrait à un travail, pour lequel il n'a pas les diplômes, et qui plus est un travail dissimulé puisque les revenus n'étaient pas déclarés...

22 mars 2018

Et sûrement pas par des pairs comme on peut le lire plus haut : quand on voit déjà les arnaques des professionnels (je pense au permis de conduire) ou des "amateurs" impliqués (jaugeurs dans des courses officielles ou coureurs sans honneur...), je préfère ne pas imaginier la magouille qui aurait lieu dans chaque club de voile, capitainerie, pour attribuer à X ou Y le droit de s'en mettre un peu dans les poches !!! Car ici, il s'agit bien de ça ! Soit on loue son bateau nu (le skipper n'a pas à prouver de ses compétences), soit on co-bature à très faible coût (idem...), pas ce que certains ont dans la tête à commencer par ce "pauvre" skipper qui s'est fait attraper par la patrouille...

22 mars 2018

Le jugement n'est pas encore mis en forme, mais à partir du compte rendu obtenu par un avocat sur place, il s'agit d'une infraction pour travail dissimulé à savoir présence à bord du propriétaire pour une activité de location sans déclaration.

22 mars 2018

Si Legisplaisance n’a aucun pouvoir. Alors à qui faire part de notre incompréhension. Je trouvai pourtant l’idée de départ Interessante.

26 mars 2018

Le pouvoir est dans les mains d'un gouvernement. A ce titre, une association ou toute autre organisation n'a en effet aucun pouvoir de décision. En revanche, des réformes nécessitent des ateliers de réflexion, qui parfois infléchissent une position, oriente vers d'autres etc.. Nous sommes partie prenante à ces ateliers depuis 2017 aux côtés d'autres organisations associatives ou professionnelles (FIN, GICAN, FFV, CNP etc...). Si vous souhaitez vous exprimer sur le sujet de la plaisance collaborative, nous avons beaucoup travaillé sur ce thème (prochaine intervention cette semaine à Brest aux rencontres Idéal Connaissance) avec des propositions qui ont été retenues notamment en vue de la prochaine LOM. N'hésitez pas à nous écrire.

25 mars 2018

J'ai comme la plupart d'entre vous un bateau, il me coûte un maximum de fric et pourtant je fais presque tout moi-même. Je ne le loue pas,( je vois trop comment les choses se passent avec ceux qui louent). Je ne fais pas payer, quoique ce soit, à qui que ce soit, et c'est vrai, que cela pèse sur ma retraite, car franchement, on nous prend pour des américains. Bientôt je serai forcé d'arrêter, mes moyens ne progressent pas autant que les prix, qui montent, montent, à la plaisance. Maintenant, si cela continue, on peut comprendre que certains amoureux de la voile puissent se lancer dans des situations pas très respectueuses envers la législation. Je comprend aussi, les professionnels, pour qui, c'est la seule façon de gagner leur vie. Rien n'est facile quand il y a du fric en jeu et franchement les loisirs sont devenus , la vache à lait de tous ceux qui veulent s'en foutre plein les fouilles. "Quand on aime, on ne compte pas" cet adage, sur lequel certains puisent abondamment, va bientôt disparaître, car quand on n'a plus les moyens, on est bien obligé de savoir compter. En attendant "Bon vent"le beau temps arrive profitons en encore un peu et continuons de partager notre passion par exemple avec "Grand Largue" cette belle association caritative

25 mars 2018

si tu parles de l'association lyonnaise "grand largue", ce n'est absolument pas une association caritative mais un club de croisière affilié à la FFV.

25 mars 2018

Non je parle de celle ou notre regretté Tabarly était le parrain l'Association Grand-Largue et qui emmène à l'aide de bateaux et de skipper bénévoles, des enfants qui sont en foyer d'urgence pendant un week-end sur les cotes de l'atlantique

25 mars 2018

Bonjour drouh,

je suis globalement d' accord avec toi, mais plutôt que d' arrêter, pourquoi ne pas prendre un bateau un peu plus petit?

Gorlann

25 mars 2018

si les seuls frais de la sortie sont pris en compte en omettant le coût d' entretien et d' amortissement du bateau , cela fait profiter les "invités" d' un bateau gratuitement . Il faut, certes, déclarer les revenus du bateau mais il faut défalquer les coûts d ' entretien et d' amortissement , au pro rata temporis . Sinon le proprio se fait empapaouter par le fisc et par les passagers, puisqu'il est seul à payer les coûts d' utilisation

25 mars 2018

Bonjour, après trois semaines d'absence, je vois que l'on continue à se masturber la cervelle.
Dura lex, sed lex. A partir du moment où tu te mets hors la loi, faut pas venir pleurer quand tu te fais pincer les doigts dans la porte.
Surtout que la condamnation n'est quand même pas spécialement féroce.
De surcroît, le principal intéressé, lui, on ne l'a pas entendu. Si ça se trouve, il assume et ça ne lui pose pas vraiment de problèmes.
136 posts de supputations, faut croire qu'il y en a qui n'ont rien d'autre à faire... Ok, ok, je sors :acheval: :acheval: :acheval:

25 mars 2018

Bonjour,
Esr ce que la solution peut être le site cobaturage.fr !
Y'a t'il un risque aussi !?
Est ce que quelqu'un y a déjà participé comme propriétaire de bateau ou comme passager !?
Comment être cohérent sur le prix de la journée et déclarer la transaction !?

26 mars 201826 mars 2018

Bonjour,

la solution n'est pas tellement tel ou tel site, mais la nécessite d'une information transparente par les plateformes et d'un contrôle des annonces en ligne pour éviter le risque de confusion entre conavigation et locations.

Concernant le tarif de la journée pour la conavigation, la règle est fixée jusqu'alors ainsi :
- le montant perçu ne doit couvrir que les frais supportés à l'occasion du service rendu ;
- Sont exclus tous les frais non directement imputables à la prestation en question, notamment les frais liés à l'acquisition, l'entretien ou l'utilisation personnelle du ou des bien(s), support(s) de la prestation de service partagée ;
- les frais partagés ne doivent pas inclure la part de la personne qui propose le service. En effet, cette dernière supporte personnellement sa propre quote-part de frais et ne bénéficie d'aucune forme de rémunération, directe ou indirecte, au titre de la prestation qu'elle rend et dont elle bénéficie en même temps. En d'autres termes, le contribuable qui propose une prestation dont il partage les frais compte pour une personne dans le calcul des frais à partager.

L'article est trop long pour être collé ici mais sur le sujet vous aurez une synthèse ici : www.legisplaisance.fr[...]gation/ qui demande à être actualisé en 2018 pour le seuil de revenu au-delà du quel l'activité est fiscalisée.

26 mars 2018

C'est pourtant simple (en théorie) de rester dans les clous. La nature des frais relatifs à la sortie est décidée au départ et ils sont payés par une caisse de bord que chacun, skipper compris, alimente à parts égales : frais de bouche, carburant, ports...
Évidemment en pratique on ne peut éviter certains problèmes : l'un n'a pas de liquide sur lui, l'autre a payé tout un avitaillement avec sa carte de crédit, etc., d'où des calculs d'apothicaire pour s'y retrouver, mais le principe reste valable et inattaquable puisqu'il n'y a aucun transfert financier entre les uns et les autres. Trop simple ?

27 mars 201827 mars 2018

Aucune difficulté en théorie comme vous le dites pour respecter les règles d'une vraie conavigation. La difficulté est essentiellement sur le contrôle (a priori concernant les annonces, a posteriori sur l'eau) visant les personnes, qui sous couvert de conavigation, exercent une activité lucrative sans déclaration avec à la clef travail dissimulé et concurrence déloyale vis à vis des professionnels.

Les plateformes ont des progrès d'information vis à vis des internautes et de contrôle des annonces mises en ligne (mais le problème est équivalent sur l'ensemble de l'économie collaborative que ce soit l'hébergement, le covoiturage etc...). Quant aux affaires maritimes, compte tenu de leur moyen restreint au regard du nombre d'usagers surtout l'été, le plus efficace restera la prévention.

27 mars 2018

Merci pour ces observations sur le partage des frais trop limitatif au regard du covoiturage. Nous relayons.

27 mars 201827 mars 2018

Moins classe ou moins de plaisir, question de goût.
Mais c’est toujours difficile de revenir en arrière quand on a gouté au plaisir d’un bateau -moderne- performant - confortable, (rayer les mentions inutiles)
Je pourrais vendre mon bateau et en acheter un moitié moins cher, mais pas sûr que j’aurais moitié moins d’em... , moitié moins de frais et autant de plaisir.
Sur mon quai il y’a des pogos des X et des GS récents et aussi des plus vieux bichonnés et autres vieux bateaux plus ou moins performants mais je n’ai pas l’impression que ce soit dans le but d’impressionner le voisin.

Duduche Braz a raison le strict partage de la caisse de bord est un peu juste.
Par exemple cet été une copine (de ma femme) est venu à bord une semaine et nous a royalement payé un resto, pas un café, pas un apéro qui n’ait été partagé au centime près. Le gasoil c’est pour ma pomme.
J’ai trouvé ça un peu raide sans compter qu’on l’a ramené et prise à l’aéroport.
Disons que la prochaine fois je ne serai pas dans un coin vraiment accessible ..
Un bateau comme le mien ça se loue plus de 2000€/ semaine en août sans skipper, alors ça ne me semble pas extravagant ni flirter avec l’illégalité de demander un forfait modeste en plus pour de la vraie co-navigation. ( et on peut aussi tomber sur des gens sympas et pas trop radins )

27 mars 2018

Merci pour votre article (lien ci-dessus) qui reprend bien les règles à appliquer.
Comme vous l'écrivez certaines notions ne sont pas définies avec précision.
Il y a un point en particulier où je trouve que l'administration est trop restrictive dans les frais que l'on partage en co-navigation. C'est la non-prise en compte d'une juste répartition de l'entretien annuel du bateau dans les frais que l'on peut partager. En effet, dans le covoiturage il est admis que « Ne constitue pas un acte de concurrence déloyale la pratique de covoiturage effectuée à titre bénévole qui se limite à indemniser le conducteur des frais d’essence du trajet et de ceux induits par l’utilisation du véhicule ». Et vous citez la cour de cassation : "dédommageant le conducteur pour ses frais de carburant, de péages, d’assurance, d’usure du véhicule."

Je lis bien usure du véhicule, assurance, péages... et je transpose au bateau usure (carénage, antifouling, huile de vidange, usure des voiles... ) péages (frais de port lors de la croisière mais aussi ceux à l'année) et l'assurance annuelle.
Il serait logique de considérer ses frais d'entretien courant comme étant partageables au prorata des jours d'utilisation du bateau. C'est d'ailleurs ce qui ce pratique généralement en cas de copropriété du bateau.

Il est aussi logique que les revenus d'une location soient à déclarer en tant que tels, quelque soit le bien proposé à la location (logement, voiture, bateau, tondeuse... ). Avec, bien évidement des seuils à définir entre une activité de location professionnel, et celle, occasionnelle, d'un non professionnel.

Vous avez dit être "partie prenante"dans des ateliers de réflexion à ce sujet... c'est pourquoi je vous livre celles-ci qui me paraissent cohérentes.

27 mars 201816 juin 2020

:heu:

27 mars 201827 mars 2018

le covoiturage peut etre une necessité dans notre société : bien trop de voitures en circulation , voiture ayant peu d'occupant , voiture obligée pour le travail etc ...

donc le covoiturage s'impose et est une bonne solution .

mais nos bateaux ,c'est quoi ? du loisirs , de la promenade , du divertissement

ma reflexion est un peu brutale ,mais lorsque l'on n'a pas les moyens de se payer un 12m et bien on prends un plus petit . C'est beaucoup moins cher, moins d'entretien , moins de depenses . A l'inverse c'est autant ou plus de plaisir ..

.mais ça fait moins "classe" comme l'on dit chez il faut eviter de pété plus haut que son cul

27 mars 2018

Contrairement à ce que pensent certains le fisc ne fait pas de distinction entre le co-voiturage et la co-navigation : seul le partage des frais directs est admis : bofip.impots.gouv.fr[...]GP.html

27 mars 2018

dans ce cas impossible de trouver un cobaturage !
Par exemple:
je veux essayer la voile sur cata et dans mes relations personne n'en a.
donc pour une sortie d'un après midi pour un cata qui est à La Rochelle les frais de GO pour sortir et rentrer au port disons 2€.
le vent c'est gratuit
Le port c'est sans frais puisque c'est sa place à l'année
Donc ce propriétaire qui ne me connait pas ( je pourrais etre une tête de c.. ) va se contenter de 1€ pour la sortie avec un inconnu !!!

je crois que je vais attendre longtemps ma sortie en Cata :-(

27 mars 2018

1 €, plus une bonne bouteille ou le restaurant le soir...

Non, non :non:
Même pas.

Même pour une bonne bouteille il faut la déclaration d'un pot. :policier:

28 mars 2018

Effectivement ça ne me dérangerais pas d'aller au restaurant.
Mais doit il payé sa part pour rester dans la loi ?

Sérieusement dans mon cas mon bateau me coûte environ 11000€ par an ( crédit port entretien ) divisé par 365 jours cela nous donne 30€
somme qui devrait être autorisée pour l'ensemble des passagers ( 15€ si il sont deux ect ... ) et fiscalement c'est pas compliqué de justifier des dépenses
Ensuite il est possible de limiter les revenus à par exemple 10% du coût du bateau ce qui dans mon cas ferait 36 jours et ça c'est déjà énorme et je suis sur que peu de voiliers feraient ces 36 jours

28 mars 2018

Très bon calcul fait par J-Luc, certains le font en ne comptant que les jours de sortie effectifs, mais à ce compte-là, imaginons, j'ai un gros SUV que je n'utilise pas (c'est juste pour le garer sur deux places devant ma maison !) et je fais uniquement dans l'année 10 co-voiturages. Je doute que l'administration accepte que je me fasse payer 400 euros à chaque course sans considérer cela comme du travail dissimulé...

28 mars 2018

Le fil dérape sur le cobaturage, sujet intéressant qui mérite un fil dédié. J'ouvre celui-ci : www.hisse-et-oh.com[...]uestion

29 mars 2018

l'activité Skipper n'est pas condamnée, elle est réservée à des professionnels diplomés et assurés pour transporter des clients.
Vous pouvez exercer au black cette activité auprès de vos "AMIS" à vos risques et périls.

31 mars 2018

Il n'y a Rien à discutter Legiplaisance. Avec tous les doctorats alignés par votre "association" fantoche, qui ressemble plus à un bureau (mal) déguisé des douanes et de l'administration fiscale (ne laissez pas vos cv en ligne), vous essayez de torpiller nos derniers espaces de liberté. C'est normal, il faut bien payer vos salaires après tout? Don't Tread on me, Libertarien.

31 mars 2018

Alban, tu n'as rien compris à ce fil que j'ai initié. Legisplaisance apporte un éclairage tout à fait pertinent sur le sujet. Je l'en remercie.
Les considérations désobligeantes a son égard ne déshonorent que leurs auteurs.
Merci de tenir compte de la charte pour le bien du forum.
Cordialement.

08 avr. 2018

Hi : "Legisplaisance n'est en effet pas irréprochable, mais ils ont reconnu leur erreur, et changé leur mode d'intervention ici."
Rendre publiques des Messages Privés est en effet un grand pas vers "l'irréprochabilité" ! :lavache: :-D :-D
Enfin, si tu le dis... mais pas tout le monde peut en dire autant. :-p

08 avr. 201808 avr. 2018

Puisque TU relances la polémique un jour après que ces échanges aient été modérés (et donc, on pouvait le penser, l’aparté étant clos) je te réponds.

Légis... avait 2 méthodes pour gérer ces "insultes" par MP :
- Contacter la modération, l'Héonaute aurait été sévèrement réprimé pour ses écrits privés.
- Mettre en fond de cale l'Héonaute insulteur.
La méthode choisie a été la divulgation d'un MP !
Pour ce qui est de l'échelle des sanctions injures/divulgation correspondance privée, je te laisse à tes assertions, je ne suis pas juriste. Je me contente de la lecture de eduscol.education.fr[...]ue.html

Pour être juste, je trouve dommage que le ressentiment te fasse perdre le sens des priorités, de la mesure et de l'équité.
Et embêtant de la part d'un modo.

Bien entendu, je comprendrais que tu modères cet échange. :-p :-p

08 avr. 201808 avr. 2018

Je suis ravie que tu sois d'accord avec moi, Hi !

Mais, explique-moi, qu'appelles-tu leur tomber dessus (et quid juridiquement parlant ?) ?

Leur dire que c'est lamentable de rendre publiques des échanges privés ?
Leur expliquer qu'il y a d'autres méthodes face à des MP un peu énervés ?
Rappeler que ce n'est pas la 1ère fois qu'ils agissent de la sorte (les liens commerciaux dans leurs messages, les adresses mail collectées sans accord)
Exprimer qu'on n'apprécie pas leur entrisme ?
Voilà-t-y pas qu'on en arrive à les victimiser les pauvres !!

Ah j'oubliais, je n'ai strictement rien à dire à propos de la modération !
Par contre, là, je discute avec toi, Hi.
Et toi qui es-tu ici, un modo (auquel cas je me tais immédiatement, je ne voudrais pas qu'on m'accuse d'attaquer un membre de l'équipe de modération) ou un Héonaute lambda ?

Sur ce, j'arrête ce hors sujet que tu as relancé.

08 avr. 2018

:jelaferme: :jelaferme: :jelaferme:

"Savoir quitter un débat
Des points de vue opposés s’expriment parfois sur le forum. Un intervenant qui a confiance dans le bien fondé de ses arguments n’a pas besoin de chercher l’approbation générale. Il suffit qu’il ait donné aux lecteurs les éléments nécessaires à la formation de leur jugement. Il faut donc sortir d’un débat dès que l’on a plus rien de neuf à apporter sans chercher le dernier mot."

08 avr. 2018

"et celui de la grande majorité des membres d'HEO"

Ah bon ? Tu as des chiffres ?

Legisplaisance n'est en effet pas irréprochable, mais ils ont reconnu leur erreur, et changé leur mode d'intervention ici. Tout le monde ne peut pas en dire autant.

08 avr. 2018

Ils ont été sanctionnés pour ça. Maintenant, pour être juste - mais en êtes vous capables ? - il faut aussi regarder les raisons pour lesquelles ils ont commis cette erreur. L'insulte est au moins aussi inacceptable que la divulgation de messages privés, et sanctionnée juridiquement à mon avis de façon largement plus sévère.

Ce serait bien de ne pas avoir des indignations sélectives.

08 avr. 2018

Je suis d'accord avec toi sur les possibilités d'agir dans le respect de la charte et des règles de vie en commun. Mais ils ne sont pas les seuls à ne pas le faire, et c'est notamment le cas de certains qui passent beaucoup de temps à leur tomber dessus.

Pour le reste, si tu as quelque chose à dire sur la modération, fais comme tu le préconises : contacte l'Equipage.

08 avr. 2018

Il ne s'agit pas de victimisation. Ils ne bénéficient d'aucun traitement de faveur au titre de la modération. Mais il n'y a aucune raison objective de relever publiquement leurs fautes et de s'abstenir sciemment de relever celles d'autres intervenants.

08 avr. 2018

Là je m'incline ;-)

07 avr. 2018

Je ne rejoins pas Alban. Legiplaisance fait un travail considérable en rendant disponible et compréhensible les subtilités et évolution de la législation à laquelle nous les plaisanciers sommes soumis. On voit sur ce fil que la répression et les condamnations existent et qu'elles peuvent être lourdes.
Toutes ces informations se retrouvent disponibles gratuitement sur internet pour quiconque veut se donner la peine de les chercher. Pour ma part je les salue pour cela.

:tesur: :lavache:
:mdr: :heu:

07 avr. 2018

fais attention babouch, tu vas te faire traiter de collabo

08 avr. 2018

Franchement un grand délinquant cet homme il a gagné 4000 euros en 3 ans un vrai scandale encore un salaud de pauvre il merite d etre condamné lourdement pendant ce temps nos politiques et autres elites volent par million d'euros et ca ne semblent pas vous poser de problème

08 avr. 2018

Je ne suis peut-être pas au courant de tout puisque ce fil à été modéré. Je ne j'appuie que sur ce que je peux lire,c'est à dire les propos d'Alban ci-dessus que je trouve carrément déplacés et injurieux, je trouve que ça n'a rien à faire ici.
Quant à legiplaisance je n'ai rien à leur reprocher (mais je ne sais peut-être pas tout), ce que je sais c'est que je me sers régulièrement de leurs infos et qu'elles sont souvent justes, contrairement à plein d'interventions hétéroclites et parfois peu fiables d'autres contributeura de hisse et oh dont ce n'est pas la spécialité.

08 avr. 2018

je prends ce fil au debotte// quand tu prends a bord une personne novice c esta dire qui ne connait rien a la navigation a qui tu fais payer ce qu on appelle pudiquement la caisse de bord pour une traversée atlantique par exemple est ce que ce ne st pas une concurrence deloyale aux compagnies aeriennes ? D autre part quelle peut etre ta responsabilite d es lors qu il ay a ccident de cette personne sur ton bateau ..Ces sujets sont occultes dans les discussions ..

08 avr. 2018

"une concurrence deloyale aux compagnies aériennes"

Ben dit donc, tu as un sacré bateau !
C'est une fusée ?

09 avr. 2018

Comme pajemath je ne me souviens pas avoir vu aborder les risques en cas d'accident. Mon assurance ne les couvre pas si les personnes sont embarquées "à titre onéreux", et la responsabilité pénale n'est sans doute pas couverte - à lire pour y réfléchir : leblog.ca-cb.fr[...]rtie-1/

10 avr. 201810 avr. 2018

"participation à l'entretien annuel du bateau non plus"

Je pense que là c'est discutable, parce que l'entretien récurrent, ce sont clairement des frais de propriétaire. A mon avis le juge se déterminera en fonction des circonstances : les passagers participant aux frais d'entretien sont-ils des passagers réguliers, les participations cumulées constituent-elles une part importante du coût annuel, etc.

10 avr. 2018

Personnes embarquées "à titre onéreux " tout est dans la définition ! une participation à la caisse de bord n'entre pas dans ce cadre.
Participation aux frais de location non plus... et, AMHA, une participation à l'entretien annuel du bateau non plus...

10 avr. 2018

seuls les couts directs de la sortie entrent dans le partage des frais.

une sortie à la journée
pour un voilier, le gaz oil pour entrer et sortir du port et le vent
pour les bateaux moteurs, la meme

au passage, pour notre amis cloué sur la porte
aller retour bénodet glenans, une vingtaine de miles
soit en faisant large, 3 heures moteur avec une conso de 30 litres/heures
90 l de gaz oil donc 90*1.5=135 euros à partager entre les différents participants, lui compris
à 300 euros la sortie, ça dépasse...

après, vous pouvez le tourner dans tous les sens, la justice vient juste de donner le LA

pour le co voiturage, blablacar dit de se calquer sur le barème fiscal, qui dans son cout kilométrique, tient compte de la consommation, de l'entretien et l'amortissement du véhicule en fonction de sa puissance fiscale....
www.blablacar.fr[...]iturage

2 poids, 2 mesures, le LA est injuste mais il est donné

10 avr. 2018

"le LA est injuste mais il est donné"
Il peut y avoir un (ou deux ?) bémols...
:-D

10 avr. 201810 avr. 2018
10 avr. 201810 avr. 2018

sorry, message publié 3 fois, bug de mon pc

10 avr. 2018

Mettre son bateau à disposition d'une assoce et établir un loyer fonction de l'utilisation.....proposer une carte de membre à chaque embarqué et établir un prix de croisière en fonction de la durée et de la destination pourrait être une solution.

10 avr. 2018

Et pourquoi ne pas être dans la légalité !

Mais en regardant sur internet les documents des 3 nouveaux brevets sur l'aptitude à la conduite d'un petit navire et aux transport de moins de 12 personnes.

Il y a une incompréhension entre le BACPNV et le BACPN !

Avant de passer le BACPNV (36.30heures) On demande d'être moniteur de voile et d'avoir un BEES ou un BPJEPS ... et de valider 6 mois en mer par les autorités pour promener des personnes sur son voilier à la journée !
Par contre vous pouvez passer le BACPN (36.30 heures) et il n'est pas demandé d'avoir un diplôme comme le "moniteur bateau école" pour promener des personnes sur une vedette à moteur à la journée !?

Est ce que quelqu'un c'est intéressé aux 3 nouveaux diplômes !?
Si quelqu'un peut me donner la raison de cette incohérence !?

10 avr. 2018

Et pourquoi ne pas être dans la légalité !
Parce que le législateur s'est trompé en voulant calquer trop rapidement le modèle du covoiturage sur celui du cobaturage...
A trop vouloir taxer la solidarité il arrive que les législateur produisent des incongruités...

10 avr. 2018

Bientôt à la retraite j'étais ok pour me lancer dans la formation BACPNV afin de déclarer et de partager occasionnellement quelques sorties à la journée avec les locataires de ma chambre d'hôte. (Déclaré)
On m'a dit d'aller passer mon BEES, BPJEPS ... et de revenir ... dans un an !!
Je n'ai pas l'intention d'aller former en une journée une personne à la voile, à la table à carte, à la règle des douzièmes...
Par contre comme pour le bateau à moteur avec un BACPN je pensais aussi proposer une sortie découverte d'un voilier et du littoral !!
J'ai mon permis côtier, hauturier, CRR et 30 ans de navigation

12 avr. 2018

tu peux toujours les embarquer gratis . Rien ne t 'empêche de facturer des repas dans ton commerce de chambre d' hôte ???

10 avr. 2018

Tu peux toujours les inviter à bord, tant que tu n'en fait pas une activité lucrative.

10 avr. 2018

Si je pensais passer le brevet BACPNV c'était pour être aux normes pour déclarer une activité lucrative !

Tu prévois combien de temps pour cette formation et quel budget ?
Parce qu’en voile (Le BACPNV) il faut aussi avoir au préalable le BEES, donc ne n'est pas une simple formalité.. Et il y a -t-il des organismes qui accepteront de prendre des retraité , car pour l'instant ce n'est pas conçu pour ce type de profil..

12 avr. 2018

moi, je serai vous, je coucherai,
pas besoin de formation, encore que...
ça rapporte plus,
c'est bon pour l'entretien
et il y a beaucoup moins d'immobilisations ;-)

12 avr. 201812 avr. 2018

...;-)

13 avr. 2018

Bonjour Trebor.n,
Il faut s'inscrire dans un centre de formation pour avoir le devis et le tarif !
C'est dommage que legisplaisance n'intervienne pas, pour donner la raison sur le fait qu'il faut être moniteur BEES (autre)... avant d'aller vers le BACPNV (voilier) et qu'il n'y a pas à être moniteur pour avoir le BACPN (bateau moteur) !!??

C'était plus simple de proposer la formation BACPN à tout le monde.
Cela pouvait inciter les personnes à être aux normes vis à vis de tout le monde ...

Sur le site de l'INB, la formation en alternance de BPJEPS est clairement accessibles aux 18 à 26 ans... donc rien pour les reconversions plus tardives...
------------
(Remarque : c'est une inscription sur dossier avec un entretien donc pas surprenant qu'il y ait quelques guignols en entrée que l'on retrouve aussi en sortie )

13 avr. 2018

Je suis persuadé que l'interdiction de louer un bateau dont on est propriétaire est une atteinte aux libertés fondamentales en particulier au droit de propriété du bien, quand bien même une telle interdiction serait inscrite dans le contrat de location de la place de port, de plus aucun motif valable ne justifie une telle disposition.
Cette disposition sera retoquée devant un tribunal et déclarée illégale.
Une restriction sur l'usage de la place de port pourrait venir de l'occupation du bateau à quai en location en faisant payer l'électricité et l'eau avec un droit élevé et des bornes de recharge temporaire ainsi qu'une majoration de la taxe de séjour mais cela reste compliqué à mettre en œuvre et à contrôler.

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