Y'a du monde là haut...

les feux
suivant la taille de ton boat un feu tricolore ou combiné avec feu de mouillage en tete de mat avec une prise triple etanche sur le pont devrait suffire ,pour la girouette anemo
il y a un systeme sans cable "tactic" et pour la vhf des petites antennes souples pas fragiles du tout .
tout ça tu le fais passer dans un tube "iro" popé à l'interieur pour que ça ne tape pas au mouillage et le tour est joué
mais tu vas rajouter du poids dans les hauts et attention au chavirage "sic"
alain :mdr:

étude...
Tête de mât blanc 360° est le feu de mouillage, le feu "moteur" à coupler avec les feux de nav.est le feu de hune blanc à secteur sur la face avant du mât..
à savoir qu'un feu de nav tricolore en tête est mieux pour économiser l'electricité à bord mais qu'il est à priori plus générateur d'erreurs d'interprétation que des feux de nav placés "au pont" d'aprés une étude faite par mr. D B: (voir article suivant)---&gt
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[Visibilité en mer et feux de mat !
Article publié le dimanche 1er décembre 2002.]

[[Comme beaucoup de monde, j’ai navigué en mer de nuit. J’ai navigué du temps des feux latéraux fixés aux balcons, à faible distance de la mer et comme beaucoup, je me suis loué des feux installés en tête de mat, car réduisant la consommation (une seule ampoule), mais aussi parce que leur position beaucoup plus visible à distance, particulièrement par mer formée me semblait une sécurité intéressante.
Cette belle confiance a fait long feu avec la lecture d’un petit article publié dans PBO. Un article ? Non plutôt une lettre de lecteur. Mais pas n’importe quel lecteur : Le surintendant de marine d’une grande compagnie de navires. Etudiant les rapports d’incident des capitaines (c’est son job), Dennis Barber (C’est le nom de ce capitaine) c’est rendu compte que deux incidents ayant mis en contact rapproché, mais sans choc, un voilier et un ferry traversant la manche entre Cherbourg et Wight se ressemblaient.
Dans les deux cas, l’équipage du ferry a aperçu de manière intermittente une lumière verte au-dessus de l’horizon près de l’étrave. En général, dans cette région, l’horizon est à peu près à 9 milles, mais il convient d’être prudent. Le radar est donc consulté pour observer un écho. La lumière est toujours visible de temps en temps, mais plus souvent éteinte qu’allumée. Rien n’a encore été détecté au radar. Soudain la lumière devient visible sur le l’avant tribord à moins d’un mille tandis que le radar donne enfin un point correspondant à la lumière, et en moins d’une minute, la lumière défile très proche sur tribord, très -trop- proche.
Que c’est il passé ? Les feux de tête de mat créent une lumière concentrée (focalisée) largement visible à plusieurs milles !
La réglementation spécifie que les feux de voiliers doivent montrer une pleine intensité 5° au-dessus et en dessous de l’horizon et au moins 50% de l’intensité à 25°. Si la gîte du navire excède cette valeur pour laquelle le voilier est visible, un observateur sera en dehors du faisceau lumineux. En d’autres mots le voilier sera invisible. Et la situation n’est pas améliorée si on ajoute qu’un petit bateau n’est souvent pas détectable comme un objet solide par le radar en dehors de l’échelle 3 à 5 milles.
Enfin la pratique consistant à placer les lumière en tête mat font que cette situation est encore aggravée. En effet, lorsque la lumière est - éventuellement - détectée, son élévation conjointe avec l’absence d’écho radar suggère un objet bien plus éloigné qu’il ne l’est réellement. Ce n’est qu’en s’approchant que l’erreur apparaît. Enfin cette erreur est amplifiée par le fait que cette apparence d’éloignement incite l’équipage à sélectionner la mauvaise échelle sur le radar.
Le capitaine Dennis Barber suggère que la dioptrie des feux se conforme sans doute à une mauvaise norme qui doit alors, peut être, être modifiée.
En attendant, il est conseillé aux petits voiliers d’illuminer leurs voiles avec une torche ou une lampe tempête quand des navires importants croisent à proximité....
Merci Dennis !!
Article interprété librement du forum de PBO d’août 2002 ]]
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Eclairer les voiles
Ce système est valable pour les petits voiliers, mais il est parfaitement efficace.

Avec une simple lampe torche, c'est toute la voilure qui reflète la lumière, et le bateau devient immédiatement visible pour tout l'horizon.

Eclairer le "gros" qui arrive, avec la même lampe torche, c'est illuminer un petit point, ce qui peut être moins visible qu'un gréement entier.
Maintenant, je concède que cette méthode peut amener le "gros" à répondre vite, si le veilleur ne veut pas avoir mal à l'oeil à force d'avoir un faisceau braqué sur lui !

article passionnant
et que je connaissais pas. Un seul point me semble contestable même si il est un peu hors sujet : éclairer les voiles !!! Il est tellement plus efficace de "viser" le Gros avec un phare et même une lampe torche... J'ai toujours réussi à faire changer de route où à obtenir un signal d'"aperçu" en utilisant cette méthode. AMHA of course ...

une simple lampe torche,
une bonne évidemment, sinon elle n'a rien à faire à bord, produit un éclat, certes petit, mais un éclat de lumière directe qui se voit de très loin et accroche le regard (c'est pour ça que les phares d'approches sont à éclats) et amha plus visible qu'un halo de lumière vague et non délimité. Mais tu as ABSOLUMENT le droit de penser le contraire. :-)

Projecteur :
Le mien est une optique "sealed beam" halogène de phare d'atterrissage d'avion de 250 watts... :-)

_/)

Il existe aussi
en dernier recours les feux à main blanc, appelés feux anti-collision).

J'en ai utilisé un une fois parce ça craignait vraiment, et là je peux dire qu'on m'a vu, c'est moi qui après ne voyait plus rien !