voilier qui ne parvient pas à se mettre face au vent.

Bonjour,

excusez moi par avance pour ce long billet.

Aujourd'hui en fin d'après midi avec vent autour de 15 noeuds et quelques rafales, famille pas à l'aise avec forte gite, et fiston bras dans le platre. Donc on affale les voiles et on rentre au moteur.
Le moteur a fini par caler et n'a pas voulu redémarrer (essence peut être trop vieille depuis plus d'un an dans la nourice, ou impuretés).

Je déroule le génois pour mettre face au vent et lancer la GV avec un ris.
Impossible de se mettre face au vent, le bateau ne lofait pas sufisemment.
J'ai essayé à plusieurs reprises de reprendre de la vitesse et de loffer.
J'ai fini pas réussir quelques secondes à rester face au vent et commencé à monter la GV environ au 2/3, pas au niveau du ris, en appui sur les flèches, GV lattée plus ou moins coincée dans les lazy jack au niveau d'une latte.

J'ai essayé de border ou choquer mais ne suis jamais parvenu à me remettre face au vent. Et GV bloquée, impossible à hisser ou affaler car trop de tension.

Je n'ai pas voulu prendre le risque d'empanner et de tout arracher ( latte dans lazy jack, voiles en appui sur les flèches,etc... je crois qu'il y aurait eu trop de casse).

J'avais l'impression que je n'avais pas assez de voilure pour lofer, raison pour laquelle j'ai lancé le génois et voulais hisser la GV jusqu'au ris1.
Après coup, il semble qu'il aurait fallu faire le contraire: la pression de la voile étant devant celle de la dérive, le bateau abat, donc en réduisant la voilure du génois, ça aurait diminué la pression et accentué le lof.

Question 1:
Expériences similaires à partager? qu'auriez vous fait?

Question 2: il semble que le bateau est mou (beaucoup trop) et après cette expérience, je le souhaiterais plutôt ardent.
Quels sont les pistes de réglage? ( Je sais que je viens de changer un haubon et il est vraissemblablement mal réglé, ça doit jouer également).

Merci d'avance pour votre partage d'info.

L'équipage
26 mai 2019
26 mai 2019

Quel bateau, quelle force de vent ?

26 mai 2019

Normal de ne pas se mettre face au vent sous Genois.
Tu peux hisser ta gv au près, chariot et écoute choqués

26 mai 2019

Bonjour
La voile d'avant (genois) fait abattre et non loffer.
C'est la grand voile qui fait loffer.

26 mai 2019

Il m’est arrivé sur un bateau de location à peu près la même chose. Méconnaissance du bateau , avis de vent frais pendant qu’on déjeunais au mouillage et GV impossible à hisser proprement pour repartir (coulisseaux qui coinçaient). J’ai renoncé et ferlé la GV et suis rentré ainsi sous un génois demi enroulé. Pas très fier dans l’avant port mais pas de casse. Dans ton cas je me demande ... pourquoi dérouler le génois avant de hisser la GV ? Est ce qu’en commençant à hisser simplement la GV, écoute un peu bordée, il ne se serait pas mis plus naturellement face au vent ?

26 mai 2019

Bonjour,

une chose à tenter (peut-être) c'est de ne pas hisser face au vent, je m'explique : tu te mets au plus pres possible du vent et donc tu bordes le genois en reglage de près serré
Tu laisse déborder la bôme : la GV,elle, sera sans doute dans l'axe du vent et tu pourras hisser plus facilement

(c'est que j'avais retenu, entre autres, lors d'un stage avec Jean-Marie Féral, epoque Diapason...)

26 mai 201926 mai 2019

Avec 15 Nds de vent, si ça gite de trop, je réduis la voilure, mais je reste sous voiles.

Sous génois seul le voilier peut avancer suffisamment au près pas serré pour permettre de renvoyer la GV qui sera déventée par le génois qui renverra l'air dedans, c'est d'ailleurs bien ce que l'on fait quand on doit prendre un ris.

@ édit, sans vitesse, la position naturelle d'un voilier est travers au vent, donc impossible de le mettre face au vent. Et même avec de la vitesse, il ne sera face au vent que le temps de virer.

26 mai 2019

Meteociel indique des rafales à 20 noeuds lors de cet évênement.

Vu que je n'ai pas réussi à me mettre vent de face, j'étais au près serré (le max de lof autorisé par le bateau) et les tensions étaient telles que la GV ne bougeait plus. Impossible à affaler on à finir de hisser.

26 mai 2019

Il faut peut-être choquer l'écoute de GV, et le hâle bas... au près "serré" il y a un moment où la GV va faseiller.

26 mai 2019

Il faut arrêter avec ce dogme de "face au vent pour hisser"... Pour hisser la Grand voile il faut qu'elle puisse faseyer, bon plein sous foc seul doit suffir amplement pour ça, sinon c'est qu'il y a un autre problème...

26 mai 2019

Oui Akhesa, je pense qu'une petite "formation" ne serait pas inutile, difficile d'expliquer virtuellement ce qu'il faut faire en situation.

27 mai 2019

Oui est non
Je peux te dire que sur un cata de plage c’est loin d’etre le cas... pourtant on hisse la voile sans écoute

Néanmoins tu as raison on prend facilement des ris au bon plein ou à la cape donc on peut hisser la GV autrement que bout au vent
Mais c’est plus physique.
Ne pas oublier de choquer l’ecoute De Gv car quand elle monte la voile prend le vent ...
Dans les sources de problèmes ne pas oublier les lattes qui se prennent dans les lazy jacks c’est tout simple mais ça peut suffire.

Pour avoir plus de force on peut faire arbalète au pied de mât ...

Les plus expérimentés que moi pourront compléter la liste des bêtises à éviter

Dernière chose un voilier sans moteur ne reste pas face au vent

27 mai 2019

Bonjour, pour une prochaine fois, quand vous naviguer au moteur pour quelque raison que ce soit petole ou trop de vent au pres, voyez autour de vous souvent les voiliers qui sont au moteur ( surtout face au vent) ils ont souvent la GV hossee , meme si elle a un ris
Perso j ai toujours la GV hissee si je suis au moteur, toujours car on ne peut jamais compter sur un moteur , meme en bon etat, il peut y avoir tellement de panne ,
Donc toujours toujours la GV hissee, meme avec un ris, ainsi si le moteur cale , pas depanique un GV vous aidera a etre MANOEVRANT,
Je n affale la gv que ds l entree du port
Et si jamais je suis au moteur vent arriere j ai toujours le geniis pres a hisser,
Jamais je ne sors du port voiles ferlees , meme pour aller en face sur l ile a 5 minutes,
Maintenant que vous avez vecu , une bonne frayeur, qui s est bien terminee, c est un bon avertissement du ciel!! Jamais le moteur sans voile deja prette, gv pour le pres et genois pour les allures portantes,

27 mai 2019

Quel bateau, un neptune 22 ?

27 mai 201927 mai 2019

@ Dgitou C'est pertinent... A la fin des grands voiliers, quand ils furent équipés de moteurs, certains Capitaines de Ports verbalisaient les Capitaines qui ne laissaient pas les voiles prêtes à être renvoyées.
Plus récemment un grand voilier à été complétement détruit quand le moteur a manqué lors d'une mauvaise approche de port, excellent édito dans V et V.
:-(

27 mai 2019

Avec le foc bordé modérément, prendre de la vitesse, lofer rapidement pour faire
fasseyer et hisser la GV partiellement le temps d'abattre doucement, relancer et réitérer...
;-)

27 mai 2019

C'est en faisant comme ça que j'ai pu hisser la GV sur un Gin Fizz dont le moteur nous a lâché au milieu de la baie... dans une mer formée.
J'ajouterai que la balancine de GV doit être bien raidie pour soulager la tension au niveau du guindant.

27 mai 2019

Tout à fait, pour envoyer la GV ou prendre des ris, lâcher hale-bas et écoute et "peser" la balancine.
;-)

27 mai 2019

normal que le bateau ait du mal a resté face au vent lorsque l'on hisse en premier le genois

il faut commencer par la GV qui permet au bateau de remonter au vent puis le genois lorsque la Gv est etabli

27 mai 201927 mai 2019

Bonjour,

Déjà on ne peux pas se mettre et rester face au vent sous voiles c'est normal.

Ensuite 15 nds de vent, ça n'est pas tant que ça donc la mer devait être calme.
Donc, sans vitesse ( moteur arrêté et voiles affalées) établir un peu de génois était un bon choix ( mais comme expliqué plus haut il aurait mieux valu garder la Gv au démarrage du moteur).

Donc se mettre au près le plus serré possible sous génois puis déborder la bôme de la même valeur environ que l'angle du pres, éventuellement relâcher le hâle bas et hisser la Gv. Ça peut effectivement ne pas être facile avec une full batten qui a tendance à prendre ces lattes dans les lazy jack ( pas dans les barres de flèches, on est au près) Mais ça doit le faire en prenant son temps.

Autre solution, si le bateau le permet et si pas trop loin, rentrer sous génois.

Également, s'entraîner par temps calme à toutes les manoeuvres ( hisser, manoeuvrer sous Gv seule, sous génois seul, ect,) pour voir comment le bateau réagis.

C'est quel bateau d'ailleurs?

27 mai 2019

c'est un maxus 24, dériveur intégral et c'était ma 3ème sortie avec mon nouveau voilier.
Le précédent était un quillard (neptun boot 22) et seul par 25 ou 30 noeuds n'avait jamais eu ce comportement.

A priori le maxus 24 est Full batten, impossible de monter la GV si pas entièrement face au vent.
En plus avec les lazy jack, les lattes se prennent toujours dedans, d'autant plus impossible à hisser au près serré.
Seule solution, un face au vent.

Avec mon fils de 12 ans et un bras dans le platre, il n'a pas sû aider aux manoeuvres. J'ai essayé de me mettre au mat pour hisser, de lui faire prendre de la vitesse puis lofer pour hisser au moment du virement, trop compliqué pour lui (et trop dangereux aussi).

J'ai effectivement commencé la remontée au génois au près serré, mais après un bord quasiment carré, j'ai voulu remettre la GV avec un ris.

De ce thread, je retiens un bon conseil: laisser la GV au moteur.
De plus la GV fait loffer et le génois abattre : normal si force dans la voile devant ou derrière la force de la dérive et peut être qu'en enroulant quelques tours de génois, ça aurait pû aider un peu.

27 mai 201927 mai 2019

Il faut les régler et trouver le bon compromis (+/- éloignés du mât) de manière à ce qu'ils offrent une aide lorsqu'on affale sans devenir une gêne lorsque l'on hisse . Les rapprocher sensiblement du mât si la dernière latte se coince .
Les lazy-jacks doivent parfaitement fonctionner avec une GV full-batten . Pour hisser la GV avec des lazy-jacks, il faut lever la tête ! ;-)

27 mai 2019

ca m'intéresse comme solution.
Tu peux pousser des liens sur ce que tu comptes acheter?

27 mai 2019

je n'ai mis que récemment des lazy jacks, je les range avant de hisser

27 mai 2019

A mon avis, ton fils de 12 ans, tu le laisse tranquille le temps qu'il se remette, un 24 pieds se manœuvre seul sans soucis.

Il faut faire des tests par temps calme pour prendre en main le bateau, c'est indispensable pour ensuite savoir comment réagis le bateau.

Hisser au près avec la full batten doit être possible sur un 24 pieds, la GV est petite, elle se maîtrise bien, mais c'est vrai que il faut maîtriser les lattes. Dans ton récit, tu dis qu'elles se prennent dans les barre de flèches, donc tu n'étais pas au près loin de la et comme expliqué par d'autres, si ça coince, il faut régler les lazyjack et les rabattre contre le mat le temps de hisser.

Un peu de pratique et tout va rentrer dans l'ordre, tu n'est pas le premier ni le dernier à galérer, ça arrive à tous même après de longues années.

C'est mon deuxième bateau avec GV full batten et il m'arrive de pester contre ces lattes qui se coinces dans les lazy mais à chaque fois c'est de ma faute pas celle du bateau ni de la voile ;-)

27 mai 2019

Je confirme chez Maxus la GV est full batten !
Il faut effectivement penser à régler (détendre) les lazy avant de hisser la GV car les lattes ont une fâcheuse tendance à coincer dedans, surtout si l'on est pas strictement bout au vent. Mais ce n'est pas impossible à faire !
Une autre chose, en tout cas sur le mien, les coulisseaux d'origine au niveau des lattes forcent trop dans la gorge du mât, du à la compression surement.
Je règle le problème cette année, car j'en ai marre d'aller faire le pitre au pied de mât surtout quand ça souffle, et fais installer des boitiers avec coulisseaux à galets au niveau des lattes.
Je sais ...ça me coûte un bras mais si toutes les commandes reviennent au cockpit ... j'aimerais bien y rester surtout quand c'est pas Secure au pied de mât.

28 mai 2019

Notre nouvelle GV full-batten a des coulisseaux "à roulettes" au niveau des lattes... très appréciable.

27 mai 2019

un truc d atlantique que je ne voie pas faire en med

en med, pour rentrer au port, on roule le genois et on met.le bateau face au vent pour affaler la gv. dans l.avant.port ou le port,.en.tout cas planqué des vagues

en atlantique à la fin du sciecle.dernier en tout cas, peu avant le port, on affalait en.mer.
au pres, on porte.le.genois pour appuyer le bateau
et.on affale la gv choquee
puis on ramène la bome et on ferle la gv

sinon, pour repondre à la question, lorsque le vent.a forçit
il fallait perdre de.la puissance dans les voiles

en.deriveur, la surface de voilure est la meme
qu il y ai 5 ou 30.knts de vent
un brin de formation s impose pour embarquer tte la famille....

27 mai 201916 juin 2020

Et si voilier voile (-s) ou souvent GV hissée plus moteur, que doit-t'on aussi envoyer ??
Je sais, c'est HS... mais.

Bonne leçon à retenir, ne jamais compter sur un moteur ...

27 mai 2019

Pourquoi ne pas compter sur le moteur ? Un moteur correctement installé et correctement entretenu est très fiable, probablement davantage que bien d'autres organes importants d'un voilier.
Ceux qui doutent de leur moteur sont souvent ceux qui l'entretiennent mal, ceux qui ne l'ont pas testé avant de partir ou ceux qui ne peuvent pas résoudre une panne élémentaire.
Il reste malgré tout le cas du bout' dans l'hélice. Là, il faut bien dire que les voiliers modernes y sont plus exposés que ceux à quille longue et hélice en cage.

En manoeuvrant à la voile, on est aussi exposé à des incidents bloquants : drisse usée qui casse, contre-écoute de foc larguée, écoute qui surpatte sur un winch, enrouleur qui coince, manque à virer, etc.

Ceci dit, pouvoir hisser rapidement un bout de voile en cas de pb participe à la sécurité dans certaines situations. A condition toutefois que ce bout de voile fonctionne sans pb ...

27 mai 2019

Bien-sûr qu'il peut y avoir des pannes de moteur, d'autant plus gênantes qu'on compte parfois absolument sur ce dernier. Hisser une voile ou mouiller est évidemment la parade.
Comme utiliser le moteur en cas de pb avec les voiles.
Mon propos est de dire qu'il n'est pas nécessairement plus fiable d'utiliser les voiles que le moteur, surtout s'il y a urgence. L'un et l'autre se complètent. Tout est affaire d'entretien et de compétence, pour le moteur comme pour le gréement.

27 mai 2019

d abord regarder le filtre a essence
ça m'étonne que le carburant se dégrade aussi vite et dans ce cas il aurait pas démarré les autres fois

27 mai 201927 mai 2019

@Lulu2
Mais avant la panne tout fonctionnait correctement :mdr:
.
2 pannes moteur qui me sont arrivés avant de rentrer dans un port :
- la première fois c'était l’arrêt de câble qui a cassé, impossible de le remettre au ralenti donc pas de possibilité d’enclencher l’inverseur.
- la 2ème, le moteur tournait à un régime régulier au ralenti, le temps de le faire chauffer. Dès que je le sollicitait il calait. Un insecte avait eu la bonne idée de faire son cocon à l'intérieur de la prise d’air du réservoir.
Dans les 2 cas je suis reparti faire un tour en eau saine le temps de trouver la panne

27 mai 2019

L'expression "panne de moteur" me semble plus usitée que "panne de voile" !
:-D

27 mai 2019

Le pb moteur est un autre sujet.
On m'a livré ce nouveau bateau en Octobre et l'ai fais hiverner sans que je puisse l'utiliser.
Mise à l'eau le 1er mai, 3 sorties tous les weekends, 1 navigation au moteur dans la petole sans problème.
Et hier le moteur a calé et n'est pas reparti.
Je pense et j'espère que c'est du à l'essence ou impuretés dans les nourices, essence qui a probablement stagné 1 an ou plus si l'ancien propriétaire n'était pas sorti depuis un moment.

Je vais les vider à la déchetterie et refaire le plein avec une bonne essence bien fraiche.

27 mai 2019

Peut être qu'avant de démarrer le moteur tu étais au mouillage. Si c'était le cas il suffisait de hisser la GV en prenant les ris qu'il faut. Puis relever le mouillage tranquillement, moteur en marche ou non et démarrer sous GV seule et ensuite dérouler le génois une fois sorti du mouillage.

Quand ça souffle les erreurs se payent cash, le plus classique une voile déchirée (j'ai fait un accroc au génois de 47 m2 coincé dans une barre de flèche l'année dernière, j'étais largement surtoilée et j'ai voulu virer mauvais choix, il fallait réduire avant).

Il faut juste s'entraîner, connaitre les réactions de son bateau acquérir de l'expérience, pour être à l'aise et en sécurité quand il y a du vent.
Je pense qu'avec un peu d'entrainement il doit être possible de trouver le bon réglage pour naviguer au prés bon plein sous génois partiellement déroulé (surtout pas complètement) à vitesse et cap stabilisé avec 15 noeuds de vent, c'est à ca qu'il faut s'entrainer puis ensuite tranquillement hisser la grand voile en la débordant correctement pour qu'elle ne prenne pas le vent quitte à prendre immédiatement un ou deux ris pour être tranquille, et en larguant suffisamment le lazy jacks sous le vent pour qu'il n'accroche pas les lattes.
Un truc qui facilite c'est d'aller hisser en pieds de mat à condition que le circuit de la drisse le permette pour hisser la GV, ça permet de mieux doser et de hisser rapidement sans efforts. Enfin on peut mettre de la graisse suif dans le rail de mat avec un chiffon pour faciliter le glissement des coulisseaux.

27 mai 2019

Le suif c’est à éviter !!! Non seulement ça salit tout et en vieillissant on obtient l’effet inverse.
Le téflon est beaucoup mieux !!!

28 mai 2019

J'utilise pour mes coulisseaux la même recette que pour mes chaines de vélo. Un mélange maison de cire de bougie et paraffine. Ça glisse au top et les impuretés se décrochent toutes seules.

27 mai 2019

Non, pas d'accord, je mets du suif, ça marche très bien.

27 mai 2019

un dériveur, ça a du mal à remonter au vent si pas de vitesse, il aurait fallu remonter un peu la dérive mieux vaut dériver "plus plat" que giter sans pouvoir manœuvrer, réduire le génois (enrouleur je pense) et avancer pour remonter qque peu au bon plein ou presque, ramener les lazy jacks au mât (p'ain de lazy on se fait tous avoir) et hisser écoute choquée au 3/4 mais pas plus (si la voile n'a pas de coulisseau encore moins car le hissage est plus dur), si possible prendre le 3ème ris (s'il existe) puis le 2ème et enfin le dernier si on veut mais déjà avec le 3ème ou 2ème si pas de mer on doit pouvoir manœuvrer
entraînement ou pas, faut tj improviser aussi et surtout savoir comment réagit le bato
il es évident que hisser la GV avant la panne du moteur, c'est mieux mais bon ça fait partie du jeu
affaler une GV au vent arrière pour fuir un grain, c'est pas non plus de la tarte :non:
en fait la voile, c'est plein d'em..des, c'est pour ça qu'on aime :pouce:
JL.C

27 mai 2019

Pour envoyer la GV sous génois et sans moteur, il faut remonter au près au maximum de ce que peut faire le bateau avec cette voile.
Déborder la bôme au maximum pour qu'elle soit dans le lit du vent pour que la GV fasseye et... ça doit le faire.

Bonne prochaine nav neptune 22

27 mai 2019

acheter en urgence le livre des glénans et pas celui des vrais glands .
quand on commence la voile sur dériveur ,c'est la première chose
hisser en premier la gv .
comme dit plus haut une bonne formation avant d'emmener le famille .
alain :-( :-p

27 mai 2019

Il n'y a qu'aux Glénan. En dériveur c'est le foc qu'on hisse en premier, car la draille sert d'étai, et on hisse la GV juste avant la mise à l'eau.

27 mai 2019

Perso, je préfère la réduction de la voilure à un affalage et à la mise en route du moteur.
Faisant beaucoup de solo, je me mets à la cape pour prendre tranquillement mon ris, et je repars non moins tranquillement.
Ne pas oublier que les carènes de nos fiers destriers sont dessinées pour que ces derniers soient essentiellement propulsés à la voile. Pour affaler toute la toile, il faut vraiment que les conditions soient extrêmes. Il m'est arrivé une fois de me retrouver dans une grosse ligne de grains, ça piaulait sérieux, je suis resté sous tourmentin seul et je parvenais à manoeuvrer correctement, mis j'avoue avoir serré les dents et les fesses...
Dans 15 kts établis, tu pouvais tranquillement prendre un ris et rouler un peu de génois. Si ça forcit, deuxième ris. Il faut garder une idée en tête : un ris est plus facile à larguer qu'à prendre. Donc, agir en préventif et non une fois qu'on est dans la piaule.
C'est pas grave, ça te fait une expérience dont tu auras certainement appris plein de choses.
Bon vent et mer belle.

27 mai 2019

oui, je navigue toujours tout seul, et tout seul, je n'aurais jamais affalé, en fait, j'aime la baston et la veille j'avais fais une régate.
J'ai cédé à ma famille qui voulait se rentrer au plus vite et j'ai tout affalé pour rentrer au moteur.

Y'avait 20 kts en rafales, ce n'est pas la mort.
Le pb était la panne moteur et la méconnaissance du comportement du bateau (voile entièrement lattée très dure, impossible à hisser si pas entièrement face au vent).
+ d'autres erreurs qui permettent de continuer à apprendre (conserver la GV hissée, rédduire le genois pour permettre de mieux loffer alors que dans l'action, je croyais que c'était parce que je n'avais pas assez de toile).

27 mai 2019

De toutes manières le confort de la famille aurait été mieux preserve en gardant la Gv

Et 20 noeuds sur un deriveur de 24 pieds avec bcp de franc bord c deja du vent

27 mai 201916 juin 2020

Pour neptune22
Voilà le genre de boîtier avec coulisseau à galets que je fais installer sur ma GV.
Installé par un pro...

27 mai 2019

ça a l'air tip top, et la description alléchante :"Ces chariots limitent la pression des lattes sur le mat et permettent de hisser, ariser ou affaler la grand-voile à partir du cockpit du façon instantanée."

Tiens, c'est marrant, en recherchant "boîtier avec coulisseau à galets" sur Internet, je retombe sur ce forum avec des personnes qui reportent que leur voiles entièrement lattées ne se hissent que face au vent!

www.hisse-et-oh.com[...]icultes
www.hisse-et-oh.com[...]-ou-non

28 mai 2019

j'ai le même genre de chez Rugerson, eh bien si t'es pas à moins de 25°du vent ça force dur pour monter quant à descendre no way! le génois bordé ça va presque bien; Le bras de levier partie coulisseau/roulette est énorme

27 mai 2019

Je pense qu'il aurai fallut allumer le moteur avant de baisser la GV.

Si il ne démarre pas, ré-dérouler un peu de génois, prends quelques brasses puis près-bon-plein, on prends un ris puis c'est reparti. 15 nds

Sinon le ris peu même ce prendre presque au travers, avec la gv - chariot complétement lâché si les haubans le permettre et que le chariot est fait pour.

Une fois la GV a mi chemin, le bateau devrai loffer un peu.

Je rejoins mes camarades du dessus, cette manœuvre est incontournable et une des premières que l'on apprends lors de n'importe quelle formation. Il est temps de révisé ses classiques, surtout sur un petit canot.

De plus, j'insiste sur le fait que l'on garde la GV le plus longtemps possible, même au moteur, ça permet d’éviter que la bome devienne dangereuse a sauté de chaque coté, et ça stabilise grandement le bateau.

27 mai 2019

oui bah j'ai oublié :-)
Un bateau depuis 5 ans, 2 sorties par semaines environ, des sorties en plein hiver avec le précédent bateau.
De nombreux stages : 2 fois par semaines pendant 1 an lors de l'achat du premier bateau.
Des stages intensifs depuis 2 ans pour le pilotage de catamaran (lagoon 380), 2 stages de 7 jours cette année + stage de 3 jours de manoeuvre de port.
Bien sur, le passionnant cours des Glénans 8ème édition en livre des chevet lu et relu ainsi que l'excellent guide des manoeuvres de Tabarly.

Après, il y a toujours des situations nouvelles et hier, je suis passé à côté, et pourtant tout ce qui est dit ci dessus est du bon sens.

28 mai 2019

tu n'as pas à te justifier. Crois tu réellement que tous ceux qui te répondent sont vraiment plus compétents qu toi?

C'est le principe et l'intéret d'un forum que de pouvoir poser des questions et profiter de l'expérience d'autrui lors d'échanges contradisctoires.

Pour ma part beaucoup de mes apprentissages en voile sont venus d'expériences malheureuses. Car les principes énoncés dans les livres sont loin d'évoquer tous les problèmes que l'on peut rencontrer et n'intègrent pas la dimension du stress dans une situation qui "dérape".

Garder de la toile pour rester manoeuvrant.
Ne pas naviguer en surpuissance et anticiper les manoeuvres.
Veiller à ce que rien ne coince.

C'est en effet du bon sens, mais qui ne prend réellement corps que dans des situations réelles que l'on a expérimentées.

27 mai 2019

Il n'y a que deux façons de tenir un bateau face au vent :

soit un moteur qui pousse, ou une ancre mouillé à l'avant.

Au fait, si j'ai bien compris, ton bateau est un dériveur... la position de la dérive a certainement de l'importance dans le fait que ton bateau soit "mou" ou "ardent".

27 mai 2019

... soit porter seulement l'artimon (ou le tape-cul) bordé à plat. ;-)

27 mai 2019

Un artimon sur un 24 pieds... :lavache:...... :mdr:

28 mai 2019

@neptun 22, si tu ne dois retenir qu'une seule chose, c'est de toujours avoir au minimum un bout de tissu envoyé.

28 mai 2019

Bonjour,
Excuse moi, mais après avoir lu ton introduction, j'ai pensé "voilà encore une victime du commerce de la voile facile"
puis au fur et à mesure des commentaires, j'apprend une série de stages et de lectures.
Alors je ne comprend plus rien.
Je me pose une seule question: "qu'apprend t'on en régate, dans les stages?"
le livre des "glénans" je connais et m'a appris beaucoup mais peut être parce que c'est une version qui date d'avant le GPS.

28 mai 2019

Si je peux me permettre une petite réflexion c'est que pour maîtriser toutes ces manips basiques rien ne vaut l'apprentissage de la voile SANS moteur comme cela se pratiquait couramment il n'y a pas si longtemps, et c'est bien dommage qu'on ait délaissé ce type d'apprentissage qui était beaucoup plus formateur.

28 mai 2019

Tout à fait :


;-)

28 mai 2019

justement, c'est vraiment dommage de ne pas hisser la gv peinard au mouillage puis de la border juste de quoi avancer tout doucement et relever le mouillage ensuite on déroule le genoa est bam c parti a travers le mouillage

28 mai 2019

pour vider la batterie avec un guindeau il faut le faire exprès ,même moteur arrêté ...
alain

28 mai 2019

as tu fait le calcul de conso du guindeau pour remonter le mouillage
je crois que c'est de l'ordre de 5ah grand maxi ,sur une batterie de 70ah
ce n'est pas grand chose équivalente a 1h de frigo
alain

28 mai 2019

Aller, pour faire plaisir à Fritz, et rassurer Now.

Cas personnel, voilier 11 m, guindeau 1000 W mais qui consomme environ 50 A (contrôlé) dans des conditions "normales" avec pas trop de vent.
La chaîne remonte à 50 cm par seconde, donc si j'ai mouillé 50 mètres, il faudra 100 secondes pour les remonter, on va arrondir à 2 minutes...

2 minutes c'est 1/30ème d'heure, la consommation du guindeau sera donc de :
50 x 1/30 = 1,66 Ah

Alors effectivement on ne va pas vider une batterie avec un guindeau, mais on peut la "sécher" si, après quelques jours au mouillage sans une bonne recharge, on tire un peu trop dessus avec un appel important de puissance qu'elle n'aura plus.

D'autre part, un guideau n'est pas un "treuil de bateau", et si le vent se lève avec un petit clapot de face (ce qui oblige à quitter le mouillage...), il est préférable d'appuyer au moteur pour soulager guindeau et batteries.

Mais après, chacun fait comme il veut avec ses affaires. :heu:

28 mai 2019

c'est marseillan ?
ça résume tout
l'installation d'enrouleurs de génois à complètement inversé l'ordre des manoeuvres .
c'est comme le gps ,tout vers la facilité .et on fabrique des idiots .
alain

28 mai 2019

J'ajoute aussi que la configuration qui a occasionnée des difficultés à notre ami neptun 22 se rencontre fréquemment lorsque qu'on quitte un mouillage à la voile pure sans l'aide du moteur, et perso c'est une manœuvre que j'ai plaisir à faire et que je fais assez souvent:
- On relève le mouillage à sec de toile,une fois l'ancre dérapée on hisse le génois (si on ne traîne pas trop on a le temps de le faire avant de se vautrer sur le bateau sous le vent), et ensuite on exécute la manœuvre décrite plus haut par margotte que je copie ici: "pour envoyer la GV sous génois et sans moteur, il faut remonter au près au maximum de ce que peut faire le bateau avec cette voile.
Déborder la bôme au maximum pour qu'elle soit dans le lit du vent pour que la GV fasseye et... ça doit le faire."

Voilà typiquement ce que l'on apprend à faire quand on a pas de moteur, et que certains continuent à faire pour la plaisir.

28 mai 2019

Je fais aussi comme Jean

28 mai 2019

Je crois qu'on a tous de temps en temps fait des départs de mouillages à la voile, c'est très amusant.

Par contre les mouillages sont souvent trop encombré pour le faire en sécurité.

Quand je pars du mouillage à la voile, je démarre le moteur et le laisse tourner au ralenti au cas ou et en plus depuis que j'ai un guindeau ça évite de vider la batterie même si avant je remontais souvent à la main pour le sport (maintenant je ne peux plus, pour le moment en tous cas).

28 mai 2019

Il est néanmoins conseillé d'avoir le moteur démarré, et même parfois embrayé suivant la force du vent, ne serait-ce que pour soulager le guindeau et les batteries...

28 mai 201928 mai 2019

oui, c'est vrai, ça mets pas une bonne batterie à plat.
ma batterie moteur est morte lors d'une remonté partielle sans avoir démarrer le moteur, mais elle était en fin de vie, elle serait morte de toutes façons un peu plus tard.

De toutes façons, c'est plus pour la sécurité qu'on mets le moteur en route même quand on pars à la voile et puis ça n'arrive pas très souvent, avec les mouillages encombrés, c'est pas très raisonnable ou bien par temps très calme.
Mais quand on fait cette manœuvre, ça permet de voir comment son bateau évolue sous GV seule c'est instructif.

Sinon, une remonté complète au guindeau c'est plutôt 15/20 AH je pense (évidemment ça dépens de la puissance du guindeau) ce qui représente tout de même une bonne part de la capacité utile d'une 70AH surtout si elle est ancienne et qu'elle à perdu de la capa. Donc il vaut mieux pas trop jouer et laisser le moteur tourner.

28 mai 201928 mai 2019

@ jean
C'est aussi une autre technique, après chacun fait selon ses préférences, la configuration des lieux, le type de bateau. Perso j'aime bien la technique de remonter le mouillage à sec de toile. Mais si j'ai évoqué cette manière de faire c'est surtout parce que de cette façon on se retrouve dans la même configuration que celle qui a posée problème à neptun 22, et non parce que ce serait la meilleure méthode.

28 mai 2019

bonjour
le comportement different de ton deuxieme bateau , vient peu etre plus de " deriveur " , que d'autre chose .
le comportement est tres different , naviguer te donne un peu plus d'experience et connaissance de ton nouveau canot a chaque sortie . comme beaucoup d'autres ; si madame est malade et le fiston un bras dans le platre ou blesser veulent rapidement rentrer , plusieurs dans ce cas reflechissent moins bien que en solo .

salut

28 mai 2019

A 1mn11, homme à l'eau !
;-)

28 mai 2019

Comme d'habitude au bout d'un moment, le fil part en vrille.

Un gars raconte une petite mésaventure, somme toute banale, il obtiens des réponses, il dit que ok il a bien vu ce qu'il aurait du faire ou ne pas faire et puis vous en venez à lui reprocher d'avoir un moteur, un GPS, voir de le traiter d'idiot !

Pourquoi faut il toujours faire dans l'exagération (dans l’extrême) ?

On sait très bien que les héonautes donneurs de leçons n'ont jamais eu leur GV prise dans un lazy, elle monte toute seule sur un claquement de doigts, ils n'ont jamais aucun soucis en nav, même par F10, ils n'ont pas besoin de GPS de moteur ou de ces autres gadgets inutiles et tous ceux qui les utilisent sont des idiots ... pfffff, vous vous relisez des fois? c'est pénible cette dérive ...

28 mai 2019

Tout à fait d'accord et lorsque je pose ma dernière question
"qu'apprend t'on en régate, dans les stages?", c'est tout simplement que j'ai l'impression que les notions aérodynamique fondamentales ne sont pas abordées, les réflexes fondamentaux ne sont plus enseignés.
D'où ma question qu'est ce qu'on y enseigne dans ces stages?
se servir d'un GPS ou des voiles? démarrer un moteur ou diagnostiquer les pannes éventuelles? en bref sur quoi est mis la priorité?
PS: loin de moi l'idée de faire partir en vrille.

28 mai 201928 mai 2019

Oui mais on voit bien en lisant le post initial que neptune22 s'y connait en voile. Il partage juste une petite mésaventure et veut savoir ce d'autres auraient fait à sa place... En passant ça m'est arrivé aussi d'avoir du mal à hisser la grand voile après avoir essayé de naviguer sous génois seul suite à mes lecture sur le forum... :litjournal: Je précise que j'avais pas de gps

28 mai 2019

Bonjour,

Tout dépend de la taille du voilier, mais je ne conseillerai pas de partir d'un mouillage sans avoir hisser la GV avant si on veut le faire "sous voile"... ni même sans le moteur démarré "au cas où" à partir d'une certaine taille (9 mètres ?...), un coulisseau peut se coincer, une manille casser, et même si tout va bien mais que l'on n'aille pas assez vite pour hisser, le bateau sans vitesse va vite se retrouver à dériver travers au vent, ce qui rendra la GV de plus en plus difficile à hisser.

Pas sûr qu'un artimon ou un tape cul (sans moteur...) garde un bateau face au vent ? Il va alors "reculer" et il faudra être très bon avec la barre pour le garder en marche arrière. Pour suivre ce que dit Now, on va certainement en trouver qui y arrivent et font comme ça pour hisser la GV...

28 mai 201928 mai 2019

je ne dis pas que les plaisanciers sont idiots
mais avec la facilité des manoeuvres données par le moteur ,sans parler du propulseur d'étrave
celle de se positionner avec le gps ,
la plupart des plaisanciers ne savent pas faire autre chose que de se servir de ces AIDES à la navigation .
la démarche normale ,déjà pour sa satisfaction personnelle ,serait de savoir se servir de ses voiles avant de savoir ou est la marche avant et arrière avec la manette des gaz ,si on connait les deux c'est encore mieux .
et savoir se positionner en vue de terre et a l'estime avant d'utiliser un gps .
malheureusement ce n'est plus le cas ,de part mon ancien métier je suis amené à cotoyer pas mal de monde entre autre dans un club de voile dont je suis membre ,nous essayons en hiver d'instruire les membres qui le souhaitent à la sécurité en mer ,la mécanique ,l'électricité à bord ext ...et nous avons à leur disposition plusieurs voiliers pour la formation qui va du b.a ba à la technique de régate .
hé bien je peux vous dire que pas mal de propriétaires de voiliers conséquents viennent et souvent, on démarre de pratiquement zéro
sur bien des disciplines et la manoeuvre est dans les premières .
alain

28 mai 2019

@kaahua merci de ne pas me contacter par MP, si tu souhaite développer tes arguments fais le sur le forum public. Pour dire vrai, j'ai pas vraiment compris ton message peut-être y a t-il eu erreur de destinataire?

28 mai 2019

Pour en revenir au sujet initial, je pense sincèrement que Neptune aurait pu réduire, avant de vouloir mettre le moteur, cela aurait amélioré le confort. En revanche, le problème du moteur se serait posé au moment de l'entrée au port, ce qui n'est pas forcément cool non plus.
De toute façon, il n'y a pas de solution parfaite, et le fait d'avoir ramené tout le monde sans bobo est le principal.

28 mai 2019

neptune étant le dieu de la mer ,je ne comprends pas qu'il ait laissé les éléments prendre le dessus .
tout se perd même le respect des fonctions .
la mite n'est plus au logis elle est partie à la campagne .
alain :blabla: :mdr:

28 mai 2019

Je reviens un peu sur ce que j'ai écrit plus haut a propos de l’appareillage à sec de toile et je précise deux ou trois trucs.

C’est une méthode qui, à mon avis, est très adaptée quand on est seul à bord ce qui est souvent mon cas, (j’évoque là le cas d’un petit bateau, disons jusqu’à 9/10m).C’est de cette façon que je procède dans 80% des cas.
L’avantage de cette méthode est que la plupart du temps on a largement le temps de ranger l’ancre dans la baille puisque dès que l’ancre est dérapée le bateau se met en travers en dérivant à faible vitesse. Il suffit alors de hisser ou dérouler le génois, ce qui est facile, et à ce moment le bateau devient manœuvrant, il ne reste plus qu’à hisser la gv tranquillement dès qu’on est à un endroit un peu dégagé.
L’inconvénient de hisser la gv avant, c’est que dès que l’ancre est dérapée il faut rapidement rejoindre le cockpit pour reprendre le contrôle du bateau avec quelquefois une ancre qui pendouille car on n'a pas eu le temps de la ranger , et en solo cela me parait plus difficile, mais bon ça se fait aussi.

Par ailleurs et pour reprendre le propos de Now plus haut, loin de moi l'idée de reprocher à neptun 22 d'avoir un moteur, je me suis simplement borné à regretter que l'apprentissage actuel fasse la plupart du temps l'impasse sur la voile pure,parce que cette manière d’apprendre permet de rencontrer une multitude de cas de figure comme celui qui est l'objet de ce fil. Il ne s'agit donc pas d'une dérive.

28 mai 2019

Je ne suis pas de cet avis, c'est à l'ancre que la voile est dans la meilleure situation pour être envoyée, autant en profiter. Barre amarrée au centre écoute de GV lachée au max (le hâle-bas idem), avec un peu de balancine ça le fait impec en solo...
Mais pas avec 30 m de chaîne à remonter à la main, toutefois !

:-D

29 mai 2019

Mais à pratiquer uniquement par les initiés, j'ai vu des plaisancier qui manoeuvraient au moteur la GV bordé se payer un bateau au mouillage ou le quai du port.
On dit que la GV fait lofer, mais surtout elle peut empêcher d'abattre...
Comme dit plus haut, il faut apprendre les ''fondamentaux'' !
;-)

28 mai 2019

(Toute)Petite expérience qui n'a en rien la prétention d'être une règle. Découverte de façon intuitive, pour sortir d'un mouillage sans moteur. Par chance vent du large, donc bateau dans le lit du vent. Je hisse la GV facilement. Je monte à l'avant et remonte mon mouillage à a force des bras ( 26 pieds et 2T6). Je reviens au cockpit, je pousse la bôme à la main sur babord ou tribord en fonction de la route que je choisi ou bien j'envoie le chariot du palan et je borde (Bon y a pas F7 non plus) tout en contrôlant avec la barre. Dès que le bateau a pris une certaine vitesse, j'envoie le génois. Fait de manière empirique, mais qui a parfois marché. Sur mon bateau, il était plus difficile de naviguer au prés avec génois seul.

28 mai 2019

Au mouillage par définition le bateau est bout au vent ?

28 mai 2019

Pardon reponse de marin de med ...

28 mai 2019

Ben il me semble non ? Partant du principe qu'il n'y a pas trop de courant,en général mon bateau se met dans l'axe du vent, et aussi tous les autres. Mais je m'aventure sur un terrain sablonneux là.

28 mai 2019

Sauf s'il mouille par l’arrière :-p

28 mai 2019

Et là tu fais du spi ascensionnel...

28 mai 2019

Oui c'est excellent ça, on faisait toujours au mouillage quand on commençait le bateau. On en voit moins souvent d'ailleurs mais avant, :mdr: , c'était fort courant dans les mouillages .Mine de rien adrénaline.

Portland Head Light, Portland, Maine USA

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