voilier coulé par des orques au Portugal

Group rescued by fishing boat; “everyone is safe”

The early hours of this morning saw a new – and very much worse than usual – orca intervention off the coast of Sines.

A sailing boat was so badly damaged that it started to sink.

Reports explain that the five people on board managed to flee in a dinghy, having radioed ahead for help.

Fishing boat Festas André was close by and went straight to the rescue.

It is still unclear whether the orcas were in the vicinity as the boat’s crew disembarked. But the incident puts a whole new dimension on ‘interactions’ by orcas with sailing boats – which have been happening with a degree of frequency since 2020.

Today’s reports make little reference to the fact that orca interactions have immobilised dozens of sailing boats in the last couple of years – so much so that social media sites have been created for sailors to pass each other information, as well as websites by specialists who are studying this new phenomenon.

Details of today’s interaction have still to come. We are not told, for instance, what flag the sunken sailboat was flying under; how the interaction began; or why it ended with such drastic consequences.

In the past, sailing boats have been immobilised, but not damaged to the point of actually sinking.

Today’s incident involved Sines ports authorities and the Portuguese Navy.

Said the Navy in a statement, its “Maritime Search and Rescue Coordination Centre in Lisbon, with the Captain of the Port of Sines, coordinated the rescue of five crew this morning who were on a life raft after the sailing boat they were in had sunk following a meeting with orcas about six nautical miles, equivalent to 11 kms, from Sines”.

The crew’s emergency call went out shortly after midnight.

Reports carry the habitual ICNF advice: any boat visited by orcas should turn off its engines, as the movement of propellers etc is believed to encourage what the entity likes to refer to as “curious behaviour of young orcas”.

But ‘Orca attack – Iberia’, a social media group involving many who have come off at the sharp end of these ‘meetings’, does not mince its words today.

“When are the experts going to offer some advice, beyond telling us to do nothing” query sailors.

Reactions are split between those who really believe the orcas are just ‘curious’ and having a bit of fun, to those who feel this is a rogue pod targeting vulnerable sailing boats in the middle of the ocean, with serious and always expensive consequences.

For now, the ‘good news’ is that all crew members are safe, if not rattled by their encounter.

The full details of what actually happened may come clear tomorrow.

natasha.donn@portugalresident.com

C'est le même voilier, on en a parlé dans d'autres fils. Date du 31 juillet.

Sur le fond, domi53 a raison mais tort sur la forme. Ce n'est pas nul. A l'époque où certains ont l'anglais qui bave sur les cotés de la bouche pour faire croire que ce sont des pros du baratin ou faire croire qu'ils connaissent des chansons en anglais, le tout sans comprendre le sens de ce qu'ils disent, c'est nul.
Mais user d'une langue étrangère à bon escient est une marque de culture. Or la culture ne peut pas être nulle, fût-ce sur un forum en français.

Sinon il y a eu un article en français sur The Portugal News le 31 juillet :
www.theportugalnews.com[...]s/69112

Mais ça ne donne pas plus d'éléments (taille de voilier, type d'avarie,...).

Le mieux pour l'instant et ce pour la navigation se sont ces pages avec les feux actualisés quasi tous les jours.
Les choses bougent très vite en Galice ces derniers temps.
Cela ne donne pas le décompte mais les passages à niveaux ainsi que les déplacements du ou des groupes quasi en direct.

www.facebook.com[...]Iberica

www.orcaiberica.org[...]dations

en cas d'attaque, couper les instruments électronique sondeur pilote, laisser la vhf et ais pour secours,
arrêter le bateau et laisser faire ...
elles s'attaquent surtout au gouvernail, pourquoi? ça représente un aileron ?
des avis de gens qui l'ont vécu disent qu'un gros vacarme (taper sur la coque, sur des casseroles ou autres) les feraient partir ????

comportement étrange de ces grosses bestioles ...

Ok cool

J'ai bien peur que ça finisse officieusement comme ça s'il finit par y avoir des victimes.
☹

Et le Pinger.je croyais que ça marchait?

Une piste? : information.tv5monde.com[...]-256239 . On est d'accord c'est profondément affligeant.

bonjour

moi ce qui m'etonne , c'est pourquoi certains orques ( ou seulement ceux d'un secteur , ont ne sait pas ) s'attaque a quelque chose de non comestible pour eux .
est ce seulement un petit nombre et pourquoi ( encore ) ?
heureusement que le canot de sauvetage ne les as pas interesses

a bientot sur l'eau

Bonjour,

Il suffit de couper le moteur et l’électronique et les bestioles se désintéressent très vite et partent. Les Orques sont très intelligentes et curieuses donc viennent probablement pour voir ce que c'est et jouer !

Est-ce que les orques jouent ou nous agressent sciemment? Je n'en sais foutre rien, mais je me souviens qu'un dauphin a fait joujou avec mes safrans toute une nuit au port de Tréboul à Douarnenez, c'était il y a une quinzaine d'années, à tel point que je commençais à craindre car les chocs étaient quand même violents...mais voilà ce n'était qu'un dauphin, et on peut penser que si ça avait été une orque des dégâts auraient été possibles. Et pour l'anecdote, le lendemain d'un nuit un peu agitée à cause de ce dauphin emmerdeur, j'étais en navigation quand j'ai soudain senti la barre se durcir, et qu'est-ce je vois?...ben y avait mon dauphin joueur collé sur un de mes safrans, et il a fallu que je lui fasse comprendre de foutre le camp avec ma gaffe.
Ce qui me pose question, comme pour les interactions avec les orques, c'est que mon dauphin emmerdeur d'une nuit ne s'en pris qu'aux safrans, c'est uniquement cet endroit du bateau qui semblait l'intéresser, et pourtant les safrans étaient immobiles puisque le bateau était amarré au ponton??..

voici un copier coller du groupe facebook portugais sur le sujet zt traduit en français par googletraduction :
Le silence/le "protocole" face à une attaque a été discrédité. De nombreux bateaux suivant ce conseil se sont assis passivement alors que leurs gouvernails ont été détruits, et maintenant nous avons notre premier naufrage. Il est temps que ceux qui sont préoccupés par le bien-être à long terme de ce groupe d'orques reconnaissent la gravité de la situation à laquelle les marins sont confrontés et commencent à envisager des compromis afin que les marins puissent protéger leurs vies et leurs biens, et les orques contre des interventions plus brutales. par des marins ou des pêcheurs voyous. La raison pour laquelle de nombreuses personnes ne signalent pas les incidents sur le site officiel est qu'elles connaissent la position intransigeante prise par ceux qui gèrent ce site.
Le marquage, dont je me souviens qu'on m'a dit qu'il était illégal et peu pratique, par des biologistes marins il y a un an, s'avère avoir été effectué sur 56 orques ailleurs, et est actuellement à l'étude par un biologiste marin espagnol ici. Des sonars et des pétards sous-marins ont été déployés en Alaska pour éloigner Orcas des marées noires. Ici, il semble que nous devrons attendre nos premiers décès avant que le compromis ne soit imposé au biologiste marin par l'intervention du gouvernement. Les gouvernements concernés ont l'obligation légale d'assurer la sécurité de ceux qui naviguent dans leurs eaux. Réveillez-vous, réfléchissez aux options les moins pires pour sortir de ce débat polarisé, futile et à choix. Il est temps pour le leadership, pour les solutions. Le statu quo est intenable

et toujourssur le même groupe Facebook et traduit en français :
En octobre 2021, l'association des skippers professionnels ANPER a organisé une table ronde intitulée « Orques et Voiliers », dans le but de faire la lumière sur différents aspects de cette problématique qui concerne la communauté nautique internationale. Différents professionnels y ont participé, qui ont apporté leurs connaissances en architecture navale, assurance nautique, lois, deux cas de leur propre expérience en interaction et un chercheur, Reanau De Stefanis, qui fait des recherches sur les cétacés depuis 1996, a écrit 10 livres et 70 articles scientifiques articles, Il a été président du CIRCE, un centre de recherche et dans la table ronde il présente les conclusions de son dernier ouvrage "Etude, gestion et conservation dans le sud de la péninsule".
Compte tenu de l'impossibilité de pouvoir traduire les conversations en espagnol, j'ai résumé les détails les plus importants de l'intervention du chercheur, sur la base des arguments qu'il propose, ce qui, je l'espère, clarifiera de nombreux doutes que je vois dans les messages soulevés par ce question.
La synthèse:
1.-L'étude a commencé en 1996 sur l'épaulard ibérique qui a été marqué et surveillé par satellite et on sait qu'il est composé d'environ 60 individus, répartis en cinq familles, qui se nourrissent exclusivement de thon rouge et sont situés dans l'Ensenada de Barbate au printemps, en été au centre du détroit et à la fin du mois d'août, ils commencent leur migration vers le golfe de Gascogne, en passant par la côte portugaise et la Galice. Il n'y a pas de transmission horizontale entre eux, la transmission est verticale de la mère à la progéniture.
2.-Dans 48 rencontres avec les épaulards, ils ont joué avec le jet de l'hélice, recherchant "l'effet jacuzzi" que le mouvement de l'hélice provoque dans l'eau. Ce comportement n'a été détecté que chez quatre individus appartenant à la même famille.
3.-L'origine de ce comportement est liée à l'industrie touristique créée autour de l'observation des cétacés qui a généré une habituation de ces orques aux bateaux.
4.-Mesures proposées :
Commencez un processus de désintoxication, en travaillant à partir de la science, Congrès mondial d'experts à Tarifa.
Ignore l'épaulard et n'arrête pas le navire
Restreindre l'activité d'observation
Marquez avec des localisateurs GPS et établissez des zones d'exclusion.
Réorienter le comportement en fonction de l'utilisation de renforcements positifs ou négatifs (effets sonores, ultrasons,...) en fonction de l'expérience acquise.
Je voulais présenter une synthèse traduite comme un synopsis qui ouvre l'intérêt des lecteurs les plus intéressés, mais le plus utile est de regarder la vidéo complète. Merci de votre intérêt.

Salut,

Tout le monde n'en a pas forcément entendu parler, mais il semble que ce n'est pas un "fake".

Amitiés,
J.

Là on voit bien la construction.
Le plat ne fait que donner un point d'appui que pour les peaux (inox 3mm).
Non non je n'irai pas tester mes safrans contre les orques !
Quoique ça aurait peut-être une valeur pédagogique pour ces animaux très intelligents s'ils se cassaient les dents dessus ?

On pourrait peut-être juste peindre le safran avec des couleurs vives par exemple des rayures rouges et blanches ou jaunes dites aposématiques qui préviennent les prédateurs de l'imminence d'un danger et que la proie pourrait être empoisonnée, en corsant on pourrait rajouter des inserts avec des pics latéralement sur le safran, qui ressemblerait à une rascasse enfin un truc pas comestible du tout. Est ce que cela suffirait pour tromper une orque?

Ces épaulards attaquent-ils (Pardon, "interagissent-ils") la nuit ?
Dans le cas positif, on peut estimer que ce n'est plus du "jeu"
Dans le cas négatif on peut peut-être programmer sa nav dans la zone de port en port la nuit ?

Il existe une solution à base de pingers développés entre autre par la société Fishtecmarine. Leur destination première reste les pêcheurs et les études menées ont montré une très grande efficacité.
Une réglementation espagnole interdit l’usage des pingers depuis 2007 afin de protéger la faune, mais ça, c’était bien avant l’apparition du phénomène dont nous discutons.
Par ailleurs, cette réglementation ne s’applique plus des 12nm des côtes.

vue du dessous !!!!

Salut et merci pour ces informations.

Difficile d'imaginer ce qu'auraient fait les orques si tous les voiliers avaient été équipés de pingers, mais pour celui qui en avait un, je suppose qu'il ne regrette pas son achat.
Sais-tu si les trois autres bateaux étaient tous des voiliers et si tous les safrans ont été "bouffés" ?

Amitiés,
J.

La tactique de l'IMOCA...

globalsolochallenge.com[...]/orque/

@Pourkoa
T'aimes bien le sensationnalisme hein...pour avoir balancé le même message sur tous les fils (6) traitant des orques que tu as déterré, à moins tu fasse une crise d'angoisse par rapport aux problèmes causés par ces animaux, je te suggère donc de vendre ton bateau et de changer d'activité, tu verras ça ira mieux après.

Juste une question ! (Pour les chasseurs ce qui n'est pas mon cas, je n'ai pas d'armes) . En cas d'attaque d'Orques est ce que tirer dessus au fusil ne les feraient pas fuir ?

Un peu plus de détails : www.portugalresident.com[...]nboard/

Puisque TRÈS intelligentes et dotées de capacités hors normes pour la chasse , j’ai la certitude qu’elles ne confondent pas les voiliers avec des : chalutiers, baleines, babales ou autres absurdités lues çà et là , en plus c’est energyvore comme occupation .
Soit elles son tombées sur un voilier volé rempli d’émigrants ou de la snif et la elles réclament leur dose ou le cas-croûte , soit leur intelligence est TRÈS DISCUTABLE.
Et pour tous ce qui veulent communiquer avec , qu’ils fassent des sorties organisées et une fois « l’interaction » L’ATTAQUE établie qu’ils leur passent des smartphones … pour discuter ou rentrer dans l’eau pour jouer ensemble.
En attendant, l’idiocratie étant la norme je reste sur la berge pour observer…

En résumé de tout ce que j’ai lu, vécu et entendu, si je devais (et je le ferai l’année prochaine) longer à nouveau les côtes espagnoles et portugaises, voilà les deux options que je prendrais:

1- Tracter un pinger rouge (il y en a aussi un jaune, mais plutôt pour les dauphins) de Fishtek Marine. Lors de notre traversée, nous avons eu écho de plusieurs interactions à proximité d’où nous nous trouvions, parfois juste 1h derrière nous, mais nous avons été épargnés. D’après mes recherches (mais j’ai pu passer à côté), dans le seul cas dont j’ai connaissance d’interaction avec un bateau utilisant un pinger, ce dernier n’avait pas été lesté, et se trouvait donc tracté près de la surface. Les ingénieurs de Fishtek Marine que j’avais contactés avant de partir ont insisté sur la nécessité de lester le pinger pour s’assurer qu’il reste au moins à 2m sous la surface. Dans mon cas, cela a nécessité 6kg de plombs de plongée.

2- Emporter un sac de sable. Le témoignage de ce professionnel portugais que certains ont peut être lu est du vécu. A de nombreuses reprises, il éloignait les orques en jetant des poignées de sable. Cela semble les perturber considérablement. C’est un vrai retour d’expérience de quelqu’un qui me semble très crédible et n’a rien à gagner à fanfaronner.

On peut aussi se dire qu’aussi impressionnantes que soient ces malheureuses expériences, elles ne concernent qu’un pourcentage très faible des bateaux sur ce trajet.

Trop fort !
Il dévie à mort du sujet et s'y maintient ...du grand art...

Je suis profondément désolé que ma pensée cognitive a offusqué plus d’un dont je m’excuse Messieurs.
Je suis dans la certitude que vous avez des qualités et des connaissances à partager que je n’ai pas mais je ne vous en veux point de ne pas le faire, quand à la manière.. il y’a le lard .
A bons entendeurs .

intéressant, merci pour le lien.

L’info en lien accessible: