Un scow de croisière rapide

L'optimiste de mon gars a la même forme :-p

Ce genre de pelle a tarte est vieux comme la navigation . Il y a eu dans les année 50 un mec qui a extrapolé un star avec son étrave à marotte à un yacht de 18 mètres . J ' ai pu le visiter et le skipper disait qu 'il tapait affreusement dans les clapot méditerranée . Ce bateau s' appelait Attila . Il a eu un destin tragique . Ce qui m ' avait frappé c' était une vraie salle de bain à bord avec du marbre qui en fait devait être du formica .

Question look, les Tupperware mono ou cata, n'ont rien à lui envier.

Sans doute pas pire au près dans le clapot que pas mal de catas à nacelle basse !

Ca vaut le coup d'essayer. Et je pense que les qualités du bateau au portant et le volume intérieur feront passer la pilule.

Autant que la largeur intérieure à l'avant, c'est la grande plage avant rectangulaire qui doit être géniale, comme sur un cata.

100 m2 de voile au près, sans doute le double au portant pour 4 tonnes à enmener et certainement se bouger un brin pour le faire marcher comme il se doit !

ce serait balo de se contenter de la quadrature du triangle avant alors que ce bateau transpire la recherche de perf

les alternatives architecturales appartiennent aux scow's ou aux foiler's
dans les deux cas, c'est plus pour la performance que la largeur du plumard !

Il oublie juste de dire que la charge utile des voiliers de course et leur durée de vie ont été divisés par au moins 10 en 40 ans ?

Quelle charge utile et quelle durée de vie pour le swan 65 vainqueur de la première whitbread?

Mais... Quel est l'interêt de charger un voilier de course ? :-)

Pour la durée de vie, ok pour un monotype, mais pour les jauges à restrictions? Ca évolue vite, rendant désuets les unités de génération précédentes et ces bateau trop extrêmes sont difficilement recyclables en voiliers de croisière.

pour les bateaux de courses, sans aucun doute

the race en 2000, 79 jours le tour du monde en multicoque et équipage
reccord en 2017, 42 jours le tour du monde en multi et en solitaire....

pour les croiseurs de grands chantier, c'est une pilule qu'ils essayent de faire avaler aux gogos....
ça ne date pas d'hier...
souvenez vous des quilles à ailettes sur les océanis avec 1.5 de te pour un 40 pieds...

ce projet est un bateau de niche et le jour ou il sera produit, il y a fort à parier que c'est un petit chantier qui s'y collera

les croiseurs ont conservé les memes perfs
les progres architecturaux ont porte sur l augmentation du volume à perf egale

Bonjour,
Les améliorations de performances semblent cachées par les augmentations de poids et de surface mouillées, les technologies permettant d'alléger ne serait-ce que les aménagements sont coûteuses.

Un voilier course croisière à suivre....le nouveau Fareast 37R :
www.fareastyachts.com.au[...]st-37r/

J'en pense rien.

Régate : zéro, pas étudié pour une jauge.

Croisière : au pif, vu le déplacement et la mature carbone, il va se retrouver au tarif d'un Océanis 46.1. Il va convaincre 0,0001% des prospects.

Et alors?

J'ai du réfléchir quand même un peu avant de dire que c'était pas intéressant.

Sinon, pour les clients des bateaux plus chers, Beneteau a trouvé 1200 clients pour un océanis 411 (1997-2004) . HR n'a trouvé que 155 clients pour le HR 39 (1994-2003) et swan s'est contenté de 58 clients pour le Swan 40 frers (1992-2001)

Le sujet, c'était (c'est encore...) le Scow de croisière.

Un nouveau-vieux "truc hybride" entre le bon monocoque à stabilité de lest et le cata à stabilité de forme.

(C'est un peu provoc, pour relancer le fil et faire bondir de leur siège de bureau les pointilleux de l'architecture navale)

Tiens, d'ailleurs, à quand les scows à foils, pour diminuer encore un peu le lest (ils finiront bien par l'enlever, et nous réinventer la barge ostréicole à voile du 19ème siècle !!)

Oui, pour faire comme ça :

:-D
Celle-là, je la connais.

L'intérêt du scow lesté à foils (un peu comme les minis) serait (d'essayer) de ne pas chavirer. Au moins, pas à 90 degrés !

on dirait GITANA :acheval: :acheval: :acheval: :acheval:

Je ne suis pas architecte naval, mes commentaires seront donc au vu de mon pif + un pas mal de miles.
On m'arrête si je me trompe : l'intérêt que je comprends dans un scow c'est d'avoir une plus grande largeur à la flottaison sur une plus grande longueur pour une meilleure raideur à la toile. N'est il pas ?
Je trouve que c'est une solution intéressante car sur nos monocoques "classiques" c'est au près que nous souffrons et ralentissons faute de porter le max de toile (en ne considérant que ce facteur) Dans le cas présent, pourquoi le faire plus étroit qu'un mono pointu devant ? A mes yeux on y perd ce qu'on cherche à gagner, non ? Je sais que plus large ça fait plus de matière, donc lus de poids mais si ça permet d'enlever du lest…
Les comparaisons des statistiques de vente évoquées plus haut me semblent biaisées par un seul phénomène : la puissance commerciale et la communication. Si Beneteau avait sorti ça il y a 35 ans, il y en aurait plein les ports !
Cordialement
Yves