Talonnage à 12 nds ... Ça fait mal!!!

Ouch !!

Sans vouloir inviter Paul & Mike, je ne vois pas la vitesse de 12 nds :litjournal:

pas vu non plus la vitesse...
c'est le coco à l'avant dans le bout dehors qui a eu de la chance !!
bon, tout le fond du bateau est à refaire mais il aurait pu arracher la quille et les fonds et couler, le bateau est donc assez solide ...

Nan, tu l'as déjà passée aux ultrasons?!?!

La rentabilité de l'affaire devrait prendre en compte, comme pour la réparation, le coût du temps passé à détailler les bricoles et à les vendre une à une.

Pas certain que ce soit aussi rentable que ça... :litjournal:

NON, mais j'ai déjà vu des dégâts similaires : le coût de la réparation dépassait la valeur vénale de la coque (sachant qu'on peut récupérer tout le reste et le vendre à l'occase)

Il faudrait en effet reprendre toutes les varangues et la stratification sur une grande surface ; et au prix actuel de l'heure de main d'oeuvre, on atteindrait vite la limite économiquement acceptable

J'ai eu le cas sur un bateau sinistré 100 % ; une fois l'indemnité en valeur vénale (selon pré-expertise d'assurance) payée, j'ai racheté l'épave à l'assurance pour 100 € ( l'assurance était bien contente de s'en débarasser, car elle aurait du payer la déconstruction !) ; ensuite, j'ai pris mon temps pour désosser tout sur la coque, moteur et électronique compris, et j'ai vendu le tout sur les puces nautiques.

A la fin, l'affaire était loin d'être déficitaire.

Tu as mal lu : il est question de vendre les pièces une fois le boat en entier payé par l'assurance (sinistre 100 %).

Les "bricoles", comme tu les appelles, c'est tout bénef après... rien qu'avec le moteur, par exemple, la vente paye le désassemblage qui ne prend pas plus qu'une heure. Et au besoin, tu vends "sur pied", démontage à la charge de l'acheteur.

encore un caillou qui a poussé la nuit....

Il y a une nuance entre talonner simplement et arracher la liaison coque-quille...

C'est une nuance financière...