Taille voilier en solitaire et amenagements nécessaires

Bonjour a tous....depuis quelque temps la tentation de la navigation en solitaire me turlupine. Femme et navigateice les deux ne sont pas incompatibles et la vision d une jeune solo cet ete m a conforté dans cette hypothese. Certes des installations adaptées a ma taille me semblent necessaires et le solo n exclu pas de prendre soit un pro soit un ou une equipiere a bord de temps a autre. MA question restera pour les solitaires jusqu a quelle taille de voilier la manoeuvre vous semble acessible. Mis a part un changement de winch une manivelle electrique et un guideau a commande a distance plus prise de ris automatique a organiser quelles sont vos principales difficultees ?Amenagements et organisation.....En sachant que je suis petite et ne compte pas renoncer a vivre a bord a l annee....Merci de vos reponses....En projet suite a une reorganisation de programme.Merci a tous pour vos infos

L'équipage
13 sept. 2016
13 sept. 2016

A ma connaissance le plus grand voilier mené en solo était celui d'Alain Colas : le Cub Med, 72 m.
Il y a eu aussi des multicoques menés de main de maître (sse ?) par des femmes : Pierre premier, B&Q Castorama...

Donc pour la limite de taille et de complexité la barre est haute.

13 sept. 2016

Naviguer n'est pas vraiment un problème sur un voilier bien équipé. Le plus gros voilier que j'ai mené en solitaire faisait 15m. Il faut juste bien anticiper.

En revanche, au port gréer ou dégréer seul le genois était vraiment un travail très dur, limite pour moi.

Sur mon bateau de 10 m., je peux tout faire seul sans problème.

Pour moi je mettrais donc une limite vers les 12 m.

13 sept. 2016

Tout dépend du programme de navigation, longer la cote ou faire le Cap Horn ont besoin de voiliers différents, solitaire ou pas.
Pour les TDM, la reference féminine serai Isabel Pimentel, la connaissant et connaissant son bateau, on voit de quoi est capable une solitaire musclée.
Mon 24 pieds en solo est grand par beau temps et petit par mauvais. Aller a l'avant dans le baston c'est toujours loin.
Ris au cockpit, moteur fiable, manœuvres claires et harnais 24/24 / 7 jours sur 7 de rigueur.
Développer le sens de l'anticipation c'est la meilleur des survies.
Le choix devrais se faire sur le bateau qu'on contrôle facilement et qu'on peux lui faire confiance. Parfois on va mieux sur l'ocean avec un mini 6,50 en solo que avec un 12m qui demande du muscle...

13 sept. 201613 sept. 2016

Je navigue souvent en solo sur mon bateau de 9,50m.

En mer pas de problèmes: mais il faut anticiper. Ne pas hésiter à réduire la toile avant plutôt qu'après (surtout au portant). Et j'ai souvent tendance à prendre un ris avant de partir; quite à le larguer en mer.

Par contre le bateau est un peu petit en équipage. Mais seul ou à 2 pas de problèmes.

Mouiller ou prendre un coffre: pas de grosses difficultés.

C'est plus compliqué dans les marinas: souvent, il y a peu de place dans le port pour affaler, mettre les haussières et les pare-bat surtout en solo. Cela peut être un peu compliqué avec équipage et bien sûr beaucoup plus compliqué en solo.

Donc je suis quelquefois forcé de préparer avant et de rentrer au moteur avec pare bat et haussières. C'est un peu acrobatique si entrée de port remuante.
Et même problème à la sortie.Par contre, pour s'amarrer, on trouve généralement de l'aide sur les pontons (sauf en France au mois d'aout!).

13 sept. 2016

Je pense qu'en solo il faut préparer pare-bat et aussières avant de s'engager dans un port. Je les prépare toujours sur les deux bords, ainsi, pas de mauvaises surprises s'il faut en dernière seconde décider d'un autre amarrage.

14 sept. 2016

même en équipage je le fais !

13 sept. 2016

Bonjour
Comme dit plus haut, la taille n'est pas le plus important. Ce qui compte, c'est un bateau sur lequel on se sente bien. Ton 44 est un super bateau, quoique un peu physique ! Le plus important est d'anticiper, pour ne pas se faire avoir, car la force sera toujours du coté du voilier dès que le vent se lève. En ce qui me concerne, je vis depuis très longtemps sur mon voilier de 15 m, et c'est super ! volume, confort, sécurité. Seul, n'étant pas musclor, et cela ne me pose aucun problème, le tout est de le connaitre.

13 sept. 2016

"Je pense qu'en solo il faut préparer pare-bat et aussières avant de s'engager dans un port"
En équipage aussi ! :heu: :tesur:

13 sept. 201613 sept. 2016

ta volé ma réplique :-D ;-)

13 sept. 2016

Oui, en effet! :-p

En fait j'aurais du un peu étoffer mon point de vue. En équipage tu as toujours quelqu'un qui peut vite ajuster un pare-bat ou changer une aussière de place.

En solo, étant à la barre, tu ne peux plus rien changer après t'être engagé dans le port.

Et quand tu laches la barre en fonction de ce que tu découvres en dernière seconde, tu dois avoir à ta disposition des pointes, des traversières, et le tout bien lovées, à disposition immédiate.

En solo je me prépare toujours bien plus qu'en équipage.

14 sept. 2016

En solo, la télécommande de pilote, fixée sur l'avant-bras avec un velcro, me permet de préparer tranquillo mon amarrage.

14 sept. 2016

"il n'y a que des télécommande avec fil?"
Non.
"j'ai une question surement conne"
Oui.
Ne me remercie pas

14 sept. 2016

Désolé je ne suis pas un adepte des pastilles jaunes en fin de phrase.
Mais quand on propose un qualificatif à une définition de soi-même, faut s'attendre à ce que les blaireaux comme moi s'engouffrent dans la brèche.

14 sept. 2016

Qu'il existe des télécommandes pour guindeaux, ou que tu es une quiche ?
Je mets un smilaid au cas ou ;)

14 sept. 201614 sept. 2016

oui, j'ai une télécommande (Raymarine) sans fil; pratique aussi quand je me prépare en dehors du port pour éviter les casiers...
Pour le guindeau, j'ai un inter dans le cockpit en plus de la commande filaire dans la baille à mouillage.
Et j'ai aussi un bout qui me permet de mettre le moteur au point mort quand j'attrappe une bouée de corps mort.

14 sept. 2016

J'ai depuis 6 ans cette télécommande sans fil pour mon guindeau qui fonctionne super bien. A ce prix là, j'en ai monté une sur mon propulseur. C'est génial pour maintenir le bateau pendant que l'on prend la pendille en solo par vent de travers!
www.ebay.fr[...]6694677

15 sept. 2016

tu mets deux prises, une à l'avant et une dans le cockpit, c'est vrai que les choses simples peuvent être très compliquées
Gilles

13 sept. 2016

En fait dans pas mal de ports, dès qu'il y a du vent, il ya une belle houle dehors qui se calme magiquement une fois passées les jetées.
En équipage, c'est facile de faire des ronds dans l'eau dans l'avant port- le temps de tout préparer une fois passées les jetées.
En solo, c'est quelquefois difficile voire impossible de lacher la barre dans les ports plus de quelques secondes

14 sept. 2016

j'ai une question surement conne mais sérieuse au sujet des télécommandes (pas celles de PA mais de guindeau): il n'y a que des télécommande avec fil? si oui comment vous faites quand vous mouillez car le fil ne doit pas être assez long pour arriver au cockpit......

14 sept. 201614 sept. 2016

excuses-moi de ne pas posséder ton savoir cairnoc; je me souviens pas avoir vu des télécommandes sans fil POUR guindeau dans les catalogues auparavant;
rectif:je viens de regarder, effectivement il existe des commandes sans fil pour guindeau

14 sept. 2016

pas de soucis cairnoc, au moins j'aurai appris quelque chose ce soir

14 sept. 2016

commandes pour guindeaux je savais, mais sans fil j'avais jamais vu; quand à savoir si je suis une quiche j'ai pas eu besoin de toi,je le savais depuis longtemps

14 sept. 2016

ok, merci pour ton retour papy-boom

13 sept. 2016

Oui il me semble que c'est mieux de préparé le maximum avant de s'engager entre les pontons surtout en solo ou même à deux.

13 sept. 2016

Salut
Dans la taille du raisonable ne pas depasser 12m me semble bien,j,ai un de 11,45m et c,est suffisant en solo,apres tu tombes dans les emmerdes pour les manoeuvres Au port des qu,il y a du vent

13 sept. 2016

Je navigue souvent en solo et pour moi un 10m est très bien. Pour le mouillage pas de problème d'aller à l'avant par contre la prise de ris au cockpit me semble vraiment nécessaire.

13 sept. 201613 sept. 2016

A la lumière de ma propre expérience, je plussoie tout particulièrement pour la question des manoeuvres de port. Je naviguais très régulièrement seul et sans difficulté sur mon ancien bateau : 14m de coque avec franc bord assez bas, 14T, pas de prop, un génois de 73m2 et une GV de 55m2 avec prise de ris manuelle. Sans me poser de problème réel, la prise de ris était le seul truc un peu fastidieux. Au port le bateau était prévisible, lourd mais avec peu de dérive de l'avant en marche arrière sauf par vent latéral > 20 nds. Aujourd'hui, 1m de plus et quasiment 5T de moins, toujours pas de prop, un génois de 59m2 et une GV de 85, et je n'envisage pas de sortir seul, hélas. Pourquoi ? un bateau dont l'avant est très volage car extrêmement léger, avec un franc bord assez élevé, qui chasse TRES vite au moindre vent latéral. Et accessoirement, une GV pas facile à affaler, bien que j'aie fait réaliser un lazy bag. La pose d'un prop rendrait les choses plus faciles au port, à condition qu'il ait la bonne puissance, mais ne changerait rien pour la question de la GV. En conclusion, à longueur égale, d'un bateau à l'autre, les caractéristiques de la voilure et le comportement du bateau en manoeuvre et surtout en marche AR peuvent changer les choses du tout au tout...

13 sept. 2016

Je rejoins complètements les avis partagés, la plus grosse difficulté du solitaire reste les manœuvres de port au dessus d'un certain tonnage et longueur. 10m me semble encore gérable dans la plupart des situations. Les efforts physiques a déployer sur un plus gros bateau sont vite démesurés quand il faut le retenir si le vent ou le courant s'en mêlent....

13 sept. 2016

Je navigue seul aussi sur un 37ft des années 80 sans propulseur d'étrave.
Au large même avec des prises de ris classiques tout va bien avec une bonne anticipation et un bon pilote.
Comme beaucoup c'est lors des manoeuvres de port que ça peut parfois se compliquer. Là encore anticipation, tours "pour voir" et manoeuvre sur un filet de gaz sont la (ma) règle.
C'est vrai que souvent quelqu'un attrape une amarre, surtout que je n'hésite pas à prévenir que je suis seul à bord. Souvent mais pas tout le temps...

13 sept. 2016

Bonjour. Naviguant toujours seul, je place la barre à 8 m plus ou moins quelques centimètres. C'est pour moi la bonne taille et pas de problèmes particuliers dans les ports, il est vrai que je les évitent préférant les mouillages(c'est bien moins cher). Sinon, amarres parbats à poste avant que de rentrer et pour les mouillages, ancre préparée prête à filer une fois l'endroit choisi.
.
A l'intérieur, il y a tout ce qui est utile le plus souvent à portée de main.

13 sept. 2016

pourquoi reorganisation du programme??
sinon pour la question j'ai rien a dire , ca marche a deux ca marche a un, surtout sur ton boat qui n'est pas si grand...comme je l'ai toujours dit je ne vois pas de difference selon la taille du boat jusqu'a 15m ( au dessus pas d'experience)..j'ai toujours trouvé que les equipiers etaient source d'ennuis de casse de depenses et de fatigue= les equipiers autonomes ca existe ?? ( sauf pour me permettre de dormir le nuit en traversée),,y'a bien les manoeuvres de port mais la on peut trouver de l'aide

13 sept. 201616 juin 2020

Petite balade autour du monde d'Aron meder sur Carina un 6m acheté 3 sous, et apparemment, il semblait assez satisfait !

13 sept. 2016

31 pieds me convient très bien, sur plus grand je ne me sentirais pas en sécurité, peur d'être dépassé physiquement en cas de gros temps.

13 sept. 201613 sept. 2016

Ça dépend du programme, mais surtout de l'ergonomie du bateau: manoeuvres regroupées, barre franche à stick (la barre à roue coincé le barreur loin des manoeuvres) bloqueurs de drisses au mât et un super pilote). LEs bateaux du SORC et de la Transquadra sont exemplaires.

Si c'est de la croisière tranquille, on peut monter jusqu'á 11-12 mètres mais en régate, sous spi, au port ou dans le gros temps je préfère de 30 à 32 pieds.
Ça s'arrête au pied, les surfaces de voile sont gérables, on ammarre sans courir d'un bout à l'autre et les frais sont moindres.

De fait je réfléchis à un "downgrade" de l'A35 qui devient trop physique pour un bateaux entre 28 et 32 pieds.

13 sept. 2016

Sur le mien, toutes les drisses, bosses de ris etc sont ramenées au cokpit. Très pratique pour hisser,affaler ou prendre un ris.

14 sept. 2016

ca depend combien y'a de ficelles , pour moi ca en ferait au moins 20( sans les bras de spi): ca me parait beaucoup pour maintenir tout ca en ordre...deja avec 12 faut etre ordonné

13 sept. 2016

Bonsoir,
prendre comme exemple "Club Med" ou "Pierre Premier" est un non-sens, car ils étaient bien incapable de les manœuvrer seul dans un port!
Je ne comprend pas bien de naviguer en solo et d' être obliger de compter sur les autres à l' approche d' un port.
J' aimerais bien voire quelqu'un manœuvrant un 14-15m en solo dans un port et obligé de débordé quand çà tourne mal (et çà arrive)!!!
Tant que tout va bien , il n' y a aucun problème, mais lorsque quelque chose cloche, un solitaire arrivera tant bien que mal à rattraper le coup sur un bateau pas trop lourd (<10m) mais pas sur un "gros".
Pour moi, naviguer en solo veut dire être autonome.
J' ai descendu mon Brise de mer 31 en solo sans moteur de Guernesey jusqu' en Bretagne sud, sans problème mais je ne me serais pas vu le faire sur un plus de 10m.
En tout cas, quelque soit la taille du bateau, il faut impérativement qu' il soit TRES évolutif au moteur dans les ports, et surtout en marche arrière.
Gorlann

13 sept. 2016

S'il est acquis qu'on passe bien plus de temps à terre qu'à naviguer, lorsqu'on navigue on passe bien plus de temps au large qu'en manoeuvre de port. Le voilier parfait n'existe pas encore.
Au par avant (quand j'étais petit), passer une nuit, ou des heures à la cape "au large" à attendre de meilleurs conditions pour rentrer au port était la norme ou du moins était considéré comme normal et sage.
En mer, une avarie est toujours possible quelle que soit la taille du-dit bateau et dans une grosse mer, je préfère plus grand que plus petit. Chacun ses goûts...
A mon sens choisir un voilier pour sa manoeuvrabilité au moteur reviendrait à et/ou choisir sa voiture pour sa facilité à se garer ou à contrôler sa trajectoire sur glace vive.
Compromis obligatoire et... chacun le sien :)

13 sept. 2016

le nonsuch 30 a été dessiné par marc élis
pour un ami manchot qui voulait pouvoir naviguer seul avec une seule main/
donc parfait en solo
alain

13 sept. 2016

Bonsoir
Je (fille :)) dois faire dans 1.56m/48 kg et je me régale depuis un an sur un First 35. La plus grosse nav a été St Martin-Martinique avec une petite escale a St Kits et Nevis. Aucun souci en mer même si je râle souvent contre le pilote ST 4000 + qui a vraiment du mal à gérer parfois.. heureusement il y a le régulateur d'allure en plus.
Il faut en effet moins toiler qu'en équipage et tout anticiper comme cela a déja été dit.
Pour les manoeuvres de port je n'ai vraiment pas confiance en moi donc je demande a quelqu'un d'être sur le ponton au départ et à l'arrivée, si possible sans aider.
Je trouve la taille vraiment parfaite, aucun souci pour les manoeuvres même avec toute la toile. Et plus petite je ne me sentirais pas en securité dans la grosse mer avec plus de 35-40 nds.

14 sept. 2016

Les manoeuvres au port c'est le barreur qui fait tout y a pas besoin d'un équipage ; je navigue parfois en solo sur un 38 pieds 8.5 t et c'est pas mon épouse avec ses 55 kg qui va déborder si je me suis planté.
Je pense que les risques sont plutôt ailleurs; gestion de la veille manoeuvres a l'avant, relevage d'un mouillage par vent fort prise de coffre idem etc...

14 sept. 2016

J'aime bien la nav en solo même si la compagnie me réjouit. Avec mon vieux 35 pieds nous avons couvert ainsi une partie de la Méditerranée et du Pacifique. En Med c'est plus compliqué à cause du trafic la nuit et des mouillages aussi étroits que les marinas (où curieusement on a moins envie d 'aller ...). J'ai un moteur très puissant (59 CV), une grand voile à enrouleur tout comme la trinquette et le génois. Une commande du guindeau à distance avec une chaine qui rentre sous la couchette AV et non dans une baille à mouillage, donc je ne sors guère du cockpit pour manoeuvrer. La taille du bateau me parait idéale et c'est surtout son poids qui me rassure: j'en joue beaucoup pour les manoeuvres débrayant le moteur pour arriver en douceur au quai. Seul inconvénient: la lenteur. J'ai ainsi pu profiter pleinement de la nav en solo pendant 23 jours entre Tahiti et Fidji. Mais le héros qui vous cause s'y est quand même repris à quatre fois le week-end dernier pour prendre un coffre, comme quoi il faut toujours rester vigilant.

14 sept. 2016

J'ai une amie femme (1,65 pour 52 kg, très féminine) ET navigatrice qui vit sur un 14m depuis 8 ans. Elle est actuellement aux Tuamotu.
What else ?

14 sept. 2016

Allez on va dire que c'est pas la taille qui compte, mais comment on s'en sert. Euhhhh! j'ai déjà entendu ça quelque part!...
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14 sept. 2016

ce n'est pas les grandes oreilles qui entendent le mieux
alain

14 sept. 2016

il faut tenir compte de l'etat fonctionel des manoeuvres ...si tout est fluide que les winchs sont bien placés et bien dimentionnés, que le grement de gros temps est eprouvé , que le bateau est equilibré a toutes les allures, que le pilote ou regul fonctionnent, la taille est secondaire.
sur certains bateaux de serie que j'ai vu les winch d'ecoute etait tres incommonde et trop faible , ou/et il n'y avait pas de winch de manoeuvre.
Bref cette discussion permanente sur la taille est surrealiste, car je crois que ceux qui disent que 10 m est un maxi n'ont jamais manoeuvré plus gros en solo donc comment juger...la seul vrai limite c'est le porte monnaie
dans les ports il y a un vrai probleme c'est qu'il fait forcement courir d'un bout a l'autre, mais par exemple avec une telecommande de guindeau on peut mouiller cul a quai seul si tout est correctement pensé ( je l'ai meme fait sans telecommande mais par vent faible)....pour ces memes ports il faut connaitre parfaitement le comportement de son boat au moteur..ne pas oublier de preparer l'ancre et un petit voile d'avant auto vireuse etc...tout ca ne depend pas de la taille c'est juste que l'erreur ne se rattrape pas avec un bateau de plus de 6-8t.
il y a bien longtemps que je ne deborde plus mon bateau a la main..pas envie d'etre manchot

14 sept. 2016

Donc quand une manœuvre de port "foire" et qu' il faudrait déborder, tu ne le fais pas.
J' en conclu que la collision avec les autres bateaux est inévitable et que comme ton bateau est plus solide, le problème est pour les autres, ai-je bon???
Vois-tu, tu parles souvent d' autonomie en nav, mais pour moi, c' est de se tirer SEUL de n' importe quelle situation, y compris d' être capable quand çà va pas de ne pas esquinter les autres, et je ne me sent pas capable de le faire avec un canote de plus de 6t.
Gorlann

14 sept. 2016

Domde, tu dois avoir les bras sacrément longs pour à la fois être à la barre d' un 15m et en même temps insérer une défense à 10m de là pour empêcher de toucher un autre bateau.
Peux-tu m' expliquer comment tu fais?
Je navigue pas mal en solo et j' ai pas encore trouvé!
Gorlann

17 sept. 2016

Bonjour,
Domde, tes explications confirment ce que je pensais, à savoir que naviguer en solo sur un 15m nécessite parfois de demander une aide extérieure.
Bonjour la liberté, je préfère me contenter de mon 31 pieds avec lequel je me démerde tout le temps tout seul, sans guindeau électrique, propulseur d' étrave etc... etc...!!!
Gorlann

14 sept. 2016

J'ai deja manoeuvre des bateaux de plus de 15 m la seule maniere permise d'intervenir des equipiers est d'utiliser une grosse defense pour rattraper une betise; deborder avec les mains 12 tonnes !!!

17 sept. 2016

Je parlai des équipiers, déborder un bateau d'une douzaine de tonnes a moins d'être Rambo et encore je vois pas, en solo si le bateau est coincé quelque part on peut quand même intercaler un défense volante pour limiter les dégâts et demander de l'aide. Ensuite sur un 15 m y a un propulseur d'étrave ça vaut bien un équipier et ça permet de rattraper une manœuvre mal engagée.

En solo faut essayer de minimiser les risques, si c'est compliqué on demande de l'aide à la capitainerie, si le vent est mal orienté par rapport à la place attribuée on en demande une autre, si venir cul au quai c'est risqué par rapport au vent dans la panne ben on rentre en marche avant et on met plus de défenses qu'en équipage, cela m'est arrivé de prendre ou quitter une place cul au quai par un gros coup de vent sur le port, faut manœuvrer en augmentant la vitesse pour conserver le contrôle de la trajectoire, là si on se rate c'est l'accident. Un fois je le sentais pas, j'ai demandé au port l'aide de quelqu'un sur le bateau et tout s'est bien passé.

17 sept. 2016

J'ai navigue sur beaucoup de voiliers differents jusqu'à des 50 pieds mais pas seul; j'ai un 38 pieds depuis 12 ans sans propulseur et je me demerde pour les manoeuvres de port en solo quand ma squipette n'est pas a bord. Je me suis déjà raté sans consequences graves sauf pour mon ego mais jamais en solo comme quoi..

14 sept. 2016

je pense que 10mt est un maxi car le problème ce sont les arrivées et sorties des ports encombrés par vent de travers .je navigue sur un gladiateur en solitaire depuis de nb années ,le plus important avoir un bateau pas trop haut de franc bord car à un moment il va falloir sauter sur le ponton
Équiper l'avant du voilier d'un pare-battage pour bloquer le boat en mche avant barre à contre sur le ponton cà mche tres bien çà donne le tps de frapper ses amarres quand on est seul .
un voilier équiper d'un sail drive sera un plus car il recule droit en mche AR.
je hisse ma gv en principe dans l'avant port pas de houle et mieux abrité en principe .
un bon moteur est un +avec 2 pilotes elect pour les nav hauturières.réduire la nuit est un plus l;anticipation et le sens marin est indispensable .

14 sept. 2016

Bon pilote et télécommande associée très efficace + télécommande de guindeau quand il faut mouiller et culer à quai. Reculer droit c'est pas un avantage tous les bateaux reculent droit une fois lancés avec suffisamment de vitesse; l'effet du pas d'hélice en marche arrière bien utilisé permet de se passer d'un propulseur d'étrave et de reculer et de virer dans un mouchoir de poche.

14 sept. 2016

Çà dépend de l 'age du capitaine , de la taille de ses muscles et surtout de la souplesses que lui laisse l 'arthrose débutante ou avancée . Compter avec le temps , sachant bien que le mec est strictement biodégradable , donc que ça va se dégrader forcement.

14 sept. 2016

Ben faut voir ce qu'on sait faire quand la mécanique déconne dans un coin pas terrible genre mouillage.
Et le budget que l'on peut consacrer a l'achat et l'entretien .
Parce que quand tout va bien même le pilote auto .....
Fainéant comme pas deux un six mètres quasiment d'usine m'a emmené en Polynésie.
Sans moteur ni électricité .

14 sept. 2016

Bonjour à tous,
pour naviguer souvent seul, je m'étonne que personne n'ait cité un accessoire indispensable: le winch self tailing!
En ce qui me concerne, je ne pourrais pas naviguer sans, mais je suis un être faible, c'est peut-être pour ça...

14 sept. 2016

parce que beaucoup de bateaux en sont équipés et du coup ça n'est plus un "aménagement nécessaire" mais déjà acquis ? surtout si on cherche la taille maxi gérable en solo, on arrive vite sur des bateaux pas trop petits, qui sont d'autant plus susceptibles d'être équipés de ce genre de winchs ;)

17 sept. 2016

Merci, grace a toi je viens de découvrir qu'il existait des winches non "self tailing", je croyais qu'ils étaient tous comme ca :o)

14 sept. 2016

Bonjour,
Je navigue souvent seul en solo.
Au large, beaucoup moins de problèmes. Je viens de faire une demi transat en solo, la deuxième moitié à 2 . La difficulté est quand même dans la taille, suffisante pour un confort minimum dans le baston, mais pas trop pour pouvoir manoeuvrer manuellement ( en premier lieu les reductions de voilure). (Manuellement, car une aide électrique peut tomber en rideau. Les dispositifs, le plus basique possible , pour effectuer les manoeuvres sans s'aventurer sur le pont sont à mon avis un vrai plus. )

Le mouillage n'est à priori pas un problème, avec un bon guindeau. Il est facile de poser un bouton montée/ descente au cockpit, pour amorcer la descente de l'ancre . Je finis tranquillement à l'avant, une fois arrêté.

La vraie difficulté est au port, sans parler des créneaux en marina. L'entrainement au moteur, comme dit ci dessus , est indispensable.
Anticipation des manoeuvres, comme dit aussi au dessus, mais c'est vrai pour tout. Et limitation de la taille.

Pour ma part, lors de ma recherche du bateau, j'avais mis le critère de la manoeuvrabilité en solo dans le programme. Impliquant, pour ce qui me concerne , un déplacement relativement limité, correspondant à 12 metres.

Après, 5 ans, je ne crois pas avoir fait une erreur. Je constate d'ailleurs en voyage , que cette taille à quelques dizaines de cm en plus ou en moins, parait convenir à l'immense majorité des voyageurs , confrontés à la navigation solo.

F.

14 sept. 2016

Tu as ramassé un naufragé en cours de route pour faire l'autre moitié de la transat à 2 ? :whaou:

15 sept. 2016

Paco,
Et donc par ton expérience c'est l'Ovni 39 , le bon compromis pour la nav solo tdm ? Un 33 pieds aurait été trop light dans le mauvais temps ?

14 sept. 2016

Bonsoir,
un petit truc dont personne n' a parlé et qui facilite bien les amarrages en solo:
installer des taquets (ou au moins des chaumards) au maître-baud.
Lorsque le vent (ou le courant) est à peu près dans l' axe d' un quai ou ponton, une seule aussière frappée au maître-baud suffit à maintenir le bateau parallèle, et on a ensuite tout le temps de finir l' amarrage.
Gorlann

14 sept. 2016

tout à fait d'accord, je suis même étonné que tous les voiliers n'en soit pas équipé

14 sept. 2016

D'accord avec beaucoup d'avis ci-dessus. Oui les manœuvres de port sont le point le plus délicat. Une amarre en va et vient entre le taquet de maitre-baud et le taquet avant est très pratique pour contrôler aussi bien le départ que l'arrivée, et permet de calmer le bateau accroché au catway.
Pour les aussières et les défenses, quand ça bouge trop dehors, bateau en marche arrière au ralenti ou juste un peu plus (fonction de la force du vent) plein vent arrière et barre bloqué dans l'axe, on arrive à rester quasiment immobile dans l'avant port, le bateau restant comme une girouette dans cette position. Ça permet de tout installer ou de tout ranger, sans se faire secouer. Bien sûr uniquement dans un port calme comme Port Médoc en hiver, pas dans le chenal du Crouesty en été...

14 sept. 2016

Bonsoir. Bien d'accord avec vous mais, tous les catways ne sont pas équipés de taquets en leur milieu et du coup, les vôtres ne servent pas à grand chose(je m'en suis fait deux). ;-)

14 sept. 2016

Oui tout-à-fait, plus haut je parlais d'avoir des traversières parées, l'une d'entres elles étant au maître-bau. C'est une amarre "magique" qui associée à deux gros pare-bats ( poupe et proue) rend l'amarrage nettement plus relax...

09 juil. 2020

taquet et chaumard d'embelle
alain

09 juil. 2020

Un bout sur la cadène de hauban fait office.
Je l'ai systématiquement désormais.

14 sept. 2016

et pour quitter le ponton ou le quai, départ sur garde,
je suis étonné du peu de gens capables d'effectuer cette manoeuvre ...

14 sept. 201614 sept. 2016

Je ne navigue qu'en solo sur un 31,7. J'ai tout ramené au cockpit et installé 3 prises de ris automatiques ainsi que les réglages avant et arrière du chariot de génois. J'ai aussi installé un système sur la barre franche pour la stabiliser quelques secondes, système beaucoup plus souple et rapide que de mettre et enlever le pilote automatique. Dans les marinas, j'ai au contraire tendance a anticiper en mettant tous les pares bats et amarres du même coté, bien avant la rentrée au port. Je ne gère pas deux cotés, trop fastidueux en solo à mon gout. Selon, je rentre ensuite en marche avant ou en arrière.
Pour les instruments, je navigue à la carte marine + GPS que j'ai sorti au cockpit et acheté une VHF ASN portable, très pratique.
J'ai aussi sécurisé l'électricité donc le pilote indispensable en solo par une seconde batterie de service et un panneau solaire 100 W.
9m80...très bien en solo et en double. Au dela....peut etre un peu juste

15 sept. 2016

Tu peux nous passer une photo du système pour la barre franche stp ?

15 sept. 2016

Je te fais une photo ce WE....

14 sept. 2016

Bonsoir,
je trouve que tout préparer à l' avance est bien quand on connaît déjà le port et l' emplacement que l' on va prendre.
Perso, je ne règle pas la hauteur de mes défenses de la même façon si je me mets à couple d' un 7m ou d' un 12m!.
Lorsque je ne connaît pas le port, je préfère faire un tour de reconnaissance, repérer la place que je vais prendre, tester éventuellement la force et direction du courant et ensuite revenir dans l' avant port ou entre deux pannes selon les circonstances pour mettre à poste les défenses et aussières.
Gorlann

14 sept. 2016

perso sur mon bateau (37'), j'ai volontairement tout laissé au mât, drisse GV, 3 ris, etc. sauf le hale-bas et la drisse génois (enrouleur).
Je préfère. je me sens mieux là pour les prises de ris, surtout grâce à la télécommande pilote qui permet d'ajuster un angle au vent à la demande. - Moins de force nécessaire pour hisser, étarquer, etc. Sur place en cas de problème

Pour les manoeuvres de port, j'ai aussi depuis longtemps adopté le taquet au maître bau. Génial pour immobiliser le bateau los les prises de ponton en solitaire. Même sur les cat-way sans taquet au centre. L'immobiliser avant d'ensuite prendre son temps pour amarer proprement.

14 sept. 2016

l'accastillage et l'équipement sont plus essentiels que la taille du bateau pour définir des limites.

Ce qu'il faut acheter : une ligne de vie, un très bon pilote auto, un GPS carton, AIS un thermos... radar si possible.

Je mène sans (encore) de pb mon les 10 tonnes de mon 36', mais c'est un ketch, avec GSE.

par contre parfois un peu tendu dans les manoeuvres de port

14 sept. 2016

Un petit bouquin à lire : "naviguer en solitaire ou en équipage réduit" de Gilles Barbanson, éditions Amphora
En particulier tout un chapitre sur les manœuvres de port, et une bonne base de réflexion.

15 sept. 2016

J'y vais de mon expérience, toujours en solo, bateau d'une dizaine de mètres, génois enrouleur, trinquette à poste, grand voile à bôme enrouleur, gros pare-battage boule, préparation avant d'entrer identique sur chaque bord, bout de 8 assez long à l'avant et à l'arrière, télécommande pilote et guideau et une bonne capote en dure (maintenant) pour me reposer.
Et QUEL BONHEUR
Gilles

15 sept. 2016

Il n'y a plus grand chose qui demande des efforts sur les voiliers modernes, à part la manutention des voiles.
il y a 3 choses qui me travaillent lorsque je suis seul sur mon 5t;
-gérer un spi en cocotier (je n'ai pas de chaussette)
-débloquer une poulie de Gv en tête de mat
-manœuvres dans un port encombré avec un bord défavorable ou du vent contraire au quai.

Pour le reste, avec du matériel, de l'expérience et du recul, c'est gérable à un rythme croisière.

16 sept. 2016

Pour le vent travers au quai je frappe l'ammarre très en arrière (c'est pratique car c'est pas loin du cockpit et je met en avant avec la barre vers l'extérieur pour garder le cul contre le quai.
Ca marche jusqu'à une certaine force de vent... c'est un peu comme l'amarre au maitre baud mais tu n'as pas de mou à récupérer.

15 sept. 2016

Ah j'ai oublié, genaker sur emmagasineur, spi symétrique avec chaussette

15 sept. 2016

Merci a vous tous pour vos precieuses contributions. Cela va me permettre plus sereinement d aborder la suite tout en sachant qu aucun choix meme celui d un voilier n est jamais definitif mais evolutif. Vos contributions et reflexions me touchent énormément infiniement merci d avoir pris le temps de me repondre et d argumenter vos differents points de vue

15 sept. 201615 sept. 2016

.
Pour les manoeuvres dans un port que je ne connais pas, en plus des amarres classiques que je peux lancer à une éventuelle main charitable, j'ai toujours à poste - de chaque côté - une amarre qui part de la proue à la poupe, plus longue que le bateau.
Si je suis seul, je saute sur le catway avec cette amarre et, quelque soit la position de la bitte sur le catway, (au début, au milieu ou à la fin), je peux frapper mon amarre.
Bien sur, comme déjà dit, une cravate au maître-bau est aussi très pratique et utile.

15 sept. 2016

Ça fait 2 gardes vite passées. je rajoute sur cette aussière un bout de 3 ou 4 mètres coulissant dessus. Si je lâche une extrémité du bateau, il me reste une garde volante ou quelque chose de plus efficace qu'une gaffe pour tirer.

15 sept. 2016

beaucoup de remarques (à juste titre) sur les manoeuvres de port.

Le (seul) reproche que je fais à mon bateau c'est de ne pas faciliter les déplacements.

Autant un cockpit central bien protégé est rassurant en mer, autant c'est pas le top à l'accostage quand faut courrir d'un bout à l'autre (ça m'arrive).

Je dirais donc pour les manoeuvres solo, de bons passavants dégagés balcon de mat bien sur et jupe

je n'ai pas de chaumard au maître bau donc je mets une cravate directement sur le winch de génois ( c'est mieux qu'un noeud papillon )

16 sept. 2016

Bonjour à tous,
Je suis passé d'un trident 80 à un first 42 quasi exclusivement solo et je peux attester que la taille n'a rien à voir. Le 42 est incomparablement plus facile en solo. Plus de stabilité, des passavents larges et très dégagés, plus de poids et d'inertie en manoeuvre au port et une marche arrière moins cahotique.
Bien sur, les manoeuvres ramenées au cockpit, les ris automatiques si possible, un bon pilote, une télécommande de guindeau et une anticipation permanente et surtout une bonne organisation sont nécessaires. Et bien sur, harnais et longe sur cadène dans le cockpit et lignes de vie.
Bonnes navs solo
Polo

16 sept. 2016

Je confirme polo le matelot :)
Mes passes-avant larges et dégagés (First 375), la stabilité de route et l'inertie du déplacement sont de vrais facteurs de sécurité en solo, ce qui est mon cas à 95%
Fanche

16 sept. 2016

bonjour; perso à plus de 70 printemps je navigue toujours en solo(bateau 14m et 14 tonnes deriveur integral sans propulseur) aucun probleme particulier! au large =plus d'espaçe et de confort sur le pont pour les maneuvres, on est moins secouè en tout sens et on tient la toile plus longtemps, l'affalage est un peu physique c'est vrai , pour border il faut surdimensionner les winchs(bien trop leger sur les bateaux de series) pour le port appeler la capitainerie et demander un coup de main pour l'accostage et surtout avoir de tres grosses defenses et des amarres pretes! la plus importante etant celle du milieu du bateau pour l'accostage pârallele au ponton une fois qu'elle est saisie on ne part plus en travers, pour partir avec un vent poussant sur le ponton= traversieres et marche au moteur inversèe pour decoler soit la poupe soit la proue,avoir un gros moteur et une heliçe de traction façilite bien les choses
pour moi le seul vrai probleme est le risque de voler à l'eau=si vous etes accrochè par votre harnais le long du bateau sous pilote ça devient problematique.... donc vigilançe de tous les instants et aucune manoeuvre dans l'urgençe sans reflexion!
le deuxieme souçis c'est de gerer le someil et la veille mais en vieillissant on dort moins
le reste c'est d'antiçiper et de ne pas se mettre dans des situations impossibles! comme me disait un vieux copain solo pris dans un terrible coup de chien dans le golf du lion(le voilier tres solide 13m13tonnes) tout le monde le croyait mort! quand j'ai vu que je ne pouvais plus faire grand chose j'ai tout fermè j'ai pris un cachet et j'ai ete dormir, le bateau s'est tres bien debrouillè tout seul!apres les pires tempetes la plupart du temps on retrouve les voiliers en derive,mais pas toujours leurs occupants!si ily a de l'eau à courir c'est souvent mieux de s'enfermer que de faire le zebre sur le pont

16 sept. 201616 sept. 2016

cptainwat je n'en ai "que" 63... mais je suis du même moule (lol). Quand j'ai de l'eau à courir, je me mets à la cape et m'enferme dedans... Tout d'un coup, tout est calme... Un ti café, une clope et un peu de repos ;)

16 sept. 2016

suite; par mauvais temps de nuit, dans des endroits( baies ou ports) que l'on connait mal si l'on est sur les rotules ne pas hesiter à demander un pilote !vous paierez sans doute un salaire au pilote mais c'est mieux que de perdre votre bateau ou votre peau! aucun pilote ne vous refusera son aide ,le plus souvent vous le suivrez jusquà l'accostage

16 sept. 2016

Bonjour,
Moins de 8m ça manque de confort pour y vivre. Pas de vrai frigo, pas de four, parfois pas de hauteur intérieure.
Plus de 10m, veut dire budget plus mportant et manœuvres de Port parfois difficiles en solo je dis EN SOLO donc sans aide extérieure.
Entre 8 et 20m donc on a le confort au Port, ça peut aller en mer agitée et les manoeuvres de Port toujours réalistes avec un minimum de préparation du bateau.
Taquet au maître beau pour accoster mode cravate
Bonne protection a l'avant, même si certains se moquent du pare-buffle.
Bonne hélice pour pouvoir reculer rapidement si ça foire...
Un pilote bien sur. Et pourquoi pas un bloqueur de barre si problème avec le pilote.

Donc un bateau style First 31.7. Ou Sun ODYSSEY. Et autre 31/32 pieds.

J'ai vu un bonhomme de Plus de 70 ans sur on POGO 10,50 neuf et bien équipé manoeuvrer finement et sans problème, mais il m'a avoué qu'il y a 70ans qu'il fais de la voile....

17 sept. 2016

First 31.7 ou sun odyssey , c'est pas vraiement mes références mais je confirme ton choix : entre 8 et 10m (tu as écrit 20 ca doit etre une coquille??)

Cela dit tu te contredit car tu conseillais un CNB76 ici
www.hisse-et-oh.com[...]ucteurs
:heu: ;-)

17 sept. 2016

Pour les supers capitaines, je leur propose de rentrer au Port des Saintes Marie de la Mer, un jour de grand vent, aux heures de fermeture de la capitainerie,. Sur un voilier de plus de 10m...
Et il y a plein d'autres ports similaires.

17 sept. 201617 sept. 2016

Ben oui Levoileuxdoperette, tu as sûrement raison...
Mais tu vois, quand je ne sens pas une entrée de port, ben je n'y rentre pas.
cet été en panne de moteur, donc devant manoeuvrer à la voile, je me suis "dérouté" (un grand mot en côtière lol) pour rentrer dans un port que j'avais vu plus propice, et à 22h donc avec personne sur le canal 9 ;).

On ne fait pas exactement les mêmes choses qu'en équipage. Comme bien sûr , avec mon 1.95m de tirant d'eau, je ne me risque pas à aller Beacher pour le piquie-nique ;)
Franche

19 sept. 2016

meme 18miles

17 sept. 2016

tu as raison en principe mais dans le cas cité le premier port est à 15 miles

17 sept. 2016

tu te mets avant les pompes !!!!

17 sept. 201617 sept. 2016

LeVoileuxdoperette

on ne fait pas atterrir un 747 avec 100 Kns de vent latéral sur un aérodrome de banlieue parisienne.....

il y a aussi des petites ria bretonnes dans lesquelles avec plus d'1 mètre de tirant d'eau on ne passe vraiment... et avec les marées faut en plus bequiller :-(

Jamais vu de tanker de 300 m remonter l'aven....

jamais entendu parler de Geronimo passant la nuit au palais

comme dit plus bas on va ou on peut avec le bateau qu'on a et avec les conditions météo qu'on à...

que dire des ports qui interdisent l'entrée et la sortie en fonction des conditions météos
il faut les rayer de la carte?

Alors vive les super capitaines qui ne rentrerons jamais aux saintes marie... un jour de grand vent aux heures de fermeture de la capitainerie.... avec un bateau de plus de 10 m!

A mon tres humble avis, ce sont des vrais marins raisonnables qui ne jouent jamais a 'casse-bateaux'

et puis vraiment, si j'avais un bateau de 15m ca ne serait pas pour rentrer tous les soir au saintes Marie.... mais plutôt un mouillage Aux saintes (tout court).. a chacun ses gouts et ses envies non?

La question est.. la madame d'en haut elle veut faire quoi avec son bateau?

Parce le choix de la zone et du type de navigation est déterminante pour la taille non?

en tout cas plus que les condition d'accès aux saintes maries

17 sept. 201617 sept. 2016

Il me semble qu'il faut prendre en considération Murphy .

Alors , cela devient plus difficile de remonter son ancre de 30 tonnes , son génois de 1000 m2 , sa GV de 700 m2 .

Pas contre avec une ancre de 400 gr , un genois de 2m2 ,une GV de 1m2 cela est nettement moins fatiguant .

"A Con promis, chose due" :acheval:

17 sept. 2016

J'observe un consensus moyen autour d'une taille de 35 pieds. Plus grand ça va devenir chaud en manoeuvre de port et plus petit on manque d'espace vital. Comme ça a été dit un bateau stable est nettement plus sécure. Genre gibier 105. Avec son safran fixé sur un aileron de quille il tient le cap tout seul pendant les prises de risque. Par contre il a un grand triangle d'avant, conception ancienne obligé. Dur à border. La sortie du Golfe du Morbihan est assez rude.

Et pour dormir en solo ne pas oublier l'alarme Ais. Le radar consomme trop pour être largement employé.

17 sept. 2016

Bonjour Gonio-Coque,
la stabilité de route d' un bateau n' a rien à voire avec sa longueur, mais avec sa conception. Un petit exemple, sur un Armagnac 1ère version (8m05 et safran sur le tableau sans aileron),si tu lâches la barre 5 secondes, le bateau part "en vrac", alors qu' avec la deuxième version(8m55 et safran suspendu avec aileron) tu peux te permettre de lâcher la barre un bon moment même au portant avec de la mer.
D' autre part, combien de temps dors-tu en comptant sur l' alarme de l' AIS, alors que de nombreux bateaux ne sont pas équipés d' émetteur?
Pour moi, l' AIS sera fiable uniquement lorsque TOUS les bateaux auront un émetteur en marche en permanence, et c' est pas demain la veille!
Gorlann

17 sept. 2016

bonjour à tous : il ne faut pas se faire un monde sur la taille d'un bateau à manoeuvrer en solo ni etre" un grand capitaine" comme mentionnè plus haut pour rentrer dans un port avec un peu de brise !tout est question d'habitude, d'antiçipation et de connaissançe de son materiel!on est plus à l'aise en rentrant son14/15m avec qui on navigue depuis 25 ans que de rentrer un 35 pieds avec qui on fait connaissançe! perso quand je rentrais mon muscadet dans un port en solo je me disais ça doit etre une histoire de rentrer un arpege ou un romanèe puis je me suis fait la meme reflexion pour un 15 m! en fait ce n'est pas un exploit loin de la avec un peu d'habitude, d'autre part c'est souvent moins problematique avec un bateau lourd qu'avec une" meule de foind" qui se balade en tout sens à la moindre risèe ! on arrive douçement bouts et defenses à poste, on reste dans la partie large du port, on regarde surtout d'ou vient le vent, on fait un premier tour et s'il n'y a pas une bonne ame(ce qui est rare) pour vous attraper on choisi une extremitè de ponton et on amarre vite fait serrè le milieu du bateau à une bite d'amarrage! apres on est tranquille pour faire le reste, si il y a de la brise avec les winchs et la poupèe du guindeau c'est mieux que de tirer comme un malade sur les amarres pour se peter une durite..... dans les ports avec jetèes(fecamps, port joinville, zumaia, nieuport etc) dans la brise je laisse toujours la grand voile jusque dans l'avant port puis je me met façe au vent avec un minimum de vitesse au moteur et sous pilote et j'affale ! en solo contrairementà la navigation en equipage c'est fou se que l'on fait comme connaissançes

17 sept. 2016

Gorlann, je pense que Gonio-coque par stabilité voulait dire "bouge moins dans une mer formée".
Ayant niavigué longtemps et loin sur un 7.70m et aujourdhui sur un 11.30m je t'assure qu'il n'y a pas photo quand on se ballade sur les passes-avant.
AIS, Radar en veille, Mer-veille... rien ne vaut le tour d'horizon aux jumelles, tout le monde le sait. Ce sont juste des "plus" qui permettent justement de s'absenter du pont pour un temps donné.

17 sept. 2016

Bonjour,

Pour moi, c'est clair, au large , je dors .( Plus de 100 milles de la côte , donc ça quasi exclue la mediterranée, là on ne peut pas dormir d'une traite.)
Plus on se rapproche, moins, c'est possible. Donc, sommeil par tranches, ça se fait bien et c'est relativement réparateur en conditions croisière ou convoyage.
Au large,et hors croisement de grandes routes de cargos, je dors avec l'alarme AIS et un mer-veille, le radar en stand by (consomme trop) + mon feu de mât.

La stabiité de route est évidemment importante, et s'il n'y avait qu'un équipement à emporter pour le solitaire , ce serait un bon pilote, avec si possible, des redondances. ( savoir réparer, pièces essentielles, dans mon cas, 1 commande extérieure et 1 intérieure).

Maintenant, perso, je ne trouve pas le solo prolongé passionnant, mais des fois, je n'ai plus eu d'équipage me convenant.

F.

17 sept. 2016

Tu affales sous pilote, CaptainWat ?
Tu peux m'expliquer un peu, stp ?

17 sept. 2016

Gorrlan j'ai du mal m'exprimer. Bien sûr que la stabilité du bateau dépends énormément de sa conception. Simplement j'insiste sur ce point. Sur mon canot, les prises de risque sont en pied de mat, mais grâce à sa stabilité je peux sans souci prendre mon temps pour gérer barre simplement amarrée. Le vrai luxe c'est la stabilité pas l'accastillage.

Je rappelle que la question est posée au départ par une petite nana. Se pose aussi la question de la gestion des voiles. Pour parler de ce que je connais, si on compare un RM 900 à un Gibier 105, da's le premier cas on doit fréquemment changer de voile d'avant dans le second on doit border 40m carrés dans la brise. Faut choisir.

Pour ce qui est de l'ais, tous les navires astreints l'activent dans le Golfe de Gascogne, la Manche et le proche Atlantique. Donc en dehors des zones de pêche côtière c'est relativement sécure. Actuellement je suis dans la Baltique. Aucun des innombrables ferries n'y activement transpondeur.

19 sept. 2016

ton Gibier, il est dans le port de potence ?... :litjournal:

17 sept. 2016

Dans son traité de manoeuvre, Eric Tabarly considère qu'il est illusoire de manoeuvrer ses un canot de plus de treize mètres. Je sais que l'équipement à depuis fait de gros progrès mais j'en ai fait nettement moins que Tabarly

17 sept. 2016

si on compte aujourd'hui avec les voiles d'avant sur enrouleurs, les prises de ris revenant au cockpit, les propulseurs d'étrave, (de poupe pour les plus gros) des pilotes auto... les gennaker et code 0 sur emmagasineurs, je ne suis pas sur qu'il dise la même chose aujourd'hui... en tout cas pour des bateaux de croisiere... (le vote était une erreur)

17 sept. 2016

eh bien moi j ai navigue en solo sur une goellette de 22 m et 40 tonnes et ca se fait sans gros probleme et meme sur un gros bateau a moteur de 28 m de 70 tonnes
simplement anticipation est le mot maitre
et je navigue a l annee seul sur un bateau moteur de 22m et 30 tonnes
et qui dit gros bateau dit grande place de port et bateau qui est malgres tout moins rapide a faire des betises et on trouve toujours une bonne ame sur le quai pour prendre les amarares

17 sept. 2016

Bonsoir, j' ai rarement vu de bonne âme pour prendre des aussières entre 1 h et 6 h du matin, et ce quel que soit le port.
Hors il m' est arrivé de nombreuses fois d' arriver dans ce créneau horaire, heureusement que je ne comptais pas sur les autres!
Gorlann

19 sept. 2016

eh bien mois je preferes quand je suis seul sur des gros bateaux ne jamais arrive la nuit entre 1 h et 6 h et meme je te dirais la nuit
car seul et peu de visi
il est preferable de passer la nuit dehors
mais si il faut prendre seul un quai c est pas non plus un gros probleme mais quand on peut se faire aider
pourquoi pas car 70 tonnes c est pas 3 tonnes et un petit voilier
je le fais courament
donc je sais bien !!!
et c est pas des paroles en l air !!!

17 sept. 2016

Sauf que sur ce genre de méga-boat y'a des propulseurs d'étrave et/ou de poupe... donc ça tourne sur place ou presque...

Pour un voilier en solo la taill serait (pour moi) autour de 10-12m.
Au delà si t'as une crasse avec une voile ou autre ça devient franchement pénible voir dangeureux.
Niveau aménagement:
- manoeuvres ramenées au cockpit au maximum
- double bras/écoutes pour le spi symétrique
- baille à spi avec fixations dans la descente pour le symétrique (j'aime pas les chaussettes... ça fait du poids et des bout' en plus pour finallement assez peu d'avantages).
- écoutes par l'extérieur pour spi asy
- spi asy sur emmagasineur
- prise de ris semi-auto (poulie avec renvoie au piano pour l'écoute mais mousqueton au point d'amure car les systèmes avec un bout pour les deux points permettent rarement d'avoir une tension correcte de la voile une fois arisée... un peu comme avoir la performance du génois partiellement roulé au niveau de la GV).
- lignes de vie qui vont du cockpit à la pointe avant sans croiser les autres manoeuvres (souvent mal posées ce qui oblige à se décrocher/racrocher)
- pilote performant avec télécommande brassard qu'on a au poignet ou autour du cou
.
ET -> de l'entrainement... que ce soit de l'entrainement physique (pour les manoeuvres, l'affalage et la manutention des voiles en cas de pépin), ou plus technique (réparations de base, navigation, manoeuvres), il est important de répéter de nombreuses fois les actions les plus fréquentes pour que ça devienne des automatismes dans la plupart des conditions...
Ca évite de paniquer quand on sort des conditions connues et ça permet de faire au mieux en fonction de ses capacités physiques et dans le respect du matériel.
.
Bonne nav' !

17 sept. 2016

Je plussoie totalement le Poulpy !

17 sept. 2016

pour b mayer; bonjour comme expliquè =je me met façe au vent vitesse lente,j'embraye le pilote qui me maintient façe au vent en avançant doucement et j'affale ma grand voile qui fassaye entre les lazy, des qu'elle est tombèe sur la bome j'attrape la drisse toujours fixèe à la voile et je la passe dans un crochet de ris et je la souque pour maintenir le point de drisse vers le bas( en cas de probleme moteur je detends la drisse et je peux renvoyer fissa) je met deux grosses garcettes en lasso autour de la voile (pour le beau pliage c'est quand je suis amarrè!) en general je fais toujours cette manoeuvre dans les avants ports ou dans la baie mais parfois si y a de la brise il faut se remuer car il n'y a pas toujours beaucoup de plaçe et si l'on avançe trop lentement au moteur façe au vent on part vite en travers! en effet si il n'y a pas beaucoup d'eau et qu'il faut relever la derive(deriveur integrale) on a rapidement une vrai savonette sur l'eau donc il faut vraiment bien preparer son coup et avoir un moteur puissant avec une grosse heliçe si l'on a pas de propulseur! par vent normale ou calme il n'y a pas de probleme! comme expliquè par un autre intervenant par mauvais temps il faut mieux choisir un port que l'on connait( ex à marèe mi ou basse je ne tenterais pas d'entrer à fecamp mais j'irais au havre ou il y a de la plaçe) en solo il faut toujours antiçiper et avoir des solutions de rechange et surtout ne jamais presumer de ses forçes ou de son talent! comme disait un autre vieux copain solo "faut mieux un couillon vivant qu'un heros mort"

17 sept. 201617 sept. 2016

. Personnellement, je vois beaucoup de couples, souvent âgés, naviguer loin mais tranquillement sur des bateaux de 50 pieds et plus. Ce n'est pas du solo mais bien souvent du solo accompagné (sans malice). Toutes les manœuvres sont ramenées au cockpit dont les drisses, un bon pilote, un propulseur, toutes voiles sur enrouleur, guindeau avec commande dans le cockpit et compteur de chaîne...
. Un sail-drive et la marche arrière devient une formalité.
. Un winch électrique sur lequel vous pouvez renvoyer toutes les commandes et vous roulez 60 m² de génois et 60 m² de GV en moins d'une minute, sans effort. Une amarre d'embelle renvoyée sur le winch électrique permet de faire des merveilles...
. Tout ça pour dire qu'en solo, on peut gérer de gros bateaux bien équipés; on n'est plus à l'époque de Tabarly.

17 sept. 2016

et moi je dirais meme plus
c est beaucoup plus facile de gerer un gros bateau bien equipe qu un petit non equipe
par contre il faut reflechir !!!

17 sept. 2016

tout à fait ok avec capcool! il suffit de voir hors saison(surtout sur avril,mai juin septembre le nombre de vieux anglais sur des bateaux de40/50 pieds en atlantique c'est en effet souvent du solo accompagnè ! ils prennent leur temps et antiçipent les meteos

17 sept. 2016

Moi je navigue depuis toujours en solo...malheureusement certains bateaux sont bien nés pour ce qui est des manoeuvres au port et d'autres non :/

J’'ai toujours gardé en ligne de mire la notion de "simplicité". Je sais qu'une des premières chose qui aide à bord quand on est en solo c'est la discipline et la rigueur...Le train d'avance faut toujours l'avoir. Quand tout ça est acquis c'est tranquille.

Un bateau c'est comme un gant...ça doit être à SA main. Je peux t'inviter à bord pour tout ce qui est de la préparation car mine de rien il y en a

:tesur:

17 sept. 2016

Ah oui. J'ai 34 ans aujourd'hui et je possède un 10.80 à grand tirant d'eau. Tout à bord est "extrêmement bien huilé" j'insiste la dessus car malgré tout il faut parfois fournir de GROS efforts... je pense que la taille joue certes mais je dirais avant tout que l'intelligence de la conception est LE point essentiel. Vous ne ferez jamais d'un âne un cheval de course malheureusement!

17 sept. 2016

C'est ton anniverssaire Ju ?

17 sept. 2016

Hahah...non c'était le 20 mai ;)

17 sept. 2016

Tu sais Julien, bien entendu la taille compte, mais l'essentiel à mon avis bien entendu, c'est surtout de connaitre son bateau sur le bout des doigts, c'est mon cas et franchement, je n'ai jamais eu de problème pour garé mon bébé, même dans un mouchoir de poche !
Au fait, tu pars toujours en 2017 ? peut être se verra on, moi je commence à descendre en juillet prochain...
Pascal :alavotre:

17 sept. 2016

Je prends note Pascal :pouce:
Mais à mon avis tu nous attendra :mdr:

Et fais pas le malin toi tu as deux moteurs hein :langue2:

17 sept. 2016

Tu as entièrement raison, en cata c'est plus simple avec 2 moteurs, surtout quand tu connais ton canot, mais j'ai un pote avec son mono de 11m se gare lui aussi dans un mouchoir de poche, il me bluffe à chaque fois, il est souvent en solo...
A un de ces jours, Pascal :alavotre:

18 sept. 2016

Je ne sais pas si c'est un critère pour lady ?
Mais le coût d'achat et d'entretien est à prendre peut être en compte .

18 sept. 201616 juin 2020

pour Trébor.n ......

19 sept. 2016

Pas mal comme système .

Dis moi , tu peux me semble t'il garder un cap bien plus que quelques secondes avec ce montage ?

19 sept. 201619 sept. 2016

oui, je peux laisser bloquée la barre plus que quelques secondes mais c'est vraiment en fonction des conditions de vents, d'amure..... Ce système est vraiment très pratique car je peux bloquer ou débloquer la barre en 1 seconde sans craindre un virement de bord intempestif.

Quelque part entre Sognefjord et Måløy, Norvège.

Phare du monde

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Quelque part entre Sognefjord et Måløy, Norvège.

2022