SURPRIS DE LA RESISTANCE d'une coque en polyester !!!!!

Je n'avais jamais vu.....
Bonjour, merci pour cette vidéo je ne l'avais jamais vu, je n'ai pas trouvé le fil de ce sujet, dommage car il doit être très intéressant....
Henri

c' est sur
que si tu fais la meme chose avec d' autres chantiers , notemment allemand aussi ;-)
Le meme résultat n' est pas certain....

Ca reste quand meme une vidéo commerciale, c' est costaud ok,
il n' y a pas de fuite à l' étrave visible juste après,d' accord, mais il faudrait manger du près 24h à 30 noeuds de vent pour voir si le bateau reste navigable ou non;
Souvent, on heurte un conteneur plutot loin des cotes...
Bon , on essaye avec un Bénét' maintenant?? :-D :-D :-D

ouaip
Je ne sais pas si cette "démonstration" a beaucoup de sens..

Démontrer qu'un tissu imprégné de résine résiste aux chocs ne m'apprend rien. De plus, les chocs étrave ne sont pas les plus parlants. Prendre une patate, un haut fond qui menace la jonction quille/coque me paraîssent plus rassurants si le canote ne coule pas!!

C'est de la pub.
Ce film n'est que de la communication et tous les voiliers en polyester sont capables d'encaisser le même type de choc.

Il ne peut impressionner que les plaisanciers qui ont peu d'expérience.

Deux exemples:
1 - en 1974, sur un Flush Poker, lors d'une régate de brise à la Trinité, j'ai refusé un tribord sur un Flot 18 en aluminium.

Il y avait 25 nds de vent et nous marchions 5 nds au prés.

Qui a eu le plus de dégats? Le voilier alu ou celui en polyester?

Réponse :
Le Flush Poker avait une petite égratignure à l'étrave, le Flot 18 avait son pont et sa coque enfoncée sur 25 cm.

Ce n'est pour autant qu'il faut en conclure que le polyester est plus solide que l'alu.

2 Sur un Sigma 38 en polyester, par 20 nds de vent au près, nous avons percuté un rocher à 6.5 nds. Conséquence: aucun dégat.

Je vous l'accorde, le même choc sur un Sélection ou un Mumm 30 aurait eu d'autres conséquences.

pas tres concluant
les obstacles sont en général flottants et pas completement fixe, meme pour les chocs sur les rochers, l'étrave monte ce qui amortit

je ne crois pas que le bateau soit à la vitesse indiquée

un arret buffet sur mur sous marin à 6 nds + hématome du skipper dans le choc + une chute du haut de son ber (tirant d'eau 1,80m )sans conséquences structurelles tel que l'a vécu mon bateau est bien pire

:-(

j'aurais
aimé voir les varangues après l'arrivée dans les cailloux, d'ailleurs on voit très peu d'images sur la quille après le grutage à croire même que le mec qui jette un œil fait comprendre qu'il faut regarder ailleurs