s'amarrer seule sur bouées haltères

Rien de bien particulier, c'est comme s'amarrer à un ponton.
C'est une structure rigide.
Amarres prêtes, arrange-toi pour arriver à l'étal, le courant ne te gênera pas, sinon il faut finir face au courant.

bonjour , c'est toujours plus facile d'arriver sur la bouée au courant en marche arrière surtout si on est seul on amène la bouée à toucher le tab/ar on s'amarre dessus ,après il n'y a plus qu'a donner du mou pour prendre celle de devant
alain

merci,je n'avais pas pensé à cette solution

c'est justement mon cas je suis dan la laita

J'ai eu la cas dans l'aber-ildut. La solution que j'ai trouvé :
Arriver face au courant, dos au courant c'est plus acrobatique mais ça marche aussi. Une amarre courte entre les deux haltères pour un amarrage à l'embelle (au milieu du bateau) en plaquant le bateau contre les haltères. Les amarres avant et arrières auront été laissés fixées sur les haltères en partant. Il suffit au retour de les récupérer sans aller les chercher sur les bouées.
jamais eu de problème comme ça avec un forban (pas super manœuvrant avec une quille longue et peu profonde)

"enclume de mer mais avec une écume de mer"

L'architecte qui a pondu l'"enclume de mer" était soit très optimiste, soit fumeur de ... soit sucidaire !
:mdr: :lavache: :mdr: :lavache: :mdr: :lavache:

Remarquez, avec une enclume de mer, on se pose n'importe où, courant ou pas, ça ne bouge plus !

:acheval:

Dos au courant parceque la capitainerie imposait de s'amarrer la proue vers le large. Et comme la mer ne monte pas en permanence ... Tout le monde y arrivait à l'aber avec toute sorte de bateau. Ca doit être possible. Peut être pas avec un enclume de mer mais avec une écume de mer, pourquoi pas
Le courant traversier en rivière dans les lignes de mouillage est heureusement assez rare, ça ne devrait pas être un problème.

De mon expérience, le départ est plus problématique que l'arrivée, surtout à marée basse quand les lignes de mouillage se rapprochent coincée entre deux bateaux.

Salut à tous,
@penloch: pourquoi mettre en doute les propos de Sapha?
Il dit qu'il a préparé ses amarres sur les altères avant son départ.
Il dit qu'il le fait sans problème.
Il reste humble en disant que c'est plus compliqué dos au courant.
Puisqu'il le fait pourquoi commenter "je voudrais bien voir ça".
Quant au traversier je suis d'accord avec toi.
Gilles

Pour ma part deux amarres restant à poste, souquées sur la bouée aval et une sur l'amont qui se terminent chacune par un oeil (30 cm environ) permettant de le prendre dans les taquets du bateau, deux petites bouées (30 cm de diamètre environ), sont passées dans chaque amarre et attachées à 80 cm de chaque oeil , les deux yeux sont reliés par un bout flottant avec un peu de mou (écart entre les taquets avant et arrière du bateau + 50 cm environ), mais pas trop. Quand j'arrive, face au courant bien sûr, en avant ou en ar, l'oeil au courant est repéré et maintenu à flot par la bouée et le bout flottant, il suffit de l'attraper avec une gaffe et le courant plaque le bateau conte les haltères ; il n'y a plus qu'à prendre avec la gaffe l'autre oeil. Pour un amarrage plus sûr j'ai aussi deux amarres (plus courtes) à chaque extrémité des haltères, terminées elles aussi par un oeil et liées au bout flottant et à l'oeil de l'amarre la plus en amont ou la plus en aval. En fait quand je lève par exemple l'amarre la plus en aval je lève en même temps l'amarre de l'haltère aval. Cà marche très bien, avec bien sûr un petit réglages de la longueur des amarres.
Jean-Pierre

Pour le premier amarrage provisoire, c'est pas mal bien qu'un peu cher

Même technique que eaublanche, ça marche pas mal.
Question : vous vous en sortez comment quand vous arrivez à la voile avec vent et courant chacun dans le sens qui va pas bien et du monde devant et derrière ?
Après pas mal d'essais j'y arrive avec voile d'avant seule (hérésie...?) et je me dit à chaque fois que c'est un coup de bol...!
Et vous ?

Ma rivière non plus n'est pas très large, le courant y est respectable, mais j'envisage toujours le cas ou je serais obligé de revenir à mon mouillage sans moteur.
Il arrive que ces choses tombent en panne...

Comme je navigue toujours en solitaire, j'ai pris le temps de confectionner une petite bouée à perche qui permet de récupérer beaucoup plus facilement l'amarre accrochée à la grosse bouée. C'est fou comme ça facilite la manœuvre !