Saildrive contre ligne d'arbre

Bonjour,

Suite à mon post sur les helices et aux debats passionnés, je lance la suite:

----SAILDRIVE CONTRE LIGNE D'ARBRE------

Les helices freinent le bateau, ok (sauf les repliables, et encore...) mais après, je suppose que le saildrive freine aussi le bateau et en restant logique, plus que le ligne d'arbre (meme protégé par un skeg).

Ce serait peut etre ineressant de savoir d'ailleur qui freine le plus entre helice et saildrive, Mais la n'est pas ma question...

Comme je le suggere plus haut si le saildrive freine plus que le ligne d'arbre et vu les ameliorations apportés à ce dernier (joints...), quel est le vainqueur et quels sont les avantages et inconvenants des deux !

Sur ce bon courage, et les débat sont ouverts.

Séb

L'équipage
18 nov. 2005
18 nov. 2005

et la maneuvrabilité ? ? ?
j'ai l'ipression (AMHA voir AMTHA) que les sail-drive permettent des manoevres (port, marche arrière) bien plus faciles qu'une ligne d'arbre.
me trompe-je ?

18 nov. 2005

FIRST 30 RETRO EQUIPE EN SAIL DRIVE
j'ai 'té en ontact avec un passionné du F 30 qui entre autres avait installé un 18 ch sail drive ! Il éatit ravi de la manoeuvrabilité du bateau. l'helice est + pres du centre de dérive (?) et il faisait 6.5 en croisiere ...
pour l'installation il avait eu un hoquet qd le chantier avait attaqué la coque à la scie sauteuse mais sinon cela avait l'air facile.
mucho dollares quand meme

18 nov. 2005

faux problème qui ne se pose pas
car si tu peux choisir ton hélice, tu ne peux pas (généralement) choisir entre ligne classique ou sdrive

amicalement

18 nov. 2005

JP
Ben pourquoi ??? :reflechi:

18 nov. 2005

essaie d'acheter un bavaria avec ligne d'arbre pour voir

:-D

amicalement

21 nov. 2005

désolé de te contredire JP
mais j'ai vu un centurion avec sail drive, ce qui n'est pas con parce qu'avec l'arbre qui décalé sur babord (cause safran) les manoeuvres sont particulièrement galère.

18 nov. 2005

Ma préférence irait plutôt au saildrive
Bonjour Seb,

Je ne suis pas sûr que le saildrive freine plus le bateau qu'une ligne d'arbre. La surface de résistance d'un saildrive est peut-être plus grande, mais à mon avis son profil est plus performant.

Je pense cependant que l'avantage du saildrive se trouve ailleurs. Avec une ligne d'arbre, l'hélice fait normalement un angle avec l'horizontale. Conséquence: une partie de l'énergie propulsive de l'hélice va servir en marche avant à soulever le bateau, et en marche arrière à l'enfoncer dans l'eau.

Cette utilisation de l'énergie propulsive ne présente bien entendu aucun intérêt. Je crois que la perte de rendement par rapport à une hélice à l'horizontale, comme sur un saildrive, est de l'ordre de 10%.

Avec une hélice d'un meilleure rendement, tu peux danc en théorie opter pour un moteur un peu moins puissant pour obtenir le même résultat. De plus, ce moteur consommera probablement un peu moins de diesel, ce qui va te permettre d'économiser du poid sur le diesel à embarquer, du moins à autonomie identique.

De plus, il me semble que, même avec un moteur de même puissance, l'ensemble de la méchanique du saildrive est bien plus légère que celle de la ligne d'arbre.

Au total, gain de poid à tous les niveaux, donc gain de performance.

Je crois d'ailleurs que tous les bateaux de course équipés d'un moteur optent pour un saildrive.

BAT,

François

18 nov. 2005

rendement
je m'interroge par rapport au rendement: il me semble que la perte engendrée par les deux renvois d'angles du sail sont plus importantes que les pertes dans un réducteur pour ligne d'arbre.
Le sail est un ensemble compact,
avantage au sail pour le bruit?
par contre pour ce qui est de la corrosion...?

18 nov. 2005

Pas de presse-étoupe...
ni de problémes d'alignement.

18 nov. 2005

Rendement du saildrive
Daniel, tu as probablement raison quant aux pertes engendrées par les renvois d'angle du saildrive.

J'ai cité le chiffre de 10% de perte de rendement de mémoire. Je ne sais pas s'il tient compte des renvois d'angle du saildrive. la perte de rendement d'une ligne d'arbre dépend certainement aussi de l'angle que celle-ci fait par rapport à l'horizontale.

On peut supposer que, pour un bateau à déplacement léger (dont la coque ne s'enfonce normalement pas profondément dans l'eau), l'angle de la ligne d'arbre devrait probablement être assez important, ce qui donne naturellement l'avantage au saildrive.

Pour un bateau à déplacement lourd par contre, la coque va d'habitude plus bas dans l'eau, ce qui permet de mettre la ligne d'arbre plus à l'horizontale. De plus, le saildrive est probablement plus difficile à placer proprement que sur un bateau à déplacement léger.

BAV

François

16 mars 2008

angle de la ligne d'arbre et difficultés pour placer un nouveau moteur
Je dois remplacer le vieux moteur de mon voilier par un nouveau . Problème, je ne trouve aucun moteur car l'angle de la ligne d'arbre est très petit conséquence, je me retrouve avec l'arbre actuel +/- 10 cm plus bas que la sortie de l'inverseur de tout nouveau moteur. Je pourrais allonger la ligne d'arbre mais le moteur se retrouverait 50 cm vers l'avant, donc solution à abandonner . Je ne peux utiliser à nouveau mon vieux inverseur (non compatible avec les moteurs actuels) . Que faire ?

18 nov. 2005

c'est une pièce d'usure,
on en trouve (assez) souvent dans la benne du loueur à coté de chez moi .
(plus souvent des hélices)
Chocs, corrosion , usure, etc...
Sans oublier les fuites .

JL

18 nov. 2005

Ceci n'est pas une pub...
Ce qui m'arrive est certainement totalement anormal.
J'ai mon Gladiateur depuis mars 1977. Des dizaines de milliers de milles.
2900 heures de moteur MD 11 c 110 Sail Drive.
Chaque année je redoute la présence d'eau dans l'huile de l'embase , car l'axe de sortie et les joints spi sont toujours les mêmes!!!!
L'aspect extérieur est impeccable mais j'ai toujours été précautionneux : par exemple, de l'antifouling neutre dessus et sur la coque autour de l'embase. (j'en ai vu bouffées en 3 ans par des antifouling à base de cuivre!!! même chez des pros!!!). Grosse anode changée quand il faut.
Maintenant, aprés 29 ans de service, si cette embase me lâche, je n'en voudrai pas à Volvo alors que je devrai aussi changer de moteur...
Par contre, j'ai un contentieux avec les mécanos Volvo à propos du changement du soufflet, j'y reviendrai sans doute dans un autre fil.

19 nov. 2005

Ton expérience m'intéresse...
On a acquis un Gladiateur de 1980, avec mes chers amis co-pro : moteur et embase d'origine comme le tien, un peu près le même nombre d'heure (2300), pour l'instant rien à en dire, pour un serviteur si ancien, à part un peu de fumée blanche et la nécessité d'appuyer un peu systématiquement sur le bouton de démarrage à froid dans la cale...

Mais je suis intéressé quand tu parles de tes expériences de changement de soufflet ?

Egalement as-tu changé la pompe d'injection ? Comment fais-tu le détartrage (à l'acide oxalique ou en déculassant ?) avec quelle fréquence ? Quel anti-fouling utilises-tu ? quelle fréquence ? (je l'ai raté le printemps dernier, depuis je plonge pour chaque démarrage après une immobilisation un peu longue)

Je suis très content de ce moteur que je conçois surtout comme... auxiliaire pour cet excellent marcheur à la voile !

Merci,

Cyril

19 nov. 2005

manoeuvres
au mois d'octobre j'ai loué un dufour 36 équipé d'un saildrive, et bien pour les manoeuvres de port, il n'y a pas photo, avantage au saildrive.
Quand au rendement, je ne sais pas car quand je suis en croisiére, je ne suis pas à un 1/2 noeud prés.
bon vent à tous

19 nov. 2005

pareil pour moi
la découverte du sail drive est magique en manoeuvres, et je pèse mes mots ... Vu que j'ai une ligne d'arbre particulièrement facétieuse en marche arrière, qui m'interdit de nombreuses manoeuvres dans les coins serrés, la marge d'erreur est faible ! J'avais loué un bavaria de même longueur, avec lequel on pouvait, au contraire, tout se permettre : évolutions serrées au milieu d'un mouillage, à la stuféfaction des voisins (le bateau tourne pratiquement sur lui-même et s'arrête au quart de poil sans se mettre en travers, idem pour se glisser finement au port)
Pour l'entretien (faisabilité + coût), je préfère la ligne d'arbre, et le joint tournant ne présente pas plus de souci que le gros joint du Sail-drive, sans doute aussi coûteux . Une ligne d'arbre reste "bricolable" en toutes conditions, y compris en navigation pour l'étanchéïté, ce qui est loin d'être le cas pour le Sail : ça n'empêche pas d'avoir des regrets quand on manque le quai ;-)

19 nov. 2005

personne ne suggère d'apprendre à manoeuvrer
c'est pourtant bien utile et avec un peu savoir faire, c'est le pilote qui dirige le bateau bateau qu va où il veut, et meme en monomoteur ligne d'arbre sans propulseur d'étrave ;-)

mais bien sur il est + facile de faire un gros chèque pour acheter un sail drive que d'apprendre une technique PCBN indigne d'un "vrai marin" :-

amicalement

19 nov. 2005

bis avec rectification
"c'est pourtant bien utile et avec un peu savoir faire, c'est le pilote qui dirige le bateau et non le bateau qui va où il veut, et meme en monomoteur ligne d'arbre sans propulseur d'étrave

mais bien sur il est + facile de faire un gros chèque pour acheter un sail drive que d'apprendre une technique PCBN indigne d'un "vrai marin" :-

amicalement

19 nov. 2005

???
Consternant!

19 nov. 2005

tu as bien raison
il est consternant de voir certaines manoeuvres ratées alors qu'un minimum d'entrainement et d'apprentissage suffirait à éviter ça

amicalement

19 nov. 2005

on ne fera jamais
un étalon d'un âne, jp (je parle des voiliers)... Même en pratiquant pas mal, certaines manoeuvres sont tout simplement impossibles sur l'un des côtés (ce qui veut dire qu'elles sont facilitées sur l'autre, mais on ne peut pas toujours en changer à volonté ...) Le sail drive, lui, rend la possibilité d'aborder en presque toutes conditions des deux bords, la ligne d'arbre avec une tripale m'a mis plusieurs fois en difficulté . Mais c'est encore plus facile sans doute avec 2 X 4136, sail drive? :-D

21 nov. 2005

bien d'accord, jp
le pilote dirige le bateau...là où il sait pouvoir passer ! Pour le reste, il évite d'y aller : le reste est nettement plus petit avec un sail ... ;-)

21 nov. 2005

désolé de te recontredire JP
mais les turbo props peuvent passer en reverse et donc reculer.
Bon je pinaille pour le plaisir parce que en fait t'as raison, on doit s'adapter a son matériel et les belles manoeuvres dans les ports sont assez rares.

21 nov. 2005

sur le concorde
tu pouvais passer en reverse pour freiner le bestiau en vol lors d'une arrivée un peu rapide.
tous les Cdt de bord essayaient en permanence de battre le record sur New york -paris ce qui les obligeait parfois à des freinages pas très orthodoxes mais authorisés.

21 nov. 2005

là, ça vole trop haut
pour moi, je décroche ... :-)

19 nov. 2005

en avion, il est impossible d'aller en marche arrière
donc tous les déplacements se font en marche avant et on fait bien avec

en bateau c'est pareil, si tu admets ne pas pouvoir remonter à la voile bout au vent et faire avec, tu dois aussi admettre ne pas pouvoir virer sur un bord en marche arrière et faire aussi en conséquence

avant d'avoir 2 perkins, j'avais un seul 4108 sur un gin fizz et il est toujours entré dans sa place

mais je triche car j'ai fait beaucoup de fluvial et quand tu as fait le rhone et la saone une bonne quarantaine de fois, tu sais manoeuvrer dans une écluse (j'en suis à plusieurs centaines) donc manoeuvrer tout court ;-)

mais dans tous les cas et quelle que soit la difficulté c'est au pilote de diriger et non au bateau

amicalement

21 nov. 2005

en vol, si tu dois essayer la manip de reverse des turbos
préviens moi que je ne reste pas en dessous :-D

amicalement

21 nov. 2005

tu es sur que c 'est un bon exemple?
;-)

amicalement

19 nov. 2005

J'ai eu les deux
Notament sur un Via 42 avec une embase Volvo. C'était à Mayotte. Le problème c'est la maintenance. Un fil de pèche autour de l'hélice et c'est le joint spi qui fuit. Faut échouer chaque fois que l'on veut y toucher. Idem pour l'anode. Et encore, j'avais un DI pour échouer. Mais entre deux marées, il faut aller vite. En plus, je crois de mémoire que les ressorts des joints spi n'étaient pas en inox. J'ai du quand même les changer souvent. Et j'ai vu des embases bouffées.
Sur les lignes d'arbres, c'est plus simple. Un changement d'anode, ou un fil dans l'hélice, ca peut se régler en plongeant.
Donc, si on veut aller loin; la ligne d'arbre est nettement préférable.
Pour la maniabilité, c'est pour moi tout à fait secondaire. Le Via avait un sail drive, mais son système de gouvernail à flettner empéchait toute directivité en AR. Et puis la qualité principale d'un bateau c'est quand même pas de rentrer facilement dans une place de port. J'ai eu des catas avec HB et là, il fallait les aussières pour toute situation scabreuse.

19 nov. 2005

Le sail drive c'est mieux
Surtout pour les constucteurs car l'alignement n'existe plus il suffit de poser l'ensemble sans autre précaution donc pas de risques de bruit ou d'usure préématurée ni de vibration .
Le plus gros du travail de SAV par la suite est à la charge du client ( emplacement des joints d'embases )ce qui donne un peu de chiffre d'affaire aux concessionnaires .

Ceci dit je suis mal placé pour parler mal du procéde car sur mon gladiateur de 77 j'avais un volvo MD11 équipé sail drive qui suite à un serrage ma laché définitivement .

Monter un moteur neuf avec une vielle embase et des vitesses de moteurs différentes (Maxi 2200trs pour le volvo et 3200à 3600 tours,pour des moteurs de notre génération)les différences d'accouplements imposent pratiquement le remplacement de l'ensemble moteur , embase et bati . ou mise en place d'un moteur , réducteur avec une ligne d'abre mise en place d'une chaise .
J'ai choisi la facilité et me suis mis dans la peau du constructeur .Il était bien plus facile de retratifier un bati neuf et de jeter dedans le nouvel ensemble .

Après deux saisons je ne regrette pas mon choix , je sais que les joints d'embases seront toujours à vérifier , mais je me serais posé de nombreuses questions s'il avait fallu reboucher la coque et installer une chaise.

La facilité est sans doute le point qui intervient dans la décision des constucteurs qui négocient au plus bas le prix des mécaniques et qui économisent des heures de main d'oeuvre dans les mises en lignes et la stratification des lignes d'arbres

Ps Amitiés aux possesseurs de gladiateurs .
Hughes

19 nov. 200516 juin 2020

Heu il y a aussi

ce système qui permet une rotation latérale de 180° !
Intéressant pour les manoeuvres délicates... :-)

pfffzzzz

20 nov. 2005

cabernet
diaoulig est un cabernet, plan harlé de 1976. d'origine harlé avait prevu en option le monytage d'un ysm8 avec ligne d'arbre. diaoulig n'ayant pas de in bord mais un suzuki 9.9 sail lorsque mon pere l'a acheté, il avait toujours cette configuration lorsqu'il me l'a donné il y a 5 ans.
lors de sa renovation j'ai choisi de l'equiper d'un in bord pour un tas de raisons et j'ai cherché un moteur equivalent au ysm8 preconise par harlé, avec quelques inquietudes sur la mise en place de la ligne d'arbre à creer.ne trouvant pas d'occasion du genre, le hasard a fait que j'ai vu une annonce pour un 1gm10 avec un sail drive. je l'ai monté et malgres quelques soucis d'helice surdimentionnée le moteur tourne nickel. par contre j'ai un net manque de puissance et vient d'acheter un 2gm pour remplacer le 1gm qui manque de puissance. le 1 gm et l'ysm8 etant à priori equivalents en puissance et ce dernier etant preconisé par harlé (il y a quand meme 30 ans) peut etre le sail drive est-il à l'origine de mon manque de peche, cela reste à prouver...
par contre coté evolutivité, j'ai pu comparer avec un autre cabernet etquipé en ligne d'arbre et la il n'y a pas photo, je manoeuvre nettement mieux que lui.
voila en ce qui me concerne le sail est une excellente option qui permet de plus un meilleur positionement du moteur.
jpierre

22 nov. 2005

bin moi
ch'suis content d'mes lignes d'arbres. c'est du 60 de diametre alors on peut voir venir un peu.
et puis avec 2 bouzins, on manoeuvre sur place
Par contre je me suis toujours pose une question concernant les sails drives: que se passe t'il en cas de bout dans l'helice ou au cas ou le sail se prend dans un orin de casier??
y a pas trop de risque de tout arracher ?

18 mars 2008

Il y a quelques années,
un copain a touché (fortement) un rocher à l'Aber Wrach avec un Gladiateur. Bilan : voie d'eau sur le bordé tribord quand le bateau s'est couché (donc au-dessus de la ligne de flottaison), mais surtout embase arrachée. Pas une goutte dans le bateau. L'embase avait fait fusible. Le joint avait joué son rôle. Dans la même situation, avec une ligne d'arbre, le bateau aurait creusé son trou dans l'eau

18 mars 2008

sur mon biquille j'ai un volvo 2030 sail drive
au niveau vibration c'est super,au niveau manoeuvre aussi par contre volvo déconseille de mettre un coupe orin.
Le seul pb est effectivement la visite des ouies de refroidissement qui se bouchent régulièrement.

Comme c'est un biquille, je fais facilement le nettoyage et la vidange d'huile à marée basse.

Aux scilly j'ai enroulé un flotteur et un bout,
J'ai vu le flotteur arriver vers moi et heureusement j'ai débrayé avant que tout soit bloqué, nous avons mouillé l'ancre et j'ai plongé.le bout n'était pas encore souqué, donc je l'ai déroulé sans pb, sinon......

Par contre la grosse anode du bout d'hélice ne s'use pas ou presque et ça m'inquiète un peu, je l'ai changé une fois en 4 ans, plus par précaution que besoin.

Est ce le fait que je suis sur des lignes de mouillage dans une rivière ?

Alain

18 mars 2008

Ben en principe et si je ne me trompe
C'est l'eau salée qui fait hydrolyse...

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