Roulis au mouillage des coques larges

Salut à tous. J'ai beaucoup souffert avec mon ancien voilier ( un dessin de Sparksman & Stephens, 13M, 17 tonnes) du roulis dans les mouillages. C'était un ketch et donc plus lourd dans les hauts, mais quand même. Le creux de coque était assez prononcé ( c'était un dessin de 1980). Très confortable en navigation, au mouillage il faisait le pendule dès que la vague le prenait de côté. En regardant les autres voiliers au mouillage, le miens était généralement celui qui roulait le plus. On aurait dit qu'il entrait dans un mouvement harmonique avec la vague...

Je regarde les dessins plus récents ( Volta 12.20, Pogos, RM, etc) et je me demande si ces bateaux très larges se comportent différemment au mouillage. Ma question est: Est-ce qu'ils roulent autant? Est-ce qu'ils «tapent» davantage?

Merci!

L'équipage
11 nov. 2020
11 nov. 2020

Bjr. Je ne suis qu'un observateur, anciennement sur un tri, sur un cata à moteur cette année. Nous ne pouvons nous empêcher de regarder les mâts au mouillage, il faut bien passer son temps à faire "radio vipère"...lol Nous avons eu un monocoque DL rouleur qu'il fallait calmer dérive basse au mouillage.
J'aurais pensé que les coques modernes très larges à l'AR le seraient moins. Il semble que non. Il nous semble aussi qu'il y ait des différences entre les modèles récents.

C'est plus un ressenti qu'une étude scientifique....lol
Il est difficile de se faire une réelle opinion, il faudrait que les conditions soient exactement (parfaitement) identiques. L'angulation de l'axe du bateau par rapport à la trajectoire de la vague a une importance capitale en regard d'un mouvement de pendule qui va entrer "en résonnance" avec la période des vagues, la hauteur de la vague idem. Le tirant d'eau du bateau va jouer aussi son rôle dans le freinage du roulis et donc sur sa périodicité, idem pour les poids dans les hauts.
Si je devais en tirer une conclusion :
Un pas rouleur ancien sera plus stable qu'un rouleur de génération récente.
Cdt
Yves


11 nov. 2020

je pense que l'architecture de nos bateaux est toujours un compromis. Un bateau lourd, avec une coque en forme aura un confort important en mer, ne tapera jamais et aura des mouvements doux que ne connaissent pas les bateaux larges à quille rapportée. Par contre ils seront plus rouleurs au portant et au mouillage. Nous avons aussi ce sentiment de rouler plus que les autres au mouillage, mais on s'est fait une raison. Tout est une question de place de curseur avantages/inconvénients et ce que l'on privilégie.


11 nov. 2020

Il existe des dispositifs amortisseurs de roulis.
Exemple
www.swi-tec.fr[...]ge.html
Le plus simple et économique étant des seaux immergés, un sur chaque bord au maitre bau.


Alexgruissan:Il existe des voiles de mouillage qui, visiblement, sont utiles.·le 11 nov. 2020 10:35
juliusse:Les voiles de mouillages, c'est surtout pour éviter de faire essuie glace en tirant des bords·le 11 nov. 2020 10:37
Alexgruissan:Ok, je pensait que ça pouvait également aider à la stabilité. ·le 11 nov. 2020 10:38
Polmar:Mais si la voile de mouillage est hissée sur l'artimon, le voilier restera plus face au vent, donc souvent dans l'axe du clapot => moins de roulis.·le 11 nov. 2020 10:50
11 nov. 2020

Mon bateau actuel à "stabilité de forme" roule beaucoup moins que mon précédent Romanée avec ses sections rondes, le roi de l'essuie-glace ;)


11 nov. 2020

Les biquilles ont aussi (en général) moins tendance à rouler.


matelot@19001:Le mien est un biquille, mais je saurais pas dire si cela contribue à la stabilité. Cet été j'ai, pendant une semaine, servi de ponton flottant à un Rush, qui lui est un vrai shaker.·le 11 nov. 2020 11:11
juliusse:En fait au départ, les biquilles (twin keels)dérivent des "bilge keels", qui servaient à atténuer le roulis.·le 11 nov. 2020 13:20
Fabien83:Il y a une différence entre twin keels et bilge keels ?·le 11 nov. 2020 13:24
juliusse:Si on est tatillon, oui.Les bilge keels normalement sont des appendices en plus du lest déjà présent. Le seadog 30 est un bon exemple. Les bilge keels peuvent aussi être lestés ou ballastés. Certains bateaux à moteur en ont aussi.Twin keels, c'est le biquille au sens où on l'entend.Les buts recherchés étant au départ réduction du roulis et stabilité de route, en particulier au portant. L'échouage est un plus qui est venu ensuite.😋·le 11 nov. 2020 13:32
Fabien83:Ok je vois. Merci pour ces précisions ! Les bilge keel à l'origine sont en fait je crois ce qu'on appelle les quilles anti roulis sur les navires marchands et militaires. ·le 11 nov. 2020 13:42
juliusse:C'est ça·le 11 nov. 2020 13:46
11 nov. 2020

Au mouillage il peut arriver qu'une petite houle ait une direction différente de celle du vent.
A condition que celui-ci ne soit pas trop fort, on peut décaler le mouillage ( avec un bout' pris sur la chaîne ou le câblot)
pour que le bateau se trouve face aux vagues plutôt qu'au vent.
Un léger tangage est préférable au roulis.. 🙂


juliusse:C'est vrai·le 11 nov. 2020 11:02
11 nov. 2020

une solution consiste a frapper une amarre a partir d'un taquet arrière sur la ligne de mouillage pour orienter la proue face a la houle. c'est simple efficace et économique, c'est une méthode que j'utilise quant je suis au mouillage lors de régates comme pointeur., ou comme viseur.


11 nov. 2020

c'est la méthode que j'ai utilisé au mouillage baie de Lampaul à Ouessant, vent pas dans le sens de la houle, quel confort ...


BWV 988:Je confirme pour le confort, et pour illustrer, une petite image de la baie de Lampaul ou on voit nettement tous las bateaux face à la houle.·le 11 nov. 2020 12:24
BWV 988:Chiant de ne pas pouvoir joindre des images dans les commentaires, je la met donc plus bas.·le 11 nov. 2020 12:25
11 nov. 2020

ou une seconde ancre à l'arrière. Mais il faut soit être tout seul, soit que les autres fassent pareil. Tout comme un bout sur un cocotier, arrière à la plage, avant face à la houle.


Flora :):Arrière à la plage, avant face à la houle.... moi j'appelle pas ça un bon mouillage de toute façon... faut peut-être déménager dans ce cas-là ?·le 11 nov. 2020 14:58
ED850:T'as pas mal de coins comme ça. Aux Antilles, les 2 pitons, Wallilabou. Aux Marquises, presque toutes les baies ont la houle qui contourne et rentre, au Venez, sous le vent de Blanquilla ... On a assez souvent mis soit une seconde ancre à l'arrière, soit un bout à terre. ·le 11 nov. 2020 15:06
Flora :):A Wallilabou, c'est obligatoire de mettre un bout à l'arrière parce que c'est très vite trop profond, pas à cause de la houle. Idem à Cumberland. Jamais mouillé aux 2 Pitons. A la Blanquilla, jamais eu de houle non plus... ça m'est arrivé à St Pierre de Martinique, mais c'est pas un endroit où on reste longtemps, justement !Pas été aux Marquises.C'est plus fréquent en Méditerranée parce que le vent n'est pas constant, dans ce cas on déménage, comme je disais, parfois en pleine nuit... ·le 11 nov. 2020 17:47
11 nov. 2020

Dans un des romans de la série des "hornblower" de C S Forrester, j'étais tombé sur l'expression "bosser un croupiat" pour décrire le fait d'envoyer une amarre de l'arrière vers la ligne de mouillage. Le but n'était pas, dans ce cas, d'éviter le roulis, mais d'orienter le navire pour permettre aux canons de viser un ennemi menaçant, s'approchant du mouillage.
Pour en revenir à des préoccupations moins guerrières, je confirme que c'est très efficace contre le roulis rythmique au mouillage, à condition qu'il y ait suffisamment de vent pour orienter le bateau en tendant amarre et mouillage, et pas trop, car la méthode augmente significativement le fardage. Mais quel plaisir de pouvoir dire aujourd'hui : "ah! ça bouge un peu ce soir, je vais bosser un croupiat" ;-)


SailorAlex:Salut,En lisant ca, je me dit que je me verrais bien bosser un croupiat de temps en temps moi aussi :).À quel niveau de ta ligne de mouillage frappes- tu ton amarre ? Et j'imagine que l'amarre passe "au vent" du bateau pour tirer le cul au vent et maintenir une tension dans le mouillage ? J'ai essayé de bosser un croupiat hier, malgrés mon air convaincu et sérieux, je n'ai pas du tout impressionné ma compagne... :)·le 14 nov. 2020 10:13
Fransoi:Ce qui marche le mieux c'est avec un mouillage mixte chaine plus cablot. Quand on a sorti toute la chaine, on maille à son extrémité, en plus du cablot normal, un deuxième bout qui, au lieu de passer par le davier va directement sur un chaumard/taquet à l'arrière du bateau. La bateau est alors tenu par une sorte de patte d'oie dont la pointe est la chaine. En jouant sur la longueur des 2 bouts on oriente le bateau plus ou moins étrave, travers ou arrière au vent. Mais ça ne marche que s'il y a quand-même un peu de vent mais pas trop ...·le 14 nov. 2020 15:04
11 nov. 2020

Image en relation avec mon post plus haut concernant le mouillage face à la houle à Ouessant.


11 nov. 2020

Bonjour,
j'avais lu un article dans loisir nautiques sur le sujet du roulis au mouillage (pas sur le sujet des culs larges à l'époque...).
La tendendance au roulis est fonction de la forme de coque mais aussi du pendule créé par la masse du mât et de la quille. Plus le bateau a un tirant d'eau important et du poids dans le mât (enrouleur de gv) et plus l'oscillation du pendule sera ample. Les dériveurs intégraux sont à priori moins rouleurs.
Du coup un bateau large récent avec lest profond et enrouleur de gv ne sera pas forcément moins rouleur qu'un déplacement lourd avec petit tirant d'eau et gv classique.


ED850:Je pense aussi qu'il y a une relation entre l'amplitude et la fréquence de la houle et celles du bateau. Dans certaines configurations, j'ai l'impression d'être le seul à rouler, dans d'autres d'être le seul à ne pas rouler (la seconde option est rare🙄)·le 11 nov. 2020 12:40
juliusse:Oui Ed, il y a aussi ça. Mais on va pas se mentir, du poids dans les hauts ça aide pas à réduire le roulis·le 11 nov. 2020 12:44
Lulu2:Un grand mouvement d’inertie en roulis (masses éloignées du centre de carène) favorise en général une grande amplitude de roulis si la fréquence de vagues est proche de la fréquence propre du bateau.
En revanche, un faible moment d’inertie rend souvent la fréquence propre du bateau proche de celle des vagues ; et engendre ainsi un roulis d’amplitude moyenne, mais presque permanent.
Mon bateau a un fort lest intérieur et un mât court, donc un moment d’inertie faible, il est particulièrement rouleur au mouillage. Cela doit être la même chose avec un dériveur lesté.·le 11 nov. 2020 12:51
Lulu2:Juliusse. Je pense exactement le contraire : le poids dans les hauts à généralement tendance à diminuer la mise en résonance du bateau avec les vagues. ·le 11 nov. 2020 12:55
F4HBG:tout dépend de la fréquence des vagues et de celle de résonance du bateau·le 14 nov. 2020 14:34
11 nov. 2020

Comparer au mouillage ce n'est pas facile, car quand l'un roule l'autre pas et inversement. C'est un peu comme quand on est sur une file de voitures, on a toujours l'impression que ce sont les autres qui avancent mieux...


Captain Cool:lors du dernier coup de vent en méditerranée, je pouvais observer les bateaux au port, et certains sont de véritables metronomes, a un point, c'est que sur l'un d'en eux, le propriétaire avait déporté sa bôme pour y fixer son annexe, le bateau gitait, mais au moins, il ne risquait plus de taper le mat de son voisin.·le 11 nov. 2020 12:52
11 nov. 2020

Mon premier bateau, un norvégien modifié (moins large) mais avec une quille bien profonde sur toute la longueur, ne roulait pas du tout, grâce je pense à une stabilité de forme modérée et à cette énorme surface plus ou moins verticale qui freinait les mouvements de roulis.
Par contre il tanguait...énormément, un peu pour les mêmes raisons (faible stabilité de forme, poids important très haut (mât) et très bas...).
Les bateaux un peu anciens des années d'après guerre sont souvent un peu bâtards, quille semi longue (genre Cornu) et maître couple très rondouillard,ce qui favorise évidement le roulis.
Les bateaux actuels très larges avec une carène plate comme une planche à voile ont forcément un roulis très dur, qui provient de leur stabilité de forme excessive. Par contre leur tanguage est faible.
Je dirais qu'il est très difficile de concevoir un bateau qui ne roule ni ne tangue, c'est l'un ou l'autre ou un peu des deux si l'on mixe les solutions...


11 nov. 2020

Il y a le visuel de l extérieur et il y a le ressenti à l'intérieur.
C'est difficile de juger car aux mouillages ou je suis aux antilles ce sont plutôt des carenes de serie assez chargées de tous les côtés et il n'y a pas : celui là est moins rouleur.
Le genre pogo etc....C'est rare .
Les catas avec houle de côté bougent pas mal.
Le moment de roulis sur les.gros voiliers dure plus longtemps mais je pense qu'à l'intérieur ça ne se ressent pas de trop.
Un qui roule d enfer que lon remarque de loin ,c'est un Mangareva.
Souvent je me demande comment vivent les habitants des petits bateaux quand la houle entre.


11 nov. 2020

La voile d’artimon bordée bien serrée ne change pa ou peu le roulis de mon ketch, mais augmente le bruit fait par la voile qui flacosse d’un bord à l’autre... on comprend également l’utilité de reposer la bome dans un réceptacle en dur plutôt que seulement border l’écoute. Aucun voilier récent ne dispose plus maintenant de cette pièce... dont j’oublie même le nom!


11 nov. 2020

La voile d’artimon bordée bien serrée ne change pa ou peu le roulis de mon ketch, mais augmente le bruit fait par la voile qui flacosse d’un bord à l’autre... on comprend également l’utilité de reposer la bome dans un réceptacle en dur plutôt que seulement border l’écoute. Aucun voilier récent ne dispose plus maintenant de cette pièce... dont j’oublie même le nom! Pour en revenir au Pogo ou Volta le fait de pouvoir moduler le lest pourrait-il permettre d’ajuster la « fréquence » du bateau?


11 nov. 2020

Tiens oui, si quelqu'un connait le nom de ce "repose bôme" (si ça a un nom?) Il faut que je revernisse le mien.


outremer:Sauf erreur, quand on veut scier du bois on parle de Chevalet·le 11 nov. 2020 17:05
ED850:Je ne trouve pas "chevalet". Et je ne veux pas le scier, juste le vernir (il en a besoin). Peut-être que ça na pas de nom?·le 11 nov. 2020 17:15
Lulu2:Un sabot de bôme, peut-être ?·le 11 nov. 2020 17:58
ED850:Le terme sabot est déjà utilisé fr.wikipedia.org[...]0_corne . (dans "description"·le 11 nov. 2020 18:40
Blackcat:En anglais: « boom gallow ». Traduction libre serait potence de bôme ou gibet de bôme ». On en parle bcp plus souvent en anglais qu’en français... ce qui me laisse penser que les côtes anglaises ont moins de baies protégées!·le 11 nov. 2020 20:12
11 nov. 2020

Juste des chiffres 12 m x 4 m x 2m.
A la flottaison c'est 3m
La hauteur de coque sous l'eau, hors quille est de 50 cm en charge.


11 nov. 2020

Un autre modèle de "support de gui" sur un voilier célèbre...


Ismaël98735:Oh, Kurun de Le Toumelin!·le 14 nov. 2020 12:23
14 nov. 2020

9.14 de long, 3.70 de large, 2.5 de te, mat carbonne, pogo 30 depuis 3 ans.
Pas de roulis, pas de tangage.
Si vague de travers, le bateau accuse le mouvement de la vague, butte sur le bouchain vif tres marqué et revient à plat.
Pas de mouvements balancier

C est la meme sous voile et royal au planning.


14 nov. 2020

Le bateau butte sur le bouchain au vent ou exposé à la vague


14 nov. 2020

...au retour de mouvement de la coque sur les grosses vagues.


14 nov. 2020

si vous voulez diminuer le roulis ,allégez les hauts ...
les portiques avec toute la quincaillerie qu'il y a dessus,quand il n'y a pas l'annexe et le hb à raz des panneaux ,les enrouleurs rapportés de génois et de gv
sur le mat ,si tout ça n'a pas été prévu par l'archi ,plus vous en mettrez plus vous roulerez
une survie de 60kgs sur le roof à 2m au dessus de la flottaison ,ça commence déjà mal .
un dériveur roule moins dérive basse que relevée
alain


Lulu2:Tout dépend de ce qu’on entend par diminuer le roulis.
Soit on veut diminuer l’amplitude maximale lorsque le bateau prend de temps en temps une forte gîte, mais pas tout le temps.
Soit on veut diminuer l’amplitude moyenne.
Soit on veut diminuer les accélérations, notamment lors du roulis de courte période.
Le remède ne sera pas le même selon ce qu’on veut faire. Lorsque les grands voiliers étaient encalminés dans les horse latitudes et étaient pris dans dangereux roulis pendulaire engendré par la houle, ils hissaient les ancres dans la mâture pour influer sur le moment d’inertie et modifier ainsi la fréquence propre du navire.·le 14 nov. 2020 13:05
Polmar:Et le commandant faisait mettre à l'eau les canots pour remorquer à la rame la navire.·le 14 nov. 2020 13:09
14 nov. 2020

Je suis pratiquement tout le temps au mouillage. J'ai possédé différents voiliers ,différentes conceptions.
Selon moi un voilier léger et un lourd changera la donne qui plus est comme explique le cat : le poids dans les hauts.
Une GV dans un mat + radar ( bien haut . Ha ha !) Ça joue...
Un voilier lourd qui commence à rouler ça n'en fini pas...
Un léger un peu large va remuer mais s'arrêtera rapidement.
Par contre les mouvements sont plus secs.


Lulu2:Ce qui est inconfortable, ce sont surtout les accélérations, les coup de rappel, les roulis rapides ou de grande amplitude.Un roulis moyen et lent est plus facilement supportable.·le 14 nov. 2020 16:33
14 nov. 2020

Et pourquoi pas un hamac pour dormir en contrant le roulis? :D


14 nov. 2020

La forme de la coque influe aussi.
Souvent navigué de concert avec un Joshua et nous sur un ketch acier à bouchains, il roulait beaucoup plus que nous dans les mêmes conditions... on en rigolait ensemble.


14 nov. 2020

une bôme déhalée mal bordée amplifie bien le problème également


ED850:C'est pour ça qu'on met un "boom gallow" www.google.com[...]/search ·le 14 nov. 2020 15:01
14 nov. 2020

Vous auriez dû changer le titre :
Comment atténuer le roulis au mouillage ??


14 nov. 2020

je n'ai fait que répondre à la question en donnant une partie des causes du roulis
et le pire c'est le tri qui bascule d'un flotteur sur l'autre .....
la forme de la carène y est pour beaucoup ainsi que le tirant d'eau ,il y a d'autres critères
mais comme on dit bon rouleur ,bon marcheur,ce qui suppose une petite surface mouillée
donc cylindrique .
alain


Le Stromboliccio

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