Quid de la prise de ris en solo sans pilote ?

Quid de la PRISE DE RIS EN SOLO SANS PILOTE ?

Ma méthode :
Cape (génois à contre, GV choquée, barre sous le vent).
DÉPLACEMENT AU PIED DE MÂT (avec harnais bien sûr) :-( puis opérations classiques (étarquage de la balancine, largage de la GV, mise en place de la bosse d'amure, etc.)

Le GROS inconvénient est que pour aller au pied de mât, je dois passer par le bord sous le vent, d'où une augmentation du risque (surtout quand j'arrive au 3ème ris). Le génois à contre masque le mât et empêche d'y accéder pour la manœuvre.

Quelqu'un a-t-il une solution pour éviter ce déplacement dangereux ?

Merci d'avance de vos réponses :-)))

L'équipage
17 oct. 2016
17 oct. 2016

Et génois enroulé ?

17 oct. 2016

reduire le génois ,le border à plat au près serré barre amarrée ,choquer le gv
aller au pied de mat ,faire ce qu'on a a y faire

ou tout ramener au cokpit ,ça fait six bosses mais c'est le plus facile
alain

17 oct. 2016

Oui, commencer par rouler un peu de génois, ainsi tu peux passer dessous.

17 oct. 2016

Merci du tuyau Fritzzecat et Sylphe

En effet, je l'ai fait pour le 2ème ris, mais le génois a un grand recouvrement qui masque encore le mât :-(
Je n'ai jamais pris le 3ème ris en solo. Ça devrait marcher avec le génois partiellement enroulé.
Je vais essayer de mettre à la cape avec seulement la GV (à trouver comment la border si c'est possible) et le génois enroulé (?)

17 oct. 201617 oct. 2016

De plus, génois réduit, la cape sera plus tranquille et il sera dimensionné pour la GV arisée.

Arrise ta GV avant de quitter le ponton ou ton mouillage, sinon fais comme Alain
Sur mon ancien bateau j'avais des bosses de ris en continu,mais c'est beaucoup de frottements, mais depuis il y a eu des progrès sur les poulies, solution à étudier

17 oct. 2016

Comme dit Fritzthecat plus haut pourquoi prendre la cape.

Equilibrer son bateau à la voile pour qu'il puisse tenir barre amarrée quelque temps puis aller faire la prise de ris en passant au vent.

17 oct. 2016

je ne sais mais avant de reduire la GV on reduit le genois surtout avec un eurouleur ...

puis ensuite on prends un ou plusieurs ris ..donc le genois ne devrait plus recouvrir le mat ...et prendre la cap avec genois entier ce n'est pas le plus simple

17 oct. 2016

avec les bateaux moderne, à grand génois en générale on prend 1 ris , puis diminution du génois , puis 2e ris, et équilibrage du génois etc.
Le génois enroulé a en générale un forme batarde qui fait giter d'où l'intérêt de" l'étais larguable avec trinquette.
Mais c'est une méthode en fonction des bateaux.

18 oct. 2016

@les bateaux modernes ont des génois plus petits que les "anciens" bateaux...Hanse poussant au plus "loin" cette répartition...(foc autovireur quasi un solent..)

17 oct. 2016

<Equilibrer son bateau à la voile pour qu'il puisse tenir barre amarrée quelque temps puis aller faire la prise de ris en passant au vent.<

Déjà pratiqué avec et sans le régul, mais c'est beaucoup moins stable que la cape.

17 oct. 2016

Si tu dois prendre un ris c'est que l’équilibre au prés devient difficile , mais je n'ais pas encore essayer.

Perso c'est la cape sous yankee roulé et trinquette à contre barre sous le vent.

Je préfère aussi me rendre au pied du mat sous le vent et ensuite me caler dans le balcon de mat , cela me semble plus facile.

17 oct. 2016

je ne connais pas de solitaire sans pilote auto.............................

17 oct. 2016

Bonjour,
l' Italien Maouro Bossi a fait la Mini-Transat 1991 sans pilote ni régulateur, plus traversée retour et bien d' autres grands tours après!!!
Gorlann

17 oct. 2016

je viens de vivre 5 mois en solo avec PA...
je ne pourrais pas sans...

17 oct. 2016

si quand mon pilote est en panne.

17 oct. 2016

Je n'ai jamais pris le 3ème ris en solo. Ça devrait marcher avec le génois partiellement enroulé.

Si tu prends un 3ème ris le génois est FORCEMENT déjà réduit.

17 oct. 2016

oui mais tu as une vraie bome moderne ,pas un truc comme maintenant avec plein de bouts de ficelle partout :pouce:

17 oct. 2016

Bonsoir. Pas comme tout le monde, ni pilote ni régul, barre libre, je choque la GV et le génois juste ce qu'il faut et je pars au pied du mât faire mes trois tours de bôme équivalant à 1 ris, j'étarque, love la drisse et retour cockpit ou je règle de nouveau GV et génois.

17 oct. 2016

Si si, mais ça va changer... :heu:

17 oct. 2016

100 % EXACT :-)
Je me le suis dit après avoir posté le message : mon intellect est de type rachidien...

17 oct. 2016

Et pourquoi pas l'installation de prise de ris (semi) automatique voire la pose de violons de ris avec retour au cockpit ?

Je vais essayer de te trouver des liens et les mettre à disposition sur ce fil dès que j'aurai un peu plus de temps.

17 oct. 2016

Bonsoir,
le but du jeu quand on doit réduire est d'"équilibrer" le bateau hors: quand ton boat gite, il a naturellement tendance à loffer, et si tu réduis d' abord à l' avant, il va certes un peu moins giter, mais ne sera plus équilibré et, si tu est au près, tu ne pourras avoir la barre dans l' axe.
Alors que si tu prends d' abord un ris, ton bateau gitera moins et comme le génois à tendance à faire abattre, ta barque sera équilibrée et tu pourras, avec la même gite naviguer sans forcer sur la barre, avec un net gain de vitesse et moins de fatigue.
De plus, lorsqu'il y a du clapot, il faut avoir de la puissance pour ne pas planter des pieux et c' est la voile d' avant qui la fourni.
On réduit d' abord à l' avant uniquement au près pas mer plate, parce que le bateau a moins besoins de puissance et que çà permet d' améliorer le cap.
Gorlann

18 oct. 2016

@m@telot Phi,
c' est le "coup de gite" qui occasionne un départ au lof sous spi!
La gite rend le bateau ardent!!!
Quand un archi dessine un plan de voilure pour un bateau, il me semble qu'il le conçoit équilibré lorsqu'il a "tout dessus", c' est-à-dire GV+génois entier.
Lorsque tu réduit d' abord l' avant, ton bateau devient encore plus ardent.
Essayes de faire du près dans la brise sous GV seule, tu vas avoir la barre dans les dents, alors que sous voile d' avant seule, la gite va équilibrer le bateau en le faisant lofer, alors que le foc ou génois a tendance à le faire abattre.
Si tu ne comprends pas çà, explique moi pourquoi ton bateau part au lof sous spi dans les surventes!
Gorlann

18 oct. 2016

c'est assez unanimement reconnu : la voile d'avant (grande ou petite) fait abattre, la grand voile fait lofer, la gîte fait lofer (surtout si la vitesse est importante), la contre gîte fait abattre, dans une moidre mesure le poids sur l'avant fait lofer, le poids sur l'arrière fait abattre.

Le départ au lof sous spi est principalement causé par un coup de gite lié à une vitesse importante, le départ à l'abattée à un mouvement de contre gîte (généralement suite à plusieurs oscillations de roulis)

L'explication de tout ceci est assez simple, c'est de l'aéro/hydrodynamisme, et reposé notamment sur la position relative du centre de voilure et du centre de dérive (lequel est devant l'autre), et à la forme du profil de la coque dans l'eau lorsque le bateau gîte.
Toutes les explications claires sont disponibles dans tout un tas d'ouvrages techniques ou, certainement, de sites internet.

19 oct. 2016

À M@telot Phi:
J' ai dis et je confirme: le génois fait abattre et la GV fait loffer.
J' ai dis aussi que la gite faisait loffer.
Tu peux faire un petit essais avec ton bateau et tu vas (enfin) comprendre:
sur un plan d'eau plat et sans vent, tu te mets au moteur (disons 3 nds) en marche avant, barre amarrée dans l' axe de façon à ce que le bateau aille droit en étant à plat, puis dans les mêmes circonstances tu le fais giter (ne serait-ce que de 10 °) et tu pourras constater qu'il change carrément de cap.
Pourquoi? C' est tout simplement du à la dissymétrie de la carène à la gite, et c' est CE qui explique que ton bateau part au lof quand il prend un coup de gite sous spi (ou autre voile d' ailleurs), et ce qui explique aussi que ton bateau fait du près sous génois seul.
Si tu ne comprends pas mes explications, je te suggère d' ouvrir un bouquin de voile (cours des Glénans ou autre) çà y sera expliqué, peut-être avec d' autres mots.
Sans rencune!
Gorlann

Choque un peu ton génois ou réduis-le, tu réduiras la gite plus vite que tu réduiras l'effet d'abattre du génois et, au final quand tu auras un bateau enfin équilibré, il ira droit. :litjournal:

20 oct. 2016

ah non Hubert , si tu fait avancer le centre de poussée du genois ,et accesoirement diminuer sa force, le centre de poussée de la GV va lui etre plus "actif" donc le bateau va etre au contraire plus ardent ,il aura davantage tendance à ce mettre vent debout

17 oct. 2016

tu parles comme si il n'y avait qu'un type de bateau: petite GV et grand (très) génois ...
ça a sérieusement évolué ces dernières années

"Lorsque tu réduit d' abord l' avant, ton bateau devient encore plus ardent. "

Avec un génois à grand recouvrement, quand on enroule on fait avancer le centre de poussée du génois : donc bateau moins ardent
Et accessoirement moins de gîte : donc bateau moins ardent.

19 oct. 2016

Ca c'est comme les chaines à neige en voiture; sur une traction c'est mieux devant, mais sur une propulsion c'est derrière...

17 oct. 2016

Non mais réduire le génois avec l'enrouleur ça ne pose aucun problème et ce n'est pas forcément la voile à réduire en premier. De toute manière il y aura forcément des situations où il faudra prendre des ris dans la GV. En ce qui concerne ta dernière réflexion ce n'est pas une question de taille mais d'équilibre, dans l'idéal on réduit l'ensemble de la voilure donc retour à la case départ : il faudra bien prendre un ris ou deux à la GV. Point.

17 oct. 2016

dans mon cas, bateau des années 70, gréement en tête, grand génois petite GV : si le génois complet est déroulé et la GV choquée, le bateau ne peut pas faire de près barre amarrée, le bateau est trop mou, donc la GV ne faseye pas suffisamment pour ariser
seule solution pour moi : prendre la cape (masi la GV ne faseye pas top non plus !), ou réduire le génois avant la prise du 1er ris

Prendre la cape avec un génois à grand recouvrement : c'est ton maître voilier qui va être content ! Tu as un gros risque de déchirure su les barres de flèche.

18 oct. 201618 oct. 2016

Sur ma trapadelle, qui est sensée ne pas gîter excessivement (sinon.... :-p), pour prendre un ris, je me mets au bon plein, choque le génois à la limite du faseyement (en même temps...sa surface ne fait que deux tiers de celle de la GV...) et je peux choquer complètement l'écoute de GV.
Le génois seul, à cette allure, propulse très bien le tri , comme sur un rail, barre non amarée restant bien dans l'axe, même dans un fort clapot....
.
Est-ce un coup de bol ? Je ne saurais pas l'affirmer...
J'ai réglé la quête de mon mât-aile afin que le tri soit "très légèrement ardent" au près serré.
.
Une fois le ris pris, je reborde GV et génois pour l'allure désirée, et ça repart...
Il m'est arrivé, une fois, de devoir prendre le 2ème ris, dans le golfe du Morbihan, en prévision d'un vent de force 6, pour remonter vers la cale d'Arradon.
Mon trimaran est incapable de remonter au près sous GV seule.... je l'équilibre alors en envoyant mon petit foc d'origine (Magnum 21) sur un étai volant gréé un peu en arrière du génois, qui devient pour l'occasion un foc de brise.
.
Le 3ème ris que j'ai commandé à Bernard Mallaret lors de la conception de mes nouvelles voiles, je ne l'ai jamais pris en navigation, et heureusement pour moi ! (cela voudrait dire que je ne suis pas "au bon endroit au bon moment", et que je devrais être rentré quelquepart à l'abri depuis longtemps...)
.
Ma GV à corne, en pentex, peut être applatie "comme une tôle" grâce à deux petits palans à 4brins, un sur le cunningham du guindant et un sur la bordure.
Au près, je règle même le chariot du rail d'écoute de GV une vingtaine de cm "au vent", ce qui me permet de contrôler son "vrillage" !
Réglée ainsi, dans les faits, en cas de survente, j'ai constaté que la corne de la GV "s'ouvre" et laisse s'échapper "l'air en trop", faisant ainsi office de fusible. :heu:
.
Je viens d'installer un pilote Raytheon ST1000 (acheté sur LBC , comme neuf), et je lui ai ajouté une télécommande sans fil S100 (qui coûte un bras...).
Mais je n'ai pas encore navigué avec l'aide de cet "adjoint".
.
Mes dix cents...
.
PHIL

18 oct. 2016

Sans pilote ,la grande majorité des plaisanciers faisait ça dans les années 70 . Les pilotes étaient rarissimes . Avec un bateau à barre franche on amarrait la barre avec une paire de sandows et on réglait l équilibre plus ou moins instable certes . Puis on allait fissa au pied de mat prendre les ris . . Les plans Mauric étaient stables de route , les plans Bigouin dont le Samouraï aussi ,mais les plans Harlé dont le sangria , c' était mission impossible , dès qu'on lachait la barre à ce bateau il faisait trois tours sur lui même .

18 oct. 2016

Et aussi il me semble qu'à cette époque, la majorité des plaisanciers naviguaient en équipage ! Beaucoup moins de solos qu'aujourd'hui.
C'est la technique dont les pilototos qui a permis et largement répandu cette pratique solitaire...

:reflechi:

18 oct. 2016

bien sur , j'ai un copain , bateau de son pére ,il n'a pas d'electricité à bord et depuis 1954 le bateau navigue avec des sandows ...et il trouve cela bien superieur à nos pilotes ,car il a un sandow de secours ,lui ...

18 oct. 2016

Pas vraiment.

Bateau équilibré, barre marée avec un sandow puis plus tard, un peu plus riche, avec un régulateur

Jamais de pilote électrique

18 oct. 2016

Oui les pilotes ont facilité la tache . Mais quand on faisait du solitaire on pouvait rester 12 heures d'affilée à la barre et on se débrouillait avec une paire de sandow achetés au mètre quand l 'état de la mer le permettait . Mais pour dormir dormir : la cape courante ou à sec de toile : peu de gens le faisait . J ai même eu un pote qui est resté trois jours sur ancre flottante frappée à l 'étrave sur son arpège parce que têtu comme une mule il ne voulait pas s'avouer vaincu par la mer .

18 oct. 2016

Navigant 9 fois sur 10 en solo et n'ayant pas de pilote auto je me met souvent à la cape et j'ai remarqué que je trouve plus facilement/rapidement " l'équilibre " quand j'ai le foc plutôt que le génois ( pas d'enrouleur non plus ) .

19 oct. 2016

9 fois sur 10 OK, pas de pilote auto OK, NAVIGANT combien d'heures de suite? se sous-toiler pour que ça marche mieux sur un 25" en sortie à la journée, je veux bien mais n'appelle pas ça naviguer, ce n'est pas possible en navigation!
deux jours d'élucubrations ou chacun se vante, ridicule !
achetez un PA et ne parlez plus pour ne rien dire.

20 oct. 2016

Bien sûr, il y a des gens plus expérimentés, plus fous, plus ceci et plus cela, mais le vulgus pecum de la voile (dont je suis) ne s'appelle pas Tabarly, Moitessier, etc.
Je parlais de déplacement sous le vent dangereux.
Mon tonton d'Afrique m'a toujours dit : "Un bon marin est un marin prudent" (et vivant)

20 oct. 2016

mon ami Max bourgeois a effectué la Transat en solitaire 1968 en ayant cassé son régulateur après 3 jours de course et retour sans régulateur ou Pilote, ton italien de même... ce sont des exceptions et dès que nous naviguons plus de quelques heures nous tous utilisons des PA ou régulateurs et ce fil ne sert qu'à des exemples personnels assez pipeau pour se faire mousser...

19 oct. 2016

Bonsoir papytee,
comme je l' ai déjà dis plus haut, l' Italien Mauro Bossi a fait la Mimn-Transat 89 SANS pilote ni Régulateur et a traversé en 24 ou 25 jours!
Au portant, il amarrait sa barre avec la contre-écoute et un sandow à l' oposé, et ce même sous spi!
C' était à cette époque le SEUL mini a avoir effectué la traversée retour à la voile(et toujours sans pilote), de mémoire en pas loin de 60 j!
Gorlann

20 oct. 2016

<se sous-toiler pour que ça marche mieux sur un 25" en sortie à la journée, je veux bien mais n'appelle pas ça naviguer,<

100% d'accord. On parle bien de faire un peu de route.
Au départ je posais la question car j'ai eu le problème à cause du pilote électrique (Simrad TP32) qui décrochait bien que le bateau soit 'à peu près' équilibré sous voiles au près (~25 nœuds). J'ai un régulateur Navik pour un Oxion 32 mais je ne l'avais pas préparé : je n'avais pas monté la pale immergée avant de partir et il n'est pas possible de le monter en route. (impréparation coupable...)
A la cape avec un génois à grand recouvrement, j'ai trouvé le déplacement sous le vent dangereux.

<achetez un PA et ne parlez plus pour ne rien dire.<

Silence tout le monde, je ne veux entendre que le vent :-)

20 oct. 2016

Papytee j'ai du mal à saisir le pourquoi de ton intervention mais pour te répondre je dirais que je barre fréquemment 5 h d'affilé pour une sortie à la journée et que je mets un peu plus de 40 h pour faire Arcachon /la Rochelle et que oui je " sous-toile " le temps de descendre pour préparer le repas ou la nuit en navigation mais je ne vois pas en quoi cela répond à la question de Bopato .

18 oct. 2016

Tout dépend de l'équilibre du canot mais sur mon Gib'sea 105 à grand recouvrement je ne met pas à la cape pour ariser. Je me met au près. Je choque la Gv ce qui ralenti le bateau. Quand es assez lent, toujours Gv fassent en grand je pousse la barre sous le vent comme si je voulais virer. Évidemment le bateau ne viré pas ralenti qu'il est par le fasseyement de la Gv. J'attache barre sous le vent et j'ai tout mon temps pour prendre mon ris. Le.bateau n'est jamais parti au lof ou à l'abattée quequ'est put ètre l'état de la mer.

Maiis le vrai luxe c'est un bateau stable. Bien plus qu'un accastillage sophistiqué

18 oct. 2016

Je me sens peu concerné par les prises de ris... :heu:
Quand le vent est trop fort, je reste à quai, et vais boire un coup au bistrot le p!us proche....
Bon, je rigole...car j'ai découvert en début de saison que mon canote était équipé de prise de ris automatiques...
Ça plus le foc auto vireur sur enrouleur et je reste bien peinard dans le coquepite... :mdr:
Pour être honnête...j'ai essayé une seule fois!
Et ça marche! :pouce:

18 oct. 2016

Et le système MDS de selden? , c' est pas beau et efficace?

19 oct. 2016

A surface réduite équivalente la prise de ris sur la GV a plus d'impact sur la réduction de la gite et de la dureté de la barre que l'enroulement du génois, ceci à cause de la plus forte réduction de hauteur de la poussée vélique d'une part (donc plus grande réduction du couple de chavirage) et du fait que la GV fait lofer davantage qu'un génois, même à grand recouvrement car elle est placée entièrement derrière le mât.
C'est pourquoi selon le bateau je suis partisan en croisière de partir d'emblée avec 1 ris dans la GV, on régule au génois et on a le temps de voir venir avant de devoir prendre le second ris. Surtout en solitaire.
En plus un génois enroulé a un rendement pas terrible (coupe, bord d'attaque qui crée des turbulences) donc, à part la plus grande difficulté de mise en oeuvre, il n'y a que des avantages à réduite d'abord la GV. Et puis si on se prend un coup de bôme elle arrivera moins vite... :langue2:

Phare de St Tropez - 27 mai 2019

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