QUESTION SUR LE MAL DE MER

je m'appelle ty soaz,je fais mes premiers pas dans la navigation, ma plus grande angoisse pour le moment est le mal de merje navigue sur un 21.7 dans le nord finistere merci de vos conseils a bientot

L'équipage
12 déc. 2005
12 déc. 2005

Bof,
ne te fais pas trop de soucis pour ça.

Généralement, pour la plupart des gens, on nourrit une fois ou deux les poissons (faut bien !), et puis après on sait bien reconnaitre les signes avant coureurs, et les situations qui le déclenche, donc on apprend à gérer (la trouille, le froid, la faim, etc).

Puis après on y pense plus du tout.

Puis un jour on se met à changer un filtre à GO en pleine nav la tête et la moitié du corps dans la cale moteur, et on se laisse aller à un petit sourire en repensant à l'époque où le simple fait de dire "gazole" dans le carré vous faisait partir en courant vers les filières .... :-D

Donc continue à naviguer dans le Finistère et ailleurs, et ne te fais surtout pas d'angoisse avant d'y aller, c'est le meilleur moyen d'être malade, puisque le mal de mer découle de la peur (en gros, si tu as peur du mal de mer, tu es quasi sur d'être malade)
Par contre si ça persiste (et que tu souhaites toujours naviguer), il faudra en reparler et devenir méthodologique.

C'est comme ça que quand on navigue avec des gens qui débutent, on apprend vite à ne pas laisser trainer ses chaussures dans le carré ...... :-D

12 déc. 2005

Quel nom déja?
Dis voir françoise tu balade ta maison de 21.7 en ce moment?
Le mal de mer est une réaction de ton corps qui constate un désordre sensoriel, ce que lui dit l'oreille interne ne correspond pas à ce que l'oeuil constate.

Pour éviter d'être malade ou de rendre ça encore plus désagréable je veille à :
- ne pas avoir froid, être bien équipé
- ne pas être fatigué, si on est malade autant dormir
- chercher à m'amariner au plus vite, j'y arrive maintenant en 1j en forçant "la bête".
Ca me fait tjr marrer de penser que centains on besoin de 30jours.
- j'évite certain aliments, tomates, lait, coca (tout ce qui est acide)
- je finit mon repas avec un "bouchon" de pain
- je m'occupe, un bon skipper met les malades à la barre
- si besoin je vérifie que la banane est un aliment qui a le même goût dans les deux sens
- de toute façon une fois que "raoul" a envoyé le "premier service" aux poissons ont se sent mieux après.

Un truc que j'adore : prendre une douche à terre après.

;-)

13 déc. 2005

Chuis pas d'accord François,
au niveau du Coca: justement j'en ai toujours à bord pour le cas où on se sent un peu "burp".
En temps normal j'aime pas du tout le Coca, mais en situation critique où je sens que je risque d'être malade c'est royal, surtout accompagné d'un bout de pain.

En plus riche en sucre, cela permet de fournir des calories bien nécessaires dans des moments de grosse mer.

Mais bon, j'imagine que chacun a ses petits tricks & tips...

13 déc. 2005

le roi de la mer
et je suis son sujet, ca fait souffrir, un peu ds le style d'une biopsie de l'estomac sans anesthésie :-)

je l'ai en ascenseur, en voiture, en bus, aux manèges, mais pas en avion?

mon remède choucroute garnie william-saurin et scheweppes-tonic

c'est pas vrai mais je reve de ca quand je dé..... tripes et boyaus beurk!

13 déc. 2005

la 1° chose
enfin pour moi les pieds sec et au chaud, manger peu mais souvent, malade avec le ventre plein c'est pas drole, mais le ventrevide c'est l'enfer, dixit certains de mes equipiers ou passagers, je ne sais pas ce qu'est le mal de mer

13 déc. 2005

Le truc à bulles et caféine
Franchement ce truc j'évite.
S'est gazeux sa dilate l'estomac, s'est acide donc sur le retour s'est pas terrible, par contre s'est efficace pour le stock de sucre pour l'effort, pour la caféine qui aide à se tenir éveillé et pour l'eau qui ne fait pas de mal. Il parrait que ca peut aider à la disgestion mais sa gènera la sieste parfois nécessaire à l'ammarinage.

Je réserve ce truc aux périodes d'effort intense (régate, démènagement, soirées en boite, travaux lourds...) et je boycotte la production des states.

;-)

13 déc. 2005

Bon alors si tu veux
T'as qu'à prendre du Zim Zim, le coca du Magreb !

Ou pour faire plus "païs", tu peux tenter le Corsica Cola, le coca Corse. Y'm semble bien que les Bretons avaient aussi le leur, en son temps.

Le coca est top parce que c'est du sucre liquide. Si on se sent burp, mais surtout après le gros renvoi, il n'est parfois plus possible d'avaler quoique ce soit. Dans ce cas là le coca est très pratique car il passe facilement, et fournit rapidement du sucre pour garder des forces.

Valable également en cas de tourista sévère, il évite de se déshydrater trop vite, ce qui est un peu le même problème avec le mal de mer.

Coca/riz, c'est ce qui permet de garder quelqu'un à peu près sur pied dans ces cas là, en attendant un retour à la normale.
Banane est aussi top pour le mal de mer, moins facile en cas de tourista (ou Montezuma revenge, j'adore ce terme :-D)

05 fév. 2006

Tu veux parler...
...du Breizh Cola, je suppose ? ;-)

Je crois aussi que l'alcool et tous les excitants sont des facteurs bien connus du MdM...

13 déc. 2005

et la terre...
le mal de terre, personne n'en parle? j'ai la chance de ne jamais avoir de mal de mer seulement celui de terre au retour au port, pas toujours drôles les lignes qui bougent lorsque l'on s'assoit et le pas chaloupé qui te fait prendre pour le boit-sans-soif .....que tu n'es pas ;-)

13 déc. 2005

copier/coller d'un des nombreux fils

physiopathologie du mal de terre - 02-05-2005 18:31 -


l'équilibre est contrôlé par deux systèmes de perception :
- le plus important se situe dans l'oreille interne et est constitué par les canaux semi-labyrinthiques, au nombre de 3 qui sont des niveaux à bulles
- le second est constitué par des recepteurs de pression essentiellement au niveau des ligaments et des articulations

En cas de discordance entre les infos de ces deux centres de surveillance (en mer les labyrinthes informent du roulis et du tangage et les récepteurs ne corroborent pas ces infos du fait de l'immobilité relative ), c'est le cortex cérébral qui arbitre avec la vision .

Manque de pot, dans une cabine ou un cockpit, la vue ne confirme pas le désequilibre des labyrynthes d'où le conflit, la souffrance et le mal de mer .

L'amarinage consiste à trier ces infos pour ne garder que les pertinentes ;

A terre les oreilles internes continuent à percevoir les mouvements passés (de même qu'après un bruit prolongé on l'entend encore) et les recepteurs ligamentaires disent que pas du tout le sol est horizontal d'où nouveau conflit ...

13 déc. 2005

des idées ....
pour moi , le premier truc , c' est d' avoir toujours le ventre plein . Pour ça , le pain est parfait . Il faut eviter tout ce qui est acide style orange(c'est pour ça que je suis chez SFR) . Il faut surtout s' occuper et se responsabiliser en ce disant que notre travail est vital pour la bonne marche du bateau et de l' equipage .
Le pire est de ce laisser abattre . ma femme , son truc , c' est les rillettes sur du pain...
Le coca , que, pourtant, je deteste , est très bon .
Bien sur , il est souvent preferable de faire ses besoins à l' exterieur (dans un sceau ) que dans les toilettes pas toujours bien aerés qui pourtant semblaient si pratique quand on les avait visités au salon nautique ......

13 déc. 2005

Sans oublier
ne surtout pas fumer non plus ..... !

annecdote: départ de Ouistream vers l'Angleterre, quelqu'un sort une boite de paté de foie, je me force à manger .... et zou, bon appetit les poissons ! Je déteste le paté de foie !

10H incapable de bouger allongé sur la banquette du carré (j'étais pas le seul !!)
10 H plus tard ça va mieux, je passe la tête par la descente, j'allume une cigarette, je tire 3 taffes ..... et zou, rebelote les poissons, cette fois plus durement car avec ventre vide.
Et re 5 H sur la banquette du carré !
J'ai rien vu de l'aller !

13 déc. 2005

Un petit truc
qui peut aider/soulager aussi c'est de prendre de l'écorce d'orange et d'en respirer l'odeur (de l'intérieur blanc).

J'ai appris ça pendant une traversée en ferry entre Sète & Tanger: il faisait plutôt mauvais et le ferry bougeait pas mal. Il y avait des gens malades partout sur le bateau, les gens vomissaient partout, même dans le restaurant! Puis le serveur qui se fait la mega-glissade dans une flaque de vomis, hallucinant, digne d'un film!

Désolée c'est vraiment crade mon histoire, mais vous comprendrez que c'est pas un truc qu'on oublie facilement...

13 déc. 2005

tu peux raconter tout ce que tu veux
j'ai installé un essuie-glace sur mon écran! :-)

13 déc. 2005

je savais ...
que l'on pouvait rester allongé sous un pommier pour passer le mal de mer mais alors ça doit marcher aussi sous les orangers :-D

13 déc. 2005

pain d'épice
version améliorée du pain.
Dès les premiers symptomes (nausées, somnolence ou maux de tête) je m'oblige à manger et boire régulièrement en petite quantité: de l'eau et du pain d'épice parce que c'est meilleur que du pain et contient du sucre.
:-)

13 déc. 2005

quand je me sens
du "vague à l'âme", je mange du gâteau de riz yabon en boite (et uniquement en cette occasion !). Ça cale bien, c'est plein de sucre, et ça a les mêmes vertus que la banane... Ah, oui... aussi, j'arrête le Margaux et je me mets à l'eau !

13 déc. 2005

Essayez...
... deux-trois portions de Vache qui Rit ! On peut aussi bouffer une douzaine de petits cubes du même produit, version apéritif. Mettez par dessus le tout un bouchon de pain et plus rien ne régurgite !

13 déc. 2005

Essayez...
... deux-trois portions de Vache qui Rit ! On peut aussi bouffer une douzaine de petits cubes du même produit, version apéritif. Mettez par dessus le tout un bouchon de pain et plus rien ne régurgite !

05 fév. 2006

T'as aussi...
...le ciment prompt !

13 déc. 2005

pouahhh
je crois pas que la vache kiri soit le meilleur remede contre le mal de mer :mdr:
D'une manière generale, il faut eviter les produits laitiers.
Enfin bon, CVBCIC (chacun vomit bien comme il veut)

13 déc. 2005

pour l'instant
c'est un mal que je n'ai pas encore rencontré (ptet un jour) mais toujours est-il que mon équipage fait toujours la gueule quand je déballe le saucisson à l'ail et que ça brasse !
visiblement c'est pas trop leur truc :-D

sans rire, l'essentiel est de toujours avoir quelque chose dans l'estomac, meme pour peu de temps

13 déc. 2005

Nausées...
Je navigue depuis près de 50 ans et je ne me souviens pas d'avoir souffert de ce mal pendant l'adolescence. J'ai même un souvenir dantesque d'une traversée de la Manche en ferry par gros temps (en vue d'un séjour liguistique du genre "A nous les petites anglaises") ou de vieilles anglaises trés dignes glissaient gracieusement à plat ventre d'un bord sur l'autre..Et moi, rien. Malheureusement, et contrairement à ce que l'on considère comme habituel l'âge venant, j'ai, depuis la quarantaine, de temps en temps ce vilain mal qui me titille. Vraiment impossible de déterminer avec précision les causes, si ce n'est l'amarrinage classique et parfois le près serré qui n'en finit pas dans un clapot bien creux. Mais ce n'est pas du tout la règle, et j'ai des souvenirs de longues heures à la table à carte, dans de la mer hachée, sans le moindre souci.
Pour tenter d'éviter ce mal, j'évite le café, le café au lait(encore pire), la nuit d'enfer la veille au soir et les maquereaux cuits amoureusement au four. Personnellement, lorsque je sens le malaise arriver, je vais rapidement m'étendre sur une couchette et là, je sais par expérience que tout va immédiatement mieux. Je n'ai eu a subir qu'une seule fois un vomissement, après avoir dégusté un bon vieux pâté Hé**ff: pas terrible à l'aller, mais redoutable au retour! La position allongée à le gros mérite, à mes yeux, de détendre les abdominaux et, donc, l'estomac et de relaxer l'ensemble des muscles.
Pour les équipiers qui craignent de descendre dans une cabine, j'explique avant de partir ma technique: ne pas attendre qu'il soit trop tard; dès les premiers symptomes, descendre très rapidement et s'allonger immédiatement sur le côté, les yeux fermés. C'est presque toujours un bon remède, le seul inconvénient est la perte d'un équipier qui part généralement pour un très gros dodo. Mais au moins, il n'encombre pas le pont et y a pas besoin de balancer des seaux d'eau.
Parmi mes équipiers habituels, il y en quelques uns qui n'ont vraiment jamais connu le mal de mer. D'autres payent leur tribut courageusement et régulièrement. Certains grignotent leur "médicament": pour l'un c'est la pomme à croquer (sucre et jus), pour l'autre la banane ou l'oeuf dur. Je me souviens de m'en être sorti une fois, au petit matin, par la dégustation d'une simple pomme de terre cuite à l'eau!
Pas de conseils de ma part, seulement quelques expériences qui incitent à la modestie.
A bientôt

13 déc. 2005

La prase du jour.
Un equipier malade est un equipier attaché
:pecheur:
(CNCIV)

05 fév. 2006

les kwells...médicament miracle ?
j'ai souffert du mal de mer avec carrément 24h00 au fond à en crever suivi d'un mal de terre carabiné ! bon j'étais jeune plus sensible que maintenant et attaquer par le raz blanchard sans être un peu amariné ne pouvait que conduire qu'à ça ! A cause de ce problème je m'étais dit que je ne pourrais pas être chef de bord et puis j'ai découvert le multicoque d'une part moins sujet au roulis et surtout les pastilles kwells. j'ai lu plusieurs témoignages sur leur efficacité
nottamment un mécano dela mar'mar m'a confirmé mes dires en prenant part incidemment à une conversation au bar de la gare montparnasse ! En fait la molécule des Kwells n'a rien de révolutionnaire mais je n'ai jamais ressenti de phénomène de somnolence, j'ai essayé sur un ferry avec de l'alcool rien !
Les Kwells ne se trouvent qu'en Angleterre et il faut en prendre préventivement 30' avant puis tous les 6 heures ! enfin tout ça c'est peut-être psycologique !
capt'ain loo

05 fév. 2006

warning !!!
kwells = hyoscine = scopolamine !!
tout sauf un placebo psycholygique
de la dynamite, juste un peu moins actif que la fameuse mescaline !!
que ce produit soit en vente libre en U.K. (avec deux pages de warning & caution :-) ) alors là, je suis sur le cul !
OK c'est de 0.3 mg par cpr et la dose "usuelle" à l'hôpital est de 20 à 40 mg..
mais quand même :-(

28 mai 2007

Dans un Hors série
Loisirs nautiques des années 80. Gérard Janichon avait inscrit en référence ( efficace) les Kwells.
Donc...

28 mai 2007

Je n'ai jamais
réellement eu le mal de mer. Tout au plus j'ai été certaines fois un peu nauséeux dans les premières heures de nav' et uniquement en mer, jamais sur mon bon vieux lac Léman ou j'ai pourtant souvent essuyé des bons coups de vent dans un clapot court et abrupt qui caractérise ce lac! ;-)

Lors d'une traversée (transat ou en mediterrannée) et par gros temps, il m'est arrivé, à un moment donné de ressentir légèrement une petite nausée. Dans ce cas, je n'attend pas que ca empire, je m'occupe de suite... et sur le pont (barre, manoeuvre, observation etc...), j'évite la cabine, ou alors si j'y reste c'est pour m'allonger et là plus aucun soucis une fois à l'horizontale!

J'aime bien les oeufs durs dans ces cas là! Quant au coca je l'apprécie également et pour une raison bien précise : il me fait roter et me soulage instantanément! ;-)

Quant au mal de terre... je ne sais pas ce que ca veut dire, même après 20 jours de "glissades" dans 5-6m de creux jusqu'aux Antilles! Moi quand je suis arrêté je suis arrêté c'est tout! ;-)

Maintenant, pour la petite histoire pas triste, je me souviens de notre périple en Atlantique en 2001 et plus précisément notre escale au Cap-Vert. Nous avions décidé de visiter une île voisine, mais, pour faire simple, nous avions laissé notre voilier au mouillage et pris un petit ferry qui faisait la navette entre deux! Forcément, nous arrivions de plusieurs jours de mer depuis les Canaries alors nous étions bien dans notre élément, a tel point que, pris d'une fringale à bord du bac pendant la traversée, nous avons sorti nos sandwichs et les mangions goulument sous les yeux ébahis et dégoutés des malheureux locaux qui vomissaient tout ce qu'ils pouvaient par dessus bord! :-p

Enfin, en conclusion, ma principale arme contre tout mal de mer, terre, voiture ou autre c'est le suivant : j'ai toujours faim!!! ;-)

Cordialement

28 mai 2007

Remède absolu.
Je crois avoir à peu près tout essayé. Ce que j'ai appris durant toutes ces années, c'est à vomir avec classe. Au début, quand il fallait faire le point en ciré mouillé en crevant de chaud, aller dans le mât au près ou purger le filtre à gasoil en nav, je paniquais, j'étais chiant et après de nombreuses grimaces je courais vomir sous le vent. Puis j'ai développé l'art de gerber avec style. Je reste courtois et dynamique, et bien avant d'avoir les dents du fond qui baignent, sur un "je vous prie de bien vouloir m'excuser un instant", en prenant le temps de capeler mon harnais, je me dirige sous le vent en pensant à un truc ignoble, par exemple que je me baffre de bûche de noël arrosée de gasoil tiède (ça c'est chacun son truc hein) et pouf. Ce qui permet d'évacuer le problème en moins de deux minutes et d'avoir l'esprit clair pour faire le point ou décider d'une manoeuvre. Parce que les conséquences les plus insidieuses du mal de mer, c'est cette espèce d'annihilation de la volonté et de la capacité à prendre les bonnes décisions, ou à passer le temps qu'il faut à savoir où ils sont ces p** de cailloux.

28 mai 2007

Quand j'étais petit,
J'avais souvent le mal de mer, le matin en me levant. Mon père sortait un morceaux de sucre, il imbibait de rhum blanc. Zou direct dans l'estomac. Radical, une sensation de chaleur (le matin à jeun), et ça allait beaucoup mieux.

28 mai 2007

Chaque début de saison
je suis un peu barbouillé, mais après 1 ou 2 nuits à bord je n'ai plus aucun problème pour toute la saison.
Cependant je l'avoue , pour les équipiers ce n'est pas toujours la même chose car l'inaction sur un long bord est parfois difficile à supporter quand cela chahute.
Aussi, dès que mon équipier principal(mon gouvernement)commence à montrer des signes de faiblesse à ce niveau, je lui confie la barre du bateau et dans les quelques minutes qui suivent il n'y a plus aucun problème ( L'attention,le contrôle des mouvements du bateau, le réglage des voiles, la tenue du cap font que ce mal insidieux disparait très vite).
Marc

28 mai 2007

Certains ont le mal de mer
à bord des autres bateaux.
Et à bord de leur propre bateau, pratiquement jamais mis à part quelques petites lourdeurs.
C'est mon cas.
En tout cas à méditer : la responsabilité = le meilleur remède anti mal de mer.

28 mai 2007

Et d'autres...
ma petite soeur a deja eu le mal de mer en lac sur un optimist!
Le truc qui marche pour moi c'est le psychosomatique: j'ai toujours des cachets dans ma poche, et si ca commence a etre un peu chaud, je vais me coucher. La seule fois que je me sentais vraiment mal, c'etait a la tombee de la nuit alors qu'on devait traverser la manche (weymouth-aber wrach). Un de mes premiers quarts de nuit avec un slalom entre cargos a la clef:j'avais la trouille!

17 oct. 2007

Medicament Agyrax
moi le mal de mer se traduit d'abord par de forts vertiges, la tête lourdes, et ce n'est qu'après que les nausées commencent.

J'ai essayé le MerCalm qui est avant tout un anti-nauséeux, donc çà ne m'a rien fait de bien : vertiges toujours présent, et toujours envie de vomir sauf que le MerCalm m'en empêchait. Chacun réagit de manière différente (au medicament et au mal de mer).

J'ai donc découvert l'Agyrax, délivré sans ordonnance, qui traite les vertiges causés par le mal des transports = pas de vertiges donc pas de nausée, pour moi çà a super bien marché.

Il faut préciser aussi qu'à force on s'amarine, à la fin du voyage (10 jours) je n'en prenais plus du tout, et je pouvais rester en bas sans trop de problème pour faire la popote ou le point.

Et voilà.

18 oct. 2007

agyrax...
est de la même famille que les autres médocs utilisables pour ça...

attention donc aux effets secondaires et précautions d'emploi... Bien lire la notice !

:doc:

Phare de Calvia - ES - 29 juin 2021

Phare du monde

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Phare de Calvia - ES - 29 juin 2021

2022