prise de corps mort a la voile en solo

prise de corps mort en solo et a la voile
voila une maneuvre que je devais faire a chaque fin de journee de nav ,
tres difficile au debut ( ho les seurs froides , des fois ), cela c'est ameliore avec les petits trucs , pour finir par une technique que je trouve assez securitee et facile , adaptable je pense a toute taille de canot .
je vous laisse donner vos facons de faire , et apres je donnerais la mienne .

salut

L'équipage
14 sept. 2016
14 sept. 2016

prise de corps mort à la voile en solo?t'es balèze, comment tu fais?
J'ai jamais essayé de tenter
Moi je le fais au moteur si je suis en solo, par l’arrière ou après le maître beau (coté mais sur l'arrière);

14 sept. 2016

Pas mieux. Qd j ai eu des pannes moteur, c était tjrs en équipage. Dans une zone de mouillage avec 5 nds de courant, vaut mieux chercher la sécurité et la simplicité.

14 sept. 2016

Fait mille fois très simple sinon on a rien à faire sur un voilier Amha

14 sept. 2016

À jeanlittlewing, :bravo: :bravo: chapeau bas et entre nous va plus y avoir beaucoup de monde sur l'eau, moi le premier !!!

À Adav29

Défaitiste ! :-p

Quand on ne sait pas faire un truc, il faut l'apprendre, pas se mettre au tricot.

Et c'est ce qu'il y a de bien dans la plaisance, c'est qu'il.y a toujours un tas de trucs à apprendre !

Je trouve assez rigolo d'essayer de faire des trucs que je ne sais pas faire.
Plus encore que l'utilité, c'est le plaisir de le faire.

Pour la prise de bouée, bien sur, on ne va pas commencer par un mouillage encombré.

14 sept. 201614 sept. 2016

oui mais grosse tète, ptite quequette..... :heu:

14 sept. 201614 sept. 2016

moi aussi je vais arréter, du coup je vais me mettre au tricot, la voile ça devient trop compliqué!
Pour les biquettes comme moi qui ont envie d'apprendre, comment vous faites? ( de manière à priori inratable)

16 sept. 2016

Sauf que là, en solo, avec d'autres bateaux autour, je me vois mal me faire ch*er à le faire à la voile puisque j'y arrive très bien au moteur; Ca ferai bcp de risque de casse éventuelle sur les autres bateaux uniquement pour flatter mon égo si j'y arrive.
Ce à quoi on me répondra deux choses:
-oui mais si tu es tout seul et que tu as un problème de moteur? ben je mouille tout simplement, pourquoi m'emmerder?
-ou on me dira: c'est pareil qu'une manoeuvre de récupération d'homme à la mer; non, pas du tout puisqu'il n'y a personne autour (et cette manoeuvre j'y arrive très bien, j'ai même une fois balançé un ami à la baille par surprise pour avoir le plaisir de le récupérer :mdr:

16 sept. 2016

Hubert, cet été, au mouillage aux baleares. Je viens de remonter mon calorstat avec ce la patr a joint et préfère ne pas mettre le moteur en route immédiatement. On aimerait bien changer de mouillage... donc partir à la voile avec mon 38 pieds, 7 tonnes. Pas compliqué diront beaucoup. Oui mais à y réfléchir un peu, le thermique, léger, vient de se mettre en place, on a tourné et l'ancre se trouve en arrière du bateau. Si je ne fais rien le bateau sous gv ne manquera pas de se retrouver dans le vent et ce n'est plus moi aurais la main. Pour partir pas le choix, bâbord amure c'est les cailloux et tribord un bateau que je dois laisser aussi sur tribord.
Il nous faut nous positionner derrière notre mouillage dans l'axe du vent, donc reculer.
Je n'avais jamais, sur ce bateau, essayé la marche arrière. Une vraie mobylette, à deux sur la gv, le bateau s'est dehalé tranquillement déployant la chaîne de tout son long.
Gv choquée en grand, mouillage remonté jusqu'à venir quasiment à l'aplomb, on a attendu d'être légèrement sur tribord pour dérouler le génois à contre et remonter fissa le mouillage. Le bateau à pivote tranquillement quasi sur lui même pour venir sur la route voulue, gv et génois alors bordé on n'est partI aussi bien qu'on ne l'aurait fait au moteur. Le moteur était prêt à partir aussi s'il le fallait. On remouille sous voiles avec marche arrière pour bien planter notre pioche. Pas possible avec du vent soutenu, mais aussi efficace qu'en deriveur

14 sept. 2016

Little wing mais grosse tête ;-)

15 sept. 2016

Comme une récupération d'homme à la mer.
Le seul problème est si le mouillage est encombré...

14 sept. 201614 sept. 2016

Ahahahah....plus de mille fois. C est l avantage d être vieux. Et retraité?

14 sept. 2016

Je voulais savoir avec quel voilier , je suis allé sur le profil,,,,,,, "aucun bateau actuellement" avec un 420 ça se fait..( quoi que!!!) ..avec un 50 pieds plus dur !! :-D :mdr: :mdr:

14 sept. 2016

Bravo, il faut un début à tout......

14 sept. 2016

de mon coté je prepare une longue amarre, je la ramène a l'ar par l'extérieur et la pose à coté de moi, je n'ai plus qu'a amener la bouée à l'ar du bateau à coté de moi et la passer au corps mort, je la ramène parfois sur le winch le temps d'arreter le bateau puis à l'avant

14 sept. 2016

Comme Motus. Pris par l'arrière et ramené sur l'avant

14 sept. 2016

tout dépend du vent et du courant... souvent selon le bateau, être légèrement sous toilé et aller moins vite peut être un plus.
C'est comme en équipage, sauf que l'équipage fait pas de c... on sait à qui s'en prendre.
selon le vent et le courant, on arrive soit face au vent, soit au courant en évaluant la force de l'un et de l'autre, le plu simple reste vent arrière face au courant.... mais on ne commande pas.
ensuite tout dépend si c'est son corps mort, en général j'ai mon aussière et souvent même mon annexe, vite un tour et une demi clef, j'affale et je m'occupe d'amarrer plus sérieusement, sinon j'ai une gaffe avec un gros mousqueton, un bout dessus, je croche, tour mort demi clef, affaler, et si loupé vite bis répétita.
C'est excellent de s'entrainer sur son corps mort chaque fois que possible : on connait bien le coin, les conditions et cela habitue à manœuvrer à la voile avec peu de risque.

14 sept. 2016

Jeanlittlewing a mille fois raison, on devrait TOUS savoir faire ça. Çà fait partie des fondamentaux, d'ou la nécessite, à mon avis, de débuter la voile avec un petit bateau( 5 à 7 m maxi).
Comment fait celui qui ne maîtrise pas ce genre de manœuvre basique, en cas de problème de moteur? Il appelle le cross?...
Perso je le fais à chaque fois que l'occasion se présente (bateau de 8.75m).
Celà dit, c'est vrai que c'est plus difficile avec un plus gros bateau, au moins en solo.

15 sept. 2016

Boatlover,avant d'appeler au secours sur mon voilier il y a une trappe à l'avant avec un machin en forme de crochet très lourd et au bout y a comme une chaine et au bout une grosse ficelle, c'est peut-être utile pour s'arrêter ? Si je balance tout ça dans l'eau j'ai bon ?
:reflechi: :mdr:

16 sept. 2016

Il faut quand même attacher la ficelle au bateau avant de tout jeter à l'eau pour avoir bon :-p

15 sept. 2016

t'as bon mais ça fait moins classe..... :heu:

14 sept. 2016
14 sept. 2016

tu triches , tu peux prendre la bouée au chalut entre tes coques :heu:

14 sept. 2016

jamais fait sur un corps mort mais dans le fond c'est comme la fin d'une manœuvre d'homme à la mer sous voiles non.

On arrive au près et on choque progressivement les voiles (seul c'est plus difficile)...ou on dépasse au près et on on se met à la cape pour revenir en dérive sur le corps mort et le chopper à l'arrière....

14 sept. 2016

@tiktak, s'entraîner à Omonville, les anneaux sont très hauts et grands, facile aussi pour en repartir à la voile bien entendu.

15 sept. 2016

c'est peut etre pas le bon tictac
sinon il y a sercq, mais c'est de la triche avec les aussieres

14 sept. 201616 juin 2020

Bonjour,
Cela m'arrive régulièrement de prendre une bouée le temps d'un pique nique à Groix (Sables Rouges ou Port Lay) , j'arrive à une allure entre le près et le travers avec juste ma GV et le Tape-cul, arrivé à une dizaine de mètre de la bouée, je met le canot face au vent et viens mourir dessus , je me déplace à l'avant pour me saisir de la bouée et m'y amarrer (j'avais préparé mon aussière avec mousqueton large ouverture déjà passées dans le davier et amarré au taquet avec la gaffe à porté de main) après retour au cockpit pour affalage de la GV (je garde souvent mon tape-cul bordé plat pour maintenir le canot face au vent au mouillage).
Manœuvre apprise en club de voile dans les année 70 en Caravelle (mais elle n'avait pas de tape-cul).
Par sécurité, si beaucoup de monde au mouillage, moteur HB en marche au point mort (au cas ou) :mdr:
Yann

14 sept. 2016

phase 1 etre capable d'arriver à un quart de nœud étrave à la bouée
phase 2 marcher vers l'étrave et prendre la bouée au lasso
ensuite passer les amarres

si la bouee a déjà des amarres tellement facile qu'on en parle pas

si situation critique, clapot vent prendre par l'AR

voila
pas retaité non, peut etre pas 1000 fois, disons 500
:acheval:

15 sept. 2016

Non, ton bout est à l'arrière, mais il est frappé à l'avant. Une fois la bouée chopée, tu laisses filer, ton bateau se retrouve bout au vent, amarré un peu long, mais tu as le temps de venir reprendre le tout tranquilou. Encore plus facile avec une gaffe à mousqueton auto, sur une bouée avec anneau.

16 sept. 2016

Meme un peu plus pour faire un 180° en douceur

16 sept. 2016

Si pas assez de place, tu peux toujours garder le retour du bout dans le cockpit : dès que tu as croché dans l'anneau, tu reprends fissa le bout pour ramener la bouée à l'étrave, éventuellement avec un tour sur un winch avant d'aller à l'avant assurer l'amarage.

14 sept. 2016

Tout pareil sauf que j examine attentivement vent et courant avant de lancer mon étrave droit vers le corps mort. Ensuite le "s il y a des amarres trop facile" ça vaut peut être pour un bateau pas trop haut de franc bord. C est rare que les amarres se tiennent à la verticale comme un serpent. Enfin si tu as un tri comme moi ben.... C est pas du tout ça. Bref, je te laisse à ton compteur de certitudes :-p
Par ailleurs, j applaudis des deux mains les barreurs qui rentrent leur canot au chausse-pied dans une marina. Ils méritent d être sur un bateau

Prendre la bouée par l'arrière sous voile cela veut dire que le bateau va vite se retrouver vent arrière grand voile pas finie d'affaler ?
Ou tu affalés avant d'arriver à la bouée , la dépasse et la prend quand elle passe près du cockpit ?

il faut vraiment beaucoup de place : au moins deux foix la longueur du bateau avant la bouée suivante.

14 sept. 2016

Missing
boatlover
Je fais pareil:
1-Affalage de la voile d'avant.
2-Approche vent de travers.
3-A proximité de la bouée, je choque en grand la gv en même temps que je loffe.
Si j'arrive trop lentement ou si je rate la bouée, j'abat en grand, j'empanne et je recommence.

14 sept. 2016

allez... plus difficile
comment amarrer cul à quai et sur ancre (spécialité grecque) par vent de travers à la voile ? :heu:

ça fait pas parti des fondamentaux mais quand même, ça aurait de la gueule :mdr:

15 sept. 2016

facile !! il suffit de t'entrainer sinon toi non plus tu n'as rien à faire sur un bateau.
Moi j'y arrive..... dans mes rêves :heu:

16 sept. 2016

dejà, je m'entraine à démêler les salades d'ancres !!!! un mec à réussi à emmeler 3 mouillages + le sien hier soir !!!

que des britich du 4eme age donc c'est Tartempion qui a joué des biscoteaux depuis mon annexe en essayant de pas me faire ecrasser les doigts :tesur:

14 sept. 2016

Bonsoir,
je le fait le plus souvent possible, avec la même technique que celle de Yann (également des Glénans et de toutes les écoles de voiles des 60-80 qui utilisaient des voiliers sans moteur).
Petite précision toutefois: il faut bien faire attention à ce que l' écoute de grand-voile puisse être choquée en grand AVANT d' arriver sur la bouée, de telle sorte que la GV ne puisse pas "reprendre" le vent tant que le bateau n' est pas stabilisé en traction sur le corp-mort.
Il faut aussi, mais çà va de soit, que la GV puisse descendre en quelques secondes (engoujure de mat et coulisseaux bien téflonnés).
Si il y a du clapot et que le bateau a du mal à virer sous GV seule, on peut avantageusement garder un tout petit bout de triangle avant, ou mieux une vraie trinquette, qui a l' avantage de faciliter la manœuvre et de ne pas gêner l' accès à l' avant du bateau.
Gorlann

14 sept. 2016

J'ajoute juste un p'tit truc qui n'est pas technique, c'est que manœuvrer à la voile est un PLAISIR. Enfin pour moi c'en est un.

14 sept. 2016

Ça dépend du courant... Sur le bassin d'Arcachon, avec le courant pas toujours simple surtout que les corps morts pas très espacés... Mais départ corps morts avec voile d'avant hissée et gv au fur et à mesure...
Pour prise de corps morts, le plus simple gv affalée et sous foc arrive sur le corps morts, puis je lâche la drisse de foc assez proche du corps morts et petit coup de barre pour avoir le corps morts collé et avec la gaffe... Et hop !
Toujours en solo !

14 sept. 2016

Arriver sous GV sur la bouée face au vent, se placer de quelques mètres au vent de la bouée, laisse fasseyer la voile, on tombe naturellement sur la bouée et la saisir au niveau d'un winch. Il n'y a plus qu'à passer une amarre.

14 sept. 2016

bonsoir
je vois que cela vous fait causer ; ceux qui ne l'ont jamais tente , il ne faut pas vous sentir moins bon , c'est que aviez d'autres solutions .
mon voilier etait un vieux quarter de regatte , pas de moteur ,vif et leger donc peu d'erre et sensible au vent de travers si vitesse presque nulle ; son autre particularitee etait une minuscule gv qui ne voulais que le canot soit maneuvrable quand elle etait seule a poste .
c'est une bonne maneuvre d'entrainement d'homme a la mer pour tous le monde .
je vois que plusieurs ont l'habitude de le faire .
donc la bouee , et je n'est pas precise l'annexe amarree dessus sans la couler ( sinon on rentre a la nage ).
en premier un bout amarre a l'etrave et le passer dans l'anneau
bateau vif qui repart tres vite , pas toujours eu le temps de passer le bout dans l'anneau ;bonjours les mains certaines fois
deuxieme test
le crochet au bout d'une gaffe avec un anneau et un bout qui revient a l'etrave .
je prenais la bouee en latteral , depuis le poste de barre .
j'ai fait cela quelques annees , et trouvais cela bien ; mais il y avait des louppes , la gaffe , le crochet l'anneau .

la suite est pour plus tard , mais je ne pense pas que ma methode soit plus difficile sur un gros canot ( 50 pieds ) l'imperatif , selon moi est d'etre toujours maneuvrant et maitre de son canot donc pas d'affalage avant d'etre amarre ; car une zone de bouees de moullage peu etre tres encombrees , avec des canots qui evite differamment .

salut

15 sept. 2016

Jamais eu de pb avec le mousqueton pris dans une ferrure dédiée sur la gaffe, relié à un bout qui passe à l'étrave et fini sur un winch.

16 sept. 2016

J'avais aussi trouvé exactement la même technique que toi Bernard lorsque j'étais dans le golfe dans une zone à très fort courant.

14 sept. 2016

Sur ton anneau, peut-être qu'un bout déjà frappé genre 2 à 4m avec un flotteur et plus facile à prendre avec la gaffe

14 sept. 2016

Euh y'en a qui sont balèzes !
En théorie aucun problème, en pratique c'est une autre paire de manches ! A moins de prendre une bouée au milieu de l'océan, en général il y a du monde autour des bouées de mouillage, et celles qui restent sont en général pas les mieux situées...
Sur un canote de bonne taille ce n'est déjà pas évident seul au moteur dès qu'il y a du monde autour et sans compter qu'il faut jouer avec le vent et parfois même le courant !
Je meurs la coque (solide et pas peinte) sous le vent sur la bouée (si celle ci assez haute et grosse pour ne pas passer rapidement dessous) ou alors comme les collègues plus haut je m'y prends en marche AR (pas mal avec une Maxprop) et avec une longue aussière que je peux ensuite passer à l'avant. M'ai arrivé de m'y reprendre (au moteur) à 3 fois et une fois l'aussière capelée rien que l'évitage de mon canote (aussière passée de l'ar à l'avant) a donné des sueurs froides au voisin... alors à la voile ?!! Rien que ma GV que j'affale au moins 30 minutes avant d'arriver, car seul c'est un gros boulot même avec les lazy jacks ... alors à la voile j'aimerais bien !
Suis peut-être nul après tout
mais je dirais qu'un canote de 20T ne se manie pas comme un 420 ou même un Surprise !
Dans mes "jeunes années" on faisait tout à la voile (y compris se manger le quai d'un port) mais bateau plus petit (qq mètres de moins c'est la moitié du déplacement) et équipage entrainé , mais il me semble qu'aujourd'hui il y a moins de place dans les ports pour manœuvrer... ou alors je suis un solitaire has been !

14 sept. 2016

Allez, j'invite tous les cracks de prise de coffre à la voile à venir en prendre un sur la Vilaine, pas en amont du barrage évidemment....je crois qu'on va :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

14 sept. 2016

Ok Dekers RDV dimanche 18/09 vers 10h pour prendre une bouée en solo à la voile face a Tréguier sur la Vilaine...... :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

15 sept. 2016

Dekers, viens dimanche pour essayer c'est un petit coeff ...."112" :oups: :mdr: et tu as tout à fait raison d'INSITER sur le fait de s'entraîner à manœuvrer sous voile, c'est utile parfois que quelqu'un de TRÈS expérimenté en fasse la remarque....... :topla:

15 sept. 2016

Bien vu coat mer en effet sur la Vilaine c'est Trehiguier .... :bravo:

15 sept. 2016

Dek, vient faire une démo, je mets mon canot à disposition :-)

15 sept. 2016

J'ai liker, sur FB :-)

14 sept. 2016

On en prend bien sur le bassin darcachon avec du courant et du vent, dans n'importe quel sens et un peu de clapot, et avec des corps morts proches... Mais nos bateaux sont manœuvrants...
Elle me fait pas peur la vilaine :-p

15 sept. 2016

@tedacsum, C'est tant le chantier que ça ??? Elle est si Vilaine ? J'imagine que ça peut être compliqué, merci pour l'invit... mais... est ce que ça vaut vraiment le déplacement ???
Il y a 2 ans le 2 janvier, arrivé sous spi dans le port et empannage devant le musoir du port avec environ 8kts de vent et en double... je dirais pas où pour ne pas se faire enguirlander, on pensait bien qu'il n'y avait personne dans la vigie pirate...sinon on ne l'aurait pas fait...quoique ????
Mais à ne pas refaire bien sûr !!!
Par contre j'insiste sur le fait de s'entrainer à manoeuvrer à la voile est important, au cas où.

15 sept. 2016

Tedacsum, t'inquiètes ! le coef de 112 est aussi chez nous sur la Gironde...
Faire de la régate, ça aide beaucoup, sur des départs, ça nous arrive d'avoir 1,5 à 2,5kts de courant, sur la ligne et pas trop de vent et des bateaux à touche touche, il faut gérer le courant le vent les bouées les ptits camarades avec des vitesses et caps différents et le chrono !!!
Maintenant je suis pas plus expérimenté que plusieurs d'entre nous, mais je sais manoeuvrer mon bateau à la voile.
Un truc super aussi, l'arrivée à Mortagne sous spi dans le chenal, un vrai trip !!! Pas simple car le vent est perturbé mais le courant dans le sens du chenal qui est très très étroit, mais c'est de la vase et des roseaux...

15 sept. 2016

Vous allez vous rater, Tréguier c'est sur le Jaudy
:alavotre:

15 sept. 2016

@bmayer, pour info, avec le fig de Guillaume à Royan, on a gagné les 2 championnats fait avec son fig1 :-p

17 sept. 2016

Un marin ne fait pas l'autre.
Certains consomment plus de KW que d'écoute. Généralement, ça se voit très vite lors des manœuvres courantes.

14 sept. 201614 sept. 2016

Avec ça c'est déjà plus facile :
www.accastillage-diffusion.com[...]24.html
même s'il y a encore mieux. Ca par exemple :
voile-penmarch.fr[...]atique/
Bon mais à la voile c'est aussi un autre pb.

14 sept. 201616 juin 2020

Gingin vs catalogues d'accastillage.

16 sept. 2016

Voila des solutions à retenir, la première est un peu trop rustique pour moi, la deuxième est un classique que j'avais vue dans le marin breton il y a quelques années.
Elle a le mérite d'être simple à fabriquer et à utiliser.

16 sept. 2016

Le premier modèle est tout plastoc, je doute de sa solidité à long terme.
Le deuxième parait bien, mais yu as vu le prix : 110€ :non:

07 nov. 2016

La première ne pas oublier de tenir le bout jaune quand on l'enquille sinon ça déconne quand il y a du vent parce qu'en général on ne fait pas la manœuvre assez vite en solo.
La seconde est un peu juste pour passer les amarres sur les gros taquets dans certaines marinas surtout celles qui reçoivent des motoryachts et qui du fait ont renforcé leurs installations.

14 sept. 2016

Mon canote est petit ,donc c'est plus facile .Quand je l'ai acheté il n'avait pas de moteur .Deux années a travailler entre hyeres ,Toulon et Porquerolles toujours a la voile et dans le port de Porquerolles l'été ,c'était ..habité .il a bien fallu s'y faire .Comme renter dans l embouchure de mon chantier en tirant des bords dans la rivière ,contre courant ,et sans espace .Pour le coffre ,arriver sans erre ,bout au vent sur la boubou est l'objectif ,avec palan choqué en grand (gorlann) pour pas de surprise .Aprés c'est la bataille pour choper l'anneau ,courir avec la gaffe ,ou laisser couler jusqu’à l’arrière le long de la coque .ça peut rater ,mais au port vaut mieux éviter .

14 sept. 2016

re bonsoir
vous estes pour certains a ma deuxiemes solution ,je l'ai mal expliquee une gaffe avec le crochet a verroullage relie a l' etrave par une amarre .
,pas souvent facile de prendre l'anneau du coffre en solo , a la voile , des fois de l'air et petit clapot en ayant a l'esprit si je rate je refais un tour , donc je n'affale rien avant l'amarrage provisoire.
si les mouillage de la vilaine sont maneuvrable a la voile ; il faut un peu de place quand meme, c'est sans doute la meme difficultee que sur la rance ( a l'autre bout , au nord ) .
c'est depuis le poste de barre et de maneuvre que je prends ma bouee , en lateral pas besoin de courir a l'etrave .

( je continu la chasse au frelon , 5 dans la maison ce soir , reste 2)
a demain

salut

15 sept. 2016

Bonsoir

voilà une pratique que j ai usité durant 25 ans sur mon mouillage à Arzon dans l anse de Bernon face à Er Lannic , c 'était toujours un plaisirs de rentrer dans cet anse à la voile et de venir tranquillement prendre notre bouée de corps mort qui était dans une zone abritée et peu encombrée ( échouage ) , il faut dire qu'a cette époque là ,nos voiliers étaient plutôt bas de franc bord , Corsaire , Kelt 707 , tout aussi plaisant de venir mouiller son ancre à la voile , chose pour laquelle je me suis fait parfois "engueuler" parce que je louvoyais au milieu des bateaux à la grande plage de Houat par exemple ( il n y a pas si longtemps encore avec le Kbane 7.10 )

tout dépend donc du franc bord du bateau , de son poids et de la configuration autour de la bouée
les dernières années du Kbane , bien qu ayant un bateau hyper évolutif , les nouvelles règles m ayant "viré" de mon corps mort pour 10 cm de trop je me suis retrouvé sur des bouées au Logeo en plein courant traversier , souvent venté et avec de nombreux mouillages autour , je me suis rarement permis cette manœuvre , par sécurité , la plupart du temps au moteur , frustrant je dois l avouer mais c est pas la peine de jouer les mariolles et de risquer de venir aborder un voisin

depuis que je suis sur la petite mer je me permet de nouveau cette manœuvre avec le hunter Pilot au franc bord pourtant nettement plus conséquent , ce bateau est hyper manoeuvrant et se relance aussitôt en cas de raté , il y pourtant du courant et l espace est relativement étroit mais généralement j ai vent et courant dans le même sens ce qui facilite les manœuvres , de plus j ai une boucle facile a attraper qui reste à poste sur la bouée de corps mort

ce petit plaisir fait partie intégrante de la navigation tout comme j ai toujours l habitude de naviguer avec les cartes papier et de faire des relevés au compas et des points , le Gps est là pour me conforter ,cet outil est pour moi comme une sécurité supplémentaire , voilà les réflexions d un affreux passéiste pour qui ces petites choses font justement parties du plaisir de naviguer
c est une manœuvre très plaisante mais à mon avis pas possible en toute circonstances , beaucoup de paramètres à prendre en compte , vent , mer , courant manoeuvrabilité du bateau , erre ... la hauteur du franc bord et le poids du bateau étant à mon sens les deux points qui peuvent nettement compliquer la tâche en toute circonstances , je le sais pour l avoir fait avec mon Moody 33 , là c est nettement plus compliqué en solo

15 sept. 2016

Pour ma part, avec un 10 m, il arrive régulièrement que je m'y prenne à 2 fois ou que j'arrive trop vite et que le bateau se stoppe entre la bouée et mon annexe.... pas grave, ce n'est pas toujours évident avec le courant , c'est pour pouvoir manœuvrer aisément que je laisse le solent, cela complique la prise à la gaffe, mais si je loupe je suis manoeuvrant. pour cela aussi que je n'affale jamais avant d'être amarré même sommairement.
quand mon moteur fonctionne, ll est fréquent que je mette au point mort même en arrivant à la voile. et si trop de vent ou rien, ou BM de vive eau qui fait que cela ne pardonne pas si je loupe, ou si je suis en retard et pressé c'est au moteur, mais je pense qu'il faut le faire le plus souvent possible.

15 sept. 2016

Avec un corsaire j'arrivais a rentrer et a sortir du port d'arcachon a la voile ou a la godille sur mon canot de 12 m je me vois mal entrer dans un port de med pour rendre un place cul au quai dans une travée.
Une fois Je suis entre dans un port sous voile en italie pour m'amarrer en bout de quai suite a une panne moteur mais j'etais un peu tendu et un zodiac de la capitainerie etait pas loin pour rattraper le coup.
En solo j'ai aussi fait parfois la manoeuvre je mouille et marche arriere jusqu'au quai sans telecommande au guindeau et bien sur au moteur. La prise de corps mort sans pb au moteur tres complique en med a la voile ou les coffres sont tres proches quelques metres et ou si on se rate se prend le voisin ou les cailloux ou on se retrouve avec les baigneurs sur la plage

15 sept. 2016

Ma technique :
Je laisse l'aussière au niveau de l'anneau de manière à ce qu'elle ne traîne pas dans l'eau. Du coup cela facilite la prise avec une gaffe. Sinon, j'ai un crochet à frapper au bout de ma gaffe. Au passage, l'aussière reste propre.
Avant d'arriver au CM, je roule le génois et fait route sous GV seule pour casser la vitesse. J'arrive au près pour garder un peu de vitesse et rester manoeuvrant (autres CM autour avec des voiliers).
Quand le CM est à 45°à 2 longueurs, je lofe et fait route GV fasseyante direct sur le CM, barre bloquée et va à l'avant pour récupérer l'aussière.
Si loupée; je reviens pour abattre du côté où n'est pas la bouée, reprendre de la vitesse, éviter les autres bouées et voiliers et retenter la manoeuvre.
Dès aussière sur taquet avant, je vais descendre la GV.

Avant de s'entraîner à prendre un CM, s'entraîner à quitter un mouillage ou un CM sous voile.
Toujours utile en cas de pb moteur ou pour partir tôt le matin sans réveiller tout l'équipage !

15 sept. 2016

procédure identique à "dofin" avec un canot de 6,5m. je rajoute perso que dès ma décision est prise une bonne concentration sur l'objectif à atteindre,sur le plan d'eau (baigneurs,bateaux,risée, courant etc…) est nécessaire . les écoutes et drisses sont claires. généralement ça marche,sinon je recommence

15 sept. 2016

Avec le cata bien plus haut que le petit tri montré plus haut , c'était la même chose à part que j'utilisais une super gaffe "passe bout'"

15 sept. 2016

et pour repartir même chose....;

Ici la version longue:

15 sept. 2016

Si vous voulez vous entraîner dans une zone de mouillage n'oubliez pas de mettre votre moteur en marche, au cas où....
Avec du vent, sous voiles, je vous déconseille de prendre votre mouillage autrement que par l'avant.
C'était chose courante avant dans les ports ou au mouillage puisqu'on avait pas de moteur, mais les bateaux étaient plus petits, la petite boulette était moins préjudiciable. Aujourd'hui je me méfie de ceux qui veulent jouer les cadors en arrivant ou en partant sous voiles dans les zones de mouillage et je constate que ce sont rarement des bons qui s'y collent.

15 sept. 2016

lorsqu'on pratique souvent ou chaque fois que c'est possible, ce n'est vraiment pas un souci

15 sept. 2016

Que le moteur tourne au point mort est une sage sécurité mais n'empêche nullement de faire la manœuvre à la voile

Et tu remarqueras que j'ai écrit "chaque fois que c'est possible "

15 sept. 2016

La première vidéo envoyée est une partie de celle que j'ai envoyée juste au dessus. Ce jour là ne sachant trop que faire je me suis amusé à aller prendre ce mouillage et tu verras que je ne m'arrêtais pas vraiment.
Comme hisser cette GV n'est pas que du repos, je l'ai bloquée ainsi me réduisant l'effort pour repartir comme tu peux le voir sur cette deuxième vidéo où il y a le départ à la voile également.

Ca ne se veut pas être une leçon, juste un amusement montrant cependant une manière de faire.

15 sept. 2016

Les zones de corps mort ou de mouillage sont de plus en plus encombrées, les bateaux de plus en plus gros et les gens ont de moins en moins l' habitude. Leur faire croire que ce n'est pas compliqué est un leurre. Il faut anticiper sur tout, prévoir de se relancer, d'être manoeuvrant etc...
J'ai eu et j 'ai navigué sur beaucoup de bateaux sans moteur, que ça soit dans une zone de mouillage, serré comme des sardines avec corps mort avant arrière parce que pas d'evitage ou dans un port j'y vais mais avec toutes les précautions d'usage et je reste concient du couac qui peut toujours arriver. J'ai un 38 pieds, même si je sais faire j'arrive toujours dans une zone de mouillage avec mon moteur en marche. Je n'ai rien à prouver et l'expérience doit mener à un peu de sagesse.

15 sept. 2016

Clarivoile: mets toi 2 s dans la peau du mec qui ne sais pas. A vous lire c'est simple et tout le monde devrait s'y mettre.
Quand tu lis que c'est super simple, fais mille fois et qu'avec du vent et du capot il suffit de prendre son mouillage par derrière, sous voiles, .....tu te dis qu'il faut avertir celui qui ne sait pas qu'il s'exposé à quelques frayeurs.
Après si le post c'est de montrer son niveau de competence c'est autre chose.
D'ailleurs, si je peux me permettre, apres avoir vu ta video, descendre sa gv au tiers, quand tu vas prendre ton mouillage ne te laisse pas beaucoup de chance d'être dans les meilleurs conditions pour être manoeuvrant si tu n'arrivais pas à choper ta bouée.

15 sept. 2016

Oui je vois bien que tu contrôles, je te taquine un peu. ;-) et rajoute ce commentaire pour ceux qui cherchent à comprendre.

15 sept. 201616 juin 2020

Bonjour à tous,
Si vous voulez vous entraîner à la prise de coffre à la voile, venez au Lazaret !!!
Zone d'evitage calculée au plus juste, et perso prise de coffre sur 180° ! Après si vous allez trop loin, il n'y a plus d'eau...
Je laisse une longue aussière dans l'annexe frappée sur la bouée et je l'attrape avec la gaffe par la proue du boat.
Une fois le bateau en sécurité, j'ai tout le temps de frapper les amarres munies d'amortisseurs.
Faire tout cela à la voile, je n'en suis pas encore capable...
Amitiés,
Jean-Marie

15 sept. 2016

@"Faire tout cela à la voile, je n'en suis pas encore capable... "
Ben faut essayer, s'entraîner, bref apprendre, comme pour toute chose.Faut juste dans un premier temps s'entraîner dans un endroit peu peuplé.Tu verras c'est jouissif! ;-)

15 sept. 2016

bonjour
il faut bien sur rester maitre de son canot et ne pas taper dans les autres , donc pas toujours possible si pas d' espace .
ma bouee de corps avec un anneau dessus ; pour je ne sais plus quelle raison a ete changee ; et budget tres faible ( le mien ), remplacee par une bouee simple , sans rien en haut .
et la il y a moins de solutions ; mais j'avais teste avant , ce que j'ai utilise depuis , tant que j'etais mouille en rance .
ce soir je vous donne " ma solution " .

salut

15 sept. 2016

En solo lorsque les conditions sont bonnes j'essaye de prendre les corps morts à la voile enfin ceux qui sont en limite extérieure de la zone et à condition que le vent ne pousse pas vers l'intérieur de la zone afin d'éviter d'aller taper un autre bateau si je rate mon coup .
J'essaye de trouver l'angle entre le vent , le courant et en prenant en compte aussi l'axe des bateaux environnants .
L'approche se fait sous GV en la bordant/choquant pour avoir le minimum de vitesse tout en restant manœuvrant , une fois à la bonne distance estimée du corps mort je choque en grand et là le temps que le bateau cours sur son erre j'ai quelques secondes pour estimer qui du vent , du courant ou des vagues va l'emporter pour donner le bon angle à la barre , barre qui restera maintenue par un sandow .
Une fois à l'avant du bateau 3 possibilités s'offrent à moi , 1) j'ai bien manœuvré et je peux attraper à la gaffe la petite bouée à laquelle est fixé le " fouet " pour s'amarrer , 2) j'ai pas trop mal manœuvré j'attrape au lasso la grosse bouée à l'aide de la gaffe et d'un bout qui coule , 3) j'ai très mal manœuvré et je dois recommencer .
Pendant toute la manœuvre le moteur est en marche au cas ou .

15 sept. 2016

Je rate aussi, je recommence épicétou
Le est gentil manœuvrant
Avec sa petite gv et dérape peu et peu de fardage et fb raisonnable
Cela dit si il y avait un permis voile ça devrait être une épreuve
Éliminatoire Amha
Le lasso pour moi c est une Amarre saisie en boucle a l avant et qui revient presque à mi bateau c très fAcile de ceinturer la boue

15 sept. 2016

Ah bon moteur au ralenti ?, c'est peut-être pas si simple que ça alors ? :mdr:

15 sept. 2016

Relis le début du fil jeanlittlewing le dit : fait mille fois TRÈS SIMPLE...... faut suivre :litjournal:

15 sept. 2016

Ouah!!!
Mais alors toi aussi t'es un crack! Tu nous l'avais bien caché hein... :bravo: :lavache:

15 sept. 2016

Si moindre
Doute moteur au ralenti

15 sept. 201615 sept. 2016

Qui t'a dit que c'était simple?D'ailleurs même au moteur ce n'est pas toujours simple.
On a simplement dit que c'était une manœuvre basique que tout pratiquant devrait maîtriser, ce qui est le cas de jeanlittlwing et de quelques autres participants à ce fil. Et ce ne sont pas pour autant des cracks ou des balèzes comme tu les qualifies avec ironie, mais simplement des gens qui ont appris les fondamentaux, mais encotre faut-il en avoir envie... :-p

15 sept. 2016

À boatlover, à propos des fondamentaux ça y est ça me revient, dans les années 90 à Calais en rentrant au port entre 2 ferrys avec mon Muscadet je prenais un coffre en attendant l'ouverture de la porte. L'entrée et la sortie sous voile étant interdite je rentrais sous GV seule appuyé avec mon petit HB, et parfois dans l'avant port je m'amusais en attendant à gaffer le coffre. C'est pareil non ?

15 sept. 2016

Sauf que moi j'ai jamais dit que c'était simple......un peu d'humilité SVP

15 sept. 2016

J'ai été pendant 1 an au corps mort à Soubise (sur la Charente). J'ai eu beau essayer et réessayer, jamais réussi. Le temps que j'attrape l'aussière, le jus m'avait viré. Faut dire qu'il y en a, du jus, sur la Charente. J'ai essayé d'arriver face au courant, pas mieux. Le temps que je choque en grand, le jus m'avait viré. Une fois j'ai failli réussir, en arrivant perpendiculaire à la bouée. Le jus m'a gentiment fait pivoter, j'ai presque eu le temps, mais une fois dans l'axe, bye bye la bouée...
Sinon, avec peu ou pas de courant, c'est effectivement pas compliqué, un peu comme une manœuvre HLM. Mon moteur est toujours en route okazou. En revanche, au lasso, j'ai jamais pensé. C'était peut-être ça la bonne solution dans mon cas, sachant qu'il y avait de la place pour éviter.

Sauf vent très fort il faut arriver face au courant donc parfois vent arrière ce qui oblige à arriver sous foc GV affalée.
À Chausey on voit souvent des bateaux essayer de prendre la bouée en ne s'occupant que du vent. Vu la taille de plus en plus grande de nos bateaux cela peut être très dangereux surtout quand l'équipier après avoir crocher la bouée à la volée garde l'amarre à la main ....
Certains y ont vider leur réserve de biaphine (ne pas confondre avec la diaphine !)

15 sept. 2016

bonjour
je vois avec plaisir et admiration qu'une bonne partie des intervenants font des prises de bouees a la voile en solo .
certain s'approche de ma solution : lasso qui revient vers l'arriere .
mais des fois le bout n'est pas lance assez loin ( boue au vent et courant)car le canot depale vite; ou glisse sur le haut de la bouee , donc pas amarre ; il faut refaire une approche a petite vitesse bien sur .

salut

15 sept. 2016

Je prends une vieille amarré assez lourde qui peut un peu souffrir même temporairement sur une chaine rouillée et aggressive

15 sept. 2016

c'est sur que le courant change tout .résultat plus garanti pour moi dans ce cas la par manque d'expérience .Pour ici ,c'est grâce à l'apprentissage reçu en class 8 qui n'avait pas de moteur et avec lequel on manœuvrait partout a la voile que j'ai pu l'apprendre .Ce n'est pas une gloire,et aujourd'hui avec le moteur a bord je ne le fais plus .ça m'avait aussi permis de rentre un beaufort 16 a la voile a sa place a Toulon par petit vent alors que le moteur avait explosé dans la petite passe en sortant .Pas une gloire non plus et j'ai eu du bol de rien casser.

15 sept. 2016

bonjour à tous; aux glenans(l'ecole)dans le temps c'etait une manoeuvre courante avec caravelles et vauriens, on partait aussi de la plage sans safran ni derive il fallait manoeuvrer avec les voiles et la repartition du poids! aujourd'hui ne navigant plus qu'en solo sur un voilier de 14/15 m je ne tenterais pas l'operation, sauf panne moteur surtout par respect pour les autre bateaux, je choisirais plutot l'option de mouiller! par contre je fais toutes mes prises de coffres au moteur sans trop de problemes ,j'arrive tres doucement contre vent et courant, je debraie à la derniere minute, je cours à l'avant ou j'ai preparè une longue perche en alu telescopique(dans les magasins vert outil pour prendre les fruits) j'ai bricolè dessus un suport de gros crochet wichard avec un ressort celui çi accrochè à un bout pas trop lourd(drisse) et je croche(enfin j'essaie) si il n'y a pas trop de houle et de vent au troisieme coup en general c'est ok il ne reste plus qu'a passer une grosse amarre dans l'anneau pendant que les autres bateaux font le bilan de leurs paris sur mes chançes de succes en cas d'echecs repetès j'essaie de ne pas trop jurer afin de ne pas fournir un peu plus de rigolades aux spectateurs........

15 sept. 2016

pas que sur caravelle et vaurien : il n'y avait pas de moteur. J'ai participé à des prises de coffres, des entrées de port à la voile /godille / remorquage par prame du Glénans, côtre illingworth de 12,50 des années 60.... entre autre, les mousquetaires, et autres nautiles, côtres etc n'avaient pas de moteur....
C'était une autre époque, le propulseur d'étrave était le foc à contre ! et quelques miles à la godilles sur un 12,50 pas si léger cela se fait ... j'avais 20 ans et je n'étais pas le seul !

15 sept. 2016

S'entraîner sur une bouée isolée.
Ne pas commencer dans une zone à fort courant
Anticiper l'échec et donc pouvoir être manoeuvrant au plus vite pour parer les autres bateaux ou la côte
Pour se faire j'arrive sous voile, non pas face au vent mais avec un tout peu d'angle, et petit peu de vitesse sur la bouée, gv tres debordée. Je choisis de la laisser légèrement à mon vent.
Ça implique d'aller un peu plus rapidement à l'avant, ou de partir plus tôt, mais en cas d'échec j'ai conserve un peu d'aire un peu d'angle et je repars tranquillement pour une nouvelle tentative.trop de confiance nuit à la sécurité.
Avec du courant c'est une autre histoire, chaque chose en son temps...

15 sept. 2016

Pour régler sa vitesse d'approche à la bouée, vous pouvez le faire à plusieurs reprises, moteur débrayé, sans vous rendre à l'avant, juste pour contrôler l'aire de votre bateau. Quand ça vous semble calé, go.

15 sept. 2016

Bonjour,
quand on a un doute, il faut d' abord tester les réactions du bateau dans la zone de la bouée, ce qui permettra ensuite d' estimer plus sereinement a quel moment loffer et choquer pour s'arrêter pile sur la bouée.
Si l' on arrive trop vite, il vaut mieux ne pas essayer d' attraper la bouée et refaire un tour.
Rater la bouée une première fois permet d' analyser son erreur et de la corriger pour le second essaie.
Comme dit plus haut, si on est pas sûr de son coup et qu' il y a du monde autour, il vaut mieux avoir le moteur démarré au pt mort.
Gorlann

15 sept. 2016

En fait, prendre un corps mort à la voile n'est pas si difficile que ça avec l'expérience, mais ça peut le devenir avec notre matériel moderne... Avoir un voilier qui manœuvre assez bien sous GV seule...par forcément évident.... affaler le foc...à temps, pas forcément facile avec les enrouleurs... etc...

15 sept. 201616 juin 2020

Les circonstances m'ayant contraint à l'humilité, je dirais qu'en solo prendre un corps mort à la voile ou au moteur dès lors que le vent et/ou le courant s'en mêle(nt) reste une manoeuvre assez chaude, à préparer et à admettre qu'il faudra s'y prendre à plusieurs fois éventuellement. J'avoue qu'une fois la manoeuvre terminée, je n'ai pas honte de pousser un certain soupir de soulagement :-)
J'admire ceux qui la font les doigts dans le nez : l'expérience aide !

15 sept. 201615 sept. 2016

Et pour compléter, j'ai fait aussi, ce n'est jamais facile, et il y a deux fins possible :

On a réussi, le corps mort est pris, le bateau amarré, la voile ferlée. Et alors on lève la tête pour voir si on a été vu tellement on est fier.

On a foiré, la bouée est restée à quelques cm de la gaffe et on commence à s'éloigner. On ne relève pas la tête, certains recommencent, moi je mouille direct sur ancre là où je suis, donc à quelques m au pire du corps mort, et je vais passer un bout dessus pour m'amarrer, relever l'ancre et finir comme si j'avais réussi.

Je n'ai plus honte de foirer, cela arrive. Mais je suis toujours fier d'avoir réussi. Ca arrive aussi. Et c'est pareil pour tout, réussir un joli empannage de spi, arriver à la voile au mouillage et le faire comme dans les livres, repartir à la voile du mouillage en partant direct sur le bon bord. Simplement aussi voir au matin qu'on arrive à peu près là où on voulait aller et que la nuit s'est bien passée.

Et je suis aussi fier d'avoir réussi une belle manœuvre au moteur pour aller me nicher là où je voulais.

Jacques

15 sept. 2016

Cata ou on voilier à partir d'une certaine taille, c'est pareil. J'ai un 38 pieds, quand il s'arrête c'est lui qui décide de quand il repart et dans quelle direction. Je peux toujours m'exciter sur ma barre à roue, nada.... Avec du monde averti je peux tenter des choses, gv à contre, dérouler mon génois à contre ou pas mais si ya du monde autour ça va être chaud....

15 sept. 2016

Oui mais toi tu as un cata, et je suppose que ton bateau ne vire pas sur place comme peut le faire un monocoque, la donne est donc différente.
Mais sinon, même avec un monocoque l’échec est courant dans ce domaine, soit on arrive pile poil, soit on arrive trop vite, soit trop lentement, soit trop loin à côté, mais ça c’est tout ce qu’il y a de plus normal ! Ce n’est pas comme quand on veut arriver à la voile entre deux catways, ou là une grande précision est de rigueur (mais justement, l’amarrage sur bouée prépare bien à cet exercice).
Mais bon prendre une bouée à la voile, si on la rate on abat et on recommence, et ce autant de fois qu’il le faut. Çà m’est arrivé de m’y reprendre plusieurs fois de suite, et alors, ou est le problème ?
Je précise quand même que j’évoque là une manœuvre avec un monocoque évolutif, ou si peu évolutif, avec beaucoup de place autour. Maintenant il est évident qu’on choisit une bouée en fonction de la taille du bateau. On ne va pas s’amuser à virevolter entre les bateau avec un barlut de 15m, dans ce cas on choisit une bouée bien à l’écart.
;-)

16 sept. 2016

Le coup du "je relève la tête pour voir si on a été vu" : j'adore et j'adhère !!!!! Un bon marin garde une âme d'enfant :-)

15 sept. 2016

En fait au moteur ou sous voile, en solo, rien de tel qu'une gaffe équipée d'un crochet amarrage largable! Après on a tout le temps de mettre en place les amarres définitives!

15 sept. 2016

Lasso en fait grosse boucle encore mieux et parfois bouée sans anneau

15 sept. 2016

Le dériveur et la régate sont deux bonnes écoles pour apprendre à maîtriser sa bête. Arrêter son bateau voir le faire reculer le relancer gèrer le contact et les distances. en croisière on a beaucoup moins l'occasion de s'y s'entrainer.

Sur une bouée de corps mort avec un anneau c'est très facile, tu attaches ton amarre à l'avant, tu la passes par l'extérieur jusqu'à l'arrière tribord si tu es droitier, à l'extrémité de l'amarre qui fait à peu près la longueur du bateau il y a un mousqueton automatique Wichard que tu clipse dans ta gaffe, tu arrives vent de travers sous GV seule, quand tu es sous le vent de la bouée ( une ou 2 longueur suivant le vent ou le courant tu lofes face au vent en visant la bouée le bateau ralentit tu longes la bouée sur ton bord tribord, quand la bouée est à coté de toi tu croches le mousqueton et tu dégages ta gaffe, tu peut tout lâcher tu es amarré, tu prends ton temps pour aller à l'avant reprendre ton amarre, là je mets une autre amarre en double dans l'anneau pour pouvoir repartir facilement, tu ranges l'amarre équipée du mousqueton Wichard

Si la bouée n'a pas d'anneau, utilises la technique du lasso ( tu as droit à 3 essais )

Bonne nav

15 sept. 2016

Perso je tenterai plus souvent des manœuvres à la voile si il y avait plus de place , on est souvent les uns sur les autres .

Si vous ne pouvez pas attraper une bouée, comment ferez vous avec un homme à la mer ?
Par vent très fort et mer bien agitée ne comptez pas sur le moteur dans la plupart des cas.

15 sept. 2016

Je le fais assez souvent, mais pas avec la méthode conventionnelle : j'arrive au bon plein sous génois seul, et je roule quelques mètres avant la bouée. Mais j'ai un cata avec peu d'inertie et une erre assez courte... et en plus, je triche, j'ai mis une perche, je n'ai même pas besoin de me baisser !

15 sept. 2016

Rassures moi, Hubert, tu ne vas pas choper un mec dans l'eau comme ta bouée de corps mort?. :non:
Quand à récupérer un mec par très gros temps rapidement, pour en être convaincu il faut être sacrément sur de soi. C'est ce qui me fait imposer le port du harnais, pour les garder près de moi quand j'estime ne pas être sur d'y arriver. 2 fois cet été.

Tout à fait d'accord, une récupération par temps fort est très aléatoire, même chose pour le port du harnais.
Il ne faut pas louper une occasion de s'entraîner.
Car si on craint de prendre une bouée par beau temps, il faut vraiment faire l'effort de s'entraîner un peu, en plus c'est amusant !

16 sept. 2016

Mais si, lasso autour du coup, et ensuite tu le remorque jusqu'au port le plus proche... ;-)

15 sept. 2016

Aux Glénans, j'ai appris la méthode "à l'ancienne" :
.
- signaler à l'HLM qu'on l'a vu en lofant un coup
- on abat jusqu'à empanner
- on revient bon plein sur l'HLM
- on stoppe le bateau
.
Oui mais voilà, dans la brafougne, moi, l'empannage, bof...
C'est pour ça que le moniteur nous a immédiatement dit : vous avez vu comment on faisait avant, vous oubliez, maintenant je vais vous apprendre le quick stop.
.
Plus efficace et moins dangereux, mais il n'en reste pas moins que la récupération d'un HLM par mauvais temps n'est pas une opération à prendre à la légère.
.
C'est pour ça que quand ça commence à secouer, comme le dit tangalle, port du harnais obligatoire pour tout le monde.

15 sept. 2016

pour l'homme à la mer(mais en solo????????)j'ai un rouleau fixè au balcon avec 300 m de cordelette flottante fixè à la bouèe =on largue la bouèe et on revient dessus en faisant un grand arrondi normalement on doit recuperè la personne tombèe si c'est fait tres vite ! ceçi dit en solo mon frere est passè par dessus bord et çe fut fatal! on a put recuperer par miracle son corps le lendemain

15 sept. 2016

c'est drole ce sujet...

lorsque j'étais jeune.. mon gentil papa m'a dit " tu pourra prendre seul ce bateau ( 8m) le jour ou tu sera capable de le ramener au port ( merrien finistere sud) en solo et à la voile
avec prise de corps mort!

Alors je l'ai fait ( moteur en marche par securité mais debrayé)

j'avais +/- 15 ans

Apres je pouvais jouer avec le bateau de papa :-)

je l'ai refait souvent pour le fun.. et je n'ai plus jamais eu peur de tomber en panne moteur

évidemment.. c'était pas la tempête... mais un apprentissage nécessaire et bienvenu

Il y a plein de chose comme ca qu'il faut faire pour se former au cas ou...

Alors les remarques pleine de sous entendu lues plus haut.. les doutes .. et les ricannements..je les trouve un peu... surprenants ;-(

et puis quelle tranquilité d'esprit de savoir que l'on peut faire à la voile la plupart des manoeuvres.
cet été en panne de démarreur je suis entré à la voile à Sines (Portugal) il y a une petite plage où l'on peut mouiller mais j'ai pu aller au ponton, le capitaine de port étant là pour prendre les amarres (le bateau fait 14 tonnes, c'est quand même plus stressant qu'avec le Mousquetaire !)

15 sept. 2016

Ce qui ramènent tout a leur sauce et n'aime pas entendre qu'un ou untel a pu faire telle ou telle chose(qui finalement est une petite chose ) ,n'ont cas commencer par se faire une traversée de l'atlantique nord en First 30 et ce que ça implique d'investissement perso ,pour ensuite fort de ces émotions venir en discuter .On parle pas de faire bourriner un 60 pied a 30 nds dans des creux de 8 m avec 65 nds de vent C'est parfois plus orienté philo a 2 balles que bateau par ici .

16 sept. 2016

Encore une une interprétation a coté de la plaque .Mais mon post concernant jean littlew ,ou plutot le fait que le sien ait été mal intérprété ,si il faut en expliquer deux ,c'est mission impossible ,donc fin de cette minipolémique .

15 sept. 201615 sept. 2016

A jeanlittlewing, Voilà des précisions qui éclaircissent le débat, qui auraient pu être faites plus tôt, ce qui aurait évité quelques réactions. Maintenant je comprends mieux
:topla: :alavotre: :alavotre:

15 sept. 2016

mon post initial qui m ' a fait passer pour un frimeur ce qui est totalement faux s'appliquait à des mers sans maree ou des lacs, le facteur courant complique sérieusement l affaire

16 sept. 2016

Un plaisancier averti en vaut trois...dofin. prendre les choses aussi simples soient elles à la légère n'est pas digne d'un bon skipper. Si tu n'es pas capable d'envisager l'echec alors tu seras bien démuni pour le gérer dans l'urgence sans stress et de la meilleure manière qui soit. Savoir renifler le danger est le meilleur gage de sécurité alors que trot souvent c'est pris comme une faiblesse.
Puisqu'il faut preciser, j'ai toujours navigué, prendre son mouillage à la voile ou rentrer dans un port c'était juste normal puisqu'on avait pas de moteur. Des manoeuvres à la voile osées j'en ai quelques une à mon actif et je ne suis pas fier de toutes tellement certaines étaient risquées et surtout pas indispensables. J'ai grandi, appris, navigue sur des bateaux plus gros, motorisé, pris conscience que je n'étais pas infaillible et pas seul sur l'eau . On vient me percuter au mouillage, je serai indulgent pour celui qui n'aura vraiment pas eu de bol, pas du tout avec le kakou qui voulait se la péter et fini en vrac sur mon bateau..

15 sept. 201615 sept. 2016

bonsoir
donc prise de corps mort en solo , a la voile ,
je ne vais pas vous apprendre a maneuvrer a la voile ou au moteur ;mais pour une prise a l'etrave ; le plus dur c'est d'arriver a tres petite vitesse voire a l'arret avec la bouee a portee
de main , de gaffe , de lasso ( presque mon truc ),
moi je suis seul sur mon canot voilure reduite mais equilibree ,
je longe a petite vitesse 2 noeuds la bouee de mouillage ,
elle arrive au deux tier arriere du canot ; et la je balance mon ( truc ) des fois a 1 m ou 1,5 m qui passe autour de la boue et coule aussitot ,
JE SUIS AMARRE PROVISOIRE .
un grand coup de lof en choquant les drisses , petit menage des voiles sur le pont . et maintenant je passe les bonnes amarres .
donc :
2 fois, un bout des 2 tiers ou 3 quart de la longueur du canot ;
2 ou 3m de chaine de 10 ou 12
1m de tuyau plastique rigide , la chaine passe dedans et est bloquee par garcettes ou autre
,et la meme longueur depasse de chaque cotes du tuyau ( equilibre ) .
les deux bout ramenes a l'etrave .
en tenant avec les deux mains ,
il suffit de balancer autour de la bouee ,
et meme la belle mere ou un gosse de dix ans peuvent le faire facilement , c'est tres facile a viser .
vitesse reduite importante , car le rappel de l'etrave peu etre costaud .
et bien sur si on loupe , reborde un peu les voiles ( ou ont remet un peu les gaz ) et ont refait un tour ,
car rien n'est affale et le canot est toujours bien maneuvrant .
cela demande comme toute chose un peu d'entrainement, et de me pas se surestimer .

salut

15 sept. 2016

La prise de la bouée est effectivement l'élément déterminant.

Si l'aussière du corps mort est longue, il ne faut pas hésiter à faire une manœuvre trop courte, c'est à dire arriver à la hauteur du corps mort avec encore un peu de vitesse. Cela donne du temps pour attraper le corps mort avec la gaffe, monter la bouée et amarrer l'aussière. Le bateau va continuer à avancer sur quelques mètres, l'aussière reste molle et tout va bien.

Avec une aussière courte, ca tire tout de suite et ca devient compliqué.

Et ca fait un moment que je pense à la solution déjà donnée, une perche qui traverse la bouée, ce qui permet à la fois de le voir en arrivant (sinon il est masqué par l'étrave quand on est à la barre) et de l'attraper sans avoir besoin de la gaffe.

Jacques

15 sept. 2016

Pour ma part, je préfère prendre ma bouée en solo à la voile que manœuvrer entre des pontons seul.... je trouve qu'il y a plus de risque si vent et courant, plein de trucs à l'arrière des bateaux qui dépasse que dans une zone de mouillage.. et à la voile, s'il y a du vent, au moins cela ne tombe pas en panne.
Par contre je conserve une voile devant pour pouvoir repartir et virer de bord aisément si nécessaire.

15 sept. 2016

pareil, 15 ans que je suis sur corps mort en plein courant donc c'est devenu une formalité. Par contre entrer ou quitter un ponton en solo, j'ai toujours plus ou moins d'appréhension selon l'orientation du vent.
Pour la prise de coffre, je regarde plutôt comment sont orientés les bateaux de même type pour évaluer qui du courant ou du vent est le plus dominant. Ensuite plutôt que d'arriver directement dessus de plus en plus lentement au risque de ne plus avoir assez de vitesse pour maitriser la direction trop tot, je préfère arriver sous gv pleine balle au travers de la composante vent+courant, et à 2 longueurs par le travers envoyer la barre à fond pour virer très brusquement à 90 deg et casser l'aire brutalement.

15 sept. 2016

ET LES ASSURANCES. qu'est-ce qu'elles disent .....

Les assurances couvrent les manœuvres normales
Prendre une bouée à la voile est une manœuvre normale.

15 sept. 2016

amarrage au coffre sur chaine cadenassé de diamètre au moins 32 pour un 6.5m, clé chez l'assureur, avec impossibilité de quitter la bouée, car on ne sait ce qui peut arriver !
concernant les tiers, elle fonctionnera toujours, il y a un responsabilité civile. dés lors que l'on est pas dans une zone ou il est interdit de manœuvrer à la voile, je ne vois pas ce qu'elle peut dire, et si panne de moteur, même dans un port, elle ne peut rien dire également.
en étant prudent, les risques sont minimes.
comme je l'ai indiqué plus haut, il est souvent interessant d'être légèrement sous toilé pour limité la vitesse, mais en conservant une voile d'avant pour rester parfaitement manoeuvrant.

15 sept. 2016

jamais fait de prise seul d'un corps mort , question ? par mer agité , a la sortis d'un port ou bateau et sous marin nous balance au passage , imagine ma crainte que je doit surmonter , ta solution est la meilleur je suis sur , dit nous et surtout a moi la technique surement parmi d'autre , pour pas tout casser et m'échouer comme un débutant je suis pas loin du bord , n'est pas peur du ridicule ou penser que c'est pas une bonne technique , je suis jamais rester plus de 15 sur un voilier , y a pas plus ridicule , heureusement je sais nager . slt

15 sept. 2016

pour un débutant total, le mieux reste une école ou un club et l'apprentissage de la manœuvre sur un dériveur, c'est léger, craint peut. il faut déjà être à l'aise à la voile. avoir compris ce qui fait lofer et abattre un bateau, le ralentir etc...
sinon : trouver un endroit ou les coffres ou corps mort sont assez espacés, en plus avec l'automne qui arrive, des bateaux vont sortir ce sera mieux. ensuite commencer par vent modéré mais pas inexistant. commencer à l'étale sera le plus simple, sauf si vent contre courant on peut arriver VA et être stoppé par le courant : on affale la gv, on avance tt doux sous foc, il suffit de choquer pour stopper.
sinon arriver au prés, on choque tout un peu avant, on bondi et on chope la bouée, ou le l'aussière, un tour au taquet on file affaler, et ensuite on fait un bel amarrage.
je préfère arriver un peu vite : si chope la bouée, le courant ou le vent nous arrête, si cela ne fait pas, on n'a de la vitesse donc on peut manœuvrer et repartir, si on est trop lent et trop court , on se retrouve stopper dans une zone de mouillage en dérivant, pour cela que seul je n'affale jamais avant d'avoir le bout.
pour débuter, le plus simple est de s'entrainer sans chercher à prendre la bouée : arriver sur une bouée, à dégager, à la voile. il faut s'entrainer à mettre le nez du bateau sur la bouée, à le stopper dessus et à repartir. Ainsi on reste à l'arrière, on sait ce qu'il faut faire quand on loupe, on sait repartir, on s'habitue en douceur. une fois à l'aise sur la manip on tente pour de bon.
Bien sur avoir le moteur au point mort ou alors s'être assuré qu'il démarre à la première sollicitation.
comme indiquer par certains, la manip est finalement proche de l'homme à la mer, un vieux gilet avec un sceau attaché par un long bout tranquille en pleine mer pour s'entrainer peut être un bon début !

16 sept. 2016

Pour ceux que cela tente, c'est bien de maîtriser d'abord sur un objet à récupérer.
C'est moins risqué mais probablement plus facile...
Comme repété plus haut, bien choquer l'écoute, mais aussi le hale bas.
Si la balacine est renvoyée, mâtez la bôme...
Et mettez des pare bat' !
:-D

au moins tous les ans lorsque tu es sous voile lance à l'eau un parre battage attaché avec un seau ( pas un sot ) et entraines toi à le récupérer seul

Pour ma part, je dépose l'extrémité de l'amarre dans mon annexe. Comme ça au retour, c'est moins bas et la longueur (env 1.50m entre l'annexe et la bouée) laisse le droit à l'approximation (relative tout de même).

16 sept. 2016

Ah tiens, un petit truc en passant.
Au début, mon bateau venait taper la bouée régulièrement. La nuit c'est un vrai bonheur...
Un pote m'a conseillé de mouiller un seau à l'arrière. Jamais plus eu de soucis.

16 sept. 2016

??? C en effet insupportable
En mer quand le vent tombé entre les brises la nuit. Je mets des défenses
En quoi un seau peut aider
:reflechi:

16 sept. 2016

En effet j'ai oublié de préciser. C'est quand il y a du courant. Nez au courant, la bouée a tendance à taquiner la proue (j'amarrais assez court because pas loin de la berge et évitage ric rac). En mouillant un seau à l'arrière, l'amarre reste parfaitement tendue.
En tout cas, pour moi ça a marché :-)

16 sept. 201616 sept. 2016

Bon, quand on n'a pas de matos adapté, voire que le vent est fortjb un, on peut mouiller au vent de la bouée, et une fois en place on va à la nage porter une longue amarre, frappée au taquet. EnUite, on récupère le mouillage, et on raccoucit l'amarre...

16 sept. 2016

C'est la solution que je retiens quand j'ai raté la bouée.

Je mouille direct, et donc généralement me retrouve quelques métres sous la bouée, porte un bout sur la bouée (pas à la nage, en kayak), m'amarre, remonte le mouillage et termine l'amarrage normalement.

Ca évite de s'énerver en recommençant 25 fois.

Jacques

16 sept. 201616 sept. 2016

Oui, tu as raison ! Si la 24 ème fois tu as loupé, y'a de quoi s'énerver !!!
:mdr: :mdr: :mdr:

16 sept. 2016

Il y a aussi la méthode Joyon: olivierchapuis.blogs.voilesetvoiliers.com[...]-blues/

En solo sur Idec sans hélice à New-York :

" Voiles affalées, Francis laisse le bateau progresser sur son erre, laquelle reste élevée dans les rafales violentes balayant la baie. Dans le méchant clapot qui sévit désormais, il se jette à l’eau avec le bout d’amarrage qu’il frappe sur la tonne afin d’immobiliser le géant de 11 tonnes. Une manoeuvre qu’il n’avait pas le droit de rater…"

16 sept. 201616 sept. 2016

Ben, il peut rater (si de la place sous le vent), mais c'est surtout l'amarre qu'il n'a pas le droit de lâcher...
:mdr:

16 sept. 2016

La méthode Joyon est digne de Bardiaux !
Pour ma part je ne mouillerai pas dans une zone de corps mort : trop de risque d'engager l'ancre dans une chaine ou autre ! préfère refaire, normalement à la 5 ou 6 éme fois même si ce n'est pas académique on y arrive !

17 sept. 2016

bonjour
il faut vous entrainer , si vous n'arrive pas a prendre la bouee .
ce n'est pas difficile ; il faut trouver l'angle de remontee entre vent et courant , et avancer doucement en arrivant sur la bouee . avec mon systeme ; vous n'avez pas besoin d'etre completement arrete ; donc vous etes toujours maneuvrant .
mais jetter l'ancre dans une zone de mouillage n'est pas une habitude a prendre , je ne pense pas que la bouee pourra etre atrappee du premier coup ; et meme si elle est prise , remonter le mouillage si 10m de fond !.
comme ont dit certains , s'entrainer a une approche lente sans la prise de bouee est surrement bien ( dans un mouillage peu emcombre , au debut )
la technique de MR JOYON chapeau , moi je ne l'essayerais pas ; mais il y a des gens qui font le 100m a pied en moins de 10 secondes .

salut

17 sept. 2016

J'ai un voisin de corps-mort qui fait çà systématiquement à la voile.
Je ne connais pas son voilier mais il a une très belle ligne et remonte super bien au près.
Les autres années, il arrivait voile haute et à une grosse longueur de la bouée, lâchait la drisse (voile sur chariot qui descend en quelques instant).
Cette année il me semble l'avoir vu arriver au génois avec à peu près la même technique, sans rentrer le génois mais juste choquer l'écoute.
Perso je fais au moteur sinon il ne tournerait vraiment pas beaucoup.
Mais il faudrait que je m'entraîne à la prise de coffre à la voile.

17 sept. 2016

Perso, je me suis fabriqué une perche équipée d'un double crochet, et d'un bout (12 mm) de 15 m.
La version d'approche la plus classique : arriver sur son erre et courir à l'avant, ça dépend du franc bord... de l'état la mer... de ses capacités physiques...
En marche arrière, bien sûr, c'est plus facile, vu qu'on est tout près de la barre, et moins haut sur l'eau.
On peut arriver aussi en marche arrière, mais étant au vent de la bouée, se laissant porter doucement sur la bouée...
Sinon, la façon préconisée au permis pour récupérer un homme à la mer : Arrêter le bateau, travers au vent, et au vent de la bouée. ça laisse plus de temps...

17 sept. 2016

Bonsoir tout le monde, je viens de retrouver un vieux cours des glénans edition 1972, quelques extraits :
« Nous voudrions insister, pour conclure, sur cette évidence : lorsqu’on navigue à la voile, il n’est pas possible de se satisfaire de manœuvres approximatives. La discipline que l’on a choisie est exigeante et n’admet guère les demi mesures. ]...[ Finalement sur un bateau mal manœuvré on est constamment en danger, et la présence d’un moteur n’y change pas grand chose. Si l’on s obstine à vouloir naviguer à la voile, la seule solution dictée par le bon sens n’est pas de compter sur son moteur mais bien de perfectionner sa manœuvre.

Il semble malheureusement que la solution inverse soit de plus en plus souvent suggérée, de différentes façons : en particulier lorsqu’on décide d’interdire l’entrée à la voile dans les ports de plaisance. Une décision de ce genre nous paraît comporter plus de risques que d’avantages dans la mesure où elle peut servir de caution à la médiocrité et à la négligence. Il est peu probable que celui qui ne sait pas manoeuvrer au port sache manoeuvrer au large, dans le mauvais temps, et soit vraiment prêt à faire face à des situations imprévues. ]....[

En réalité, la véritable securité n’est jamais obtenue par des solutions faciles. Elle est liée au but que l’on poursuit ; elle ne doit pas le contredire. Si l’on choisit de naviguer à la voile, c’est probablement que l’on accepte d’affronter une réalité entière-sans chercher systématiquement la difficulté, mais sans s’y dérober non plus lorsqu’elle se présente. La sécurité consiste alors à observer strictement les règles du jeu : parmi celles ci le souci d’une manœuvre exacte est primordial..... »

Bon, c’était en 1972......

17 sept. 2016

Bon, ceci dit...
Que disait ce cours des Glénans de 1972 sur la prise d'un coffre en solo ?

:mdr:

17 sept. 2016

re bonjour
les glenans de 1982 disent :
coffre ou corps mort , la prise de mouillage exige une maneuvre precise plutot un peu trop de vitesse que pas assez .

salut

17 sept. 2016

Après recherches, ils préconisaient de lancer le moteur !!!! :mdr: :mdr:

17 sept. 2016

Quand dans certains mouillages organises en med les coffres sont a 20 m les uns des autres prendre une bouée n'est pas impossible ; faut zigzaguer pour aller jusqu'a celle qui est libre, ne pas se rater a la premiere tentative sinon on va se coller sur les voisins sous le vent a babord tribord ou juste derriere chacun son truc ! J'ai deja recupere des casquettes parties a l'eau dans la brise a la voile mais prendre des risques imbeciles dans des mouillages emconbres pour jouer les kekes c'est infantile et votre assureur risque de ne pas apprecier

17 sept. 2016

oui c'est ,vrai prendre un coffre au moteur est faisable.même en marche arriére ...

18 sept. 2016

Ben oui, au moteur c'est forcément moins compliqué. Une aussière ramenée au cockpit, je chope le coffre, je ramène tranquillement épivlà.
Il n'y a normalement pas de danger, puisque l'aussière fait au grand max la longueur du bateau, donc on reste dans le rayon d'évitage, à moins qu'un blaireau ait laissé 15m de mou sur son corps mort, mais ça j'ai encore jamais vu.

18 sept. 2016

Par contre, ce qu'on voit, c'est des gens s'attacher par l'arrière sans avoir mis l'amarre au taquet avant et marcher sur les passavents en retenant le bateau à la main, tant bien que mal...

18 sept. 2016

C'est des coups à se foutre à l'eau et / ou à se faire bien mal, ça.
:non:

07 nov. 2016

On arrive a petite vitesse sur le corps mort et on se met bout au vent en tenant compte de l'êrre du bateau .
On choque les écoutes en grand on se se précipite pour passer le bout .
On affale en grand et on passe une amarre sous la bouée histoire de pas abimer la bouée.
Pour un homme a la mer on se met a la cape de façon a dériver sur lui.
On est senser utiliser la bôme et le palan d'écoute de grand voile pour le hisser a bord , avoir une échelle de bord aiderait bien aussi même sur un 6 mètres comme le Flirt.
Si c'est une femme a la mer je ne sais pas .
Pas prévu dans le manuel .

si c'est ta femme , ou ta belle-mère la technique n'est pas la même
J'ai honte

07 nov. 201607 nov. 2016

bonjour,
j'ai sur ma gaffe un crochet automatique avec 25m de bout
j'arrive sur l'erre à coté de la bouée jusqu'à
l'arrière du cokpit tout en restant à la barre
je croche la bouée ,la gaffe se libère et comme j'ai amarré le bout à l'étrave je lâche tout et j'affale .
ça marche très bien .
liberty2.e-monsite.com[...]ee.html
alain

08 nov. 2016

idem pour moi ! !

07 nov. 2016

Je manoeuvre essentiellement à la voile et en solo depuis 49 ans.
La prise de coffre en mouillage encombré est fréquente, par toutes sortes de temps.
1- Ne pas hésiter à prendre son temps et à refaire autant de passages que nécéssaires pour arriver bout au vent, quasi sans erre sur la bouée. Si on a trop de vitesse, on reprend à 0

La bouée sera prise au lasso, préparé à l'avance et déja frappé à ses 2 extremités sur la bitte ou le taquet. On n'utilise surtout pas la gaffe.

donc on est généralement sous gv et on remonte bout sur la bouée. En arrivant dessus ( à mourir ) on vient à l'étrave (rapidement) on se saisi du lasso avec lequel on entoure la bouée.
On vient au pied de mat et on affale.

Ensuite on met en place l'amarrage définitif qui remplace le lasso ( que je laisse moi en place en cas de rupture de l'amarrage principal)

La manoeuvre se corse avec un vent opposé au courant, on peut alors arriver sous foc seul sur la bouée si l'on est face au courant et choquer le foc en arrivant dessus, on prend alors la bouée au lasso
Dans ce cas il ne faut pas se rater, on ne peut pas remonter au vent si on rate le coffre

Quelle que soit la taille du bateau, c'est envisageable

07 nov. 2016

Quelle que soit la taille du bateau!!! je ne suis pas d'accord cela dépend des conditions. Avec mes 8,5 T de déplacement et le fardage qui va avec c'est presque toujours impossible en solo dans les mouillages encombrés de méditerranée. Les coffres sont parfois à moins de 25 m les uns des autres disposés n'importe comment avec le vent souvent irrégulier portant parfois sur les cailloux, il faudrait tirer des bords au milieu de tout ça avec des engins de plage et des baigneurs entre les coffres. Faut être complètement barge, un vrai danger public pour tenter une prise de coffre en solo à la voile dans ces conditions. Il serait possible en manœuvrant au top du premier coup de prendre le coffre s'il est un peu à l'écart et s'il y a assez d'eau à courir pour se relancer si c'est raté, mais si c'est raté quand même c'est direct sur le voisin ou sur la plage au pire en passant sur un baigneur. Depuis plus de 50 ans que je navigue j'ai heureusement jamais vu personne faire ce genre de con...

Avec un mousquetaire ou similaire je dis pas; ça se manœuvre comme une mobylette au pire un coup de godille, je l'ai fait souvent y compris des arrivées et départ de port sans moteur, bien que dans les mouillages les têtes des nageurs sous le vent... Grosse prises de risque inutile à mon avis si on se rate.
Déjà savoir remonter une bouée couronne lestée jetée par dessus bord en solo par F5 mer formée sans toucher au moteur (et sans se foutre à l'eau au moment de la récupération) je pense que c'est bien plus nécessaire et utile si un jour il faut aller récupérer un MOB dans les mêmes conditions.

07 nov. 2016

Oui au dessus de 45 50 pieds, le manque de visi rends la chose + complexe, oui il faut savoir de quel bord on repart si on rate, maintenant au moteur, en cas de panne, de bout dans l'hélice que faites vous?

07 nov. 2016

en rasant au vent la bouée, accroche provisoire avec crochet automatique sur gaffe adaptée et pas si chère sur le crochet duquel l'amarre est nouée, quant la toile est affalée, tu assures ta bosse d'amarrage et récupère le joujou sans tintouin.

07 nov. 2016

C'est pas ça le problème bien sur que vu ainsi c'est facile. J'ai la gaffe qui va bien et j'ai même pratiqué, plus jeune en passant directement mon amarre en m'allongeant au maître bau ou éventuellement à l'arrière sur la plate-forme sur des bateaux de plus de 10m.

Mais sous voile dans ces mouillages encombrés déjà faut avoir l'angle qui va bien par rapport au vent pour raser le coffre ni trop vite ni trop lentement il y a généralement d'autres bateaux mouillés sur la route directe et le risque c'est de rater la prise et de ne plus avoir la place et/ou la vitesse suffisante pour virer et se relancer sachant qu'il faudra cavaler à la barre et manœuvrer au moteur en catastrophe pour tenter d'éviter de se payer un bateau voisin au mouillage qui n'a rien demandé et dont le propriétaire à juste titre sera hors de lui.

08 nov. 2016

Il est loin le temps ou les grands voiliers à phares carrés quittaient les mouillages encombrés en marche arrière barre amarrée. Mettons en place un concours de manœuvres à la voile, et retrouvons la confiance en la voile, le plaisir de la belle manœuvre, l'anticipation nécessaire pour pouvoir effectivement relancer son bateau si le premier passage est mauvais, sachons éventuellement garder ou mettre une petite voile d'avant, ou pour qui a un enrouleur ( ca facilite grandement les choses) garder un bout de génois pour relancer vite le bateau et aider à l'abbatée. Entrainons nous sur des bouées dégagées et puis ne tentons pas le diable, si c'est trop serré c'est trop serré, sachons abandonner et chercher un autre mouillage.

08 nov. 2016

Faut lire les traites de manoeuvre de la marine a voile avant l'arrivee du moteur au 19eme. Les bateaux manoeuvraient avec prudence ; utilisation d'aviron sur les petites unites; mouillage d'ancres pour se dehaler, sur les unites plus grosses utilisation combinee d'ancres pour orienter le navire; traction avec des chaloupes a rames; beaucoup de places pour la manoeuvre dans les ports; beaucoup de bateaux perdus y compris des navires militaires dans des mouillages, drosses a la cote par le courant ou le vent. J'ai appris la voile sur des chaloupes grees au tiers sans moteur avec des avirons. Rien qu'un virement demandait un grande pratique et des manoeuvres complexes et physiques pour ne pas le rater; impossible de prendre un coffre a la voile dans un mouillage encombre, sinon avec de la place oui, avec des haussieres ou a l'aviron ou meme a la godille sur des 11m pour les manoeuvres dans les port en espaces restreints.

08 nov. 2016

Il me vient une idée comme ça d'un coup: dans les mouillages encombrés comme les rafiots se mettent plus ou moins nez au vent ou courant ne pourrait on pas arrêter le bateau orienté plus ou moins dans le même axe que les autres et laisser tranquillement culer jusqu'à la bouée. Je n'ai jamais essayé donc je ne sais pas si ça marche.

Il est très difficile de laisser culer un bateau en le maintenant face au vent.

Tiens?
Le mien n'a qu'une bitte.

Je n'ai pas essayé de culer sous voile avec le Hood, mais pour reculer sur une distance un peu grande au moteur, ce n'est possible que dérive totalement basse, sinon à un moment ou un autre il part en crabe.
aux Shetlands j'ai eu à faire 20 milles en marche arrière à cause d'une panne d''inverseur et d'un vent nul ... Impossible dérive haute (sauf à très faible vitesse)

Des que je l'aurais remis à l'eau je m'exercerai à culer sous voile, cela peut-être utile.

09 nov. 2016

avecv le hood c'est facile genoa enroulé et dérive relevée on pour sur la bôme et on recule .mais essie avec un cat boat ,c'est impossible tout le fardage est à l'avant et le wishbone est trop haut pour pousser dessus
donc ,j'arrive sur l'erre avec mon amarre provisoire reprise sur la bîte à l'avant et le crochet sur la gaffe dans le cokpit et je croche ,après j'affale ,et le reprend la bosse pour passer une amarre définitive dans la bouée et je récupère mons système .

08 nov. 2016

Cela dépend tellement de la configuration des lieux, des conditions météo, et surtout, du bateau.
Sur le trimaran que j'ai eu à une époque, meme pas la peine d'y penser.
Sur le petit quillard de balade actuel, qui vire sur lui meme, et se place au millimetre, c'est un jeu, de prendre le corps mort à la voile.
Comme certains ont dit plus haut, je ne me vois pas le faire avec un 10m et son haut franc bord.

09 nov. 2016

Sur mon tri, aucun problème, comme sur mon ancien cata.

Sans doute une question de stabilité de bateau et d'ergonomie de cockpit, des manoeuvres, facilité des déplacements.....

Tous mes bateaux ont été choisis avec cet objectif de pouvoir "tout" faire en solo sans difficulté, en tous cas ce qui est raisonnablement faisable.

09 nov. 2016

Culer en gardant le controle est peu envisageable. Les grands navires à phares carrés pouvaient le faire, mais pas nos bateaux modernes.

09 nov. 2016

Et si on garde un petit bout de torchon à l'avant ?

Plus tu as de prise au vent sur l'avant plus vite il tournera vent de cul ...

09 nov. 2016

Technique du lasso avec un bout lesté. Il existe des bouts plombés. Avec de l'entraînement, on réussit à tous les coups et sans risque.

09 nov. 2016

C'est vraiment parfait, plus besoin de gaffe, pas de risque de passer à l'eau si ca tire, pas de pb pour faire le noeud. Une technique à transmettre à tous!

Cap Horn, Chili

Phare du monde

  • 4.5 (90)

Cap Horn, Chili

2022