Petit deriveur integral /lesté pour croisiere hauturiere ?

Hello,
Si certains ont un avis sur mon questionnement, je me demande si dans des tailles de bateaux "modestes" entre 26 et 30 pieds, le choix d un deriveur integral ou lesté, est un bon plan ou plus risqué qu un quillard ?
Dans les exemples auxquels je pense, un first 28 DI , kelt 9m DL ou autres
Hormis la legere complexité du mecanisme de derive en plus, y a t il des contre indications pour ce genre de choix dans ces petites tailles ?
Pour les avantages j y vois bien sur la possibilité de passer partout, de beacher si necessaire, d etre plus stable au portant souvent
J en discutais recemment avec un proprio d un hunter 285 deriveur au japon (bateau pas forcement "tres marin cela dit) , qui l utilise sur un lac, mais d apres lui s il passait a la mer, il changerait pour un quillard, moins risqué pour etre plus "seaworthy",
Merci s il y a des avis

L'équipage
27 juin 2018
27 juin 2018

Toujours une histoire de compromis...
Pourquoi un prendre un DI ou un DL ?
- Pour le faible tirant d'eau
- pour la possibilité d'échouer
- pour ...
Ce qui peut présenter des avantages appréciables dans certains bassins de navigation...

27 juin 2018

J'ai été en corse avec un JOUET 680 DI,
avantage:
30cm de tirant d'eau, donc on peut beacher, j'ai pu remonter des cours d'eaux , aller sur les lac de la cotes ouest, me rendre dans des calanques reservé aux zodiac, dormir dans la preimiere calanque de calvi ......

par fort vent et forte houle je releve la derive et ne laisse qu'un auleron, je du coup faire des surf sans risque de lof

au pres il remonte tres bien

inconvénient:
puit de dérive qui limite le deplacement dans le bateau
moteur hors bord

27 juin 2018

Plein d'avantages c'est sur mais dire Jouet 680 DI remonte très bien au près !?
:lavache: :mdr: :mdr: :mdr:

27 juin 2018

Si c'est bien pour de la croisière hauturière, avec traversées océaniques, certaines unités, comme le Sauvignon ou le Chablis qui font 28 pieds, le font très bien.
Vulcain VI également, pour ne citer que ceux-là.

Et comme dit Duduche, c'est un compromis. Il faut choisir celui qui te conviens le mieux.

27 juin 2018

Merci pour ces avis,
En effet j irai naturellement par choix plus vers un DL (ou DI) que vers un quillard, pour ne pas être limité dans le choix des zones de navigation et entre autres avant tout pour pouvoir éviter assez souvent les places de port qui sont vite cheres, donc pouvoir trouver une place plus tranquille vers les rivages, remonter des rivières pour accoster, exetera. Un dériveur lesté me paraît plus intéressant que intégral entre autre pour protéger la coque qui n'est pas aussi exposé directement que sur un dériveur intégral lorsqu'il repose sur le sable par exemple, même si son tirant d'eau est logiquement légèrement supérieur. Si le dériveur ne limite pas trop les performances dans la navigation au prés et au large reste assez safe c'est plutôt cette option que je choisirai

28 juin 2018

attention sur la med ,s'approcher des côtes devient dangereux .
mini 300m autrement jupiter te balance ses foudres accompagnées d'une ponction dans la caisse du bord .
autour de calvi c'est les plagistes si tu ne vas pas dans leur paillote qui te tirent au 12 chevrotines liées .anciennement appelés boulets rammès
c'est pas mieux sur le continent ...
et dans les pays limitrophes c'est l'amende qui est multipliées par le bon vouloir du verbalisateur ..
alain :policier: :policier: :policier: :-(

27 juin 2018

le first 28 n'est pas DI mais quille relevable

Le deriveur c'est la liberte ! Gille ruffet a fait un tour du monde sur un di de 8m en alu(un randonneur cotier) et il ne s'est jamais senti en danger ,ce qui compte c'est la fiabilite du bateau et c'est pour ça que je prefere une derive legere plutot qu'une derive lestee ,et pas de portique ou d'enrouleur de gv ,il y a eu aussi un tour du monde avec un petit ovni 28 sans aucun probleme :-)

27 juin 2018

on a eu un DI et maintenant un DL. Je préférais de DI beaucoup plus facile à mettre partout alors qu'avec un DL si on veut se poser il faut des béquilles. On est moins autonome avec un DL mais comme on se pose sur la quille on est moins embêté par la nature du fond si on veut se poser quoi que ! si le fond est irrégulier le bateau peut tomber de ses béquilles. En DI on multiplie le nombre de mouillages possibles et on est moins à la merci des arnaqueurs de mouillages payants.

28 juin 2018

le kelt 850 di on peut piler du corail avec ,c'est le lest en fonte qui fait fond de coque ,d'ailleurs pas mal de kirié le sont .(c'est pas du latin)
alain

27 juin 2018

On vise un petit tirant (DI, DL, Quille courte, Cata) d'eau parce qu'on à l'objectif de navs côtières rapprochées.
La quille profonde permet d'abord de porter plus de toile, de retarder la réduction de voilure, et de faire un près plus serré (pour autant que la voilure puisse être ramenée au plus près de l'axe du bateau). Elle a été développée pour la course.
La courbe de stabilité maximum à l'endroit est un corollaire de ce choix.
L'utilisation d'un DI comme d'un cata nécessite d'abord que l'on en comprenne les principes et leur conséquence.
Un DI utilise la stabilité de lest mais est donc pénalisé nettement en déplacement (+1T pour un 10m à la flottaison par rapport au quillard à quille moyenne de coque identique) ET la stabilité de forme en étant plus large ce qui le freine aussi un peu. Sa stabilité globale à l'endroit étant un peu moins bonne que celle d'un quillard, l'oblige à réduire plus tôt qu'un quillard.
Par contre sa dérive mobile lui permet d'être progressivement relevée en passant du près au portant ce qui réduit nettement la surface mouillée et permet au final de glisser et de moins subir la force des vagues en situation limite.
Du fait de sa courbe de stabilité à l'endroit moins bonne et son maitre bau majoré on majore souvent les volumes emmergés pour faciliter le retour à l'endroit (un bateau de sauvetage SMS à de très important volumes emmergés pour la même raison), ce qui majore le fardage mais donne aussi plus de volume habitable.

"Inox" le bateau de Marcel Bardiau n'était pas un quillard au sens habituel. Il a passé 8 jours de 360° en Atlantique Nord.
Un bateau de course à quille très profonde est resté quille en l'air à tourner autour du pôle Sud !
Chaque bateau a ses caractéristiques à connaître.

27 juin 2018

Bon on dirait que tu as du mal à choisir, hé oui choisir c'est renoncer...
En effet tu as déjà posé cette question récemment sous une autre forme, et autant que je le souvienne tu as plus ou moins convenu, de plus ou moins bonne grâce,que dans le cadre d'une navigation hauturière avec un petit bateau , le quillard était peut-être plus adapté.Mais il me semble aussi que ta demande concernait à l'époque un bateau un peu plus petit, or là tu augmente la taille...
J'en conclu qu'en fait tu pense (à juste raison à mon humble avis)qu'un quillard serait globalement préférable, mais tu n'arrive pas à accepter cette réalité, parce qu'au fond de toi tu a envie d'un dériveur.
Faut savoir ce qu'on veut,faire un choix et ensuite l'assumer...

27 juin 2018

Je reviens un peu sur la problématique de notre ami l’indien.
Au vu de tes différentes demandes il me semble que tu souhaite un bateau pour voyager de manière très économique, avoir accès à des mouillages peu profonds, qui puisse s’échouer, pouvant être transporter dans ton jardin lors des périodes d’inutilisation, une sorte de bateau de poche en quelque sorte. Idéalement ce sera donc un bateau de petite taille (maxi 25 pieds), à tirant d’eau variable. Mais tu souhaite aussi un bateau capable de naviguer au large et donc par définition apte à affronter des conditions difficiles, et également d’être capable de remonter au vent mieux que la fumée. Ces exigences impliquent le choix d’un petit bateau « hauturier » genre muscadet, serpentaire, coco et pleins d’autres, mais ces bateaux seront des quillards.
Maintenant si veux absolument un bateau à tirant d’eau variable et en même temps dotés de qualités marines le rendant apte à affronter le grand large, alors il faudra taper dans des tailles plus importantes, 28 pieds me paraissant être un minimum, je pense notamment au neptune 99, qui doit faire aux environs de 9 mètres, mais il s’agit là de bateaux plus encombrants, plus lourd, plus coûteux, bref on est loin de la philosophie du bateau de poche.
Un compromis intéressant pourrait être un petit bateau à quille relevable genre bepox 700 qui est un bateau très marin doté d’une quille relevable de type sabre, mais ces bateaux restent des exceptions.

27 juin 2018

Merci pour les différentes réponses, oui disons que je suis en cours de réflexion plus intensive, pour un premier achat possible dans quelques mois, en essayant de pas trop me louper mais bien sûr aucun choix n'est parfait donc à un moment il faut en faire un si on veut vraiment ;) Disons aussi qu étant actuellement pas mal de mois au Japon le choix de bateau reste assez restreint comparé à la France ou l'Europe , je cherche un style de bateau assez economique qui puisse être "stocké ou hiverné si necessaire a moindre frais, vivable on va dire pour une ou deux personnes et si possible éviter les frais de place de port autant que possible donc quelque chose qui puisse naviguer en hauturier si l envie est là mais qu'il puisse aussi se poser tranquille quand je souhaite faire une" pause" . Pas facile comme programme en effet , cela dit j'ai renoncer à trouver un voilier transportable vu qu'en réalité mon but n'est pas vraiment de la tracter sur les routes, j ai revendu ma bagnole en france pour continuer mes voyages sac au dos ou a velo, et je n ai pas l intention d en posseder a nouveau , le plus longtemps possible! Ma priorité reste plutôt qu'il puisse aborder les côtes en sécurité voire beacher et et aussi faire des traversées plus importantes si possible tout en restant pas trop grand , à ce niveau les meilleures options me semble donc soit un quillard à faible tirant d'eau pour garder des performances correctes au près entre autres soit un dériveur intégral ou lesté du genre dont parle Pierre 2, qu'il soit en alu comme le randonneur cotier (tres rares ce genre de boat en asie , a ma connaissance) ou polyester surement, donc aux alentours de 26 à 28 pieds, environ!
Je prends note des avis, pour continuer mon cheminement, apres c est au feeling parfois!
Bons vents

Le bateau ideal mais un seul exemplaire construit
erik.lerouge.pagesperso-orange.fr[...]o_9.htm

27 juin 2018

va voir le freedom 28 ça pourrait te plaire!

27 juin 2018

Bonsoir,

ce bateau a effectivement beaucoup d' avantages, mais certaines données de sa fiche technique m' interpellent quand a ses qualités marines: dériveur intégral de 2t450 de déplacement lège pour seulement 1t100 de lest et 2m55 de large.

Si je le compare à l' Armagnac par exemple, qui est un quillard de 1m37 ou 1m60 de tiran-d' eau, qui déplace également 2t5 lège, mais avec un lest d' 1t2 et 30cm de plus en largeur, je me dis que le comportement et la stabilité doivent être bien différent!

En clair, il m' est d' avis qu' il ne faut pas se retrouver avec ce bateau en situation d' être obligé de faire du près dans du mauvais temps, contrairement à l' Armagnac qui se régale de ces situations.

Gorlann

27 juin 2018

Un trimaran répond au programme.

28 juin 201828 juin 2018

l'Armagnac est un quillard donc la comparaison...

www.freedomyachts.org[...]pic.php
Il y a un gars qui parle de ses voyages avec son Freedom 28
25000 miles principalement en solitaire. Angleterre; Norvège, un tour de Med une traversé de l' Atlantique les Caraibes de long en large...Et deux ouragans en Floride
je pense que ça le fait! ;-)

28 juin 2018

Le freedom 28 cat ketch est assez proche de mon "ideal" a ce niveau, bien que le ketch n est pas forcement ma preference, mais le greement catboat est interessant et certainement plus economique qu un marconi

28 juin 201828 juin 2018

Même si je reconnais les qualités de simplicité et de performance des quillards, le dériveur a souvent ma préférence aussi pour des raisons de liberté, économiques et de sécurité pour avoir plus d abris possible en cotier, d'autant que même pour des plus grandes traversées, on passe au final beaucoup plus de temps aux escales ou aux abords des côtes plutôt que au large, qui ne constitue en général que quelques jours à semaines de passage intermittent

28 juin 201828 juin 2018

Après il y a aussi l'option des biquilles mais j'ai entendu dire qu'au niveau performance aux allures de près surtout, ils sont pour la plupart assez médiocres (pire ou pas qu un deriveur ? , je ne sais pas!) , je pense entre autre aux biquilles anglais, très nombreux là-bas avec les marées importantes, du genre sabre 27, seawolf, les westerly, sadler, mirage 28 et autres. Mais c'est peut-être une bonne option je n'ai jamais navigué sur des biquilles. Bien sur la série RM ou des django entre autre (profils de quilles Naca) ont souvent de meilleurs performances mais les prix ne sont en général pas les mêmes!

29 juin 2018

les petits biquilles modernes peuvent être capables de bonnes performances , même au près ! je l'ai expérimenté pendant quatre ans sur un British Hunter Pilot 27 et de plus habitabilité exceptionnelle pour la taille

28 juin 2018

Sur ce forum j'ai bcp de gens plein d’apriori sur certains voiliers, et pour avoir navigué sur un biloup 765 je peux dire que les bord carré il connait, mais si on est pas dans la performance il fait le boulot, tirant d'eau 80cm. il passe a peu pres partout et est robuste, aprés je reviens sur les performances d'un dériveur intégrale, il n'a pas a avoir honte. on peut pas comparer avec un quillard GTE mais j'ai fait le tour de corse avec le JOUET 680 et j'affirme que c'est un bateau performant et passe par tout, hivernage sur remorque donc pas de place de port a payer et pas d'usure)
maintenant je navigues sur un IDYLLE 1050 certes un programme axé croisière ( et plus onéreux) et moins performant, mais avec deux cabines.

28 juin 2018

j'ai eu pendant 12ans un neptune 99
bien qu'ayant un aménagement atypique ,c'est une carène innovante
très belle construction rustique avec 70cm de te on va partout et 1.90
dérive basse il remonte presque comme un quillard .
les carènes à tout faire ,quillard ,D lesté et DI ,ça doit bien pêcher quelque part .
on ne fait pas un DI comme un quillard ,déjà qu'entre les lests profonds et les petits tiran d'eau le comportement est différent ...
dans les moins de 10m il y a du choix ,
perso j'aime bien les Harlé.
alain

28 juin 201828 juin 2018

Tortarolo a eu du flair le jour ou il a dessiné le Neptune!!
Il est beau! L'intérieur est génial! Et en plus il marche bien!
Super boat!! J'ai fait une descente Brest Royan les trois quart du temps au planning!
Un de mes meilleurs souvenirs en voile!

28 juin 2018

il me fait aussi rêver ce bateau, il y en a un a agde, je le guête ....:)

28 juin 201828 juin 2018

Les deriveurs lestés ont plus d avantages selon moi que les dériveur intégraux, entre autres ils gardent un embryon de quille qui leur permet d'être un minimum manœuvrant au près entre autres si nécessaire , si dérive bloqué ou partie, exetera. Idem pour beacher sur des sols douteux, l'embryon de quille extérieur évite d'abîmer la coque directement comme sur un DI. Par contre di ou dl, dans les deux cas le mécanisme et sa complexité peux bien sûr ajouter des risques de blocage et de panne, donc l'option d'un quillard petit tirant d'eau est aussi possiblement intéressant. D 'ailleurs la plupart des voiliers de voyage tel que les pratiquaient les premiers voileux au long cours étaient souvent des quillard à quille longue ou semi longue mais peu profonde, comme sur les pacific seacrafts, vega 27, pearsons, contessa 26 etc, donc avec un tirant d'eau raisonnable rarement plus de 1m30 ou 35 , parfois moins . A ce niveau la différence avec un dériveur lesté dérive remontée n'est pas énorme, et souvent ces voiliers peuvent se poser et béquillés sans problème dans pas mal d'endroits, comparé a une quille profonde mais courte, c'est une solution qui peut aussi être intéressante aussi, en general des bateaux anciens mais costauds. Beaucoup remontent certainement mieux au vent qu un deriveur. La plupart des "blue water, seaworthy" boats selon les anglosaxons sont de cette categorie
www.atomvoyages.com[...]st.html

Oui mais entre un dl et un pte il y a souvent moins de 20 cm de difference de te ,est ce que ça vaut le coup de s'emmerder avec une derive ? :-)

04 juil. 201816 juin 2020

Une option architecturale, rarissime en Europe, qui allie les avantages de la quille longue (au sens classique du terme) et du dériveur lesté est le DL à embryon de quille longue et retour de galebord.

C'est l'option qui a ma préférence. Un tirant d'eau plus important qu'un DL à leste rapporté apporte raideur à la toile, stabilité de route, et possibilité de faire "un peu" de près sans dérive.
Néanmoins, la grande longueur de la semelle et sa largeur permettent l'échouage sur béquilles en sécurité, bien que le TE soit supérieur à un DL "classique"

Autre avantage, la quille longue permet de faire une très grande dérive, sans que celle-ci apparaisse dans les aménagements.

C'est la configuration de pas mal d'unités américaines d'inspiration classique, et de quelques très anciennes unités britanniques. Mais pas en petite taille.

Le Ne Quid Nimis de 10,5 m, unité française de voyage, a un peu cette configuration, même si j'aurais aimé que la quille creuse se prolonge jusqu'au safran et que le tirant d'eau soit supérieur de 20 cm pour que la dérive soit plus large (le TE de 2,60 m dérive basse était satisfaisant, mais la dérive manquait un peu de surface à mon goût)

Je viens de remettre la main sur les images que j'avais bricolées. Avant et après modif. On constate qu'il prend un petit air de Rustler 36, le tableau classique en moins, et 40 cm de TE en moins.

04 juil. 2018

Je parle ici d'un concept très proche, mais un peu différent tout de même (je chipote). le tirant d'eau des bateaux à quille longue + dérive est plus important que celui des Trismus et Boréal.

Mais dans les deux cas, le retour de galebord avec lest intérieur coulé dans les fonds est un atout considérable en terme de solidité et absence d'emmerdes (pas de liaison ni de boulons ni rouille).
Et je ne parle même pas des 600 L de flottes logés dans le retour de galebord, parfaitement centrés sous les planchers du carré du NQN !

04 juil. 2018

Oui, l'Ile sous le vent. Il cale peu. La quille ressemble d'avantage un long bustle comme celui du Neptune 99.
Un ami en a construit un intégralement, moule compris. L'architecte lui proposait la même configuration que sur le NQN, à savoir un profil de quille longue plus distinct de la coque que le bustle original, mais le bateau aurait calé 160 cm.

Mais on s'éloigne du sujet. On est censé trouver des moins de 28 pieds !

04 juil. 201804 juil. 2018

C'est une question que je me pose en effet. Dans ces taille entre 26 - 30 pieds par exemple, j'ai vu pas mal de dériveurs lestés qui ont un tirant d'eau dérive relevée de plus ou moins 80 cm, et quand je vois des quillard à quille longue ou semi-longue, qui ont en effet à peine 20 à 40 cm de TE de plus ,msans les problème de mécanisme, et pouvant se poser avec béquilles relativement sans danger, l'option d'un voilier à quille longue plus adapté au voyage au long cours peut rester assez intéressant, pour ceux qui veulent un compromis entre voilier de voyage et possibilité d'approcher les côtes ou se poser sans trop d'ennuis ou de danger.
L Albin vega 27 par exemple , ou d autres de ce genre ou plus modernes, n est surement pas un as du près et un peu lourd, mais il est assez stable en route, solide, et peut se poser si vraiment necessaire . Toujours une affaire de compromis!

www.google.com[...]/search

C'est aussi le principe des trismus

04 juil. 2018

C'est un peu ça aussi sur les Boréals : une quille - lest large qui permet l'échouage et le centrage des poids et qui abrite une dérive assez longue. Le concept me plait bien...

Le grand frere du nqm de 13m etait d'ailleurs a quille longue et derive :-)

28 juin 201816 juin 2020

Oui c'est bien un dériveur lesté. Je le pose partout et surtout ou personne ne va! Même si je connais pas le fond... dès fois c'est scabreux mais c'est jamais grave

17 jan. 2022

Dans sa catégorie, (7,20 m) le Cabernet est le bateau idéal : DL, volume, H s/barot, déplacement assez lourd, donc très marin, etc... ça vaut vraiment le coup de les restaurer, même si c'est un gros boulot (CP epoxy). Combien en reste -il en navigation sur les 94 construits ? Y a-t-îl un inventaire quelque part ?

29 juin 2018

ben oui mais faut quand même des béquilles pour se poser !

29 juin 201816 juin 2020

oui généralement mais pas tout le temps!
En même temps c'est pas difficile à mettre en place: 5mn!
Des fois je n'en met q'une! Je l'oblige à ce poser du côté de la béquille dès que je sens qu'il est en équilibre sur la quille.Je fais contrepoids c'est tout!
Sur la première photo tu ne poses pas un dériveur sinon tu manges et dors à la gite! :mdr:

29 juin 2018

@Seamer;
joli bateau !
qu'est ce que c'est comme DL il parait très sympa !?

En tout cas, de belles photos de démonstration d'échouages d'un DL, bravo !

29 juin 201816 juin 2020

Merci misurarca!
c'est un Cabernet (Architecte Philippe Harlé)
Le top pour faire du côtier, un peu de large, et du tout terrain!
A force de le poser et de le frotter partout depuis 2ans, il faut que
je lui refasse une beauté au mois d’août. 40 jours de nav depuis avril et le bateau pose à chaque marée depuis 2ans sans aucun problème!! Je pense le vendre peut être en septembre ou au printemps prochain. Je viens de m'offrir un trimaran ( a restaurer) pour faire la même chose ou presque!

29 juin 2018

SUN 2500 . un velo / relevage de quille au winch ( 2 tours )
cockpit immense / sécurisant dans le gros temps.

29 juin 2018

Oui pour le Sun 2500,mais un Fantasia à coté c'est grand confort ! ;-)

29 juin 201816 juin 2020

bonjour
B-JET dériveur intégral 7m60
36 cm dérive haute dérive en fonte + galette de fonte dans le fond
on descend sur une plage sans se mouiller les pieds derive basse bon marcheur au pré
mais danger dérive haute une savonnette se pose à plat sans béquille

je suis passé au First 26 DL plus habitable mais il faut des béquilles

30 juin 2018

le Bjet etait un très bon bateau même en régate, on n'a pas fait beaucoup mieux dans le genre !

29 juin 201816 juin 2020

Le Cabernet est un bateau formidable, très déprécié financièrement maintenant. CP oblige... Ils sont à vendre pour moins de 5.000 euros.

Celui de seamer est un modèle à rouf bois et sans liston. J'avais écrit dans mon premier envoi qu'il devait être en construction amateur, ou modifié, mais c'est bien Aubin qui l'a construit. Ils ont en principe tous un rouf en polyester, comme le grand frère Sauvignon (sauf commande spéciale, ce qui semble le cas pour celui de seamer).

J'ai eu avec bonheur un Sauvignon, justement, plus confortable, rapide et hauturier. Il pose également très bien sans béquilles, ce dont je ne me privais pas.

29 juin 2018

le dernier construit n°94! et oui Môsieur :topla:

29 juin 2018

oui mais c'est plus confort avec les béquilles!

29 juin 2018

Bon je pars naviguer 5 jours là maintenant tout de suite!
A+

Je suis pas specialement fan des plans harle mais le cabernet est vraiment une reussite ,dommage qu'il ne soit pas en plastique comme le chablis qui est la version plastique du sauvignon ;-)

30 juin 2018

Oui mais le mien est entièrement refait de a à z à l'epoxy avec des améliorations et si je le vends c'est certainement pas5000€!5000€c'est avec des travaux et les emmerdes qui vont avec!

30 juin 2018

sous le neptune 99 j'avais fait une semelle d'échouage sur 1.5m de long et remontant légèrement sur le retour de galbord
avec 1cm de résine époxy mélangée avec du sable tamisé
à l'époque on pouvait beacher sur les plages en méditerranée ,
maintenant c'est plus possible .
ce voilier n'est pas plus rouleur que les autres ,à part ceux qui ont ajouté un enrouleur de gv rapporté sans compenser par une augmentation de lest .
sur le mien j'avais un mat plus haut mais plus léger que celui d'origine
c'était le modèle du salon 1980 je l'avais acheté avec le mat coupé
sans voiles et sans moteur .

alain

01 juil. 2018

sur un dériveur intégral ,il faut faire très attention à ce que l'on fait au dessus de la flottaison ,pas de portique ultra lourd ,pas d'enrouleur de gv sur ou dans le mat , attention au poids de l'enrouleur de génois et à celui de la voile
si on met 10kgs en tête de mat a 12m il faut compenser par 120kgs à 1m sous la flottaison .
sur le mien j'ai mis deux sacs de ciment dans la dérive et fait un palan 4brins
pour la remonter .avec un système de blocage par bout en position basse
pour qu'elle ne fasse pas de bruit au mouillage .
c'est dommage il a brûle en 2007 dans le port de hyères avec son nouveau propriétaire à cause du bato d'à coté qui lui a mis le feu
alain

02 juil. 2018
02 juil. 2018

la coup de la dérive sortie ,ça s'append en école de voile
sur les dériveurs ,si quand on monte à bord et que l'on ne veut pas dessaler on sort la dérive .
le kelt 39 à une dérive sabre lestée ,le neptune 99 aussi elles fait 62 kgs ,la mienne en faisait 130 .
et avec mon mat plus haut ,ça se sentait au près en cap et vitesse .
les voiliers de croisière sont fait pour n'être pas trop durs à mener
faites un peu de voile sur un voilier performant et faites le marcher comme il se doit ,vous serez vite épuisés ..
le pire c'est le match racing .
alain

Un super deriveur integral pour acheteur peu fortuné :: le superseal 26 ,on le trouve en britishland et il est plus habitable qu'on pourraiti le penser :-)

02 juil. 2018

Plus cher qu'un Frantasia DL, le Superseal, je pense.
Il ya eu beaucoup de versions de ce bateau.

Je me demande d'ailleurs si la dérive n'est pas plutôt une quille relevable comme sur le Parker 31.

www.yachtsnet.co.uk[...]-26.htm

La derive du super seal 26 est legere ,celle du parker 27 un peu plus lourde et celle du parker 275 doit faire dans les 300kg :-)

03 juil. 2018

La dérive du Super Seal 26 fait à peu près 150kg, complètement relevable... les autres versions sont super seal 27 et Parker 27 qui sont très semblable avec hauteur sous barrot un peu juste. Les Parker 275 et 285 sont assez différents en style avec hauteur sous barrot rallongé mais toujours le même design de base.
En tout cas le ss26 est effectivement assez "roomy" à l'intérieur, et rapide :-)

Un bon petit deriveur de 8 m souvent ignoré :le challenger bravo ,pas cher et insubmersible en plus :-)

04 juil. 2018

Dans cette taille et avec ce programme, il y a des catamarans qui peuvent faire le job: Heavenly Twins - Tiki 30 - Catalac 900 - etc. Pas de dérive à entretenir, pas de leste à trainer...

05 juil. 201805 juil. 2018

J'aime depuis longtemps les cata wharram, un des seuls defauts que je leur trouve est leur manque de volume habitable dans ces tailles . En dessous de 35 pieds ça devient difficile apparemment d'y vivre et naviguer sur la durée, en solo ou duo . Le tiki 30 est proche de la taille idéale pour moi ,mmais avec ou sans Pod central, il paraît plus difficile à vivre et moins logeable qu un monocoque de même taille ou même plus petit vers 26 pieds. il faut voir , je n'ai jamais était sur un wharram mais j'aime bien le concept

Le sirocco 26 de prout catamaran et le catalac 8 m aussi :-)

04 juil. 2018

celui- ci le Gibsea 242 DI, peut beacher parfaitement; c'est le mien !

Et le gibsea 262 aussi ,en plus il marche pas mal a la voile :-)

toute neuve avant de repartir de bretagne

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