Ocean Globe Race 2023-24 (TDM en équipage et par étapes) - 6

@Mary-Marner "c’est une course, pas une croisière. Que l’on limite le nombre de voiles, ok, mais au moins, que l’on puisse les faire réparer sans subir de pénalités.".
Contester le règlement se fait en amont de la course pas après avoir signé.
Faut pas être très malin pour penser qu'on peut se balader dans un port où nichent les concurrents avec des sacs de voile sur le dos sans se faire gauler.
Et c'est encore plus stupide et désespérant pour l'auteur quand on sait que Vittorio Malingri avait clairement déclaré que toutes leurs voiles étaient à bord du bateau,
Mais il est vrai que le règlement ne stipule pas qu'il faille se comporter avec intelligence à défaut d'élégance.

Beau départ cette nuit pour nous francais. Vidéo sur YouTube.

J'essaie...

Parfait !

Je suis étonné de ne pas voir Aida sur les vidéos du départ de la 3eme étape. Pas disponible ? Obligée de rentrer en Europe?

Tue le sais, je l'ai écrit plusieurs fois, depuis une vingtaine d'années, même dans des courses locales, la tendance est au "pas vu, pas pris" et comme les contrôles sont quasi inexistants...

Limogés ?

Le CR officiel, avec en particulier une belle video de la ligne de départ depuis un drone.

oceangloberace.com[...]-globe/

Pour cette étape spéciale, j'ai décidé de suivre tout particulièrement le bateau français NEPTUNE avec son équipage particulièrement enthousiaste !
C'est Bertrand Delhom qui s'occupe de l'intendance, il a trouvé une boulangerie française à Auckland qui leur a fourni 3,5 kg de vrai pain !

"En route vers le Cap Horn et Punta Del Este 🇺🇾 !
Pour Neptune et ses 1️⃣0️⃣ équipiers du Morbihan, cette troisième étape de cette grande course, sera la plus courte (5 000 milles / 9 300km) et la plus rapide. Elle est aussi la plus technique avec deux phases successives bien distinctes : le Pacifique Sud et son Cap Horn et la remontée vers Punta Del Este📍 .
💪 Une étape dans cette grande course pour donner de l'espoir aux personnes atteintes par la maladie de Parkinson avec, à bord, Bertrand Delhom qui va inspirer des milliers de malades et leurs proches : chacun a le droit d'aller au bout de ses rêves, quel que soit son handicap !
Tan, médecin et le skipper de Neptune, nous parle de Bertrand à bord : 💬 " Son rôle est important dans la logistique du bord, en particulier celle de la gestion des vivres et de la cuisine. Sa force mentale est exemplaire. Il est dans la générosité, le remerciement. A ses côtés, mine de rien, je veille. Mais s’il pouvait un jour enfin se plaindre, ce serait « mieux » pour moi. Je me ferais alors moins de soucis ! "
👉 À noter qu'à bord de Neptune et d’Esprit d’Equipe, la possibilité de remplacer leur équipière a fait défaut sur cette étape, malgré l'obligation du règlement de course. L’indulgence du jury a joué en faveur de la suppression de cet article."

Sur cette 3e étape les voiliers sont tous proches les uns des autres. Très beau début de course pour Neptune qui semble bien placé pour toucher un peu plus de vent que les autres. Le Swan 65 Translated 9 navigue bien et vite. PD VI ne se démarque pas. Étonnant.

Officiellement sur le tracking... NEPTUNE en tête ce matin, au sud de toute la flotte.

Un message de Marie, long !

« Il y a les vivants, les morts, et ceux qui vont sur l’eau. »

Décidément, j’aime de plus en plus cette phrase. Je dois probablement en avoir une interprétation différente de celle de son auteur, mais d’année en année, ou de mille en mille, elle m’offre une réflexion différente.
Nous sommes en mer, à revivre enfin nos vies de marin. Nous sommes à nouveau vivants, dans des repères que nous connaissons, jouant avec des contraintes que nous avons choisies, en un mot, libres. Pour le reste du monde, nous ne sommes plus qu’un petit point sur une carte, nos ami(e)s, nos familles ne pouvant communiquer avec nous. Quelques instants avant notre départ d’Auckland, j’apprends de la direction de course que je peux à nouveau communiquer, envoyer des photos, de la vidéo, et surtout du texte. C’était inespéré, et nous avons accueilli cette nouvelle avec joie. Faire un tour du monde sans pouvoir le partager d’aucune façon que ce soit, je me sentais muselée, bâillonnée, cela avait sérieusement attaqué ma créativité sur cette deuxième étape. Pour nos proches, cela ne change pas grand chose, même s’ils sont heureux et rassurés de recevoir de nos nouvelles.
Ils ont appris à vivre sans nous, et ça, nous le ressentons fort quand nous sommes en escale. D’une part, pour nous, il est difficile d’appeler : ce qui nous intéresse est d’avoir de leur nouvelles, seulement eux veulent tout savoir de notre voyage, estimant à tord notre vie plus intéressante que la leur. Nous nous retrouvons donc à devoir raconter à chacun la même histoire, en galérant pour trouver des mots suffisamment précis afin que notre auditeur ressente un dixième de ce que nous avons vécu. On dit souvent que les marins ne sont pas bavards mais qu’il est difficile de raconter les endroits que nous visitons, ces endroits où nous ne sommes autorisés à n’y rester qu’un court instant, à passer seulement. Raconter notre aventure humaine, que ce soit au sein d’un équipage ou en nous-même, relève de l’intime, et par pudeur, peut-être là encore difficile à témoigner. En fait, le marin est peut-être taiseux simplement parce qu’il n’a pas les mots, pas par manque d’envie.
Une fois en escale, notre entourage ne sait jamais quand nous appeler, entre le décalage horaire, la peur de déranger, comment ils imaginent ou fantasment nos vies à l’autre bout du monde…

Et puis ils sont pris dans le tourbillon de leur vie, on sait tous ce que c’est, de vouloir appeler, louper le créneau, se dire que demain sans faute et puis le lendemain… À la fin on s’en veut, pourtant nous ne sommes que des humains.

Nous revoilà donc en mer, vivant pour nous, un peu morts pour le reste du monde. Nous avons laissé cette magnifique Nouvelle Zélande derrière nous pour nous diriger vers l’Amérique du Sud. Une escale d’un mois à Auckland, peut-être un peu longue alors que nous ne sommes restés que deux semaines à Cape Town, trop court. Au bout d’un moment, j’avais vraiment envie de repartir, non pas à cause des Maoris, mais d’une part car je veux en découdre sur cette 3eme manche (compétition, quand tu nous tiens) et aussi car nous n’avons pas nos repères sur cette grande île. Nous avons alterné les périodes de travail sur le bateau et de repos, changé trois fois d’appartements, n’étant jamais chez nous.

À bord du VI, nous sommes chez nous.
Nous avons une approche différente du luxe. Un lit qui ne bouge pas, pouvoir dormir avec les deux épaules à la même hauteur : du luxe. Se brosser les dents à l’eau tiède, se laver le visage à l’eau chaude : luxe. Pouvoir se balader seul(e) chez soi, habillé(e) ou non, choisir ses repas : luxe. Une douche…. Luxe ultime !!! Nous sommes capables de vivre des vies de sanglier, mais apprécions le confort de la Terre. Et justement, je n’ai pas envie de trop m’y habituer. Nous avons sillonné la Nouvelle-Zélande, rencontré plein de belles personnes, ramené pas mal de souvenirs, mais il est temps de partir.

Notre grande caravane autour du monde nous avait manqué, alors que nous avons passé une grande partie de nos vacances ensemble. Une partie de l’équipage de Pen-Duick VI est partie en road trip avec Translated 9, Triana, Neptune, and co, partageant les frais des road trips, les bons plans camping, et les idées détente (Surf Session à Raglan, who’s in?). Là, chacun est de retour « chez lui », à sa place, et tous ensemble, nous reprenons nos habitudes sur ce tour du monde.
Cela fait 48 heures maintenant que nous sommes en course, nous avons rebasculé en heure TU et remonté le temps de quelques heures, le rythme des quatre vacations BLU quotidiennes reprend son cours. Les premières vacations sont toujours importantes, de façon à être sûrs que tous les bateaux vont bien, que les bonshommes s’amarinent correctement, et que la communication entre nous déroule. Nous serons nos propres St Bernard dans peu de temps, nous comptons les uns sur les autres en cas de problème… Et puis forcément depuis le temps, des amitiés solides se sont installées.

À bord de Pen-Duick VI, pour la grande majorité des Volon’Terre, il était convenu qu’ils puissent faire 2 manches à bord. Auckland était donc l’heure du débarquement pour Simon. La mort dans l’âme pour lui, comme pour nous. Si quelqu’un avait un empêchement, il pouvait rembarquer, mais tout l’équipage est présent. Alors c’est à bord de Triana que Simon a réussi à trouver une place, avec le bon Seb Audigane. Si tout va bien, nous nous reverrons donc à Punta, et Simon sera lui aussi Cap-hornier. À bord du VI en moins de deux ans, il aura été en Ecosse, en Irlande, aux Caraïbes, aux Bermudes, aux Açores, puis il aura pris le départ de l’Ocean Globe Race en Angleterre pour Cape Town, et enfin Auckland… Le VI aura rempli sa mission auprès de lui.
Il y a les vivants, les morts et ceux qui vont sur l’eau. Nous n’avons jamais été aussi vivants, mesurant la chance qui nous est offerte d’être sur l’eau. Merci.

Pen-Duick VI out, back on 16,
Marie

40°50 S
178°40 W

Oui, une photo sympa à bord de "Spirit of Helsinki", les thons sont bien au nord de le route.

Pen Duick a mis du charbon, premier en reel quand même, 7 eme en IRC

oui, par ailleurssconditions non typique des mers du sud ?

"Le soleil étant très proche de la Terre dans cette région". ah!

Les 50eme rougissants….

Don, déjà installé à Punta del Este avec son équipe (y compris Aïda !) a démarré son dernier topo météo par un laconique :

Nothing to report !

Tu n’es pas le premier à le signaler, ça ne veut pas dire qu’ils l’utilisent. Ça s’appelle une déclaration sur l’honneur comme de ne pas utiliser son moteur en regate !

J ai étais surpris de voir cette antenne sur un bateau ou l idée était de faire une course sur le bateau du grand père

Ils font tous de remarquables moyennes, mais les Swan ont une belle vitesse. Ou alors nous tous surestimé les possibilités de PD VI.

Daniel s en souvient sûrement plus que moi mais à l époque d Éric quand PD 6 avait un grand mât il était plus rapide que les concurrents

pardon je voulais dire un mat , tout simplement, private joke

Les jours à venir compliqués sur le plan météo... probablement vent faible et changeant en force et direction. C'est encore loin le cap Horn !

oceangloberace.com[...]ifties/

A noter qu'ils sont plutôt dans les 50° dits "hurlants" !
Les waypoints sont à 53° de latitude sud. Le cap Horn à 56°S.

Gros progrès en nav astro sur Pen Duick ! Ils sont passés à 2 NM du waypoint.
Plus d'obstacle pour le cap Horn, dans 5 ou 6 jours ?
T9 juste derrière à 15 milles.

A propos de la rencontre avec Charles GITANA : message nettement plus sympa de STERNA :

Feb 1, 2024, 11:27 AM
Team 42: #STERNA OF ALLSPICE YACHTING (SA) - SWAN 53 - Adventure
UNBELIEVABLE TO HAVE ULTIM GITANA ON OUR STBD BEAM IN WORLD'S LARGEST OCEAN & MATT ON VHF GETTING POSITION FROM CHARLES. QUELLE CHANCE!

Ce matin, sur la carte les 2 premiers creusent l’écart avec leurs poursuivants. Superbe course de Neptune qui est actuellement 3eme en temps réel. PD VI et Translated rentrent dans une zone très venteuse. Les moyennes augmentent notablement.

Pen Duick au seuil du plateau continental à 12 nds de moyenne, cap direct sur le caillou, avec un vent ONO 35 nds, rafales à 50 et des creux de 6 m (d'après Wyndy).

Translated 9 est juste derrière à 40 milles.

Un peu plus sud et en arrière, il y a aussi les deux du GSC : l'Italien Vento di Sardegna et le Français François Gouin, les deux à environ 10 nds de moyenne.

Bonjour
je vous proposes de regarder les 3 courses en une seule vue, celle des SAT-AIS.

Arkea Ultim Challenge 2024, les bateaux qui foncent à 35 nds en dépensant des millions. En solitaire et sans Escales (ou presque)
-Ocean Globe Race 2023-24 avec les gros bateaux classiques avec équipage, sans escales et sans électronique
-Global Solo Challenge Tout petits budgets en Solo sans Escale

Dans quelques minutes la version HD de la vidéo sera disponible. Si je vous embête avec mon bavardage, coupez le son.

merci vraiment super .;c'est ce que je voulais voir !! au top

Bonsoir à toutes et tous. Un grand merci courtox pour la visualisation des bateaux. C’est super ! Comme t’es commentaires !
Vraiment quels marins sur tous ces bateaux qui eau Cape Horn !!! Je suis toujours béat d’admiration !
Merci encore ! A bientôt

Le tracking activé toutes les heures pour le passage du Horn !

Pen Duick passe le cap à l'instant, à 3 milles au Sud seulement, mais c'est nuit noire, ils doivent voir le phare ! Bravo à eux.

oui oui, Cap passé pour PD VI, à raz les cailloux ...bien sous le vent , mais surement de la houle...

??? ils sont passés à 10 nds quand j'ai regardé à 7h et maintenant ils sont à 11 nds.

T9 à 9nds va passer encore plus près des cailloux...
On voit que l'aube pointe... il fera jour quand ils seront sous le phare.

Translated 9 en train de passer... à moins d'un mille : ils la veulent la belle photo !

Bravo à eux !

Chez Elemen'Terre Project, on n'est pas en retard !

ça ne peut être qu'un montage... il faisait nuit noire cette fois.

MERCI ! CQFD...

Papa serait fier 🥲

A suivre dans peu de temps, Don vient de l'annoncer : des photos, des videos et des "soundclouds" de Translated 9 et peut-être aussi de PDVI...

Pen Duick embouque le détroit de Le Maire... avec le courant mais très peu de vent.

Le vent est canalisé de chaque côté de l’île et les deux bateaux sont au près

Ils ont mis un boulevard aux autres, la vitesse de T9 avec 8 pieds de moins reste remarquable

Bonsoir,
Voilà PD VI qui a du mal à sortir du détroit de Lemaire.
2,4 nds cap au 119°. Il tire un bord en travers du courant

Juste derrière lui un bateau sur 3 pattes de l'autre course marche à 18 nds

Plus loin Translated 9 s'avance à 6,9 nds dans le détroit.

Un peut plus loin un bateau d'une 3 ème autre course passe le Horn à 8nds le Vento DI Sardegna

C'est l'été austral tout le monde se balade autour du Horn. Certain vont de l'Est vers l'Ouest , d'autres de l'Ouest vers l'Est, d'autres du Nord au Sud et d'autres encore du Sud au nord. Beaucoup de bateaux de plaisance (Des yachts) ou des petits paquebots. Il n'y a plus d'exploits sportifs juste de la promenade touristique pour beaucoup.

Tout va bien ce matin, Pen Duick s'en est bien sorti, sans doute avec le courant parce que le vent est très faible... T9 est encore au milieu, mais il progresse dans le bon sens.

Charles a fini par dépasser PDVI et file vers la côte argentine.

Derrière Vento di Sardegna vient de franchir le cap.

Les routeurs doivent être unanimes à conseiller le détroit de Le Maire.

En définitive, on voit sur le tracking du GSC que Vento di Sardegna a bien choisi le détroit de Le Maire lui aussi, mais ce matin il fait de l'Est pour aller passer par le sud des Malouines...

l'équipe de Gitana a photographié PD VI au passage du Horn

Aujourd'hui ça se bouscule au cap Horn !
Les MAIDEN viennent de passer à seulement 5 milles du phare, suivies de NEPTUNE qui semble vouloir aussi "voir" le caillou de près.

En revanche, les SPIRIT of HELSINKI s'en éloignent vers le SE.

Aurons-nous des images ?
En principe, aujourd'hui, on devrait avoir des nouvelles fraîches de Marie, qui semble avoir boudé jusque là...

Oui tant de marins ont souffert ou sont morts dans ce lieu
Pareil pour les promene couillons

On va voir comment les femmes de MAIDEN vont le célébrer... peut-être avec un peu plus de retenue ?

Elles étaient allées "rafraîchir" leur position devant Diego Ramirez, avant de se diriger vers le cap Horn, qu'elles ont franchi de nuit.

ENTRANT UPDATE : #OGR2023 MAIDEN CROSSED CAPE HORN AT 0415UTC 8TH FEB .6 MILES OFF IN.SW23K GUSTING 30K 2MTR SEA TEMP 7C ...THEY MADE LANDFALL AT DIEGO RAMIRESZ ISLAND IN DAYLIGHT TO CONFIRM NAVIGATION FOR A NIGHT TIME ROUNDING...AT 100HRS Z ..SPIRIT OF HELSINKING APPROACHED THE HORN 34 MILES OFF, BUT HAVE NOW ALTERED COURSE AND WILL ROUND AT APPROX 1030HRS 21 MILES OFF W27K GUSTING 35 IN 3MTR SEA ....NEPTUNE HAD 15 MILES TO GO ETA 1130UTC AND TRIANA 114 MIKES TO GO ETA 2300UTC...

Quelques photos en vrac, les filles en dernier, certaines bien réchauffées !

Très sympa la vidéo de Marie. Vagues parfois impressionnantes !! Mais PD VI aime ce temps!!

On parle toujours des premiers, mais il faut aussi penser à ceux qui sont derrière, c’est bien évidemment beaucoup plus long et plus difficile pour eux avec des bateaux plus petits et moins rapides.
Au passage, un coup de chapeau a White Shadow, ils se battent comme des lions.
8èmes, passés par l’Esprit d’équipe, donc 9ème et ils arrivent à reprendre leur place de 8 ème..
Bravo a eux, ils pourront bientôt « pisser » au vent comme tout bon Cap Hornier.

Au passage, très belle vidéo et commentaires appropriés de Marie.

NEPTUNE et SPIRIT OF HELSINKI sont passés aussi il y a quelques heures.
On aura probablement des photos parlantes, surtout de Neptune passé tout près du caillou.

Dernier résumé du jour en français

oceangloberace.com[...]in-ogr/

Marie à la radio

soundcloud.com[...]0240208

PD6 devant T9 à 18 milles
Toujours un étonnant mano a Mano entre un 73 pieds et un 65 pieds 🧐🤔

Oui je suis toujours étonné que PdVI ne soit pas plus rapide avec cette météo. Serait-il moins rapide depuis qu’Éric avait été obligé de remplacer sa quille en uranium appauvri par une différente en plomb? La forme n’est plus la même.

C'est le tour de l'ESPRIT d'EQUIPE, qui passera tout près aussi mais de nuit.

En effet... carrément demi-tour, cap vers Port Stanley, à moins de 200 milles ?
On devrait pas tarder à avoir l'explication.
Leur dernier tweet date d'avant-hier, il y était question d'un "bad knock-down" ???

Je me demande si Penduick 6 à ses débuts mené en equipage avait obtenu quelques résultats en course?

Le tracking de T9 est resté activé chaque heure, à 8h TU, il fait clairement cap vers les Malouines.

À 8 noeuds, serait ce un problème non technique, un blessé ? Un malade ?

sur la page facebook du bateau

"We have received information from OGR Race Control that Translated9 reported 2 cracks in the hull with water ingress.
The crew has been put in direct contact with the technical engineering team onshore, as a safety measure. Based on our information, one of the cracks is minor, while the other is vulnerable to serious damage. The captain is currently in control and has not requested any assistance.
The crew decided to head to the Falkland Islands to avoid heavy weather and attempt repairs on the boat. The families of the crew members have been informed. Both the shore crew and the OGR are continuously monitoring the situation. At the moment, this incident is classified as an orange code. We’ll give updates as things progress. "

2 fissures, une mineure, une plus sérieuse. pas d'assistance requise

bonjour
la voilerie clandestine a mal effectué les coutures et la coque se fissure c'est sur !!!

( humour ! je précise pour toujours les mêmes )

Bonjour,
Un peu plus d'info ici : www.pbo.co.uk[...]e-84397

www-pbo-co-uk.translate.goog[...]e-84397

On a l’impression que le siège s’arrache de la coque

oceangloberace.com[...]-damage

White shadow en situation anormale, proche et au vent d une cote

ENTRANT UPDATE. #OGR2023 WHITE SHADOW HAS GONE INTO A STRANGE SITUATION WITH A LEE SHORE. ALL EFFORTS TO CONTACT THEM BY SAT PHONE AND SMS HAVE FAILED....GALIANA WITH SECURE HAS BEEN ASKED TO CONTACT BY VHF RADIO AS THEY ARE CLOSE BY BUT NO RESPONSE...DEVELOPEING SITUATION AND NO ANSWERS FOR NOW....

Fausse alerte

Galiana et White shadow tout proches au Horn, ils se sont pris en photos mutuellement.

Correction automatique je voulais dire skeg et non pas siège, ce bateau doit avoir environ 50 ans et l’aileron supportant le safran a du subir beaucoup d’efforts et contraintes d’où fatigue et casse

Besoin assistance extérieure, espèrent être au départ 4 eme étape

Feb 10, 2024, 8:38 AM
Team 07: #Evrika (FR) - SWAN 65 - Sayula
Passage du Horn ! TVB a bord. MP:8F 125<3;BWE KDL ZG;Hug@Iso&Nick

Dans les commentaires en anglais certains avancent que ce problème de fragilité côté skeg arrive sur ces vieux swans tendance boostės et poussés dans leurs retranchements

Mat greement voiles plus exigeantes

Perso je sais pas

L’Uruguay, ça a toujours été mon rêve. Plus que Miami et consorts.
Et si j’allais y faire un tour en saut d’avion ?

Colonia del Sacramento juste en face de BsAs est très sympa, vieux village colonial, à Montevideo au Mercado del Puerto les grillades sur braises qui font 10m2, la petite portion sont 500g de viande grillée :D

Accent hispanique encore plus fort/spécifique que l'argentin, "cho" creìa, "cho" pensaba, el caba"che"ro urugua"cho", assez particulier à entendre.
On en profite davantage en n'étant pas végétarien.

Rien d'anormal pour moi. L'artimon était affalé et il naviguait à 160/170° du vent, il est logique que la trinquette quand PD VI abat un peu trop.

C’est un bateau très dur et très physique quand il y a du vent. Je ne sais comment Eric faisait pour le mener au max en solo. C’était une force de la nature. Ne serait-ce que pour porter les voiles dans le bateau.
Et je ne parle pas de l’ancre sans guindeau électrique, tout à la main.

Le gréement en ketch est parfaitement justifié.

Par moments, il faut s’économiser, en croisière, on a tendance à se ménager, sans doute aussi en course de temps en temps. Plutôt que de changer de voile, on aurait tendance à soulager les voiles.

Les NEPTUNE à leur tour, au téléphone avec Aïda : un mental d'acier !

Pour TRANSLATED 9.
On voit sur le tracking qu'il est à couple d'un cargo.
Hier, il était question de le charger sur le pont d'un cargo à destination de Montevideo, faire réparer là-bas et ensuite aller à Punto del Este avant le départ de l'étape 4, le 5 mars.

T9 pas réparable par leurs propres moyens.
Seront disqualifiés pour la Leg 3 mais comptent reprendre le départ pour la Leg 4.
Triste à dire, mais une excellente affaire pour le classement final pour PD VI.

Il n'y avait pas photo. Pour le temps réel seulement, PD VI allait logiquement environ 1 nd plus vite mais il lui en aurait fallu 2 .

C'est TRIANA qui profite de l'abandon de TRANSLATED dans la 3e étape.
Ils se retrouvent 1er en IRC ! Bravo.

Mais l’intérêt de la course ne réside pas uniquement dans le classement. Le retrait du Swan 65 italien Translated 9 (ITL 09) de l’étape 3 a dramatiquement bouleversé les classements IRC. Triana (FR 66), un Swan 53 et l’un des plus petits yachts de la flotte (avec Sterna, l’autre Swan 53), occupe maintenant la première place au classement IRC. Le voilier français, skippé par Jean d’Arthuys, a franchi le Cap Horn à 21h30 UTC en début de semaine, dans des vents de 45 nœuds. Le skipper Jean et son second, Sébastien Audigane, ont constamment surpris par leur vitesse, rivalisant avec les plus grands voiliers de la flotte. Leur cinquième place en temps réel est déjà remarquable, mais leur première place en IRC est stupéfiante, grâce à leur détermination et à leurs changements de voiles incessants.

Un "vrai" passage du Horn comme on l'imagine...

J’attends avec impatience les explications de White Shadow sur leur route fort dangereuse.

ETA Pen Duick à Punta del Este : 16 h UTC, soit 17h chez nous.
En direct sur le FB.

EXPLORER a signalé une avarie de barre, ils sont à la cape sous trinquette, en attendant que ça se calme. Don a précisé que si c'est une rupture de cable, ils en ont en rechange, mais il faut que la mer se calme pour réparer.
A part ça, tout le monde va bien à bord.

_EXPLORER....tweet just in....LOST STEERING. HOVE TO UNDER TRYSAIL AND EMERGENCY RUDDER . ALL OK ...ENDS...They are currently 240 west of Cape Horn and STORM weather is dropping back to currently 28k gusting 45k with 7 meter seas...in the next eight hours it will drop back to 23k and gusting 38k and shortly after that 17k gusting 30k with seas down to 4.5mtr....forecast is generally ok for the next three or four days. This may be broken steering wires, spares are carried onboard but it is challenging to fit at sea in heavy weather.. _

La vidéo de l'arrivée de Pen Duick VI est magnifique ...

Essaie...

Merci, je n'ai jamais compris pourquoi c'est aléatoire pour moi (et pas seulement).
Des fois ça marche, des fois non.

Oui, je fais comme ça et des fois ça marche pas ! C'est arrivé aussi à Horus dans ce fil.

Est-il possible de déterminer si le "coupable" est l'OS ou le navigateur ?

Traduction approximative...
Explorer n'a pas cassé le safran mais "seulement" un câble de barre (steering).
Quant à Pen Duick, il vient pas des Bermudes... mais c'est un ketch à gréement bermudien.

Roulé, tu es sûr? Couché sûrement mais roulé suppose qu'il fasse 360 °. Alors trois fois, en gardant ses mats ce serait une première.

Oui mais la VO est en anglais. Ce que tu as copié, c'est leur traduction en français, qui n'est pas de bonne qualité.

Une parmi des dizaines de chouettes photos de l'arrivée de PD6, à voir sur le FB.
(Marie a dit qu'elle avait mal aux dents en arrivant, d'où sa mauvaise humeur ?)

Casser l’etai, ça m’est arrivé dans un coup de Meltem en remontant de Cythère devant le cap Meihas sur un Sun Fize 40.

C’est finalement plus impressionnant que dangereux quand on a un foc ã enrouleur qui, par construction, est tenu par un câble en acier.
Le seul problème a ėté de faire venir un nouvel ėtai de France. Deux semaines sans pouvoir naviguer, irréparable sur place.

mais le tube n'est pas tenu en haut. Mais la drisse du génois peut éventuellement tenir : l'ancien proprio de mon bateau a mis une drisse en matière exotique de 14 mm ... ce sont des fibres jaunes rectilignes sous gaine , du Kevlar ?

Horus : il n'y a
généralement pas de câble acier inoxydable dans une ralingue de génois enrouleur....les ralingue acier étaient utilisées sur les focs de brise à endrailler...
Donc quand il y a un bris d'etai...c'est la drisse qui tient le mat...et il faut faire très vite si on ne veut pas prendre le mat sur la figure....amicalement Pierre

Kéa, tu as raison.
Quand on installe son génois et que tout va bien, un équipier en pied de mât à la drisse, la drisse mise à poste au point de drisse et on enquille la ralingue du génois dans le tube.
Donc c’est la drisse et la ralingue du génois qui retiennent le mât en dernier ressort.
En cas de pépin, c’est immédiatement bout au vent et on installe dare dare la drisse de spi, voire si on a un étai largable pour le numéro 1, en plus de la drisse de spi, cet étai largable.
Beaucoup de tubes ont deux chemins pour pouvoir endrailler la nouvelle voile avant d’affaler l’ancienne et là, on l’a dans le c.. Mais il reste quand même la drisse de spi.

On dirait qu’ils aiment se faire peur..

EXPLORER a gentiment contourné le Horn à 3 ou 4 milles au large et maintenant ils foncent à plus de 10 nds vers le détroit de Le Maire.

Pendant ce temps, TRANSLATED a été hissé sur le quai et placé sur un ber adapté tout exprès pour le charger sur un cargo, cap vers l'Uruguay pour être correctement réparé.
Voir une video sur le FB.

WHITE SHADOW progresse vers l'arrivée à 5 nds, encore 500 NM sous voilure réduite.

Formidable... merci aux Chamade pour l'info en direct et parfaitement bien relatée !

www.chamade.ch[...]

je n'ose imaginer la facture !!

En l'occurrence, je crois que l'entreprise TRANSLATED 9, principal sponsor du bateau, est franco-italienne, ce n'est pas l'OGR qui paiera la facture.

Les deux derniers au cap Horn, tout aussi fiers :

Oui... le tracking est activé toutes les heures, ils sont à 1 mille l'un de l'autre, Maiden derrière pour le moment ! Restent 60 milles à courir, ils vont arriver en début de nuit !

Il y a quelques heures, arrivées à la suite des Finlandais SPIRIT of HELSINKI, puis des MAIDEN à Punta del Este.