Nettoyage coque plongée bouteille !!
Bonjour
Petite question d un jour de confinement !!!
Pour ceux qui font leur nettoyage de leur coque avec un bloc de plongée !!; Mettez vous
Un stabilisateur ? Ou a l arrachée en palmanant ?
Merci
Tony
Pas facile de fixer la ventouse sous l'eau car quand on appuie sur le petit levier on recule (enfin moi je recule)
Pense qu’en respirant sous l’arbre d’hélice le joint d’arbre sera sûrement au sec, penser à le purger avant de redémarrer le moteur ;)
tu passes une sangle sous la coque devant et une derrière pour se tenir ,la ventouse ne tient pas sur une coque qui n'est pas parfaitement lisse et si elle l'est ,ce n'est pas nécessaire de la nettoyer .
alain
ou un remora dans chaque main et tu grattes avec les pieds, le coup de se sangler sous le bateau je ne le sens pas trop !
A Quizas
Il ne s'agit pas de "se sangler", mais de passer une sangle sous le bateau, pour s'y tenir d'une main. C'est ce que je fais et je n'ai pas trouvé de meilleures solutions. Si on a une aide à bord, elle peut déplacer la sangle au fur et à mesure de l'avancement du travail, sinon, comme fritz, on prépare, avant plusieurs sangles.
Jacques
T es pas obligé de mettre la ventouse juste là ou la coque est merdique.
Moi je commence par mettre la ventouse au dessus de la ligne de flottaison je gratte la partie accessible puis je me deplace petit a petit d une main a l autre bras ecarté on a bien 1.60 minimum.....
je suis entrain de me dire que je vais m équipé d un bloc !!! Le bateau est en eau douce et navigue en mer
Il se dégueulasse moin que si il était au port eau Mer !! Cela pour éviter de mette de de AF et de faire un grutage tout les ans !!!
Pareil pour moi, mon bateau est en Vilaine, pas d'AF pour la troisième année consécutive. Pas encore navigué cette année, mais mon expérience des deux dernières années m'a montré qu'un simple coup d'éponge donne une belle carène.
Comme les autres, deux amarres passées sous le bateau devant et derrière la quille facilitent grandement le travail.
Principe fondamental de physique universellement vérifié: Action ET réaction.
Pour appliquer un effort sur une surface il faut que celui qui l'applique développe un effort opposé.
Dynamiquement avec les palmes on est peut efficace, on se fatigue très vite et on vide sa bouteille à vitesse Grand V. Avoir un point d'appui comme une ventouse est plus efficace.
Et Loi de Mariotte, Il faut aussi impérativement être lesté correctement, plutôt un peu surlesté, pour ne pas remonter en permanence et se cogner la tête sur la coque.
Les scaphandriers professionnelles étaient des "pieds lourds" pour avoir des points d'appui corrects et rester le corps vertical.
Moi pour gratter le dessous avec la combinaison de 7,5 mm je leste pas beaucoup ( le plus dure ses d aller en dessous) après je rampe mais à l envers comme si que tu frotter un pond et teck avec une brosse ( j avoue que toute les 30 mn je fait une pause !) Ça m arrive d être plaquer comme une mouche sur le ventre contre la coque ( je lui fait un câlin pour qu’il ce sente mieux) Je suis au narguilé mais le principe ses que la combinaison te pousse vers le haut ( moi ses une vedette de 15x4,4 donc ses long)
Bis repetita, ma solution est décrite ici :
clinkemaillie.free.fr[...]ge.html
Fait :'(
J'ai même lavé tout le pont à la brosse à dent! (Vrai! C'est fou comme c'est plus efficace que le karcher)
Bonjour
Est-ce qu’une bouteille de
6 litres suffirait pour passer à l’éponge une coque de 12m ?
Merci
Oui si tu n'as pas une respiration trop rapide. Essayer de respirer très lentement avec de petites apnées de temps en temps te permettra d'augmenter très sensiblement l'autonomie de ce genre de bouteille "de secours".
Une 6l est suffisante, même pour une coque de 12m. Forcer l'expiration pour éliminer le max de CO2, et chercher une ventilation lente. Limiter ses efforts en se tenant à une sangle comme expliqué par The Cat. Surveiller la quantité d'air restant dans la bouteille et ne pas descendre plus bas que nécessaire. Toujours remonter en expirant. JAMAIS d'apnée même courte.
Quand je parle d'apnée, évidemment je ne parle pas de faire 30s ou 1 min d'apnée, mais seulement de bloquer quelques sec la respiration avant d'expirer lentement.
Et, là, on est dans des plongées à moins de 6m de profondeur où il n'y a pratiquement aucun risque et encore moins pulmonaire puisque c'est justement la zone dans laquelle aucun palier de décompression n'est requis...
", on est dans des plongées à moins de 6m de profondeur où il n'y a pratiquement aucun risque et encore moins pulmonaire puisque c'est justement la zone dans laquelle aucun palier de décompression n'est requis..."
Tout faux. Les paliers ne peuvent rien aux accidents de surpression pulmonaire, dont la fréquence la plus élevée se trouve dans la zone de moins de 10 mètres.
oui quand on remonte trop vite de plus de 10m justement
Dans la zone des moins de 6m, tu peux plonger plus d'une heure si tu veux et tu n'auras jamais aucun palier à faire, ni aucune décompression à part les manœuvres de Vasalva pour faire passer tes oreilles...
Confusion dangereuse entre les 2 types d'accidents.
Je persiste : les risques pulmonaires sont très élevés, essentiellement chez les débutants, même dans la zone des 6 mètres. Les paliers et la décompression n'ont strictement rien à voir avec cela.
Oui si l'on n'expire pas l'air en remontant (chose que l'on apprend à tous les débutants justement)
Sinon pourquoi la Marine Nationale ferait-elle intervenir ses nageurs de combat avec des recycleurs à oxygène pur dans cette fameuse zone des 6 mètres? Justement parce qu'au-delà des 6m à l'oxygène pur on risque une narcose et des problèmes pulmonaires. Avec ces fameux recycleurs on ne risque absolument rien dans cette même zone, même avec des plongées extrêmement longues.
Dans la plongée à l'air ambiant, le risque pulmonaire avec les débutants intervient surtout quand ceux-ci remontent trop vite (à une vitesse supérieure de celle des petites bulles sortant du détendeur) d'une profondeur supérieure aux 10m et quand on force ces capacités au-delà de ce que l'on peut faire en apnée et que l'on remonte beaucoup trop vite.
Je ne vais pas épiloguer avec toi Marco9 car j'ai derrière moi des années de charter plongée dans les Caraïbes où j'ai fait plonger des milliers de personnes sans aucun accident.
Avant cela, j'ai passé quelques années dans la Marine en tant que plongeur de bord et aussi 2 ans chez les nageurs de combat de Saint-Mandrier avec de très nombreuses plongées au recycleur.
Je m'aperçois que tes réponses n’apportent aucune explication plausible à part dire "faux".
Donc, à part si tu as des explications incontestables sur le sujet, je ne vais pas aller plus loin dans les miennes.
La lecture d'un bouquin de base en plongée subaquatique suffirait à vérifier qu'en effet tes affirmations sont inexactes.
J'ai non seulement pratiqué un petit peu, mais j'ai également enseigné le truc.
L'accident de surpression pulmonaire est du à une augmentation du volume d'air dans les poumons, ce qui arrive quand la pression ambiante descend (donc quand on remonte) et qu'on empêche l'air de sortir.
Cela ne dépend pas des paliers, ni de la vitesse de remontée, mais du blocage de la sortie (apnée).
Un exercice aujourd'hui abandonné consistait à remontée en urgence de -20 mètres, bouée Fenzy gonflée à bloc. La vitesse était donc très très supérieure à celle des "petites bulles". Aucun risque si on connait le truc, donc si on a reçu l'entraînement.
Cet accident arrive quand la différence de pression est importante, donc plus on est près de la surface, plus le risque est élevé. Du point de vue médical, passer de -3 mètres à la surface (poumons gonflés et glotte bloquée) suffisent à laisser des traces dans les poumons et cracher du sang.
Plonger avec un recycleur n'empêche absolument pas un accident de surpression. Cela n'arrive évidemment jamais chez les plongeurs expérimentés que sont les plongeurs de la MN.
Je ne vois pas où est la polémique alors.
Ce que tu dis "L'accident de surpression pulmonaire est du à une augmentation du volume d'air dans les poumons, ce qui arrive quand la pression ambiante descend et qu'on empêche l'air de sortir." n'est rien d'autre que ce que je dis depuis le début...
J'ai moi aussi mon MN depuis très longtemps...
Relis donc ce que je disais un peu plus haut: "Oui si l'on n'expire pas l'air en remontant (chose que l'on apprend à tous les débutants justement)".
Non. Tout est faux. Confusion totale.
Encore une fois, les paliers la vitesse de remontée et la décompression n'ont rien à voir ici.
Non, le risque pulmonaire ne dépend pas de la vitesse de remontée.
Etonnant, le fait de risquer une narcose due à l'azote en respirant de l'oxygène pur 😁😁😁😁
Le soucis avec l'oxy pur, c'est l'hyperoxye, risque qu'on rencontre lorsque la pression partielle d'O2 est supérieure à 0,6 bars, donc à 6 mètres de profondeur.
Faut être précis, surtout quand ça concerne la sécurité.
"le fait de risquer une narcose due à l'azote en respirant de l'oxygène pur 😁😁😁"
on est d'accord. Ce n'est pas la seule chose qui soit pour le moins étonnante dans les affirmations qu'on peut lire ici.
ai-je dit que l'on risquait une narcose à l'azote? Non!
Faudrait peut-être lire correctement ce que vous si prompts à critiquer.
C'est effectivement une narcose due à l'hyperoxye, chose que l'on comprend effectivement en faisant une hyperventilation prolongée qui vous amène assez rapidement à une sorte de vertige...
Que de confusions, là encore.
L'hyperventilation ne conduit pas à une augmentation de PP O2 (elle n'est que minime) et encore moins à une hyperoxie.
Entre dix mètres et la surface un bar donc du simple au double
Entre 90 le et 100 m variation de 1 bar par rapport à 10 bar 10% ça fait moins mal ...
Jamais d’apné sous air à 200 bars cela peut donner des migraines
Etant plongeur 3 N c’ est les choses que l’on apprend en formation
C'est en effet ce que l'on raconte parfois aux élèves, essentiellement pour prévenir l'accident de surpression pulmonaire. L'objectif de baisser sa consommation passe par un apprentissage, une aisance aquatique, l'absence d'appréhension, et surtout un bon équilibrage. On ne fait pas d'apnée, on respire calmement : la nuance est de taille.
Apnée = blocage respiration
Si remontée en surface même de cinq ou six mètres en restant bloqué les alvéoles pulmonaires vont morfler
Oui, mais le plongeur classe III n'est-il pas amené à faire des plongées au-delà des 50m?
Zone où, effectivement, il est fortement déconseillé de faire des apnées.
A quoi peuvent bien servir les détendeurs qu'on fixe sur la bouteille et dans la bouche ? 🤔🤔🤔
Pourquoi respirer de l'air à 200 bars? à part en bouteille à 2000 m de profondeur je ne vois l'intérêt. En plus il y aura quelques problèmes avant d'atteindre cette profondeur.
A l’arrache en palmant… et sans bouteille, c’est mon sport d’été. Avec une combine tant que l’eau est fraîche.
Je fais une demie coque un jour et l’autre le lendemain.
J’ai essayé avec un un bout pour s’accrocher, ça complique la préparation, pour une coque sale c’est utile mais pour de l’entretien sur du VC17 on peut s’en passer.
Le lest peut être utile mais je ne suis pas trop à l’aise avec ça.
Oui bon bref je suis open water Padi, donc j’imprime à peu près les généralités plongée . La question était - est-ce que 6 litres suffisent pour un effort moyen à 1m de profondeur pendant disons 20’.
On apprend cela au 1er niveau de plongée (français) :
disponible à 1 bar : 6 x 200 = 1 200 l
consommation normale par minute à 3 mètres : 20 x 1,3 = 26 l/min
autonomie normale à 3 mètres : 1200 / 26 = 45 minutes
autonomie normale à 2 mètres : 1200 / 24 = 50 minutes
Reste à savoir si ta consommation d'air est "normale" ou pas.
Ma consommation est (un peu) élevée, mais le nettoyage demande quand même un effort inhabituel par rapport à une plongée de balade …
tu es à moins de 2 mètres... Tu te plombes bien pour ne pas coller la coque, un bout en dessous de la coque pour te maintenir et pouvoir frotter. Tu as largement le temps.
Si tu manques d'air, pas de panique, tu fais des gammes "aaaaahhaaahhaaahaaaaahhaaahhaaah" en regagnant tranquille la surface (en faisant ainsi, tu peux aller aussi vite que tu veux).