naufrage d'un Bavaria devant Rimini ...

d'après ce que je comprends de la traduction, un Bavaria s'est retourné devant Rimini en Italie, quille perdue, touché les hauts fonds ou autre ???
en tous cas 3 disparus et 1 décédé ...

www.pressmare.it[...]si-6967

.

L'équipage
20 avr. 2017
20 avr. 2017

Suite à une panne moteur empêchant de manoeuvrer, d'après la mise à jour de l'article et Google Trad.

21 avr. 2017

apparement tres mauvais temps,
se presenter devant un port au portant dans ces conditions est tres dangeureux, il faut etre absolument sur de son moteur, de sa position et de ses capacités, toujours imaginer le pire qui arrive helas
.

21 avr. 2017

je "devine" que la mer était tres creuse et c'est dans le fond d'une vague que le bateau a touché et a perdu sa quille

21 avr. 201721 avr. 2017

La encore il sera intéressant et très utile de connaitre les véritables causes du naufrage mais ce sera malheureusement noyé dans des commentaires aussi inutiles que futiles (dont le mien)
.."je devine que la mer était très creuse"..........
.."il faut être sur de son moteur et de ses capacités"........

21 avr. 2017

plus bas tu peux lire que le moteur s'est arrété

21 avr. 2017

les commentaires sont ce qu'il sont sinon pourquoi mettre un fil..le but est eventuellment de permettre a d'autres d'eviter ce genre d'accident qui est assez frequent, mais heureusement pas souvent aussi meurtrier..
.
se faire drosser a la cote est LE danger majeur de la nav ( si on exclut le MOB)c'etait le sens de mon intervention et aussi celle de calypso

21 avr. 2017

Bonjour, ce que je comprend (SGDG ;-) d'aprés ma petite connaissance de l'italien :

  • ils avaient quitté Monfalcone (prés de Trieste) pour destination prévue Trapani
  • les bulletins météo annoncant une trés forte Bora en prévision, ils ont preferé fuir vers Rimini , avec une mer forte
  • lors de l'entrée à Rimini leur moteur a calé suite secousses du reservoir et blocage des filtres par boues fond de cuve sans doute
  • mal manoeuvrants ils ont tapé sur des fonds faibles dans un creux de vague, perdant quille et safran
  • ils se sont retournés et fini contre la digue d'entrée.

Tout cela est au conditionnel dans le texte....

21 avr. 2017

Précisions utiles!...
Mais pas d'étoiles????

21 avr. 2017

Les étoiles vont de préférence à ceux dont la talent est de dénigrer....

21 avr. 2017

toutes ces suppositions rendent le résultat très triste

ce sont le genre de craintes que j 'ai déjà eu en mer, a deux fois;, et a deux fois je suis partis en fuite au large rendant certains a bord malade mais bon, je suis peux être dans le faux, mais moi quand ca craint je vais au large.... va savoir

21 avr. 2017

Les ports italiens sont souvent dangereux par forte houle car les fonds sont faibles.
Vouloir y entrer est une fausse sécurité dans ces cas là.
Il vaut mieux rester au large même si ça secoue :-(

21 avr. 2017

Très juste.

21 avr. 2017

et pensé que le moteur est une securité sur un voilier alors que la securité c'est les voiles ..

21 avr. 2017

d'accord, par mauvais temps, le danger est à la côte.

21 avr. 2017
21 avr. 2017
21 avr. 201716 juin 2020

Si ce sont réellement les conditions météo, quelle idée de ne pas eu une voile en sécurité.

SI TU VEUX FAIRE UN VIEUX MARIN,
ARRONDIS LES CAPS ET SALUE LES GRAINS.

Autant que je m’en souvienne, je n’ai jamais rencontré de soucis liés à la proximité d’une pointe ou par une difficulté non anticipée. Il faut dire que du fait de mes origines granvillaises, je ne suis jamais sorti ou rentré dans un port exposé sans garder la grand voile envoyée. Cela m’a parfois permis de couper court à des pannes de moteur inopportunes.

« En 2007, sur un catamaran Hélios 38 en approche des jetées de Brighton par une belle brise de sud-ouest fraîchissante et une mer formée, j’ai du élever la voix pour empêcher l’équipage d’affaler la grand voile avant de s’engouffrer entre les jetées étroites à 10 noeuds.

Bien que disposant de deux moteurs, je préfère toujours assurer la manœuvre comme si la pompe à eau rendait l’âme et un bout se prenait dans l’hélice de l’autre moteur.

Vous trouvez que j’exagère ? Et bien cela m’est arrivé en arrivant dans la Médina de Cowes! N’oubliez pas que les accidents se produisent toujours selon la loi de l’ emm…maximum.

Le lendemain, dans les mêmes conditions, nous avons hissé les voiles à l’abri de la marina, sous les applaudissements de nos voisins anglais ! »

karibario.blogspot.fr[...]nt.html

21 avr. 201721 avr. 2017

Viking35, un jour tu m'as dit un truc du genre "tu n'as aucune expérience en navigation, tu ne devrais pas intervenir sur les fils qui causent navigation".

Je vais me permettre de te donner le même genre de conseil "Daniel, tu n'as aucune sensibilité, tu devrais éviter d'intervenir sur des fils qui relatent des accidents qui se sont terminés par le décès des navigateurs"

Et quant à mettre la photo du bateau et le lien de ton blog où tu racontes tes fabuleuses aventures, c'est mais... carrément déplacé.

21 avr. 2017

Tu veux une médaille ?

21 avr. 201721 avr. 2017

et bien idem en ce qui me concerne ,qu'il fasse beau ou mauvais dés la sortie du port je hisse la GV et elle est rentrée le plus tardivement possible ...

et cela m'a "sauvé" quelques fois ,pas beaucoup mais deux ou trois coup ,par une panne de moteur subit et inattendu on reste manoeuvrant ...

et d'autant plus d'ailleurs s'il fait gros temps

21 avr. 2017

Tout le monde n'est pas un grand navigateur agéri et expérimenté. Il faut aussi faire ses propres erreurs pour apprendre. Malheureusement ici ça se termine pas bien.

21 avr. 201721 avr. 2017

.
:-( :jelaferme:

21 avr. 2017
21 avr. 201721 avr. 2017

vous avez sans doute raison pour ce qui est de la compassion mais si vous voulez etre pragmatique et rester en vie lisez attentivement ce qui dit viking et tenez en compte absolument...la compassion ne sert a rien quand on n'est plus de ce monde...
si vous regardez la carte vous verrez combien il peut etre dangeureux voire impossible de passer cette digue par mer formée de secteur est, et l'affaire devient du suicide si l'on ne porte pas de toile et que le moteur vous lache.
on a un peu trop tendance a porter attention a la forme plutot qu'au fond dans notre forum , et sil'on en croit les specialistes ce n'est pas le seul domaine a connaitre ce travers, ce qui est a l'ordre du jour pour ce we

21 avr. 2017

Il est tout de même dommage de payer de sa vie un manque de formation élémentaire.
La compassion n'a rien à voir et si la lecture de mes théorèmes peut éviter une erreur à un débutant j'en serais heureux même si je ne le saurais jamais.
Et, n'en déplaise aux fâcheux qui vont encore me trouver prétentieux, c'est surement grâce à ma prudence que je n'ai jamais imaginé faire appel un jour au secours en mer.

25 avr. 2017

Et bien oui Viking, moi aussi je te te trouves vraiment prétentieux et même excessif.
Je suis sur que tu es un grand marin et même devant l'éternel tu le seras encore très certainement. "
Mais franchement, t'en as pas marre à ramener tout à "ton" expérience avec ce ton méprisant, heureusement que l'on ne parle pas d'accident de voiture, tu serais sut le pont en permanence à déblatérer sur tous ceux qui ne font pas ce que tu aurais fait....
Tu vois, c'est simple, même là, tu prodigues des conseil sans même vraiment connaitre les conditions de temps , de mer, quel vent il y avait, en plus il ont certainement perdu leur quille et leur safran et toi tu laisses ta voile....
C'est juste nul et déplacer comme l'a souligné Calou, t'as beau être le meilleur, mais alors qu'est que t'es fatiguant avec tes réflexions....

Pascal :tesur:

25 avr. 2017

Viking,
je te l'ai déjà dit, moi même j'ai apprécié ton blog, il bourré de conseils, de bon conseils même, c'est pas là le problème, tu devrais faire une entrée payante ou sortir un guide pour marin compétant....
C'est juste ta façon de parler des soucis de certains comme à chaque fois et là pour le coup ils sont dramatiques et pas un seul moment on ressent la moindre compassion de ta part, tu ne parles pas au conditionnel, tu émets des commentaires sur les compétences alors que tu ne sais rien ou juste un article ou même ERIC2103 souligne que... "Tout cela est au conditionnel dans le texte..." que peut être ils auraient perdu leur quille qu'il y aurait eu F7-8, alors tu nous sors tes rentrées au port à la voile.
Mais toi, sûr que sans quille avec 25 n de vent ou plus, même au cul, c'est du gateau une entrée de port à la voile ! pufffff
Je sais que tu vas rien piger ou trouver mes commentaires déplacés, mais voilà, je suis juste un petit marin du dimanche qui n'a jamais fait d'école de voile, qui a acheté le livre des glénans sans jamais l'ouvrir parce que c'est chiant, et que je fais parti du petit pourcentage d’incompétents qui te pourrissent la vie car je n'ai pas le niveau que " tu as établi " pour avoir le droit de monter dans une canote.
Une dernière chose, méfies toi quand même quand tu écris "
.
"... c'est surement grâce à ma prudence que je n'ai jamais imaginé faire appel un jour au secours en mer...."
.
Il risquerait bien d'y avoir un " autre bon Viking" le jour ou, pour expliquer la cause de ce qui te sera arrivé..... Mais bon, il n'y a pas de danger que tu fasses des erreurs bien sûr ... :heu:
.
Pascal :alavotre:

25 avr. 2017

Ecoutes Viking, t'as raison, t'auras toujours raison, tu pourras toujours relire ce que tu as écrit, tu ne comprendras jamais rien, je te parle compassion tu réponds par compétence, tu ne sais même pas ce qui s'est passé, les mecs ont perdu leur quille t'expliquent que tu serais rentré à la voile, bref t'es à l'ouest, t'es trop tout simplement.
Je suis comme beaucoup, un marin amoureux de la mer qui se prend pas la tête et je me garderai bien de faire des commentaires surtout sur de telles situations mais toi t'es différant et tant mieux si tu as lu 100 fois les glénants, tu vois, moi le papier est trop épais pour m'en servir de torche cul alors je l'ai encore, je serais même pr^t à le donner gracieusement à un adepte de la voile de bureau...
Bref, j'arrête car je commence à agacer ...
pascal :alavotre:

25 avr. 2017

:bravo: :topla:

25 avr. 201725 avr. 2017

Tu as entièrement raison Ptimouse, mais il ne t'aura pas échappé que ce n'est pas l’expérience que je critique ... ;-)
Pascal :alavotre:

26 avr. 2017

mais il semble tout de meme que la quilee fut perdu par tollonnage sur les haut fonds au vent de la digue, faudrait pas l'oublier

25 avr. 201725 avr. 2017

Justement, étant ignare en italien et ne connaissant pas la situation , je me suis astenu de "prodiguer des conseil"... J'ai seulement souligné que la voile était plus sure qu'un moteur... et que cela s'apprend. Quelle prétention !
Il n'en demeure pas moins que seulement ce matin, 154 Héonautes avait consulté ...karibario.blogspot.fr[...]nt.html

25 avr. 2017

Et bien Pascal, indique moi quels ont été les" commentaires sur les compétences alors que tu ne sais rien" que j'aurais écrit... Pourquoi aurais je employé le conditionnel pour des phrases que je n'ai pas écrites?
Pour ma part, le Cours de navigation des Glénans, je l'ai dévoré quand j'étais ado, surement une dizaine de fois. Quand à des erreurs, j'en ai évidemment fait. De plus, je n'hésite pas à les relater dans mes "théorèmes du débutant"..
La seule chose qui m'inquiète est de me prendre une filière de casiers la nuit. Et comme ma retraite maritime est proche, les risques le sont d'autant.

25 avr. 2017

Le but d'un forum est d'échanger... Et c'est donc d'autant plus interressant si les idées exprimées sont diverses et variées. Vicking peut paraitre un peu "brut"... Mais je trouve interressant qu'il partage son expérience (qui m'a l'air grande...), c'est précieux. Ca nous permet à tous de réfléchir, de se remettre en question, bref de progresser...

Peace....

26 avr. 2017

Tu vois Mayko, dans ce genre d'histoire, avant d'en tirer toutes conclusions et parler de la façon de s'en sortir, il serait peut-être intéressant connaitre les conditions, et là, toi même, tu écris ...
" mais il semble tout de meme....."
Mais bon, je ne suis sûr qu'il y ait du monde qui ait compris le sens de mon intervention.... et de toutes les façons, on s'en fout... :-p
Pascal :alavotre:

21 avr. 2017

Moi qui suis débutant j'aimerais donc savoir l'intérêt de garder sa grand voile envoyé ? En ce moment je navigue sur les côtes marrccaines ou desfois les entrées de ports sont farcient de casiers mal repéreré et des houles qui peuvent être assez forte.
Merci
Ps : je demande car je trouve que sous GV seule mon bateau (Dufour 31) n est pas super manœuvrant.

21 avr. 2017

Je suis toujours sorti ou rentrer d'un port à risque, c'est à dire sous le vent , avec la GV envoyée et fréquemment le foc . Cela m'a évité plusieurs fois de me trouver en fâcheuse position quand le moteur bafouille... Si le moteur est un hors bord, il faut que cela soit systématique.
Sur un Dufour 31, comme de nombreux voiliers sous GV seule, il ne faut pas chercher à faire de cap. De la vitesse, toujours de la vitesse. C'est la vitesse qui permet de rester manoeuvrant
Mais le mieux est de dérouler partiellement le génois pour l'appuyer.

22 avr. 2017

ça permet de continuer à avancer si ton moteur te lâche !
C'est pas plus compliqué que ça.

21 avr. 2017

1) par petit temps les precaution suivantes peuvent eventuellment etre negligée si l'on est sur de son moteur, mais toujours avoir le mouillage pret
par vent modéré a fort les precautions sont d'apres moi: (les chiffres sont des paragraphes et non un ordre de preference)
.
2)si on arrive au portant par vent modéré (f3-f5)jusqu'au bon plein et qu'on ne fait pas de pres , que l'on a un enrouleur , il peut etre avantageux de ne garder que l'enrouleur , que l'on enroule a volonté et qui sera rapidement rentrer le moment venu
.
3)dans ce cas de figure par vent fort (f6 7 8)on arrive plutot avec un foc ou une trinquette seul ( auto vireur si possible).
.
4)si l'on arrive au pres ou que l'on doit a un moment ou un autre faire du pres , on doit garder la grand voile, mais eventuellement en prenant un ris de trop pour etre manoeuvrant tout en ayant un vitesse moderée,.. il faut avoir devant si on en a un, un foc pas trop grand ou mieux un foc auto vireur ou une trinquette auto vireuse
on peut ainsi virer/empaner sans presque toucher aux ecoutes, la vitesse reste moderée mais on n'est jamais planté
.
5) arriver sous gv seul n'est possible qu'avec un bateau qui marche avec cette toile (gv importante , greement 7/8, bateau leger..etc)
.
6)arriver a sec au portant par vent fort est a proscrire absolument, si on n'a pas de foc ou trinquette on met le tourmentin, quand le vent est fort les conditions mauvaises et si a fortiori on ne connait pas l'endroit il faut preférer un port au vent et y arriver au pres.

7)meme si l'on decide d'arriver a la voile je conseille bien sur d'avoir demarré le moteur ou mieux de marcher au moteur et a la voile avec une toile reduite
le moteur devra avoir ete demarré bien avant l'arrivée pour etre sur qu'il est chaud et qu'il fonctionne normalement
.
8)par vent fort le monent ou l'on affale les voile depend de l'endroit et de l'equipage ainsi que dans la confiance que l'on a dans son moteur , mais de facon simpliste disont que affaler a 50-100m de l'entrée a condition que le moteuir soit toujours la et que l'on ne soit pas au vent de la digue a ce moment
.
9) pour finir si l'on a un doute sur l'atterrissage par vent fort portant il faut rester au large, ou en faisant des bord de cap courante a plusieurs milles de la cote pour se donner le temps de la reflexion ou de la preparation...en dernier recours on rentera demain
Ce dernier point conditionne votre integriter physique et celle de votre bateau
.
excusez moi de faire le je sais tout, encore un mauvais point pour moi.:oups:
mon discours peut paraitre assez confu mais j'ai essayer de resumé les point critiques..j'espere que cet( accident tres regretable motivera ceux qui ne le sont pas encore :litjournal:

21 avr. 2017

Tu as oublié une ancre à poste.

21 avr. 2017

et non t'as mal lu

21 avr. 2017

C'est dans la première phrase

21 avr. 201721 avr. 2017

et ne pas perdre de vu qu'avec un moteur m^me parfaitement en état personne n'est a l'abri d'un bout dans l'helice , ce n'est pas un incident rare surtout prêt d'un port ou d'une cote ...

et là sans voiles s'est direct les rochers ..

et toujours le mouillage prêt ,il doit etre mouillé en une poigné de secondes

21 avr. 2017

remarque sur le moteur: un moteur qui cafouille dans le gros temps alors qu'il marchait bien jusque la , le fait en general parce que le reservoir est crasseux, donc avant toute chose connaitre le degré de crasserie de son reservoir et des ses filtres GO

21 avr. 2017

Le récit en anglais et la vidéo des secours : www.ybw.com[...]r-51353
.
Je me pose quand même la question de savoir pourquoi ils sont aller se foutre dans ce temps-là, parfaitement annoncé, en équipage familial à bord d'un bateau de croisière.

Du reste, comme l'écit Mayko, cela montre aussi l'importance de la surveillance et de l'entretien d'un bateau si ce sont bien des boues qui ont menés à la panne moteur.

22 avr. 2017

par vent d'est à éviter ,ça doit déferler ,il vaut mieux rester au large
ou si on connait bien le coin garder de la toile ,ça me fait penser à port la nouvelle par vent d'est ,j'y suis rentré l'année dernière par 20nds d'est à l'anémo +la vitesse du bato avec 1.5m de creux très court je suis parti de loin presque un mile vent arrière en visant le bout de la jetée légèrement sur bd
je n'ai affalé qu'au fond du port avant le pont quand même .
je n'ai même pas mis le moteur ...il y a des cargos qui rentrent donc ce n'est pas le fond qui manque .
mais quand même petite appréhension .....
alain

21 avr. 2017

Merci à Mayco pour toute son expérience et son bon sens.
Si certains le trouvent "prétentieux", perso je dirai qu'il est peut-être un peu trop direct et " brut de pomme" dans ses interventions. Néanmoins, 9 fois sur 10, je partage sa vision des choses !
Continuons tous à alimenter les sujets de manière constructive sur ce forum...ça sert à ça.
Eric

21 avr. 2017

effectivement, 40N de vent de NE (d'après le reportage) dans ce coin avec des petits fonds, ça devait pas être fameux ...
webapp.navionics.com[...]/

21 avr. 2017

(très intéressant ce genre d'échange / "débrief" pour un novice)

21 avr. 2017

C'est le 2° naufrage (un autre aux Bahamas, je crois) dans un contexte similaire. Peut on envisager un désamorçage de la pompe gazole pour cause de bulles d'air après une séance de lessiveuse ?
Une double alimentation gazole est ce compliqué ?

23 avr. 2017

L'idéal, un réservoir en charge type journalier.

21 avr. 2017

non, pas de desamorcage pour cause de lessivage

21 avr. 2017

La voile haute, oui, mais seulement si on sait manoeuvrer à la voile !
????

21 avr. 201721 avr. 2017

je note que plein de marins de haute mer soulignent que la sécurité par gros temps se situe au large

rappelons qu'ici on parle de l'adriatique, où la notion de " haute mer " est déjà à relativiser fortement..
ensuite, parti de la côte sous le vent, impossible de rester au large à moins de serrer le vent au maximum
dans ces conditions, de nombreux équipages sur des bateaux de croisière en seraient incapables !

quant à savoir comment ce temps avait été annoncé, et pourquoi ils ont pris la mer...
c'est effectivement une question intéressante, sur laquelle je me garderais de porter un jugement hâtif (du style : " ces incompétents n'ont même pas jeté un oeil sur le bulletin météo ")
c'est une région où les vents peuvent atteindre une rare violence, où les effets de sites et de relief sont nombreux, et où la météo peut changer très rapidement et sans prévenir.
des coup de vents mal annoncés sur les côtes méditerranéennes françaises ne sont pas rares.

certaines interventions manquent de respect et d'humilité...
deux qualités essentielles chez un marin qui se sait petit face aux éléments !

quant à moi, ma sympathie va aux proches des victimes, et aux pompiers sans qui il y aurait eu 6 morts et non 4, vraisemblablement.

21 avr. 2017

Bravo babouche pour ton message de tolérance, avec du nord est à rimini ils avaient le choix entre cape courante bâbord amures ou fuite, pas 2 alternatives tentantes avec un équipage familial peut être peu amariné en début de saison ?

22 avr. 2017

Bâbord amure !!!!

22 avr. 2017

Pas facile le coin en plus c'est truffé de fermes marines!

22 avr. 2017

A cet endroit la côte est NO SE donc bâbord ou tribord peu importe, mais difficile dans les 2 cas les fonds sont faibles, la houle très courte, et toutes les entrées de port difficile avec ce vent.
C'est vraiment horrible, sans doute un enchaînement de problèmes qui a tres mal fini...

22 avr. 2017

tribord amure sinon boum

22 avr. 2017

Puisque rimini est cote est de l Italie et que la bora est NE, tribord c pas bon sauf erreur de ma part

22 avr. 2017

Mais tribord tu te rapproches de la cote italienne

21 avr. 2017

Salut , de là peut être la bonne idée d'un petit réservoir auxiliaire en charge , plus facile à surveiller et à nettoyer

22 avr. 2017

. :-(

22 avr. 201722 avr. 2017

Corps retrouvés. ......
www.pressmare.it[...]si-6968

Rip

24 avr. 2017
22 avr. 2017
22 avr. 2017
22 avr. 2017
22 avr. 2017

triste. Vos bons commentaires (Mayko etc) aideront au cas où.
A regarder de près l'entrée de Rimini sur Google Earth, par fort vent NE, je dirais qu'il faut approcher et entrer avec un bout de génois seul, ou trinquette, babord amure. Le brise lames fait plus de 200m de long et doit calmer la mer au goulet d'entrée...Facile à dire dans son fauteuil c'est vrai, mais il faut se préparer.

22 avr. 2017
22 avr. 2017
22 avr. 2017

Je me considère toujours comme débutant, et je reconnais que j'affale les voiles largement avant de rentrer au port. Sans doute une connerie, à lire les expérimentés. Mais, pour affaler ma GV, j'ai besoin de place. Je me mets face au vent, sous pilote au moteur en vitesse lente, genre 2 noeuds. Ca me prend bien 5 minutes, le temps de l'affaler et de la ferler sur la bôme avec 2 rabans. Je ne me vois pas du tout faire ça dans un port, il n'y pas la place. Même dans l'avant-port, il y a plein de bateaux qui rentrent et sortent, on risque l'accident.
Si jamais mon moteur s'arrête pour une quelconque raison, et malgré tous les soins que je lui porte, je prendrai plutôt l'option du génois / foc que celle de la GV.

24 avr. 201724 avr. 2017

mais il faut se demerder autrement, ma gv tombe en moins de 10 sec , tu dois "amenager" ton greement pour que ca marche ainsi, et sinon il y a la possibilité petit foc ou trinquette + moteur qui est bien aussi ,( mieux pour le portant)
@ptimousse : j'ai jamauis appris en ecole de voile affaler avant le port car a l'epoque il n'y avait pas de moteur, si je le fais souvent c'est par pure paresse...en toue rigueur et quelque soit les condition ( sauf vent vraiment faible ) on devrait affaler en passant les digue d'entrée, mais comme le fait remarque ptimousse , cela suppose que l'on puisse affaler vite meme en solo

26 avr. 2017

Tu parles, tout dépend du gréement, moi sur mon cata, 3 points, 20 n de vent dans le cul tu affales 1/4 de ta voile et là t'as intérêt que le port soit à l'abri pour arrêter parce que bonjour les dégâts.... :tesur:
Mais bon, sur de petites unités ça roulent peut-être et ça marche encore mieux derrière un clavier.... :langue2:
En ce qui me concerne, j'affale tout avant rentrer, au pire un bout de génois, mais en cas de problème, je ferais certainement comme Thorlack, demi-tour ... :heu:
pascal :alavotre:

24 avr. 2017

pour affaler vite, passer une contre-drisse, tte la toile est en bas et bloquée en 3s ....

26 avr. 2017

Je cherche également dans les recoins de mes souvenirs, je ne vois pas dans quel port je pourrais avec du vent rester 5mn face au vent pour rentrer ma GV, sans toucher quelque chose ou gêner la navigation.
Mais bon, à en croire les pseudos spécialistes, je dois être particulièrement incompétent, tout comme les voileux du Nord de l'Europe que je rencontre au cours de mes navigations.
En cas de panne de moteur dans un port, c'est demi tour avec un bout de génois, le mouillage, la gaffe et en dernier recours l'aide de la capitainerie.

22 avr. 2017

J'ai toujours appris en ecole de croisiere à affaler à bonne distance de l'entrée du port en ayant préalablement démarrer le moteur.
On m'a également toujours dit qu'il était interdit de rentrer à la voile sauf cas de force majeure et après en avoir demandé l'autorisation à la capitainerie....

22 avr. 2017

Le moteur est de loin sur un voilier l'élément propulseur le moins fiable. Sur mon boat j'en ai deux et il est arrivé qu'ils soient tous les deux en pannes pour des raisons totalement différentes.
Il y a aussi un monde entre prendre un risque raisonnable calculé en espérant avoir effectivement les moyens ad hoc et tenter franchement le diable par inconscience ou franchement vice.
Par exemple l'entrée en S à Bourgenay se fait parfois en surf entre des murs de rochers. Il vaut mieux que tout marche.

En bateau le risque majeur étant la côte, savoir rester ou regagner le large doit être fondamentalement admis.
Dans une situation difficile si la voile apporte de la sécurité il n'y a aucune raison de ne pas l'utilisé. En Corse au lever d'ancre j'ai perdu la propulsion moteur par désolidarisation du tourteau et presque immédiatement la quille a commencé à cogner sur un rocher (très impressionnant). La sortie hyper rapide en catastrophe de tout le génois a immédiatement permis de tirer le bateau plus au large et de le conduire dans le port de commerce à côté. Sans cela le bateau était perdu. Chaque cas est unique. Il faut savoir gérer ET AVOIR DE LA CHANCE.

24 avr. 2017

Etoile attribuée évidemment par erreur . On aimerait connaitre quelle école de croisière préconise ce que tu indique?

24 avr. 2017

J'admire votre optimisme à propos des moteurs.
Même bien entretenu une propulsion mécanique peut toujours vous lâcher sans prévenir et toujours au plus mauvais moment (vécu hélàs plusieurs fois comme beaucoup et sur plusieurs bateaux).
Sur un voilier on dispose heureusement de deux éléments capitaux de sécurité: La propulsion vélique qui doit absolument être considérée comme la première et qui peut être établie ou affalée très rapidement et les mouillages (primaire, secondaires et miséricorde) qui peuvent être utilisés en quelques secondes.
En outre en plaisance, hélàs, il n'y a pratiquement pas de montage avec réservoir de GO en charge, assurant pourtant une grande sécurité, surtout quand il y a une très grande agitation.
A noter que bien que les moteurs d'avion soient réputés et certifiés très fiables, une grande partie de l'entrainement obligatoire et régulier du pilote consiste à savoir se poser en catastrophe sans moteur. En navigation maritime commerciale les pannes moteurs célèbres et catastrophiques sont aussi connues.

24 avr. 201724 avr. 2017

@brufan
Cela s'appelle niveler l’enseignement vers le bas.
A part cela moteur ou pas moteur regarde le cartouche de Rimini que j'ai posté plus bas.

24 avr. 2017

Oui Bruno je comprends ce que tu dis et te rejoint mais...quand je lis Ptimousse je fais quelques bonds.
Quand tu écris que l'on que, dans une école de croisière (pour moi croisière ce n'est plus le b.a.-ba) on apprend d'abord des rudiments à des "marins du dimanche" cela me fait mal.
Ce bateau est parti de Ravena à 20mn au nord donc pour la météo ils auraient dû être au courant.
Rentrer dans le port de Rimini dans ces conditions est de la folie c'est aussi marqué sur les cartes et le bon sens devrait être de rigueur.
Si j'en crois la vidéo du sauvetage et où le bateau a fini avec le sens des vagues ils sont en plus passés sur les bancs de sable qui sont aussi indiquer sur la carte.
Cela fait beaucoup.
Alors si ce fil peux éviter d'autres drames je pense vraiment qu'il est bien venu.
A chaque fois qu'il y a un accident on demande du respect pour les victimes et il est très difficile de revenir sur le sujet. Le même type d'accident a été déjà débattu plusieurs fois sur ce forum.
Ce cas est typique... Barrez vous au large dans ces conditions.

24 avr. 2017

Tu as parfaitement raison.
La première et permanente leçon à apprendre et à ne jamais oublier est que l'on navigue sur un élément qui est plus fort que l'homme. Il ne faut jamais présumer de ses forces ou de ses compétences. Et le fait que les Glénans et autres ne sortent en principe pas au-dessus de F7 n'est pas qu'une question de responsabilités ou d'assurances mais une question de bon sens.
On est là pour se faire plaisir et pas pour défier les éléments à n'importe quel prix.
.
C'est un peu ce qui semble ressortir de cet accident : une décision de sortir par un temps épouvantable, des avaries qui ne peuvent être gérées, une décision de relacher à Rimini et puis le moteur qui calerait suite à une accumulation d'impuretés dans les filtres.
C'est tragique mais cette accumulation de causes est avant tout humaine.
Ceci étant, j'aurai été le skipper, une fois parti, je ne sais pas ce que j'aurai fait.

24 avr. 2017

On est donc d'accord avec babouch... et ca me rassure....
Vicking, je ne comprend pas comment tu attribues tes votes!!!

24 avr. 2017

J'ai dans l'idée que cet enseignement n'est pas complètement idiot.
Voyant comment une part de plaisancier manoeuvre déjà avec beaucoup d'approximation dans les ports, s'ils faisaient les mêmes manoeuvres avec une GV prête à être envoyé (soit avec 1 ou 2 m² sorti) avec un peu de vent traversier, ce serait le carnage assuré dès qu'il y a un peu de brise.
Alors, oui, cette méthode n'est peut-être pas hyper-secure mais elle a sa justification.
Quant au moteur qui cale, c'est certain que cela peut arriver., tout comme le bout dans l'hélice, le mat qui tombe où la vague scélérate à l'approche du port. Mais c'est quand même rare et si on a pas confiance dans son matériel, on ne navigue pas ; tout comme on ne prend pas la voiture, le train, l'avion ou l'ascenseur.
Un bon moteur, bien suivi, bien connu de son utilisateur et qui ne monte pas de signes avant coureur de défaillance a, une fois démarré, fort peu de chance de tomber en panne par lui-même au mauvais moment.
.
Dans l'accident dramatique de Rimini, si la thèse du moteur qui cale à cause de son alimentation en carburant bouché se confirmait, il faudrait reconnaître qu'au-delà d'une éventuelle erreur d'appréciation du skipper, la panne aurait peut-être pu être évitée par un entretien plus consciencieux.

24 avr. 2017

Je n'ai pas écrit que c'était le meilleur enseignement.
Mais une école de croisière apprend d'abord des rudiments à des "marins du dimanche" qui ont juste pour ambition première de prendre du plaisir sur l'eau quelques jours par an.

Elle n'a pas pour vocation à former des marins pros ni des pilotes de ligne ; lesquels, pour maintenir leurs qualifications, doivent s'entraîner régulièrement. Si on imposait un tel niveau de formation aux plaisanciers, il n'y aurait plus personne sur l'eau vu le temps et l'argent que cela demande.
Ceci étant, bien qu'encore relativement jeune, j'ai appris il y a +30 ans ces belles manoeuvres à la voile.

C'est "facile" lors d'un exercice sur un bateau léger et réactif avec 6 équipiers à qui la théorie de la manoeuvre vient juste d'être enseignée. C'est moins évident sur un bateau relativement lourd, en équipage réduit et/ou absolument pas réactif ni formé.

Une seule fois, j'ai dû rentrer à la voile dans un port. C'était suite à une cosse de batterie à moitié dessertie (on ne s'en apercevra que le lendemain en cherchant calmement d'où le manque de puissance électrique pouvait venir)
Facile de manoeuvrer à la voile, même à deux, dans l'approche et l'avant port mais une fois que tu dois remonter un chenal de 40 m de large dans l'axe du vent avec un quillard de 5 tonnes qui n'est pas une bête de près... ça ne va plus. Bref, au 4ème virement, le bateau fait un manque à virer et la quille termine sur l'enrochement (à 0,5 noeuds, donc pas grave). Il nous restait seulement 150 m à faire pour arriver au ponton. On a été tiré de là 10 min plus tard par le hord bord du club.
Bref, entre la théorie et la pratique...
J'oublie d'écrire qu'à cette glorieuse époque, on avait aussi un aviron de 3 m à bord. Une fois installé dans sa dame de nage avec la pelle dans l'eau, il restait moins de 50 cm de levier pour godiller. Je crois que cet aviron a fini dans le feu... Sa présence à bord résultait du Réglement mais son utilité se limitait à faire trébucher ceux qui s'aventurait sur les passavants. Bref, encore une bonne idée théorique...

24 avr. 2017

c'est ce que j'apprenais à mes stagiaires quand je bossais aux glénans, c'est la position officielle de l'équipe encadrante au sein de l'asso.
on conseille d'affaler à bonne distance en anticipant largement (sauf si on est très sûr de soi, temps calme, équipage expérimenté)
en tout cas à Concarneau

on apprend aussi à être sur le qui-vive, prêt à renvoyer de la toile en cas de besoin. on apprend à ne pas mettre le taud de GV avant d'être amarré définitivement, par exemple.

concernant d'autres école de croisière comme l'UCPA, je pense que les préconisations sont semblables.

Globalement ceci dit, les bateaux ne sortent plus à partir de 7 beaufort (sauf circonstances particulières type plan d'eau abrité), et les moteurs tournent beaucoup et sont assez bien entretenus, ils ne tombent pas souvent en rade. Ca peut quand même arriver évidemment, notamment des pannes d'inverseurs qui ne préviennent pas et sont plutôt fréquentes, à cause d'utilisation un peu brutales de la manette d'inversion.

24 avr. 2017

J'ai fai tous mes stages à la Macif... Notamment avec un ancien chef de base des Glénans...

24 avr. 2017

Je n'ai pas repondu au bon endroit, voir ma réponse plus bas...

22 avr. 2017

j'ai sous la main"il portolano dei mari d' italia"....
A 30m "au vent de toute cette cote,fonds=50/55m
A 20m................................................=20m
A 500 mètres .....................................=6m
au musoir de la digue babord................=4,8 m
la grande digue babord,orientéé nord/sud donc senséé protéger de la houle d'Est fait=260m
son prolongement,orienté est/ouest donc sensé protéger de la houle de Nord fait 150m et laisse 1200m d'eau "libre" au vent de la plage(par vent d'E/NE)
il y a "rien de trop"!)d'autant que la mer (sur la vidéo)déférle par dessus ce qui semble etre la longue digue orientéé nord/sud...et que l entréé proprement dite dans une sorte de "canal" qui mene à l' entréé proprement dite de la marina est de 35/m de large....
la tentative d'entréé voilure trés réduite/babord amures/ ne parait pas vouéé à un" echec inévitable"....
reste que un TE de disons 2mètres sur des fonds de 4,3 mètres avec une grosse houle...???
quand à se faufiler dans l' entréé du bassin sur tribord, donc vent de 35/40n portant(!!)et en panne de moteur....??
bon tout "ça"...bien assis devant l ordi...

22 avr. 2017
22 avr. 2017
23 avr. 2017
24 avr. 201724 avr. 2017

@04 c'est bien assis devant l'ordi que l'on prepare ce genre de situation , certainement pas a chaud, si on n'en a pas l'experience
.
remarque : je vous prie de m'excuser de faire le je sais tout sur ce fil ; mais j'ai vu depuis que je navigue de nombreux cas silimaires , bien que moins meurtriers .
.
c'est reellement "une tarte a la creme" des dangers potetiels de la nav...chaque fois que je rentre dans un port inconnu j'ai peur( quelque soit le temps), et je crois bien que malgré tous mes bons conseils je ne serait jamais rentré dans celui la dans ces conditions...je vous exorte a faire de meme lorsque l'occasion se presentera

24 avr. 2017

@mayko
nous sommes d'accord!
perso je rentre en WPTS les entréés des ports de refuge éventuels(avec sur livre de bord les pages du guide ou figurent leurs plans...)au mouillages je rentre 1/2/3...WPTS pour guider une sortie de nuit....ect....
au final il est toujours "bon" d'examiner toutes les solutions de "repli"raisonnables....sinon il faut encaisser en restant au large....
il m est arrivé du "milieu du golfe de Gacogne",n'ayant pas les plans des ports de repli(erreur!!)de faire 1/2 tour et revenir au départ=ile d'yeu....
dans le cas qui nous occupe et sa conclusion tragique....n'ayant pas toutes les donnéés...je me tais

24 avr. 2017

Je note que nous sommes quand même plusieurs navigateurs qui donnent les mêmes conseils. Tous navigateurs depuis plusieurs décades et qui, à ma connaissance, se sont toujours dém...seuls.

Et, pour remercier les 237 Héonautes visionneurs de mes "Théorêmes du débutant", je leur joins "COMMENT RENTRER SANS MOTEUR AU PORTANT DANS UN PORT DELICAT AVEC DU VENT FORT OU EN SORTIR AU LOUVOYAGE" .

karibario.blogspot.fr[...]os.html

karibario.blogspot.fr[...]nt.html

24 avr. 201716 juin 2020

Ancona était moins casse-gueule.

24 avr. 2017
24 avr. 201724 avr. 2017

C'est vraiment horrible pour l'équipage, quelles successions d'évènements! Une veritable surenchère en matière de catastrophes :-( Panne moteur puis perte de quille! Jamais je ne voudrais à devoir vivre cela...

Pour ce qui est de la question de manoeuvrer sous voile, par 40 noeuds de vent, et de surcroix sur un 50 pieds( !!!) , je reste dubitatif...

De plus qu'aurait pu faire le pauvre barreur, sans quille ? Le bateau n'était plus qu'une simple coque de noix à la dérive dans les creux...

24 avr. 2017

La perte de quille est consécutive à la perte de contrôle due à l'absence de propulsion (moteur et/ou voile) ; le bateau ayant heurté les enrochements
Au passage, le safran a été arraché lors du même choc. Dans ce cas, le barreur n'a plus qu'à essayer de sauver sa peau et celle de l'équipage....

24 avr. 201724 avr. 2017

Après relecture de l'article.
Traduction google "certains rapports parlent du bateau renversé déjà un demi-mile à l'extérieur du port"
Mais un peu plus bas dans le même article par d'autres témoins que la perte de la quille était suite au choc sur la digue .

24 avr. 2017

"Une veritable surenchère en matière de catastrophes"

Non, quelques erreurs qui mènent à une catastrophe.

25 avr. 2017

je ne comprends pas tres bien ou ce situe la difficulté de hisser ses voiles juste à la sortie du port et de les affaler à 50ou 100m ..je fais ces manoeuvres souvent en solo , sans aucun probleme ..m^me parfois avant de partir du ponton ou de mon CM je hisse la GV .. et cela depuis des décennies ...c'est une seconde nature

25 avr. 2017

Sur certains voiliers modernes, avec les lazy jack ou les bastaques, il faut être parfaitement dans le lit du vent pour hisser la GV...

25 avr. 2017

:lavache: :goodbye:

25 avr. 2017

si les bastaques font chier on les choque , pour les lazy on les ramene le long du mats

25 avr. 2017

viking 35
on peut (aussi)passer( de trés peu) de part et d'autre du lit du vent...ça prévient les éventuels "coinçages"....
dans le cas de cet accident...il ne s'agissait pas de hisser,mais ,moteur en panne,de réussir une entréé à la voile....en admettant que malgré la houle ,au plus creux des vagues il restait suffisamment d'eau pour ne pas talonner
mais saura t on un jour=
A quelle distance des digues le moteur s'est il arrété
A quelle distance des digues a t il été démarré
quelle partie de voilure était encore en "place"..enrouleur de GV?2ris...3 ris...?
génois roulé ?dans quelles proportions?génois bien réduit seul?
avec quel "angle d'approche"(par rapport a la passe et par rapport au vent)se sont ils présentés?
avec un équipage "expérimenté" et une bonne répartition des taches(débloquer la drisse de gv/affaler la GV/régler le genois ou foc/border ou choquer l écoute de GV/mouiller si stop en catastrophe/...ect....ça fait "beaucoup le tout sous le stress d'une entréé acrobatique...
tous ces problèmes (et surtout le risque de talonnage dans la grosse houle)peuvent etre évités(doivent etre évités?)en encaissant au large....
avec comme supposé,un NE,la fuite vers la sortie de l adriatique babord amure,disons au CV=130 aurait donné une allure plein travers....ou pas loin...?
me trompe je?la marge est étroite...avec toute cette cote sous le vent

25 avr. 201716 juin 2020

"Ben ouais, moi, je fais comme ça, pourquoi que les autres, ils le font pas, hein ?"...

Ah, ah, sur LR, heureusement que les voiles sont tombées bien avant d'attaquer le chenal d'entrée pour la très grande majorité des bateaux... Sinon, avec les catastrophes de plage (vitesse très différentes), les dériveurs légers, les planches, les rameurs (ils ont le droit de vivre ?), cela ferait pas mal de boulot pour les chantiers navals du coin !

:goodbye:
(c'est une photo prise en mai, au fait... pas en juillet ou aout !!!)

25 avr. 2017

J'ai l'impression de reconnaitre un bateau! :pouce:

25 avr. 201725 avr. 2017

Je reconnais même cette personne!

:pouce:

Et pour revenir au sujet, je ne me vois pas rentré au port à la voile avec mon petit truc en période de weekend ou l'été. Par contre, renvoyer le génois ne prend pas longtemps, faut oublier la GV, si on ne veut pas tout casser.

25 avr. 2017

En plus grand...

25 avr. 2017

@Calypso2

+1

.

Une question qui me vient malgré tout à propos de la fiabilité moteur..
Les moteurs électriques sont en principe, moins susceptibles de tomber en carafe au mauvais moment.. Est-ce que ce ne serait pas une piste intéressante d'avoir un moteur HB de secours (genre Torquedo mais avec arbre long) à mettre en place et brancher facilement sur le circuit batterie pour se sortir d'une situation de danger imminent ?
J'imagine une solution qui permet avant de renter dans un port on prépare le moteur de façon à pouvoir le fixer en quelque secondes sur un support dédié, on branche un cable sur prise, et on peut avoir une propulsion d' hélice durant 15 mn, le temps de se sortir d'un mauvais pas...

25 avr. 2017

je pense vraiment qu'il est plus sage d'investir d'abord dans une trinquette auto vireuse, et de s'entrainer aux manoeuvrx d'approche sous voile.
je ne serais pas aussi affirmatif que viking quant a mes competences mais il n'en reste pas moins que cela m'a aussi eviter des catastrophes plus d'une fois
et sans oublier le mouillage ( tres long), mouiller dans de la mer formée n'est evidement pas tres recommandé mais c'est mieux que de se planter
apres quand on n'a deja merdé et qu'il n'y a plus de quille c'est terminé, on met sa combin son gilet ses palmes son masque et on saute a l'eau.
.
il est vrai qu'en saison et par beau temps les entrées peuvent etre emcombrées , mais la c'est pas le cas

25 avr. 2017

Salut Mayko, je suis tout-à-fait d' accord avec toi, mais peux-tu maintenir "à contre" ta trinquette auto-vireuse?
Gorlann

26 avr. 2017

bien sur

25 avr. 201716 juin 2020

Il faut relativiser. Par petit temps et grand trafic, il y a suffisamment de monde autour de vous pour vous remorquer en cas de panne soudaine. Mais, pour ceux qui ne connaissent pas, allez voir à quoi ressemble l'entrée de Granville par vent de sud-ouest même modéré... Il y a 100 m entre l'extrémité de la jetée et le seuil. Juste le temps d'affaler, ou de hisser. Mais bien d'autres ports sont dans ce cas.

Photo: Un Mallard 9 m à 50 m du feu rouge par force 6 (2/3 m de creux)

25 avr. 2017
25 avr. 2017

Bonjour

Triste incident. Toutes mes condoléances aux familles.
J espère ne pas choquer par ma question. J ai vu la vidéo hier. Si les causes relatées semblent relativement établies, ce que je comprend pas c est l issue fatale. La mer est bien démontée maison pousse à la côte. Il ne semble pas y avoir de récifs style lames de couteaux, comme on se souviendra un autre chavirage malheureux année passé.
Je me demande quel enchaînement de catastrophe a conduit à cette tragique perte de vies humaines. Car en voyant la vidéo et les sauveteurs j imagine que si les occupants étaient ´simplement' passes par dessus bord ils auraient dérives vers la digue ou le port rapidement donc avant risques de noyade ou hypothermie. Ont ils été bloqué sous le voilier? Connaître les causes et effets de ce type de tragédie peut permettre d en tirer des leçons.

25 avr. 2017

l'article ne dit rien de l'équipage, sinon qu'au moins 3 membres sont dans la 60aine, bien avancée pour certains. forme physique ? surpoids ? handicap ?
des blessures graves dues au talonnage violent seraient très possibles
ensuite, se faire projeter sur les roches de la jetée, ne donne pas beaucoup de chances de s'en sortir, àmha
d'autant que les vagues sont très courtes et rapprochées

quant à rester à bord, ce n'est pas toujours une option, quand le bateau est roulé par une déferlante ! la 2ème vidéo de fredfavre le montre bien, le bateau est couché et 4 équipiers passent à l'eau en un instant

cette vidéo discutée récemment aussi :


voir à 2mn15sec, la force avec laquelle tout l'équipage est catapulté

dans ce cas-là, vu ce qu'il advient du bateau, il valait mieux ne pas rester dedans, de toute façon ^^

25 avr. 201725 avr. 2017

Oui Je me posais la même question 100non.
Quel est le réflexe à adopter, sauter ou rester? Quid de ceux qui ont survécus : ont-ils sautés ou sont-ils restés à bord?
Je me souviens de ce bateau dans les baléares qui avait fait nauvrage au mouillage, le skipper n'a jamais voulu abandonner le bateau, on se souvient de ceux qui l'ont quittés, ils peuvent en parler aujourd'hui, lui, non.

25 avr. 2017

Oui Julien, et il y a aussi ceux qui ont quitté leur navire avec leur radeau et dont on a retrouvé le bateau après....
Je pense que chaque situation et vécu différemment selon le skipper qui est à bord.. Pas facile de juger un comportement qui reste tout de même très personnel, moi je crois bien que j'aurais bien du mal à monter dans un radeau de survie si je devais le faire de mon bateau....
Pascal :alavotre:

25 avr. 2017

En voiture tu sautes avant le virage car tu penses que le pilote va le rater?

25 avr. 2017

Alors que le bateau est sur l'enrochement, balloté par les vagues qui l'ont fait se retourner, dématé, je ne sais pas trop si le salut consiste nécessairement à sauter. C'est pour se faire happer par les vagues et projeté sur l'enrochement ; éventuellement entre les roches et la coque des quelques tonnes... :non:
Ceci étant, dans l'urgence et l'extrêmité de la situation qui sait ce qu'il aurait fait pour sauver sa peau ?

25 avr. 201725 avr. 2017

Celle là vous l'avez tous déjà vu, à 24 secondes, il y a un équipier qui décide de se jeter à l'eau...les autres restent..

25 avr. 2017

La question est comment ce bateau arrive sur la digue. Avec un vent du NE il est certainement passé sur le bancs. Ce port ne se pratique pas avec de la houle c'est marqué sur la carte, alors moteur voiles ou se jeter à l'eau......

25 avr. 201725 avr. 2017

sans doute déjà partagé, je reste toujours sans voix:

et celle-ci également sans voile haute aucazou:

25 avr. 2017
25 avr. 2017

entrer au portant dans un port avec la GV hissée me semble périlleux pour ne pas dire plus car les risques d'empannages sont élevés (embardées, suivi du chenal, attention de l'équipage sur d'autres éléments que la direction du vent...) et affaler est difficile. Je pratique le bout de foc qu'il suffit de finir d'enrouler en quelques secondes une fois au calme. Bien bordé et la contre écoute déjà reprise sur son winch permet d'empanner sans problème

Cap Horn, Chili

Phare du monde

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Cap Horn, Chili

2022