naufrage de la goelette AMESCA

les deux convoyeurs ont été retrouvés dans leur survie après 8 jours de dérive. la goelette a coulé suite à une vague scélérate entend-t-on.
Comment est ce possible ?

L'équipage
28 déc. 2007
28 déc. 2007

si tu vas sur
la mer , tu comprends de suite

28 déc. 2007

merci Rolle
je viens de faire 13000 MN en mer en un an et depuis 10 ans que je navigue j'ai dejà pris quelques beaux coups de vent avec anémomètre bloqué et quelques beaux creux ... non décidemment j'ai du mal à comprendre comment une goelette de cette taille peut couler comme ça dans le golfe de gascogne. si vous avez des infos plus précises j'aimerais bien comprendre.

29 déc. 2007

propos
dit d une mamiere general , vu ta nav tu comprents encore plus , en mer tout peut arriver , voie d eau ( j ai un pote qui a pris sur un 70 pieds un filet , il etait au moteur , ça a pete au niveau de la coque , en qq minutes il a coulé ,un autre pote a dematé , le mat a percé la coque ( vauquiez 60 ) coulé en qq minutes )sur un transat retour je faisais plus de 100 l/jour , deux petit trou au brion ?? sur un descente vers le cap vert des dizaines de litres d eau rentraient , fouille general de nuit , pour voir que c etait le tuyeau de sortie de la pompe a mains exterieur qui avait pété l eau rentré par le passe coque , inondait le coffre arriere et l eau rentrait par le passage des tuyeaux a travers les cloisons , j imagine des centaines d ex. chez d autre

28 déc. 2007

D'autant plus
que la météo n'était pas mauvaise...

Il faut se souvenir que la collision avec des OFNI est un des premières causes de naufrage !

28 déc. 2007

Hum...
Laissez peut-être l'équipage du bateau se remettre de ses émotions et se retaper un peu... je suis sûr qu'ils auront des explications... non ?

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28 déc. 2007

il semble
:tesur: qu ils ont parlé , d une vague scelérate !:lavache:

28 déc. 2007

Un Grand Schpountz?
Apparemment, d'après les quelques vues entraperçues rapidement à la télé. Un tel bateau ne coule pas ainsi, mais nous en saurons sans doute un peu plus dans quelques jours.
Aux informations, j'ai entendu que dans leur hâte à embarquer dans le radeau de survie, ils avaient oublié... de prendre leurs téléphones!!!
Cet accident qui se termine bien montre l'intérêt d'avoir une balise de détresse à bord car ils auraient été localisés très vite.

29 déc. 2007

Ce qui est étonnant...
Ce qui est étonnant, ce n'est pas qu'un bateau ait coulé. Même expérimenté, il nous arrive de faire une grosse c...

Ils sont partis à 0h30 de Gijon,et il me semble que nous étions en régime anticyclonique, pourquoi donc parler de vagues scélérates. Il y a bien d'autres manières de couler. De nuit, il est toujours possible de toucher un caillou à la sortie de la baie. Plus sérieusement, un container à la dérive et, même si c'est "politiquement" incorrect, la collision avec un bateau de pêche en acier de 30m contre un Schpountz de 14 m me parait une hypothèse plus probable.

Ce qui est étonnant, c'est qu'il ait fallu une semaine pour les retrouver sur un parcours en ligne directe de 200 milles et par temps maniable.

Il est vrai qu'il y a une quinzaine d'années, il avait fallu le même temps pour retrouver L.Berthillier à la dérive dans l'ouest de l'Irlande lors d'une étape de la Course du Figaro et 4 jours pour retrouver un catamaran entre Guernesey et St Malo...

Dans ces deux cas, les recherches n'avaient pas été effectuées dans les zones les plus logiques en tenant compte de la dérive due au vent et aux courants.

Mais la logique d'un amiral et celle d'un navigateur ne semble pas être la même...

COMMUNIQUE PREFECTURE MARITIME ATLANTIQUE DATEE DU 23/12/2007 DEBUT DE COMMUNIQUE Brest, le 23 décembre 2007 Les recherches menées depuis le 21 décembre 2007 afin de retrouver l'AMESCA, goélette partie le 19 décembre dernier de Gijón (Espagne) pour rejoindre La Rochelle (Charente Maritime), se sont poursuivies ce jour sous la coordination du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) d'Etel, en collaboration avec les autorités espagnoles. Hier, samedi 22 décembre, un avion Falcon 50 de la marine nationale a patrouillé toute la journée. Aujourd'hui, 23 décembre, le CROSS Etel a fait quadriller de larges zones par un avion des douanes puis, jusqu'à 20h00 environ, par un Atlantique 2, avion de patrouille maritime de la marine nationale. La goélette étant partie de Gijón, le CROSS Etel a demandé le concours des autorités espagnoles. Le survol par un avion espagnol d'une vaste zone au large, allant de Gijón à El Ferrol, a été organisé par le MRCC (Maritime Research Coordination Center) de Madrid cet après midi. Toutes ces missions visent à localiser l'AMESCA et à détecter un éventuel canot de survie.

29 déc. 2007

la est toute l'interrogation
les médias parlent de vague scélérate .. et non de voie d'eau. On n'est quand meme pas dans les grands bancs ou au large d'ouessant. je ne crois pas qu'on puisse rencontrer de vague de très grande taille entre gijon et la rochelle surtout par la météo qu'ils ont eu. Effectivement Si c'est vraiment sur une vague qu'ils ont coulés alors je me demande comment sont construits ces bateaux ?

29 déc. 2007

En fait
le bateau etait pourri

29 déc. 2007

j'ai
entendu dire a la télé par les deux marins qu'ils avaient ressenti un gros choque et le bateau a coulé tres rapidement ils n'ont rien vu autour !!! ??? peut etre le pere noel qui volait trop bas en traineau !!!ou la beux un peu forte !!

29 déc. 2007

ainsi naissent les légendes....
Bien vu Erwan .Après la floppée de vagues scélérates, nous aurons le grenelle du nautisme et bientôt un plan marshall pour sauver les ports de plaisance.
Au fait, mon email fonctionne et je n'ai pas eu de retour.

29 déc. 2007

recherches
Faut bien comprendre que de retrouver une petite survie par les airs est bien plus difficile que vous ne l'imaginez car à basse altitude, l'on couvre une faible surface, à plus haute, il faut de très bons yeux et une visibilité impeccable...de plus un Falcon 50 n'est pas l'outil idéal pour ce travail là ,le Bréguet Atlantique, moins rapide et mieux adapté par contre oui...
Selon ce qui a été dit, le bateau n'a pas connu de collision, mais a été retourné par une vague (scélérate ou non pour l'instant ce ne sont que des suppositions) et a coulé en moins de 3 minutes: perso je ne vois qu'un grâve dommage immédiat genre, roof arraché ou le lest non fixé qui tombe dans la cabine avec les conséquences que l'on peu imaginer...

29 déc. 2007

Copie de "Sud Ouest"...un naufrage étrange tout de même...
« Sud Ouest ». Quel est votre état de santé au bout de ces huit nuits et neuf jours de dérive sur votre radeau de survie ?
Frédéric B?uf. Nous sommes très fatigués mais vivants, et c'est déjà un miracle. Côté bobos, François et moi souffrons de nombreuses engelures aux pieds et aux mains, ainsi que d'une infection pulmonaire. Nous avons vécu les dernières heures avec de l'eau jusqu'aux genoux. Nous allons encore rester hospitalisés trois ou quatre jours à Avilés, avant d'être rapatriés en France.
Malgré de nombreux survols du golfe de Gascogne, la Marine nationale et les autorités espagnoles avaient fini par suspendre les recherches mercredi, persuadées que l'on ne vous retrouverait pas?
Et pourtant nous avions aperçu deux fois un avion passer près de nous, comme tous ces cargos qui ne nous voyaient pas. J'avais l'impression d'être victime d'une malédiction, certain que l'on allait crever sur notre bout de plastique. Plus les jours passaient, plus nous étions habités par la mort, résignés. En fait, les opérations de recherche ont été moins conséquentes que si nous avions pu envoyer un message de détresse avant de sauter dans le radeau.
La rapidité avec laquelle votre goélette en bois de 18 mètres a sombré vous en a empêché ?
Oui, quelques heures seulement après notre départ de Gijón, une petite déferlante nous a bousculés en même temps qu'une énorme voie d'eau attaquait le bateau. Nous avons juste eu le temps de sortir le radeau gonflable avant qu'il ne coule. Dans la man?uvre, le téléphone est tombé à l'eau, et l'« Amesca » n'était pas équipée de balise de positionnement. Mais j'étais persuadé que les secours allaient nous retrouver dès le premier jour. L'affaire a très vite tourné au cauchemar. D'autant plus inhumain que, s'il restait des vivres à bord du radeau, ils étaient périmés, et que les matelas de sol ont tous éclaté. Il a fallu tenter de dormir dans de l'eau à 12°C? en vain. Et surtout se remonter le moral à tour de rôle, lorsque l'un de nous craquait. Les nuits duraient de 18 heures jusqu'à 9 heures du matin. Aucun marin, même expérimenté, ne peut être préparé à cette aventure.
C'est à la tombée de la nuit, jeudi, qu'un cargo ukrainien a finalement croisé in extremis votre route ?
Je ne crois pas aux miracles, mais il faut bien reconnaître que c'en est un. Le radeau de survie était en train de couler, nous n'arrivions plus à écoper. Avec François, on se disait qu'il ne nous restait plus qu'un quart d'heure à vivre. De toute façon, une fois la nuit tombée, le cargo n'aurait pas pu nous voir. Et là, d'un seul coup, vous passez du statut de mort potentiel à celui de ressuscité. Dans ma tête, j'avais déjà dit adieu à tous mes proches. Le capitaine ukrainien, ensuite, a été formidable, même si la montée à bord de son cargo a été homérique tellement nous n'avions plus de forces pour nous accrocher à l'échelle. J'avais envie d'embrasser tout l'équipage, mais il a fallu très vite nous prodiguer les premiers soins.

« Le plus terrible a été d'imaginer que tout le monde nous pensait morts. Ça nous a rendu fous »

Allez-vous désormais avoir la force et le courage de naviguer à nouveau ?
Oui, assez vite même, je pense. Mais plus jamais en mettant ma vie en péril comme je l'ai fait cette fois. La goélette devait être réaccastillée à La Rochelle avant de faire le tour du monde. La sécurité n'était pas satisfaisante, mais l'on s'était dit que deux jours de mer n'étaient pas un problème pour des marins professionnels comme nous. Le plus terrible aura été d'imaginer que tout le monde nous pensait morts. Ça nous a rendu fous, vraiment.
(1) François Cuinet (26 ans) a notamment terminé 7e de la Transat Charente-Maritime-Bahia en 2004. Comme Frédéric B?uf (36 ans), il vit dans le Var. C'est la société Aventure Voile qui les avait employés pour le compte du propriétaire de la goélette.

29 déc. 2007

on

vient de voir les 2 marins a la tele bien entames

29 déc. 2007

je començait à me poser des questions
mais la réponse est là ...
je commençais à me demandais ce qu'il se passait sur notre belle terre pour qu'en plein temps calme, une vague scélérate puisse naitre et etre suffisamment enorme dans notre golfe de gascogne pour faire couler une goelette de 15 m. Mais je suis rassuré et nous allons pouvoir continuer à naviguer tranquillement dans nos contrées. Les médias nous mettent des vagues scélérates à toutes les sauces maintenant.
On dirait des enfants qui ont appris un nouveau mot et qui l'emploient à tout-va !!!

29 déc. 2007

solidité
en tout cas ceci me renforce sur mon opinion qu'il vaut bien mieux avoir un solide bateau métallique (acier ou alu) à même d'encaisser des chocs énormes à pleine vitesse (genre container ou tronc d'arbre à fleur d'eau) sans voie d'eau (ou minime) plutôt que de se retrouver, comme le disait si bien Marcel Bardiaux "après que le bateau ait fait "glouglou", dans la capote anglaise du docteur Bombard après avoir tout perdu"...
A noter que Marcel Bardiaux a navigué quasiment toute sa vie sans "survie" (il n'en avait pas les moyens, celle qu'il a eue à la fin lui a été offerte pour lui permettre un retour en France), faisant bien plus confiance à la solidité et l'insubmersibilité de ses bateaux (caissons étanches pour tous, acier inox en plus pour "INOX")

29 déc. 2007

Le Titanic aussi était insubmersible...
Bon vent
LHA :-)

29 déc. 200716 juin 2020

AH! L'AMESCA!...
...Que ce MERVEILLEUX 'Shpountz" de 42 pieds repose en paix dans les abysses océaniques.
Car,je connaissais bien le Bel "AMESCA" et son remarquable Capitaine Hubert.C'est donc avec ENORMEMENT de peine que j'ai appris sa fin tragique ce matin par l'intermédiaire d'un JT.Fin qui me fut confirmée par son ex-Capitaine Hubert en fin de matinée.
Les causes du naufrage sont encore INCONNUES.Ne nous amusons donc pas,ici,à échaffauder des théories qui n'ont aucun fondement.D'autant que contrairement à ce qui a été écrit précèdemment,l'"AMESCA" était correctement et réguliérement entretenu.
Certes,le "bib" ne semblait pas l'être mais celui de trés grands marins ne le sont pas plus (je me garderai là de citer des noms...)
...Ceci dit,je me souviendrais,à tout jamais, cette fin d'aprés midi d'août 2004,navigant de concert avec l'"AMESCA", et arrivant dans le Golfe de Fos, avoir eu sous les yeux un fantastique "spectacle".A savoir,celui de regarder cette goélette se mettre bout au vent et le Capitaine Hubert,SEUL,à l'image d'un gymnase parfait,affaler ses CINQ voiles en l'espace de...quatre minutes et des poussiéres!!!
Pour conclure,j'ai eu un Capitaine Hubert excessivement attristé mais heureux que les deux convoyeurs s'en soient tirés avec la vie sauve.
Ci-joint,une photo prise à bord lors d'une mémorable soirée...

29 déc. 2007

DIS DONC JACQUES.....
ki c'est donk la belle brune????????? :-)

:jelaferme:

29 déc. 2007

un spontz, c'est solide, mais..
Si une vague le couche sur l'eau il doit être possible d'embarquer beaucoup d'eau à l'intérieur.je ne connais pas celui-ci, mais certains Spountz ont une large descente et de nombreux pannaeux.
Bref si on se retourne, ou même si les mats sont dans l'eau un certain temps, je doute qu'un tel bateau se redresse.

29 déc. 2007

t es miraud tchot!
y a deux jolies brunes

30 déc. 2007

Fête sur l'Amesca
Ce sont deux équipières d'Avenir Traditions Marines . Photos prise lors de notre flânerie vers l'ouest 2005.
Et encore !
Vous n'avez pas vu la blonde qui est en face !

30 déc. 200716 juin 2020

Nostalgie !
Erreur.
Ce n'est pas 2005, mais 2004.
Je regarde à nouveau la photo.
Il n'y a pas deux brunes mais trois. De gauche à droite : Evelyne notre efficace et charmante comptable, Chantal, notre inénarable bout en train, et Lulu, équipière infatigable et reine des cambuses.
Au centre, notre Kpitaine K et notre bosco Bernard que certains d'hisse et oh connaissent sous le pseudo d'Aldorande.
Je pense que c'est moi qui ait pris la photo.
En voici une autre (photo) montrant l'état du Kpitaine K au milieu de la soirée.
C'est souvent à bord d'Amesca que nous fêtions nos rencontres.

Cela doit vous faire imaginer la peine que nous avons à Avenir Traditions Marines d'imaginer un de nos anciens compagnon au fond de l'eau.
Nous pensons fort à Hubert.
Mais n'est ce pas la plus belle fin d'un voilier ?

30 déc. 2007

...JE NE FAISAIS QUE...
...passer la "GROLLE" à Notre Adorable Lili qui se cachait derriére la barre à roue et qui me suppliait de l'initier à la secréte façon de boire la grolle...mais...à bord d'"ANTIOCHE"...

prémisce de base:
il ne faut pas une vague scélérate pour chavirer un navire de moins de 100 pieds. La bonne combinaison de vent, de mer et de maladresse est toujours possible en mer, même par des temps relativement maniables.

C'est le postulat de départ de mon modeste cours de stabilité du yacht. à partir de là, ce qui compte, c'est la survie et le redressement du bateau chaviré... la suite est étalée sur d'innombrables pages de journaux.

la bonne question n'est donc pas "est-ce possible?", car bien sur que c'est possible.
la bonne question est comment et pourquoi le bateau a coulé.

30 déc. 2007

pourquoi coulé ?
&gt la bonne question est comment et pourquoi le bateau a coulé.

0n ne le saura sans doute jamais. Mais, sur un bateau pas préparé à ça, un chavirage peut parfaitement se solder par un envahissement rapide de l'eau.

Par exemple, si le moteur s'arrache de ses silent-blocks: importante voie d'eau par l'étambot, la prise d'eau de mer, voire l'échappement.

30 déc. 2007

j'ai entendu dire...
...que l'océan atlantique était devenu une vrai poubelle et que l'une des craintes les plus présentes chez les coureurs transocéaniques maintenant (pour ne prendre qu'eux) était de rencontrer un ofni.

j'imagine que la rencontre d'un container est à éviter absolument quelque soit le matériau.

30 déc. 2007

egalement
un borde pourri on a deja vu cela sur des bateaux de peche et les bateaux en bois qui naviguent dans les eaux tropicales ne ramassent ils pas des bestioles qui pourrissent le bois??

30 déc. 2007

j'en ai vu construire un
de A à Z et je ne serais pas monté dessus même pour un tour sur la Marne .
Les méthodes du constructeur (amateur) étaient curieuses :
- boulons de quille en acier cadmié,
- bordés en lattes d'iroko collées à la mélocol et clouées avec des pointes cadmiées,
- lest intérieur en rondelles d'emboutissage déversées en vrac dans les fonds,
- ...

30 déc. 2007

je travaillais
aux CMN a l'epoque de la fourniture des kits de Sphountz et sincerement c'etait du serieux , limite trop costaud
et comme dit plus haut
charpente longitudinalle :iroko
couple :lamelé de pin style pin d'oregon , sans noeuds
bordés:un pli longitudinal bouveté epaisseur 15 à 20mm, deux plis croisés en diagonale en sappeli ep 2x 5mm, plus pour finir un pli en teck brocheté pour imiter un vrai bordé ep 15 à 20mm soit au total au moins 40mm de bois croisé collé dans tout les sens

c'est pas indestructible mais va falloir y mettre de la bonne volonté

il y en a eu un ou deux de monté aux CMN directement , et c'etait vraiment impressionnant de solidité

30 déc. 2007

je m interroge
comme le dit hubert -une grosse voie d eau et ca va vite
ayant participe a la construction - charpente et coque-de 2 schpountz
j avoue que la structure c est du serieux et l echantillonnage costaud
alors je suis interesse de savoir comment il est parti au fond
bonne fete a tous

30 déc. 2007

Sauf que les Sphountz
sont construits en bois-moulé et donc les bestioles se cassent les dents dès le premier pli. Et avant de voir une coque en bois moulé pourrir ne serait-ce que localement, il faut déjà l'avoir très mal entretenu.

30 déc. 2007

il y a amateur et amateur alien
pour 1 des 2 la charpente etait faite par les chantiers de normandie en kit et achete par un ami
l autre de A a z par un ami qui etait autre qu un bricolo
iroko et sapelli pour la charpente
1 plis de latte jointive concave convexe -ensuite 2 plis de bois moule -resorsine et ensuite borde traditionnel pour la finition -le plaisir de l oeil -un charpentier de marine venait en consulting pour les questions tres pointu comme le dernier plis
materiel employe -pas de recupe -que du 1er choix
en ce moment 1 tour en charter aux antilles
mais il est certain que j ai vu des constructions sur lesquelles je n aurais pas mis un pousse
bonne fete les matelots

Loop Head, Irlande

Phare du monde

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2022