le colibri 6 mois apres flotte toujours

ce bateau qui avait declenche beaucoup d intervention sur le forum
et bien oui il flotte toujours !!!!!
il ne veut vraiment pas mourir
a ce stade une personne monte a bord et il a un beau voilier a retaper !!!
www.actunautique.com[...]ue.html

L'équipage
08 déc. 2015
08 déc. 2015

oui, gwenarmelle avait deja donné le lien sur le fil initial...

www.hisse-et-oh.com[...]-acores

le 18 novembre

08 déc. 2015

Il veut pas le récuperer son cannot? si c'était le miens ça me ferait v raiment ch..er de le savoir au milieu de nulle part à la dérive.. :-(

Enfin bon apres le choc il ne veut peut etre plus en attendre parler non plus...

08 déc. 2015

" ... à 635 miles au sud-sud-est des Bermudes ..." c'est peut être pas si facile que ça d'aller le récupérer?

08 déc. 2015

C'est vrai now, je raconte parfois pas mal de conneries! difficile de le localiser à nouveau.
M'enfin bon si quelqu'un passe a coté (on ne sait jamais... :langue2:) essayer de balancer une balise histoire de mener une opération de sauvetage :mdr:

Je me porte volontaire! :coucou:

08 déc. 2015

A voir la video de la récup il est incompréhensible d'abandonner un voilier en étât de marche, en faisant prendre inutilement de vrais risques à des sauveteurs (et aux frais des contribuables de l'hélico). Le minimum quand on prétend à l'aventure est d'en assumer les moments difficiles.

08 déc. 2015

le démâtage s'est produit après l'abandon du voilier. Abandon justifié en partie par l'atterrissage des oeufs dans la bibliothèque du bord. Il est bien connu que le crash de la boîte à oeufs dans la bibliothèque a un effet déplorable sur le moral de l'équipage.

translate.google.fr[...]anslate

<< Tiroirs desserrées, de la nourriture et des œufs qui traînent les étagères. Il était comme cela avait été la guerre à bord de plusieurs semaines. Tout était tout simplement le chaos.
<<Le skipper et propriétaire du voilier Kolibri, qui a dû abandonner dans la mer déchaînée et en pleine tempête
Kolibri, qui est un très bon voilier, avait fait plusieurs périlleux. Dans les hautes vagues de près de 20 mètres

C'est peut-être une déformation du traducteur google mais les sauts périlleux sont contredits par l'état général du bateau filmé par les sauveteurs.

quel gachis !!

08 déc. 201508 déc. 2015

Ahurissant
Je n'ai pas d'autre mot
Ce bateau est abandonné et semble être nickel et en plus voiles bien rangées

Perso, je vais être méchant, mais j'espère qu'au vu de cette vidéo leur assurance refusera d'indemniser quoi que ce soit

Mais je n'étais pas sur le bateau, donc, je ne sais pas pourquoi ils évacuent en réalité

Par contre l'évacuation de la petite dame en short et en tong est quand même surprenante

Ils évacuent un bateau dans une tempète mais sont en tenue de plage ?????

L'un des équipiers avair un côté cassée, masi est ce qua ça justifie l'abandon ?

Par contre la perte d'une enfant .....

08 déc. 2015

Un peu long, mais c'est tout expliqué ici (en cherchant on trouve tout sur le net, mais ok faut chercher, c'est pénible et fatiguant...) :

Il n'existe plus de "droit d'épave" depuis le Moyen Age. La législation actuelle définit un cadre strict à la notion d'épave :

[i]On peut retenir deux conditions pour les caractériser :

  • matérielle : il doit être en « état de non-flottabilité ». Le nouveau texte de 1978 assimile aux navires les engins flottants, qui ne peuvent se déplacer que par remorquage. La notion de navigabilité, qui suppose des moyens autonomes de déplacement, n’ayant pas de sens pour ces engins, qui sont flottables mais non navigables, a été remplacée par la notion de flottabilité.

  • psychologique : le navire doit être abandonné. C’est-à-dire que l’équipage n’en assure pas la garde ou la surveillance. L’abandon n’est pas volontaire, mais dicté par la menace du naufrage. La présence d’un seul marin à bord ou encore une surveillance exercée depuis un bâtiment proche ne réaliserait pas cette condition.
    Le propriétaire est supposé vouloir récupérer son bien ; c’est pourquoi une procédure est organisée pour le retrouver.[/i]
    [...]
    [i]De façon générale, l’épave apparaît comme étant l’objet de propriété égaré par son propriétaire, ce n’est ni un res nullius (objet qui n’appartient à personne), ni un res derelictae (bien abandonné intentionnellement par son propriétaire, qui renonce à ses droits). A priori, son propriétaire n’a pas l’intention de le perdre[/i].

En l'occurrence, la situation que vous évoquez ne relève pas de la législation sur les épaves. Un bateau qui dérive sans surveillance n'est pas une épave, puisqu'il est encore en état de flottabilité, c'est un bateau abandonné, et un bateau perdu par son propriétaire ne peut en aucun cas être approprié par la personne qui le trouve, seule l'autorité administrative peut intervenir sous certaines conditions, et commence par avertir le propriétaire :

Les navires abandonnés

[i]Le navire abandonné est encore en état de flottabilité, mais aucun équipage ne se trouve à bord et il ne fait l’objet d’aucune garde. Il ne répond pas à la qualification d’épave.
Ces bâtiments de mer sont régis par la loi du 3 juillet 1985 relative aux mesures concernant, dans les eaux territoriales et les eaux intérieures, les navires et engins flottants abandonnés.

Les navires abandonnés attirent l’attention des autorités publiques en raison de la gêne qu’ils peuvent créer, des frais qu’ils entraînent, voire du danger qu’ils font naître.
La loi n° 85-662 tente de définir dans quelles conditions l’autorité peut intervenir et par quels moyens.

L’article 322-2 du Code des ports maritimes qui prévoit que le navire ne doit plus être en état de naviguer, pour être soumis à l’obligation de le mettre à démolition.

Ce droit de destruction instauré par l’article 2 du décret du 6 octobre 1987 portant application de la loi n° 85-662, est repris de la réglementation des épaves. La loi va plus loin que la simple contravention de grande voirie. L’Etat se voit doté d’une prérogative extrêmement large. Mais il convient de noter que cette prérogative n’existe qu’en présence d’un danger menaçant.

La loi reprend une autre prérogative empruntée au droit des épaves ; non pas l’occupation et la traversée des propriétés, mais la réquisition de personnes et de biens.

C’est ainsi la condition de flottabilité qui nous rappelle que la loi de 1985 ne régit pas les épaves, qui sont soumises à d’autres dispositions spécifiques.[/i]

Pour en savoir plus nous vous conseillons de lire le mémoire dont nous avons extrait les passages ci-dessus et que vous trouverez en pièce jointe : Les épaves maritimes en droit français de Clotilde Mattéi, Mémoire D.E.S.S. de Droit des Transports, option Transport Maritime, 1998-1999, Faculté de Droit et de Sciences Politiques d’Aix - Marseille.

08 déc. 2015

J'ai rien compris :)

08 déc. 2015

et alors
en resume !!!tu nous dis quoi ????
car je ne comprend pas bien la situation de ce navire !!!

08 déc. 2015

Arapède je vais peut etre dire une connerie (encore une fois! :reflechi:) mais c'est du droit français

Hors le bateau appartient à un norvégien et se trouve dans des eaux eloignées de ce pays...
Quel droit s'applique alors?

Facile de lire mais l'interprétation c'est autre chose...

08 déc. 2015

C'était au moins pour éviter les raccourcis : "j'ai trouvé un bateau, il est à moi..."

Désolé Thibaut, j'ai dit que c'était long... Comme souvent le droit...

J'en remets une couche, pour ceux qui sont intéressés par le droit, et pas par les on-dit...

Convention internationale sur l’assistance, faite à Londres le 28 avril 1989 (M.B. 18.08.2004)

(on peut récupérer des sous :)
Article 13 - Critères d’évaluation de la rémunération

  1. La rémunération est fixée en vue d’encourager les opérations d’assistance compte tenu des critères suivants, sans égard à l’ordre dans lequel ils sont présentés ci-dessous :

a) la valeur du navire et des autres biens sauvés;

b) l’habileté et les efforts des assistants pour prévenir ou limiter les dommages à l’environnement;

c) l’étendue du succès obtenu par l’assistant;

d) la nature et l’importance du danger;

e) l’habileté et les efforts des assistants pour sauver le navire, les autres biens et les vies humaines;

f) le temps passé, les dépenses effectuées et les pertes subies par les assistants;

g) le risque de responsabilité et les autres risques courus par les assistants ou leur matériel;

h) la promptitude des services rendus;

i) la disponibilité et l’usage de navires ou d’autres matériels destinés aux opérations d’assistance;

j) l’état de préparation ainsi que l’efficacité et la valeur du matériel de l’assistant.

La totale ici : environnement.wallonie.be[...]020.htm

:litjournal:

08 déc. 2015

L'article date du 17 novembre. Si ça se trouve, il a coulé depuis... Sur la photo on voit qu'il y a un panneau ouvert sur le pont. Il va bien finir par couler, ne serait-ce qu'avec la pluie !

Est-ce qu'un radar peut détecter un OFNI comme ça ?

14 déc. 2015

J'ai entendu dire par un anglais à Preveza que le bateau a été récupéré. Un autre Swan 41 aurait été également abandonné à 500 milles au large de l'australie et se serait échoué 8 mois plus tard à 3 milles du port de destination initial. Abandon sur blessure des équipiers ou d'un des équipiers. Quand le bateau se couche, voire plus, il y peut-être autre chose que la boite d'oeufs qui vous tombent dessus, les panneaux de coffres ou ce qu'il ya dedans et les personnes pas attachées peuvent se blesser en heurtant les parois. mais c'est bien dommage de devoir abandonner un bateau.

Phare de la pointe de Vénus Tahiti

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