immatriculation d'un Melody --galère--- !!!

Salut, tu peux aussi recuperer ton dossier et aller ailleurs. Certains bureau des aff mar sont plus a meme de s'occuper de ce genre de dossier.
Je l'ai vecu pour l'immatriculation d'un pneumatique.
Impossible a dunkerque, 10 minutes a boulogne sur mer !
Cordialement

En afrique la pratique est courante. Sa s'arrange toujours avec des petits billets. L'administration n'est pas si bête.

C'est malheureux mais c'est exacteement pour ça que j'ai maintenu l'immat BELGE après achat de mon nouveau bateau.
Traccasseries ++ en perspective et impossibilité de fournir e fameux sésame CE (le bateau à 30 ans - chantier n'existe plus et diffusé à 11 exemplaires)

Bref : l'immat belge m'a couté 50 euro et juste un extrait d'acte de naissance
Bravo la France

Bienvenue au club.....
Je m'aperçois que rien à changer depuis 15ans........
J'ai acheté d'occasion un mélody sous pavillon allemand que j'ai voulu franciser à Sète.
Même demarches, même combat, je buttais sur le certificat de conformité.
Cette administration, pourvue de tous les papiers a fait de la résistance pendant deux mois (septembre et octobre) et plus rien....Il fallait mettre en conformité le bateau aux normes actuelles , impossible de tout transformer. Il considérait le voilier comme fait à l'unité puisque jamais immatriculé en france, bien que le propriétaire allemand l'eût acheté en france pour le faire naviguer sous pavillon allemand.
De guerre lasse, comme j'avais pas mal de travaux à effectuer dessus, j'ai laissé tomber et miracle, sans rien demander, le mois de juillet de l'année suivante, le livret est arrivé en recommandé ! !!!!!!
comme quoi....patience.....
Deux ans après, le bateau passait sous pavillon belge, un mois de délai, des gens charmants, 50 euros, plus d'emmer...avec les affaires maritimes .
Conclusion de l'histoire, si j'avais su, de pavillon allemand, le bateau serait passé sous pavillon belge directement et basta, la mer est grande et la cervelle de l'administration est petite !!!!!

Bonsoir,
pour un de mes anciens bateaux, avec un dossier un peu compliqué, j'avais choisi de faire les démarches à Port Vendres bien qu'habitant Montpellier pour cause de zèle administratif débridé de la part des douaniers de Sète. Je n'avais pas eu de problème particulier avec ceux de P.V.
L'année dernière, je déclare le remplacement du moteur à la douane de Sète pour économiser le gas oil et le péage, mon bateau actuel étant immatriculé à Port Vendres. ( hasard...) Ils m'ont piqué mon carnet de francisation, qu'ils m'ont remplacé par une feuille de papier bidon et m'ont transféré d'autorité sur le quartier maritime de Sète avec un nouveau numéro. Le tout en 1/2 heure montre en main et avec le sourire. Le passage à la DML n'a été qu'une formalité, un petit quart d'heure et toujours le sourire. J'ai quand même dû modifier l'inscription sur le tableau arrière, sur la bouée couronne, sur les gilets et refaire les plaques pour le cockpit et la VHF. Mais bon, avec le sourire...

Hoolof,
En fait, j'ai essayé de faire les démarches à Port Vendres (plus près de mon port d'attache habituel), mais après 3 jours d'essais à appeler en vain, à différents moments de la journée, j'ai fini par appeler Sète qui a répondu assez rapidement.
Je leur ai exposé ma demande (avec particularité du bateau Suisse, tout en détail) pour leur demander quels étaient les papiers nécessaires, AVANT d'envoyer quoique ce soit. Résultat : dossier renvoyé 3 semaines après car "incomplet" (et pourtant, j'ai tout bien fait comme la dame elle m'a dit au téléphone...).

Il y a vraiment un soucis avec ces histoires d'immatriculation : déjà que les administrations sont multiples et avec, AMHA, des missions qui se chevauchent, si en plus il faut composer avec les "us et coutumes" locaux qui font qu'il n'y a pas d'homogénéité dans les process de traitement des dossiers, ont est mal barrés...

J'hésite vraiment à rappeler Sète pour leur suggérer que, mon bateau ayant été construit en 1979, il n'est pas concerné par le marquage CE et certif de conformité. Je ne voudrais pas en plus me les mettre à dos... :-(

Maman bobo ? non....
Plutôt le couteau entre les dents et, si effectivement la solution est de changer de quartier maritime, ce site est un vecteur comme un autre pour dénoncer ce genre de situations.

En tous cas, je m'amuse beaucoup à lire les différentes réponses... ;-)

Mais je vous l'ai déjà écrit : le chantier devrait m'envoyer le précieux sésame et ce sera réglé.
Par contre, je plains celui qui sera dans la même situation que moi, mais dont le bateau aura été construit par un chantier qui n'existe plus...

Bjr,
je réside à 900km du port d'attache de mon premier petit voilier. Sur le conseil du vendeur, je suis resté là bas, mais n'étant point sur, j'ai téléphoné avant d'envoyer mes papiers, et suis tombé sur des gens charmants et très sympathiques, il y a 3 ans environ.
Changement des papiers en un temps record.
J'espère que c'est encore comme ça à Noirmoutier, merci à ce bureau aimant son boulot !

Téléphonez à différents affmar, et choisissez d'orienter vos papiers vers ceux qui paraissent compétents, sérieux et compréhensibles. Le mieux bien sur est d'y aller personnellement, mais parfois cela peut être loin.

Bonjour,

J'ai connu le cas d'un prof de math qui pétait un plomb chaque fois qu'il relisait la liste du matériel de sécurité obligatoire telle que dressée par l'administration française
-( Années 90 )-
Le détail qui le faisait bouillir était le marteau "emmanché" !
C'est cette "précision" qui pour lui reflétait le summum des "qualités discutables" de notre administration.
Elle lui fit prendre une décision radicale : Il naviguait sous pavillon britannique ! :goodbye:
D'après lui, la démarche fut d'une facilité déconcertante.