flotteur tri

La densité de l'eau douce étant plus faible que l'eau de mer, je pense que oui. En revanche je ne pense pas que ce soit visible car la coque centrale aussi sera plus enfoncée. Le calcul est possible mais l'essai grandeur nature serait plus facile.

D'ailleurs plus l'eau de mer sera chaude et l'eau douce sera froide, moins l'on ressentira la différence, s'en parler de la pression atmosphérique. Au minimum il y aura une différence de densité 2.5% (entre un lac limite gelé et la manche en été) au maximum 2.8% (entre un lac à 20° à et la med à 12°).

Essaie et tiens nous au courant.

Il faut essayer en mer rouge. Mais j'avoue ne pas comprendre l'intérêt de la question. La différence doit être des plus subtiles. Où voulez-vous en venir ?

Alexandre....

T'as une aspirine?

C'est pourtant simple gégé, selon la salinité de l'eau, sa température, et la pression atmosphérique, la densité de l'eau change, donc l'enfoncement d'un objet dans l'eau. On nage plus facilement dans la mer morte (très forte salinité) que dans un lac (eau douce).

Plus l'eau est salée, plus elle est dense,
Plus l'eau est froide plus elle est dense,
Plus la pression atmosphérique est forte, plus l'eau est dense.

Pour ce qui concerne l'enfoncement d'un flotteur, cela dépend de la forme du flotteur, du dièdre*, de la force du vent, de la densité de l'eau.

Le dièdre : faible diédre les floteurs touchent l'eau à l'arrêt, dièdre important un seul flotteur touche l'eau à l'arrêt.

PS : ton aspirine va t il fondre plus vite dans l'eau salée ou l'eau douce ? :doc:

Putain, la vache !

c'est pointu sur Hisse et Oh !!

de la pire dépression à l'anticyclone écrasant, on a 2/1000 de variation de la densité. !!!

Pour travailler à 4 chiffres significatifs, il faut des sacrés appareils de mesure ...

Plume 56, il va plus savoir quoi faire. :-(

Alexandre, tu crains...

l'aspirine, ça fond pas, ça se dissout (ça n'a rien à voir)

et l'aspirine ne se dissout pas dans l'eau salée.
C'est d'ailleurs comme ça qu'on l’extrait du mélange réactionnel. C'est le relarguage.

Bon, on parlait de quoi, déjà !!

Je suis étonné de ce que certains avance sur l'influence de la pression atmosphérique et la densité de l'eau, quelle soit douce ou salée... par contre la température (de mémoire le maximum de densité à 4°C) et la concentration en sel jouent...

Bon le post de Tangnard est tombé le temps que j'écrive... influence de la pression oui mais les variations de pression atmosphérique sont négligeables comparé à celle de la profondeur...

Et la densité de l'eau à 30° par rapport à l'eau à 10°, tu calcules ça comment ? c'est du pouillème ou ça compte ?

wouah! la prise de tête! Le chantier qui m'a vendu mon tri n'a même pas pensé me demander dans quelle mer je comptais naviguer !?
A ce propos, et pour compléter l'info d'Alexandre, non seulement on nage facilement dans la Mer Morte mais y paraît qu'il y en a eu un qui marchait dessus....

L'avantage de naviguer en Manche par rapport l'atlantique c'est que la mer est plus froide, les flotteurs portent donc mieux... 0.1% mais c'est toujours ça de pris.

Je reconnais j'ai fait un peu partir ce fil intéressant en live, mais bon, on ne se refait pas.

A la base ce fils parlait de la différence entre eau salé et eau douce. Dans ce cas il y a une différence de flottabilité (mono, cata, tri ou nageur).

Sur eau douce, un bateau est donc plus enfoncé quelque soit le nombre de coque. Ensuite un tri aura des flotteurs qui s'enfonceront un peu plus vite sur eau douce que sur eau salé. Pour calculer la différence d'enfoncement de façon correct il faut prendre en compte plusieurs autres paramètres que la salinité.

Je me suis amusé à comparer avec la température de l'eau pour m'amuser, dans ce cas c'est infime, et ne vaut pas le coup d'en parler. Mea culpa, j'ai compliqué ce fils intéressant.

Si la teneur en sel de la méditerranée est supérieure à celle de l' océan, est qu' on va plus vite avé l' accent (moins de surface mouillée) ? :-D