Deriveur lestè

&gt Bonjour a tout le monde,je juis nuveau de ce forum.Je suis en train de
&gt construire une barque à voile de 11 m en acier dessinè par un architecte
&gt local.
&gt je noudrais mettre la derive lestè.Mai je n'en ai dessinè une qui porte un
&gt tirant d'eau de 135 a 250,la casse de derive est dans la quille.
&gt Le pivot est de 60 mm,la casse est large 70,le derive 55 mm avec 7 mm de
&gt jeu chaque partie.
&gt Y a t'il quelq'un qui pourrait m'alder avec quelque dessin?Ooud'opinions
&gt sur ces mèsures?
&gt Avec un numerò de fax je exepedie pour receveur des conseils,le dessin.

&gt Merci beaucour
&gt
&gt

L'équipage
12 fév. 2007
12 fév. 200716 juin 2020

et ainsi

vite fait , n'est-il pas possible de faire ainsi

josé

12 fév. 2007

je ne connais pas ton bateau

mais je ne ferais pas ainsi.

Plutot que de faire une derive qui va pesée dans les 300kg et qui va donc falloir un gros effort pour la mainoeuvrer il est preferable de mettre une semelle épaisse exterieure sur toute la longueur du bateau.

Ainsi plus d'effort ,le bateau sera lesté , et tres bien protegé pour se mettre au sec, il sera presque indeformable à la flexion.que des avantages et facile à faire.

C'est ce que j'appelle le lestage actif plutot que passif , il offre du plus au bateau.

josé

12 fév. 2007

Définitions
Un dériveur intégral n'a pas d'embryon
de quille.
Un dériveur lesté a un embryon de quille.
Dans les deux cas il n'y a pas d'intérèt a
a monter une dérive très lestée qui ne fait
que compliquer le montage et la manoeuvre.
La stabilité de lest revient au lest dans la coque du bateau et non à sa dérive.
Dans le dériveur à quille relevable on se rapproche du quillard et mécaniquement
le problème est nettement compliqué pendant
que l'on fait remonter le centre de gravité
en perdant en stabilité de lest!
Il faut intellectuellement séparer la notion
de dérive et de quille.

12 fév. 200716 juin 2020

Deriveur lestè
caracteristiques oceano 36
long. 10.95
long. à la flot. 9.50
larg. 3.60
larg.à la flot. 3.20
tirant d'eau 1.35 (quillard 1.45)
Comme nous habitons dans une lagune,nous avons demandè à l'architecte de appliquer une derive lestè.Puisque il n'a d'experience a ce propos, nous cherchions des reisenements là où la dèrive lestè est très utilisè.
je remercie tous pour vos precieuses reponses.
Siven

12 fév. 200716 juin 2020

deriveur lestè
photo 2
Est-il correct ce dessin?(si le voyez assez bien)
merci
Stiven

oui c'est pas mal
pense a faire une derive profilé et pas trop lourde

13 fév. 2007

bizard

tout de même comme raisonnement.

L'on ne decide pas de mettre une derive lesté ainsi.Celà ce calcul:faut-il ou ne faut-il pas mettre une derive lestée compte tenu de la stabilité du bateau c'est la question à ce poser et quel poids ?

Et 300kg de derive pour un bateau de 11m et de 3.5m de large celà te fera gagner environ 1° de gite en moins guere plus.

Mais ça c'est le boulot de l'architecte c'est à lui de dire s'il faut ou s'il ne faut pas de derive lesté.

josé

mon gébé
tout simplement mon southerly 1800kg dans les fonds ET derive en fonte de 600kg ,je ne dis pas que c'est bien car je prefere les derives legeres ;-)

13 fév. 2007

Deriveur lestè
La derive que nous voulons appliquer est à peu près 130 kilos
Stiven

13 fév. 2007

Kilos en trop
J'ai un DI acier avec dérive lestée à plus de 100kg: c'est déjà trop lourd (plusieures démultiplications par palan + Winch pour la relever !).

13 fév. 200716 juin 2020

dèrive lestè
Mais quel sont les facteurs nègatifs d'une dèrive légère, peut ètre qu'elle soit vibrant avec mouvais temp ?

13 fév. 200716 juin 2020

Je suis étonné...
Votre recherche correspond très exactement pour le dimentionnel à la dérive qui équipe mon bateau.
Pour un poids d'environ 400 kgs , sa remontée au treuil se fait par un enfant de io ans sans problème.
Je joints 2 photos pour llustrer mon propos.

13 fév. 200716 juin 2020

dérive
voila

14 fév. 2007

dérive lourde?
Je n'ai lu que des inconvénients a propos des dérives lourdes.
alors,
Avantage d'une dérive lourde: elle descend "presque" toute seule même quand le puit est encombré de ces diverses saletés qui adorent venir s'y accrocher.
C'est un avantage de poids!

14 fév. 2007

marsouin
je partage l'avis de Calypso. Installe un marsouin tout le long, en léger (acier pour toi) uo en plus lourd (plomb par ex). Essaie de mettre le max de poids dans les fonds (classiquement eau, fuel, moteur). Tu travaille ainsi sur la gite, et, pour le marsouin, sur la dérive, les 2 raisons d'une quille. Le marsouin en plus protège tes fonds lors des échouages. Ensuite tu passe à la dérive (sabre ou pivotante, les 2 écoles ont leurs avantages et leurs inconvénients). Puis tu passe au beoin en poids pour la gite (d'où dérive + ou - lourde) et en surface (dérive au près). Ces calculs sont à la portée de ton architecte, ou alors change vite !

14 fév. 2007

Légère
Je vois pas d'inconvéniant.évident à une dérive légère. Il faut naturellement qu'elle soit
assez lestée pour ne pas flotter.
Plus la masse est forte plus les contraintes
mécaniques sont sévères en particulier sur l'axe.
Pour les vibrations elles se sentent quand
la dérive est relevée et que l'axe commence
a avoir du jeu. Les vibrations sont alors
d'autant plus fortes que la masse est élevée.
Certaines réalisations utilisent un frein
latéral pour bloquer la dérive dans ce cas.
Dérive bas elle est spontanément bloquée
par les forces dynamiques très importantes.
Une dérive profilée à un meilleur rendement.
Il faut que la dérive puisse s'effacer devant
un obstacle (dérive pivotante) ou casser
(dérive sabre). C'est un gros problème
des quilles relevables (où le puit doit
encaisse des surcharges importantes parfois
destructrices).
Saint Caroff (j'ai un Caroff) a très bien détaillé le problème dela dérive d'un DI ou DL

14 fév. 2007

Pour Roger66
Tout dépend du poids (de la dérive)
=== ET === du point d'application
de la force.
Avec un levier, un treuil, etc...
on peut soulever la terre (en théorie)
dixit un ancètre célèbre connu dela terre
entière.

14 fév. 2007

dérive
Bonjour JPP,
Je ne pense pas que les plaisanciers naviguant à bord de dériveurs lestés soient les héritiers de la punition d’Atlas .
Mais ne nous égarons pas, laissons de côté, mythologie et croyances, afin de ne pas trop dériver.

Une dérive « lourde » présente quelques avantages :
Elle descend sans effort, et reste dans la position que vous lui avez définie, quelque soit l’allure ou la vitesse du bateau. Car si, au près, elle se bloque sous la contrainte ; au portant elle ne l’est pas.
Elle ne vibre pas.
Au mouillage, si le plan d’eau est agité elle risque de battre, ce qui se corrige facilement par un dispositif de blocage (déplacement d’un coin, dans le puis).
Son épaisseur, généralement plus importante, lui confère plus de résistante et permet de la profiler.
En cas de choc frontal elle s’auto protège en rentrant dans son logement.
Si choc par le travers : déformation de la dérive, qui au plus pourra être détruite, sans conséquence pour la sécurité immédiate des occupants du navire.( une dérive « légère » coûtera un peu moins cher…petit avantage.)

Le problème de poids, soulevé par certains matelots, et un faux problème.
Il suffit de mettre le point de tire au bon endroit et ne pas faire un dédale du chemin de câble. L’ensemble, câble et dispositif de relevage, se doivent d’être positionnés dans la direction la plus favorable à l’effort à faire. En l’éloignant au maximum du point de rotation (axe). Il n’est point nécessaire de faire un crémona des tensions, cela me parait évidant JPP.
Le choix du treuil mérite attention : il doit être auto bloquant, puissant pour moins d’effort, (roue et vis tangente sont bien adaptées, et… pourquoi pas électrique…). Il permet de régler la descente au mm près.

Fragilité ? oui et non .Pas plus qu’autre chose , si bien fait.

Entretien du système
Il est difficile de contrôler ce qui se passe dans un puis de dérive et cela peut être inquiétant voire une source d’angoisse pour certain…
Après 22 ans, j’ai déposé l’an dernier ma dérive.
Je n’ai pas constaté de développement de flore dans le puis, pas de coquillage. Seul le bord d’attaque de la dérive se couvre de fouling comme la coque et, est nettoyé lors des carénages.
Je pense que ceci est du à l’étroitesse du logement et à l’absence de lumière.
Pas de sable ou de boues, (mais je n’échoue pas), il est resté très propre.

En conclusion.
Pour moi ce type de bateau : dériveur lesté à dérive « lourde », répond bien à un usage de plaisance et lui apporte un indéniable plus.

15 fév. 2007

Pour Roger66 Pas de polémque mais
Un dialogue suppose que l'on accepte la mème
définition des mots. Un dériveur lesté n'est pas
au départ, un dériveur avec une dérive lestée ou lourde mais un dériveur avec embryon de quille lestée la dérive ayant la seule fonction de dérive.
C'est un intermédiaire entre le quillard et le dériveur intégral. Cet hybride répond au problème
de stabilité de lest, sans aller jusqu'au dériveur intégral développé au début par A. Mauric et qui a ensuite beaucoup séduit en France. Des architectes, rongés par le problème
de stabilité de lest et pour améliorer la courbe de stabilité ont développé la notion de lest
variable. Situant ces bateaux entre dériveur
intégral et quillard et créant la confusion dans la définition du type de bateau.
Si ont leste fortement la DERIVE d'un dériveur
c'est que l'on cherche à gagner en stabilité
de lest donc on s'éloigne du concepte mème du DI ou par défintion le lest est dans la coque. Sur un Vaurien ou un 505 qui aurait l'idée de mettre une dérive lourde?

Possèdant un DI avec dérive déjà trop lourde
j'ai assumé l'angoisse théorique que constitue
le Dériveur intégral surtout si on lie les statistiques du célèbre Fastnet.
Comme dit Caroff, sur un dériveur on réduit plus tôt et au final on relève la dérive.
Il est évident que les architectes ne voient pas
tous de la mème façon et que le DI reste très
controversé au point de remettre l'actualité
sur le biquille.

15 fév. 2007

dérive
Jpp

Je suis tout a fait d’accord avec vous, pour moi il n’y a pas de confusion des genres.

Je suis simplement surpris que vous ayez des difficultés à remonter votre dérive d’un poids de 100 kgrs

Dans le cas de mon bateau, dériveur lesté, la dérive que je qualifie de « lourde » (400 kgrs) est le 1/10 du poids du lest.
Ce lest est contenu en un embryon de quille (saumon) de 0,65m de haut pour 3.5m de long. Ratio lest/déplacement 46%.
Elle participe pour sa part au couple de redressement, mais surtout, et c’est sa fonction : elle améliore le cap de 10 à 15 degrés, selon les conditions de navigation.

Je crois qu’on a tout dit sur cet appendice.

Bonne navigation à toutes et à tous, avec ou sans dérive….

16 fév. 2007

deriveur lestè
Bonjour et merci pour toutes vos rèponses
En naviguant sous mouvais temps, ayant la dèrive,dans le possible cas de "knok down",elle rentre brusquement ou il est possible l' immobiliser avec un bout ?
Merci
Stiven

16 fév. 2007

first 27.7 QR....
:alavotre:
on maintient la quille par 1 étriers que l'on pose a la main .Les étriers prennent appuie par en dessous 2 cornières une de chaque coté et au milieu de l'étrier il y a un boulon que tu visses donc il descend et pousse la quille pour empêcher de remonter et de cogner:reflechi:
.Les cornières était fixées assez légères de telle façon que si ça talonnait elles cédaient et tu n'arrachait pas le puit:litjournal:

16 fév. 2007

dérive
Je n'ai jamais vécu cette situation, je ne peux donc t'apporter le fruit de mon expérience.

Il me semble cependant, que par grand mauvais temps, je remonterais au moins partiellement ma dérive, afin d'éviter un "croche-pied" ou de la tordre.

Ma dérive est équipée d'un blocage, mais je ne sais si ce cas d'espèce a été prévu dans le cahier des charges .

La rentrée brutale de la dérive en son logement et le choc induit ne doit en rien, ni altérer son fonctionnement ni provoquer le moindre dégat au puis.
Sur mon bateau, il me semble que ce sont des critères qui ont été pris en compte .

phare des Baleines, ile de ré

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