Coppercoat, encore

sauf qu'ils ont mis la clé sous la porte, semble-t-il......

1000 excuses. :non:
C'est l'autre produit au cuivre Océanoprotec.
:jelaferme:

Mon avis et expérience après deux ans, si le bateau échoue tous jours, c'est un très bon antifouling car la mise a l'aire oxyde bien le cuivre donc pour, si le bateau navigue souvent , bon antifouling avec peu être un coup d'éponge rapide en cours de saison pour avoir une carène toujours nickel , si le bateau reste au port , a fuir car la pellicule de gras qui va se former formera un bon support pour les algues et coquillage qui sera très dur a retirer après ...

J'ai mis du Coppercoat l'année dernier. Le vrai. Pas du bricolage maison (Je ne dis pas que ce n’est pas bon, mais je ne voudrais pas de risque vu le travail fait).
Zone de navigation: mer du Nord+ eaux intérieurs.
En sortant de l'eau en octobre seulement un peu saleté qui était facile à enlever avec un éponge de cuisine.

Safioran, c'est le chantier qui me propose cette option; il la vende fréquemment; au moins sur la moitié de la production donc je pense qu'ils ont désormais le coup de main.
Au fait, petite précision, le joli aspect cuivré à la pose se transforme en un très laid vert-de-gris je suppose?

Presque mon cas; je n'aurai pas à plonger, le bateau étant à sec 18h par 24h ;-)

Comme indiqué plus haut, en l'espèce il s'agirait d'un bateau qui ne serait pas au ponton mais au sec la majorité du temps. Avec un anti-fouling classique, ça change déjà pas mal la donne en termes de salissures. Par contre, l'érodable ne tient pas bien.
C'est pourquoi je pense au coppercoat; mais mon choix est désormais arrêté au vu de ces qq témoignages. Merci

Je confirme que dans ce cas c'est un bon choix !
En outre, c'est un revêtement très dur qui convient parfaitement aux manutentions sur une remorque.
Plus besoin de faire la corvée pendant l'hiver !
Par contre, la surface doit être parfaite et dans le cas d'une coque neuve, bien déglacée car l'accroche sera mécanique.
Prévoir quand même un primaire préventif osmose.
Le fait d'être au sec plus de 50% du temps fera qu'il y aura 0 végétation et coquillages.

Effectivement, si c'est une coque en epoxy, il est possible d'appliquer directement le Coppercoat après déglaçage.

je crois que ça a été souvent dit, mais il faut le répéter:
-le résultat concernant l'accroche du produit est directement lié à la préparation avant l'application.décaper, ponçer,dégraisser,appliquer sans attendre l'humidité ou la poussière.
-La deuxième chose est le pouvoir anti salissure qui ne sera jamais aussi efficace qu'un antifouling classique; si on le vends avec cette promesse, évidemment, ça fait des déçus.
Je confirme également que la dureté de la couche convient parfaitement a un usage d'échouage ou mise sur remorque.
De nombreux passage de ma chaîne d'ancre sur mon brion attestent de cette solidité. D'ailleurs, c'est un peu difficile a poncer la post-application.
Cela dit, même apres ponçage et un état de surface satisfaisant, je ne suis pas sur que ça vaut un VC17 appliqué au pistolet concernant la glisse ;
d'autant qu'une couche "grasse" se répartit assez rapidement sur la carène. Pas grave pour un bateau de voyage/croisière, mais un peu frustrant pour régater.
Hasta luego

6 ans après la dernière entrée de ce fil....
que sont devenues vos carènes couvertes decopper coat
toujours les mêmes impressions ou bien au final c'est une catastrophe ( pour le miracle je pense qu'on en aurait entendu parler )
merci de vos retours tardifs

toujours très satisfait de mon copper coat
Ca va faire 10 ans, légère perte d'efficacité je vais envisager de le refaire.
C'est quand même top de caréner avec un coup de karcher et de pas avoir d'antifooling a repasser !

Du CC a été appliqué en 2014 (aussi sur le saildrive). Depuis mon bateau a navigué entre la mer Baltique et les Caraïbes. Je l'ai mis deux fois à sec pour hiverner pendant six mois et une 3ième fois pour rentrer en Europe (Covid-19).

En détail:
2014-2016
Dans les eaux troubles et froide au nord de la Belgique (en passant parfois du temps dans de l'eau douce), la coque a été nettoyée quelques fois en dessous de la ligne flottante et un fois à sec avec un Kärcher avant d'hiverner. Cela se faisait toujours sans force.

2016-2018
À partir de la Belgique le voilier naviguait toujours dans l'eau de mer ou ce système et fréquence a aussi fonctionné jusqu'aux Canaries inclus, avec un nettoyage au Kärcher et un hivernage à sec

Changement en 2019 au Cap-Vert ou, pour la première fois la totalité de la coque a été nettoyé en apnée et parfois seulement en dessous de la ligne flottante. Execeptionellement à Boa Vista 2 fois avec une intermittence de trois semaines, mais c'était le cas pour tous les bateaux dans la baie. (Pendant les quatre mois au CV, la coques a été nettoyée trois fois.)

Les six mois qui suivait à l'autre côté de l'Atlantique, le bateau était mouille la plupart du temps dans des eaux saumâtres troubles des rivières ou la ligne flottante a reçu parfois un coup d'éponge.

Après, à Trinidad & Tobaga, l'eau est chaude et claire. La coque complète a nettoyé tous les 10 à 15 semaines. C'est un plaisir de le faire dans ces circonstances et entouré des poissons.

Le CC n'est pas un produit miracle, mais certainement le meilleur choix pour mon programme, mes possibilités et moyens.