Bôme tordue sur Dufour 335

Bonjour
J'ai un Dufour 335 depuis mai 2014 en gestion location en Bretagne. La semaine dernière,par un vent de 23 nœuds, un locataire , malgré un accompagnement en règle de la bôme lors d'un empannage a tordu la bôme. Avez vous déjà entendu ce genre de problème? J'ai l'impression que le profilé est léger. Merci pour vos avis

L'équipage
14 juin 2015
14 juin 2015

C'est plutôt une bonne nouvelle. J'aurai plutôt parié pour la table du cockpit arrachée.

Est-ce que la pliure est au niveau du hauban ? La bôme n'est pas faite pour être en appui sur le hauban (le hauban non plus).

14 juin 201516 juin 2020

Ni l.un ni l'autre.la bôme est reprise sur le rouf et c'est là que ca a tordu voir la photo

La voile n'était pas arisée?

14 juin 2015

Si , paraît il :2 ris et le génois réduit d'un tiers.

Réfléchissons :
Si, effectivement, le voilier était sous deux ris, le point d'écoute de la GV devrait être sensiblement au niveau de la fixation du palonnier d'écoute voire un peu plus vers le mât.

Dans ce cas, qu'est-ce qui a produit l'effort appliqué sur l'extrémité de la bôme pour la tordre?

D'autre part, l'aspect de la bôme évoque un effort appliqué sur le bout dépassant alors que l'écoute était immobilisée : la pliure est exactement au niveau de l'implantation du palonnier d'écoute.
Tout ça évoque furieusement un empannage non accompagné (écoute bloquée) avec une voile non arisée (23 noeuds de vent réel en VA avec tout dessus, c'est une dizaine de noeuds de vitesse du bateau ce qui laisse un vent apparent de seulement 13 noeuds...

En matière d'analyse, toute information est présumée fausse jusqu'à preuve du contraire.

:litjournal:

14 juin 201516 juin 2020

Il me semble que la pliure est au contraire précisément alignée avec l'implantation de la poulie arrière.

Oups : ok :oups:

Ce serait quand même intéressant de tout remettre en place pour voir si c'est cohérent avec la déclaration (ou pour démontrer le contraire) :litjournal:

14 juin 201514 juin 2015

Si tu regardes la photo, tu verras les 2 bosses sur la bome. Elles sont derriere la pliure.

14 juin 2015

Ce que je voulais dire, c'est que meme avec 2 ris, le point d'ecoute reste en arriere du palan. C'est un bateau sans pataras. La gv a un rond de chute important.

14 juin 201514 juin 2015

Je ne savais pas qu'il y avait des 335 avec ce type de montage. Sur le site de selden, tu trouvera les préconisations de diamètre de bome en fonction de la longueur de la bome et de la position d'ancrage de l'écoute.

23 nds c'est du vent. Il y a de quoi faire des dégâts sur beaucoup de bateaux si la bome n'est pas bordée (remise dans l'axe) avant l'empannage.

14 juin 201514 juin 2015

Oui j'ai aussi des doutes sur la manœuvres du locataire. Et mon loueur ne veux pas entendre que c'est de la faute de son client. Et c'est donc pour ma pomme. J'attend la visite de l'expert ...de l'assurance.

14 juin 2015

fort à parier que c'est un empannage chinois tout dessus ... :-(

14 juin 2015

Je possède un Dufour 335. Le palan d'écoute est fixé sur la table de cockpit. Je pense que le fait d'avancer la fixation du palan nécessiterait une section plus forte du profil de bôme.
Je pense cependant que l'empannage n'a effectivement pas été maîtrisé, 23 noeuds avec un tel bateau, n'est pas énorme!

14 juin 2015

ça ressemblerait fortement à un départ à l'abattée, bateau couché, bôme qui part et viens taper l'eau en force. Ou alors peut-être une retenue de bôme qui aurait été frappée en bout de bôme ? ça me semble fragile quand même ceci dit, sur le Grand Surprise on empanne à la volée jusqu'à 25 noeuds réels sans dégâts

14 juin 2015

Si deux ris, il y avait peut être une retenue de bôme prise en bout de bôme et oubliée lors d'un empannage involontaire. Ca expliquerai la position de la pliure.

14 juin 2015

même si c est un empannage un peu violent , ce n est pas normal qu une bôme qui n a qu un an plie avec 25 nds de vent !

voila ce que c est que de vouloir a tout prix dégager le cockpit de l écoute de gv .
entre les tissus à voile qui sont de moins en moins souple ( et c est bien) et les écoutes qui sont au milieu de la bôme , en cas de surcharge , c est la bôme qui plie

alors amorce de rupture ou sous échantillonnage ???

14 juin 2015

Je vais changer la bôme a l'identique mais je crains dur maintenant. Et peut être reprendre l'écoute sur la table du cockpit

14 juin 2015

si tu crains, tu peux toujours prendre une section un peu plus forte

14 juin 2015

Le palan sur la table, c'est sans doute mieux pour la bôme, mais franchement, je ne sais pas si c'est mieux pour le bateau.

J'ai loué un 335 qui avait le palan sur la table du cockpit. Le bateau avait 6 mois. L'embase de la table de cockpit était déjà très faïencée (pour rester optimiste) sur la totalité de son pourtour. Ce n'était pas "structurel" d'après le loueur.

14 juin 2015

Peut être un empannage violent et involontaire avec une retenue de bôme frappée sur la poulie arrière au niveau de la pliure? La pliure est vraiment franche à ce niveau.

14 juin 2015

Je pense comme toi.
Etant donné la pliure elle n'a pas tapé. C'est le poids de la bome du vit de mulet au palan qui a porté et la retenue de bome...qui a retenu.

14 juin 2015

Vous confirmez mes craintes: mauvaises manœuvres de l'équipage. Merci pour vos infos et je vous dit pour le retour de l'expert
Merci encore

15 juin 201515 juin 2015

Plier une bôme sur mauvaise manœuvre de l'équipage avec 23 nœuds de vent, faut quand même le faire.

Si la bôme n'a pas tapé dans les haubans, il y a un problème dans la bôme, pas dans l'équipage. Sinon, qu'est ce que ca va être un empannage à 35 ou 40 nœuds de vent ... On plie le mat aussi ????

Un bateau catégorie A, c'est sensé être contrôlable jusqu'à force 10, 50 nœuds de vents. Donc ça doit virer de bord et empanner à 50 nœuds quand c'est fait correctement avec la voile du temps.

15 juin 2015

Oui.

Mais à 50 nœuds, il y a 4 * plus d'efforts qu'a 25 nœuds. Sans même parler vent apparent. (le bateau va pas aller 2* plus vite avec 50 nds qu'avec 25 nds de vent)

Ca serait quand même intéressant de refaire un calcul de section de bôme. NB Il n'y a qu'un archi qui peut le faire. Il faut une mesure de stabilité.

quand c'est fait correctement avec la voile du temps :litjournal:

15 juin 2015

L'archi n'a pas grand chose à dire.
Il détermine la contrainte théorique.
Ensuite le chantier impose un cahier des charges à son fournisseur sous contrat avec lui. ce sera donc la section la moins chère possible qui répondra à la charge théorique calculée.
Or, certains fabricants prennent très très peu de marge de sécurité dans la définition des contraintes que peuvent supporter les sections de bôme qu'ils fabriquent.
Alors lorsqu'on combine la section la plus faible possible d'un fabriquant d'espars qui est peu prudent, on arrive à ce genre de chose.

15 juin 201516 juin 2020

La photo de l'autre coté de la bôme serait intéressante à regarder. Je ne vois pas comment le locataire aurait pu gréer une retenu en bout de bôme (ni pourquoi). C'est tellement plus simple de se prendre au niveau du hale-bas ou du palan.

Par contre, j'insiste. Les cadènes de hauban sont très reculées et très écartés. Je pense que la pliure ne tombe pas loin de l'emplacement des haubans. Demande peut-être au loueur une photo avec la bôme mise en situation le long du hauban.

Bonne journée.

15 juin 2015

De quelle marque est la bôme ?

15 juin 2015

C'est Dufour quoi ! Pourquoi s'étonner ?

15 juin 2015

En voila une réponse très constructive qui enrichit le débat !
Ce genre de remarque, de plus en plus fréquente et ce, quel que soit le sujet abordé, est vraiment nullissime...

15 juin 2015

Tu as raison, comme le faïençage des structures de Dufour, la torsion des varanges et de la coque dans un "petit temps"... Je ne te retiens pas pour voir les problèmes relatifs à ces bateaux qui n'ont plus la solidité légendaire de leurs ancêtres !
Alors oui, je le redis : c'est un Dufour, bateau dont le constructeur allège tout ce qu'il peut pour faire un maximum de blé, au mépris des acheteurs et là, il semblerait que la bôme a été largement sous évaluée pour avoir un tel incident par "petit temps" !

15 juin 2015

Un jour j'ai vu la mème chose sur un bateau où le skipper avait mal maitrisé. Le plus drôle est qu'il m'avait sorti d'un coffre un frein Walder tout neuf à monter (son épouse regarda alors son skipper favori d'un drôle d'oeil) .

15 juin 2015

Des problèmes existent chez tous les constructeurs.
De là, à généraliser comme tu le fais, c'est tout simplement ridicule.
1 bôme pliée sur un Dufour (on ne sait même pas comment c'est arrivé) et tous les Dufour sont nuls ???
On lit ce genre de commentaires sur toutes les marques "grand public" à longueur de temps sur les forums, c'est vraiment n'importe quoi.
Des Bavaria, jeanneau, Bénéteau, Dufour et autres naviguent sur toutes les mers du monde, et quelques cas isolés de malfaçons ne doivent pas permettre d'en tirer des généralités aussi affligeantes.

15 juin 2015

C'est aussi arrivé à plusieurs Hanse équipés de bômes Sparcraft manifestement sous-dimensionnées... à moins que l'équipementier soit trop optimiste sur la résistance de ses produits. J'avais comme cela une bôme d'un 50' sérieusement pliée sur un bateau de location suite à un empannage incontrôlé par plus de 35 noeuds (parait-il, je n'étais pas à bord) en Croatie
Depuis que Hanse équipe ses bateaux avec des espars Selden, il semble que cela soit solutionné.

15 juin 2015

ca ressemble à une bome zspars, dont la marque est quand même réputée comme fiable et solide.

15 juin 201516 juin 2020

C'est une bôme zspars. Les photos jointes vont en diront peut être plus. J'ai eu mon assureur ce jour. Il ne fait pas passer d'expert, donc l'analyse va être bien difficile.

15 juin 201515 juin 2015

Intéressantes les photos.

La vue du côté concave de la pliure montre deux déformations :
une première à induit la pliure, la seconde a ouvert la bôme perpendiculairement à la pliure et écarté l'ouverture.

L'ouverture est donc à bâbord et tes photos précédentes ne montrent pas le pendant à tribord.

On peut déduire de cette première observation que la cadène sur laquelle est frappée la poulie d'écoute a subi un effort considérable qui a entrainé l'arrachement de la bôme selon un axe orienté de bâbord vers tribord (la bôme appuyait vers bâbord et la poulie résistait).

Si la bôme avait été ramenée dans l'axe au moment de l'empannage, la déchirure montrerait un effort exercé vers le bas (et donc symétrique sur la bôme) et non latéralement.

Par contre, je suis surpris de la forme de la déchirure qui n'évoque pas la présence d'un renfort intérieur pour répartir les efforts de la cadène.

En l'absence de renfort, il peut s'agir d'une faiblesse due à la fatigue (l'alu ne supporte pas la fatigue) révélée lors d'une manœuvre "perfectible".
:litjournal:

17 juin 2015

AMHA vu la forme de la partie concave de la pliure, la bôme a tapé sur le hauban. Levée du doute sur place en vérifiant si ça coincide avec le hauban. La seule inconnue me semble la force du vent au moment de l'incident qui a pu être minimisée à posteriori. Facteur humain plutôt que faiblesse structurelle.

19 juin 2015

"Pas sûr" je suis d'accord, mais qu'elle ait tapé sur le hauban ou ait été arrêtée brutalement par le point de tire de la poulie, le résultat est le même pour la bôme.
Une chose est probable, c'est que la vitesse réelle du vent a été minimisée par la partie adverse (loueur, client), et que l'équipage n'avait pas les compétences nécessaires pour gérer la situation du moment.
Risque à prendre en compte quand on loue (ou prête) son bateau, et particulièrement sous ce régime. J'ai reçu d'un chantier français il y a quelques années, lors d'un Salon, une offre similaire de gestion-location. Une fois analysée cette proposition, j'ai réalisé que la bonne affaire était pour la banque finançant l'opération, et accessoirement pour le fabricant. En aucun cas pour moi. :goodbye:

Pas sûr.
Il n'y a aucune trace dans le creux de la pliure et elle est exactement alignée avec le point de tire de la cadène.

Je pencherais plutôt vers une amorce crée par l'effort latéral exercé sur la cadène et une pliure autour de cet effort.

Effectivement, levée de doute facile sur place.

D'accord sur tous les points

15 juin 2015

Bonjour Rico

Même aventure pour un voisin de ponton sur un autre bateau
Un simple empannage sauvage et sans taper dans les haubans même fixation de l'écoute de grand voile très en avant, avec l 'inertie résultat identique. Ton client raconte des c.......ries, il aussi assuré non?
Expérience quand tu auras fait le remplacement reproduit à terre le même bras de levier et pousse dessus.

Une question à tous il me semblait que justement pour les mat sans pataras il fallait justement avoir la' écoute le plus en arrière possible?

Le Moko

15 juin 2015

Si je généralise sur les Dufours c'est que ces bateaux ne valent plus tripette. Relis la discussion avec le malheureux possesseur du grand Dufour sur ce même forum. De plus, il m'a souvent été rapporté par des professionnels que les Dufour d'aujourd'hui, se vautraient lamentablement avec des structures trop légères et donc des varangues, des coques qui travaillaient, se vrillaient sous l'effort. Conclusion : ce sont d très beaux bateaux dans les ports mais sur mer formée, à éviter. Le fait de tordre une bôme comme cela, montre qu'elle a été mal dimensionnée au départ, sauf pour protéger la tête du skipper !

16 juin 2015

Dixit l'homme qui navigue sur un Jeanneau...Si tu penses que c'est mieux du côté de ce chantier...Je penses qu'il faut vraiment arrêter de se pôlir le gl**d et penser que son canote est mieux que celui du voisin: d'un chantier à l'autre c'est partout pareil dans la production de masse.

Malgré tout, et avec tout le respect que je dois à chacun (c'est mon analyse, probablement aussi subjective que la tienne...), j'ai peine à croire que Jeanneau puisse offrir des qualités équivalentes à un Dufour offrant des prestations similaires, pour un prix inférieur, à gabarit et catégorie équivalente (à ce que je sache, le coût du travail et des matières premières doit être relativement similaire à La Rochelle et aux Herbiers).

Tu sembles avoir une belle expertise sur les modèles Dufour, peux-tu nous faire part de ton expérience personnelle? Malheureusement, tu n'évoques que des choses qui t'ont été rapportées, et que tu relates à ton tour, permets-moi de douter de la valeur de ce genre de propos. Parles-nous plutôt d'éléments concrets (pas de "sensation de vrillage par petit temps") dont tu as été toi-même témoin de manière régulière. Prends des photos, des mesures, fais nous un beau "pattern" dans un tableau Excel et reviens-nous avec des arguments convaincants.

Si tu le souhaites, je peux -avec l'aide bienvenue des "on dit" véhiculés ici et ailleurs, faire le procès de de l'apparente faiblesse de structure chez Jeanneau et de certains modèles de l'époque de ton "Sun" en particulier...

Je ne suis pas à ta place, mais je penses que d'une manière générale, qu'il s'agisse d'un Dufour, d'un Jeanneau, d'un Bavaria etc, nous sommes tous globalement logés à la même enseigne.

Et pour mon expérience à bord de deux Dufour de conceptions différentes, un 334 Trophy "usé" par des Spi Ouest etc, et maintenant un 385 Grand Large, je n'ai jamais "ressenti" ou "perçu" de faiblesse de structure.

Amicalement, bien entendu.
Julien

16 juin 2015

mon fils a fait le tour de corse et le convoyage musclé marseille bonifacio, il a trouvé le bateau, dufour 40, plutot lourd mais n'a pas remarqué de faiblesses apparentes, vrillage ou autre et à 10 mecs motivés et en forme ils ont poussé le bateau ce qu'un spi n'a pas aime dans un surf à 18 noueds la premier nuit

16 juin 2015

Une etoile pour me rassurer car je lis ce fil depuis le debut et je commence a m'inquieter un peu avec mon 375gl. Merci julien

15 juin 2015

Il faut poser la question à Zspar ! Si vous arrivez à avoir des réponses, car ils ne sont pas très causant.

16 juin 2015

une bome doit resister a tout ;point barre inutile d'epiloguer

16 juin 2015

Le problème est que tout est échantillonné à l'avenant. Poulies, écoute, cadènes... Si on renforce la bôme, il faut aussi renforcer le reste. Sinon, qu'est-ce qui lâchera la prochaine fois ?

En louant un 335, le locataire fait un choix. La bôme à deux ans et est celle de série. Le locataire n'a pas eu un comportement adapté au bateau. S'il voulait pouvoir empanner à la volée avec + de 20 nœuds de vent, il fallait qu'il loue autre chose.

Bonne journée.

16 juin 2015

Perso, un bateau catégorie A est censé résister et toujours être manœuvrable à 50 nœuds de vent (Force 10) . S'il plie sa bôme sur un empannage à la volée à 20 nœuds de vent, je me poserais quand même de sacrées questions sur sa résistance à 50 nœuds, même sans erreur de manœuvre.

16 juin 2015

Si le bateau est capable de remonter au près et virer de bord sous foc seul par 50 nœuds, non pas de Gv.

Mais s'il n'est pas capable de remonter au près et virer de bord par 50 nœuds (avec ou sans GV) , c'est qu'il y a un très très gros problème dans la détermination de sa catégorie de nav.

NB On ne parle pas confort ou performance, simplement de la capacité à aller ou on veut.

16 juin 2015

Un melody le fait, et avec la grand voile arisée. Ca mouille méchamment, l'équipage est au rappel. C'est pas confortable, mais ça remonte. Cad la VMG est positive. Pas folichon, mais dans le bon sens. Un centurion doit le faire aussi (pas essayé).

Le domaine de la survie pour un catégorie A, c'est au delà de force 10, au delà de 55 nœuds.

16 juin 2015

La catégorie A PEUT dépasser force 8.

Dans le document français il n'y a PAS de limite supérieure (alors qu'il y en a une dans les textes ISO.

Regardez les différences entre catégorie A et B dans votre document.

17 juin 2015

Voila une explication officielle des catégories de navigation :
www.europarl.europa.eu[...]_EN.pdf

Donc catégorie A c'est force 9 inclus (force 8.0001 n'a pas d'existence officielle) . Et que la vitesse du vent, c'est la définition officielle de l'échelle beaufort, donc la vitesse MOYENNE sur une période 10 minutes. Et que les rafales peuvent excéder de 40 à 50% cette vitesse moyenne. (C'est expliqué dans le document)

17 juin 2015

Depuis quand ?, puisque manifestement, en 2012, c'était encore à l'état de discussion...

NB : le fait que la définition des catégories soit modifié n'a rien changé au niveau technique, puisque le vent à prendre en compte pour les calculs est toujours de 28m/s dans tous les cas...

16 juin 2015

Perso, je n'irai pas jouer avec un 335 par 50 nds de vent. J'ai joué avec 35 nds, je n'ai pas aimé. Le bateau à d'autres atouts : prix, habitabilité... Comme tous les bateaux c'est un compromis.

16 juin 2015

la GV par 50 noeuds ?

16 juin 201516 juin 2015

en général je suis d'accord avec toi, la tu pousses un peu, le prés à 50 noeuds, quel est le bateau qui peut le faire parmi les 33 pieds de série.
Faut pas pousser, on est dans le domaine de la survie !
un swan 65 peut etre ?

16 juin 2015

un 33 pieds d'aujourd'hui, sinon on compare un Dufour 30 et un First 30 Mauric au prés au baston :jelaferme:

16 juin 201516 juin 2015

Faux :

Le bateau de notre ami est récent et donc assujetti à,la classification de l'article 240-2.02 qui indique :

"Catégorie de conception A : catégorie attribuée aux navires de plaisance conçus pour la navigation en « haute mer », pour de grands voyages au cours desquels le vent peut dépasser la force 8 (sur l’échelle de Beaufort) et les vagues une hauteur significative de 4 m et pour lesquels ces bateaux sont, dans une large mesure, autosuffisants."

Pour mémoire, Force 8 c'est 34 à 40 noeuds de vent et donc un bateau de catégorie A supporte 40 noeuds de vent.

Force 10, c'est jusqu'à 55 noeuds de vent, ce n'est pas le même monde...

Plus fort encore : des vagues d'une hauteur significative de 4 m, correspondent à une mer "Forte" ( de 2,5 à 4m).
L'inconnu, au-dessus de 4m, c'est une mer "très forte", voire, pire, "grosse", voire, encore pire, "très grosse" voire, encore encore pire, "énorme".

Je crains que tu confondes (comme motu...) ton terrain de jeu minimum (au moins force 11 vagues minimum 6m) avec l'utilisation normale d'un navire à une époque où les progrès de la météo, du routage, des performances des navires etc. permettent d'anticiper des conditions qui seraient au-delà des capacités réelles du navire sur lequel on navigue.

Un navire de 15m, capable d'aborder sans rougir des vagues de 14m sous un vent de 60 noeuds (sans doute le tien) sera dans la même catégorie qu'un navire qui commencerait à être dans la panade devant des vagues de 4,1m sous un vent de 41 noeuds.

:litjournal:

16 juin 201516 juin 2015

Non, c'est pour cela qu'un navire qui ne supporte rien au-dessus de force 8,000001 (et donc qui supporte plus de force 8) est de catégorie A.

Regarde la définition de la catégorie A ans le document : on défini qu'un navire est catégorie A lorsqu'il accepte un vent qui peut être supérieur à 8.
:litjournal:

Je suis entièrement d'accord sur le fait que c'est ridiculement insuffisant, mais c'est la Loi.

De toutes façon, comme les bateaux de grande série, en France, sont, pour ce que j'en sais, auto-certifiés... :heu:

Donc, surtout, catégorie A ce n'est pas force 10 qui est explicitement exclu. :litjournal:

16 juin 2015

Tu peux toujours courir pour que je m'installe au rappel avec 50 nds de vent ! Même sur un lac !

16 juin 2015

le hale-bas peut il avoir eu une influence dans un empannage sauvage?

16 juin 2015

Ces bateaux ont des hale-bas rigides.

16 juin 2015

Parles-en au propriétaire du Dufour qui a fait un blog sur les malfaçons en séries de son bateau !
J'ai, en effet un Jeanneau, mais pas un perdreau de l'année puisque le mien est de 1995. C'était, d'ailleurs, le premier Jeanneau à être intégralement conçu par la société : le Sundossey45.1. Ce n'est pas un bateau de course, loin de là, mais c'est sans doute le bateau le plus spacieux et le plus solide de sa catégorie. Jeanneau a vu large et costaud. Quand je suis revenue des baléares où je l'avais acheté, mon manque d'expérience et mon inconscience m'ont fait prendre des risques insensés : 35 noeuds de vent au près toutes voiles dehors ! Jamais je ne le referai, mais ce bateau m'a tout pardonné: il se couchait docilement et continuait vaillamment sa route. Je n'ai eu aucunes casses !
Depuis plus de 10 ans, nous avons fait de la route ensemble par tous temps et avec plus de prudence: conclusion : aucunes casses. Par contre, mes copains qui ont des Dufour, n'osent pas faire ce que je fais et passent leurs vies à réparer, c'est toute la différence !

16 juin 2015

J'avais appelé mon Trident 80 "Never mind", et j'avais bien raison.

16 juin 2015

Avec mon BAV, jamais eu de pb. Bon d'accord, c'est du solide! (SELDEN)

16 juin 2015

J'ai acheté ce Dufour car je pense que ca reste un bon compromis qualité/prix. la plupart des marques tirent sur la qualité pour vendre malheureusement. Mais mon doute va sur le choix de la prise d'ecoute à cette endoit, sur le rouf. Choix proposé par Dufour et donc validé. Y a t il des heonautes qui ont un retour d'experience sur ce montage?
merci encore à vous tous pour vos commentaires.

16 juin 2015

Le problème du "rapport qualité/prix", c'est quand le prix est attractif.

16 juin 2015

Le proces des DUFOUR , ca faisait longtemps.Un jour , un proprietaire a eu un probleme , qu'il n'a pas resolu et c'est tout la production qui est mis en cause.
Cette bome n'avait elle pas une faiblesse ?
Cette bome n'a t'elle pas été utilisee comme il se doit ?
Pas de questions , ni reponses mais quelques heonautes d'une facon peremptoire connaissent déjà toutes les reponses.
Naviguer par 35 NDS au pres toutes voiles dehors , qu'elle c....e.
Affirmer , que DUFOUR , est moins bien ou mieux qu'une autre marque , c'est surement meconnaitre la gamme.
Pour ma part , je trouve l'echantillonnage plutôt bien dimensionnee , et de la a empanner par 25 NDS , de sages précautions prévalent , justement celles dont on ne sait pas si elles ont été prises ?
Tout n'est pas bon a prendre sur le net , et chaque marque a son bateau qui peu presenter des faiblesses , nous ne sommes pas malheureusement dans une industrie de grande serie , ou l'artisannat reste une constante.

16 juin 2015

Pour moi, c'est assez évident : même si la position du point d'écoute sur la bôme me semble assez osée (mais je sais, j'ai un comportement extrémiste question solidité des navires), pour plier une bôme comme ça, il faut quasiment le faire exprès ou naviguer comme un sagouin.

Cela ne correspond pas à une utilisation "normale" du bateau, surtout avec 25 noeuds de vent.

Cela ressemble furieusement au résultat d'un empannage en ayant oublié la retenue de bôme, ou un départ à l'abattée (surtoilé) avec la bôme qui chalute, ou même au résultat d'un bordage de GV avec oubli de la retenue de bôme (winch électrique ?).

16 juin 2015

D'une faiblesse mécanique, d'une erreur technique ou d'une faute humaine... peut-être même les trois conjuguées, on doit pas être loin du compte.

16 juin 2015

Sur mon bateau, la prise d'écoute est encore plus en avant car le cockpit est entièrement libre de tous cordages. Et pour l'instant, même avec toutes les bêtises que j'ai faites pas de problèmes.

16 juin 2015

Dans tous les cas, faire le procès de Dufour sur la base de ce genre d'incident, c'est complètement déplacé.
De plus, ce n'est pas Dufour qui construit ses espars...

16 juin 2015

Et quand si tu as un problème de direction avec ta voiture, tu t'adresse au fabricant de la colonne ou à ton concessionnaire ?
C'est pareil ici. Dufour depuis la reprise, fait dans le cheap, avec de la gueule, mais dans le cheap ! Ce sont des bateaux de ports et de mers calmes. Et si la bôme n'a pas été bien calibrée, la faute en revient au maître d'oeuvre, Dufour.
Et la mésaventure du Dufouriste avec son bateau mal foutu n'est pas isolée : j'en connais plein.
Cela me met d'autant plus en rage, qu'autrefois les Dufour étaient de beaux et bons bateaux, sur lequel j'ai navigué.

16 juin 2015

Exact, la fabrication Dufour n'est pas ici mise en cause, uniquement le dimensionnement de la bôme. Je trouve quand même étonnant cette "pliure" avec "seulement" 25noeuds (il s'agit de plus d'un croiseur et la surface de la GV reste limitée). Le point d'écoute est-il avancé par rapport à l'origine, sur une section non renforcée de l'espar? Quid des haubans, leur emplacement correspond-il à la pliure?

17 juin 2015

Bonjour Ness, bonjour à Tous,
.
... quid des haubans, leur emplacement correspond-il à la pliure ?...
Là je te rejoins, la pliure devrait se trouver bien plus en avant. La section non renforcée de la bôme et surtout une épaisseur du profil inadéquate me semblent être la cause probable du sinistre. Comme certains de nos Amis, je partage, course au prix de revient !

16 juin 201516 juin 2015

Cher arnaud, tu as subi un traumatisme à bord d'un Duf' pendant ta petite enfance?

16 juin 201516 juin 2015

Sujet dangereux :policier: :non:

16 juin 2015

Non Arnaud connait plein de propriétaires de DUFOUR ayant eu pleins de problèmes.Il se base sur un blog pour en tirer des conclusions qui n'engagent que lui et qui finalement le tourne seul en ridicule.
Ou en ai la production du D 335 (nombre d'exemplaire vendu) , une bome tordue et dont on ne sait s'il s'agit d'un mauvais usage ou d'un vice de construction , ce qui peut aussi se produire.
Voila une vraie question et qui ne remet un cause que le cas soumis.

16 juin 201516 juin 2015

Production stoppée. Dufour fabrique maintenant le 310 et le 350. Ce modèle a du rester environ 3 ans au catalogue, de 2012 à 2014, pas plus.

16 juin 2015

Oui c'est vrai que l'appellation a changé mais le "nouveau" 350 n'est jamais qu'un 335 revisité (même coque).

En automobile, on appelle ça le "midlife update".

On change les phares les ailes et les coloris disponibles et ça fait redécoller les ventes après 3-4 ans.

16 juin 2015

Mais cela ne donne pas le nombre d'unites vendues ?

16 juin 2015

Le mien est no 165 ,acheté en debut 2014

16 juin 2015

Pour le moment moins de 1% des cas , pas de quoi tout remettre en cause!!!!

16 juin 2015

hello

et pourquoi c'est toi qui paye ?
et pas le loueur ou le locataire ou leur assurance ?

16 juin 2015

moi je pense à un poids lourd ( équipier ? ) accroché en bout de bôme et qui est parti avec lors d'un empannage, comme si quelqu'un s'était affairé en bout de bôme en navigation

17 juin 2015

Les Dufour sont de bons "restàquai" brillant bien fort dans les ports. Pour le reste, circulez, y'a rien à voir !
Dufour joue de sa réputation passée mais comme je viens de le dire, elle est passée !

17 juin 2015

Bravo , rien a ajouter , A rnaud a tout dit , il est trop fort!!!!

17 juin 2015

Arnaud, comme chaque mercredi soir, j'organise un dîner à la maison, ça me ferait plaisir de te compter parmi nous. Tu nous parleras de ta haine, ça risque d'intéresser mes amis.

17 juin 2015

... never mind ...

17 juin 2015

Marrant de vous lire ! Je n'ai aucune haine, je constate c'est tout.

17 juin 2015

ridicule!
niveau cour de récréation

17 juin 2015

0 99 % erreur du locataire, son assurance ou celle du loueur doivent payer et basta.

faites n'importe quoi avec 23 nœuds de vent grande voile haute, ça chahute déja

pas de blessés c'est déjà pas mal

18 juin 2015

Si, c'est le principe de toute assurance de biens.
Si le risque est couvert, l'assurance intervient. Elle est alors subrogée dans les droits de son assuré, à concurrence de son paiement, vis à vis d'un éventuel tiers responsable.

18 juin 2015

En assurance de biens (= dégâts matériels, vol, incendie, ...)
Pour la franchise, l'assuré peut (et a tout intérêt) à se joindre au recours exercé par l'assureur contre le responsable.
Dans le droit que je pratique, l'assuré récupère d'abord la franchise avant que l'assureur ne récupère ses débours.
Il arrive en effet souvent que l'indemnité versée par l'assureur sur base du contrat soit supérieure à la valeur réelle en droit commun. Or, l'assiette du recours ne porte que sur la valeur en droit commun.

Ainsi, lorsque le contrat prévoit par exemple une indemnisation en valeur agréée ou à neuf (disons 1000) avec une franchise (disons 100), il paye 900 à son assuré. Un recours est exercé contre le responsable mais il s'avère que la valeur réelle est de 700. Dans ce cas, l'assuré récupérera 100 et l'assurance 600. L'assureur de biens du préjudicié supporte donc une perte de 300 (+ les frais de gestion du sinistre).
Cela arrive tout le temps en assurance auto.

17 juin 201517 juin 2015

Ceci dit, je ne pense pas qu'un assureur paye inadvertance. Si l'assurance du proprio paye, c'est qu'elle estime que c'est à elle de payer. A moins qu'elle ne se retourne ensuite vers le loueur, mais je ne pense pas que cela fonctionne comme ca pour les assurances bateaux.

18 juin 2015

Ok merci Bruno. Comment ca se passe pour les franchises ?

17 juin 2015

Cela dit tous les accidents sont dus à une erreur:

Erreurs de manœuvre
Erreurs de navigation
Erreurs de prévision
Même quelque fois des erreurs d'appréciation de ses propres capacités ;-)

17 juin 201517 juin 2015

Sans forcément une grosse faute à l'empannage du locataire, mais plutôt une fatigue à répétition de l'alu dans le sens vertical de la bôme où s'accroche la poulie.
Car, en 1: il n'y a pas de pataras, en 2: le point d'attache du palan d'écoute est avancé sur la bôme (porte-à-faux), en 3: l'écoute doit sans doute se border au winch (surtension possible mal évaluable).
Après des efforts répétés, à la longue, dans le sens vertical, fatigabilité de l'alu, fragilité, donc lors d'un empannage un peu venté en bordant sévère au winch pour ramener la bôme dans l'axe début d'arrachage point de fixation poulie, début d'écrasement dans le sens vertical de la bôme, et en fin d'empannage, pliage dans le sens horizontal sous le vent (diminution de résistance du profilé dû à l'écrasement).
Au total, peut-être une bonne section de profilé de bôme pour un bateau de ce gabarit mais seulement dans le cadre d'un montage plus classique (pataras, palan d'écoute en bout de bôme, palan se bordant à la main), et sans doute très mal adapté à ce montage.

17 juin 2015

Et si on parlait des Bavaria qui perdent leur quille ?
Oups :acheval: :acheval: :acheval: :acheval: :acheval:

17 juin 2015

On ne parle pas des Bavarias mais d'un Dufour qui a tordu sa bôme dans un vent modéré. Perso, je pense que sur mon bataeu, si je faisais un empannage sauvage par force 7, j'arracherais plus le palan d'écoute, voir le rail d'écoute ou la manille d'écoute que de tordre la bôme.

17 juin 2015

Exact Arnaud d'où mes interrogations. je crois que je me dois de déplacer ce point de fixation en bout de bome et de me fixer sur la table.

17 juin 2015

Comme je le le disais, le le mien, un Sun Odyssey45.1, la prise d'écoute sur la bôme est à peu près au milieu de cette dernière où au 2/3. Le rail lui est situé juste avant la descente, (sur le pont du bateau) laissant le cockpit entièrement libre. Mais mon bateau a un pataras et est équipé d'origine "tout enrouleur", grand voile, génois et solent.

17 juin 2015

S'il faut que tu fasses l'expérience par toi-même pour te rendre compte que c'est une grosse connerie, pourquoi pas ?

J'ai peut-être encore des photos de l'embase de la table de cockpit du 335 que j'avais loué. Le bateau avait seulement deux semaines de mer quand je l'ai loué. Il était sensé être neuf. L'embase est déjà faiencée/fendue sur la totalité du son pourtour. J'avais pris des photos avant de partir car j'avais peur de me faire bouffer ma caution à cause de ces fentes.

Une fois en mer, quand tu entends la table gémir à chaque virement de bord, tu comprends que c'est sans espoir. Tu as mal pour le bateau. Le bav 33 a le même principe d'écoute sur la table. Mais le pied de la table du bav 33 est en inox, pas en polyester (avec un renfort dedans).

Une idée. Je trouve la remarque de nemo1 sur l'absence de renfort dans la bôme très pertinente. Regarde s'il n'existe pas deux références de bôme pour le 335 chez zspar en fonction de la position d'écoute. Possible que Dufour n'ait pas monté le bon modèle sur ton bateau.

Bonne journée.

17 juin 2015

Le métal n'aime pas travailler en compression, une composante de force perpendiculaire va faire flamber le profil.
En béton armé les poteaux ne résistent que grâce à l'enrobage des aciers, le moindre effort horizontale entraine la ruine de la charpente.....
Il devait y avoir un effort de compression dans la bôme mal maitrisé, d’où ma question sur le réglage du hale-bas.

17 juin 2015

Amha, vu la photo ce n'est pas un flambement sous compression.
C'est une flexion du profil à partir de la poulie.

17 juin 2015

l'avantage d'un palan de GV situé au 1er tiers permet de dégager la descente et de permettre un retour sur un winch sur le rouf pour border ( me reste la marque de 3 points de suture sur l'épaule a la suite d'un empannage sauvage au moment de la sortie .. ) et c'est très mode dans les chantiers de série , je vais également l'adopter pour mon Ne Quid Nimis MAIS sa implique compte tenu des efforts d'avoir une section de bôme surdimensionnée pour éviter ce genre de mésaventure( GV: 30m2 pour le 355 ) l'utilisation d'un frein de bôme type Walder est également une bonne chose
j'aimerais bien connaitre la section de la bôme de ce bateau , sa permettrais sans doute de comprendre cette "fatigue" prématurée du profil , pour moi il y a probablement également une flexion , 2/3 de la bôme sont bloqués par le palan aidé par le hale bas rigide ,le dernier tiers n'a pas suivi...

18 juin 201516 juin 2020

J'ai retrouvé les photos du pied de la table de cockpit du 335 avec palan de GV repris sur la table que j'avais loué. Le bateau avait navigué 3 semaines depuis sa première mise à l'eau au moment où ces photos ont été prises.

Fichtre :lavache:

18 juin 2015

Ca inspire confiance.. il parait que le bateau navigue maintenant avec une table de cockpit pendue sous la bôme :-)

18 juin 2015

Ca peut être coustaud à Marseille !

18 juin 2015

Je ne serai même pas surpris si Dufour le proposait en option.

L'option "dance floor" pour des soirées endiablées : table de cockpit démontable (dégonglable ?) avec pack boule à facette dans la bôme offert.

C'est ce bateau qui m'a convaincu d'acheter une ocass avec une salle de bain riquiqui et une descente casse-gueule, plutôt que du neuf.

Précision : Les 3 semaines de nav n'avaient rien d'exceptionnelles. Il s'agissait de ballades autour de Marseille par beau temps.

18 juin 2015

ça me fait réfléchir les gréement sans pataras (Bergstrom).
D'une part cela oblige à une grande angulation des barres de flêche ; ce qui n'est pas absolument idéal pour les réglages et pour la survie de la voile qui va passer beaucoup de temps appuyée sur les BDF et les haubans.
D'autre part, j'ai l'impression subjective que la tension sur la chute est plus importante que s'il y avait un pataras. cette tension est reprise en vertical en bout de bôme contraignant encore un peu plus cette dernière. Combiné à une écoute à mi-bôme, cela demande un dimensionnement supérieur de la bôme par rapport à d'autre système de gréement.
.

En plus, sur ces gréements fractionnés, le pataras a un certaine utilité dans les réglages.

18 juin 2015

Question : est-ce que la balancine, pas assez relachée, n'aurait pas jouée le rôle de pataras lors de l'empannage et donc, empêchant le mat de pousser vers l'avant elle a pris l'ensemble de l'effort. Ne pouvant autoriser la rotation complète de la bôme par son rayon trop court et trop tendu, elle a tordue la bôme pour le permettre ! (Suis-je clair ?)

18 juin 2015

Possible, mais y-a-t-il une balancine ? Avec un hale-bas rigide beaucoup (dont moi-même) s'en passent

18 juin 2015

Balancine ou chute de la voile !

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