Barrer ou ne pas barrer ?

Les pilotes auto sont de plus en plus perfectionnés et moins gourmands en énergie, tandis que les différentes sources d'énergie à bord sont de plus en plus efficaces.
Conclusion: un bon pilote auto (ou un régulateur d'allure) fait aussi bien voire mieux le job qu'un barreur et peut le faire H24. il n'a donc jamais été aussi simple de laisser son bateau se diriger seul...
Le VG en est l'illustration parfaite, combien de temps barrent-ils par rapport au temps passé en mer ?
Alors faut-il encore barrer ou n'est-ce plus nécessaire ?
Que faites-vous sur votre bateau et pourquoi ?

L'équipage
20 déc. 2020
20 déc. 2020

A la barre pour le plaisir, au pilote pour le reste !

20 déc. 2020

Quelque soit l'option ...savoir barrer est indispensable!
Et pour savoir barrer il faut barrer.
Une fois cela fait c'est comme on veut.

20 déc. 2020

A mon sens ça dépend du type de navigation qu'on fait, et je n'y tiens pas d'autre règle que celle du plaisir.
Barrer dans un joli bord tranquille ou musclé pour rejoindre une destination proche est souvent un moment de bonheur.
Laisser faire le régulateur d'allure ( c'est lui qui a fait le plus gros boulot) ou le pilote pendant des jours et des jours en transat solo, pendant qu'on bouquine, qu'on fait le pain, qu'on rêvasse, qu'on baille aux étoiles, qu'on dort (aussi) ou somnole en confiance dans la cabine en entendant les conciliabules du bateau avec l'eau ... puis reprendre un peu la barre un moment pour se faire plaisir, pourquoi pas.
Tout est bon à prendre selon le meilleur moyen adapté aux circonstances.
Du plaisir, rien que du plaisir, qui n'est pas incompatible avec l'efficacité non plus.
Voilà un peu la règle que je m'applique.

20 déc. 2020

Pilote uniquement pour les navigations de plus de 4 heures sinon on barre chacun son tour .

20 déc. 2020

Le sujet est ouvert, voici ma réponse:
J'ai appris à naviguer sur un vieux gréement; pas de moteur, pas d'électronique (ni loch, ni anémo, ni GPS, ni traceur, ni pilote auto, etc...).
C'était à l'"époque" (ça fait drôle de dire ça, j'ai pas beaucoup plus que la trentaine mais c'était déjà il y'a plus de 20 ans et la technologie a quelque peu évolué depuis...)
Bref, j'adorais barrer et j'y passais des heures et des heures (ce qui convenait très bien à mon capitaine de grand-père qui piquait facilement son roupillon pendant ce temps-là).
Aujourd'hui, j'ai un 40' avec pilote auto et je navigue, toujours en famille, en hauturier.
Même si je l'utilise beaucoup, je ne serai jamais assez reconnaissant de cet apprentissage "basique".
Déjà parce que j'y prends toujours autant de plaisir, ensuite et surtout parce que selon moi tout se passe à la barre...
C'est l'endroit du bateau où l'on ressent tout, la mer, le vent, les voiles, le bateau.
Je prends la barre dès que les conditions changent et surtout quand elles forcissent, ça me permet très vite de savoir où en est le bateau, sans même avoir besoin de regarder le moindre appareil électronique (juste le compas pour savoir où l'on va..).
J'apprends à mon fils et à ma femme à naviguer en mettant les caches sur l'électronique, ça oblige à lever les yeux, à regarder ce qui se passe (voiles, vagues) et donc à comprendre comment ça marche. Je les fais aussi barrer en fermant les yeux pour sentir la mer, le vent et le bateau (je m'amuse d'ailleurs toujours aussi à le faire et on apprend toujours!).
On ne peut pas selon moi apprendre à naviguer sans apprendre à barrer, et comme tout apprentissage il faut y passer du temps.
La nuit pendant mes quarts, je barre au moins la moitié du temps. En journée, je barre dès que j'en ai envie et ça m'arrive plusieurs fois par jour... même si ça n'est que quelques minutes.
Bref, même avec un super pilote, je recommande vivement de barrer car c'est comme ça que j'ai le plus appris et continue d'apprendre.
Et puis, un pilote ça peut tomber en panne.. avec une mer bien formée et un vent à plus de 30kn, il vaut mieux avoir déjà l'habitude de barrer son bateau si l'on veut éviter de se retrouver en travers des vagues.

Les skippers du VG font pour moi exception, on ne joue pas dans la même catégorie; ils connaissent déjà leur bateau par cœur, ont déjà une énorme expérience de la mer et sont équipés avec ce qui se fait de mieux. Ils doivent faire avant tout effort sur la tactique et se préserver ils préfèrent donc porter leur effort sur autre chose que barrer et ça me semble bien normal. Leurs instruments leur offrent de pouvoir faire autre chose mais s'ils le voulaient ils pourraient parfaitement prendre le relais dans n'importe quelle circonstance.
Bref, ça n'est pas mon cas, alors je barre !

Bon vent à tous.

20 déc. 2020

Je ne barre plus depuis une vingtaine d'années. Je délègue soit au pilote, soit aux accompagnants qui y trouvent du plaisir.
Les rares fois où je prends la barre, c'est soit aux départs de régate, soit pour gratter quelques longueurs aux passages particuliers.

20 déc. 2020

comme tout le monde, en courte navigation on barre pour le plaisir et en grande navigation on ne barre pas mais il faut savoir barrer sereinement et être réactif en quelques secondes sous de soudains et violents grains ou effets Venturi ... de nuit sans lune ... la tête dans le cul ... quand le pilote ne veut plus rien savoir ... ça ne s'improvise pas si on ne veut pas tout casser !
moralité : on apprend à bien barrer tout temps et pour toutes manoeuvres et ensuite on laisse barrer le pilote et les équipiers, prêt au sauter sur la barre si nécessaire, bref comme Jean le Cam quoi tac tac.

21 déc. 2020

En courte nav également pour moi ....
J apprecie particulièrement le pres dans le petit temps , quand la vitesse du bateau est la moins éloignée de celle du vent .
Appréciant aussi faire ma petite vie à bord , bouquiner , faire la cuisine , en prenant le temps !...
Le pilote est souvent mis à contribution ...
En mode voyage , j ai du barrer environ 4 h pendant la transat aller , ainsi que pendant la transat retour , le navik faisait le job , infatigable ...
Je restais de longs moments assis dans le cockpit , appuyé contre le roof à le regarder travailler 🥰

21 déc. 2020

j'aime barrer au près serré ,car le pilote ne sait pas gagner au vent ,moi si et ,ou, en régate .
mais il faut un voilier qui soit vif ,si c'est un camion ,le pilote le fait mieux que moi qui me lasse .
Alain

21 déc. 2020

Je ne me pose pas la question : il FAUT savoir barrer.
Parce que le pilote ne sait pas tout faire, et parce qu'il peut tomber en panne.

Et comment fait-on pour savoir barrer ? Et bien on barre.

Ca tombe bien, j'aime barrer.
D'ailleurs, je ne vois pas bien l'intérêt d'aller en mer juste pour poser son c¤l sur les bancs du cockpit. Mais c'est une autre question.
Donc, sur mon bateau, tant qu'on n'en a pas marre, on barre, et on ne laisse ce soin à Raymond quasiment que pour aller pisser, manger ou dormir.

21 déc. 2020

J'aime barrer. Beaucoup. Mais je m'aperçois que je barre peu. Pourquoi? Parce que très souvent je laisse ce plaisir à ma co-équipière qui aime autant ça que moi.

Quant à moi, il me suffit d'être sur le bateau pour être heu-reux!

21 déc. 2020

Barrer m amuse mais je remarque que les nouveaux plaisanciers sont tres differents
Il ne barre plus il y a le piloil
ne bouge plus il y a ris automatique ou GV sur enrouleur
Ne font plus d effort il y a des focs autovireur
N aime plus faire leur nav pour faire une traversee continent corse il faut un logiciel de routage
Mais aime le grand confort naviguer sur un bateau de mon de 40 pieds c est inconcevable meme pour un couple

21 déc. 2020

Pour moi, ne pas barrer un voilier est une perversion de l’esprit de la navigation à voile.

24 déc. 2020

Votre phrase s’applique probablement pour des sorties de quelques heures mais pensez à ceux qui naviguent au large en solo . Tous des pervers ?

21 déc. 202021 déc. 2020

Souvent le pilote fait tout très bien et rien ne justifie de prendre la barre. Sauf pour s’amuser par petit temps voile bien réglées, faire avancer quand même le bateau alors que la plupart sont au moteur. Au près souvent en jouant avec la Vmg les vagues et les surventes. Et souvent à partir de f4 et plus. Par mer formée de l’arrière je prends la barre avec plaisir et les estomacs de l’équipage m’en remercient. Parfois pour se rapprocher de certains camping-cars sous voiles et moteur, on arrive quand même à les inquiéter avant qu’il accélère le moteur; mais j’ai perdu tout esprit de compétition. Le principe c’est de sentir vivre le bateau à la barre avec les voiles du temps et de prendre du plaisir quand le loch atteint 8,5 n ma vitesse de carène, et parfois plus sur les descentes de vagues.

21 déc. 2020

En fait je ne barre plus beaucoup sauf lors des sorties à la journée. Lors du tour de l'Atlantique, je n'ai du barré une petite dizaine d'heures grand max. En fait, je préfère maintenant bien régler les voiles et laisser faire le pilote qui barre sans fatigue et dans toutes les conditions de mer et de vent. Il faut passer un peu de temps au début pour bien paramétrer le pilote.

21 déc. 202021 déc. 2020

(Encore un fil en mode débat... auquel on peut pas répondre individuellement !)

"Interdisant ainsi les échanges entre intervenant"

@Quizas : 99 % d'accord avec toi, mais Le Cam c'est 3x : tac, tac, tac... ;-)

21 déc. 202021 déc. 2020

J'ai commencé à barrer en 1961 et maintenant j'ai mes 2 pouces très arthrosés qui vont aller voir bientôt le chirurgien. Grip sur la barre, les écoutes, les winchs et sur tout ce qui me maintient en nav. autant de raisons pour user la bête.
Mon pilote travaille 90% du temps et si j'en avais pas, je serais obligé d'arrêter.
Oui, pour les jeunes générations, il faut barrer souvent par tous les temps pour intégrer toutes les réactions de son bateau en toutes circonstances et avoir les bons réflexes en cas de besoin.
Il faut aussi préciser que c'est la régate qui apprend à bien barrer et il n'y a aucun doute
sur ce point.

21 déc. 2020

J'ai barré. Je ne barre plus. A moins d'être sur un bateau qui s'y prête, tel le Dragonfly d'un copain lors de l'été dernier, où la douceur de barre était réellement étonnante, alliée à des performances jouissives.

Mon bateau étant du genre caravane flottante (ce qui correspond à mon programme et mes goûts) le pilote est enclanché dès la sortie du port ou du mouillage. Naviguant seul, je me verrais très mal rivé à la barre des heures durant sans y prendre de plaisir. Honnêtement je préférerais un régulateur d'allure quand je suis sous voiles. J'y pense sérieusement.

21 déc. 2020

Pas de pilote auto : trop cher, trop fragile, trop compliqué, trop energivore trop "geek".
Sur mes bateaux on a toujours barré (et veillé) c'est la règle, ceux qui viennent avec moi pour de longues traversées le savent, ça rappelle le boulot mais ça met une ambiance, ça rythme les traversées...au moins, il y a du monde dans le cockpit ou la timonerie pour plaisanter (et veiller), le temps passe plus vite...
Bon, je n'ai que des ketchs classiques toujours aisés a barrer (voire qui se barrent tous seuls) mais allergique a tout ce que je ne peux réparer moi même et ne connaissant pas grand chose en électricité et rien en électronique, j'ai préféré faire l'impasse sur ce genre de trucs dont j'entends trop parler chez les bricolos...

22 déc. 2020

idem Armor22 je regle le bateau avec la barre en main et non avec les instruments ça me remet de bien sentir la marche du bateau et de savoir ou l'on en est des reglages de la voilure . Egalement au pres ou lorsqu'il faut faire du vent arriére (ç'est rare je m'aime pas cette allure).
Donc avant de mettre le pilote je barre un peu ce qui me permet de regler les voiles ..et evidement en sortant et rentrant des ports ..
Par mauvais temps (f6/7)le pilote fait bien son boulot si les voiles sont bien reglé ce qui est un luxe ...

22 déc. 2020

j'aime barrer mais pas plus de 5 min ... donc, après, pilote ... par contre, quand on change de bateau, il faut absolument barrer suffisamment longtemps pour apprendre à barrer le nouveau

23 déc. 2020

J'aime bien barrer, mais pas que... et quand j'ai des nouveaux équipiers à bord, que la mer est dégagée je m'arrange pour la refiler surtout aux enfants... tiens moi ça une minute, et la minute dure...
Bon sur des longues routes il y a un moment où c'est lassant - et si on appuie au moteur je peux sortit le pilote...

23 déc. 202023 déc. 2020

Une des causes probable de la rupture du safran du Hanse de 16m Dove 2 qui a été abandonné en Atlantique est la fatigue du à la brutalité de fonctionnement du pilote automatique, pas celui la en particulier, quasi tous en fait.
Sur mon bateau l'équipier le plus brutal que "j'utilise" du coup le moins souvent possible est le pilote automatique. Aussi super énergivore. Sur les autres bateaux sur lesquel j'ai navigué, même récents, les pilotes étaient aussi des brutes énergivores qui barrent par à coups brutaux. Les corrections sont trops vives et la force employée trop importante. Par contre il lâche à partir d'un bon force 5. Vraiment un barreur de m...e. Rien de comparable à la douceur d'un barreur "humain".
Du coup je demande à voir pour le croire ces pilotes doux comme des agneaux et peu énergivores, des noms de modèles en particulier ? Une marque ?

23 déc. 2020

si le pilote travaille beaucoup c'est que les voiles sont mal reglé il ne doit pas faire plus d'effort que le barreur et generalement barre mieux que lui surtout dans le petit temps car il est lui toujours attentif

23 déc. 2020

à st pierre 3
un pilote intégré avec un vérin hydraulique bien installé est plus souple qu'un vérin mécanique .
j'ai remarqué que mon pilote a une contreréaction que je n'ai pas ,il commence par des lacets qui vont en s'atténuant au portant ,au près il ne bouge presque pas et surtout moins que moi qui sait gagner auvent lui pas .
pour l'instant il ne fait pas grève pourtant des heures sup il en fait .
je ne crois pas que ce soit le pilote qui soit responsable de la perte des safrans .
c'est plutôt une erreur de conception des chantiers ,ou pour les vieux voiliers un manque de surveillance et d'entretient .
alain

23 déc. 2020

Barrer, le moins possible pour ma part. Mon bateau est pourtant plutôt sympa à la barre, mais ça me gonfle rapidement.
Donc pilote électrique dès la sortie de port ou d'écluse, puis régulateur d'allure même pour un bord de 2 nM :-)
Je ne me lasse pas d'observer mon ATOMS à l'oeuvre !
90% du temps en solo, ceci explique cela peut-être.

23 déc. 2020

Comparaison pilote/barreur humain.

Par affiner mon propos ci-dessus quand j'écris que je trouve les pilotes "brutaux" pour ceux que j'ai pu observer y compris le mien est à cause du fonctionnement "binaire" ou "tout ou rien" de ceux-ci. Mais il se peut que je n'ai pas eu de chance car il est vrais que je n'en ai pas observé beaucoup.

Je m'explique. (pilote barre à roue avec verin qlq part en dessous de mes pieds).

Imaginons un pilote qui puisse exercer the force max de disons 25kg (montant pris au hazard).

Par force 2, le pilote décide de faire une correction.
Instant 1: 0 kg force.
Instant 2 (1+ une sec.): 25kg de force (il pousse direct comme un boeuf, par force 2 ou 5, il n'est pas subtil).
Instant 1+ 3 secondes. 0 kg de force. Il s'arrête instantanément. toute la tringlerie la en-dessous souffre. Le safran également. C'est ducon le pilote qui est à la barre.

Le pilote humain par contre aura une poussée sinusoidale qui sera proportionnée au vent qu'il y a, il est assez malin pour comprendre qu'il ne doit mettre toute la patate par force 2.
Il excercera une poussée progressive, un peu de force au début, plus après et il termine doucement. Sinusoidale donc.
Par contre oui l'humain sera distrait, pas le pilote.

23 déc. 2020

Je pense qu'il y a un gros problème de réglage sur le pilote de ton bateau, un pilote ne fonctionne pas en on/off.

23 déc. 2020

@Pierre 3, je trouve que cela ressemble davantage à un problème d’etalonnage de la centrale

@Flora, comment peut-on changer ce mode débat?

23 déc. 2020

OK merci à vous tous. Je vais y jeter un coup d'oeuil à cette centrale et à la doc...je ne connais pas encore bien le bateau...première saison.

23 déc. 2020

@Armor22, en tant que créateur du sujet, tu dois pouvoir l'éditer et modifier le type.
Si pas possible une petite demande à l'équipage par ici et on le fera www.hisse-et-oh.com[...]tact_us

23 déc. 2020

un pilote agit suivant l'état de la mer qu'il intègre dans sa petite tête et donc pousse plus ou moins fort et/ou plus ou moins instantanément ..voir la notice de reglage

23 déc. 2020

sur un pilote intelligent le mouvement est progressif il ne dirige pas par accoups,
le mien au portant commence doucement et accélère si c'est nécessaire .
et sur la plupart des voiliers ils fonctionnent comme ça
mon vérin peut pousser 400kgs ,je l'ai réglé à 150 ,qu'il n'utilise jamais ,bien que le bras de levier
ne soit pas très long, 25cm et il entraine tout le système ,
Alain

23 déc. 2020

Etant le plus souvent seul à m'occuper du bateau et de la navigation, le pilote est sollicité très rapidement. En solo (ou comme si), c'est dès le chenal de sortie pour ranger les pare-battage.
Cela n'empêche pas de prendre du plaisir à barrer sur des bords de près dans des conditions un peu vivantes, mais il faut toujours le pilote pour ajuster un réglage ou aller faire un point. Je trouve aussi que sur une durée longue le pilote fait mieux que le barreur humain qui finit toujours par se déconcentrer. Un barreur est toujours meilleurs que des pilotes "standard" sur 15mn ou même 1 heure max, mais après les petites erreurs s'accumulent. Si on est seul, il vaut mieux laisser le pilote barrer et regarder en permanence l'équilibre global du bateau et agir en conséquence en ajustant les voiles.

Avec des pilotes sophistiqués intégrant une navigation inertielle en plus du vent et cap et qui ont des puissances de calcul sans commune mesure avec les pilotes des bateaux de plaisance d'il y a 10 ou 15 ans, je ne pense pas que l'on puisse barrer mieux. C'est bien ce que l'on voit sur le VG.

23 déc. 2020

"Le VG en est l'illustration parfaite, combien de temps barrent-ils par rapport au temps passé en mer ?"

interview de Sam Davis : on ne barre JAMAIS, on ne fait que les manœuvres de voiles, la barre franche est considérée comme une barre de secours si jamais le pilote est HS.

Alors remettez nous des timoneries, marre de jouer les régatiers du dimanche exposés à tout à l'arrière alors que les vrais pilotent un ordi depuis un cockpit fermé ;)

Quelque part entre Sognefjord et Måløy, Norvège.

Phare du monde

  • 4.5 (85)

Quelque part entre Sognefjord et Måløy, Norvège.

2022