bâche de cockpit

Je voulais ..
.. évidemment dire "taud" ..

Merci !

pour un usage occasionel
j'utilise tout bêtement une bache bleue de peintre que l'on trouve à moins de quinze euros dans les foires à 10 balles.

j'en utilise 2 :
1 pour l'été, qui couvre le cockpit et une partie du roof, tendue sur un bout fixé sur l'anneau de tangon et à l'autre bout sur le pataras, le tout repris latéralement par 6 sandow afin de ne pas trop tirer sur les oeillets un peu faiblards

1 en cas de pluie qui redescent derrière les filières et protège nettement mieux le cockpit. dans ce cas, je fixe des garcettes sur les rails de fargue qui me permettent de passer les sandows au ras du pont avant de les reprendre sur le haut des filières. avec en plus la possibilité d'utiliser l'autre taud plié en 2 pour servir de cagnards le long du balcon arrière.
je ne crois pas avoir déjà vu plus moche, par contre, en terme de rapport investissement/efficacité/temps passé à bricoler, je pense que c'est quasi imbattable. (et celui là, personne viendra te le piquer.

PS : jusqu'à 20 ou 25 nœuds, pas de problème, au dessus, je préfère dégréer

fabricant de bache de Pick-up
Ici à Tahiti quand il pleut on se demande s'il n'y a pas plus d'eau au dessus qu'en dessous ...

J'ai demandé un devis pour une bache style bache de pick-up par l'artisan qui à fait la bache de mon Suzuki.

Avec des tubes acier galvanisé , il me demande un peu moins de 800 euros. Ca comprend l'armature, la bache blanche plastifié d'un coté, les cotés, qu'on peut rouler avec fermeture éclair ,les carreaux transparent et les bandes velcros pour coller au roof.
(à Tahiti tout est 30-40% plus cher , donc tu pourrais avoir ca pour 500-600 en métropole)

Et à 120km/h avec le pick-up ca bouge pas.

J'ai fait un essai en mettant la bache du pick-up sur le voilier, ca fait pas moche, quand les cotés sont roulé , on dirait un bimini.

Yves

Captain'Choc

(Pardon, je me rappelle la réclame pour les biscuits avec Carlos orné d'un collier de coquillages: Captain'Choc est de retour, qu'apporte-t-il aux enfants, etc.) ;-)

Nous sommes donc d'accord, il ne s'agira pas de naviguer sous un tel taud, puisqu'il sera fixé à la divagante bôme.
L'idée est pourtant excellente car au lieu d'un pare-soleil plat on pourra obtenir un toit à double pente où la pluie batave ruissellera sans creuser de poches.

On peut raidir le sommet en enfermant dans le pli médian une baguette de bois ronde par une bande de renfort cousue en long par-dessous.
Ce sera notre faîtière.

Les attaches de fixation du taud à la bôme traverseront l'épaisseur du taud et de cet ourlet en passant dans des oeillets en vrai laiton (gare au métal doré) par-dessous la baguette raidisseuse.

La forme de la toile ne sera pas nécessairement le rectangle: un trapèze comportant si désiré un pan ouvrant ou amovible pour l'entrée, est souvent mieux adapté aux formes du bateau.
En jouant de tes ficelles tu en estimeras les contours en réservant une marge pour l'ourlet.

Il est bon d'un prévoir un sur le pourtour contre l'effilochage. Dans l'ourlet on fera courir une cordelette, de préférence élastique pour amortir les tractions sur la toile, dont une boucle sortira des coins coupés pour l'arrimage vers le bas aux filières de bastingage.

Réimperméabiliser après quelques années au pulvérisateur, quand les fibres se seront distendues.