3 eme safrans ???

j'ai déjà 2 safrans sur un 12 m plutôt leger et haut de franc bord .
me parquer dans une marina , en solo ,me fait peur car sans vitesse avec u peu de vent de travers , c'est la grande misère...
le voilier est genre opium 1ete generation.
j'envisage un 3 eme safran ( central )
des précédents ????

L'équipage
29 mars 2019
30 mars 2019

Un jet thruster plutôt ?

30 mars 201930 mars 2019

un propulseur d'étrave ...
avec un safran au centre, tu amélioreras la rotation, mais si le nez continue à déraper dans le vent ....

30 mars 2019

Est-ce que vous faites vos manœuvres en marche arrière?

30 mars 2019

Hello
J'ai prévu un troisième safran derrière l'hélice, on verra à la mise à l'eau...
Poupon ,si je me souviens bien, en a un sur son canote et en est très content pour les manœuvres

30 mars 2019

Un 18 m alu, a priori dessiné par I Autissier, a.

30 mars 201916 juin 2020

En 2013, sur le terre plein du port d'Arzal, j'ai vu un très intéressant Intégral 43 signé Peter Gallinelli
www.sailworks.net[...]tegral/
Il était équipé de 3 safrans dont un derrière l'hélice.

30 mars 2019

Un aviron de poupe, c’est au moins aussi efficace et c’est moins cher ... :acheval: :acheval:

En solo, pas évident...

30 mars 2019

Si si. En général, trois ou quatre coups de pelle suffisent à faire comprendre au bateau ce qu'on attend de lui. Pas vraiment besoin de tenir la barre pendant ce temps.
Mais il est vrai que cela dépend de la configuration du bateau. Avec un cockpit central, évidemment ...

30 mars 2019

a te lire, c est surtout d aire et de vitesse dont tu sa besoin
pour un minimum de portance sur les appendices
les multiplier ne sert pas plus sans vitesse

et c est encore plus important avec un bateau leger et 2 safrans

une ou deux cessions de manoeuvres avec un coach personnel ffv pour te securiser definitivement dans tes manoeuvres moteur me paraissent plus judicieuses, si je peux me permettre

30 mars 2019

Merci pour vos conseils.
C'est vrai qu'en solo j'ai peur....
Même en marche arrière , tout dépend de la direction du vent par rapport à l'emplacement.

30 mars 2019

J'ai le même souci, ainsi que tous ceux qui ont un dériveur intégral et bi-safrans : on a l'impression d'avoir une savonnette entre les mains, à la merci du moindre souffle de vent travers.
Ben il faut apprendre à se passer des "coups de fouet" rageurs que l'on voit et entend trop régulièrement de ceux qui ne savent pas faire autrement - et que j'envie parfois...

Ma solution, c'est toujours laisser de la dérive,
des manoeuvres rapides = prendre de la vitesse et mettre au point mort pour éviter le pas d'hélice
si possible en marche arrière,
un usage très modéré et avec doigté du propulseur (à choisir puissant) : uniquement pour stopper le mouvement tournant, jamais pour le provoquer - enfin, ça c'est théorique
Et, quand j'entre dans une place de port, je cherche toujours à prévoir la façon d'en sortir : bien souvent je mets le nez au quai même avec pendille.

La peur, c'est salvateur. C'est la maîtrise de la technique et l'entraînement qui permettent de la contrôler.
Seuls les fous et les inconscients n'ont pas peur.

31 mars 2019

Le coup de fouet, pas forcement rageur, que permet un safran placé derrière l'hélice, est quand même une technique sacrément efficace qui permet de virer sur place sans vitesse, il faut simplement l’exécuter en respectant l'inverseur avec un léger temps d'arrêt au point mort.
Il ne s'agit donc pas d'une technique réservée à ceux qui ne savent pas faire autrement comme tu le dis. Cela dit quand on ne dispose pas d'un safran placé idéalement, je suis d'accord avec toi pour dire qu'il faut adapter sa technique.

30 mars 2019

Sinon, par vent de travers, rentrer en marche avant?

J'avais l'intention de rajouter une petite pièce sur l'étrave pour y mettre la passerelle (dont je ne me sert jamais) dans le cas ou on se mets en marche avant car l'étrave est haute. Avant je sautais mais bon, faut laisser ça aux d'jeuns maintenant. :langue2:

C'est quand même plus simple que de rajouter un safran non?

30 mars 2019

Ajouter un safran (ou deux ou trois) ne sert à rien si le bateau n'a pas un minimum de vitesse. Le seul truc qui marcherait, ce sont les safrans avec moteurs électriques intégrés, comme sur cette vidéo :

30 mars 2019

Bonsoir,
Je pense que Poupon savait ce qu'il voulait en demandant un 3ème safran derrière l'hélice, sans erre on peut diriger le flux de l'hélice et pivoter bien mieux avec.

31 mars 2019

Salut James,
Non Fleur Australe n'a que deux safrans et situés l'un derrière l'autre, de part et d'autre du skeg (cf photo : www.fleuraustrale.fr[...]ti.html )
Les bi-safrans latéraux sont proscrits dans le cadre de bateaux d'expédition, trop exposés aux growlers/cailloux et impossible d'hiverner avec un bi safran, sauf à avoir des safrans relevables et/ou démontables. (Facile à imaginer ce qui leur arrive lorsque le pack emprisonne le bateau...).
Fleur Australe a donc 2 safrans AXIAUX, l'idée est de pouvoir utiliser celui le plus en avant si celui AR (plus exposé) vient à être endommagé.

Pour en revenir à la problématique, un troisième safran permet de bénéficier du coup de fouet de l'hélice en marche AV car le jet est alors dévié par le safran et permet de faire pivoter le cul du bateau. En marche ARR un 3ème safran n'apportera aucun avantage, seule la vitesse (et le pas de l'hélice) permettent alors de gouverner...

31 mars 2019

Hello,
Au temps pour moi, j'avais relayé une info non vérifiée...
Of course c'est uniquement en marche avant que ça devie le flux de l'hélice.
J'ai un pas variable sur l'hélice à mise en drapeau pour la marche AV et AR ,il faudra que je le règle en fonction du comportement du canote.
Pour le troisième gouvernail j'ai trouvé d'occase pas cher un petit tout inox, ça ne va pas être bien compliqué à installer
Garer son bateau demande de le connaître bien, et vaut mieux s'entraîner autour d'une bouée et au port avec des amis pour ne pas stresser inutilement...

31 mars 2019

@damien : "un troisième safran permet de bénéficier du coup de fouet de l'hélice en marche AV car le jet est alors dévié par le safran et permet de faire pivoter le cul du bateau."

exactement !

31 mars 2019

Franchement, plutôt que de chercher des solutions exotiques (3ème safran, moteurs électriques sur safran ou que sais-je d’autre), il faut tout simplement accepter que, quand on navigue sur un bateau de 12m en solo, certaines manœuvres de port ne sont tout simplement pas réalisables. Et que dans ce cas, il faut probablement soit demander à la capitainerie de donner un coup de main, soit demander une place plus accessible. Ou alors, il faut naviguer avec un ou des équipiers, ou naviguer sur un bateau plus petit et/ou plus maniable.

31 mars 2019

Oui enfin bon, heureusement que les anciens n'ont pas raisonné ainsi, sinon on en serait encore à attendre l'invention de pas mal de "solutions exotiques" tels que démarreur électrique, winch, poulie et autre guindeau en répétant qu'en dessous de 12 marins à bord, point de salut.

31 mars 2019

La notion de sur-équipement est très relative.
La simple installation d'un démarreur est le début du sur-équipement posant gros soucis.
Les anciens faisaient bien sans !
En poussant un peu plus loin ce raisonnement con, on peut dire que le moteur est un sur équipement exotique.

Pour moi, un matériel qui permet de faire seul (ou en équipage réduit) quelque-chose vitale qui exigerait un équipier de plus est très loin d'être un sur-équipement : je prends pour exemple le pilote.
Bon c'est vrai que lorsque le plan de navigation est de quelques miles autour de sa place de port, cet équipement est un accessoire exotique et du sur-équipement.

31 mars 201931 mars 2019

bof. Je te laisse continuer tout seul.

31 mars 2019

re bof.
J'ai pourtant bien dit que le raisonnement que je tenais était con.

Mais je me suis bien douté que tu n'aurais pas compris que j'y faisais allusion... tu viens d'en apporter la preuve.

31 mars 2019

Oui, c'est aussi pour ça qu'on a des voiliers sur-motorisés et sur-équipés. Ça ne rend pas les gens plus intelligents ni plus adroits.

31 mars 2019

Je ne te suivrai pas sur ce terrain, car, dans beaucoup de cas, quand on n'a pas un équipement, on apprend à s'en passer.
Quand on n'a pas de propulseur d'étrave, on grée un aviron de poupe.
Quand un n'a pas de pilote, on apprend à régler le bateau.
Quand on n'a pas de girouette-anémomètre, on apprend à sentir le vent avec ses oreilles et en observant la surface.
Quand on n'a pas de carto électronique, on apprend à faire le point sur une carte papier.
Quand il faut arracher l'ancre et qu'on n'a pas de guindeau, on grée un tournevire sur un winch.
Etc.
L'important est qu'on soit capable d'assurer la fonction dans les conditions où on en a besoin. Le reste n'est le plus souvent qu'une question de confort ou de paresse (et peut-être aussi de marketing). Je ne renie pas du tout le confort ni la paresse, mais il faut bien faire le distinguo.

31 mars 2019

Merci d'avoir bien voulu modifier ton message, parce qu'une citation de Frédéric Dard me venait soudain à l'esprit "Rien n'est plus voluptueux pour un pas con que d'être pris pour un con par un con."

31 mars 2019

Hello,
Un peu extrême comme raisonnement,12m ça n'est pas si grand...
Je me souviens que Tabarly apontait seul,et sans moteur !,un des penduick...
Il faut s'entraîner c'est indispensable
C'est vrai qu'il y a des situations scabreuses quand le vent s'en mêle...
Demander de l'aide à la capitainerie, si c'est possible, il n'y a pas à en avoir honte.
Une fois à la Ciotat j'ai demandé un coup de main, le port était plein et ils nous ont mis sur un bout de ponton,perpendiculaire, c'etait très chaud, et pourtant on avait un propulseur...
C'était un 14 m de loc,je n'avais aucune envie d'abimer un bateau que je ne connaissais pas...

31 mars 2019

Quand, bateau peut réactif en marche arrière, on a des difficultés à se placer, on peut au moins se placer d'abord pointe en avant et gérer en conséquence (descendre par l'avant ou un côté ou faire une rotation secondaire avec les amarres). Le bateau répond bien et les appendices arrières ne sont pas exposés.

31 mars 2019

Bonjour,
J'ai visité pas mal de dériveurs, les plus manoeuvrant avaient tous trois safrans... Certains avaient à l'origine un seul safran dans l'axe, barre trop dure, rajout de safrans latéraux, à l'inverse ceux qui avaient deux safrans d'origine ont remontés un safran central pour rendre leur canot plus manoeuvrant...
(moi j'ai trois safrans...deux latéraux compensés sans lesquels la barre franche était intenable d'après le précédent propriétaire).

31 mars 2019

Ce n'est pas tant le fait d'être dériveur qui pose problème (c'est même très appréciable quand on arrive dans certains ports avec moins d'un mètre de tirant d'eau...),
c'est le fait d'avoir un bi-safran
qui rend totalement inopérante la technique qui consiste à faire tourner le bateau (ou stopper sa giration) en envoyant de l'eau dans la pelle.

J'avoue que l'idée d'en rajouter un 3ème dans l'axe de l'hélice me tenterait bien. Mais je ne vois pas comment.

31 mars 2019

arretez, il suffit simplement de prevoir un peu plus de distance à la manoeuvre pour prendre de la vitesse et un bon coup de gaz le moment venu pour stoper le bateau
de la vitesse et de la pecision suffisent !!!

31 mars 201931 mars 2019

Oui oui. On sait ça. La bonne vitesse et l'excellence de la précision suffisent.

Bon, pour ceux qui ne sont pas des sur-marins comme toi, ou qui vont dans des endroits pas vraiment connus, il arrive qu'un vent ou un courant de travers, une pendille mal placée, que sais je encore, voire le pire du pire à tes yeux : une erreur de jugement !
nous obligent à rectifier... et là, le bi-safran est un handicap par rapport au safran central permettant le coup de fouet.

C'est cela le sujet.
Tu n'es évidemment pas concerné par cela : prendre de la vitesse et un bon coup de gaz pour stopper te suffit toujours.
Mais peux-tu nous laisser continuer d'échanger ?

01 avr. 2019

mais je vous en prie et irai meme jusqu'à m abstenir....
simplement preciser que je ne suis en rien un sur marin
juste un voileux avec un brin de bon sens

01 avr. 2019

Le bon sens, c’est parfois aussi de se rendre compte qu’une manœuvre n’est pas réalisable.

Petit exemple récent: Las Palmas, Gran Canaria. Place sur pendille, vent de 20 nds traversier. Bateau bisafran de 13.70m, deux personnes à bord. Aide d’un zodiac de la marina pour tous les visiteurs. Sous le vent, un voilier de 10m. Tout s’est bien passé, mais je sais que nous aurions eu des difficultés sans l’aide du zodiac qui nous empêchait de partir sur le voisin pendant que nous nous occupions de la pendille. Et nous étions 2 à bord. En solo et sans l’aide du zodiac, je pense que cette manœuvre est quasiment irréalisable sans risquer d’abîmer le voisin.

01 avr. 201916 juin 2020

Ci dessous, le système de transmission du 3eme safran sur l'Intégral 43

Mon opinion: sur un voilier léger et très évolutif, la présence d'un 3ème safran s'avèrerait moins pertinente. Il serait plus à même de prendre de la vitesse, de virer et s'arrêter facilement, à condition d'avoir l'hélice performante en marche avant et arrière.

01 avr. 2019

Bonjour,
Artimon (avec sa petite expérience...) sur son Garcia a fait ajouté un safran central et expliqué ce choix.
voir LETTRE DE BALTHAZAR (54), LETTRE DE VENISE (59) et suivantes
artimon1.free.fr[...]zar.htm

01 avr. 2019

Bien vu !
Artimon ne manque indubitablement ni d'expérience ni d'intelligence,
et il manoeuvre son 57 pieds de 20 tonnes en équipage réduit...

sans doute manque-t-il du fameux "bon sens" dont Einstein disait que c'est "l'ensemble des idées reçues qu'on nous a inculquées jusqu'à 18 ans" (autrement dit, selon Einstein, on remet en cause normalement ce "bon sens" en le remplaçant par l'expérience individuelle et le raisonnement autonome).

01 avr. 201901 avr. 2019

bonjour,

je suis également l'heureux propriétaire d'un opium 39 de première génération (un fabuleux canot!). effectivement, comme tous les bisafrans le flux de l'hélice ne passe pas par les safrans, ce qui à pour conséquence de rendre le bateau très peu manœuvrant à petite vitesse, et plus particulièrement avec un fort vent de travers. J'ai été quelque peu gêné par cela lors de mes premières sorties, et j'ai vite compris que a) il faut avoir une vitesse suffisante pour permettre l’accroche des safrans b) que souvent faire ses manœuvres en marche arrière était beaucoup plus simple et efficace, l'opium est une vrai mobylette en marche arrière, ça vas tout seul! c) qu'une bipale sur ce bateau est insuffisante: je suis passé à une tripale orientable qui améliore beaucoup le problème.

Ceci étant, la solution de rajouter un petit safran derrière l'hélice a déjà été réalisé sur un opium, vous trouverez certainement des photos sur internet. mais je trouve cela dommage d'augmenter la trainée de ce voilier juste à cause d'une petite difficulté à réaliser ses manœuvres à petite vitesse, avec un peu d'entrainement on arrive très bien à s'en sortir

voili voila,
bon vent sur ce magnifique voilier (si si)
dom

01 avr. 2019

Tout à fait OK avec les points a et b (vitesse et marche arrière).

J'ai une tripale fixe sur mon bateau.
L'orientable faciliterait les manoeuvres ?

Mais cela a une limite : quand on augmente la vitesse d'un navire qui dépasse les 10 tonnes, la moindre touche due à une erreur fait de très gros dégâts. C'est bien ce qui nous fait peur.
Même en vitesse réduite, on ne le stoppe pas avec le pied ou la main comme on le fait avec un 9 mètres.

Par ailleurs, si on entre en marche AR, on ressort en marche AV (et inversement...). On ne peut donc pas toujours manoeuvrer en marche AR...

Il est vrai que ceux qui ne font jamais d'erreur n'ont pas ce souci... c'est le cas quand on a le même bateau que l'on parque toujours à la même place et dans les mêmes conditions depuis des années. Pour peu que le port soit bien abrité, on se demande même où est le problème...

01 avr. 201901 avr. 2019

Orientable ? Installation complexe et encombrante..
Pas variable ? Peut-être.

01 avr. 2019

Ah, donc une hélice à mise en drapeau automatique, car une hélice orientable doit être rare en plaisance.

01 avr. 2019

non, pas l'orientable - ce qui a changé pour moi c'est de passer d'une hélice bi-pales à une tri-pales... orientable: le gain est ailleurs.
certes Lapalice n'aurait mieux dit: quand on rentre en marche arrière on sort en marche avant et vice versa bien entendu :-)

01 avr. 2019

ex: hélice kiwiprop, tout simplement

01 avr. 2019

certes...

01 avr. 201901 avr. 2019
01 avr. 2019

Hello,
Avec une helice à mise en drapeau, on peut régler généralement le pas, en Av et Ar...
Dans ce cas on a une marche arrière surpuissante, avantage non négligeable pour casser l'erre

01 avr. 2019

Désolé de m'imiscer un peu tard mais je tape avec les spots wifi.
Auparavant , j'avais un 12 me 15 tu ,quille longue,bout hors,petit moteur,petite hélice. C'est peut être ce passé de prudence pour éviter la casse qui me rends trouillard !!!
Pas de problème en marche arrière mais il faut une sacrée distance pour maitriser une étrave un peu trop sensible au vent de travers.c'est peu etre du a la présence d'un enrouleur de foc.
Avec un déplacement lourd , une fois arrêté ,ça ne dérape pas aussitôt..
Là ,il y a des secondes qui paraissent longues quand on ne maitrise pas tout..
Merci à Lorenzo pour les photos et à tout le monde.
Juste une parenthèse. Le bisafrans est vraiment super pour le contrôle au portant.

02 avr. 2019

Salut!
Un peu tard aussi, mais on a 3 safrans sur Makore2 et ca aide enormement. Peut etre pas autant qu'un prop d'etrave a la manoeuvre ( tres proche soit disant), mais tres stable au portant.

02 avr. 2019

C est comme les lames Gilette, plus on en met moins ça fonctionne

02 avr. 201902 avr. 2019

C'est vrai qu'il y a une très forte proximité entre le monde du rasage et celui de la voile… :heu:
Perso, je ne prends pas position pour ce bateau que je ne connais pas.
Ce qui est clair c'est que la fabrication d'un safran et son installation sur un voilier achevé peuvent devenir compliquées et couteuses. Plus que d'ajouter un propulseur d'étrave me semble t'il.

23 juil. 201916 juin 2020

J'ai vu le syntegral au sec.
En plus , il a un propulseur d'étrave.
L'arrière de ce voilier possède une immense ouverture à l'arrière pour y loger un annexe.c'est ce qui a facilité l'installation du petit safran.

23 juil. 2019

Oublié : en marche arrière , c'est assez difficile de barrer .
C'est un gros levier safran - barre car ils ont tendance à aller d'un côté à l'autre.
À bas régime : ok

23 juil. 2019

vent latéral --> propulseur d'étrave...
concernant la difficulté de marche arrière : la poupe qui va surtout de côté.
Ci-dessous un test d'hélices (anglais).
Ils ont eu l'idée de mesurer aussi la force latérale pour chaque type d'hélice.
www.yachtingmonthly.com[...]t-29807
A chacun de conclure....

Phare du monde

  • 4.5 (182)

2022