Cette année encore, ce fut un franc succès. Rien n'a filtré. Le lieu de tournage a pu rester secret jusqu'à la fin.
Le « Salon » se termine, on commence à démonter les décors.
Que se passe t-il derrière vos écrans ? Comment fonctionne Hisse-et-oh ?
Si vous regrettez de ne pas être venus au Salon, si derrière votre écran vous avez salivé devant les photos de faces avinées, les bouteilles soi-disant débouchées, sortez de votre torpeur, revenez à la vie.
Tout ça n’était que du cinéma.
Comme chaque année, avec au début Numéro 1, dit « Vince, celui qu’on ne voit jamais », puis par la suite avec Numéro 2, un faux stand Hisse-et-oh est monté à l’abri des regards indiscrets pour prendre quelques photos à mettre sur le site.
Cela fut fait sur un chantier discret quelque part dans le Doubs.
Les ouvriers se sont proposés pour aider à transporter les décors.
L'un des décors est tombé à terre et n'est plus utilisable
Les ouvriers transportent le "KpK déboucheur" et le "Tom bourré".
Le panneau de décor du stand est dressé à l’aide d’un madrier le temps de faire une photo.
Un ouvrier du chantier prête main-forte pour le fixer.
Ils rigolent bien en voyant certains posters.
La séance de photos est terminée. Elles sont prêtes à être mises en ligne sur Hisse-et-oh.
On démonte tout. Certains posters sont trop abîmés ou sales, ils ne pourront pas resservir une année de plus.
Les ouvriers ont demandé s’ils pouvaient emporter des souvenirs.
[c]BONUS[/c]
[c]Le bêtisier du Salon.[/c]
Pour certains Héoliens du décors, un poster en deux dimensions aurait manqué de relief, on aurait découvert la supercherie. On a donc eu recours à une poupée gonflable soigneusement grimée.
Dans un premier temps, on a rempli le « Goud » avec de l'eau. Mais 200 litres d'eau, c'est lourd et il a cassé le fauteuil « développement durable » en carton à 60 €. Ca fait cher payé, et il faut vendre 4 pavillons de plus pour compenser la perte.
Alors on l'a rempli d'air, mais le photographe n’a pas vu la valve qui dépassait du « Goud ». Il a fallu procéder à une nouvelle prise de vue.
Entre temps, sa pression étant retombée, il a fallu regonfler le « Goud », et les ouvriers du chantier on gentiment proposé leur compresseur.
Malheureusement, en moins d’une seconde il y avait trop de pression, et, dans une scène digne du marché de Brive-la-Gaillarde, le « Goud » a écrasé la tête du « KpK » dans ses gigantesques........ mains.
[c]BONUS 2[/c]
En exclusivité pour Hisse-et-oh, nous avons le plaisir de vous faire découvrir l'atelier où sera fabriqué dans le plus grand secret le futur « Goud ». Ce sera un U.L.D.G. réalisé sous infusion (pastis et rhum blanc).
Voici le premier exemplaire avant finition, il s'agit d'un « Goud déboucheur».
On a bien rigolé lors de ces prises de vues. On a bu aussi en pensant à vous au boulot derrière vos écrans.
A l'année prochaine !