les catamarans habitables sont-ils dangereux ?

L' actualité a malheureusement remis la question sur le tapis.Je ne sais pas si il y a eu un fil précédent sur le sujet .Mais on ne peut manquer de faire le rapprochement avec le cata chaviré devant Saïdia , il y a deux ans et l 'accident du lagoon 400 s2 recent . J' ai souvenir d' un catana 42 ou 43 propriété d' un anglais , parti de Marseille en Novembre pour les Antilles et qui n ' a pas été plus loin que les Baléares où il a chaviré , causant la perte de son skipper.
Les catas en général , ne sont -ils pas fiables ou bien la taille des 12 mètres est-elle rédhibitoire? . est-ce que 15 mètres est la mesure minimale pour ce genre d'objet flottant ?

L'équipage
07 mai 2015
07 mai 2015
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Et si on faisait le décompte des monocoques qui ont connu des problèmes..........
Les inconditionnels du cata dont je fait partie qui te diront qu'il faut les maitriser et les détracteurs mettront en exergue qu'il y a eu des accident et diront n'importe quoi.
On se croirait au JT.
Est-ce que tu fait le décompte des voiture accidentées par marques ou modeles pour déterminer qu'il y en a des plus fiables que d'autres.
Je vous laisse a votre trollage.........

08 mai 2015
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Pour les voitures, de manière assez amusante, la réputation de Volvo est toujours d'actualité.
Pour les monocoques, certains types de voiliers ont une réputation de résistance hors du commun.
Le problème des catamarans est qu'on en parle beaucoup moins, donc dès qu'il y a un accident tous les détracteurs montent au créneau.

PS: cela dit, il n'est pas dit que l'on fasse mieux avec deux qu'avec une.

08 mai 2015
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Oui mais ton discours est à revoir si tu fais le rapport entre ne nb de bateaux chavirés sur la masse globale. Il y a des millions de monos. La question serait d'avoir "le ratio" par catégorie. Là, on pourrait discuter.

07 mai 2015
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Voilà une réponse constructive, qui amène à se poser les questions suivantes .
Qu'est-ce que le "trollage"?
Que l'analyse des véhicules accidentés permette d'en déduire des conclusions sur leur fiabilité ne me semble pas être une idée complètement farfelue ( utilité des crash test).
Décider qu'autrui dit systématiquement n'importe quoi à partie du moment où il n'est pas de votre avis , qu'en penser ?
Que l'on puisse se poser des questions sur l'importance de certaines superstructures, et de leurs conséquences sur le comportement d'un voilier dans des conditions difficiles me semble relever du bon sens. Ce point est d'ailleurs également valable pour les monocoques comme pour les multicoques.

07 mai 2015
0

Je pense que les catamarans de croisière ne sont pas plus dangereux que les monos. Chavirent plus facilement que les monos mais coulent aussi moins facilement.

Du moins pour des navigations normales, y compris par exemple pour un tour du monde par les alizés. Il n'y a que pour certains types de navigations extrêmes, style quarantièmes sud, que j'aurais du mal à envisager un cata de croisière plutôt qu'un mono.

07 mai 2015
3

Sauf erreur il y a deux ou trois monos en perditions dans le même coin que le lagoon actuellement.

08 mai 2015
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à partir d'une certaine force de vent , tous les bateaux sont en difficulté . Ça dépend , de leur taille , de leur solidité , de leur équipement , de leur préparation et de la capacité de leur équipage . Mais il y a des bateaux qui seront plus vite en difficulté que d'autres . Un catamaran , court , haut , avec un centre de gravité élevé , et une tendance au tangage prononcée sera plus rapidement en difficulté dans des creux de 10 mètres qu 'un monocoque de même longueur bien conçu , bien construit et manié par un équipage entraîné . Il est évident que ce même monocoque rencontrera lui aussi des difficultés si les conditions meteo s'aggravent .
une petite parenthèse ; le trollage est une technique qui a pour but d'interdire un forum .(wikipedia)
la question posée , n 'est qu'une question , elle a pour but , d'ouvrir la discussion et non pas de la fermer

08 mai 2015
2

à mon avis, il y a peu de bateaux dangereux... mais des routes dangereuses, oui
pour moi, l’orthodromie sur cette destination est reservée aux pros
les autres passent par Canaries Cap-vert.....

08 mai 2015
3

Retour Antilles , tu passes par les Açores

08 mai 2015
0

Euh la il me semble que les exemples récents s'appliquent à une route retour... :)

08 mai 2015
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Voir le site du cata ou ils dissent qu'ils partent des Antilles pour rentrer ...

08 mai 201516 juin 2020
2

"du sud dans ton Est..."
Hélas non, la partie dangereuse de cette dépression était très sud.
(cartes isobares + vitesse des rafales le 06 Mai à 12 h UTC)
Une telle dépression se déplace à au moins 20 N, donc impossible d'aller aussi vite...
Il faut
1 - partir plus tard en saison
2 - avoir la possibilité de surveiller la météo de manière précise (gribs et cartes des fronts par Iridium, plus quelques connaissances en météo). Un routeur pro à terre me semble une bonne assurance sur ce trajet...

08 mai 2015
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t'es sur?
parce que si c'est route retour, tu dois pouvoir t’échapper de la branlée en mettant du sud dans ton Est, surtout en cata avec lequel tu doit pouvoir aller aussi vite que le front, non?

08 mai 2015
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d'apres l'article, ils etaient à 550M à l'OSO des Açores
sur ta deuxième copie d'ecran, il y a 50nd de vent.... mais au SSO, il n'y a plus que 45 et plus au sud 35...
avec un mono, tu prends la depression comme elle vient, mais en cata, bien avant le front, du doit pouvoir faire du SSE au moins à 12 nd en securité, sinon, pourquoi avoir un multi
et il faut aussi se servir du baromètre !!!

08 mai 201516 juin 2020
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L'évolution de l'architecture des catamarans me parait de plus en plus dangereuse. La tendance est à monter les bômes de plus en plus haut, il faut maintenant des échelons de mât pour simplement accéder au vit de mulet (voir la photo jointe du Lagoon 450). Je ne partirais pas en grand voyage avec un tel bateau.

CaptainRV

08 mai 2015
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C'est clair que sa commence à plus a ressembler à une caravane qu'a un cata...Dans le même genre on peut comparer le Mac grégor à un " vrai " monocoque...En fait je penses que chaque bateau à son public et son utilisation le danger est de mélanger les genres....une transat en mac gregor non merci alors que sur un mini 6.50 bien préparer pourquoi pas...

08 mai 2015
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et tu ne parles pas de la boite à réas en bout de bôme qu'il m'a fallu aller chercher sur un 420 allongé sur la casquette avec la bôme qui frappait d'un côté et de l'autre ( la manille de point d'écoute ayant cassé )

08 mai 201508 mai 2015
0

et les 3 autres monos secourus étaient mal conçus?

2

Peut-être à-t-il une voie d'eau qui n'est étalée que tant que le moteur tourne ?
Ou des problèmes structurels qui hypothèquent la suite ?
C'est sur que vu de l'hélicoptère le bateau semble en sécurité, mais comment savoir ?

08 mai 2015
2

sur la vidéo... le swan ne semble pas en danger :heu:
l'équipage (agé) semble fatigué, c'est sur, mais pas en danger!!!

08 mai 2015
2

La solution serait elle de ne pas sortir par mauvais temps ou une évaluation du danger plus ardue ?

Bien sur on peut toujours se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment. Mais il est possible de limiter les risques au maximum.

Continuer sa route par gros temps pour économiser quelques nuits de port est ce une solution ? Vouloir absolument être a telle date a tel endroit ? La prudence s'impose, la mer ne fait pas de cadeau.

Je ne pense pas que les catas soient plus dangereux que les monos en soit je crois que parfois il y a des risques inutiles.

Un jour nous nous sommes retrouvé pris dans 3m de déferlantes avec un cata. Il s'en est très bien sorti. Et si ça c'était mal passé aurions-nous accusé le cata ? Il n'est pas arrivé là tout seul ! C'est à cause de nous. Nous n'étions pas dans le chenal nous sommes fautifs, et nous seuls ni la mer ni le bateau...

08 mai 2015
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Un autre exemple dans nos voyages nous avons rencontré une famille qui a voulu passer le cap creus par 35 nds la SNSM a du aller les chercher c'était un mono de 14m

Un couple sur un cata 11m par 30nds se sont fait des frayeurs mais sont passé

Sur ce même cap nous avons rencontré un monsieur passé avec 3m qui a eu la peur de sa vie mais il est passé. Avec un mono de 14m (1 semaine après nous)

Une autre famille passé au même endroit avec 40nds ils se sont échoué avec un mono 10m (2 jours avant nous)

Nous avons un cata 12m nous avons passé le même cap avec 0,50 et au moteur

Ça parait "petits joueurs" mais nous sommes tous conscients de la dangerosité de la mer alors avant de passer quelque part on se renseigne, au vue des problèmes dans ce coin on a du attendre une semaine avant de passer. Dans les situations précédentes nous aurions rencontré sûrement les mêmes difficultés cata ou non.

Les voitures ont été évoquées. Elles ne sont pas dangereuses ce sont leurs conducteurs qui le sont.

08 mai 2015
8

Trop de concept de catamaran confonde nav au large et farniente aux mouillage , de façon a attirer une nouvelle clientèle qui cherche confort , on fabrique des catas qui deviennent limite pour la nav hauturiere , voir le concept de chez Catana avec la fabrication des " bali "

08 mai 201508 mai 2015
2

Ce que je déplore ici, c'est la façon dont est posée la question. "Les catamaran habitables sont-ils dangereux ?"
.
Faut-il rappeler qu'au même titre que tel type de voiture ou tel type de moto, ou pourquoi pas d'un avion de voltige... aucun catamaran n'est "dangereux".
.
Ce sont les comportements, les usages ou les compétences qui sont inadaptés (quand c'est pas les trois à la fois).
.
Et faut-il rappeler que les éléments sont ce qu'ils sont et qu'il faudrait ne pas espérer pouvoir les dominer, même avec le meilleur bateau du monde.

08 mai 2015
3

pas d accord , va dans un salon nautique et écoute les vendeurs ou la pub dans les magazines , je prend encore l exemple du " bali 45 " vu au salon de cannes , on fait passer ce genre de bateau pour un cata fait pour le tour du monde dans le confort ,une folie .....

09 mai 2015
13

Je veux bien tout entendre, mais il faut, à mon avis, ne pas non plus tomber dans l'excès, ceci dit fort gentiment.
Avec 60 noeuds de vent, des déferlantes et au vent d'une côte, je me sentirais mal barré, quelque soit le bateau.

CaptainRV

08 mai 2015
2

Mais bien sûr, la question à laquelle il faut répondre est la suivante : 60 n (c'est assez fréquent, surtout en Méd !), 5 m de creux + déferlante, et bien, sûr, tu es au vent d'une côte, et (option) tu a tes gosses à bord.

Tu choisis quel bateau ?
Un fois que tu as choisi, tu assumes.

10 mai 2015
2

Certes amigo, on est toujours mal barré dans ces conditions, et on invoque (pour ceux qui savent le faire) rapidement son ange gardien !

Ceci étant, il s'agissait de répondre à la question initiale et donc sur le risque. Bon Cap Rv tu as récolté 8 étoiles au 10/5, pas mal, mais il reste à répondre, enfin à tenter de répondre.
Pas simple on le voit bien. Ce qui ressort de ce post et du forum en général, c'est que nous sommes des passionnés, et que lorsque l'on parle choix de carène(s), nous sommes passablement prisonnier de notre passion et donc de nos choix.
- la réponse est forcément le bateau le plus marin qui remonte au près et peut encaisser des déferlantes de travers sans foutre tout le monde à la baille
- perso, le cata caravane m'effraye là
- pour avoir vécu des situations comparable à mon hypothèse en mono acier 13 m 12 t et en tri 9 m 2 t, j'ai pu assurer dans les deux cas, avec une préférence pour le tri
- le cata je ne connais pas

Il me semble que lorsque l'on parle de choix grave comme "quelle coque pour la baston", il faut écouter ceux qui ont l'expérience, et peu d'entre nous ont l'expérience extrême sur les 3 types de bateau, mono, cata, tri.
Dommage que l'on n'ait pas plus de coureurs au large sur le forum. Même si ces illustres personnages sont souvent hors normes et souvent un peu plus barjots que nous, leurs connaissances précises des carènes dans la mer et le vent nous seraient utiles.

08 mai 2015
0

:pouce: :pouce: :pouce: :pouce: :pouce:
100% avec cette réponse.
Jean Bressier

08 mai 2015
0

c est quoi un bon cata alors, je parles Point de vue nav ?

08 mai 2015
3

@vespa
Un Wharram et je le dis sans rire mais qui est en totale opposition avec l'architecture de certains catas actuels. Ils y en a d'autres bons bien sûr.

10 oct. 2015
0

Mettre en opposition un wharram et un TS50 fallait oser. :mdr:

10 oct. 2015
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Heu.......heureusement que l'architecture a evoluer, parce que pour eviter du mauvais temps avec Wharram dont la vitesse moyenne doit tourner autour de 5kn.....
voyageons en TS50 depuis 5 ans avec plus de 35000Nm a notre actif, en couple et voila un vrai bateau de voyage, sur, marin et capable d'aligner plus de 300Nm/jour donc d'eviter du mauvais temps, encore faut-il savoir lire et interpreter des Grib....ce qui semble malheureusement pas le cas de tous les navigateurs voyageant en cata caravane

08 mai 2015
4

tout est un probleme de graduation
plus les bateaux sont sont concu sans respecter les regles agricole et logique pour affronter le mauvais temps et moins ils sont marins
plus il y a des superstructures et plus c est hauts moins le bateau est fait pour affronter le mauvais temps
apres il faut rester dans des limites acceptable de vent et de mer par rapport a son bateau
maintenant avec les predictions meteo
il est quand meme plus facile de faire une route adapte a son bateau et la securite
en dehors de tout ca il faut bien analyser les reactions des equipages
normalement un cata ne coule pas c est dans sa conception
a priori le lagoon en question n a pas coule des dires d un heonaute
on voit aussi dans le fils que certains equipage se font helitreuiller de leur mono alors que le bateau parait encore en etat
tout ca porte a penser qu en dehors des bateaux il y a a bien reflechir au comportement des equipages qui prennent peur et qui prennent des solutions etonantes
en effet il est preferable de rester sur un cata meme envahi par l eau plutot que d etre au milieu de l atlantique a nager das un gilet de sauvetage !!!!!
car un cata a l envers ou a l endroit reste normalement incoulable
c est a mon avis un plus du cata indeniable par rapport au mono !!!

08 mai 2015
3

cata souvent trop haut sur l eau et fly sur le dessus pour libérer le cockpit , très lourd . Moi j aime les dévires qui sont un élément de sécurité par mauvais temps .

08 mai 2015
0

non non ils coulent aussi, exemples documentés, mais pas à l'envers

12 mar. 2017
0

Je vous conseillerais de suivre un cours Bosiet ou équivalent à la survie en mer notamment les cours donnés pour la navigation concernée.
Les procédures après chavirage sont bien précises.

08 mai 2015
1

certes il faut adapter sa navigation aux capacités de son embarcation . Mais quand même , la mer est imprévisible surtout si on part pour plusieurs semaines . Tôt ou tard on risque de se faire cravater par une dépression . Alors trop fort n 'a jamais manqué , c'est la règle No 1 . Si on veut absolument éviter le trop mauvais temps , il faut se contenter de la croisière côtière et de ses sauts de puce

08 mai 2015
1

"Alors trop fort n 'a jamais manqué , c'est la règle No 1"
Pas certain que cet adage soit valable pour un cata.
Pas ou peu de superstructure.
Plan de voilure ramassé.

08 mai 2015
7

Un catamaran bien conçu (Lerouge, Hélios, et quelques rares autres) et surtout parfaitement mené peut être sûr dans du gros mauvais temps. Mais un Lagoon est une caravane qui n'est pas adapté à la grosse mer.

Cela dit, dans du gros temps, je serais parfaitement à l'aise sur un Swan, beaucoup moins sur un cata même bon.

08 mai 2015
0

A moins de 200 milles des côtes française, depuis 1993, 14 % des accidents concernent des multicoques.

08 mai 2015
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Ce serait amusant de voir la proportion de multicoques naviguant régulièrement à moins de 200 milles des côtes françaises...
A vue de nez moins de 10%...
Si quelqu'un a le vrai chiffre, je suis preneur.
Après, c'est pas que les catas sont "plus dangereux", c'est surtout que de plus en plus d'utilisateurs de ce type de supports ont peu d'expérience...

08 mai 2015
0

Ok, donc 2% des effectifs, 14% des accidents, sans doute quasiment tous imputables au skipper et pas au matériel.
Y a pas à dire, beau score...

08 mai 2015
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"A vue de nez moins de 10%... " de multicoques...
Malevolence me parait bien optimiste.

Il est rare que l'on en croise en Manche.
Des catas de plus de 10 m, j'en vois 2 ou 3 à St Malo, 2 dans le département de la Manche, 1 ou 2 dans le Calvados, 1 à Guernesey...
Bref, surement moins de 20.

15 mai 2015
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Les Antilles françaises rentrent dans ces statistiques ? Parce que là, la proportion de multicoques rencontrés sur l'eau n'est pas du tout la même !

08 mai 2015
3

bonjour,
j'ai eu pendant trois ans un summer twins à balestron
5m de large pour 9m de long ,très bas sur l'eau ,je n'ai jamais osé aller en corse avec après m'être fait surprendre derrière Porquerolles par un coup de mistral d'environ 35noeuds ,
j'ai vraiment eu peur de passer sur le toit ,pas par le vent
mais au moment de virer avec la mer par le travers .
du coup je suis revenu au monocoque ,
j'ai le souvenir d'un convoyage sur un Casamance des Baléares à hyères par mistral avec une forte mer ou je n'avais eu aucune apréention , pourtant ça fumait entre les coques
mais avec les bus à impériale actuelle ,je n'irais pas bien loin
sans porter de jugement ,ça c'est comme les vedettes à moteur c'est pas mon truc
alain

08 mai 2015
2

tu ne m etonne pas dutout alain
moi je pense que pour avoir un cata plus securite pour faire de l hauturier tout temos
un minimun de 12 metres est a prendre en compte
en dessous ca peut etre vraiment perilleux
la legislation sur ce point permet juste a un cata de 11 m d etre en cat A
et c est limite !!!!
moi je suis plus sur que pour ce type de nav il faut 13 m pour etre assez tranquille
avec comme dit plus haut un greement qui permet de reduire et d avoir un greement avec un centre de voilure qui s abaisse de facon importante c est a dire avec une trinquette et une gv a deux ris ou 3 ris
pour afronter des surventes sans problemes
et plus e bateau est grand et moins il y a de risques !!!
c est elementaire!!!!

08 mai 2015
0

tout dépend tu temps rencontré pour le mien 3m de creux c'est devenu dangereux de virer de bord surtout ou en med les vagues sont raides
certains summer ont fait des transats
en atlantique avec un bonne tempête les vagues ,je ne parle pas de la houle ou 15m de creux n'ont tien d'impressionnant avec 500m entre chaque , de plus de 5m te retournent comme une crèpe
ou alors c'est la fuite avec trainards
l'avantage dans ce cas là ,c'est que tu file de l'huile ,il parait que ça calme la mer
alain

08 mai 2015
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Bon et les vedettes à voiles c'est bon ? :) (j'avais des photos mais j'ai eu peur des foudres de ...Carthage :) )

Nota bene : ce sont (quasiment ) toujours des bateaux à moteurs qui vont aux secours des naufragés...

Point positif avec un voilier dans du gros temps : c'est plus confortable !

Les rare fois ou nous nous sommes retrouvés à naviguer sur un cata : ca tape énormément et le roulis est très sec !

08 mai 2015
1

Je voudrais attirer votre attention sur le point de départ de ce naufrage, l'an dernier même époque ,combien de gens décédés, aujourd'hui une fillette, tout cela parce que il faut revenir en Med alors qu'on ne doit quitter les Antilles que FIN mai pour éviter les tempêtes de printemps ,y a qu'à voir la meteo de ces dix derniers jours sur l'Atlantique Nord,et encore a cette date y aller avec prudence ....

08 mai 2015
0

je n'y connais rien en cata .

juste vue une fois ici a la rentrée du chenal de Lorient un incident .

le vent s'était levé un peu en fin d'apres midi ,beaucoup de bateaux etaient en mer , un cata environ d'une bonne dizaine de metre c'est tout a coup retrouvé sur le toit . Il semblerait que l'ecoute de GV s'est coinsé ,comment? .Le bateau a été remorqué jusqu'au ponton de Pen Mané et sortie au chantier quelques jours apres . puis a été mi en vente.

08 mai 201508 mai 2015
1

Je vous recommande les videos de Rory McDougall
Comme quoi de petits catas peuvent être marin.
Rory aussi.


La dernière dans un coup de vent.

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Pour avoir eu un cata de 9,20 m un Iroquois, avec lequel nous sommes allés en Espagne, Écosse, Danemark en partant à chaque fois de Cherbourg, je suis arrivé à la conclusion que plus les conditions sont dures, plus il faut s'occuper du bateau et cela peut mal finir par grande fatigue ...

Un monocoque solide va être plus "auto démerde" quand les conditions s'aggravent et moins à la merci d'une erreur du skipper.

Pour avoir un cata "auto démerde" il faut un énorme budget et trouver le bon architecte.
Les catas actuels à deux étages ont beaucoup de prise au vent et des roofs en forme de cabane comme celui qui vient malheureusement de disparaître sont à mon avis trop exposés pour du gros mauvais temps.

08 mai 201508 mai 2015
1

"Pour avoir un cata "auto démerde" il faut un énorme budget"
Non! L'argent ne fait pas un bon cata mais la pub le laisse croire.
Valable pour les monos aussi.

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Ce n'est pas le prix qui fait la sécurité, on est d'accord
Mais la sécurité d'un cata nécessite une bonne taille qui a un prix ...

08 mai 2015
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biensur
un cata il faut beaucoup plus s en occuper
ca c est certain car il faut eviter de se retourner !!!!
sur un mono tu te met sous un grement ultra reduit et tu attends que ca se passe meme en faisant un 360 le bateau doit se remettre a l endroit !!
le 400 reves d o n est pas avec plusieur etage donc meme si il n est pas le pire il reste plus inspirer de la caravane et un quasi fifty
je reste quand meme tres interresse sur ce qui est arrive aussi au bateau dans cette catastrophe
et la chronologie des faits

dematage, voie d eau, dislocation ???? ou ????
car il faut bien analyser ce qui s est passe avant de faire un probleme une genralite

08 mai 2015
1

Je connais un cata Cité d'Aleth ( 9.5m) plan Lerouge qui a subit un gros coup de vent en solo dans le golfe de Gascogne.

Il s'est mis en cape sèche ( sans voile) le temps que cela passe. Son skipper, qui n'était pas un débutant, a été de son comportement sécurisant.

Pour info, le même avait coulé sur un voilier classique lourd de 15m dont le roof avait été défoncé du coté des Scilly...

09 mai 2015
1

"meme en faisant un 360 le bateau doit se remettre a l endroit"
Euh...
Ne regarde pas les courbes de stabilité des voiliers construits dans les 10 dernières années, tu vas te faire peur.

10 mai 2015
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Il n'y a pas que le mât...
C'est la forme de la coque elle-même qui fait que le navire sera stable à l'envers.

10 mai 2015
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bjr,
la tendance revient aux voiliers plus étroits ,à une époque on privilégiait la stabilité de forme avec des lests à 30% voir moins.
on revient à des lests à 40% sur des voiliers plus étroits mais avec des tableaux arrière aussi large que le maitre bau ,
,n'y a t'il pas un risque que le bateau reste à l'envers avec le mat plein d'eau qui fait quille ?
pour le cata ou le tri la question ne se pose pas c'est plus stable à l'envers qu'à l'endroit ,
mais les belges disent bien que l'anvers vaut l'endroit
alain

08 mai 2015
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bonjour, je ne connais strictement rien au cata donc une question certainement idiote : peut-on se mettre à la cape avec un cata ?
Gilles

08 mai 2015
1

Sortir lorsqu'il y a du vent avec un cata, quelle idée !!!!!! c'est pas prévu pour.

08 mai 201508 mai 2015
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oui, la cape peut se prendre sans aucun problème

08 mai 2015
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Attention, si possible relever la dérive sous le vent pour éviter le croche patte....

10 mai 2015
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perso je pense qu'il vaut mieux la cape courante ,j'ai essayé plusieurs fois avec le summer twins ,foc enroulé et balestron retenu
avec deux palans ,barre bloquée à différents angles ,il tournait en rond tout seul quand il ne se mettait pas à culer avant (risque important par grosse mer pour les safrans )
mais comme c'est un grément particulier ce n'est pas une règle.
je crois qu'il faut essayer au moins une fois avec n'importe quel type de voilier la mise à la cape au moins par force 7 pour voir .....
avec celui que j'ai il la prend tout seul si je choque le wishbone
alain

08 mai 2015
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Bonjour,
Le débat est intéressant quoique... Je trouve la question un peu biaisée.

Pour commencer j'ai une pensée pour les parents et la famille ( je ne les connais pas mais je consultais le blog).

Pour reprendre l'analogie de la voiture, nous pourrions dire est ce que les 4x4 sont des voitures dangeureuses en ville ? Tout dépend du conducteur...

Je poserai donc la question comme suit :
- quelle est la compétence de l'equipage à manoeuvrer son bateau dans les conditions de mer qu'.il rencontre ?

Un bateau est fait, conçu pour un programme de navigation. En cette matière qui peut le plus peut le moins...

La plupart du temps l'equipage abandonne avant le navire...

Dans les années 70, des personnes ont fait le tour du monde sur des bateaux de 9 m ( ex Mme De Kerckove ) dans son livre elle décrit très bien ce qu'elle vit au départ avec un coup de vent en med.

Aujourd'hui, nous disposons de navire beaucoup plus confortables, mieux équipés en électronique de toute sorte... Souvent aussi moins adaptés à certaines conditions de mer (que penser de certaines portes de descente... Y compris sur mon propre bateau)

le sens marin cela s'apprend ! Et le bon sens c'est d'adapter son programme à ses compétences, celles de l'équipage et la capacité de son navire.

Donc pour moi, le débat n'est pas cata ou mono comme il n'est pas 4x4 ou 2 roues motrices...

Mais plutôt faut il traverser l'atlantique en avril dans le sens ouest - est lorsque l'on est en équipage réduit avec de jeunes enfants ?

Je répondrai comme suit :

  • oui s'il on est capable d'affronter les temps de cette saison en atlantique qui est fait de dépressions qui se succèdent et dont certaines peuvent être très creuses. Dans ces parages, les conditions météo et la mer peuvent être dures. Il y a des accidents régulièrement.

  • Non dans tous les autres cas et quelque soit le bateau. Il vaut mieux attendre juin tout en restant vigilant.

Par ailleurs, Il serait intéressant d'avoir plus de détails sur ce qui s'est passé pour pouvoir tirer des enseignements. Notamment, est ce que le bateau a coulé ou pas ? Le rapport de mer permettra d'y voir plus clair sur l'enchainement des evenements qui ont conduit au drame.

08 mai 2015
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on commence à y voir un peu plus clair . Il y a d' un côté les inconditionnels du catamaran , pour eux , un cata peut tout faire , "ya ka savoir le skipper" et d' un autre côté il y a ceux qui sont plus réservés , voire contre . Comme toujours la vérité devrait être à mi-chemin . Je crois , sans en être sûr , qu 'un cata peut être utilisé en toute sérénité sous réserve d' une bonne couverture meteo , donc en méditerranée avec une couverture de trois jours ça devrait être idéal. On doit pouvoir profiter pleinement du confort et de la "vue mer imprenable " . Par contre pour aller chercher un coup de brafougne au milieu de nulle part , rien ne vaut un solide monocoque de bonne taille bien lesté , solidement toilé et accastillé en conséquent. Je suis monocoque , mais je louche en direction des catas , j 'aimerais ne plus avoir à descendre à la cave et au contraire beneficier d' une vue mer panoramique ., mais pas au détriment de la sécurité .

08 mai 2015
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Il y aura de plus en plus de fortune de mer si on continue a fabriquer le style de catamaran d aujourd hui , trop haut sur l eau .

09 mai 2015
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Je crois me rappeler un certains nombres de "problèmes" avec des catas bas sur l'eau au roof mini
(je crois un Edel quelque chose et un des premiers catas de croisière dessiné par Joubert( il y a au moins 30 ans ) dont j'ai oublié le nom
Louisiane peut etre ?
Catana 530
Outrmer 45
Fountaine Pajot 38'

c'était pas encore des HLM ?

Avantages avec un cata ...tu ne peux pas perdre ta quille et si tu perds ton safran il t'en reste un de secours :)

09 mai 2015
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Ah ah ah, une météo à 3 jours en Méd, mais tu rêves, ça n'existe pas ! C'est 3 h de fiable au plus !

08 mai 201508 mai 2015
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Un cata a un moment de redressement qui s'annule vers 70' de gîte, il est donc facilement retournable et beaucoup plus stable à l'envers qu'à l'endroit donc il ne se remet jamais à l'endroit (pour un monocoque c'est minimum 120' voire même 150' donc il a de très grandes chances de se remettre à l'endroit);
deuxième défaut, l'absence de gîte qui ne permet pas de se rendre compte de la dangerosité du vent apparent et quand le cata se soulève, c'est souvent déjà trop tard;
sans compter la houle qui peut aussi retourner le cata

08 mai 2015
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Un récit ancien mais toujours d'actualité:

Il est certain que j'aurais été moins à l'aise sur un catamaran de même taille...

60 h à la cape sur un SWAN 38
« En octobre 1975, sur le Swan 38 DELNIC, premier voilier de L.Rousselin, jeune navigateur débutant de 65 ans, dont la bible était la prose du Cdt de Kerviler, au large de La Corogne, nous avons subit un coup de vent de sud qui nous a obligé à mettre à la cape durant 60 heures ! Durant ces trois longues journées et nuits, les changements de quarts s’effectuaient à la seconde près.

Parti quelques jours auparavant de St Malo, notre estime nous situait à hauteur du Cap Ortegal, que nous pensions avoir aperçu sur notre bâbord dans l’après-midi alors que nous faisions route au moteur dans la pétôle. Le baromêtre baisse depuis le matin. Dans la soirée, le vent est revenu de sud et nous avons renvoyé le génois (les enrouleurs n’existaient pas) et avons repris notre route au près bâbord amure.

Le capitaine et son second, un bistrotier de St Malo qui a plus navigué au Bar de l’Univers qu’au large, à juste titre fatigués par nos cinq nuits de navigation précédentes, décident de mettre à la cape vers minuit alors que le vent n’est que de 25 à 30 nds et que, sous toilé, sous foc 1, notre Stephens marche à 6 nœuds confortablement, en douceur, dans la mer pas encore formée. Compte tenu des nuages que l’on avait dans la soirée, il est évident qu’une dépression arrive.

Avec le recul, sans doute aurions nous du dérouter au largue, vers La Corogne à environ 60 milles dans l’est, mais notre objectif était Madère. Gardons à l’esprit aussi, que notre dernière position connue était Ar Men à 300 milles dans le nord.

Mes deux compagnons se sont couchés et nous avons continué notre roulement de quart de 4 heures ; trop longs à mon goût. De ce temps, il n’existait pas de capotes et l’exigence du service faisait que nous devions impérativement être de quart dans le cockpit, il était mal vu descendre se faire une chauffer une soupe. Il est vrai que nous nous situions à proximité du rail des cargos.

Au cours de la nuit, le vent monte, la mer se forme. A l’aube, les « vieux » réveillent le jeune de l’équipage, moi en l’occurrence, pour changer de foc. Dur, dur de sortir d’une couchette confortable dans une cabine mouvante et plutôt silencieuse. Le plus pénible est d’enfiler le pantalon de ciré Equinoxe.

Dès la sortie de la descente (7 ou 8 marches, c’est le gros défaut du SWAN à mes yeux) on prend conscience des réalités. L’aiguille de l’anémomêtre oscille entre 38 et 40 nds. Ils ont malheureusement raison, il va falloir affaler ce « foutu » foc et renvoyer le tourmentin

Récupérer le foc rétif, le ferler, sortir le tourmentin par le capot avant, l’endrailler, rentrer le foc en vrac dans le poste, faire les nœuds de chaise des écoutes, se battre avec le tourmentin, mouliner sur la drisse du pied de mat alors que ces conn... de l’arrière crient je ne sais quoi et tardent à border… Du classique.

On en profite pour changer d’amure, et sommes maintenant tribord amure vers l’est. « On » est content de retourner se coucher…

A midi pile, c’est l’heure de notre traditionnel apéritif avant que notre restaurateur malouin nous mitonne un plat. Je soupçonne d’ailleurs L.Rousselin de l’avoir embarqué pour cette unique qualité…

Aujourd’hui, la qualité baisse mais nous déjeunons tout de même de pâtes au gruyère, dans un bol mais à table, assis sous le vent. Nous gardons notre rythme, le bateau est impeccablement rangé, les cirés à leur place…

Nous avons chacun notre verre personnel numéroté et il est hors de question de laisser trainer un ciré ou un livre. Une fois descendu dans les profondeurs du carré nous oublions facilement la mer démontée et les 40 à 43 nœuds qui soufflent à l’extérieur…

Les changements de quart sont, comme le reste, d’une extrême rigueur. Cela donne : « mon jeune ami, dans 12 secondes cela va être votre tour… «

Amarinés comme nous le sommes, c’est à peine si nous nous rendons compte que nous sommes sur un voilier dans un coup de vent. C’est la première fois que je prends la cape et en suis surpris. C’est d’ailleurs le principal souvenir qui me restera.

De temps à autre, nous montons quelques marches de la descente pour vérifier la réalité. On a toujours l’impression que cela mollit ! Curieusement l’homme de quart nous dément toujours, et nous contrarie plutôt. « Cela va ? ça a mollit. Bof, c’est plutôt 40/42 depuis une heure… »

Les heures s’égrènent. Un peu de lecture, un café, dormir…

Ce qui est gênant c’est qu’au cours de la journée, la mer créée par le vent de sud s’est formée et contrarie la houle résiduelle d’ouest que nous avions.

La deuxième nuit s’écoule au rythme de nos quarts. Au matin, alors que je finis mon quart, le cuisinier émergeant sa tête dans la descente décide que cela a mollit. Pour ma part, je vois toujours l’anémomêtre entre 40 et 45 nds. Le vent est toujours de secteur sud.

Il convainc le capitaine de remettre en route ver la Corogne dans l’est.

Pour remettre en route, c’est simple, il suffit de choquer l’écoute au vent et de border celle sous le vent. Par contre le barreur est obligatoire et n’est pas à la fête… Nous faisons route au largue à 8 nds, travers au vent et aux vagues du vent ; immédiatement je me rends compte que c’est une conn… et eux aussi.

Mais il est difficile de l’avouer ! Aussi, nous faisons route. A la barre, il est dur de maintenir le SWAN 38 sur son cap à cause de la houle résiduelle de trois quart arrière qui est contrariée par la mer du vent. A la barre, je prends fréquemment des paquets de mer qui brisent sur la coque au vent mais le plus gênant, pour moi qui ne suit pourtant pas très grand, c’est le pataras qui heurte ma tête à chaque mouvement de tangage ! Cela ne se voit pas au salon nautique !

Après une dizaine de minutes, les » chefs » décident que le vent à forcit et nous reprenons la cape bâbord amure vers le large. Nous reprenons notre routine. Lecture, apéritif, déjeuner, café, dormir, quart…auxquels s’ajoute des discussions dont le sujet principal est l’évolution de la météo.

Une troisième nuit commence. La mer est dure, croisée. Dans la nuit, lors de mon quart, je croise un cargo en route vers le nord. Je réveille le » capitaine » pour l’informer que nous sommes sur la route des cargos, que le vent à mollit à 35 noeuds et qu’il faudrait mieux revirer vers l’est. Il me remercie poliment et se rendort… préférant attendre l’heure de son changement de quart !

Quand je me réveille dans la matinée, le bateau ballotte, moins appuyé par le vent. Le vent est en train de mollir sérieusement et, toujours à la cape, nous roulons dans une mer croisée. Cette fois, mes « collègues » ont eu la délicatesse d’attendre que je me réveille pour que je renvoie de la toile. Nous passons directement au génois 3 et renvoyons la grand voile entière ; c’est dire si le vent à baissé.

Il a aussi tourné vers l’ouest. Aussi, nous prenons un cap vers le sud est afin d’aller reconnaître les côtes de Galice qui doivent se situer à quelques dizaines de milles.

Très vite, le vent tombe et nous oblige à faire route au moteur dans une mer formée très désagréable. Le soleil revient, il fait chaud, la cote apparaît dans l’après midi et à 21 h, nous sommes attablés devant une paëlla dans un restaurant du Ria de Corcubion au sud du cap Finisterre… »

Quelles leçons tirer de cette expérience ?
En préambule, nous étions en 1975, ne disposions ni d’enrouleur, ni de pilote, ni de capote, ni de canot de survie, ni de VHF et notre dernière position connue était le phare d’Armen, trois jours auparavant, à 300 milles plus au nord.

Par ailleurs, l’état d’esprit de l’époque était différent. Nous partions de St Malo et nous rendions aux Canaries avec une escale à Madère. Nous savions que rencontrer du gros temps était probable et que le bateau pouvait l’encaisser sans broncher. Nous savions aussi que nous devions compter que sur nous même.

J’AI RETENU DE CETTE EXPERIENCE :

1 Le calme, la préparation, le rangement, le respect des horaires et des habitudes, sont importants.

2 Si nous étions en 2010, nous aurions connu la météo et anticipé en conséquence.
Le GPS nous aurait donné notre position et nous aurions peut être choisi de nous dérouter vers La Corogne avant que la dépression arrive, y compris en arrivant de nuit dans ce port inconnu grâce au traceur. (Ce qui pouvait être une erreur. En mer, le danger, c’est la côte)

3 Le SWAN 38 était un voilier de luxe pour l’époque. Déplacement semi-lourd avec un comportement à la mer remarquable. Jamais il n’a tapé. A l’intérieur, il y avait un silence relatif, des mains courantes bien positionnées, des couchettes parfaitement calées.

4 Ceci explique que sur certains fils certains d’entre vous me jugent surement extrêmes dans mes positions par rapport à des voiliers actuels. Il s’avère que j’ai vécu par la suite une expérience du même type sur un OCEANIS 44, dans les mêmes parages, avec peu de mer et des vents ne dépassant pas 27 nœuds. Et la différence est énorme.

CE QUE JE N’AI PAS RETENU :
1 Les quarts de 4 heures.
2 Les changements de quarts à la seconde…
3 De ne pas lire quand l’on est de quart par beau temps.
4 Le vouvoiement des équipiers.

Cela dit, 20 ans plus tard, à 85 ans et plus, Monsieur Rousselin était toujours en régate sur son SWAN à La Trinité.

CAPE COURANTE, CAPE SECHE, FUITE, ANCRE FLOTTANTE

Si c’était à refaire, je prendrais les mêmes décisions. D’ailleurs depuis, j’ai repris la CAPE COURANTE. Moins longtemps, généralement pour dormir deux heures alors que j’étais le seul barreur opérationnel.

La seule différence aurait été qu’avec ma jeunesse d’alors, j’aurais continué à faire route la première nuit et qu’au matin nous nous aurions surement pu nous abriter à Bayona., mais avec des si…

La CAPE SECHE aussi mais vraiment si les conditions étaient démentes ou en catamaran. Rappelons que lors du Fastnet 1979, où la mer étaient particulièrement mauvaise (vagues croisées pyramidales de 10 m et plus, vent de 50 nds) certains voiliers de ce type (She 36, Contessa 32) ont continué à faire route.

La FUITE : Si nous étions partis vent arrière dès la première nuit, à la fin du coup de vent nous serions arrivés à Lorient ou Concarneau. Encore eut-il fallu que nous soyons rivés à la barre 8 h par jour. Et barrer un Stephens au portant, dans ces conditions, n’est pas une sinécure… Physiquement, cela ne nous était pas possible.

ANCRE FLOTTANTE : Jamais je ne l’utiliserais. D’après ce que j’ai lu depuis des années, il semble qu’un bateau de plaisance retenu par à coups par une ancre flottante puisse embarder et se retrouver en travers au moment ou arrive une déferlante. Je connais aussi au moins un cas d’un Catana qui a chaviré par l’arrière alors qu’il était sur ancre flottante.

13 mai 2015
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Bonjour,

@viking35 : "ancres flottantes"

ce qui est troublant est l'opinion inverse que l'on peut lire dans "navigation par gros temps" - adlard coles - 2002 page 41 :

"... durant ces dernières années, la cellule Wolfson, avec l'aide du RORC, a continué ses essais pour déterminer l'impact d'une ancre flottante de type conique sur le comportement d'un voilier dans les déferlantes. cette recherche est complémentaire d'études similaires menées aux USA par Donald Jordan.

elles indiquent toutes que lorsqu'on utilise une ancre flottante de type conique adaptée, déployée depuis l'arrière, on stabilise le bateau à la fois dans le lit du vent et des vagues de telle sorte que les déferlantes ne touchent que le tableau du bateau et donc ne peuvent appliquer de force entraînant un chavirage.

en utilisant une ancre flottante de taille adaptée, même les voiliers à quille profonde les plus fins peuvent survivre à une vague supérieure à 55% de leur longueur hors tout sans que le barreur intervienne, alors que pris par le travers, le même bateau sera chaviré par une déferlante égale à 35% de sa longueur.

en réalité, c'est uniquement dans la mesure où nous n'avons pas pu produire de vagues plus hautes en bassin que nous n'avons pu la limite supérieure de sécurité. comme on peut le voir sur la série de photos de cette double-page, le yacht continue de se déplacer sur la pente de la vague en étant à peine perturbé par la crête déferlante.

ainsi il se pourrait bien que l'ancre flottante conique soit le moyen le plus simple et le plus sûr de réduire le risque de chavirage de façon notable."

14 mai 2015
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Merci pour cet extrait , l'on y retrouve le rapport à la longueur d'environ 1/3 dont je ne retrouvais pas la source (Aloïs)

16 fév. 2016
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Parmi les trois connus d'utilisation d'ancres flottantes dans du vrai gros temps sur des multicoques, deux ont chavirés par l'arrière (Catana 44 et 57) et l'autre cas , imprécis a indiqué qu'elle ne servait à rien.

08 mai 2015
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d un autre cote tu as une meteo plus fiable et normalement tu peus eviter ce type de coup de vent si tu es prevenus 2 jours avant
par des grib fiable

08 mai 2015
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QUI A DIT QUE LE PROBLEME RECENT DU LAGOON 400S2 ETAIT UN PROBLEME DE TENUE A LA MER ????

Ma RELIGION m'interdit le catamaran (hors engin de plage). Mais à cet instant, on ne sait RIEN de ce qui s'est passé.

08 mai 201508 mai 2015
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Un quotidien de la Corogne donne des détails sur les opérations de sauvetage et relate un incendie !

08 mai 2015
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Bonjour. J'ai l'impression qu'il n'y a pas beaucoup d'intervenants qui ont une réelle expérience du catamaran - sont-ils même un jour montés à bord d'un de ces engins "dangereux" ? J'aimerais bien que ceux qui donnent des avis décrivent leur expérience de la chose !
Après 11 ans autour du monde en catamaran de 13m - standard mais équipé "grand voyage" (un BELIZE 43 de Fountaine-Pajot) - ayant connu du vrai gros temps et des incidents (et même un accident), je peux affirmer que le catamaran est un outil formidable pour naviguer en sécurité - en naviguant avec bon sens (mais le bon sens devient rare !).
Mais je dois reconnaître que les catamarans proposés aujourd'hui m'effraient: Lagoon, Bali et Cie...ne sont pas fait pour les grands voyages (quoique...?) - et il est évident qu'un Outremer ou même un Nautitech de 13m ou plus (si le budget le permet) conviendrait mieux.
Daniel

08 mai 2015
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Par pure coincidence, la semaine passée il y avait un Lagoon 400 amarré sur le quai principale de notre port. J'ai pu l'inspecter de près.

En le scrutant, je m'étais fait quelques reflexions.

1) La taille du bateau est vraiment impressionnant. Rien à voir avec un monocoque de 12 mètres ou même une vedette. Pour 12 mètres, c'est gigantesque.

2) Le franc bord incroyable et les infrastructures doivent provoquer énormément de fardage et coques doivent taper dans une mer formée.

3) Je me demandais que dans le cas d'un chavirage, quelles seraient les chances pour ceux sur le pont ou dans le cockpit de s'en tirer, avec cette immense masse de polyester, presque aussi large que long ?

4) La place et le confort sont indiscutables, mais ça doit passablement brasser dans une mer formée, croisée.

5) La masse et la superstructure me semblent disproportionnées par rapport à la longueur. N'est-ce pas un risque de sancir ?

08 mai 2015
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Essai dans escale de nuit, je cite :
Lorsque le gros temps arrive il vaut mieux démarrer les moteurs pour faire route ou bien trouver un abri. En effet le grand volume du catamaran, sa hauteur sur l’eau, sont autant d’inconvénients quant à sa maniabilité. Il peut se révéler difficile de remonter au vent lorsqu’il y a plus de 30 noeuds… C’est un élément suffisamment important pour ne pas le laisser sous silence.

08 mai 2015
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Comme toujours, le problème n'est pas la force du vent, c'est l'état de la mer. Dans une mer longue type Atlantique, le catamaran sous voiles et moteur remontera au vent jusque 30/35 noeuds.

Par mers courtes et hâchées, type Med ou canaux des Caraibes, le bateau tapera énormément, mettant en cause sa solidité. Il faudra ralentir énormément le bateau, jusque 2 noeuds. Donc, à éviter sauf sur de très courtes distances.

Une remarque supplémentaire, plus le catamaran est court, plus ce sera vrai. Un cata de 42 pieds et plus passera bcp mieux qu'un 38 ou 40 pieds.
Et, paradoxe apparent, du fait de ses superstructures, un Lagoon 380 passera mieux qu'un Lagoon 400, très haut sur l'eau.

CaptainRV

08 mai 2015
08 mai 2015
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J ai relève cela dans l'article
"Par force 6- 7 on affale le peu de toile que l’on porte et on démarre les 2 moteurs in-board. (attention, on a entendu les hélices tourner dans le vide lorsque l’on passait les vagues – gloups)"
Ça m interpelle quand même!

08 mai 2015
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Quels sont les avantages des catas mis a part l'espace?

Il me semble qu'ils ne vont pas tellement plus vite que les monos. Ils ne remontent pas bien au vent, reviennent plus cher au port, demandent plus de bras, sont encombrants et moches.

Si j'en avais les moyens et pour un budget équivalent, je choisirai plutôt un mono 45/50 pieds qu'un cata de 40.

08 mai 201508 mai 2015
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L'espace, la vitesse, il remonte pas mal, je peux le gérer seul comme tous voilier que j'ai eu, il est joli et sécurisant (huit cloisons étanches) et pas de communications entre la nacelle et les coques, il est plus petit que 45/50 pieds que je trouve trop grand, il flotte dans 80 cm d'eau, économique et moins cher qu'un mono de grande série de même taille et je peux naviguer à plat.
Comparer mono et cata ne sert strictement a rien... Il y a des bons monos et des bons catas et des grosses m.... dans les deux cas.
Voili :-)

08 mai 2015
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Il y en a peu de série que je trouve valable et a des prix :-(
Pour le même tarif il y en a des très bien ( pas beaucoup) à faire construire à l'unité.
Mais un Lagoon NON!

08 mai 2015
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Ok mais ton cata est un Wharram qui est atypique par rapport aux catas de série.

Et c'est vrai il est joli.

08 mai 2015
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On se calme, je parlais du Wharram :tesur:

Aurais tu acheté un cata de série?

08 mai 2015
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bonjour à tous : c'est sans doute completement subjectif mais je ne me suis jamais senti à l'aise sur un cata et ai toujours refusè les convoyages! traumatisme de jeunesse sans doute!=chavirage sur un grand catamaran de sport et impossible à redresser puis il y a quelque annèes recuperation d'un couple en atlantique sur un catamaran retournè, jeune femme en hypotermie et tetanisèe(recuperation du cata plus tard par la snsm) ce qui ne veut pas dire que ce sont de mauvaises embarquations! certains copains vont trainer dans des mers tres dures, antoine est egalement inconditionnel je pense simplement que c'est moins "tout terrain" que certains bateaux de voyages et qu'il faut une bonne experiençe et des gardes fous pour exploiter les possibilitès en securitè!=habitabilitè,vitesse,mal de mer survenant plus tard,possibilitès d'echouage sont interressantes,inconvenients= pratiçitè dans les ports, prise au vent, esthetique?? danger des manoeuvres approximatives par mauvais temps, tres stable à l'envers.......rien n'est parfait ,toujours une question de compromis et de gout!

08 mai 2015
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je n'ai navigué sur des catas qu' à la condition d'etre payé pour. j'ai fait entre autre marseille alexandrie en plein hiver.
Jamais plus de cata depuis cette époque
je crois ausi qu'il est imprudent de traverser l'atlantique nord en avril ou meme mai. j'avais regardé les pilot charts et meme en juillet on s'est fait brasser

08 mai 2015
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Il y a quelques année une grande course mixte a permis de donner en réel une bonne appréciation des comportements et chances de survie respectifs des catas et des monocoques, tous barrés par des gens très entrainés, mis dans des conditions météo extrêmes. Le score était assez impressionnant.

08 mai 2015
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Outremer ; De quelle course parle tu?

08 mai 2015
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Les dirent dans ce fil concernant les catas équivaux a mettre dans le même panier une chaloupe et un 60 pieds de course et tous les monos entre les deux.

08 mai 2015
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Pourquoi partir sur un mono ? ça gite , ça roule dans l alizée , on descend a la cave
La sécurité , malheureusement bien des ex. aussi sur des monos
Pas envie de voyager sur un mono

08 mai 2015
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je pense que le but n est pas de critiquer tel ou tel bateau mono ou cata
chacun a ses avantages et ses inconvenients
le bon marin est celui qui saurat juger les reelles capacitees de son bateau et saurat anticiper en fonction des conditions rencontrer
moi personnellement ayant le choix je ne choisierais pas le meme bateau dans des programmes differents tantot cata et tantot mono quillard
et que pour anticiper il faut rellement suivre la meteo avec des gribs sur des parcours hauturiers
par contre il est certain qu en 2015 partir avec un cata type lagoon 400 sans suivre la meteo et traverser retour vers la france en cette periode est tres ose et que dans des conditions muscle comme ca
il ne faut pas s etonner du resultat
l annee derniere il y avait eu le vrai naufrage d un beau mono alu qui est reconnue par les connaisseurs comme une reference
donc ne faites pas le proces des catas car
moi avec un cata a devoir faire la traverse a cette periode de l annee je ne me serrais jamais embarquer sans suivre la meteo et je n aurais eu aucun scrupule a modifier ma route en fonction du mauvais temps
en mer il faut toujours etre le plus securite possible surtout avec des enfants en bas age
et dans ce cas la pour moi c est une erreur d avoir fait ces choix
il y a 25 ans je me suis fait prendre dans 65 noeuds de vent et ca m a donne une vrai lecon
j ai pense ne jamais m en sortir
ca a durer 72 heures au large de la bretagne et j avais a l epoque plus de 10 personnes sur le bateau
je m en souvient comme si c etait hier
on allait voir le depart d une route du rhum donc on avait un timming a respecter
je me suis jurer a cette occasion ne plus jamais prendre comme imperatif le temps prevu ou la date d arriver
et maintenant je preferes attendre et modifier mes plans de route en fonction de la meteo
ce qui ne m empeche pas de faire ce que j aime quand je navigue
mais je fais en y reflechissant enromement
la securite n a pas de prix !!!
que ce soit mono ou cata
il ne faut en aucune maniere se retrouver dans une depression comme celle ci et eviter avec tout les moyens possible de naviguer dans ce type de mer ...r

08 mai 2015
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Je reviens sur le flot de messages sur cette dramatique affaire, je viens juste de me rappeler qu'en 2003 je ramenais mon cata, Lagoon 38, en Med et que j'étais parti le plus tard ou un des plus en retard de St Martin a savoir juin , milieu,et nous n'avions a l'époque que Arielle Cassim pour nous donner une situation sur l'Atlantique Nord,j'avais pas ma de gazole aussi , assez chargé et 7/8 joirs apres le depart une douce voix nous dit les petits gars y a du gros temps au N des Bermudes et dep sérieuse , j'avais mis la barre au sud ,l'anticyclone s'effondrait et baston mais fort en haut ,j'arrive a Faial quelques jours après on avait aussi mis les moteurs en attendant le vent ,et je trouve des bateaux avaries,voiles déchirées,bôme tordues, gouvernail ne tenant plus, voies d'eau etc des petits gars partis juste avant moi et arrivés un jour avant moi aussi mais en piteux état ,moralité j'ai mangé mon gazole, n'ai pas ete tres secoué, ai visite la Açores et suis parti avant tout le monde pour la Med avec la fin d'une dépression,et ensuite la Med,le canal golfe d'Aden et descente aux Seychelles..un simple lagoon 38,avec le mini d'équipement .
J'ai pris un jour à La Corogne toujours en cat 57 noeuds de vent , ben je suis toujours la, et aussi fin de cyclone au cap de la peur plus de six jours a40/45 noeuds sans meteo heureusement on était partis trois joirs en retard de La ROCHELLE, euh toujours en cata...
Pour le choix des armes vous voyiez cata ou mono le tout est de partir a temps, trop tôt pour eux et les autres à voir qu'ils ne comprennent rien a l'Atlantique Nord,rappelez vous pour la plupart en descendant vers les Iles les dep se font sentir , a la bonne époque, jusqu'au Cap Vert , dangereuses aux Canaries/cote du Maroc, l'an dernier y a eu la même punition, sont partis quinze bons joirs trop tôt, les pauvres gens.

08 mai 2015
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On a tj pas la cause excat de l abandon du cata ?

08 mai 2015
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Bonsoir à TOUS!!
Je suis cata et je ne serais jamais mono vous êtes mono et vous ne serez jamais cata.
je pense que le danger est le même avec ces deux sortes de navires si vous faites n'importe quoi.
Je vous ai presque tous lus, parfois j'ai sourit, et parfois je n'étais pas mais pas d'accord. J'ai passé un bon moment.
Mon petit cata ne m'a jamais fait très peur sauf le jours ou j'ai raté la passerelle (OUPS)
Merci
Jean

08 mai 2015
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il se dégage une majorité en défaveur des catas . De plus un participant a sorti les chiffres suivants : Cata 2% des bateaux et 14 % des accidents . Les statistiques ont parlé . Et Phiga ( dont le profil est muet ) ferai bien de garder ses insultes pour lui, elles lui, conviennent parfaitement .

08 mai 2015
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Les statistiques peuvent dire n importe quoi ,sur les bateaux de voyage les catas encore minoritaires sont de plus en plus nombreux ,sur ce malheureux incident 1 cata 3 monos cela fait du 25% ( bien sur si on comptabilise tous les monos attaches à leur pontons ...) il semblerait que le Lagoon ait été heurté par le cargo venu le secourir( Sud Ouest) l
Le Fountaine Pajot de Saida a été à la côte poussé les vagues et le vent en approche du port non manœuvrant pris par des filets de pêche ..je propose de fermer ce fil et laisser les victimes à leur douleur ,perdre un enfant c'est l horreur absolu.

08 mai 201508 mai 2015
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"il se dégage une majorité en défaveur des catas "
n'importe quoi. C'est bien le moment! Quellel indécence!

08 mai 2015
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Cette statistique a peu de sens. Il faudrait rapporter les accidents au nombre de miles parcourus par type de bateau ; et où ils sont parcourus.
Je suis à peu près sûr qu'en moyenne les catas parcourent beaucoup plus de miles que les monos et beaucoup plus au large.

08 mai 2015
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Avec nos "bons " skippers d heo clarivoile cap tdm je serai en confiance mais reste toujours un risque supplémentaire par rapport aux monos.un cata retourné flotte mais il y a des victimes en général. Faut être meilleur marin pas faire de grosses erreurs

09 mai 2015
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Bonjour de nouveau une question : a-t-on des récits de tour du monde par les trois caps de cata de série genre 12 / 13 m ?
Gilles

09 mai 2015
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il y a eue un catana , un 44 de mémoire , article passé dans V&V .

09 mai 2015
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Bordé bas sur l eau , coté incliné ainsi qu le rouf pour chasser l air et l eau , coque incliné de 7 ° pour stabilité sur l eau , et dérives ......

12 mai 2015
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"Brumas Patagonia" de mémoire le nom, bel et bien un catana 44 ;-)

09 mai 2015
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Tour du monde sans escale:

Oui un catana 44 argentin, skipper de plus de 60 ans, en solo.

Refait si je ne me trompe sur un Catana 47 par le même skipper quelques années plus tard

09 mai 2015
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Les "fous furieux" avec leur gosses qui ont fait Wellington /Recife via le Cap Horn à bord de leur Anneliese un cata d'environ ...9m !!
Sinon rarissime sous ces latitude , heureusement les Australiens ont déjà assez de boulot à venir récupérer les skippers des ...monocoque :)

09 mai 201516 juin 2020
09 mai 2015
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3 catanas 40 en polynésie
Un doit revenir en europe par la Patagonie .....

09 mai 201516 juin 2020
09 mai 2015
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Bonjour. NON, les catamarans ne sont pas plus dangereux que les monocoques ! Il faut connaître leurs limites...et les siennes.
Faire le tour du monde par les 3 caps ou au Grand Nord est un exploit réservé à quelques uns, que ce soit en cata ou en mono.
Pour une balade autour du monde, le cata est un merveilleux outil - et j'en parle par expérience, après 11 ans autour du monde sur un BELIZE 43. Evidemment, il vaut mieux choisir un modèle bien construit et marin (je me méfierait des Lagoon ou Bali - quoiqu'en disent leurs fabricants) et naviguer avec bon sens (à la bonne saison, avec une météo correcte). Mais un "bon" cata peut encaisser un coup de vent ou du gros temps et naviguer par 45 noeuds de vent sans se faire peur - mais en changeant peut-être de route pour sortir rapidement de la zone (du bon sens). D'ailleurs on voit maintenant arriver en Asie du Sud-Est presque autant de catas que de monos "tourdumondistes"
Daniel.

09 mai 2015
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"Faire le tour du monde par les 3 caps ou au Grand Nord est un exploit réservé à quelques uns, que ce soit en cata ou en mono. "
Un exploit? non, une solide préparation, certainement, mais surtout beaucoup de temps libre devant soi pour n'avoir JAMAIS besoin de se dire: il faut qu'on parte parce qu'on risque d'arriver trop tard, parce que nos amis nous attendent, parce que les gosses reprennent l'école etc..
La règle absolue en mer: on pars quand le vent le permet, pas parce qu'il y a un avion ou un train à prendre.

09 mai 2015
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Re-Bonjour. Je souhaiterais avoir un retour d'expérience d'un navigateur ayant été en réel danger en catamaran ? Je précise: qu'il soit bien compris que ce soit le catamaran le "responsable" du danger - et non une erreur de navigation, une fausse manoeuvre, un non respect de la météo...?
Daniel

09 mai 201516 juin 2020
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Je vous laisse apprécier les différences de fardage et imaginer les comportements spécifiques en navigation.

09 mai 2015
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Comment un Wharram pourrait chavirer ? greement ramasser , peu de fardage , un peu de souplesse .... Sur mon catana , peu de fardage , assez léger , mais une hauteur de mat importante ( 17.10 m de mat )

09 mai 2015
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Merci pour l'info.
Pour le tiki 21 c'est 6.40 par 25/30 noeuds avec plantage d'une coque dans? et arrêt brutal?

Donc je revois ma stat...
3 chavirages de tiki 21 en 60 ans et 10'000 plans vendus. ;-)

09 mai 2015
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Il semble bien que pour au moins 3 "petits" Tiki 21 cela se soit déjà produit.
Croire qu'un bateau, quel qu'il soit (bon j'ai dit bateau pas navire pour mettre un pétrolier sur le dos c'est déjà un peu plus dur :), par contre un HLM à touriste en panne moteur travers à une très grosse mer ...je prefererais etre à terre ), ne pourrait pas être mis sur le dos, c'est être un peu optimiste

"I know of at least two Wharrams that have capsized here in New Zealand. One of them was a boat that I lived on as a child, by a subsequent owner. Wharrams certainly can and have capsized. I have never felt unsafe, or come to any grief on a wharram, but it certainly would not be my choice for an offshore boat these days"
wharram.com[...]capsize

yes the boat was a tiki 21 ruru that i built and owned until about 6 weeks ago . it was a windy day but mabe not 50knts . there was only 1 person aboard he was not hurt and the boat only sustained minor damage this is all i know

Permalink Reply by Ralf on June 22, 2010 at 1:55am

In the PCA magazine 'SEA PEOPLE' No. 15 of May 1991 there is an article 'Tiki 21 and capsize'. I quote from that article:
"Since the first Tiki21 capsize in 1988 we have received another 2 reports of capsize. In both instances the causes were similar, unloaded boats, full sail, crew to leeward and strong winds or gusts."

Et l'analyse du skipper d'un des Wharam :

Permalink Reply by peter logan whitehouse on June 28, 2010 at 8:55pm

Kiaora wharramites, i am the owner of the capsized tiki 21' Ruru. Kinda strange to come across a forum discussing my miss-adventures!
Anyway it appears i owe you all an explanation. Firstly, although i haven't owned ruru for long i am not a novice sailor and my wharram claim to fame is that i actually learnt to walk on a Tangaroa 35' that my father built back in 1970.
Conditions on the day were 25/30 knot NE winds with heavy gusts close to shore. Both hulls were very lightly loaded and i was single handed. I was still carrying full sail and was sheeted in hard sailing as close to the wind as possible trying to get clear of a narrow ,rocky seaway (Opito bay area). i was sitting on the outside of the windward hull. it was a combination of things that led to the capsize. firstly i was hit by a very heavy gust , this 'bogged' the leeward hull . because this suddenly slowed that hull down (almost stopped) the windward hull overtook it, instantly bringing the boat beam on to the wind and swell. At the same time a steep wave lifted the windward hull and up she went. I let the main sheet go but it didn't release as well as it should have.(possibly too small blocks, as well as the angle of guides.)

09 mai 201509 mai 2015
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Oui sur les milliers (10'000 ?) de plans vendus je n'ai jamais entendu parlé d'un chavirage.
C'est pourquoi je défends les bons catas, wharram ou autres car il en existent et suis contre les caravanes flottantes que je trouve dangereuses.

09 mai 2015
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Je n'y connaît rien en Cata habitable, en habitable j'ai toujours navigué sur mono. Par contre j'ai débuté la voile apres le Fennec, je me suis acheté un Hoby cat 16 , un vrai plaisir mais incontinents coque en forme de banane qui quand on enfournait dans une vague un peu importante, c'était la plus part du temps la culbute, car j'avais tendance à pousser la bête, autre inconvénient sous rafale quand on virait de bord si l'équipier ne changeait pas de bord rapidement en restant au plus près du mat en général la culbute était par l'arrière à cause du trampoline plein. Du coup j'ai acheté un Nacra 5.0 coques éfilées je pouvait enfourner jusqu'au mat sans problème il suffisait de relâcher la GV, il pardonnait plus facilement et avec Nacra je n'ai jamais Sanci par l'arrière grace au trampoline ajouré. En conclusion tous les bateaux on leurs avantages et leurs inconvénients, et leurs possibilités . Par contre quand je vois certains cata habitable tres haut sur leurs pates avec un cockpit de (caravane) et une baume perchée et pas facile à atteindre , je me pose des questions.

09 mai 2015
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Les Hoby c'est comme les dériveurs, si tu ne te mets pas sur le toit c'est pas drôle.
Mais c'est aussi comparer un 470 avec un voilier de croisière.

09 mai 2015
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Je les mis qq fois sur le toit et planté dans la vase, mais le 470 s'était super aussi car la tu apprends encore à sentir le vent,

10 mai 2015
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Le petits catas et petits tris permettent de "comprendre", d'étudier le comportement de ces petites coques dans l'eau, et on peut les rapprocher des gros catas ou tris. Il me semble.
Par contre on ne peut faire de rapprochement entre en 470 et un mono car il n'y a pas de quille sous le 4.7 !
Il est très amusant d'aller se promener dans 20-25 n en petit tri(Weta) et d'observer le comportement des 3 coques dans les petites déferlantes travers au vent. On comprend vraiment très bien "comment" bossent les trois coques dans la baston. J'avais décrit cela il y a ... 10 ans après mon premier baston sur mon tri Ch30 que j'ai toujours, et j'avais été particulièrement surpris, impressionné même par le comportement :
- la coque au vent "soulève" le bateau lorsque la déferlante la percute
- la vague passe... "sous" la coque centrale
En fait, c'est la légèreté qui me semble la composante de sécurité la plus importante sur tri, et il doit très certainement en être de même sur un cata marin comme le Wharram ou autre cata léger et bas sur l'eau.
Pour mon projet de TDM (10 ans ?), je rechercherais un tri de compet, hyper léger, très stable, pas trop voilé, et un peu aménagé ! :heu:
Parce que quand on peu, fuir ou contourner les batons, ça a du sens !

12 mai 201516 juin 2020
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Oui mais des fois à force d'etre plus leger plus aerien ....y a comme un manque ! :langue2:

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Je nuancerais le propos :
C'est effectivement consécutif à un mauvais remontage par un opérateur.

Ce sidi, le Constructeur est un peu léger d'avoir eu recours pour ce montage sécuritaire à un dispositif qui, quoique monté en aveugle et quoique son montage se fasse plutôt mieux à l'envers, ne supporte absolument pas d'être monté à l'envers.

C'est clairement un défaut de conception (dans des conditions raisonnablement prévisibles d'utilisation, il n'apporte pas la sécurité à laquelle on est en droit de s'attendre...) mis en lumière par une anomalie de montage.

J'ai d'ailleurs modifié sur mon "ex" cette ânerie en substituant à la poulie vendue par le frère du Constructeur (oui, le Directeur Commercial de la marque d'accastillage est le frangin du Constructeur...) par un des anneaux de friction qui éliminent tout risque de rupture franche.
:litjournal:

12 mai 2015
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les deux premières photos ne sont pas dues à un décollage, mais à une erreur technique de manipulation

09 mai 2015
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Je pourrais avoir les liens de ces affaires ?
Merci.
Pour le reste, cata, mono, tout dépend, comme dit plus haut, du moment où on part, de la MTO, de l'équipage et d'un peu de chance. J'ai navigué pas mal de temps ( huit semaines) sur un Swan 43 par presque tous les temps et mers. J'adore un bateau lourd comme lui qui semble avoir la "force tranquille", mais je n'aime pas descendre à la cave, à acheter, j'essaierais de trouver équivalent mais avec visu mer.
Les catas, effectivement, la bôme est de plus en plus haute, et il y a peu d'infos des constructeurs sur le centre vélique, il faut batailler dur pour ne pas se voir systématiquement proposer le fly bridge comme le must.
La pareil, je cherche la perle rare, mais pas un warham, hélas, trop démodé et difficilement revendable amha.
Les Nautitech sont raisonnables, mais tous les catas à dérive me laissent un peu froid, ais-je tort ?
A+
Phil

09 mai 2015
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Pourquoi ??
J aime relever les dérives quand ça forcit

09 mai 2015
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Marc Ginisty
m-g-m.fr[...]ex.html
Mais il a arrêté?
www.kalim.fr[...]/

09 mai 2015
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Marc , un pote d enfance , on a commencé a 16 ans de construire des planches a voile ensemble .....puis d autre bateaux on suivit en construction pour lui et moi ...... déja 40 ans ......

09 mai 2015
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Beau run entre Tropicat et kalin , le Marin / St Lucie .....
Marc va refaire un autre cata

09 mai 2015
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Il y a longtemps (lorsque j'etais moins gras et avais plus de cheveux) oui au moins cela ,disons 40 ans nous avions un peu écumé ce qui se faisait à l'époque (très peu de multicoque alors sur le marché Français) donc Anglais avec les Telstar 26', les Iroquois et nous avions même été voir un petit Wharam en Hollande de mémoire quelque chose autour de 28' (Tiki 28' ?)
Pour les catas de style Wharam l'on peut certainement retirer de la liste des avantages que tu attribue au cata le terme de "volume" :) mais à l'époque nous étions encore souples !
Nous aimions bien sa simplicité de toute facons notre budget ne nous permettait pas plus grand ...mais finalement nous avions opté pour un vieux cotre de Carantec du chantier Moguerou qui déplaçait presque 5 fois le poids du Wharam si nous avions à l'époque un choix different peut etre serions nous entrain de deffendre bec et ongles les catas en occultants leurs défauts et leurs limites.

Même, en lieu et place de notre actuel bateau à moteur nous avoins envisagé un cata à moteur(Mr Fevres nous proposait de construire un "petit" Santorini de 18 m moins long "je ne sentais pas") voir même d'un tri à moteur .Mais de là à écrire qu'un cata (même très bien conçu) ne peut être en difficulté , je ne franchirais pas le pas.

Le fond de la mer est "pavé" de bateaux "parfaits" : mono, cata, tri à voile ou à moteur.
Quelque fois des bateaux "improbables" arrivent à passer ou d'autres apparemment plus marin échouent..la chance , le hasard .

Par exemple parmi les bateaux à moteur regardez la silhouette du "Spirit of Nashville" 9,15m incroyablement haut sur l'eau(peu etre un rapport de 5 pour la surface au dessus et en dessous de la flottaison), des baies vitrées comme une caravane, transmition en Z par rapport à l'Arielle 13 m :à peu près autant de surface au dessus et en dessous de la flottaison, toute petites surfaces vitrées , moteur à ligne d'arbre classique. Les deux ont traversé l'Atlantique nord avec succès...
Pour moi l'un me semble nettement plus "marin" , mais il est probable que les propriétaire du Spirit of Nashville pensent que leur bateau est bien conçu , marin etc, pour preuve ils diraient sans doute : nous avons traversé sans problème .

Mais desolé, pour moi, que 10 ou 1000 modèles X ou Y aient reussi ne veut pas dire grand chose tant les choix de routes et metéo, de saison ou même de ... distance parcourus.
Je pourrais écrire par exemple nous n'avons pris qu'une ou deux fois de l'eau sur le pont, cela ne voudrait pas forcément dire que le comportement de notre bateau est exceptionnel, mais que peut etre nous ne naviguons pas , ou que nous ne sortons que par grand beau temps, ou que nous choisissons des routes nous "arrangeant" ou que nous changeons de destinations pour avoir plus de confort etc ...

Ce qui me fait douter de certains témoignages c'est que souvent les intervenants affirment que tel ou tel choix est le meilleur et que dans le même temps (comme par hasard !?) cela a été leur choix ...
:langue2: :heu:
X va défendre les monocoques polyester des années 70 (il possède un polyester des années 70)
Y va défendre les catas "légers profilés " (il possède ce type de catas)
W va defendre les mono "luges" moderne (il ...)
Z (etc

Perso vous savez que nous avons un bateau à moteur en alu ...mais nous avons écris à plusieurs reprises sur notre blogs tout ce que nous considérons être des erreurs dans nos choix. Franchement j'envies vos certitudes cela doit être bien reposant de ne pas se poser de questions et de ne pas continuellement remettre en doute ses choix...

Bon c'est de ma faute aussi si j'avais construit un catamaran à voile grp, je ne me poserais plus de questions :) :heu:

09 mai 201516 juin 2020
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:-)
Les différences!
mais c'est presque pareil
Photo1 Lagoon et photo 2 Tiki :mdr:
A part cela je ne suis pas sectaire.
Les choix d'un bateau sont multiples.
Entre autres pour moi, passé a un cata pour le plaisir de voir autre choses, le plus économique et démontable car je n'ai pas la place pour le construire en entier.
Pour les désavantages la liste est longue aussi.
Compromis...Compromis....

09 mai 2015
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C'est sur parmi les avantages des Wharams belles surfaces utilisables, petit tirant d'eau , fardage très raisonnable, déplacement maitrisé, rusticité (dans le bon sens) du concept, simplicité de construction.

Pas mal de choses que nous aurions (allons !?) mis en pratique dans un tri à moteur. Malgré le rapport surface/volumes d'aménagement défavorables par rapport à un monocoque .

12 mai 2015
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Lagoon a chier: on voit la vague mortelle en plein ecran :oups:
Tiki : merveilleux quand je passerai au multi je devrai chosir entre in tiki et un tri open 60 :acheval:

09 mai 2015
2

Bonsoir
Quitter les monos pour les catas ......je suis presque sûr que vous allez les aimer

Merci et bonsoir
Jean

09 mai 2015
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J'ai eu 14 voiliers dont 6 catas. J'ai chaviré avec un iroquois. J'ai repris des catas, j'en ai barré pas mal. J'ai eu des monocoques. Le plus sécurisant de tous les voiliers que j'ai eu, c'est un dehler 38, avec 45% de lest. Jamais eu d'inquiétude. Bonne taille pour dominer ses capacites, poids et surface de voile raisonnables, structure hyper costaud. Aucun cata ne m'a donné une telle impression de sécurité. Un cata dépend d'abord de son équipage, je ne me sens pas à la hauteur pour affronter du gros mauvais temps. Sauf peut être les warrham. Ça ne m'empêche pas de faire du cata, mais avec l'écoute pas loin si ça monte. Bien sûr comme beaucoup, je regarde avec recul les immeubles actuels ( je crois avoir compte plus de 20 m2 de fardage arrière pour l'un d'eux) en me demandant comment on gère une telle surface, vraiment plus gros qu'un tourmentin.

10 mai 2015
2

Entièrement d'accord avec François 260.
J'ajouterai qu'un bateau doit être adapté a un programme, que ce soit un multicoque ou un monocoque.
En famille avec des enfants, et dans du gros mauvais temps, la fatigue et éventuellement le stress peuvent nuire a la gestion d'un catamaran qui demande une attention constante dans des très mauvaises conditions.
Pour ma part, ayant affronté du gros mauvais temps aussi dans cette zone sur un mono de moins de 10 mètres, je me suis enfermé a l'intérieur pendant 12 heures a la dérive et j'ai somnolé et dormi en toute sécurité même quand le bateau était entièrement submergé par les vagues, frais et dispo pour remettre en route a la fin de coup de vent.
Aucun bateau est invulnérable mais il vaut mieux mettre toutes les chances de son côté.
les catas sont des bateaux formidables a condition de ne pas tenter le diable, certains sont aussi plus marin que d'autres, les photos publiées par Tup sont édifiantes (surtout la première qui montre bien l'exposition des grandes baies vitrées et l'équipage perché en hauteur))
La question pourrait être: " le lagoon 40" est il adapté a une traversée de l'atlantique nord fin avril...
On ne sait pas réellement ce qui s'est passé mais pour ma part je n'aurai pas entrepris cette traversée avec ce bateau.
J'admire néanmoins le périple de cette famille et maudit parfois cette mer cruelle.

10 mai 2015
1

Le cata sera pas en cause , a priori feux a bord suivit d un abordage du bateau sauveur

10 mai 2015
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Tiens ça c'est un bon test : dans quel bateau, mono, cata, tri, pourrait-on s'enfermer dans un bon baston ?
Moi je n'ai pas la réponse sur mon tri.

10 mai 2015
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Pour ma part, je préfère mon Casamance, coques fines, insubmersiblisé, allégé, équipé tour du monde (en cours) à un mono affligé d'un tropisme abyssal dès qu'il se remplit... Point de vue très partisan mais depuis 20 ans que je navigue en cata, jamais je ne me suis senti en danger. Je précise navs hauturières ou semi-hauturières la plupart en solo. Les rares fois (3 fois) ou j'ai failli faire la galipette (Azuli, 12 m à l'époque), c'était de ma faute: vitesse excessive au portant dans 50 nds de vent, par exemple: Plantage dans la vague en bas de la descente à plus de 25 nds... Après j'ai réduit et à 15 nds j'étais tranquille... Avec le Casamance, bcp plus camion, je navigue en faisant de la moyenne mais plus de pointes de vitesse au delà de 17 nds: pas fait pour. Un cata à coques fines remonte correctement au vent (à 9 nds au près (en ayant volontairement ralenti dans 45 nds de vent en arrivant sur Mikonos, par exemple; les quelques monos dehors étaient au même cap et largués car n'ayant pas ma vitesse) et est donc sécurisant. Quant à passer sur le toit... C'est la mer et pas le vent qui va faire se retourner le bateau. Il faut donc ralentir si nécessaire et négocier les déferlantes quand ça "tabasse" vraiment. Mais avec les catas actuels, style péniches Lagoon, impossible, évidemment. Mais à chacun son bonheur: si on ne navigue guère, un lagoon à étages, c'est certainement très agréable. Mais c'est à mon avis dangereux au large: trop haut sur l'eau, nacelle très basse, coques obèses... Comment voulez-vous que ça avance et sauve sa dérive contre la mer formée ? Bon vent à tous...

10 mai 2015
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Bonjour Hervé.

Je ne peux qu'être d'accord!

10 mai 2015
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Le plaisir est partagé. Et tu me fais encore bien rêver avec votre monstre de P'tit Filou

11 mai 2015
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Bonsoir Claude-Ernest,
J'ajoute que je n'ai pas l'expérience -avec le Casamance- du dérapage latéral dans les déferlantes mais pour l'avoir vécu avec mon Azuli en rentrant des Açores, je n'ai pas eu de sensation de croche-pied. Le bateau était léger, et surtout, je crois que quand la déferlante poussait le bateau, elle le poussait dans de l'eau très chargée en bulles, donc peu résistante. J'ai dû me faire ainsi 5 ou 6 dérapages. Drôle d'impression qd même que de partir en crabe. Le bateau était à peu près à l'horizontale et tout a volé à bord. J'avais environ 50 nds, grand largue, une trinquette de 16 m2, le mât aile à contre. La houle était croisée d'où les déferlantes en latéral. J'ai mis le plus possible de sud dans mon cap et ai dégagé de la trajectoire de la dépression à 14 - 15 nds. Au bout de 36 h, ça s'est calmé et j'ai pu renvoyer direction Ouessant (avant je visais Bordeaux, ce qui n'est pas exactement la route pour St Malo). En résumé, je ne suis pas persuadé que les ailerons soient vraiment un handicap.
Mais il faut souligner qu'un multi doit d'abord être léger pour se laisser bousculer sans casse. Dans le cas de mon Azuli, j'étai à 3,5 tonnes en charge croisière pour 12 m. Mon Casamance actuel a été entièrement réaménagé. J'ai tout "viré" et tout refait en sandwich airex. J'ai gagné environ 800 kgs. 2 ans de travail. Je dois être autour de 10 t en charge aujourd'hui malgré le lave-linge, les 150 m de chaîne de 10, le groupe électrogène, le désall, le congèlateur, la Caribe, les 250 kgs de batteries, les outils, sans compter la bière et le whisky ! J'ai ainsi un bateau marin (coques fines, pas de superstructures délirantes, bien voilé avec son mât rallongé (merci Claude-Ernest d'avoir démâté !! 128 m2 au près contre 100 à l'origine) pas trop lourd et assez rapide même contre la mer. On peut lui reprocher les lignes d'eau arrières, trop en U, pas assez plates et ne favorisant pas le départ au surf mais... Il date un peu ce beau plan Joubert mais j'ai pu constater qu'il ne s'était pas encore fait doubler par ses confrères plus modernes. Je n'ai pas un confort lagoonesque mais mon bateau est marin, rapide et sécurisant.Au près, je fais jeu égal avec de bons monos de 55 pieds environ dès qu'il y a 18 nds de vent, au portant... je ne sais pas ne m'étant jamais fait doubler !!
Bon vent.

11 mai 2015
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J'ai en fait neutralisé l'excédent de poids chaîne groupe, bref de confort, en refaisant les aménagements, entre autres. Tout en airex. A titre d'exemple la cloison de mât était un CP de 2 feuilles de 28 mm collées !! Maintenant, c'est un sadwich airex de 35 mm carbone... Le réservoir d'eau en inox de 750 l pesait vide 87 kgs... Je l'ai viré et remplacé par 350 l et le déssal. Réservoir en PEHD, sur mesure.
Au global je ne suis pas plus léger qu'avant mais ai plus de confort (je suis parti pour un TDM) et un bateau rénové.
J'ai aussi refait les ailerons qui étaient pleins d'eau. J'en ai d'ailleurs perdu un mais il a en le bon goût de tomber au sec !! Mal foutu au passage l'accrochage des ailerons chez FP. Simplement collés pour décrocher paraît-il en cas de plantage... J'ai tout stratifié...

12 mai 2015
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Nous avons passé l'hiver à Saïdia, Maroc. Pas cher. Nos repartons d'ici une semaine pour Madère, Canaries, Cap Vert et Brésil.

10 mai 2015
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Bien heureux de vous lire l un derrière l autres sur ce fil.
Clarivoile qui nous a fait aimé le cata un jour mémorable suivi d une soirée encore dans ma mémoire comme un des meilleurs moments de partage dans ma vie. Merci encore.
et Hervé qui ne doit pas se souvenir de notre rencontre a Plouer mais qui a été aussi pour beaucoup dans notre choix d un cata Lerouge après la visite de son Azzuli.

11 mai 2015
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Es tu sur d avoir gagne du poids avec tout ton rajout 'chaine groupe etc .... C est très lourd ? En tout sur qu il faut rester léger ce qui n'est pas facile en grande croisière et surtout pas de poids aux étraves

11 mai 2015
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Tu es en ce moment ?

11 mai 2015
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"Mais il faut souligner qu'un multi doit d'abord être léger pour se laisser bousculer sans casse"
Effectivement, cata ou tri, quand on a pris l'option du "je n'ai droit à jouer au manège comme les Monod", cette légèreté alliée à un plan anti dérive faible est notre meilleur atout, voire... une règle qui devrait être d'or !
J'ai moi aussi décrit déjà cet extraordinaire comportement des "trois coques qui bossent" dans les bulles des déferlantes. Un comportement inimaginable pour le pratiquant du Mono.

10 mai 2015
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c'est bien ce qui me semblait que le Casamance est un cata sûr et performant ,pas un HLM
la rade de hyères en est pleine à croire que ces ......
ont du succès la plupart font de la loc tous des éléphants
qui naviguent toutes défenses dehors ...
alain

10 mai 2015
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La mer oui, Toccata1.
On pourrait parler donc un peu plus des coques, et de leurs appendices.
Sur mono (mon expérience), on sait que c'est la prise que fait la quille sur la déferlante qui se forme qui retourne le bateau (très bien décrit par Moitessier dans la longue route).
Sur tri (mon expérience), on sait que ceux qui sont équipés de dérives dans les coques son dangereux car lorsque le flotteur sous le vent s'enfonce et ne peut pas déraper... ça craint, et ça favorise le chavirage - les pros qui ont tous ces dérives le savent bien. Sans ces dérives, juste avec la centrale, on sent le bateau qui "dérape" avec jusqu'à 15-20° de gîte.
Sur cata (pas d'expérience), il se dit que l'effet croche-patte est plus risqué. Sauf à avoir des dérives relevables, mais alors, pas gagné pour remonter s'il le faut.

10 mai 2015
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"Sur mono (mon expérience), on sait que c'est la prise que fait la quille sur la déferlante qui se forme qui retourne le bateau (très bien décrit par Moitessier dans la longue route)"

POURQUOI N Y A T IL AUCUNE ETUDE SCIENTIFIQUE QUI LE DEMONTRE.

Et pourtant, des études sérieuses sur le chavirage des voiliers, il y en a eu après le Fastnet 79 et le Sydney Hobart 98.

12 mai 2015
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Les rumeurs, ragots et autres croyances ont la vie dure...

A ce jour, personne n'a pu prouver de façon scientifique (mesurable et répétable) que le tirant d'eau serait un facteur de chavirage.

Par contre, la courbe de stabilité entre 100° et 130° si.

Ou encore plus simplement la taille du bateau. Il faut une plus grosse vague pour faire chavirer un plus gros bateau.

10 mai 2015
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C'est pour ça que le dériveur n'a en principe pas cet inconvénient. En principe...parce que si la vague le veut bien si elle fait un petit effort, elle le retournera aussi comme une crêpe.

10 mai 2015
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Tu peux documenter donc ?
Parce que Moitessier n'est certes pas un scientifique que je sache, mais un sacré bon marin, et ses récits sont précis. Sa compréhension de la déferlante m'a beaucoup marqué.
Et puis il n'y a pas que les études scientifiques : quand on se baigne dans les rouleaux, on "expérimente" le retournement, juste au bas de la vague.

16 fév. 2016
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www.finot.com[...]prb.htm
 
Je ne sais pas si cela répond précisément à l'assertion initiale.

10 mai 2015
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Dire qu'il faut un voilier adapté au programme c'est bien joli mais quand le programme est un tour Atlantique voir un tour du Monde, on ne change pas de bateau en cours de route.

Il y a donc de fortes chances que le bateau soit choisi par exemple pour de la croisière familiale d'ile en ile et moins adapté à une traversée océanique dans des conditions sportives.

10 mai 201516 juin 2020
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Voila un cata qui à navigué partout, certe il est un peu spartiat, on est lpas dans le registre des caravanes actuel, mais si on veut voyager loin et "presque" en securité il faut avoir la bonne monture. C'est l'ignorance de certains, le barratin de vendeurs de bateaux qui peuvent étre à l'origine d'accidents !

10 mai 201510 mai 2015
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outremer 38 , ce style de bateau n est plus la recherche de la clientèle actuel , dommage

10 mai 2015
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Je ne suis pas un connaisseur des Outremer , quelles évolutions ou régressions , de ton point de vue entre le 38' et le 45' ?
Plus haut j'ai pu lire que plus long (toutes choses etant égales par ailleurs) cela ammenait plus de "securité" (je mets sécurité entre guillemets, par ce que je le comprends dans le sens "plus de marge" de manœuvre)

www.beamer-france.org[...]118.pdf

10 mai 2015
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Oui, un cata peut être dangereux. Je me rappelle d'une discussion avec Jimmy Cornell qui a fait la grimace quand je lui ai dit que j'étais sur un Lagoon 440. Son propos était la place disponible pour embarquer du binz et alourdir la bête. Evidemment, si on ajout 50% voire 100% de masse à celle du bateau, ça peut faire des dégâts en mer. P.ex. j'ai des réservoirs d'eau de 900lit. je ne les remplis jamais au delà du tiers avant une traversée. sailingsalamander.blogspot.com[...]/

10 mai 2015
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Question simple, réponse simple : NON

10 mai 2015
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Un [dernier] point que l'on a peut être oublié, c'est la référence à la compétition car c'est là qu'on va aux limites des machines.
Les pros en compet hauturière prennent des risques maxis, c'est le deal et leur vie, et ... ils ont abandonné le grand cata au profit des tris. La raison n'est elle pas claire... ! Même le TDF à la voile s'y met !
Aller le plus vite possible et limiter le risque, ça semble bien nous amener sur le tri.
Pour le plaisancier, il y a plus de marge dans le choix (quoique le baston, c'est une sorte de compet forcée non !), donc le cata reste acceptable, à la condition de garder un bateau marin.
Le tri apporte, semble t-il, plus de marge de sécurité.
Et c'est là que le bât blesse... avoir pour le même prix ... 3 à 4 fois plus de place en cata qu'en tri ou pire qu'en mono... c'est sans doute tentant pour la vie à bord !
Donc le choix du cata n'est pas rationnel, il est émotionnel et plaisir de vie à bord, avant la sécu "tout temps".
Ca a du sens pour l'apéro, l'accueil des copains et le grand voyage ! :alavotre:

11 mai 2015
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Si les pros sont en tri, c'est qu'ils sont plus polyvalents et donc plus performants.
La raison de la sécurité est mauvaise, sinon Peyron et Camas ne seraient jamais partis sur de tels monstres pour la route du Rhum. Ils savaient en partant de Saint Malo, qu'ils n'avaient pas le droit à l'erreur. La seule chose qui leur importait, c'était de gagner, ce qu'ils ont fait.
Pour le TDF sur les Diam, c'est une histoire de marketing et d'argent, les Tornado sont plus rapides et moins chers qu ces Diam24 qui sont casse gueule.

11 mai 2015
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Bon... je ne suis pas d'accord mais ... comme tu es passé sur cata :tesur:
....

11 mai 2015
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je suis effrayé de voir la tournure que semble prendre la democratisation de la plaisance. ce n'est pas une democratisation dans le sens d'une "accessibilité" aux plus modestes mais une sorte de mode qui fait que beaucoup vont sur l'eau sur des bateau assez recent et assez grand parce qu'il en ont les moyens..
on decrete que le bateau se fabrisue , se vend , est homologué dont est fiable ..c'est une conclusion totalement farfelue, j'ai encore regardé de pres un oceanis a PLS avec son arceau demesurement haut et sa bome inaccessible , c'est de la fumisterie
il a ete dit que selon les conditions tous les bateau seront en difficulté. Et bien non je milite pour le contraire= l'equipage et le bateaux ne doivent jamais etre en difficulté a cause de la meteo en pleine mer..une depression un peu forte sur la route des acores ce sont les conditions normale, et les adepte des suivis meteo , des balises et autre bequilles sont perpetuellement en danger.
acheter un bateau ca s'apprend...des années de navigations progressivement plus ardues et exposées , des prises de risques progerssive pour "voir" ce qui s'y passe, un ressenti des efforts en jeu , la gestion de la fatigue tout cela necessite au moins 10 -15 ans de nav tous temps.
le gros temps est une aubaine dans cette societe d'assistés petrifiés toujours desireuse de prendre des assurance aupres des tiers et incapable d'independance....nous avons le savoir la technique et la technologie a porté de main mais il faut du travail pour se les approprier.... ma conclusionle fait de partir sur un lagoon pour un modeste atlantique mord avec sa famille est tout a fait irresponsable le concept cata ou pas n'est pas le bon sujet.
mon bateau ideal si j'avais les sous est un tri 60 bate fauve des ocean a la fois plus rapide et plus sur car il faut avant tou tenir la bete...la mer n'est pas un salon de pont flottant c'est une communion avec l'element dans sa forme originelle , encore a porté de main des audacieux , mais pour combien d temps.
.
je plaide en peramanence pour des regle simple que je ne repeterai pas ici...la grande majorté en rit, moi j'eteinds l'ASN et je fais des pompes, chacun sa merde

11 mai 2015
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Pour ma part, je partage grandement ton propos. Au-delà du débat sur le type de bateau [qu'il faut surtout expérimenter, et longuement], la mer est sauvage et ne s'apprivoisera jamais, et c'est sans doute ce que l'on aime le plus chez Elle.
Rien n'empêche d'être intelligent dans les choix techniques, sans trop en faire parce qu'il faut garder le lien avec les forces brutes et ainsi avec l'intuition qui sauve.
Pour se faire, si je plaide pas mal pour le tri car c'est mon expérience, j'aimerais dire aussi que c'est parce que l'exiguïté de ces bateau en fait des véhicules simples ou le confort n'a pas vraiment sa place [et on s'en tape], comme les petits monos, que le marin ne s'endort pas et garde ainsi la vigilance dans son rapport étroit, proche des éléments.
Enfin quelque chose comme ça ! :reflechi:
Sur un gros cata, j'aurais peur ... d'endormir ma lucidité. Mais je n'ai pas essayé. Donc sans doute à voir un jour.
J'aime voir le flotteur sous le vent que s'enfonce doucement et ressort de la vague, me permettant, d'un simple coup d'œil (+ les fesses qui ressentent aussi un peu de gîte), où en est le rapport entre la puissance de mes voiles et l'état de la mer.

11 mai 2015
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je ne peus pas etre d accord avec toi quand tu dis :
les adepte des suivis meteo , des balises et autre bequilles sont perpetuellement en danger.
ca c est nier les regles d un bon sens marin
c est pas parce que je pronne le suivi meteo que je ne sais pas naviguer
c est tout simplement du bon sens
que de se simplifier et limiter les problemes !!!
pourquoi risquer sa vie et celle des autres coequipier et sauveteurs etc
quand on peut faire autrement
j irais plus loin dans cette direction
si tu veus faire sans le suivi meteo il ne faut pas appeler a l aide des qu un probleme survient
il faut prendre ses responsabilite et assumer seul !!!!
mais c est vrai dans ce monde ou il est normale d etre assiste
on part a l aventure sans prendre les securitees necessaire et pour moi elementaire et des que le gros temps survient on appelle parce que l on est fatigue c est quand meme trop facile !!!!
quand un bateau a fait plusieur 360 et que l on appelle les sauveteurs!!!!!
alors que le bateau n a rien et qu il pourrait continuer sa route et bien moi je dis qu il est bien preferable de prendre la meteo au paravant et suivre son evolution et ne pas se retrouver dans cette situation car autrement il ne faut pas appeler a l aide
en faite on sait deja que l annee prochaine il y aurat ce type de depression a ce moment de l annee et malheureusement
j ai peur que les memes problemes arrivent car les gens ne suivent pas ou ne veullent pas suivre des regles de securite possible avec un suivi meteo simple
peut etre meme qu on devrait oblige a avoir un possible suivi meteo sur tout les bateaux qui sont en cat A
et pourtant ceux qui me connaise savent que je suis pour une liberte totale
mais la ca me paraterait quand meme a envisager et d en rentre l acces tres bon marche

11 mai 2015
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ma convistion est que si on est accroc de la meteo c'est qu'on sait qu'on ne pat pas assumer le gros temps...voila mon sentiment.. je doute fort que ceux qui prennent la meteo 3 fois par jour aient jamais eu a subir du vrai gros temps..on me dira c'est le but , et bien nonle but est de rester en vie quoiqu'il arrive et ne pas se planquer derriere un paravent mobile.
.
effectivement si on choisi de s'exposer on n'appelle, pas au secours non plus d'ou pas de balise.
la secu c'est encore et encore: bateau incassable, etanche , voiles de gros temps, pilote toutes conditions, habitude a gerer les conditions musclées tant pour la manoeuvre que pour la vie a bord.
la meteo c'est bien pour le confort = ne pas se faire branler au pres si on peut faire autrement, c'est indispensable aussi au mouillage, pour le large ca ne participe pas a la securité.
.
je l'ai deja dit souvent dans conditions dangeureuses , on prend la cape ou la fuite selon ses habitudes..encore faut il que le bateau soit secure a ces allures et que le skipper en ait l'experience.
dites vous en plus que le gros temps ce n'est certainement pas 40-50 nds et/ou 5-6 m de creux, qui sont les condition ou il est devenu impossible de faire du pres; ca c'est du temps fort qui fait chier et gache un peu la traversée..le gros temps c'est autre chose a toujours l'eviter le jour ou on le rencontre sera fatal.

12 mai 201516 juin 2020
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Se soûler de grands mots et écumer de rage contre la société ne change rien à la physique... On sait depuis 40 ans que si la partie déferlante d'une vague atteint une hauteur égale au maître-bau, AUCUN VOILIER ne peut échapper au retournement complet. Dans une mer croisée, les trains de vagues venant de deux directions se rencontrent et l'amplitude d'une vague peut à certain instant être le double de la hauteur moyenne. Le forme pyramidale de ce type de vagues est particulièrement instable et elle peut basculer en déferlant sur une grande hauteur. Il suffit d'être là au mauvais moment...
C'est pourquoi j'ai toujours plaidé et je plaiderai toujours pour la meilleure couverture météo possible au large afin d'éviter de telles zones...
Je ne suis peut-être pas un bon marin, mais j'essaye d'utiliser mon intelligence et je souhaite devenir un vieux marin...

Une illustration qui m'a toujours donné à réfléchir...
et une autre: à une centaine de m près (tout à droite de l'image), ce voilier aurait-il survécu ?

12 mai 2015
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Ta remarque me ferait sourire si cette fillette avait survécu...

14 mai 2015
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Pour avoir fait beaucoup d'escalade en falaise, et de façon très engagée car c'est moi qui grimpais en tête, ton rapprochement du chavirage avec ce que l'on appelle en grimpe "un vol" quand on se casse la gueule en tête, est très approprié.
Pour avoir volé plusieurs fois et surtout une fois avec une chute libre de 20-25 m avant que la corde ne se tende ... pour me laisser en vie, c'est un très bon lien avec l'engagement que l'on prend lorsque l'on est au large dans le baston : la vague arrive elle nous soulève, ça déferle de partout, un coup de barre pour accompagner le mouvement du bateau dans le bon sens, ça pète de partout, on n'y voit plus rien pendant quelques instants, puis c'est passé, le bateau se redresse, on est encore dans le cockpit et en vie, on souffle, on se reconcentre pour la prochaine.

En grimpe c'est pareil, tu es particulièrement concentré sur tes appuis et tes références qui ne sont pas la barre ni l'inclinaison de la coque ou la forme que prend la vague, mais le poids de ton corps sur les pieds, la capacité de tes mais à rester accroché à la petite écaille de rocher que tu agrippes d'un doigt ou deux, l'inclinaison de ton corps pour te déplier en souplesse mais très fermement vers la prochaine bonne prise qui te fait retrouver la stabilité.
La grimpe en tête c'est ainsi une succession de déferlantes qu'il faut négocier correctement pour durer, rester en vie certes, mais surtout progresser. Et quand tu tombes, la tête se vide, le temps se fige, tu t'en remets au destin, au matériel, soit la corde, le point d'attache qui doit résister, le second qui ne doit pas bloquer la corde mais retenir en souplesse, si possible. Puis la corde se tend, s'étire, absorbe les G, et ton corps encaisse le retour sur la paroi, toujours brutal.
Un jour, pas de bol, ta tête heurte un rocher, 10 points. Un jour, sortie en final de nuit, au Verdon, 40 m sans un point d'attache 300 m au-dessus du vide, si je tombe c'est la fin, et j'entraine toute la cordée avec moi. Concentration extrême, pas de chute, tout le monde est vivant.

Tout ceci pour être dans le parallèle évident. Si nous aimons la montagne et la mer, c'est que nous aimons le danger, jouer avec la vie et la mort.
Celui qui ne reconnaît pas ça comme BASE du départ en mer pour le large ou en montagne dans une paroi verticale, est une sorte d'inconscient qui se ment à lui-même et accessoirement à son équipage ou sa cordée.
Le skipper ou le 1er de cordée doit assumer ce risque énorme, seul.
Le matos, le bateau, les cordes, ... tant mieux si on a bien pensé les choses, mais il faut surtout AIMER son bateau sans réserve, avoir confiance en lui comme dans sa corde que l'on changera à chaque chute, aimer la mer pour savoir flirter avec elle dans le baston parce qu'elle te caresse, certes violemment, mais c'est ainsi, tu as choisi le risque d'aller au large, et elle va te trouver, te défier, et là, tu va jouer avec ta vie (et celle des autres), tu va la sentir ta vie, tu auras peur d'ailleurs, tu vas mesurer la valeur de ta vie, la valeur de ce que tu aimes plus que tout, et au creux de chaque vague, à chaque mouvement qui te fait retrouver la stabilité dans la paroi, tu souris et tu ris, tu jouis carrément car la peur dominée ... à peu près, c'est quitter la matière du corps pour toucher l'invisible, l'éthérique, un morceau de l'âme sans doute, enfin, quelque chose de géant quoi, qu'on ne trouvera jamais au bar du port, mais seulement en larguant les amarres.

Alors cata, tri, mono, modèle caravane, bunker, ou libellule intelligente, ... à chacun son émotionnel et son intuition dans le choix, pourvu que le moment venu on n'ait suffisamment d'amour et de confiance dans ce bateau, dans cette corde qui nous retiens à la vie pour dire "ok, je pars, je la grimpe cette face nord".
Même si la déferlante, si la chute est dure, effrayante, à cet instant il ne faut pas avoir de regret et s'en remettre au destin, de toute sa force, de toute la confiance qu'il faut avoir dans la vie. :heu:

14 mai 2015
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Non, tu crois ? :whaou:
Je "ressens" les libellules mieux que les autres véhicules. A chacun son intuition ! Mais ça n'empêche pas de rester ouvert et surtout respectueux du choix de chacun.
J'ai un bon ami en suède qui va vendre son joli tri pour acheter un gros mono avec sa belle et partir au grand large. "Madame" a besoin de ça pour sa sécu. Respectable à 100%. Il aime sa femme !
Moi, ma femme a peur quand un bateau gîte. J'aime ma femme, j'ai acheté plusieurs coques reliées entre elles ! :cheri:

12 mai 2015
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Non. Ce qui a été dit, c'est si la hauteur de la partie déferlante dépasse le bau du voilier, il y a risque de chavirage.

12 mai 201516 juin 2020
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Merci du compliment...
Oui, à ma connaissance, ce que nous savons du chavirage résulte principalement des travaux déjà anciens de Claughton sur des modèles en bassin à l'université de Southampton (pdf joint)
Soyons clair: il s'agit de la hauteur de la partie de la vague qui déferle, pas de la hauteur totale de la vague (= la partie en gris sur ce schéma)
Je n'ai pas connaissance d'études qui montrerait que cette grossière estimation est fausse.


12 mai 2015
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Je croyais qu'il y avait un rapport avec la longueur à la flottaison du style 1/3 de la longueur à la flottaison...cela me "rassurait cela donnait 6,08 ,alors que la l'on tombe à 5m mdr je vais (encore !! qui a dit encore !,) moins sortir :langue2:

12 mai 2015
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C'est ce fil est consacré au cata et non pas au fait divers .

Par contre je dois dire que je fini par me mélanger et qu'il m'arrive de répondre à des remarque sur le fil consacré au naufrage.
N'est t il pas techniquement possible de faire le tri et de rediriger les commentaires "techniques" ou interrogateurs du fil consacré au naufrage vers celui ci ?

12 mai 2015
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pourquoi faire du pres dans des conditions pareilles????
la hauteur maxi des vagues vues par des cargos est de 35 m ( avec interfences) donc c'est comme ca y'a pas a le lamenter on va au charbon parce qu'on aime ca..
pour ce qui est de chavirer ca doit etre comme chute en alpinisme , le but unique et ultime de l'activité est de pouvoir gerer ces incident sans concequence physique ni materielle...si vous considérez que le chavirage est un accident redhibitoire il le sera pour vous. Si au contraire chaque element d'accastillage et d'amenagement a été fait pour etre adapté a cette circonstance la vous avez un bateau hauturier....sans oubliez d'etre a l'interieur a ce moment la bien planqué sous la couette.
contrairement a ce qui a été dit , ce n'est pas parce qu'on a chaviré une fois qu'on chavirera une seconde. La probabilité de se trouver deux fois de suite dans les memes circonstances qui sont rares ( vague pyramidale deferlante en particulier) est faible et c'est bien pour ca que vous vous foutez tous des bateau coffre fort..chacun sa logique de securité.
a ce titre la succes de l'AG balise m'a beaucoup attristé; on choisi de pouvoir appeler au secours plutot que ne jamais en ressentir le besoin..mais une situation ou l'on appel mayday et reellement dangeureuse , la mort est la...n'est pas plus securisant de ne jamais laissé les circonstance se degrader a ce point.
j'admets cependant que le prix de cette securité est bien superieur au prix d'une balise; c'est son seul avantage

14 mai 2015
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"Alors cata, tri, mono, modèle caravane, bunker, ou libellule intelligente, ..."
N'aurais tu pas du "partripris" ?

:heu: :langue2:

14 mai 2015
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Je fais un peu d escalade depuis deux ans et même si j ai un niveau débutant tres modeste je me reconnais dans ce que tu décris .

12 mai 201512 mai 2015
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@pytheas j'apprécie énormément tes contributions scientifiques et tes recherches sur les événements climatiques qui nous aident à comprendre. Ce que tu décris sur le chavirage si déferlante égale à la largeur de flottaison pour les monos est le résultat de test en labo. heureusement que ça ne se vérifie pas en pratique sinon il y aurait beaucoup de chavirages et les flottes seraient décimées !!

12 mai 2015
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... à condition de prendre la déferlante par le travers.

11 mai 2015
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bonjour à tous;suget mille fois evoquè et repètè mais à chaque accident ou coup de tabac ou des" malheureux" prennent une serieuse dèrouillè on y revient, comme si la mer avait changè et s'etait adaptèe à nos construtions souvent plus" designèes"dans un esprit plus marketing que marin!(pour rester poli) la mer est un univers hostile et qui n'a rien de romantique n'en deplaise au publiçitès sur papier glaçè !! demandez au marins pecheurs hauturiers ce qu'ils en pensent! 100 pour cent d'accord avec christophek! meme en prenant un maximum de precautions sur un long parcours il y a toujours un risque, et la meteo devient avec le rechauffement parfois imprevisible! pour l'anecdote(deja racontè10 fois) mon sistership= garçia passoa 47 deriveur integral alu renforçè etudiè pour les glaces 15/17 tonnes en charge; il y a quelques annèes direction patagonie,equipage de pros! dans le golf de gascogne en novembre mer dure mais maniable en route sous suedoise, brutalement un mur d'eau le bateau commençe à escalader mais n'arrive pas en haut, bascule tete par dessus cul! le skipper a pu suspendu à son harnais estimer la hauteur de la vague =le mat fait 18 m et à l'envers ne touchait pas l'eau...... le bateau s'est ecrasè à plat( verin de 15 tonnes necessaire pour redresser le roof par la suite) dematè,redressage rapide, derive centrale çisaillèe , une equipiere disparue harnais arrachè,skipper cotes cassèes, toutes les ampoules eclatèes(pression) deux equipiers valides desolidarisent les morceaux de mat de la coque (avec des clefs depuis les cadenes) remettent l le moteur en route et rentrent aux sables( reportage avec photos dans un vieux neptune)!! apres on peut ergotter se rassurer etc mais c'est toujours la mer qui deçide! alors autant mettre toutes les chances de son cotè ou alors se cantonner à faire du cabotage prudent ce qui pour pas mal de construtions modernes est deja pas mal !!au grand large les forçes sont colosals, par mauvais temps des cargos de 2/300 m se font regulierement arracher des morceaux de ferailles, alors de legeres construtions avec grandes baies vitrèes comme une villa??????? mais certains ont beaucoup de chançe! dans 6 mois ou un an on reprendra ce fil!!!!

11 mai 2015
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Il faut aussi se l'avouer : et si la mer c'était justement le plaisir d'aller vivre sa chance.
Soit encore [et je le pense l'ayant vécu en solo plusieurs fois] le besoin pour se "sentir vivant" de titiller sa chance, avec raison si possible, mais tout de même, d'aller casser la rationalité du monde quotidien, de sentir que nous ne sommes pas qu'un tas d'os et de chair et de neurones bien éduquée et que la mer nous révèle magnifiquement, les autres dimensions de notre être fabuleux, même si parfois, souvent même, c'est douloureux voir mortel.
Pour celui qui en lui cette dimension du dépassement de soi, la mer et un vecteur extraordinaire.
D'autres voies apportent ce dépassement. La mer est "totale" quand on est loin au large.
Alors reconnaissons le pour certains : nous recherchons le risque, pour caresser notre chance, qui est bien là surtout si on l'entraîne, et pour défier la mort et ainsi sentir les plus beau nectar de vie.
Juste que des fois, la chance est en panne.
Humilité et confiance.
:heu:

11 mai 2015
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faire une transat il vaut mieux partir quand il fait mauvais ,car le beau temps ne présage rien de bon , c'est impossible de faire une prévision à trois semaines ,avec les moyens modernes on peut recevoir des bulletins en mer et tracer sa route en fonction dans la mesure ou on sait le faire ,le temps du fax météo est révolu , j'aimais bien ,avec les fichiers gribb reçus par iridium on peut quand même s'adapter ,
mais comme je l'ai dit sur un autre post ,avec tous ces moyens obligatoires :balise AIS ,exct .. on déresponsabilise les équipages ; si ça va pas on viendra nous chercher .
devient la réflexion générale ..
le mono en alu qui a coulé l'année dernière avait la descente ouverte en grand et le barreur s'amusait avec un voilier surtoilé à surfer sur la houle ,un coup il c'est loupé et le bato c'est remplit .....cqfd..
ça m'est arrivé avec le Hood mkII au moment ou je venais d'ouvrir le panneau supérieur pour rentrer à bord je me suis fait coiffer par l'arrière malgré mon corps qui bouchait une partie de la descente on a embarqué par loin de 300l d'eau
en une seconde .si je n'avais pas été devant rien qu'avec la demi porte c 'était au moins le double ..
une traversée peut être un jolie ballade qui peut vite tourner au drame ,il faut en être conscient ..
je suis entièrement d'accord avec motu ......
alain

11 mai 2015
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Je ne pense pas que les gens partent en se disant , si ça merde on viendra nous chercher , par contre bien d accord avec motutungaga ,il faut de l apprentissage , chez fait le salon du multicoque l an passé j étai sur un 50 pieds rapide . J ai eue pas mal de visite de gens qui en qq secondes de discussion n avait rien a faire sur ce genre de bateau et qui pourtant me disait qu il voulait partir sur ce genre pour un tour du monde ......

11 mai 2015
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Bonjour
Aller encore une fois.
Je vous donne comme exemple ma petite expérience !!
Je ne suis pas un marin mais la mer m'a toujours attirée (plongée, plage encore plongée ,pétanque sur la plage, odeur d'iode ,plateau de fruits de mer ect ect ) quand j'ai pris ma retraite mon idée était d'acheter un bateau, j'ai acheté un catamaran de 30 pieds, un ami skippeur m'a appris et m'a fait aimer ce style de bateau (facile à manœuvrer ,facile à habiter, confortable )nous nous sommes mis à faire du camping-car sur l'eau!! . Nous avons traversé la Méditerranée pour la Corse le bateau, c'est fait secoué au Cap puis nous sommes partis pour la Sardaigne ,les Bouches ont été sympas. Tout ça pour dire aux détracteurs du catamaran. Si j'ai choisi le multi coques s'est pour son confort sa surface de vie pour sa simplicité pouvoir boire mon café sans le retrouver sur la table et pour la sécurité pour l'instant je reste et resterais cata. je garde ma voiture même s'il y a beaucoup d'accidents sur les routes (non je n'ai pas acheté de char d'assaut même s'ils sont plus sur) . Nous continuerons nos petites fêtes même s'il y a danger pour le foie et je pense que les fumeurs vont encore fumer même s'ils sont conscient du danger.Allé bonne journée sur l'eau et sur vos bateaux

Jean :alavotre:

11 mai 2015
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sur les photos du mono en alu (TAO) qui a coulé l'année derniere,on voit l'annexe semi rigide suspendue a l'arriere (sur la video des coast guards, on la voit a l'eau)
sur ce seul constat,je me permets de me poser quelques questions????? j'ai traversé trois fois dans ce sens et ne me serais jamais permis de garder l'annexe
dans cette position.
quand je parcours les blogs evoquant la preparation de grandes navigations, je suis effaré par la quantité d'electronique embarquée par les futurs voyageurs. ils veulent aller sur l'eau et leur securité, ils pensent la devoir a des contacts avec la terre.
allo maman bobo........

11 mai 2015
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et je suis sur que comme ils ,ne prevois rien leur electronique n'est pas waterproof ni protegée des EMC...bref ca sert a que dalle.
excusez moi je suis de plus en plus furax

15 mai 2015
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Bonjour,
j' en arrive à me demander si c' est grâce ou à cause de toutes ces soit-disant "aides à la navigation" qu' il y-a autant de monde sur l' eau.
Il me semble avoir lu l' année dernière que le président de la SNSM avait déclaré "à juste titre" que 90 % des plaisanciers étaient incapable de s' en passer!
Si aujourd'hui on supprimait le GPS, traceur de route, balise, etc... et l' assurance tout risque, les "skippers" réfléchiraient sûrement un peu plus avant d' appareiller pour une transat retour à cette saison sur une caravane flottante.
Il y-a 30 ou 40 ans, ce genre de drame n' existait quasiment pas car ceux qui partaient en mer ne contaient que sur eux, pas sur une hypothétique assistance.
Je sais que je vais en faire bondir beaucoup, mais comme Motu, çà me rend furax.
Bon vent à tous mais pas trop quand-même!
Gorlann

15 mai 2015
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Très peu d accident par rapport aux monbres de bateau qui transats .internet diffuse aussi rapidement les infos genre sur HEO

11 mai 2015
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bonsoir, il faut arrêter de croire que les constructeurs de bateaux les font pour aller sur l'eau .... c'est juste de la frime pour les ports et les mouillages tranquilles. C'est ce que demandent les clients. Ce qui est dramatique ce sont les vendeurs, qui ont rarement fait du bateau, et qui vantent les capacités sécuritaires de leur unité. C'est çà qui est dangereux. Pour faire la traversée aller ou retour on charge les bateaux dans des cargos transporteurs et c'est très bien.
C'est ce genre de plaisance que nous préparent les chantiers et pour ceux, très peu, qui veulent un vrai bateau et bien ils se font les plans et se dirigent vers de la construction personnalisée.
Qui voudrait actuellement du bateau de Bardiaux tout inox ?
Gilles qui ne s'écarte rarement de plus de 10 miles des côtes...

11 mai 201516 juin 2020
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Un bon multi n'est pas dangereux, il demande de l'attention et de l'anticipation dans du gros temps, bref d'avoir le "sens marin".
.
Depuis un moment nous sommes nombreux à dire que les lagoon sont dangereux pour la haute mer. On nous rigole souvent au nez en nous expliquant que vu le nombre qui ont traversés sans problème ce sont de bons bateaux. Je suis bien triste que la mort d'une petite fille nous donne raison.
.
Je suis d'accord avec Motutungaga pour dire qu'il faudrait que certains plaisanciers se responsabilisent un peu en arrêtant de penser que l'électronique peut les sauver, sans se préoccuper de la capacité de l'équipage ou du bateau à affronter le mauvais.
.
En revanche prendre régulièrement la météo ne me semble pas incompatible avec je sais gérer. Je pense être capable et mon bateau aussi (pas assez naviguer avec pour confirmer) pour prendre du gros mauvais temps. J'en ai déjà pris plusieurs fois avec des multicoques de tailles différentes (8m-17.5m) dans des mers différentes (med, atlantique, manche, mer du nord) et bien malgré cela, je n'apprécie toujours pas. Si en regardant la météo 3x par jour je peux m’empêcher de me faire branler moi et ma famille tant mieux, si je suis dedans je fais avec.
La dernière fois que j'ai pris un petit coup de vent, (35nds établi) avec mon tri, c'était en famille. Quand je voyais mes filles vomir, je m'en voulais de les avoir emmener là. On aurait été beaucoup mieux à laisser passer le coup de vent au mouillage et partir quelques jours plus tard.
Dernier point, avant d'affronter du mauvais temps, il faut avoir été initié, si ce n'est pas le cas, alors oui, il vaut mieux rester au port pour avoir trop regarder la météo, mais rester en vie.

12 mai 2015
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Le mauvais temps est une valeur relative qui depend dans l'ordre de l'experience du skipper, de celle de l'equipage, de la qualite de preparation du bateau et enfin du bateau. Ceci dit je n'irai pas faire une traversee avec certaines contruction recentes dont le fardage defient le bon sens et certainement les lois de la physique.

12 mai 2015
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s il vous plait arretez de faire le proces des lagon et compagnie
nous n avons pas eu pour le moment l info que c etait le style ou l encombrement du bateau qui a provoque la catastrophe dhistoire d o
on nous a juste parle d un incendie
et d autre part c est vrai que ces bateaux sont moins marin ou moins facile a manoeuvrer que d autre mais pour moi ce sont des fiftys et si bien motorise possible a manipuler comme tel
ils sont gros et donc ont beaucoup de fardage
etant d autre part tres lourd ils ne sont pas non plus tres facile a retourner
je pense simplement qu il faudrait une autre appelation car on ne peut pas comparer un laggon et un lerouge c est une approche totalement differente et pas adapte a la meme clientele !!
l un est une maison deplacable comme un petit cargo et l autre un bateau pour s amuser avec le vent et aller ou on le souhaite
biensur qu ils ont des conceptions differentes !!!!

12 mai 2015
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"Rêves d'Ô" juste par respect

12 mai 2015
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Si je n'aime pas ces bateaux, c'est aussi pour une question de structure. Certains multis mal construits sont devenus mous structurellement après une année sabbatique. Un bateau qui ne peut supporter qu'un ou deux coup de vent, c'est pas normal.
Le hauturier n'est pas le fort de ces bateaux, il faut le savoir. Si on veut faire du côtier ou semi hauturier, il s sont supers, pour de la navigation hors des sentiers battus, ils ne sont pas adaptés.

12 mai 2015
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Sans pour autant remettre en cause la cata, on est libre après tout, le monocoque est un bateau qui "pardonne" plus au marin. En effet on a vu nombre de mono qui se sont fait coucher voir plus et qui se sont redresser ensuite pour poursuivre leur route. Le cata, c'est un peu comme un dériveur : ça va vite, c'est très habitable et plus confortable mais quand ça bastonne ça ne pardonne plus. Pas question de se coucher, de sancir... parce que là quand est à la baille c'est pour de bon.
Personnellement je pense qu'il faut être un bon voileux pour assurer avec de tels bateaux. Pour ma part, mon vieil Sun Odyssey45.1 m'a beaucoup pardonné et continue à amortir mes bêtises. Je ne sais pas si je serai encore là si j'avais eu un cata.

12 mai 2015
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Les embarcations à moteur de 5.2m sont-elles dangereuses?

www.leparisien.fr[...]687.php

12 mai 201516 juin 2020
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Bon je continue ici la "dérive" commencée sur le fil consacré au fait divers .
Celle là n'est pas mal non plus (pompée sur wiki)
Et j'aime bien la conclusion de la "communication" à bord de la Jeanne.

12 mai 2015
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jolie la vague

12 mai 2015
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Ce fil ayant été initié pour les Cata, je vous propose, concernant l'évacuation du Swan norvegien, je vous propose d'échanger sur ce fil :

www.hisse-et-oh.com[...]-acores

12 mai 2015
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J'avais donné un lien il y a quelques mois.......Qui est resté sans suite........
Je vous le remets.
Désolé de vous prendre la tête.
www.hisse-et-oh.com[...]ottante

D'abord, il faut dire que de nombreux marins vont pendant des années sans avoir à faire face à des situations météorologiques extrêmes, même si l'océan de passage. Moderne prévisions météorologiques et la capacité à obtenir des détails lorsque Mid Ocean via le SSB, jambon radio ou téléphone satellite, et téléchargement de télécopies météorologiques ou fichiers météo ont amélioré la situation infiniment. Partant de la rive avec la connaissance que vous avez une fenêtre météo raisonnable est un appel loin de l'époque de Joshua Slocum.

Si les conditions deviennent graves en mer, cela signifie généralement des vents de plus de 40 noeuds et pour les petits bateaux de plus de 30 nœuds est souvent pas très bon. La longueur de temps le vent a soufflé dans une direction et l'extraction aura une incidence sur la hauteur des vagues. L'autre facteur est les courants océaniques - un vent contre la marée ou le courant va créer une plus grande mer que peut être prévu. Estimation de la hauteur des vagues quand dehors parmi eux est pas facile, il est tellement plus facile si vous voyez un autre bateau là-bas pour donner une certaine échelle.

Pas de deux situations peuvent être exactement le même, mais en général, les choix sont à continuer de naviguer à voile raccourcie, poussant à, couché une coque, la course au large avant que le vent avec peu ou pas de voiles jusqu'à remorquage généralement une drogue derrière le navire ou l'aide d'un ancre parachute.

Je l'ai indiqué dans les pages suivantes quelques comptes de Wharram Catamarans dans de telles situations. Il est tout à fait un long récit - vous voudrez peut-être juste pour lire les conclusions à la fin! Cependant, il ya quelque chose à apprendre de chacune de ces expériences et le résultat réjouissant est que tous ces Catamarans Wharram venu travers toute sécurité.

Dans une certaine mesure, cela est un travail en cours et je accueillir d'autres rapports.

Mes coordonnées sont à la fin de l'article.

Je viens d'énumérer les rapports dans les catégories suivantes:

Ecoulage le vent
Remorquage chaînes ou une ancre flottante
Continuer de naviguer au vent
Ahull Allongé
Poussant à
Parachute ancres marines

  1. continuer de naviguer couler VENT Capitaine Voss 38 pieds 'Tilikum'

Capitaine Voss le célèbre marin de l'océan a été l'un des premiers à écrire sur les dangers de l'exécution de vent trop vite vers le bas. Il a navigué autour de la plupart du monde dans ses trois mâts, 38 pieds (11,6 millions) voile "canot" indiquant en 1901. Bien que ce bateau était pas un catamaran il est une histoire mérite d'être racontée. Il montre que les problèmes de la voile sous le vent ont été reconnus pendant des années et il est un excellent description.

Dans son livre, il raconte au départ Tasmanie destination de Invercargill au Sud de la Nouvelle-Zélande et avant longtemps, il y avait une tempête.

"Le vent a continué de soufflage et le bateau a augmenté sa vitesse car il est devenu plus fort. Je pris une voile après l'autre jusqu'à ce qu'elle a été exécuté sous grand-voile seule une ... Dans courir avec le vent et la mer, je pourrais rester dans le cockpit avec le timon dans ma main, heure après heure, et la regarde aller le long. Voile de ce genre est un plaisir.

Il était quatre heures de l'après-midi, le vent a augmenté, et les mers deviennent plus grandes. et je me disais à propos poussant à, quand tout d'un coup je entendu le bruit d'une mer de rupture à venir derrière nous ... il est avéré être un mauvais et le bateau n'a pas été assez rapide pour élever sa poupe à l'occasion , de sorte que la mer a éclaté sur nous ... .après ce rappel je Hove à sous ancre flottante et la voile équitation ... .Apparently l'Tilikum beaucoup apprécié, soulevant son corps sur les grandes mers avec presque autant de facilité que l'albatros, dont un grand nombre grouillait autour de nous ".

La mer ancrage mentionné était une structure de toile épaisse de forme conique quatre pieds (1,2 m) de long avec la bouche du cône maintenues ouvertes avec un anneau de métal galvanisé d'un diamètre de 22 pouces (56cm). Quatre lignes ont été fixées autour de l'anneau, et puis ils ont été enchaînés à la chaîne de 150 pieds (50 m) de long.

Cette structure a été plus d'une taille qui seraient ces jours seront appelés une ancre flottante.

Compte Voss nous rappelle combien il est facile de descendre le vent, surtout si vous êtes dans la bonne direction pour votre destination! Très souvent, on ne remarque pas la force du vent de plus en plus jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Si la voile au vent vous avez beaucoup d'avertissement de la détérioration des conditions que la motion du bateau devient plus violente, pulvérisation commence à voler et les ponts sont humides. Généralement lors de l'exécution, si les mers ne sont pas briser, puis les conditions ne sont pas trop mauvais. Mais en cours d'exécution dans les grandes mers de rupture peut entraîner pour le surf à peut-être 15 nœuds ou plus dans un catamaran, même à sec de toile, et bien que Wharram Catamarans piste incroyablement bien, les choses se passent très rapidement à la vitesse. Directeur en mousse, brisant mers est pas fiable et il ya toujours la possibilité d'aborder ou d'enterrer les arcs dans le dos de la vague à venir, même si vous n'êtes pas le malheur de faire une pause de la mer sur votre bateau. Les broches se produisent plus rapidement plus vous allez vite.

Avant que je commencé la voile océanique je l'avais imaginé 'longueurs' de très longues de briser mers qui pèse sur votre bateau similaire à vagues se brisant sur ??une plage. Mais en fait, les plaques de rupture crêtes sur chaque approche mer semblent plus aléatoire. Parfois, vous êtes pris par un énorme, mer forte qui ne casse pas, à d'autres moments de la mer qui se rompt juste comme il vous atteint et causer plus de mal! Donc, dans une certaine mesure, il est la chance si vous les éviter ou non. La plus grande force du vent les plus de zones de rupture mer.

La réponse est de ralentir et de réduire l'énergie cinétique de votre bateau.

  1. T RAILING WARPS OU UNE DROGUE

James Wharram, tel que décrit dans son livre «Deux Filles deux catamarans», a eu de bons résultats de remorquage pneus et de la chaîne sur la fin d'une longue chaîne.

Autres drogues commerciaux sont:

«Sea-frein» www.seabrake.com[...] , un dispositif conique avec des rabats qui ouvrent vers l'intérieur sous pression,
«Sea Griffe ' www.paraseaanchor.com[...]aw.html ,
le «coureur Gale ' www.hathaways.com[...]lerider ,
La drogue la Jordanie série de www.jordanseriesdrogue.com[...] .

Seabrake_2.jpg

Figue. 1 Seabrake

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Figue. 2 Seaclaw

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Figue. 3 Galerider

Jordans série drogue.png

Figue. 4 Jordan Seadrogue

Tangaroa Tasman warps.jpg 1977_trailing

Remorquage déforme le Tangaroa "KM", tandis que la direction de la main, en traversant la mer de Tasman en 1976. Ruth Wharram était à bord et a pris la photo.

George Payne, 36 pieds Raka 'Raka'

George Payne, qui a construit le premier 36 pieds Raka, a écrit un compte classique de ses expériences lors du retour avec son équipage de quatre personnes après une course d'Angleterre pour les Açores en 1977. Ruth Wharram était à bord comme membres d'équipage et le navigateur. Ils ont connu des vents de force 9 et énormes mers pendant 5 jours et surfaient jusqu'à 11 nœuds parfois sous les poteaux nus. Ils étaient braquage à main et mis hors de la poupe d'une anse de la chaîne avec une certaine compensation filetée sur elle enfermant 6 planches de pied pour les ralentir qui semblait aider un peu. Cependant, il écrit -

"Quelque temps le mercredi après-midi, deux d'entre nous étaient assis sur le pont, heureusement garanti par des harnais, quand nous avons commencé à surfer sur une vague bas. L'arc plongé dans, et la vague suivante nous a complètement submergé. Ceci est la fin que je pensais, Roy a été balayé contre le mât. Mon prochain vue de Raka était de lui sortant de l'eau comme un sous-marin de surfaçage - Oh joie ce un bateau! Pas une seule fois nous nous sentons qu'elle chavirer la coque sur la coque mais enfournement semblait une possibilité, mais il ya une théorie basée sur les pratiques polynésiennes cette amende fortement incliné arcs plongent à travers plutôt que se déclenchent en place, lors de la saisie des vagues. Ce ne fut pas le temps de théoriser cependant, que devrions-nous faire maintenant? Nous pouvions voir nos chaînes de suivi ont été lavés vers notre arrière lorsque ces crèmes ont balayé vers le bas, de sorte que nous en streaming seaux de toile sur 200 pieds de la ligne d'avoir une emprise sur la vague au-delà de celui qui nous menace immédiatement. Ce fait le tour même si nous avons continué Sud-Est de 2 à 3 noeuds ".

Cela souligne la nécessité de ne pas aller trop vite et aussi d'avoir un dispositif de traînée adéquate sur une durée suffisamment longue chaîne. Une centaine de mètres est probablement une bonne idée.

Il mentionne également dans l'article la pression sur l'équipage et de l'exposition sur le pont avec un coup qui va pendant plusieurs jours.

Raka Atlantique 1977-4 b & W.jpg

36 pieds Raka en tempête de l'Atlantique de fuite chaînes, photos par Ruth Wharram

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John Bellenger, 45 pieds Oro "Pyxis"

Pyxis rencontre son pire tempête - rapporté dans le magazine ne peut Sailor 1991 l'homme

John Bellenger construit son 45 pieds Oro au Canada et a navigué et a vécu à bord pendant quinze ans. Dans cette lettre à l'Wharrams il décrit sa pire tempête encore en route de Sydney, en Australie à Tonga.

"Nous avons été surpris par la tempête la plus puissante que nous étions jamais, y compris l'Atlantique Nord. Pyxis chevauchait à travers elle avec rassurer réconfortante, la facilité et à la dignité, à l'exception d'une vague qui a été bouleversé par une vague de côté de roulement et cela a balayé les ponts avec plusieurs pieds de moussage mers, déplacé de quelques conteneurs de combustible nous avions ancré aux ponts - mais passé presque immédiatement à travers les lattes et les grands trous de dalots. Il ne dure que trois jours, mais il a semblé comme une éternité.

Sur transporter dans notre pneu drogue «Jim Brown», nous avons vu que l'un des trois câbles en acier inoxydable sur il a été cassé, un deuxième a été seulement tient par quelques brins! La troisième et dernière était assez usé. (La drogue était un gros pneu remorqué sur le bord avec plis lourds dans le trou central).

Plus tard, comme il y avait encore beaucoup de vent avec une mer complètement développés (nous sommes partis que le jumeau minuscule flèches vers le haut (4 lofe de pied et juste assez grand pour atteindre à l'extrémité de la poutre) puis nous avons mis l'autohelm 3000 sur et sommes allés dormir - épuisés ... ..nous cuit, dormi, lu et a eu un jour de congé.

À notre grand étonnement, le lendemain nous avions voyagé 180 miles, ce avec nonchalance et désinvolture. ... ..Nous Ont entendu parler de plusieurs mauvaises incidents en multicoques qui fixent les grandes chutes des arcs et obtenu côté, parce que la gouverne de direction de capture (comme jeter une fléchette arrière! Malgré ce qui a été écrit, nous préférons l'assurance des drogues et des ancres plutôt que le genre de l'assurance de papier ".

Henk et Gini De Velde, 45 pieds Oro 'Orowa'

Dans Cyclone Oscar dans l'océan Indien en 1983.

Henk et Gini De Velde, avec leur jeune fils né à l'île de Pâques, avait été en croisière autour du monde pour les cinq ans et demi précédents. Ils ont quitté l'île Christmas 19 Octobre 1983 à destination de la Mauritius 3000 miles de distance et faites bon kilométrage dans les vents de SE commerciales. Six jours sur le vent était une constante de 40 nœuds et Henk restés debout toute la montre en tenue de nuit, l'auto-directeur girouette bien composer, un petit foc dessin fortement. Le lendemain, avec le renforcement des vents et des mers bosses de l'eau blanche en mouvement, ils ont vu aa navire porte-conteneurs et a appris au cours de la VHF que cyclone Oscar avait développé et était de 200 miles au nord et aller vers les autres.

Ils ont défriché les ponts aussi bien que possible et fouetté tout vers le bas. Ils espéraient échapper en courant vers l'ouest puis nord-ouest (cyclones circulent dans le sens horaire dans l'hémisphère sud). En milieu d'après midi "l'enfer se déchaîna ... le vent devenait plus fort 60, 70 noeuds et plus. Il est difficile d'estimer la hauteur des vagues, mais ils étaient sûrement 80 pieds, les 15 derniers pieds étant mousse transparente bleu clair. Le vent hurlait si fort que je crus entendre des voix humaines en péril. Deux fois le bateau abordé d'une manière extravagante, presque latéralement sur ??le vent et la mer. Le rempart emporté, tout déchiré. Le pont est détaché de la coque et de la poutre avant a cassé ... .Pour 48 heures Henk a été fouetté sur la barre avec trois cordes déterminé à survivre. Ses pantalons étaient chaffed travers, que ses mains saignent et l'intérieur de ses bras étaient écorchés, Orowa commencé à fuir partout. Le flexible à travers les connexions de pont de poutres transversales déplacé dangereusement ".

Gini apporté de la nourriture et des boissons à Henk régulièrement. Pour leur soulagement après 44 heures le vent est tombé à environ 50 noeuds et ils ont soulevé un peu plus avant la voile pour devancer les immenses mers de rupture. Après 4 jours Total de la pire passé et après encore 8 jours, ils sont arrivés dans l'atoll de Diego Garcia où ils ont pu se reposer et faire des réparations.

Cette expérience est exceptionnelle en ce sens qu'ils ont été forcés de continuer à naviguer sans remorquage d'une drogue sous un tourmentin pour essayer de fuir la trajectoire du cyclone. Henk dit: -

"Selon la station météo satellite sur Diego Garcia notre Bien sûr, nous avons dû être à seulement 50 miles ou de l'œil avec des vents allant jusqu'à 85 noeuds. Je suis un marin professionnel (Néerlandais de la marine marchande, Maître autorisé) et utilisé pour l'hiver de l'Atlantique Nord. Plusieurs fois, nous avons vu la force du vent 12 (62 noeuds) avec des rafales plus élevé, mais je ont jamais vu de telles vagues hautes et dangereuses que ce cyclone, et je l'espère ne jamais les revoir ".

Don Henderson, 50 pieds Tehini 'Coromandel'

Don Henderson qui bénéficie grandement voile sur son bien construit 50 pieds Tehini Coromandel m'a écrit de Savu Savu à Fidji concernant sa pire expérience: -

"L'incident a été en Juin 2002 et nous allions Nord de la Nouvelle-Zélande vers les îles Kermadec. Le mauvais temps a duré trois jours avec les mers jusqu'à 50 pieds et je suppose que le vent aurait pu être 70 avec rafales à 90 noeuds à la fois.

Nous avons navigué avec le temps, au sud puis à l'ouest et certainement la main directrices, mais il y avait 11 barreur (plusieurs adolescents à bord). Dans la journée tout le monde voulait à la barre, il était tellement amusant! Je voudrais une ancre parachute, mais parfois, quand je viens de main rugueuse Steer Coromandel dans un mode de décrochage dans les fers afin de parler, ou à la cape et il est très confortable. Pas cette fois, cependant, que les vagues étaient comme, surf géant.

Je traînais deux pneus de voiture derrière Coromandel sur plus de 100 mètres de chaîne. Sans la drogue, nous aurions souvent toucher 14 noeuds surf. Nous pourrions même encore mettre la table avec nos plaques vaisselle et tasses pour nourrir l'équipage faim des «fous»

Coromandel subi aucun dommage que ce soit. Nous nous sommes sentis tout à fait sûr et elle a toujours levé à toutes les vagues, avant et derrière. Au début comme le temps détériorée je dépouillé tous les engins 'délicate' sur les ponts, et arrimé voiles ci-dessous. Nous avons changé notre position jusqu'à ce que nous étions plus à l'aise, qui se trouvait être un peu hors course directement avec les mers. Nous ne sommes pas planter ou bash sous le centre pod beaucoup à tous. Il est de 700 mm au-dessus de l'eau.

Battre Rettenmund, Tiki 38 'Aluna »

Aluna est venu grâce à un système de temps vraiment féroce avec des vents de 60 nœuds, sur son chemin jusqu'à Tonga récemment de Nouvelle-Zélande (Août 2012) Le pire a duré 24 heures. Il avait un système assez substantielle traîné de la poupe Aluna, une bride, puis 80 mètres de chaîne de nylon puis un pneu et derrière un diamètre parachute de quatre pieds drogue. Il a été remis à court et équipage mal de mer n'a pas apaiser la situation, les talles ont été fouetté. L'idée était que la poupe se tiendrait de manière adéquate dans les mers pendant qu'ils l'abri sous le pont, mais Aluna serait tomber, se trouvent faisceau sur des crêtes déferlantes et serait la secouer violemment à la fois.

Cependant James l'avait bien conçu et battre l'avait construit bien - elle est venue grâce à leur secours indemne.

Battre vivement décrit quand il était dans sa couchette pendant la tempête: -

"Après quelques heures d'obscurité chaotique et impitoyable Je dois avoir dormi hors éventuellement parce que si vivement Je me souviens encore de se réveiller suspendu un pied ou dessus de la surface rembourrée de la couchette, mon corps un seconde plongeant tard bas dur sur le matelas, puis d'être douchés avec les douzaine de livres que je l'avais empilées en arrière sur l'étagère à côté de moi avant de ramper dans le lit. Curieusement, je me souviens aussi clairement la seconde ou deux avant que lorsque le sifflement d'un disjoncteur approche rampe jusqu'à son volume acoustique fortement avant qu'il ne nous a frappé avec une telle force violente qui a secoué Aluna violemment d'avant en arrière trois fois.

Maintenant clairement tous les paris étaient éteints et la possibilité de quelque chose va très mal tourné était devenu une réalité appuyant ........ Il n'y avait plus endormies pour le reste de la nuit. Je suis monté jusqu'à chaque vague et a glissé vers le bas tous les creux avec un cristal claire conscience de la puissance infinie de chaos et à la présence absolue de l'âme suspendue dans les limbes impitoyable entre la vie et la mort. Les heures ont glissé dans l'obscurité avec la lenteur de l'ONU perceptible. Le bourdonnement hurlant dans le gréement poursuivie sans relâche. Deux autres disjoncteurs secoué Aluna au cœur même de son ancienne robustesse polynésienne.

Enfin, enfin vers les premières heures du matin la fureur a commencé à alléger ............ et quand la lumière du jour avait brisé je osé jeter un regard sur l'escalier, attendant de voir les choses en lambeaux sur le pont. Étonnamment tout était à sa place, mouillé mais sain et sauf. La mer était encore tumultueuse, poussant à nous de toutes les directions, mais le ciel était dégagé ".

Après la tempête sur le transport de la drogue de retour à bord, il a été constaté que le matériau de la drogue était devenue enchevêtrement d dans une ligne d'emballage et il était effondré. Battre a un blog, lire la suite de son expérience dans la tempête et de son voyage voir alunaboat.wordpress.com[...]you-go/

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Tiki 38 'Aluna »dans la tempête

Mike Lynn, Pahi 42 'Mère Océan'

Mike Lynn lors de la traversée de l'Atlantique en 2010 sur «Mère Océan ' remorqué une anse de 50 mètres de chaîne dans l'Atlantique avec de bons résultats dans les cinq jours de force 9 force de rafales 10 - voir wharram.com[...]de/3740 . Ils dirigés main tout le temps. Avant de mettre sur la chaîne qu'ils avaient surfé parfois à 14,7 nœuds sous les poteaux nus.

Ted Vitale, 35 pieds Tangaroa "Los Dos '

Le vent le plus féroce que je l'ai entendu parler était d'un collègue marin Gary qui a rapporté: -

"Le bateau était une belle Tangaroa 35 pieds nommé" Los Dos "skippé par Ted Vitale. L'année a été 1984, et un ouragan au large de Baja California. Il avait eu 20 bateaux au fil des ans, y compris monos, tris et les chats et après l'ouragan, il dit le Wharram était le meilleur bateau pour avoir été dans un ouragan.

Il a quitté en direction de Cabo Magdelena Bay, à environ 150 miles au nord. Il a figuré que si l'ouragan rattrapa il obtiendrait assez de vent pour rester en tête de lui et entrer dans l'abri, mais il surprit lui si vite tout ce qu'il pouvait faire était de courir sous le vent qui dans ce cas est à l'ouest. Comme l'ouragan est venu au nord entre lui et la terre qu'il devait diriger vers le sud, puis vers l'Est, essentiellement voile autour de la tempête en faisant glisser chaque ligne et l'ancre à bord et laisser le bœuf de girouette alors qu'il est resté à l'intérieur. Il a dit qu'il était comme glisser sur les grandes collines blanches. Tout était blanc et il ne pouvait pas face au vent. Il était en elle pendant environ 24 heures et le lendemain matin, il a parlé à un navire sur la fréquence VHF qui avait été dans la même zone et ont dit qu'ils cadencé à 100 noeuds ".

Dave Vinnicombe, «Dragon» Tiki 38

Dave fait un voyage très réussi en 2009 à partir de l'Afrique du Sud en Nouvelle-Zélande via Panama. Je lui demandai si il avait des ruptures, "une seule tasse de café" était la réponse!

Il est favorable à l'aide d'une drogue de série Jordanie et a écrit: -

«Je utilisé la drogue Jordanie en colère au large de la côte de la Colombie d'une nuit. Il est un peu lourd de kit pesant environ 50 kg avec sa longue durée de rode et la bride. Je n'y ai pas attaché assez bien pour le tube d'étambot arrière et quand il est venu en charge les boucles glissé hors des extrémités du tube et il a été perdu !! AS Dragon faisait maintenant 7kts à sec de toile avec des nuages ??montrant plus de vent à venir et le bâtiment des mers, le plan B était d'utiliser mon ancre monté comme une chaîne dans une anse hors le tube d'étambot. Cette 50m Composée de nylon, de 15m de chaîne de 8mm. Ajoutai-je à propos de 15m de la ligne à la fin de la chaîne et sécurisée tout bien le tube d'étambot et soulagé une extrémité de la ligne à l'eau et nous avons payé dehors. Très facile à gréer et à déployer.

Dragon a ralenti à environ 2 noeuds. Je mets la girouette pour aider à orienter le vent. Alors faites une tasse de café et regardé le spectacle. Mis à part le bruit, le mouvement était facile et dragon rose à vagues, sa pirogue poupe agir comme un arc et des vagues déferlantes passaient sous sur leur chemin sans se mouiller les ponts!

Le lendemain matin, le vent est tombé à 30 nœuds et je récupère la drogue en tirant simplement sur ??une extrémité jusqu'à tout est venu à bord. Je pouvais écailler la rode comme il est venu rendant ainsi le ranger facilement.

Au Panama ai sauvé un pneu à glisser sur la rode comme une traînée supplémentaire si jamais je besoin. Une nuit sur ??les choses Marquises a vraiment méchant et je déployé la «tige d'ancrage drogue» à nouveau, sans utiliser le pneu. Là encore, le résultat a été une promenade tranquille (par rapport à ce qui se passait avant) avec Dragon chevaucher les vagues trop sévère très confortablement. Les mers étaient confus et nous avons eu de la mer du faisceau étrange qui a éclaté contre la coque. Mais dragon roulé-le bien et le lendemain, quand les mers sont devenues navigable à nouveau la reprise était facile.

Je suis très heureux avec ce système particulier comme je l'étais remise seul avec ma femme. Je ne suis pas une brute d'un homme (je suis 52 pesant un peu moins de 70kgs, vous obtenez la voile en forme et mince !!) et je eu quelques réserves quant à la facilité aurait été de récupérer la drogue Jordanie en 25 kts. La tige d'ancrage drogue était bien dans mes capacités.

Parce qu'un Tiki 38 est légère, elle a besoin d'un système pour la ralentir et quand le vent dépasse 30 noeuds pendant une durée prolongée, avec une mer de construction, il est sage de commencer à penser à la gestion de la tempête. Il doit être simple rapide et facile à déployer et à récupérer. Ce système est et donne un bon degré de confort de savoir que vous pouvez calmer facilement si vous devez ".

Rory Mc Dougal, Tiki 21 'la graisse de cuisson »

Au cours de son tour du voyage autour du monde de 1991 à 1997, Rory courut remorquage d'un entonnoir par girouette direction de la côte Eritrian: -

"I loved utilisant la drogue lorsque cela est nécessaire. Il a travaillé un régal pour garder Cookie sous contrôle car elle voulait surfer dans des vents au-dessus de 30 noeuds, même à sec de toile!

Je trouvais que le Cookie naviguer efficacement avec vent sur ??le trimestre et de toujours utiliser la drogue comme nécessaire. Je me souviens de courir jusqu'à la mer Rouge au large de la côte de l'Érythrée. Je l'avais été directeur de main pour utiliser les meilleurs vents sévères pendant 18 heures et reste vraiment nécessaire, mais était inquiet que Cookie pourrait tua bien sûr vers la côte à 10 miles. Donc, je mets la drogue et elle auto gouvernai un cours très précis toute la nuit me donner une bonne confiance de dormir. La drogue ralentit Cookie jusqu'à environ 4 moyenne de noeud et arrête toute surf. Dans 30 noeuds, je augmenté voile pour foc de travail complète pour donner traction constante contre la drogue. Il est facile à déployer et récupérer au besoin. Je ai utilisé un tube conique comme un manche, en matière de dériveur hypalon. Je ai utilisé mon ancre régulière monté de 5 mètres de chaîne et la chaîne mm 14mm en nylon. La chaîne contribue à garder la drogue lestée de la surface et je jamais eu un problème de cavitation ".

Rory a rapporté courir avec une ancre flottante et en utilisant girouette direction même dans 55knots de vent.

DSC05799.JPG

Tiki 21 'la graisse de cuisson «juste après l'arrivée au Royaume-Uni sur le retour de la seule main Jester Challenge en 2010. Note du logement minimal et direction girouette. Ceci est le plus petit catamaran pour avoir navigué autour du monde.

Glen Tieman, Pahi 26 'Peregrine' et plus tard Tama Moana 'Manu Rere'

«Je suis d'accord avec James Wharram que courir avec des drogues est à peu près aussi sûr et confortable que possible mais présente des limites. Ceux que vous avez mentionné au sujet nécessitant searoom. Un autre pour moi est que je dois être en mesure d'effectuer quelque voile de le faire pour le bien de soi direction parce que je utiliser la feuille tallage. Quand je suis parti Costa Rica à destination de l'archipel des Marquises, il ya quelques années, je naviguais sur le droit dans un Papagayo, qui est une sorte de branche sud d'un Tehuantapecer, et célèbre pour les mers raides intenses. Ceci est la seule fois que je l'ai jamais vu des vagues en mer, qui avait des crêtes déferlantes qui ont été les dix premiers pieds de la mer au lieu de seulement le premier mètre. Ils ont rompu avec une commotion cérébrale puissante laissant Spume un couple de pieds d'épaisseur sur de grandes surfaces. Je courus avec drogue et fait bien, mais pendant la pire nuit que je pris sur le mât d'artimon et utilisé seulement une petite grand-voile qui signifiait que je devais braquage à main. Avec une girouette ou pilote automatique, ou de l'équipage direction de la main, courir avec drogue pourrait fonctionner dans des vents très violents à sec de toile, pendant de longues périodes.

... Il ne tiendrait pas la poupe sans contrôle (auto) de direction pas même avec un foc bâchés à plat sur ??la ligne centrale du bateau. Il était d'une grande technique mais pour améliorer le contrôle tout en naviguant. Je gardais la drogue truqué et rangé dans l'appel d'offres sur le net poupe de sorte qu'il pourrait être tout simplement jetés par-dessus bord.

Drogues devraient être plus utilisées par les multi-décortiqueuses. Et de loin, le plus gros problème quand courir dans les métiers est la tendance de tous les bateaux d'arrondir dans les mers suivantes. Un bateau va vite arrondit plus rapide qui, à un certain moment direction d'individu ne peut pas faire face. Ceci est un problème de croisière - coureurs braquage à main afin d'aller aussi vite que possible. Je viens d'utiliser un ou deux brasses de chaîne sur une bride arrière dans des conditions relativement modérées pour garder son aller en ligne droite. Lorsque les conditions exigent un contrôle plus énergique que je tire de la chaîne le mettre dans un pneu et clip et le jeter avant. Les voiles je me sers sont petites et assez dur que l'ajout de traînée est une meilleure technique que de réduire la voile, jusqu'à un certain point " .

Don Brazier, 41 pieds Narai Mk IV 'Katipo'

Je ai utilisé une drogue Seabrake sur un voyage de retour en Nouvelle-Zélande, des Tonga il ya quelques années. Nous avons utilisé une courte longueur de chaîne sur la drogue relié à 100 mètres de 16mm chaîne polyester et une bride à la poupe. À l'époque, nous avons utilisé chaumards à la cime des étambots pour la bride. Je dois maintenant anneaux lourds dans les poupes que plus tard, une montre la photographie. Les vents étaient de 40 à 50 noeuds, mais la drogue réduit le surf qui plus tôt avait été jusqu'à 13 nœuds à des moments où le surf à sec de toile (qui provoque un mélange de joie de vivre et la peur !). La drogue réduit de moitié notre vitesse moyenne d'environ 3 à 4 noeuds.

A cette époque, nous étions barre franche et avait un puits de pied dans le pont arrière où nous étions assis - ces jours, nous utilisons la direction de roue dans le nouveau pod de pont central qui est beaucoup plus confortable. À une occasion, nous avons été POOPED juste parce que de l'endroit où nous nous trouvions que la crête de la vague déferla sur la poupe. Sans une ancre flottante sur nous aurions probablement accéléré loin, la tête de la mer à la rupture, mais il était préférable d'être retenu par la drogue et de rester aligné avec les mers. Il vous donne tout un choc d'être soudainement à briser l'eau jusqu'à la taille, mais dans les moments tout avait disparu, drainer à travers le filet sévère et les ponts à lattes.

Il y avait une certaine moyenne, mer croisée raides à des moments qui semblaient rugir à travers comme les trains express, et nous la main orientés à garder la poupe dans les mers. Un point à mentionner est que un catamaran ne répondra pas si vite à la barre avec une ancre flottante, de sorte que vous devez garder un œil de temps prudent et commencer à tourner en temps utile surtout avec une mer croisée.

Il ya une grande quantité d'énergie impliqué dans chaque mer approche, l'eau d'onde est à la hausse dans un modèle trochoïdale mais l'énergie est en pleine progression avant même souvent à 25 nœuds. Comme votre bateau rassemble de plus en plus de vitesse son énergie augmente de façon exponentielle cinétiques et si vous abordez ou enterrer dans la vague avant que l'énergie a obtenu d'aller quelque part et il va y avoir des dommages. Plus vous allez vite plus le problème potentiel!

Figure 5: Don à la drogue Seabrake utilisé sur Katipo

Figure 6: Un gros plan de la drogue Seabrake utilisé sur Katipo montrant les rabats qui ouvrent à augmenter la traînée

Figure 7: Le piton utilisé comme un point d'ancrage sur la poupe de chaque coque de Katipo pour la drogue ou de l'ancre de mer éventuellement parachute.
3. continuer de naviguer sous voilure réduite

Cette souvent nécessaire pour éloigner un rivage Lee, arrondir un promontoire, ou tout simplement la nécessité d'y arriver avec un minimum de perte de temps. Chaque situation est différente en fonction de la force du vent, état de la mer, et ce que le bateau et l'équipage peuvent faire face.

Tony Murray, 41 pieds Narai Mk IV ' Ika Roa '

Dans cet exemple d'un article dans le magazine de la mer Personnes Tony Vanuatu gauche sur Ika Roa qui a couvert de nombreux miles marins. Il a écrit: -

"Une fois de plus qu'il était temps de se diriger dans le bleu profond. La météo était censé être bien, mais 24 heures plus tard nous étions secoués par 40 à 50 nœuds de vent. Il a obtenu le pire, certains membres d'équipage sont tombés malades. Pas une belle façon de voyager plus. Pendant trois jours, nous avons monté énormes houles, Hauts soufflant les vagues, Hove parfois, parfois vers l'avant sous artimon ris trinquette, artimon et foc ou enroulé en mouvement. Un séjour d'artimon se séparèrent, mais le mât est resté mis. Une drisse doublé comme un séjour de rechange. Naviguez sur. Lets Get Outa ici! ".

Ils l'ont fait en toute sécurité de retour en Nouvelle-Zélande.

4 5 pieds Oro, début Wharram Classique D esign ' Amanzi '

Ce bateau a été construit en Afrique du Sud par Tony Hughes et incroyablement a navigué à travers la terrible tempête de Fastnet de 1979 et plus tard est arrivé à Milford Haven au Pays de Galles. Par une coïncidence surprenante je rencontrai un de l'équipage à Rarotonga où il a appelé par quand je étais au quai sur mon Narai pendant mon voyage 2011. Il a dit qu'ils avaient pas de radio et ne pas apprendre de tout le chaos passe autour d'eux lors de la tempête à plus tard. De nombreux bateaux de course de haute technologie ont été endommagés, certains ont perdu et, malheureusement, certains marins sont morts. Malheureusement, je ne l'ai pas eu l'occasion de le voir à nouveau et apprendre plus de détails avant de partir.

Oro Amanzi 1979-1.jpg

Oro Amanzi en coup de vent
4. MENSONGE UNE COQUE

Cette technique a également été utilisée avec beaucoup de succès dans certains cas, tandis que dans d'autres, pas si bon! Dans cette situation, le catamaran tout à sec de toile est laissée à prendre son faisceau allongé de position naturelle à des vents violents et des mers.

Nev et Ann Clément, Tiki 46 ' Paix IV '

Nev et Ann utilisé cette technique au large de la côte africaine. Une des raisons pour ne pas courir hors était assez proche de la côte et d'un mont sous-marin. Ils ont éprouvé aucun dommage.

Ils ont écrit: -

Jours "Paix IV a subi deux ans et demi de la Force 10 (vents de 55 noeuds et des vagues plus élevés et 32 ??pieds et plus, telle que mesurée par une bouée météo à proximité) en mer entre Madère et des Canaries à l'automne 2002. Comme Ruth Wharram suggéré avant de partir la Grande-Bretagne sur notre voyage inaugural, nous cape à sec de toile (pas de voiles du tout) et la paix IV dérivé latéralement avec un peu de contrôle de la direction en fonction de l'angle de barre. Quand nous avons trouvé l'angle que nous avons aimé, nous fouettait la barre d'accouplement et installés par la VHF afin que je puisse donner notre position et la situation de diffuser fréquemment et d'autres bateaux dans la zone pourrait éviter de heurter en nous.

Comme Ruth avait prédit, nous avions peur d'abord, puis réalisé que la paix IV était en sécurité et ainsi étions-nous et il était tout simple. Nous avons dérivé à environ 2 noeuds et il était vraiment bruyant et quelques vagues cassé juste au-dessus de la nacelle. Rien a éclaté. Rien n'a été perturbé en bas. Il était simple à faire. Mais il est préférable d'éviter de telles conditions météorologiques extrêmes! ".

Rory McDougal, Tiki 21 ' la graisse de cuisson »

Cette est un voyage remarquable dans un petit Wharram. Lorsqu'il est lié de Rarotonga et à la Nouvelle-Zélande en Août 1992 lors de sa circumnavigation, Rory fait face par le mensonge ahull dans deux tempêtes. Il venait de passer les îles Kermadec et se dirigeait dans une direction générale sud-ouest lorsque: -

"Au cours de la nuit et le lendemain, un nord construite jusqu'à la première tempête fait rage sur nous, ce qui était pas surprenant avec une chute du baromètre de 25 mb en deux jours. Chien fatigué mais je poussé sur de bons progrès jusqu'à ce que la décision de licencier une coque enfin que le front passé à travers avec des rafales de vent de force 9 (41-47 noeuds). Il devient alors un peu idiot de garder la voile en particulier la nuit. Une bonne nuit de sommeil niché à l'intérieur était beaucoup préférable et depuis longtemps ...... ..

Nous étions maintenant 450 miles d'Auckland après deux semaines voile. Oserais-je l'espère d'être sous le vent de terre bientôt? La météo avait certainement pas fini avec nous si facilement, évoquant la prochaine tempête deux jours plus tard à l'avant de la météo la plus violente que je l'ai jamais vu. Nuages ??tonnerre semblait fusionner avec la mer et ont apporté des vents qui déchiraient l'eau, les crêtes des vagues de pulvérisation dans l'air et sonnant comme si la cabine était sablé. Regarder cette scène avec fascination peur sous le cagnard de pulvérisation, je remarquai les oiseaux de mer autour et ayant un moment difficile avec le tremblement de vent et secouant leurs ailes.

Cookie se comportait à merveille comme d'habitude simplement posé ahull et se débrouiller par elle-même 160 miles au nord-est d'Auckland. Si près et pourtant si loin, parce que quatre jours plus tard, nous étions encore tout simplement à la dérive. Le vent d'une constante de 40 à 50 noeuds Westerly m'a plongé dans le désespoir me faire furieux les éléments un moment puis pleurant et priant la prochaine - «tout ce qu'il faut est une pause de deux jours dans ces coups de vent et je peux atteindre la terre. S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît!

Combustible pour la cuisine a manqué au cours de cette tempête sur les dix-neuf jours de ce voyage. Riz ou de pâtes imbibé Maintenant froid était tout ce que je devais à la hâte, 'yum, yum?'. Je couperai une lampe à pétrole, plaçant la base de celui-ci sous le gril du four qui réchauffe un pot de nourriture, mais aussi éventuellement tout recouvert d'une couche de suie noire, qui se révéla plus déprimant à la fin de la nourriture froide.

Allongé-a-coque semblait préférable que d'utiliser une ancre flottante qui arracha Cookie sur les sommets des 4 à 5 mètres de vagues mettant à rude épreuve les crampons et l'ancre chaîne. En moyenne, une vague serait laver sur nous une seule fois une heure. Sinon, le mouvement était assez douce.

Un répit de 24 heures après cette tempête a donné l'occasion de faire un peu plus de terrain vers Auckland avant d'être à nouveau battue par la force 8 à 9 vents d'ouest, à peine 45 milles de Gt Barrier Island. A présent, je me fais assez faible après tous ces jours, en essayant de garder au chaud dans son lit en train de lire des livres et en essayant de ne pas devenir fou tout Cookie dérive loin de la Nouvelle-Zélande.

Un jour et demi plus tard, nous naviguaient dans une autre accalmie qui nous a permis de vue Gt Barrière enfin, à seulement 20 miles de distance mais le vent tourne inévitablement la mer blanche à nouveau, en criant dans nos visages. Excitation avoir repéré terre, mais étonnement comment orageux constamment les conditions sont. «Est-ce normal? Je continue à me demander, trouver qu'il est difficile de ne pas prendre tout cela personnellement et maudissant les dieux de la météo à la façon totalement injuste qu'ils sont à moi. La température est un frisquet 13 degrés me donnant du mal à garder mes membres au chaud sans gants et chaussettes seulement pour mes pieds. Aventurer sur le pont est une expérience tout nus la nuit, je blottis dans le sac de couchage avec une lampe à pétrole va fort ... ..

Un autre obstacle à surmonter est la rupture de Harry, ma girouette intrépide qui a perdu son bras pendulaire pondérée par dessus bord quand une vague particulièrement agressif a frappé les poupes de Cookie son tourne autour de plus de 90 degrés en un instant. Après tous ces défis, nous avons finalement fait un atterrissage au Poor Knights Islands, arrivée après une dure journée de voile seule à être encalminé pendant la nuit entre les îles et le continent. Oh bien chance pour un sommeil et un énorme soupir de soulagement d'être en vie et navigue encore dans le bon sens. Ce fut de loin la fin très reconnaissant à un voyage que je dois jamais sous prise, arrivant après 28 jours en mer ".

Qu'est-ce un voyage incroyable, et à peine une pièce de tête assis ci-dessous! Rory avait une nouvelle grande ancre parachute de la mer fait en Nouvelle-Zélande qui fonctionne bien - voir plus loin dans cet article.

Rick et Jo Wolfenden, 45 pieds Oro Kate Cooley '

Rick et Jo Wolfenden navigué Kate Cooley, leur 45 pieds Oro avec trois de leurs enfants à Rarotonga et au-delà. Ils ont acheté Kate Cooley dans le Royaume-Uni et navigué vers NZ où ils se sont installés. Mais après quelques années, ils ont été à terre aspirent à nouveau les tropiques. Ils navigué de NZ lié pour la Polynésie française, le 15 mai 1999. Le 26 mai, leur anniversaire de mariage, ils ont eu de forts vents de tête - Jo a écrit: -

«Je cuit une tarte à la viande 20 nœuds pour les 20 ans que nous avions attaché le noeud et comme une prière pour pas plus de 20 nœuds de vent. Actuellement nous avons eu 40 noeuds et à la cape pour la nuit, la houle était plutôt énorme du sud aussi. Nous Lashed les safrans au milieu du bateau, mais avant nous sommes allés à dormir la barre du port rompu. Rick fustigé l'autre et dans la matinée que était cassé aussi. Leçon à tirer ne fouetter les talles!

Donc Tris et Rick mis à ressasser les vieilles talles le matin, l'heure du déjeuner qu'ils avaient mis quelque chose ensemble, mais quand ils ont essayé de les fixer aux stocks de gouvernail dans la grosse houle qu'ils fissuré et cassé. Ne jamais abandonner, maintenant venu les vrais talles de style Robinson Crusoé! Nous avons avec nous la grande plate-forme de dériveur qui Rick a été ne va pas embêter avec, tout aussi bien que nous avons fait, quand tout a été haché, vissé et fouetté avec tous les accessoires auto de direction des talles d'origine, il a travaillé.

Ceux-ci ont été achevés à la fin de l'après-midi mais nous avons décidé qu'il était trop agitée pour les adapter, de sorte que nous à la cape pour la nuit et ce qu'est une nuit agitée il était. Le bruit dans votre couchette quand un gros rouleau vient percuter le côté de celui-ci est assez pour réveiller les morts! Le matin, je fis un pot de thé, mais Rick était tellement fatigué qu'il alla dormir à nouveau ...... .Le mer avait l'air horrible, houle énorme, une minute, nous étions dans l'auge et dix secondes plus tard nous étions sur la crête de la prochaine monstre et parfois la crête a arraché et claquer en nous. Comme je l'ai couché dans la couchette de Annie qui est le plus sec et le plus silencieux dans le bateau, je me demandais combien de cet Kate Cooley pourrait résister. Rick estime que nous avions 40 nœuds de vent en rafales 50knots.

Nous avons essayé une drogue à partir de la coque tribord et nous avons mis une voile fouettée sur la coque bâbord. Cette nuit le vent a finalement abandonné immédiatement, mais la houle était énorme, une pleine lune suspendue dans l'humidité et le brouillard tout une lueur surnaturelle de donner ».

Je ai parlé à Rick et Jo récemment, ils considèrent que plus l'élastique cordon sur les saisines de gouvernail peut avoir éventuellement aidés. En dépit de la drogue à partir de l'arrière et petite voile avant. sans direction vent arrière de leur bateau encore déposer une coque.

John Jameson, 35 pieds Tangaroa » Taraipo '

John qui a terminé circumnavigations un an et demi a écrit après avoir navigué de Opua en Nouvelle-Zélande les Tonga: -

Voici où «Lapita Anuta 'nous a montré une fois de plus ce qu'elle était capable de faire. Sous minuscule dériveur elle labouré sur la prise de l'avant du vent de la poutre, afin que nous puissions faire la bonne voie pour l'entrée du port (y compris environ 15-20 degrés marge de manœuvre et dérive). Le prochain problème était de savoir comment entrer, car le vent a commencé à nous diriger comme nous avons attiré près de l'île. Deux canots, sans stabilisateurs, est venu pagayer, la manipulation des grandes mers magnifiquement. Les hommes nus et demi à l'intérieur entre eux étaient aussi belle et sauvage à la recherche, mais en fait sympathique et nous ont donné conseillons de se diriger vers le côté nord-ouest de l'entrée.

Nous avons réussi à virer de bord à la voile (nous avions sans moteur), hissant la voile plus rapidement que nous sommes arrivés à proximité, que le bateau ne serait pas virer de bord en vertu petit dériveur seul ».

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Hanneke à la tête de Lapita Anuta cours de gale, de prendre les vagues sur la poutre. Cette photo ne rend pas justice à la taille de la vague.

Deux noter Wharram Catamarans non ahull couché

Un cas était l'Australien de 38 pieds Simpson Catamaran Ramtha qui a été abandonné dans la tempête l'infâme 'anniversaire Queens' avec des vents avec des rafales à 90 noeuds. Des problèmes ont été causés à un certain nombre de bateaux rubrique du Nord dans un rallye de croisière aux Tonga de Nouvelle-Zélande.

Les propriétaires de Ramtha , William Forbes et son épouse, avaient perdu l'entrepont et ont été pilonné par d'immenses mers de rupture. La situation semblait sombre et ils craignaient chavirage.

Ils ont été emmenés hors de leur bateau par le NZ Navire Monowai dans des conditions horribles.

Deux d'entre eux ont été traînés à travers l'eau sur les lignes de sécurité qui avaient été abattus à travers à eux.

Le fait intéressant est que leur catamaran dérivé loin faisceau sur les moteurs laissés au ralenti et la porte ouverte cabines. Elle a été trouvé plus tard, renfloué et remorqué aux Tonga, où, après le tri des droits de sauvetage , Ramtha a été retourné à ses propriétaires. Je suis ancré à côté d'elle dans Vavau Tonga deux mois plus tard et elle semblait avoir traversé indemne.

Un autre cas était Richard Woods de catamaran 9.9m Eclipse, dont il abandonné en Tehuatec baie large de la Basse Californie après son vieux parachute déchiqueté, il n'a pas été heureux en cours d'exécution hors tension, puis craignant chavirage en position couchée ahull il a été enlevé par hélicoptère. Son bateau abandonné a été trouvé beaucoup plus tard 1100 miles de là, un refuge pour les oiseaux de mer!

Ces deux cas montrent comment stable la forme de catamaran est à sec de toile et que certainement un assez grand catamaran est assez difficile de faire chavirer même à la dérive sans surveillance, faisceau pour les mers. Une théorie communiquée par Voss et plus récemment dans le livre par les Pardeys sur les tactiques Storm est qu'il se forme une nappe au vent d'un navire se trouvant une coque, dérive carré, ce qui provoque la rupture prématurée des vagues la plupart du temps. Un semblable e ffet est suggéré de se produire avec une mer de parachute importante ancrer au vent provoquant des vagues de briser avant d'atteindre le bateau.
5. À Soulèvement

L'arc est mis dans le vent, puis la barre peut être ancré sous le vent et probablement une petite voile soulevé arrière en fonction de votre plate-forme aidera. Mon propre bateau, un Narai MK IV avec un gréement de cotre, pousse à assez bien dans des vents modérés avec juste un voile roulée triple bâchés en assez serré, mais l'expérimentation est nécessaire pour voir ce qui convient à votre plate-forme meilleure. Parfois, une tête voile doit sauvegarde au vent.

Il est une technique qui a été utilisé sur keelers pendant des années dans les coups de vent et des tempêtes. Il est également souvent utilisé dans des situations comme l'arrivée à destination dans la nuit et qui souhaitent attendre jusqu'à l'aube pour entrer, afin de ne pas perdre beaucoup de terrain.

Je ne l'ai pas essayé la technique de soulèvement à Voss avec l'aide d'un petit appareil de glisser de la proue. Il est probablement plus à l'aise que le mensonge faisceau sur et avec un catamaran qui serait le mieux pour attacher votre chaîne à l'arc lee.

Glenn Tieman, Tama Moana 'Manu Rere'

Glenn Tieman navigué son Pahi 26 Peregrine à travers le Pacifique dans les années 1980 et a depuis 2007 été de croisière dans le Pacifique avec son engineless Tama Moana / Enfant de la conception de la mer appelé Manu Rere . Il vit à bord et a navigué pour des milliers de miles au fil des ans. Il est un grand amateur de soulèvement au mauvais temps mais les commentaires: -

"Manu Rere pousse à extrêmement bien. En fait, je viens de réaliser que les bateaux sans mizzens peuvent tout simplement pas mettre à la cape. Ce qu'ils font à la place, le sciage et-vient entre la position au près et le faisceau sur, est un substitut moche pour de vrai soulèvement à. En l'absence de principal, seule la artimon bâchés un peu d'un côté, Manu Rere se tient solidement en position au près et dirige en ligne droite sous le vent, très lentement, sur son trimestre. Cela est beaucoup plus facile et beaucoup plus confortable que de mentir à une ancre flottante. Il fonctionne si bien, non seulement en raison de la forte incidence de la météo armement de l'artimon bien à l'arrière, mais parce élever les gouvernails décale le plan latéral avant, améliorant encore la météo armement, et élimine les soucis sur la sauvegarde vers le bas sur les gouvernails ".

Notez que le Tama Moana est la seule grande Catamaran Wharram qui a gouvernails (palettes de direction ) qui peut être soulevé hors de l'eau. Elle est également le seul sans ailerons.

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Glenn Tieman de "Manu Rere 'à pleines voiles.

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«Manu Rere ' avec la direction paddle / gouvernail tiré hors de l'eau.
6. ANCRAGES PARACHUTE MER

Ceux-ci sont beaucoup plus grande que drogues ayant souvent un diamètre proche du faisceau global d'un catamaran. Ceux-ci sont maintenant couramment utilisés par keelers et multicoques à la fois dans le mauvais temps pour se tenir aligné avec les mers de rupture et de permettre une marge de manœuvre minime. Ils sont également utilisés pour stabiliser un navire en mer tandis que les réparations sont effectuées. Grandes parachutes sont également régulièrement déployés à partir de bateaux de pêche commerciale pour maintenir la station en travaillant. Initialement surplus militaire parachutes de cargaison ont été utilisés, mais ces jours-ci il ya plusieurs bons fabricants faisant l'ancre parachute de la mer.

Il existe de nombreux rapports d'utilisation réussie de parachute ancres marines et drogues dans le périphérique livre Drag base de données.

Phil Franklin, Tiki 38 'Tranquility Base'

Phil Franklin de la Nouvelle-Zélande a écrit un rapport très complet Paratech Australie au sujet de son utilisation de parachute ' Tranquilty base ' : -

Salut Alby;

Merci pour votre appel téléphonique, l'autre jour, le support après-vente et le contact de vous-même et le concessionnaire NZ RFD NZ Ltd a été très apprécié. Il est en harmonie avec votre excellent ancrage de parachute, que je considère comme une partie fondamentale de mon voile, mon bateau et ma préparation pour la croisière. Je décidai d'acheter votre produit sur les autres marques disponibles, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, l'excellente attitude de revendeur. John Ross et au RFD écouté ce que je voulais faire, ont fait leur recommandation pour la configuration, a visité le bateau pour assurer la configuration bride serait approprié, puis sur mesure la bride et partit. Deuxièmement, votre produit semble être plus fort que d'autres. Troisièmement, la configuration que vous proposez est beaucoup plus simple que d'autres. Il a également été rafraîchissant de recevoir des informations pertinentes pour mon bateau particulier, un multicoque de croisière.

Mon bateau est un catamaran de 12m Wharram Tiki, faisceau 6,2 m, déplaçant autour de 5000 kg en charge. Je l'ai construit en plis, de la mousse et de verre, elle a quille d'aspect à long faibles, coques veed, et dérive accroché safrans. Elle a la dérive modérée, 2x moteurs hors-bord 15hp milieu du navire, et son gaff rig goélette la propulse jusqu'à 15 nœuds sous le vent, et 8-9 nœuds au vent.

Avant de quitter à partir de NZ en Nouvelle-Calédonie, je mis en place les brides, qui sont autour d'une longueur de bateau chacune, sur le forebeam, et les a ramenés sur le côté bâbord du bateau à l'habitacle. Les brides ont des yeux doux à long épissage dans, assez pour 3 tours complets autour de la forebeam où elle rencontre la pure inboard. Vous auriez besoin d'une bonne raison pour les fixer nulle part ailleurs sur un catamaran. Les brides étaient câble attaché à la liston (une caractéristique de mon bateau) que je ne dois un rail d'orteil. Un rail d'orteil serait mieux cependant. Les grandes cosses en acier galvanisé à la fin de rode des brides étaient enchaînés dans la cartouche sur la fin de la Rode, qui, dans son sac de déploiement, a été fouetté à 2 cadènes forts, sur le pont arrière. L'autre extrémité de la Rode a été enchaînée au parachute, niché dans le cagnard. La ligne de récupération a été créé selon le schéma dans votre manuel. 50m de 8mm polypropylène 3 brins, une extrémité avec une bouée d'amarrage douce orange, l'autre enchaîné à la chaîne inox fourni sur le parachute. Au milieu, une boucle a accordé quatre ailes gonflables pour être attachés sur. Tout cela a été fourré dans un sac en filet. (Il ne prend un peu d'espace!) Donc, avec tout la configuration en place, nous sommes allés la voile!

Lors de notre voyage de retour de Nouvelle-Calédonie, nous sommes entrés dans une forte circulation de l'est au sud de l'île de Norfolk, à environ 150 miles au nord de la Nouvelle-Zélande. Il semblait en passe de rester pendant un certain temps, donc avec le vent et le renforcement de la mer, je décide de déployer le parachute avant la nuit. Dans près de 30 noeuds et des vagues de 3m, les conditions étaient encore tout à fait docile, et nous avons eu aucune difficulté à laisser tomber les voiles, poussant premier flotteur récupération sur le côté, et puis comme il a dérivé au vent, le parachute dans son sac. Je devrais avoir versé un seau d'eau dans le sac, car il était assez soutenue, et a pris quelques minutes pour couler assez pour éloigner. Un remorqueur lumière sur la rode avait la goulotte de glissement hors du sac environ une demi-longueur de bateau loin, par le travers. La Rode était très facile à contrôler, et serpentait sur le sac de déploiement facilement, avec un remorqueur occasionnelle forte pour garder la goulotte remplie, et la tension sur la rode. Après tout, la rode était dehors et le sac de déploiement sur le côté, la charge est venu sur les attaches de câble, qui décompressés sur le côté du bateau sans mettre en place beaucoup de lutte! Immédiatement le bateau installe arc dans la mer et le vent, et je vérifié les brides étaient assis correctement sous charge sur le forebeam et fouetté deux talles au milieu du bateau. Vous appréciez vraiment avoir tout mis en place pour un déploiement facile à ce stade, que l'étape suivante consiste à concilier loin et avoir une tasse de thé! De l'abaissement voile pour descendre en dessous était à moins d'une demi-heure.

Au matin, nous étions à 40 noeuds avec des rafales à 50, et 6m vagues déferlantes. L'étrange vague serait aller droit sur le bateau, mais elle était assez heureux, passant facilement de la mer, seuls les sommets des plus grands à venir à bord. En bas, il était assez bruyant, avec les vagues donnant l'impression que nous naviguions rapide. Mais il était la mer en passant par nous, nous ne passant pas à travers elle. En regardant à travers les trappes d'évacuation, je regardais l'arrêt de mousse sous le bateau. En regardant par les fenêtres, je levai les yeux vers les crêtes par rugissants. Spectaculaire. Bang! Une vague sur un léger angle se plantait dans le bateau. L'énergie des vagues passé dans le contenu des étagères, l'envoi de livres voler. Un de l'équipage m'a remercié sincèrement pour construire un bateau forte. Nous étions dans nos couchettes, somnoler, ne se souciant pas beaucoup pour la nourriture. Nous pouvions sentir l'étirement rode, et le bateau se déplaçant vers l'arrière, puis monter sur le rode. Mes oreilles et certains Bluetack m'a permis de régler le bruit, et le sommeil.

Minutes tourné en heures. Le lendemain matin, le générateur de vent a soufflé un fusible de 30 ampères. Je l'ai changé à un 40. Les pales d'éoliennes ont été déforment dans les rafales et de frapper le pylône. Peu de temps après, lames volé au loin, et nous avons dû agir rapidement pour arrêter, comme il a essayé de lui-même et l'arrière du bateau en dehors trembler. La brochure dit "ouragan testé» et en 3 ans et de nombreux coups de vent, je ne l'avais pas eu ce problème! . A cette époque, je ne l'aurais pas appelé les conditions extrêmes. Difficile, mais certainement pas extrême. Comme je l'ai été émerveillé par le paysage marin mousseuse, l'albatros et pétrels joué autour du bateau, se moquant de notre malaise,

Je suis arrivé notre position régulièrement, désireux de voir combien nous dérivions, et nous avons gardé un œil sur l'expédition. Je surveillais radio et maintenu notre calendrier, mais sans générateur de vent, la conservation d'énergie était nécessaire. Nous avons utilisé l'excellent petit ACR C-flashs de RFD, liée aux haubans. Un autre bateau pas loin activé sa balise de détresse.

Une semaine plus tôt, et pas trop loin d'ici, un catamaran de 22m a obtenu dans la difficulté, l'équipage étant enlevé. Je me demandais comment nous aurions fait face et ce que nos tactiques auraient été sans le Para-ancre.

Dans la matinée, après la troisième nuit, la prévision a indiqué un léger assouplissement du vent, nous avons donc décidé de récupérer le Para-ancre et se voile. Je hissé une voile roulée profonde (comme un artimon sur notre bateau) pour nous garder pointant vers le haut, et 25-30knots encore de l'est et autour de mers 3m brisés, nous motored attentivement vers la bouée orange sur la fin de la ligne de récupération, alors qu'il a fallu 2 mecs forts environ une demi-heure pour tirer dans la rode, snober le autour du guindeau si les arcs ont commencé à souffler, et sur les visages des plus grandes vagues. La bouée a été récupéré facilement avec la gaffe, tiré à plus de la forebeam, et la ligne de récupération restant avec les flotteurs d'aile récupérés. Le parachute était dernière, facile à manipuler, que la reprise de la ligne de récupération avait automatiquement dégonflé par derrière, et il a glissé à bord comme un parapluie plié. Le pont avant ressemblait à une assiette de spaghetti, de sorte que l'écart était carré et nous avons commencé ce qui devait être une maison de battement 370 mile.

Notre dérive totale était de 19 miles vers le bas vent, plus de 62 heures. En comparaison, si nous avions couru à sec de toile de remorquage notre drogue nous aurions fini par bien dans la mer de Tasman, avec encore plus de distance pour naviguer à la maison. Être sévère à aurait fait le cockpit humide et (plus) désagréable, je l'aurais peur de perdre notre pile de planches à voile et planches de surf sur le clochard à l'arrière, et le générateur et moteurs hors-bord sont plus vulnérables par derrière (Ils ont commencé la première fois). Autres options auraient pu mettre en panne, ou garder la voile très lentement, ce qui aurait également impliqué marge de manœuvre, l'équipage fatigué froid, et très probablement des dommages. Je ne considère pas couché ahull être une option.

Fait intéressant, lorsque je repense à il ya environ sept ans quand je l'ai commencé à rechercher des parachutes au cours du processus de construction de mon bateau, il y avait beaucoup d'idées, et de nombreuses anecdotes de survivants "tempête" dans la base de données Drag de périphériques. Je suis chanceux d'avoir pu profiter de cette richesse de l'expérience, qui a été développé par Para Ancres Australie dans un système de travail simple, hors du sac. Mais nous ne sommes pas dans une situation de survie, ou même une tempête. Juste un coup dur de la mauvaise direction, et une mer de rupture méchant, les effets des deux qui ont été minimisés par être capable d'arrêter en toute sécurité le bateau face au vent et la mer, et de la laisser monter relativement tranquillement "à l'ancre», tandis que nous sommes allés ci-dessous.

En résumé, lorsque est venu le temps de prendre la décision d'arrêter la voile, le para-ancre était autant une partie de l'équipage que chacun de nous, de manière fiable et en protégeant inlassablement le bateau par son maintien en position plus sûre, incline à la mer et le vent pour 3 nuits. Comme de nombreux bateaux offshore, je ne suis pas assuré. Je voulais être conservateur, de réduire les dommages et l'usure et la déchirure sur le bateau. Gardez sécurité de l'équipage. Il y avait une quantité raisonnable du coût et de la préparation en cause dans la configuration, mais négligeable par rapport à la valeur globale du bateau. Merci pour cet excellent produit!

Phil Franklin

Catamaran Tranquility Base

27 Juillet 2004

Wayne ' s Tiki 38 ' Tapasya '

Wayne a navigué pendant 49 ans sur une variété de bateaux. Il a été au nord de la Nouvelle-Zélande les Tonga et les Fidji à deux reprises sur son catamaran Wharram, et a utilisé son parachute six fois au total.

Il est un diamètre d'environ 12 à 15 pieds et a été achetée d'occasion. Il l'a utilisé 4 fois en seulement des conditions modérées pour se reposer et ne pas perdre du terrain, surtout quand sa palette de direction autonome échoué au début du voyage lors de la remise unique aux Tonga. Il utilise à 100 mètres de Rode, mais à seulement 60 mètres dans des conditions de lumière.

Il a utilisé le parachute à deux reprises dans des conditions sévères, les mers très raides et des vents à 50 noeuds. A chaque fois, il a eu aucun problème avec le stress de gouvernail et estime qu'il est vital d'avoir un parachute de taille adéquate - mieux aussi grande que trop petit. Il dit: -

«Je tiens également à souligner que lors du lancement d'un parachute, (au vent), je considère qu'il est essentiel que ce soit humide, pour l'obtenir sous la surface dès que possible, car cela est le moment où bateau est le plus à risque ( mon opinion) ".

La dernière fois qu'il a été utilisé dans une tempête, il déchiqueté à environ 22 heures et le bateau se trouvait ahull avec l'arc tiré légèrement au vent pour la nuit. Le vent modéré, le lendemain matin et le parachute a été récupéré, ce qui prend moi une demi-heure, snober la chaîne contre le principal ancrage taquet et en tirant à chaque fois qu'il se détend sur le rebond.

Également sur la récupération, je tire sur rode comme arcs DROP, donc en utilisant le pitch jusqu'à supprimer complètement toute traction de la goulotte. Lorsque les arcs augmentent à nouveau, qui est quand le stress vient sur le rode et le bateau est tiré vers la goulotte.

Ceci est un processus très facile et peut-être même faire ne avec une main si nécessaire.

Il est sans doute intéressant de noter que, tant dans des conditions venteuses et calmes que la goulotte peut faire glisser le bateau face au vent (courant dépendant) à env. 2 noeuds. Comme je l'ai résisté au-dessus de l'bimini regarder pendant des conditions difficiles, il est tout à fait remarquable que la goulotte ouvre / ferme comme un calmar et je suis sûr que ce impulsions le bateau dans l'eau ... si efficacement que si je suis dans une pétole actuel, je voudrais lancer, si la direction de Voyage allait mon chemin. Vérifier facilement en laissant tomber un peu de papier de toilette humide et direction du mouvement en observant comme il coule ".

Contrairement à la plupart des marins, il dirige la chaîne tout droit sur le rouleau principal d'arc central et a une ligne bride continue de la proue à arc qui est dans un total de 18 mètres. Chaque côté bride est de neuf mètres de long. Au milieu est une figure de 8 nœuds avec une courte longueur de tube dans la boucle comme un protecteur de frottement - une longueur de corde est attachée à cette - l'extrémité libre à égalité avec un attelage de roulement sur la chaîne principale. Ce bridage est toujours utilisé à son fils de chaîne d'ancrage pour l'ancrage de tous les jours sur le fond près du rivage. Ce système signifie qu'il est facile de commencer à tirer dans la rode lorsque la tempête se calme.

Il utilise l'ancien tuyau de grand feu de diamètre (env. 75cm) comme anti-frottement qui est inséré en permanence sur rode et peut être glissé à l'endroit où nécessaire alors arrimés à un point fixe avec la ligne 5mm joint (noués à travers un trou dans le tube).

Forsheda amortisseurs en caoutchouc sont à l'extrémité de ses lignes de frein et aussi sur ses saisines de gouvernail lors de leur fixation au milieu du bateau tout en utilisant le parachute.

Il n'a rien, mais élogieux pour les ancres parachute de mer.

Warren Matthews, Tiki 38 ' Natural High '

Warren a une amende Tiki 38- voir son blog (ci-dessous) pour apprendre tous les détails sur sa construction et la voile. Il a eu beaucoup d'expérience en mer au cours des 30 dernières années, il a eu beaucoup d'éloges pour la navigabilité de son Tiki: -

«... .les Forme de canoë sternes sont un facteur majeur dans leur navigabilité dans une mer suivante. Pas une seule fois avons-nous

12 mai 2015
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houa le pavé , en anglais il y en a bien plus de la lecture pour les jours de cape seche.
Tup ne nous fait jamais de discours, est toujours calme , voila un post ou il se rattrape
RQ; comment faire de la nav hauturiere si on ne parle pas anglais ???

12 mai 201512 mai 2015
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Bof! T'apprends qu'un mot "MADAY"

08 fév. 2016
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Je peux avoir le lien de l'original en anglais? Ce texte est une torture. Merci

12 mai 2015
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En français ce serait un peu mieux. Mais bon, on ne peut pas demander à Google trad l'impeccable.
Ce qui est curieux, c'est que Tabarly dans son livre dit à peu près le contraire, à savoir qu'il ne faut pas mettre de traînards derrière son bateau et le freiner car un bateau qui avance est plus manoeuvrant qu'un bateau qui stagne et qu'il vaut mieux aller plus vite que les vagues plutôt que de se faire emporter par elle. Allez savoir !

12 mai 2015
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Soit.
Désolé pour google.
Ensuite Tabarly je ne sais pas dans quel livre il en parle et si il parle de cata ou de mono.
Que cet article ne parle pas de trainards mais d'ancres flottantes.
Que cet article et le lien ne parle que d’expériences vécues et qu’elles ne sont pas une règle mais que des pistes.
En résumer mettre une ancre flottante c'est clair que ton canot n'est plus manœuvrant car tu es dans cet article face au vent.
Si tu mets des trainards sur ton cata, donc manœuvrant, c'est pour ne pas partir en sur-vitesse et te planter dans la vague qui est devant. Donc, que des pistes pour ouvrir des techniques qui sont plus anglaises que française dans la culture maritime mais pas intéressante.

Voili

12 mai 2015
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peter Blake sur le Cata Enza avait mis des trainards . Il me semble que j 'avais vu ça sur une video prise peu de temps avant son arrivée

12 mai 2015
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oui dans le Gascogne ou il aurait prit le plus mauvais temps de son tour du monde .....

12 mai 2015
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Vieille technique pour arriver à l'heure au JT de 20h.
(Je déconne. Excusez moi.)

12 mai 2015
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Hello,
Drôle de fil..assez flippant par moments...
De notre côté, ça fait pratiquement 2 ans qu'on vit et navigue à bord de notre petit cata(voirmon profil), et on ne s'est pas (encore?) foutu les" jetons".
On est plutôt prudents, le cata estfacile à manoeuvrer,, sous toilé, plutôt lourd et bas sur l'eau, et ma plus grosse frayeur a été de filer à 12 noeuds une nuit au milieu de l'Atlantique sans pouvoir réduire, enrouleur de génois bloqué.
Donc...pourvu que ça dure! :heu:

12 mai 2015
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Perso je parlais pour un monocoque. Que je sache Tabarly n'a jamais été un grand Fan des cata. Son passage sur le fait de ne surtout pas freiner un bateau par gros temps est dans son livre : Guide de manoeuvre préfacé et dessiné par Titouan Lamazou. Et j'en fus le premier surpris ayant toujours entendu parler des trainards et autres ancres flottantes. Il ajoute d'ailleurs que le mot "sancir" (pour un monocoque) est un mot totalement légendaire et qu'il n'y croit pas du tout. Mais c'est du Tabarly car moi je suis bien loin d'en avoir que même l'approche du niveau.

12 mai 2015
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Ok il me semblait que le titre était les catamarans habitables sont-ils dangereux ?
Maintenant concernant la fuite sur trainards, des dizaines d années avant Tabarly un illustre navigateur les avaient déjà coupés et avait remarqué que son canot réagissait mieux.
Bonne à tous :goodbye:

12 mai 2015
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Beaucoup de posts très intéressants, en particulier de la part de ceux qui ont rencontré du gros temps avec de bons catas.

Avant que ça ne dégénère (c'est à dire avant que l'on voit se généraliser les catas caravanes à 3 étages), on disait qu' an cata devait être léger, pas surchargé, pas surtoilé, avec une plateforme loin de l' eau. La hauteur sous barrots dans la nacelle n' était pas une évidence.

Le Louisiane, qui est un bon bateau, a été le premier cata de série et il a amené de nombreux skippers de monos à découvrir le cata,. On a vite constaté quelques incidents dûs à la surcharge (trop de poids embarqué) et à la tendance à garder trop de toile trop longtemps (fausse sécurité).

Puis, le fait que seul le marché du luxe soit porteur a généré l' évolution qu'on connait et nous, les amateurs de multis légers, rapides et marins, avons vu les caravanes actuelles remplacer nos objets de passion.

Il y a a eu quelques réactions notables comme les TS de Christophe Barreau et si je devais (et pouvais) acheter un cata de voyage, je crois que je chercherai un Catana 40, ce sont des bateaux surs et rapides.

Mais bon, je suis passé au tri et je dois percer des trous dans les manches des brosses à dents....

;-)

13 mai 2015
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Ce fut mon choix , j ai un catana 40

12 mai 2015
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j'ai un ami qui a fait avec un dan de 15m l'Afrique du sud /le brésil ..
à l'arrivée les cata à été interdit de navigation
il était pratiquement déconstruit
et ça été la traversée judicière pire que celle du désert
mais le propriétaire est arrivé au bout
alain

13 mai 2015
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Mauvaise construction au et choix des tissus , surtout la cloison de mat ....

12 mai 2015
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Un dean faillite frauduleuse.

12 mai 2015
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Ce qui prouve bien que la structure d'un multicoque ne doit pas être pris à la légère.
Mono mal construit = ennuis
Multi mal construit = naufrage

12 mai 2015
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bonsoir,
je n'ai pas trouvé, ni dans ce débat, ni dans la presse, la cause du naufrage
Avant de se lancer dans un débat bien souvent stérile l'un de vous aurait il cette info?
Si il s'est retourné avant de couler, là, effectivement pourquoi pas réchauffer le sujet , mais avant de savoir....

13 mai 2015
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d'après la presse, court circuit élec lié au mauvais temps a provoqué incendie puis naufrage du bateau. Maman et garçon dans le bib, papa et sa fille à l'eau.
www.newsmaritime.com[...]lantic/

Tragique, vraiment désolé pour eux

Pas grand chose à voir avec le débat de ce fil donc, débat qui reste néanmoins intéressant

13 mai 2015
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@Paseo
Je n'avais pas pris ce fil comme un débat concernant le drame du Lagoon je ne me le serais jamais permis par respect, mais comme un post à part entière.
Pour le drame de cette famille je suis très choqué par cette histoire.
Je suggère de continuer sur
wr2.hisse-et-oh.com[...]antique
Le télescopage des sujets devient très compliqués et peuvent créer un malaise certain.

12 mai 2015
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Bonsoir,

avant tout mes pensees vont a cette famille qui vit un drame d'une durete inconcevable. Nous avons passes deux fois une annee sabbatique en famille et c'est le genre de drame que l'on cherche a éviter absolument mais malheureusement des enchainements malchanceux peuvent avoir raison de la meilleure preparation...

Nous naviguons en cata depuis une dizaine d'annees apres pas mal de temps en mono, et nous ne nous sommes jamais faits peurs ( nous avons la chance de nous ballader sur un cata ts 52 plutot type rapide depuis 3 ans).

Pour tenter de faire progresser le debat :
Securite active : en sait on plus sur le retournement cul par dessus tete / alure du cata au moment fatidique/ toile? nous avons tres alegrement depasse les 20 noeuds souvent mais sur des catas plus longs (catana 471,ts) dans des conditions assez fortes 40 noeuds au large mais etions tres tres loin de commencer a enfourner.

Securite passive : feu apres retournement / flotabilite a l'envers d'un modele assez lourd; y a t il des informations plus précises. La preparation du retournement est cle. Sur notre cata les lieux de refuges (au sec pour les enfants dont la résistance a l'hypothermie est plus faible) sont identifies et une balise est de chaque cote avec kit de survie au cas ou, mais a quoi bon si le bateau prend feu. Le coupe circuit devrait donc etre declenchable aussi pret de la zone de survie...)

Charles

13 mai 2015
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Pour ce qui est de notre installation (amateur) il nous avait été demandé un fusible au départ des batterie (parait il la norme ) Il est probable qu'un cata de chantier devait etre construit suivants les normes.
Le fusible est donc installé à quelque dizaines de centimètres des bornes de la batterie.
Après qu'adviendrait il avec des batteries retournées dans de l'eau de mer , brusque décharge et après ?

13 mai 2015
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quel valeur pour ce fusible, j'ai mis 250A sur le service et pareil sur le demarrage moteur je crois que c'est un peu fort ?? ma conso max est de 100A ( guindeau ou demarrage)

13 mai 2015
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on avance dans la discussion . On pourrait commencer à faire une pré-synthèse .
Tout d'abord , un tendance nette : les catamarans avec des superstructures hypertrophiées sont considérés comme moins aptes à affronter du gros mauvais temps . Les catas , légers mais solidement échantillonnés et avec des superstructures basses , sont considérés comme pouvant affronter un vrai mauvais temps mais à une condition : qu'ils soient barrés et surveillés en continu . La question de la cape courante sur un cata n 'est même pas évoquée tant elle est incongrue sur ce type de yacht . Les monocoques rencontrent un consensus de la plupart des possesseurs en ce qui concerne les possibilités de sauvegarde dans le mauvais temps. Chacun des partisans de l 'une ou l 'autre formule restent sur ses positions , il y a même des crispations sur le sujet . N 'oublions pas que de la discussion naît la lumière et si ça n 'est pas le cas , elle renforce la convivialité et l 'amitié parmi les " gens de mer ". A vous lire pour concrétiser la synthèse .
Jean- Pierre

13 mai 2015
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Quelle ânerie ce que tu racontes
En 2012 je suis rentré en mars comme un con , j'ai rencontrer jusqu'à 70 n de vent, en plein dans la dépression, plus d'annexe, plus de grand voile, même mon éolienne a disparue et pourtant j'ai juste subi,, jamais retourné comme d'autres malheureusement en mono. A chacun son destin....
Personne n'est à l'abri d'un problème mais on trouvera toujours une ame pour t'expliquer que t'es une burne souvent quand cette même personne est derrière un fauteuil à regarder les grib et faire ses commentaire sur ce qu'il fallait faire ou non....
En même temps ces gens là, ils ne leur arrivent jamais rien, c'est peut être même eux qui pondent des lois pour le bon sens .....
J'ai envie de pleurer devant tellement de bêtises...

Pascal sur Shazzan

14 mai 2015
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Juste sur la forme, je te trouve injuste envers Oceanix qui essaye de faire avancer le débat de façon constructive.
Je partage ton point de vue sur le destin.

13 mai 2015
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Une réflexion sur la communication entre la nacelle et les coques et réfléchir sur une possibilité de séparer le tout me semble une bonne idée.

13 mai 2015
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Bonsoir à tous

Juste pour répondre à la question du sujet.....
NON un cata n'est pas plus ni moins dangereux qu'un mono....
C'est juste un drame comme on en trouve tous les jours sur les routes de France et de Navarre malheureusement.
Le dénouement est juste affreux, seul les commentaires insidieux sont peut être pas vraiment nécessaire alors que pour l'instant personne ne connait le début du drame et son déroulement pour pouvoir en sortir réaction cohérente....
Pascal sur Shazzan

14 mai 2015
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Bonjour,

@viking35 : "ancres flottantes"

ce qui est troublant est l'opinion inverse que l'on peut lire dans "navigation par gros temps" - adlard coles - 2002 page 41 :

"... durant ces dernières années, la cellule Wolfson, avec l'aide du RORC, a continué ses essais pour déterminer l'impact d'une ancre flottante de type conique sur le comportement d'un voilier dans les déferlantes. cette recherche est complémentaire d'études similaires menées aux USA par Donald Jordan.

elles indiquent toutes que lorsqu'on utilise une ancre flottante de type conique adaptée, déployée depuis l'arrière, on stabilise le bateau à la fois dans le lit du vent et des vagues de telle sorte que les déferlantes ne touchent que le tableau du bateau et donc ne peuvent appliquer de force entraînant un chavirage.

en utilisant une ancre flottante de taille adaptée, même les voiliers à quille profonde les plus fins peuvent survivre à une vague supérieure à 55% de leur longueur hors tout sans que le barreur intervienne, alors que pris par le travers, le même bateau sera chaviré par une déferlante égale à 35% de sa longueur.

en réalité, c'est uniquement dans la mesure où nous n'avons pas pu produire de vagues plus hautes en bassin que nous n'avons pu la limite supérieure de sécurité. comme on peut le voir sur la série de photos de cette double-page, le yacht continue de se déplacer sur la pente de la vague en étant à peine perturbé par la crête déferlante.

ainsi il se pourrait bien que l'ancre flottante conique soit le moyen le plus simple et le plus sûr de réduire le risque de chavirage de façon notable."

edit : je viens de placer, dans le fil des échanges, cette copie de la réponse imbriquée après l'intervention de viking35 pour la facilité de lecture :)

14 mai 2015
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la question n 'est toujours pas résolue. On ne peut pas tirer des conclusions générales d' un cas particulier . Ce n 'est pas parce qu 'un catamaran ( de quelle taille , avec quelles superstructure , de quel déplacement , avec quelles dérives ??? ) serait passé dans un vent de 70 noeuds ( dans les rafales , avec quelles vagues , ????? ) qu 'on peut dire de façon entièrement cuistre ,que tous les catamarans sont recommandables . Il faut aussi remarquer que tous ceux qui ont disparus de, ou à cause de catamarans ne sont pas intervenus sur le forum et ce n'est pas pour autant qu'on peut dire que tous les catamarans sont mauvais . Il faudrait que tous ceux qui n 'ont pas d'a priori , péremptoires puissent intervenir sans se faire insulter par des ayatollahs nautiques qui émettent des fatwahs définitives . Et que ceux qui prétendent être les seuls à avoir connu le gros temps montrent un peu plus de modestie , ça les fera paraitre plus intelligents , d'autant plus qu 'ils ignorent tout de ceux à qui ils s'adressent et ils sont nombreux sur ce fil .

14 mai 2015
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le tout est de savoir ce qui est dangereux. Tout est dangereux mais plus ou moins, une voiture est dangereuse dans les mains d'un irresponsable mais presque sans danger à l'arrêt. N'importe quoi de flottant est dangereux, même le Titanic. La question n'est pas de savoir si un cata est dangereux mais de savoir s'il est plus dangereux qu'un monocoque.
Il y a autant de réponses possibles que de barreurs. C'est pas l'engin qui est dangereux, c'est le barreur ou l'équipage. Le cata demande plus de précautions d'emploi que le mono et il prévient beaucoup moins c'est là son danger, mai si vous y collez un gars qui s'y connaît il n'y aura pas de problème plus qu'en mono. Je crois le savoir pour avoir pratiqué les deux et je ne suis pas le seul.

14 mai 2015
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Comme d'habitude, le fil et les avis oscillent entre "pro cata" et monocoque.
Je crois qu'il serait bon de se rappeler que le catamaran question culture plaisance n'est pas si vieux que ça, et que l'on n'a (et que l'on continue) toujours juré que par le monocoque.

Les Tabarly et consorts, estimés peut-être et compétents ne connaissaient pas grand chose au cata, vu leur culture, et les bicoques de l'époques n'en étaient qu'au balbutiement de ce concept.
Normal de les dénigrer, même si Tabarly a fait des essais (concluants) de foil, il n'a plus joué avec par la suite, il était déjà "out" des technologies émergentes...

Maintenant, il est vrai que ce concept a largement dévié vers le loft sur l'eau avec des vendeurs qui ne connaissent du bateau que le pourcentage de prime en fin d'année et en face des acheteurs qui, dès que ça bouge un peu, restent à quai, tout en sachant - et ils ne le font une fois, pas deux - que pour s'éloigner d'un quai, il faut pour ces gens là environ deux heures de préparation, sans compter le rangement ensuite, donc non valable pour aller prendre l'apéro en mer, ce n'est plus l'heure.
Essayons, comme toujours, d'apporter nos expériences et avis mais avec l'idée de départ.
Merci

14 mai 2015
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Les catas ou les monos c'est un peu comme les autos: chacun a ses préférences: propulsion, traction, 4x4 ! Mais il est vrai qu'on ne peut mettre une F1 dans les mains de tous le monde alors que chacun pourrait se débrouiller avec un bon vieux Land rover, tout comme il est dangereux de mettre un véhicule de 400CV dans les mains de quelqu'un qui n'en a pas l'habitude.
C'est pareil pour les catas: ce sont de superbes bateaux, mais qui nécessite un sens marin plus affiné que le bon gros mono. Ce n'est pas désobligeant de dire cela ! J'avoue qu'en dériveur je suis nul alors qu'avec un quillard j'ose plus: ça se couche et quand il est bien lourd l'inertie laisse un peu de temps pour réagir. Le cata demande sans doute plus de finesse et de pif pour apprécier sa tenue à la mer. Enfin un mono peut-être construit de manière plus rustique (le poteau télégraphique en guise de mat sur le bateau de Moitessier...) et prendre de grosses branlées alors que le cata, aux vues des efforts s'exerçant sur la structure ne peut se permettre de l'à peu près. Voili, voilà !

14 mai 2015
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Si l'on veut absolument franchir le Cap Horn d'Est en Ouest mieux vaut ne pas le faire sur un Lagoon 400 un Lipari ou d'autres unités de cette taille. Néanmoins il existe surement quelqu'un qui l'a fait !

Si l'on veut faire La Rochelle > Antilles voire La Rochelle > Polynésie il faut juste savoir que des dizaines et des dizaines de catas font ce genre de nav tous les ans. Très très majoritairement ils ne rencontrent aucun problème. Les rades de Mindelo les ports des Canaries en témoignent.
Pour l'avoir fait en tant qu'équipier je peux témoigner qu'à aucun instant je ne me suis senti en danger.
Les retours sont plus problématiques mais heureusement ceux ci se terminent majoritairement très bien.
Généralement il est conseillé de ne pas descendre au dessous de 12 m. Donc viser plutôt 45".
Le problème c'est qu'un choix est toujours un compromis et qu'une fois arrivé aux Antilles le cata est le roi des bateaux....surtout si l'on passe 6 mois là bas par an !
NB : j'ai un mono

14 mai 201514 mai 2015
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Errare humanum est, perseverare diabolicum

14 mai 2015
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je n'ai pas lu dans le fil ( mais peut etre ai je mal lu) d experience de skipper de lagoon dans du gros temps...en ce qui me concerne ma premiere experience cata etait sur un L500 entre st martin et nassau...on s est pris 50 nds au portant au pire et 35/40 sur une dizaine d'heures, oblige de s attacher sur le fly car les vagues cassaient dessus....y'avait un poil de mer..on etait au portant de memoire a environ 10 nds...ca c est fait assez cool il n y avait que moi qui etait terrifie par le bruit des vagues qui frappaient sous le cata...mes deux copain pro etait vraiment tranquile eux .... je pense que oui ya plus de fardage, oui ca remonte moins bien ( de l ordre de 5 deg) qu un cata a derive...mais c est costaud et marin et quoiqu on en dise VPLP savent ce qu. il font

14 mai 2015
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Tu prends déjà 5degrés avec une capote et un bimini alors un étage et demi j'en rajouterais quelques un :heu:

15 mai 2015
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:-)
60 plus 10 cela fera 70
A part cela t'as de tout dans les wharram comme dans tous voilier.
Cela dépend de tellement de chose. Du modèle, des voiles et de l'envie. Y en a même un qui a gagné le Jester Challenge 2010 et suis certain dans un ARC un wharram peu mettre une pelée a un Lagoon mais ce n'est pas vraiment dans l'esprit de wharamiste de payer pour ce genre de truc. :-)

15 mai 2015
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Déja qu'un propriétaire de Wharam annonce un près de 60°,
alors un avec des étages ?

14 mai 2015
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Ce lagoon a résisté à un coup vent, est ce que l'on doit applaudir, ou dire heureusement ?
Lors de discussions j'ai avec des copains qui ont fait une année sabbatique, ils ont put constater que certaines marques vieillissent mieux que d'autres. Certains skippers ont même avoué que s'il y devait repartir pour une nouvelle année, ce serait pour un bateau similaire (côté confort), mais un neuf (côté sécurité car le cata de un an était devenu trop souple structurellement).
C'est ce que j'appelle la génération kleenex (ne pas lire Kennex), on utilise une fois puis on jette.
VPLP ou d'autres savent ce qu'ils font ? Oui, bien sure, ils desssinent ce que leurs clients demandent des catas de location ou éventuellement faire une traversé de l'atlantique dans le sens est-ouest.
.
Mon cata de 18 ans d'age au prés serré dans 5-6bft n'a pas la hauban au vent qui se détend, c'est signe de rigidité, qu'en était il sur le lagoon au portant ?

14 mai 2015
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Pour relativiser certaines affirmation de vitesse , regardez les résultats de l'ARC par exemple le 2014

www.worldcruising.com[...]ion.pdf

1er Multi Lagoon 450 en 16j 09h20'28"
6em Multi Outremer 49 18j 22h08'29"

Dans un temps équivalent au premier cata en faisant défilé la liste cruisers l'on trouve
Bavaria 42 cruiser en 16J09h10'53"
Sinon plus vite que l'Outremer 49 l'on peut trouver parmi les nombreux monocoques (sans même allez chercher dans la liste racer)...un Southerly 38 en 17J01h30'56" ou un Malo 43
en 17j19h39'42"

Alors les arguments de vitesse sont à relativiser sur la durée d'une traversée.

Quand à la taille pas mal de "petits considérés comme lents" arrivent avant des longs "rapides"

14 mai 2015
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attention categorie cruiser égale autorisation du moteur sous réserve de déclarer

15 mai 2015
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Oui c très américain comme dashew qui a fini par admettre qu il mettait le moteur en dessous de 9 noeuds de de

15 mai 2015
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Il me semble bien à la lecture que la catégorie "motorisée" c'est la catégorie "open" la seule ou figure les heures moteur.
Et sinon les heures seraient possible dans toutes les catégorie sauf dans la catégorie racing

14 mai 2015
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Il faut comparer avec des skippers et équipages de niveau équivalent.
Ce parcours en vent arrière ou presque ne favorise pas les grandes vitesses ou il faut allonger la foulée, mais la grosse différence sur ce genre de parcours, c'est le l'absence de roulis (moins de risque d'homme à la mer, donc plus de sécurité), le confort de la veille dans le carré.
A temps équivalent entre un cata un mono, je serais curieux de voir la différence de fatigue à l'arrivée des deux équipages.

15 mai 2015
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Il y a de quoi se poser des questions!
Si sur ce parcours, il y a des équipages qui arrivent fatigués, je me demande dans quel état ils seraient arrivés il y a 40 ans avec les équipements d'alors (sans enrouleurs etc.). Quant au retour, ils seraient tous morts épuisés avant les Açores... A MDR!

14 mai 2015
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Si mes souvenirs sont bons. Premier un Lagoon.... Dernier un Lagoon.... :heu:

14 mai 2015
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Les Lagoon sont partout !
;-)

14 mai 2015
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@ tangnard....ni applaudir ni dire heureusement..juste dire normal.... rien de plus ...yen a un paquet de lagoon en TDM ils remplissent ce pour quoi ils ont ete concu...donc normal....et si tu vas te ballader sur l equivalent anglo saxon C&F forum (. de memoire) nos amis neo zed, anglais etc trouvent que cest plutot costaud lagoon....meme si fardage et....

15 mai 2015
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Oui les lagoon, Foutaine Pajot, Dean... sont partout, oui, beaucoup partent en grande vadrouille, mais combien ont réellement pris un gros coup de vent de 50-70nds. Les bateaux qui partent sur ce genre de parcours sont généralement neuf, mais que se passerait il si un de ces catas âgés devenu structurellement mou devait affronter un gros coup de vent ?
.
En ce qui concerne les fly bridge et autre infrastructure importantes, je ne vois pas comment les bateaux équipés de ces verrues peuvent remonter au vent dans un vent fort si il y a un danger à éviter !!!
Je ne veux pas taper sur ces bateaux pour en dire du mal systématiquement, mais ils ne sont pas adaptés pour faire du vrai long cours. Pour l'autoroute des alizée, du semi hauturier, c'est super. Ils sont confortables, bien agencés, l'accastillage est bien positionné, ça je suis d'accord, mais pas pour des navigations avec risque de mers difficiles.
.
Comme à chaque fois, chaque bateau à son programme, et je prends peut être la question à l'envers, car on demande si les multis sont dangereux, il faut peut être demandé dans quels conditions ?

15 mai 2015
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plutot d accord avec toi apres ton explicitation

15 mai 201516 juin 2020
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Bonsoir,
J’ai mis une étoile à Mago parce que sur le fond je partage son avis. Cependant quelques exemples montrent qu’il n’est pas systématiquement dangereux d’aborder des régions réputées difficiles avec un catamaran fut-il doté d’imposantes superstructures. En tout cas si la météo sait se montrer sans mauvaise surprise. Tout bateau pouvant un jour rencontrer ses limites.
Avant-gardiste à la fin des années 80, avec un catamaran aux volumes mesurés, la famille Berret qui a croisé au Canada et au Groenland à bord d’Arc en Ciel, un Naviplane Grande Croisière (11m). Peu d’échos sur internet des navigations de Magdeleine et Bernard Berret. Ici cependant lors du passage de Panama en 2013. Et une photo en pj.
www.sonystas.com[...]panama/

Lors de notre arrêt à Puerto Williams en Février- Mars 2012, un catamaran (47/50ft), de série, volumineux a fait escale, venant de l’Atlantique. Plus récemment un Salina 48, Fountaine Pajot, a franchi le passage du NO. Sans parler des conditions de vent, les skippers, pros, reconnaissent que le catamaran est moins à l’aise que le monocoque pour se mouvoir dans le floe. Ce n’est pas surprenant.
Quant à savoir si un catamaran est plus dangereux qu’un monocoque dans des conditions extrêmes, celles-ci appréciées, entre autres, relativement à la taille du navire considéré ? Les partisans du catamaran semblent, pour le défendre, mettre en avant le besoin de compétences supérieures à celles nécessaires à la maitrise d’un monocoque. Ne donnent-ils pas la réponse ?

Peut être d’autres avis ici ? Des évolutions en 2 ans ? Où il est même déjà question, entre deux, des jet-skis… !
www.hisse-et-oh.com[...]oisiere
L’essentiel étant d’aller sur l’eau, sur une ou deux“ jambes“.
Philippe

15 mai 2015
0

Comme Tangnard .mon cata , catana 40 âgé de 28 ans qui a fait 15 ans de location a Cogolin puis un demi tout du monde ( a Tahiti en ce moment ) en nav au près le hauban sous le vent se détend pas .aucun souci de structure

15 mai 2015
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J'ai fait une erreur, je voulais parler de hauban sous le vent qui peuvent devenir mou et non pas au vent qui lui est toujours tendu.
Pour ce point, une petite précision tout de même. Certains multicoques dans les années 70-80 ont été dessinés pour être les plus légers possible, mais avec les méthodes de construction de l'époque, on ne pouvait pas cumuler rigidité et gain de poids. Ces multis sont souples d'origines et le reste, il ne faut donc pas confondre souplesse d'origine et souplesse d'usure.
Kelsall était spécialiste de ces bateaux légers mais souples, échantillonnage calculé au plus juste.

15 mai 2015
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Je crois que Tangnard a écrit "au vent", sans doute veut il dire que lors d'à-coups le haubans au vent reste ferme (sous entendu la structure ne bouge pas ) car un hauban sous le vent moins "ferme" qu'un haubans au vent cela me semble normal comme cela me semble aussi normal un haubans au vent ferme.
Bon mais depuis le temps que je n'ai pas mis les pieds sur un cata (il y 7 ans comme patron sur un "promène couillon " à la journée de 20 m, vous savez lz genre ou il n'y a que des coques et des bancs :)

15 mai 2015
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LES catamarans. Le problème dans la question est dans le LES.
Quel rapport entre un KL 28, un Catana 40, et un Lagoon 500 ?
Ou plutôt quelles différences ? De quelles façons (différentes) aborder une mer difficile (toutes proportions gardées) avec chacun de ces bateaux ?
Un bon multicoque fait un bon près mais continuer à serrer le vent dans une mer courte avec un vent qui monte par exemple en Med, c'est fatiguer la structure. Il vient un moment où il faut savoir ne pas s'entêter.
Avec un palace à 3 étages, le fardage s' en mêle, le poids aussi. Un petit coup de moteur ?
Pour ce qui me concerne ces bateaux palaces ne m' intéressent pas, j' aime bien le rapport physique, direct au bateau. De plus ces bateaux m' ennuient car dès qu'on parle multicoques, ce sont d' eux qu'on parle inévitablement.
Un bon multicoque n'est pas plus dangereux qu' un bon monocoque, pourvu qu'on fasse des choix conscients en visant un niveau de sécurité acceptable. Ca n'est pas toujours facile de résister à l' appel de la vitesse, pas plus que de résister à l' appel d'une belle pente raide en poudreuse un lendemain de chute de neige.
Aujourd'hui, les multis sportifs sont souvent surtoilés, à la recherche de performances dans le petit temps.
Il faut savoir réduire tôt, anticiper la réduction sinon on bascule dans le monde de la course, avec ses performances, ses sensations...et son niveau de risque.
Cet abord ne s' applique pas aux Lagoon...
Se rappeler aussi que des vitesses de 10/15 noeuds sont courantes sur un multi sportif. Pas en mono. Dès lors qu'on sait lever le pied intelligemment, on navigue vite et sûr en multi.
Quant au vrai gros temps, si on peut l' éviter c'est mieux, que ce soit en multi ou en mono. 60 noeuds en Med avec un Bavaria, ça vous tente ?

;-) ;-) ;-)

15 mai 2015
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"Se rappeler aussi que des vitesses de 10/15 noeuds sont courantes sur un multi sportif. Pas en mono"

La je ne serais pas si categorique un mono sportif est capable de naviguer à 10/15 nds (bien que je n'ai jamais eu de mono sportif on ne peut donc m'accuser de preacher pour ma paroisse :) )

15 mai 2015
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Bonjour. Je demandais dans ce forum 2 choses:
- que les intervenants portant des jugements sur la "dangerosité" des catamarans décrivent leur expérience...en catamaran. Une seule intervention...d'expérience positive en Lagoon
- que si quelqu'un avait eu une "mauvaise" expérience mettant en jeu sa sécurité du fait du "concept catamaran", qu'il en parle: 0 interventions en 6 jours.
Dois-je en déduire (rapidement, peut-être) que les catamarans NE SONT PAS DANGEREUX !
Daniel

15 mai 2015
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J'avais mis des liens sur des faits divers où des catas (pourtant réputés ne pas etre dans la categorie hlm) s'etaient retournés, à 1,5 mille de la cote pour l'un (rapport declarait cause déterminante : le vent ) et un autre lui aussi retourné par le vent (je crois me souvenir avec l'architecte/constructeur à bord) en baie de St Tropez (mais pas sur)
Tu n'as sans doute pas vu passer les liens et j'ai la flemme de faire une recherche :)

15 mai 2015
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Bonsoir,
j' ai eu à convoyer en 92 un Edel cat 43, "élu" bateau de l' année 92 par notre chère presse nautique!
C' est de long le plus mauvais bateau sur lequel j' ai eu à mettre les pieds!
Ce "bateau", homologué à l' époque en 1 ère cat possédait une barre à roue hydraulique, et en cas d' avarie, deux barres franche de secours, il fallait dans ce cas un barreur par coque, dans les jupes à l' extérieur des filières!
Les pompes de cales électriques étaient branchées avec des dominos non isolés dans les fonds des coques! (c' est bien connu que les pompes servent quand il n' y-a pas d' eau)
J 'ai appareillé des Sable d' Olonnes à contre-coeur car je ne me sentais pas du tout en sécurité sur ce raffiot, mais la boite de loc pour qui je bossais m' avais clairement signifié que si je refusais ce convoyage, çà n' était pas la peine d' espérer en avoir d' autre.
Un précédent skipper avais déjà refusé la traversée sur ce bateau.
Dans le Gascogne, les avaries se sont succédées, et après environ 8 heures de près dans un vent ne dépassant que rarement les 30 noeuds en rafales, je me suis arrêté à La Corogne, la TOTALITE des fixations de la nacelle étaient gravement délaminées!
La boite de loc m' a reproché d' avoir continué à faire du près dans 30 nds de vent!
Pour moi, ce cata n' aurait même pas du être homologué en 5 ème cat vu sa dangerosité.
Je peux également vous parler du convoyage effectué par un copain du Punch 8.50 ache té neuf par une école de voile de la Baie de Concarneau:
appareillage de La Rochelle dans un vent de noroit de 20 à 25 nds (fin de dépression) et au bout d' une trentaine de miles, une déferlante arrive par le travers bâbord (le bateau navigue alors au près bâbord amûre), passe par dessus le roof de la coque au vent et arrache littéralement la totalité des hiloire du roof tribord( cadène de hauban comprise).
La coque tribord remplie d' eau et sans hauban, le skipper très expérimenté a réussi l' exploit d' échouer le bateau dans les rouleaux sur la plage à Jarre sur Mer.
J' ai par la suite pris beaucoup de plaisir à naviguer sur ce cata très sympa, mais quand je voyais une "grosse vague se former par le travers, je n' en menais pas large.
Tous les catas ne sont sûrement pas comme ces deux là, mais je me sent quand-même nettement plus en sécurité sur mon quillard.
Gorlann

18 mai 2015
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Gorlann: Si cela peux te conforter, les mauvais catamarans sur lesquels j'ai navigué sont l'Edel Cat 33 et le 35, avec pas loin derrière, le Louisiane ( sans dérives )

Les meilleurs: Cité d'Aleth, Hélios 38 et 42

17 mai 2015
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Ben ceux qui ont eu des pépins ne sont peut-être plus là pour en parler !
(Je sais, c'est une évidence, mais il fallait le dire)

18 mai 201518 mai 2015
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Comme Arthur Pivert ? un des tous premier à ce lancer dans le renouveau des tris ?

www.multihull-maven.com[...]r_Piver

Et pour ceux qui seraient interréssés par la liste des architects dessinants ou ayant dessinés des multis ne pas zaper cette page :

www.multihull-maven.com[...]signers

15 mai 201515 mai 2015
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J'aime bien la remarque qui se trouve dans cette phrase "unfortunately......water":

During the lunch break, one very pregnant lady asked me: "Why don't they discuss capsizing? That is what I want to know about. I do not like heeling monohulls, but I do not fancy swimming with my baby out of an upside down catamaran."

Unfortunately, what I had to tell the pregnant lady is that they never seriously discuss capsizes at Multihull Symposia except in a self-congratulatory way, saying that an "upside-down catamaran floats as against a monohull that sinks". Ignored are hypothermia, broken limbs, lost crewmembers and mothers frantically trying to find their children to say nothing of at least half the value of the boat, i.e. the interior destroyed by the inrushing water

l'auteur ?! Wharam :)

15 mai 201515 mai 2015
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quelques liens supplémentaires :

http[...]3680614

www.sfgate.com[...]421.php

www.pbo.co.uk[...]nd-2011

www.bbc.com[...]3919983

www.bbc.com[...]9103060

www.maxingout.com[...]e38.htm

the.honoluluadvertiser.com[...]5a.html

edition.cnn.com[...]-story/

www.latitude38.com[...]y.lasso

www.beamer-france.org[...]118.pdf

www.stw.fr[...]ers.cfm

Bon certains vont sans doute faire remarquer que certains de ces chavirage sont la cause d'un "mauvais" équipage...tant mieux pour eux si ils sont meilleurs (ou si ils s'estiment meilleurs) ou qu'il s'agit d'erreurs (heureux ceux qui ne font jamais d'erreurs..)

A la question générique "les catas sont ils dangereux" j'aurais tendance à répondre : Non, mais la marge d'erreurs est nettement plus réduite que sur un monocoque. (par monocoque j'entends : un monocoque normal, pas un qui perds sa quille ou son gouvernail pour un oui ou pour un non...)
Alors tant mieux encore une fois pour les très bons qui ne font jamais d'erreurs les multis sont fait pour eux, mais pour les "vulgum pecus" (dont je fais parti !) il faut garder à l'esprit qu'un multi pardonne beaucoup moins. Et que, contrairement à ce que je pensais, ils ne sont pas toujours "incoulables". (voir certains fils sur le bar d'en face).

Il m'est arrivé , les très rares fois ou j'avais la toile du vent moyen et pas celui des plus fortes rafales de me "vautrer" en monocoque la même "inconscience" en multi se serait probablement finie sur le toit...( bon d'un autre coté connaissant ma prudence "maladive" il est probable qu'en multicoque j'aurais encore plus reduit, sans allez jusqu'à naviguer au moteur face au mistral comme j'ai pus voir un Privilège de 14 m le faire, faut pas pousser quand même :))

En multi je n'ai aucune expérience du large , mais en côtière ce qui m'a marqué ce sont les chocs violent sous la nacelle, alors de là à dire que l'on se repose mieux en cata je ne serais pas si categorique (ou alors me donner la marque de vos boules Quiés et le système d'amortisseur que vous avez installé sur vos matelas), un copain qui lui a aidé son fils à ramener son cata des Antilles en France a eu exactement les mêmes interrogations face aux chocs et l'inconfort du à ces chocs.

Savoir si un jour nous aurons un cata ? Peut etre mais à moteur :) avec un petit mat !?

17 mai 2015
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La solution, c'est peut-être bien le tri, un ... mono intelligent ! :heu:

Tu pourras ranger tes boules Quiés.

15 mai 2015
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Bonjour,

voilà ce qu'en pensent deux archis spécialistes du multi (en angais) :

www.kelsall.com[...]ety.pdf

www.shuttleworthdesign.com[...]le.html

www.shuttleworthdesign.com[...]lk.html

15 mai 2015
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Bonjour. Je prends la discussion en route, Triple Jim ayant mentionné le KL 28 dont je possède une version Trophée. Je vais être banal: il y a une courbe d'apprentissage pour chaque bateau, tous les bateaux sont bons en fonction d'un programme de navigation et d'un équipage, il faut donc comprendre ce qu'on achète et, sans bon sens marin, expérience, préparation, capacité d'observation et compréhension des phénomènes physiques, on est à risque. Mon KL est génial pour mon programme de sortie de jour, un des plus rapides voire le plus rapide, 15-20 noeuds sur l'eau en croisière et 25 en pointe, fait un excellent près, je peux réduire la GV et si nécessaire rejoindre un abris. Un longue tirée côtière est aussi possible, j'ai fait Pornichet-La Rochelle à 13 noeuds sur le fond, avec préparation, météo, équipage ad hoc, points de chute en fonction du vent, mais si ça devenait mon programme habituel, je modifierais le gréement pour réduire la surface de voile et abaisser le centre de voilure. Chaque bateau est un compromis, non?

15 mai 2015
0

Faire des jours et des jours contre le vent en mono est bien fatiguant a la gite ,se caller pour dormir ,faire la cuisine et se deplacer ,le bateau qui tape fort a l avant est plus fatiguant que les bruits sous la nacelle

15 mai 2015
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On ne peut mettre en doute la compétence de Christophe Barreau, son bateau un TS52 assez grand, pas un HLM pour ce qui est des superstructures, et pourtant il s'est bien retourné le 2 août 2012 près de l'ile de Sky en écosse par un temps globalement maniable.

www.scotsman.com[...]2445539

Allez-y pour les commentaires :heu: :jelaferme: :acheval: :goodbye: :pecheur:

15 mai 2015
3

Bonjour à tous
Tu as raison, on ne peut pas mettre en doute la compétence de Christophe Barreau, à cela prés que son canote pése 8 tonnes à vide pour 140 m² de toile, soit 17,5m² la tonne !
Prend le lagoon 400, 10 tonne à vide pour 94 m² de toile, soit 9,4 m² la tonne...... Peut être que tu comprendra mieux maintenant :acheval: :acheval: :acheval: !
Moi je pése 14 tonne pour 130 m² de toile et je peux te dire que pour me mettre sur le dos il va falloir du vent et un paquet de circonstances pour le coup. En rentrant des Antilles je me suis taper une putain de dépression avec des vent de 60N et des rafales à 75 n, j'en ai même perdu mon éolienne annexe et un jeu de voile de moins d'un ans mais je ne me suis pas retrouvé à l'envers. En fait dans ce genre de discussion combien vont chercher les extrêmes, celles qu'un nombre insignifiant de personnes font, et les meilleurs réponses se font par des personnes qui n'ont jamais ou rarement monté dans un cata. J'ai fait 2 traversées, une en mono, baloté sans arrêt, tout atteler, manger dans des bols, et une en cata, que du bonheur, avec le bordel sur la table et tout le tintoin "

" .....
Faudrait pas tout mélanger, tu peux pas comparer une Ferrari avec une Clio, c'est tellement absurde !
Sinon, pour les Haubans laches, moi j'en ai qu'un par coté et c'est vrai qu'il se retrouve fort détendu au pré et la raison principal et juste la déformation du mat et non un problème de structure comme souvent les gens pensent, si j'avais des bas haubans je n'aurais pas ce souci mais comme souvent les avis avisés des personnes qui n'y connaissent rien sont toujours d'une pertinence sans faille....
Pour ceux qui auraient des doutes, louez un cata une semaine et aprés, ok, vous pourrez donner un avis honnête.
pascal sur Shazzan :langue2: :langue2: :langue2:

15 mai 2015
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Bonjour Guilty...or not guilty. Pas de commentaire, mais une question: quelle erreur avait commis le skipper ?
Daniel

15 mai 2015
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Il y avait eu un fil à l'époque, initié par "TDM" :

www.hisse-et-oh.com[...]chavire

Et j'avais eu la confirmation peu de temps après par une amie commune que ce bateau était bien skippé par son architecte Christophe Barreau et son épouse Cornélie, je l'avais d'ailleurs précisé en MP à "TDM".

15 mai 2015
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Bonjour,
J'ai eu un temoignage direct de ce chavirage de Pampero.
Retour spitzberg a 20 m de l'arrivee l'equipage decontracte tout petit temps; arrivee a un cap, tres grosse rafale venu de nulle part qui a arrache un toit de maison, apres virement de bord, la coque leve le coinceur ne se libere pas...

L'equipage n'etait pas en train de tirer sur le bateau mais un manque de vigileance dans des conditions calmes et une mauvaise rafale, et un accastillage qui n'a pas bien fonctionne.

Deja navigue sur le TS dans des conditions un peu formees et sur le catana 471 en transat dans des conditions assez fortes (5m 35 noeuds) jamais eu l'impression de pouvoir enfourner (coques tres hautes volume progressif). enorme securite au portznt et au pres si on reduit suffisament par contre on n'est pas a l'abri d'une claque sous le vent d'une ile mais c'est arrivee a des catas bien moins sportifs (punch )

15 mai 2015
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Donc, conclusion :
Un monocoque pardonnera plus un (très) gros temps, une erreur d'appréciation ou un imprévu météo qu'un bicoque qui demande à être toujours prêt à lâcher de l'écoute.
J'ai raison, là?

16 mai 2015
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On ne parle pas ici du risque d'homme à la mer, car dans ce cas, le cata me semble plus sécurisant !!!

16 mai 2015
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Bonsoir,
Je suis ce fil avec curiosité car en dehors du DART 16 je ne connais pas le cata. Donc rien en connaissance ni compétence.
J ai relève quelques propos des uns et des autres.
Un extrait d article
Par force 6- 7 on affale le peu de toile que l’on porte et on démarre les 2 moteurs in-board. (attention, on a entendu les hélices tourner dans le vide lorsque l’on passait les vagues – gloups)"

Shazzan qui a une pratique du catamaran :
Le mien pese 14 tonnes et j ai 130 m2 de toile, de la a ce que l on me mette sur le dos, il va falloir du vent.
Ça fait moins de 10 m2 la tonne, moi j ai 16m2 la tonne.

Un autre, qui écrit que ça remonte à 50 degrés du vent et dans du mauvais temps il faut plutôt compter sur 60 70 degrés du vent.
Moi je me plains du mien qui remonte quand même a 32 degrés du vent dans des conditions difficiles.

Ben c est a dire que franchement, si je vais sur un stand et que le commercial me présente les choses de cette façon, que ce soit monocoque ou catamaran ou autre, je n achete pas, même si c est sans doute très agréable dans des certaines conditions de navigation.
Croyez bien que je ne veuille froisser personne, mais ça m interpelle.

16 mai 2015
4

Faire un résumé avec des réponses négatifs de personnes différentes, ça ne fonctionne pas car personne ne navigue de la même manière et n'a le même bateau, même si je comprends tes interrogations.
.
Pour ma part Force 6-7, je suis plus serein à la voile qu'au moteur. Sur certaines unités.
Il est possible de s'appuyer à la voile avec un moteur pour aider la remonté au vent quand la mer est vraiment hachée et que le bateau manque de puissance.
.
Mon ancien bateau avait 30m²/T et le nouveau 24m²/T
Mon ancien trimaran remonté au vent à 45° et par force 5-6, avec ce cap, je remontais à 8-8.5 régulièrement. Je n'ai pas croisè un monocoque capable de faire un meilleure VMG que le F27. Ça devait manquer de régatier dans le coin (cabourg, deauville...). Pour le nouveau cata, je peux pas encore dire, je n'ai pas assez navigué avec pour savoir exactement comment il remonte au vent. Avec l'ancien Aquilon de mon père, un cata de 8 mètres à aileron et des vieilles voiles dacron, j'ai fait route égal avec un first 310 équipé régate entre Saint Malo et Chausey. Nous étions vent de face. Nous avions en effet 10 degré d'écart de route au départ, mais nous sommes arrivés presque en même temps, nous avions quelques minutes d'avances mais pas assez pour dire que notre bateau était vraiment plus rapide.

16 mai 2015
0

Beaucoup on écris sans jamais faire de traversée en multi et même en mono .l essayer c est souvent l adopter .la on c est dommage on a créé beaucoup de multi pour la location côtière les vrais catas de mer son trouvent très cher

16 mai 2015
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Il semble que tu ne lises que les interventions où se trouve ce que tu veux lire!

Toccata1 par exemple a écrit clairement pourtant

16 mai 2015
1

Pas une si grande différence de vitesse entre mono et cata de croisière pour éviter rapidement une mauvaise zone

16 mai 2015
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Non, non. Je suis ce fil depuis plusieurs jours maintenant.
J'ai aussi retenu sur c était confortable, qu il y avait de la place, que ça gitait pas ou peu que c était rapide, que l on pouvait prendre l apéro sans renverser son verre.
Personne je crois ne l a dit, je pense meme que l on peut plus facilement éviter ou contourner une grosse zone dépressionnaire grace a la vitesse de ces bateaux contrairement aux monocoques. Mais ça c est ce que j attends d un catamaran.
Pour ce que j ai relève dans vos discussions, ce sont des points auxquels je ne m'attendais pas. Ce n est pas un résumé.
@tangnard, j ai l impression que nous fréquentons les mêmes eaux. Un cata sur l eau ça me plairait assez bien d essayer....

16 mai 2015
1

D'un autre coté l'on peut voir infirmer des affirmations catégoriques de certains possesseurs de catas du genre : la stabilité est telle que le vent ne pourra pas retourner un cata , le greement ferra "fusible" avant .
Parmi les différents liens mis l'on peut voir que cette affirmation n'est pas juste.
Et sous la nacelle ce n'est pas un doux clapotis dont je parlais mais bien de chocs.
Lorsque nous faisions du "charter" avec notre Damien II ,nous avions envisagés de passer au cata , nous en avions donc essayés un certains nombre , je me rappelle particulièrement un essai d'un Privilège de 14 m (la première version , ben oui on est pas jeune !) petite brise de fond de culotte, légère ondulation reste très amortie d'une petite houle....et l'eau giclée par les évacuations de "cockpit".
Les deux vagues d'étraves se rejoignaient sous la nacelle et en fonction de l'ondulation heurtaient la nacelle et giclaient dans le cockpit....
Avec des vrais vagues et du vrai vent...
Sinon pour promener des clients cela aurait été bien mieux que notre "bunker" de Damien II .
Le problème c'est que la majorité de ces catas sont conçus pour "promener" des des clients, cela amène à des choix curieux un exemple au hasard : il est de bon ton d'avoir une porte de "veranda" pour entrer dans le carré (vous avez sans doute lu le compte rendu des gars qui ont remplis leur cata l'eau faisant sans obstacle le trajet, cockpit, carré pour finir en cascade dans les coques )mais le débattement avec une porte fixé en appuis etant trop faible le cadre et la porte sont fixé à l'intérieur alors que le bon sens voudrait que le tout soit en appui. Le jour ou cela pousserra un peu... à moins que le raisonnement des concepteurs n'ai été : de toute facons la vitre cedera avant les vis et le sika du cadre (ce qui est peut etre vrai !?)
Si un jour nous passons à un cata (à moteur :) !) au minimum pas de "veranda", vraiment insubmersible et suffisamment solide pour que les parties insubmersibles restent ensembles :)

Parmi mes (nombreux !!) délire il y a longtemps je m'etai amusé à dessiné un mon/cata/tri sur l'inspiration de Kway ou Alcyone avec un roof assez proéminent pour que retourner l'ensemble soit déjà gité et en remplissant une coque latérale...l'on pouvait en théorie espérer :bravo:

16 mai 2015
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J'ai fait deux fois LR > Antilles (Martinique). Une fois sur un Lagoon 450 et une fois sur mon bateau, un mono de chez Beneteau de 12m.
Nous n'avons eu aucun problème avec le Lagoon et l'Oceanis. Même dans la Golf de Gascogne ou la sortie était ventée et agitée avec le Lagoon. Le flotteur sous le vent piquait dans les vagues. Au bout d'un moment nous nous y étions habitués, puis la nuit est tombée...et on ne voyait plus rien.

Sur des catas type Lagoon 450 pour échapper à un obstacle on met les moteurs....car oui, la remontée au vent n'est pas leur fort. Donc la sécurité est assurée de cette façon. De plus il y a deux moteurs. Donc si l'un est bloqué l'autre peut être dispo ! Nous, nous avons bloqué les deux moteurs avec un filet dérivant du côté des Canaries.

Quand à la vitesse d'un Lagoon ou d'un Pajot, c'est pas l'objectif. Pour les gens qui comme moi se baladent, la vitesse est un argument très secondaire. Bien sur on tente de faire marcher le bateau au mieux mais si la moyenne est de 6 ou de 8 Nds c'es pas important. Il suffit juste de prévoir.

PS : j'ai toujours un mono que je viens de laisser au Marin mais c'est juré si je gagne au loto j'achète un 450.

16 mai 2015
0

J ai pas lu
Question à la con
Polemique et sans interet

Posez donc la question à yvan bourgnon...
Lui au moins est un marin et sait dejà s en servir....

16 mai 2015
4

J'ai lu ta réponse
Réponse à la con
Méprisante et sans intérêt
Posez la question à ceux qui ont eux des problèmes (archis et constructeurs entre autres)
Eux au moins ils doivent être modestes (mais sans doute nuls au vu de ta remarque) :)

16 mai 201516 juin 2020
2

Bonjour
Pensez-vous que ce sujet va finir un jour . Il me semble que nous tournons en rond les pour restent pour, les contres restent contre. Mais le sujet a été constructif, j'ai presque tout lu et cela m'a appris beaucoup de choses . Il le fallait pour savoir que la mer sera toujours la patronne!! :jelaferme:
Jean

16 mai 2015
6

Je retiens de ce long fil que le cata fait assez peur a ceux qui n ont pas navigué dessus

17 mai 2015
2

Pourquoi les gens devraient changer d'avis ?
Un forum c'est un lieu d'échange ou chacun donne son avis.
On est d'accord , on n'est pas d'accord c'est la vie.

18 mai 2015
0

Je vote !

18 mai 2015
2

Bonjour :doc: :doc: :doc: :doc:
Voilà pourquoi il faut faire du tri dans ce forum............
Jean :goodbye:

16 mai 201516 mai 2015
3

j'ai navigué et j ai pas du tout aimé, aucun de mes copains non plus, quelques milliers de milles quand même, Marseille Alexandrie en hiver. content d’être arrivé et jamais plus mis les pieds sur un cata !
toujours été payé pour naviguer en cata
et je n'aime pas du tout ce manque de 'privacy" on est comme des animaux au zoo dans ces bateaux, j'aime descendre "a la cave" et etre chez moi

ces fils ne servent à rien, personne ne change d'avis
j'ai par contre un faible pour les tris.

16 mai 2015
3

On avait l' habitude de dire que le vent ne pouvait pas retourner un multi, les vagues oui... Il nous faut réviser cette affirmation, à la lumière de la mésaventure du TS de C. Barreau. Je pense aussi à Virbac Paprec. Deux bateaux très toilés.
Pour ma part, j' ai pris une fois un grain blanc très soudain et d'une grande violence avec un Piana 30. On avait tout dessus, j' ai vu le grain arriver, juste le temps de prendre 2 ris et de rouler le génois au 2/3. Si pour une raison ou une autre, on n' avait pas été vigilants ou sous pilote et pas sur le pont, on y allait.
Ca ne discrédite pas le cata, mais ça justifie au moins de réfléchir et d'en tirer les conséquences.
Ceci dit, sur ce fl, je trouve qu'on monte en épingle quelques cas bien particuliers pour aboutir à des conclusions hâtives.
Prenons un, deux, trois cas de naufrage de monocoques... A quelles conclusions pourrions nous arriver ?
Par exemple, des quilles perdues, est ce que ça disqualifie les monocoques ?
Les vraies questions, à mon avis :
- les capacités des catas à continuer au près dans une mer forte
- le risque de manque à virer
- l' enfournement / le risque de sancir
- la fatigue des structures dans le gros temps
Selon le type de cata dont on parle, ces questions trouvent des réponses diverses...
En fonction de son bateau, chaque skipper de multi adoptera sa philosophie, qui est souvent assez différente de celles des monocoques. Pour moi cela comporte plus d'anticipation, et réduire plus tôt et toujours être prêt à le faire, entre autres.

18 mai 2015
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cata retourné par le vent sur "lac" plat, devant chicago un couple tres expérimenté en mono prend livraison de son cata français de 38 pieds, convoyé depuis les antilles.
première sortie un beau dimanche après midi brise de terre classique avec les rafales habituelles entre les tours, retourné , 2 morts

18 mai 201516 juin 2020
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J'écrivais hâtivement plus haut, "La solution, c'est peut-être bien le tri, un ... mono intelligent !"

Il me tente d'ouvrir un fil sur le sujet. Mais c'était bon ici de lire sur le cata. Je constate que l'on n'a pratiquement pas parlé du tri, qui est, par bien des aspects, entre le mono et le cata.
Pour ma part, aucune expérience en cata, mais grosse sur mon tri. 7000 M - et pas mal de gros bastons. Il est évident que nous sommes très peux à avoir de belles expériences AU LARGE sur tri. Je citais aussi les gars de la compet au large qui ont quitté le cata... Il faudrait les interroger aussi, car comme on se l'est dit, seule l'expérience compte pour choisir son bateau.
J'ai comme le sentiment qu'un type qui part voyager, il est comme éblouit par le cata qui est si spacieux. Un choix bien compréhensible quand on vit de longs mois à bord.
Je sais pour ma part que pour aimer le tri, il faut aimer la simplicité (et il faut surtout que votre femme l'aime aussi ... Pas gagné je sais :aurevoirdame:
Mais cette humilité peut payer en mer.
La mer ou la mère, ... ?

18 mai 2015
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Parler des tris, bonne idée !

Ras le bol des catas !

www.hisse-et-oh.com[...]es-tris

18 mai 2015
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"les gars de la compet au large qui ont quitté le cata..." l'ont fait parce que les voiliers devaient fréquemment être menés en solitaire et parce que le près d'un cata est inférieur à celui d'un tri.

18 mai 2015
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Un autre fil qui avait été créé en // donne un lien avec le témoignage direct de la maman, c'est terrible à lire, j'en suis sorti bouleversé.
Cela confirme aussi que le Lagoon n'y était pour rien, ce sont les conditions terrifiantes (elles l'avaient été également pour les cadors du swan 44) qui poussé à l'évacuation.
ensuite s'ils étaient restés à bord ?
Le lagoon a fait le job
L'équipage philippin a été sensationnel
merci à capkavern

Missing
capkavern
...une petite pensée pour la famille Hachet

Bonjour à tous,

Je voulais juste avoir une pensée pour la famille Hachet...leur histoire me bouleverse...quand nos passions (la mer, les voiliers, les voyages), qui peuvent nous apporter tant de choses, amènent aussi parfois des drames...

Nos pensées sont avec vous...

www.msn.com[...]BBjSNDl

18 mai 201518 mai 2015
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LA FAMILLE "RÊVES D'Ô" A BESOIN D'AIDE

Bonjour à toutes et à tous !

La famille Hachet à laquelle appartenait la petite Inès a besoin de notre aide.

Lisez le post ci-dessous publié chez le blog "Rêves d'Ô".

revesdo.over-blog.com[...]te.html

Détail très important que change tout, le texte affirme que le voilier a fait naufrage à la suite d'une dépression atmosphérique et de la COLLISION AVEC UN CARGO qui tentait de leur porter secours.

Bon vent !

18 mai 2015
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Dans le texte , c est une demande financière ? j espère pas .....On fait un choix de vie , on l assure l assure jusqu au bout . Compter sur les autres serait trop facile .

18 mai 201518 mai 2015
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"On est dans le bateau, tout va bien, on attend les secours. " est le SMS envoyé par la mère 6h après avoir déclenché les secours avec leur téléphone satellite.

le Lagoon se comportait bien et il n'est pas fait mention d'incendie à bord. Il a été détruit par les chocs contre le porte-container.

"le canot manque de chavirer. La petite Inès tombe à l’eau entraînant son père avec elle."

Une fois de plus, la sécurité d'un abandon ou d'un canot de survie s'est avéré illusoire.

18 mai 2015
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Je pense que c'est très clair, la famille et le lagoon ont assuré, par contre le navire venu les "aider" les a méthodiquement défoncés !
3 autres navires ont du être secours, je pense que pour le coup le sujet initial du post est clairement contredit par les faits.
Même avec un super monocoque de combat, n'importe qui serait allé au fond dans ces conditions

www.msn.com[...]BBjSNDl

18 mai 2015
12

La c'est trop facile !
Ce n'est pas de la faute au cargo si la famille a demandée à être évacuée , il faut remettre les faits dans leurs chronologie...

Si le temps est réellement comme décrit pour justifié l'abandon d'un navire intact : "creux de 15 m .. etc"
Et dans le même temps vous voudriez qu'un navire qui n'a rien de commun avec le comportement d'un multicoque arrive à se mettre bord à bord (mais sans toucher le cata ?) ?
La moindre vaguelette va déjà envoyer le cata contre la muraille et croire qu'un tel secours peut se faire sans casse dans une météo telle que celle décrite est illusoire.
Voila c'était mon coup de gueule du soir , maintenant une camomille et pépé va se coucher :)

19 mai 2015
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a philippeG....comment peux tu ecrire de telles choses peremptoires, accusatrices, bien assis derriere ton clavier ?
tu y etais toi sur le cata apres 3 jours de tempete sans dormir ?
tu penses a ce que tu ecris , que c'est tres mal venu, voire meme degoutant, vu le malheur qui touche ces gens ?

il y a eu malchance, le reste, que tu ne sois pas d'accord avec leurs decisions sur le moment, on s'en contre fout. seule leur objectivité sur le moment pares 3 jours sans dormir a avoir peur pour sa famille est comprehensible.

tes jugements bien au chaud n'ont aucune valeur, tu n'y etais pas.

et pourquoi critiquer les initiatives prises par leur entourage, si cela peut leur apporter un peu de soutien ??
pourquoi ecrire de facon si absurde "chacun sa merde" ??

non, pas chacun sa merde...en mer , plus qu'ailleurs, le mot solidarité, entraide, avait de la valeur.
a lire certains posts, cet esprit est en voie de disparition, c'est bien dommage.

chacun sa merde donc, j'espere bien te laisser dans la tienne un jour.

18 mai 2015
5

Suis d'accord avec toi, loncours, même si depuis le début du fil j'observe et lis et n'ai réagi qu'une ou deux fois.
Inadmissible, pour moi, en final, de lancer un appel à l'aide en système "fundraiser" parce que les parents, inconscients, ont tout vendu, bradé pour réaliser leur rêve sans aucun filet de sécurité ni réflexion sur l'avenir. En lisant le fil ci-dessus, de Paris Match, c'est limite à comprendre que c'est le cargo qui les a envoyé par le fond (ce qui peut être possible mais on ne joue pas avec un cargo de 3-400 m comme d'un petit bateau) et que tout est de la faute au cargo alors que le cata paraissait en bon état de flottabilité et qu'ils ont appelé les secours et déclenché la balise de détresse par perte de sang froid.
Désolé de le dire, mais ces personnes, les propriétaires du cata, ont simplement pensé qu'un sauvetage, c'était les sortir de la mouise et les ramener à la maison bien au chaud, en oubliant que les sauveteurs avaient autre chose à faire que de jouer à la nounou.
Il y a eu mort d'innocents, j'espère que l’enquête rétablira réellement et impartialement la vérité, à savoir manque de préparation, mais surtout panique à bord.
C'est aussi mon coup de gueule, j'en fais pas souvent, et là, je me suis retenu de ne pas leurs dire ce que je pensais sur le site de "fundraising"

18 mai 2015
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C'etait d'ailleurs un topic odieux!

18 mai 2015
4

C'est pour cela qu'il faut penser une, deux, trois, trente fois avant de demander au secours.

Il est trop dangereux demander de l'aide à ceux qui ne savent pas comment nous aider.

Peut-être que la petite Inès serait encore vivante et le cata a flot si le skipper du "Rêves d'Ô" aurait essayé de suivre sa route tout seul.

La vague la plus dure est plus douce que la proue d'un navire de 400 MÈTRES ! ! ! !

On pourrait dire en brésilien, que dans ce cas-là "a emenda foi pior que o soneto".

On pourrait dire aussi que "de boas intenções o inferno está cheio".

Mais parler c'est facile, difficile c'est prendre la bonne décision sous une violente tempête.

18 mai 201518 mai 2015
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Oui, et si ma tante avait des couilles on l'aurait appelé mon oncle.
C'est tellement facile ce genre de raccourcis.
Bonne soirée à tous.

18 mai 2015
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le sujet du post est " les catamarans habitables sont-ils dangereux ? point d'interrogation et forme interrogative ; précision à l 'usage des analphabètes qui ont pris la question pour une affirmation .

le post a pour objet d'ouvrir le débat et il a été constructif . On sent certains supporters fanatiques des catas , pousser un ouf de soulagement en apprenant que la cause du décès de la petite fille n 'est pas due à leur objet fétiche mais à la demande de secours qui n était peut-être pas entièrement justifiée . Ceci ne remet nullement en question les arguments contre les catamarans et ceux qui veulent naviguer dessus , qu 'ils continuent et ceux qui veulent naviguer sur des monos et bien qu'ils continuent aussi .La vérité est comme toujours à l 'opposé des extrêmes .

18 mai 201518 mai 2015
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cool j ai donc un QI a 3 chiffres ......

18 mai 2015
0

... O,O1 ?
C'est un joke, Pascal !
;-)

19 mai 2015
19 mai 2015
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une petite qui perds la vie... Moment des plus douloureux.... et je compatis, bien plus que vous ne pouvez immaginer,

mais on m a toujours appris, qu il ne faut compter que sur soi, et si tout allait bien dans le cata je ne peux comprendre pourquoi le cata a ete abandonné, mais ok je n y etait pas...
reste que cela est un mystere pour moi ... surtout qu il est ecrit "insubmersible et Piece speciale"

19 mai 2015
3

Bonjour à tous
Et oui Vespa comme tout le monde tu compatis, comme tous le monde tu n'y étais pas mais tu sais, lorsque tu as des enfants à bord, tes enfants, tu penses pas comme tout le monde.
Combien de bateaux se retrouvent vide aprés de grosses tempêtes, abandonnés par la peur ?
Non, tu peux pas comprendre et bien souvent le mieux serait de ne rien dire...
Pascal

19 mai 2015
3

le lagoon réhabilité ce fil aura servi à quelque chose s'il rappelle que l’océan peut être un milieu hostile mais surtout que traverser cette zone à cette époque est comme jouer à la roulette russe.
j'ai lu des tonnes de récits de TDM ou les gens n'ont jamais rencontré plus que 35 nœuds de vent et 4 mètres de creux.

Le drame indicible de cette famille provient du changement de programme - c'était un TDM à l'origine si je ne me trompe - et d'un retour précipité vers la métropole à cette période dangereuse.

19 mai 2015
6

Cet accident ne se serait jamais produit il y a 20 ans et encore moins dans les années 70/80.

Rappelons aussi qu'en aucun cas, il ne faut abandonner un voilier et que l'utilisation d'un canot de survie est risquée.

En France, sur le cinq derniers cas d'utilisation d'un radeau de survie, un seul a pleinement rempli son rôle. :non:

A méditer.

19 mai 201519 mai 2015
5

Longcours et Philippe G, je vous imagine parfaitement avec vos enfants à bord, à réagir tout à fait comme il faudrait, à refuser tout appel de détresse, parce que bien sûr, comme vous êtes omniscients, vous savez que c'est un porte conteneur philippin qui va venir vous aider, et que c'est mal.

Vos com sont absolument pathétiques, avez vos gosses à bord et dans une situation similaire, vous ne savez probablement pas si le plus raisonnable est de se taire ou de lancer un appel de détresse. Ensuite vous ne savez pas qui va vous porter secours.

J'imagine très bien que si la situation empire, chavirage etc, vous vous reprocheriez de n'avoir pas lancé un appel plus tôt tant qu'il en était encore temps.

Quels reproches vous faites exactement à la famille, quelle part de responsabilité dans le décès de leur enfant ?

et le final, magnifique :
"Inadmissible, pour moi, en final, de lancer un appel à l'aide en système "fundraiser" parce que les parents, inconscients, ont tout vendu, bradé pour réaliser leur rêve sans aucun filet de sécurité ni réflexion sur l'avenir."

Non c'est vrai , tu as raison, il est plus intéressant après une telle aventure de ne rien tenter, et de croupir dans la fange avec tes enfants. Donc non seulement ils ont fait une erreur de larguer les amarres, mais en plus il faudrait qu'ils restent les bras ballants. On a bien compris qu'en tout cas, toi tu n'allais pas les aider.
grand bien te fasse

19 mai 201519 mai 2015
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Il semble que tu ai bien lu mon post , mais visiblement tu ne l'as pas compris !
Je ne critique aucunement leur choix, mais je critique ceux qui essaient par leur post de présenter le cargo comme responsable de ce drame ce qui ,si tu saisi la nuance, est fort différents.
Pour être sur que tu assimile bien ce que j'ai écrit et non pas se que tu sous entends que j'ai écris je te fait un copier coller lis le calmement et si tu ne comprends pas tout demande à quelqu'un de te faire une explication de texte :

"La c'est trop facile !
Ce n'est pas de la faute au cargo si la famille a demandée à être évacuée , il faut remettre les faits dans leurs chronologie...Si le temps est réellement comme décrit pour justifié l'abandon d'un navire intact : "creux de 15 m .. etc"
Et dans le même temps vous voudriez qu'un navire qui n'a rien de commun avec le comportement d'un multicoque arrive à se mettre bord à bord (mais sans toucher le cata ?) ?
La moindre vaguelette va déjà envoyer le cata contre la muraille et croire qu'un tel secours peut se faire sans casse dans une météo telle que celle décrite est illusoire.
Voila c'était mon coup de gueule du soir , maintenant une camomille et pépé va se coucher :) "

Une précision pour que les choses soient plus claires dans ton esprit regrde la position du petit point orange devant mon post il t'indiqueras que mon post était une reponse au post juste au dessus du mien ou il était ecrit :
"...par contre le navire venu les "aider" les a méthodiquement défoncés ! ..."

Je pense que maintenant les choses devraient etre claires, si je m'emporte "un peu" c'est que j'ai comme ligne de conduite de ne jamais critiquer un choix fait par un autre ayant entrainés une catastrophe , un naufrage, une fortune de mer.
Comme je l'ai ecris à de très nombreuses reprises ici même (mes ces interventions tu as du les zapper) je suis le premier à avoir fais, à faire et j'espère encore pour longtemps ,des conneries .

19 mai 2015
1

Désolé de vous avoir froissé, Phileas, renard et les étoileurs, je me suis mal exprimé, c'est l'effet coup de gueule, la fatigue aussi.
Mais comme loncours qui s'est exprimé mieux que moi, je n'ai pas écrit "bien au chaud chez moi", mais j'ai cru comprendre en substance en lisant les récits provisoires que le cargo était totalement responsable du drame (et c'est un drame) qu'ils ont subi.
Le bateau est en bon état, il flotte, il y a de l'eau, des vivres, donc ok, soit on attend, soit on essaie de se détourner de la dépression. Il y a de la grosse mer qui fait paniquer, d'où mon impression de génération "presse bouton d'urgence" et de non maîtrise des événements.
Hélas, à première lecture, la pauvre môme est morte suite à une erreur (et ça peut arriver à tout le monde) de ses parents, erreur d'évaluation et d'appréciation.
Et pour ce qui est du site demandant une levée de fonds, OK, ils n'ont plus rien, mais ce que je ne comprends pas, c'est de partir genre "bisounours" en ne laissant strictement rien de côté et avec des enfants en bas âge à bord, et que le site ne souligne pas.
Pour ce qui est de les aider ou pas, heureusement il est possible de faire un don anonyme, ce que j'ai fait. A toi de voir...

19 mai 2015
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tiens un adepte de la securité qui j'affiche, nous sommes donc officiellement trois peut etre 10 en comtant les absents sur 60000 plus que 59990 a convertir

19 mai 2015
4

bonjour à tous
trois jour à la barre, trois jour sans dormir: les raisonnements ne sont plus les mêmes. Essayez vous verrez...
Pascal

19 mai 201519 mai 2015
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y'a qu'a pas rester a la barre......quelle logique bizarre,
1) prendre un cap d'echapement
3) mettre le pilote ou le regul , sauf si celui ci n'assure pas dans ces conditions = mauvais choix volontaire et premedité
2) aller se coucher sauf si le bateau ne tient pas la cape seche...la je sais pas faire et je ne m'y risquerais pas

19 mai 2015
7

La vraie question est:
Pourquoi tenir la barre trois jours?
C'est pas normal et cela ne devrait pas arriver.

19 mai 2015
1

de plus j ajouterais que si il y avait eu un vrai suivi meteo il ne se serrait pas retrouve au milieu de cette mechante depression car en trois jours en cata on fait du chemin et on peut eviter le centre de cette depression
malheureusement comme souvent on se retrouve dans une situation ou une cascade de petits evenenments et de choix pas adequat en mer tourne a la catastrophe !!!!
pas de suivit meteo ,peur des conditions ,fatigue accumule ,decisions d evacuer le bateau ,pas d experience avec le radeau de survie etc etc
a priori c est le probleme !!!

19 mai 2015
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Je dirais même que c'est une faute technique ...

19 mai 2015
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Le piège de la réception météo avec un iridium c'est que bien souvent pour limiter la taille du fichier on demande les gribs sur une petite zone.
Un trop gros fichier bloque la messagerie que seul une intervention du concessionnaire peut débloquer. Donc on limite à quelques Ko et on ne voit pas arriver la grosses dépression. Ce point a été déjà débattu.

Quand au radeau, mon voisin de ponton en faisant vérifier sa survie a constaté qu'il ne s'ouvrait pas. Dans ce cas expérience ou pas, ça ne change rien.

Je n'étais pas à leur place et ne veux formuler aucun jugement moral mais je ne comprend pas pourquoi évacuer un bateau qui flotte alors qu'aucun danger sous le vent ne se présente. C'est valable pour le Lagoon mais aussi pour le Swan. Bien entendu cette réflexion ne présente un intérêt que pour les prochains navires en difficultés.

19 mai 2015
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c'est tout a fait mon avis , mais mon avis est plus severe , je ne dirai donc pas pour rester politiquement correct et aussi parce que je n'y etais pas

19 mai 2015
3

les cadors du swan 44 ont fait la même chose mais eux ils ont eu droit à l'hélico et non à un cargo

19 mai 201519 mai 2015
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Impressionnant de professionnalisme et d'efficacité les sauveteurs en hélico !

19 mai 201519 mai 2015
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@mortutonga
Le problème c'est que l'on ne sait pas s'ils avaient la possibilité de prendre la météo sur une vaste zone ?
J'ai traversé l'Atlantique avec un Lagoon 450 (a peine plus gros) en convoyage avec un skipper Prossionnel qui ne savait pas récupérer des gribs ! Si si !

19 mai 2015
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@mortutuga
Tout à fait d'accord sur la traversée vers les Antilles. Sauf que pour d'autres destinations dont le retour des Antilles ne pas prendre la météo est aujourd'hui de l'irresponsabilité.
"Les temps changent" comme disait Dylan y a ...50 ans.

19 mai 2015
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il y a vraiment des supers "gros mecs" sur hh on se sent vraiment tout petit!!

19 mai 2015
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pour nrs; mon propos etait ironique! on ne parle pas des memes! ceux dont tu parles ont en general beaucoup de pudeurs devant les coup de chiens rencontrès dans leur vie ,la mer rend humble! et ils ne viennent pas raconter leur vie avec exaltation sur les forums ou sortir des anneries à la limite de la provoc! dans le nord on dit= "grand parleux petit faiseux! cordialement

19 mai 2015
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Récupérer les gribs c est pas très vieux comme système , je n en ai jamais eue sur mes trois retour Antilles France par les Açores

19 mai 2015
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putaing qu'est ce qu'on s'en fout des grib bordel , arretez avec ca!!!!j'ai jamais utilisé ces truc sauf ici a mon bureau pour me distraire..on croirait que la meteo commence avec la vulgarisation de ce fatra.....vous devez etudiez la meteo serieusement y'a un malaise ici
a la prochaine " avancée" on affirmera que les gribs c'est ringard et celui qui s'en sert sera traité d'irresponsable..j'ai pas de tel sat je partirai sans ca , je ne suis pas le seul, et on ira partout sans couler sans se faire chier plus que les autres....a la place j'ai pour 2500€ de sono et 1500 disques en flac
vous allez pas me dire qu'il faut forcement un tel sat pour aller aux antilles , la traversée la plus facile du monde, vous etes inconscients. quand j'ai traversé le pacifique j'avais meme pas de carte autres que quelques details de polynesie; rien entre l'amerique du sud et la NZ....
.
le seul probleme des quelques tempetes c'est que ca faisait sauter les CD et faisait peur au chat.

19 mai 2015
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eh bien je serai l'irresponsable ,
" a la merci de la mauvaise meteo" comprends pas d paradigme

19 mai 2015
2

Non, en rien "des supers "gros mecs", simplement des gens qui ont navigué "avant", qui ont fait des traversées "avant", pendant des années ... A une époque où la question ne se posait même pas ... Après beaucoup, beaucoup de préparation ...

19 mai 2015
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@TDM
Ce n'est pas vieux effectivement et donc autrefois au large on était à la merci d'une mauvaise météo.

19 mai 2015
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"Ce n'est pas vieux effectivement et donc autrefois au large on était à la merci d'une mauvaise météo."

Non. Pas que autrefois, aujourd'hui aussi.

Voir webcache.googleusercontent.com[...]/search

"Un Class40 n’est pas assez rapide pour échapper rapidement aux conditions
plus difficiles que prévues "

19 mai 2015
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17 heures pour nous entre halifax et les acores, mais plutôt un pas mauvais souvenir, heureux de dormir

19 mai 2015
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pour m a part , 3 retours , et a chaque fois une douzaine d heure a la cap dans a peu près la même zone ....c est chiant , c est usant et inquiétant . Couché , tu entends la déferlante arriver et la dans un grand choc celle ci recouvre le bateau

19 mai 2015
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de nombreusesfois a la cape soit a cause de la force du vent soit parce qu'au dessus de 40 nds le pres devient intenable , soit pas paresse envie de dormir..soit encore pour attendre une marée ou le levé du jour pour un atterrissage
en aucun cas une galere , c'est un peu comme une nuit dans un mouillage agité. c'est une allure comme une autre adapté au temps dont dieu permet le venue
le plus venté 80 nds( anemo bloqué au max),au moins 12 m de creux ( a mon avis plutot 15), un soulagement , enfin le silence et le calme

19 mai 2015
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@inson
Le titre:
les catamarans habitables sont-ils dangereux?
T es toujours à coté du sujet mais concernant la taille j'en suis heureux pour toi.
A part cela tu peux aussi répondre ou donner ton avis sur ce ce fil.
.
www.hisse-et-oh.com[...]ottante

19 mai 2015
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Bonjour a tous
des "Motu", j'en ai connu un il y a presque 50 ans..

Un vieux terre_neuva qui montait a bord en plein hiver avec ses sabots ( des vrais avec de la paille dedans) sur le sloop paternel...

la météo il la prévoyait en regardant les goélands se gratter le gland!
c'était un excellent voileux et il aimait ça encore a 80 ans....

mais il avait ce qu'il y a de plus fort chez les marins, les yeux délavés brillants dès qu'il était au large... le cuir tanné comme vous pouvez difficilement l'imaginer, une douceur et une gentillesse pour apprendre un tout petit peu de ce qu'il savait a un jeune con comme moi....

des tempêtes il en avait certainement connu beaucoup.. peut être pas des 100 noeuds de vent et des déferlantes de 70 m...
mais je suis persuadé aujourd'hui que des radios, des gps des balises et des canots de sauvetage... il aurait bien aimé en avoir parfois! pour se rassurer

Il n'en parlait que tres peu

De toute son expérience, je me souviens surtout de ce que j’appellerais aujourd'hui l'humilité et la sagesse....

c'était un très pauvre marin pêcheur breton
on l'appelait le Père Tanguy... (à merrien dans le finistere sud pour ceux qui connaissent)

il est mort depuis au moins 40 ans
et en fait non.. ce n'était pas du tout un Motu...
c'était quand même bien mieux que ça

19 mai 2015
2

je nourris quelques doutes quant aux commentaires des journalistes.des vagues de 15 metres en continu???? en atlantique au mois de mai !!!! et a cette latitude...
la traversée au mois de mai s'apparentant a la roulette russe ???? c'est n'importe quoi !!! si l'on suit cet avis,en juin,c'est foutu, car commence la saison des cyclones, et ce jusqu'au 1er novembre.si vous regardez l'historique des trajectoires de cyclones, un certain nombre suit la route de retour vers l'europe ou la traversent. en novembre, c'est toujours la roulette russe, et cela jusqu'en mai!!!!!! quand es-ce qu'on traverse, alors.... et puis, pour rester trois jours dans une depression a cet endroit, il faut aller sacrement vite. moi qui ne sais pas lire les gribs, je vous garantis que muni de la loi de buys-ballot, et d'un barometre,je sais ou aller pour m'eloigner d'une depression.(et je n'y connais pas grand chose en meteo)
quant a la securité du multicoque, je refuse de confier ma peau a un engin qui est plus stable a l'envers qu'a l'endroit. et pourtant, j'ai lu le bouquin de wolfgang hausner (Taboo) qui a fait le tour du monde il y a plus de 40 ans en cata de 9 ou 10m. l'epoque actuelle mendie la securité a tous les etages. tous ceux qui partent en mer devraient savoir que la mer, c'est pas un jeu video. fini,les pompiers et le samu au bout du fil. les trois du swan 44 qui se sont fait helitreuiller en abandonnant
un bateau flottant dans ses lignes (voir video) , je serai curieux de connaitre leur temoignage avant d'etre medisant.
tout ce tapage va nous apporter ce qui nous pend au nez : de plus en plus de reglementation

15 fév. 2016
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Piano écrit :"je serai curieux de connaitre leur temoignage avant d'etre medisant. "Consulte le fil dédié à cet accident. Les raisons principales: bateau en désordre à l'intérieur et fatigue.

16 fév. 2016
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"qui n'est pas fatigué après plusieurs jours de baston ? " Si tu avais navigué sur un Swan, tu saurais que c'est possible:
Extraits d'un de mes récits sur un Swan 38:
"Aujourd’hui, la qualité baisse mais nous déjeunons tout de même de pâtes au gruyère, dans un bol mais à table, assis sous le vent. Nous gardons notre rythme, le bateau est impeccablement rangé, les cirés à leur place…

Nous avons chacun notre verre personnel numéroté et il est hors de question de laisser traîner un ciré ou un livre. Une fois descendu dans les profondeurs du carré nous oublions facilement la mer démontée et les 40 à 43 nœuds qui soufflent à l’extérieur…

Les changements de quart sont, comme le reste, d’une extrême rigueur."

www.hisse-et-oh.com[...]-et-un- lexomil

15 fév. 2016
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Bonsoir
Difficile de donner ce genre réponse !
Le désordre quand il y a du mauvais temps, c'est assez banal et courant, et qui n'est pas fatigué après plusieurs jours de baston ?
Pascal :alavotre:

19 mai 2015
2

et c'est bien pour ca qu'on s'exite; chaque accident mediatisé est un pas en arriere pour notre liberté.....

19 mai 2015
0

ça y est, je l'ai trouvé le representant de l'ordre nouveau qui dit que " ne pas pouvoir recevoir de meteo durant une traversée, c'est de l'irresponsabilité."
BARDIAUX doit bien rigoler,la ou il est !!!! lui qui a traversé l'atlantique nord (nord!!)
une quarantaine de fois avec son seul barometre. lui, il n'avait pas d'electronique,
mais son bateau, fallait voir comment il etait conçu... mais il y en a qui pensent qu'il faut savoir vivre avec son temps !! drole de savoir vivre!!

19 mai 2015
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C est sympa le progrès , qui partirai aujourd hui sans GPS , enrouleur de génois , winch st , frigo etc .... je n avais ps non plus de tel sat pour mes traversées de l atlantique nord , pas encore sur le marché . Ma première traversée du Pacifique fut faite au sextant sur un voilier de 9 m avec un seul winch a bord , on changé les voiles d avant etc .... je suis de nouveaux dans le Pacifique , sur un cata sympa , GPS lecteur de carte , electroniques complètes , BLU+ pactor et tel sat et c est bien comme ça .

19 mai 2015
0

je suis sur que t'as pas une chaine correcte : des amplis qui chauffent des enceintes Proac des fichiers flac en 24 bits...l'equipement n'est donc pas assez complet pour moi , je viens pas.
Qui partirait sans GPS sans frigo, sans winch st, sans enrouleur ????? tu plaisantes j'espere, ou alors la demence senile quette l'un d'entre nous... je me flagelles chaque jour pour avoir cédé a ce materialisme...le frigo est le dernier dont je me debaresserait en cas de crise..la chaine hifi elle a toujours été la depuis mes toutes premieres nav un peu longues ( vers 78-80), un objet vital , comme quoi on n'a pas les memes priorités

09 juin 2015
4

j aime bien la video du leopard 39 dans les mers du sud..( je ne sais pas si j ai le droit de mettre le lien mais le voici

) y a un peu de mer quand même, visiblement il a un trainard et 60 knts de vent...

09 juin 2015
0

l équipage paraient pas inquiet .....

09 juin 2015
3

Arretez de mettre des liens comme cela après je dois nettoyer mon clavier !

Celle qui vient après sur la liste n'est pas mal non plus surtout vers 3'33"

10 juin 2015
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Ma-gni-fi-que images d'une mer si belle !
C'est plutôt gentil comme condition de mer justement, le rêve au large... avec de l'eau à courir ! :tesur:

10 juin 2015
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Les 60 nds devaient être sous les grains. On aperçoit d'ailleurs un beau nuage.

Ce qui est intéressant est qu'ils ont un traînard ( c'est si rare) et qu'ils sont tout à fait tranquille.

Cela dit un traînard doit être long. En tout cas plus long que celui qu'ils ont que l'on aperçoit en surface parfois.

10 juin 2015
1

Ce genre de vidéo donne une impression de mer plus plate que la réalité, je suis d'accord avec toi, ca ressemble pas à du 65nds, mais c'est déjà pas mal. Je pense qu'ils ont dut prendre les 65nds avant. Du coup, comme il y a moins ils sont contents et se permettent de filmer.
Ca parait si simple de prendre un coup de derrière son écran avec un équipage qui a le sourire qui filme.

10 juin 2015
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Comme tu l'ecris "ils ont l'air tout à fait tranquille"
mais malgré les trainards à un moment ils font un sacré "dérapage" et se retrouve quasiment de travers.
Pour ceux qui ont la pratique de se genre de temps (!?) 1 ou 2 m2 devant cela aurait il évité ce genre de "dérapages" ?

10 oct. 2015
0

Bonjour à tous
Tu sais Viking, là je dirais qu'ils sont à bien plus de 65N je tablerais plus vers 80-90 n, il suffit de regarder les images. Moi j'ai vécu jusqu'à 75 N au large des Acores et je peux te dire que j'avais pas ces montagnes devant mon étrave.... :tesur:
Pascal sur Shazzan :alavotre:

09 juin 2015
1

le 14 avril 1974 à 100mn de Marseille un petit cargo à chaviré
,un escorteur de la marine c'est rendu sur les lieux avec des vents de plus de 60nds , les systèmes de récupération de l'équipage par tangon et filets n'on pas fonctionné ils ont étés répliés par la mer le long du bord ,les chaines SAR larguées par les Breguet volaient sur l'eau ,il a fallu que les plongeurs du bords se mettent à l'eau et aillent chercher les vivants
et les morts un par un ....
la marchande aussi paie un tribut à la mer ,il n'y a pas que la plaisance
alain

09 juin 2015
0

Le plus fort vent que j'ai rencontré en mer c'était ....en Méditerranée.
Durand une traversée entre Port de Bouc et Bastia heureusement nous étions au portant et ...sur un méthanier d'un petit 70m .
100nds annoncés par le sémaphore en passant la Giralia...entre temps j'avais vomi mon 4 heure et mon minuit aussi :lavache: :jelaferme:

A l'époque pas de pilote auto sur ce type de navire donc chaque jour minimum 12 heures de travails dont 6 heures de barre, plus les manœuvres qui ne tombaient pas forcément durant ton quart ...
:-(

10 juin 2015
0

sur la video mise par beauris il n'y a aucune voile sur ce Leopard
Ils circulent uniquement grâce au fardage... C'est dire son importance

10 juin 2015
0

meme un mono avec 60 nds de vent tu avances a sec de toile ....

10 juin 2015
0

Même avec 40 surfs à 12 nds avec lw

12 fév. 2016
0

Je ne comprends pas tout dans le rapport de mer du Lagoon:
"J'aperçois à contre-courant un radeau de survie...mais avec la force du courant, je l'atteindrais 15 mn plus tard."
et des "surfs à 32 noeuds avec l'ancre flottante".

0

Moi, je ne les trouves pas très marrants les catamarans, j'ai des amis qui n'en sont jamais revenu :-(
[url=]

12 fév. 2016
0

Par respect et si cela avait été mes amis je n'aurais pas posté ce genre de message. De plus je ne vois pas la différence entre un mono, tri ou cata dans la finalité de cette tragédie.

12 fév. 201612 fév. 2016
2

Bien oui, il y en a un à l'envers tous les jours sur toutes les cotes de France...
En même temps ça veut un peu dire qu'ils flottent encore alors d'autres canotes ne revoient jamais la terre.! :reflechi: :reflechi: :reflechi:
Moi je ne connais personne ( personnellement )qui ne soit jamais revenu, ni en cata ni en mono.... T'as pas de chance en fait ! :-(
C'est toujours triste un naufrage ....
www.hisse-et-oh.com[...]deloupe
Pascal sur cata à l'endroit jusqu'à maintenant... :alavotre: :alavotre: :alavotre:

12 fév. 2016
4

Bonsoir
Rester avec vos monocoques ... faites vous bercez, accrocher tout ce qui peut tomber et laisser-moi boire mon café sans qu'il pourrisse ma table à cartes
bonsoir
Jean Br

12 fév. 2016
0

En pourcentage et en rapport au nombre naviguant, plus d accident avec les monos ou multicoques ? Celui qui a la réponse répondra à la question !! Non ?

13 fév. 2016
0

la réponse est qu'il y a 8 à 9 fois plus de fortunes de mer avec des monocoques qu'avec des multi mais qu'il n'y a pas 10 % de catamarans qui naviguent.
Par contre le nombre de décès sur ces catamarans est beaucoup plus important qu'en monocoque.

13 fév. 2016
0

Cet inventaire des accidents est personnel.
Je relève les accidents depuis plus de 30 ans mais ne comptabilise que ceux qui se produisent à moins de 200 milles des cotes européennes.
Avec seulement 4 chavirages de catamaran, le nombre de décès doit être d'environ 15 disparus. :non:

13 fév. 2016
2

Pascal: C'est plus compliqué que cela... Et j'ai écrit:"à moins de 200 milles des cotes européennes. "
Les accidents que j'ai en mémoire concernent deux Maldives, le Belize au Maroc et l'Outremer 45. De mémoire toujours, il y a surement eu plus de décès en catamaran qu'un cumulant tous les accidents de monocoque depuis 1970 (hormis le Fastnet 1979)

13 fév. 2016
1

Bonjour Viking35
Et tu les sors d'où ces statistiques? Un lien?
Moi je viens de lire que l'achat de monos régressent par rapport au catamarans, mais bon c'est certainement de la propagande, ou alors les gars stupides qui achètent ce genre d’embarcation sont de plus en plus nombreux :reflechi:
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:
.
www.actunautique.com[...]ce.html
.


Il y a au moins un avantage en cata, tu ne verras jamais un verre se renverser à cause de la gite et rien que pour ça je sais que j'ai fait le bon choix.... :-p :coucou:

13 fév. 2016
3

Ah bon, c'est bien, quelle dextérité ! depuis 30 ans ! ça c'est du bon boulot. J'imagine le nombre de catas sur l'eau il y a 30 ans ? 20 ans ? 10 ans et maintenant ! par rapport aux monos.
Tu me dis que tu ne comptes pas ceux à moins de 200 milles des cotes, alors tu peux me donner le nom des 4 que tu as relevé ! Et j'imagine que pendant la même période, les monos, Nada!....
. :bravo: :bravo: :bravo:
On refait les même statistiques dans 30 ans pour confirmer les premieres... :heu: :mdr:
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:

12 fév. 2016
1

ce fil tourne en eau de boudin . Les partisans des catamarans ont émis une fatwa dé-fi-ni-ti-ve qui tient lieu d'arguments. Et les tenants des monocoques ne démordent pas non plus . Comme je le disait plus haut, que ceux qui sont pour les catas continuent à naviguer dessus et que ceux qui sont pour les monos continuent aussi à naviguer comme ils l 'entendent. La question n 'avancera plus , alors .... rideau . Ne serait-ce que par respect pour une famille durement éprouvée .

13 fév. 2016
0

Le pyromane appelle les pompiers.

13 fév. 2016
2

"Les partisans des catamarans ont émis une fatwa dé-fi-ni-ti-ve qui tient lieu d'arguments"
:pouce: :bravo: :bravo: :bravo:

Ah bon, parce que ne pas être d'accord avec la façon de représenter la navigation à travers le monde de plusieurs milliers de navigants est extrémiste ? :reflechi: :reflechi: :reflechi:
Franchement Jean Pierre, comment peux tu dire une ânerie pareil !
FATWA !
Quelle expression, tu penses vraiment qu'elle est adaptée à la situation !
Présenter un cata retourné sur une plage et avoir un commentaire pareil pour toi est digne d'un marin qui respecte les envies d'autrui...
En plus, on ne sait rien sur ce bateau, si il y a eu ou non des naufragés, ce qui c'est passé, non vraiment minable....
Pascal ... :litjournal: :litjournal: :litjournal:

13 fév. 2016
0

Je viens de retrouver l'histoire de ce naufrage.
Un drame pour une famille prise dans la tempête ou un enfant a malheureusement disparu.
Le cata n'a rien à voir la dedans, c'est juste de mauvaises décisions qui ont conduit ce bateau à chavirer après avoir heurté à plusieurs reprises un bateau de commerce....
Non, vraiment minable .... ça ne grandit personne ce genre ce conneries !
Pascal ...
.
www.parismatch.com[...]-764324

13 fév. 2016
1

Je crois que le cata retourné est le Belize 43 , sur l arrivé a Saida , 2 équipiers que je connaissais sont mort , et le reste de l équipage .....

13 fév. 201616 juin 2020
0

je vais émettre mon point de vue sur la question originel de ce fil : "les catas habitables sont ils dangereux ?"
OUI (c'est mon point de vue et je peux comprendre que certains ici ne sont pas d'accord avec mon point de vue.
Pour "illustrer" mon avis, je vous mets un lien sur une vidéo que vous avez certainement déjà vue sur l'entrée au port d'un Bavaria 38 au port de Zumaia sur la cote basque espagnole.
Il s'est redressé ...
Un cata (pareille pour un tri)dans cette situation ne se serait jamais redressé
C'est a mon sens tout le point faible de ces bateaux : quand on se retrouve dans de très mauvaises conditions, c'est mal, très mal barré ...
On a tous entendu des récit de monocoque qui ont roulé dans des déferlantes, qui ont dématé ect mais qui sont "retombé" sur leur quille (vous me comprenez ...)
Regardez, même les IMOCA pourtant très larges avec leurs quilles basculantes peuvent se retourner
Ce n'est pas possible aujourd'hui sur un Cata ou un tri (ça le sera peut être un jour.
J'aime beaucoup le confort des cata, se sont des bateaux formidables pour leurs confort et l'espace qui règne a bord, mais dans la baston ...je serre les fesses ...

13 fév. 201613 fév. 2016
0

au Solitaire ....parles en à Dubois qui est resté avec son IMOCA quille en l'air dans les 50èmes....
mono ou cata, le danger, c'est le skipper, pas le bateau

13 fév. 2016
0

Là t'es pas trop honnête, tout le monde trouvera à redire avec ce genre de vidéo, une entrée de port.... je crois que la responsabilité vient surtout du skipper dans des cas comme ceux là
Sur un autre fil il y avait un mono qui s'est échoué à l'ile de Pâques. Le danger est le même au bord des cotes ou dans les entrées difficiles de ports, cata mono même combat, même résultat....
J'ai vécu du gros temps au acores en 2012 jusqu'à 75n de vent en rafale, j'étais seul à bord et à aucun moment je n'ai ressenti du danger, juste de l'impatience d'attendre que ça s'arrête... Grain de sel n'avait pas eu cette chance et un autre mono a bien dégusté aussi. Personne en haute mer n'est à l'abri d'un problème, cata comme mono, la différence est que c'est plus facilement le supportable en cata qu'en mono à mon avis, j'ai eu l'occasion de le constater en remontant un mono de Bretagne à Dunkerque .... une véritable porcherie à l'arrivée, tout était par terre on était dans shaker , c'était secouez nous secouez nous du début à la fin...
Mais bon j'ai pas dû tout essayé et comme tout le monde je crois dur comme fer à ce que j'ai vécu et pour moi le cata est synonyme de confort en mer comme au mouillage, pas être balloté comme un bouchon quand il y a une petite houle....
Tout ranger avant de partir, tenir son verre pour ne pas le voir par terrec'est pas mon truc, pouvoir avoir une autonomie grace à la surface de panneaux qu'on peut installer , un grand pont pour circuler en sécurité, pas de gite une bonne vitesse....etc...etc....
.
Pascal :alavotre:

13 fév. 2016
0

le mien, voir mon profil je vais rajouter des photos, celui avec qui je navigue depuis 16 ans et avant j'en avais un autre de 40" , construction amateur avec lequel j'ai aussi pris la baston en mer du nord sans jamais le moindre problème, son gros défaut était des moteurs hors bord.
Moi j'ai regretté être en mono dans le mauvais temps contrairement à toi, on n'a pas les mêmes ressentis voilà tout. Aux Antilles j'ai croisé plusieurs familles dans de petits cata, genre 380, snogooze 37 et autres qui avaient eux aussi connu du mauvais temps. Mais qui en mono pourra reconnaitre ça objectivement ....
Et je peux te dire que plus d'un marin enviaient les multis et regrettaient leur choix, mais ça aussi ce sont des légendes, faut dire qu'on met des Fatwa sur chaque mono... :-)
De toute façon j'ai l'impression que t'es pire que moi, que rien ne pourra te faire changer d'avis Moi je sais que je suis en sécurité et je pense que toi aussi tu l'es car tu connais ton bateau et c'est très bien comme ça...:doc:
Pascal :alavotre:

13 fév. 2016
0

Shazzan : tout n'est pas blanc ou noir.
"le cata est synonyme de confort en mer"
Oui, je suis bien sur d'accord mais au près avec 30/35 nds de vent réel sur un bon catamaran de 42 pieds il m'est arrivé de regretter de ne pas être sur un bon monocoque marin de la même taille.
Certes, nous aurions gîté mais les mouvements auraient été incomparablement plus doux...

Au fait sur quel cata a tu encaissé 75 nds?

13 fév. 2016
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Je m'attendais a ce qu'un intervenant mette cette vidéo que j'ai déjà vu ...
On n'a pas affaire du tout aux mêmes situations .
le cata qui surfe sur la vague, ok, tout se passe bien car le skipper a assuré.
Si ce cata s'était mis au travers (par malchance, ça arrive ...;-) ...) que se serait il passé ?
Il ne faut pas nous faire croire ici, qu'un cata dans une déferlante va se mettre pil poil comme il faut et va surfer comme on le voit sur la vidéo.
Ce que je souhaite voir, c'est un cata - Habitable, c'est le sujet - qui se met à 180° dans la baston ... et qui se redresse ... un peu dans la situation de la vidéo que j'ai mis en lien avec mon précédent message
Jamais vu .

13 fév. 2016
0

C'est une discussion qui ne peut qu'être stérile.
Pour alimenter le débat, je vais écrire :
Les voiliers les plus dangereux sont, sans aucun doute, les monocoques de ... m

13 fév. 2016
3

"Elle montre juste que beaucoup ici ne veulent pas reconnaitre qu'un cata retourné ne reprendra pas sa position normale de par sa conception (pas de lest, largeur, ect ...)"
sur ce coup, je suis d'accord avec toi, c'est tout le principe et intérêt du cata de ne pas giter.... mdr
pourquoi faut il toujours démonter ce que certains approuvent ?? t'aimes pas les catas, c'est ton pb, pas le pb des proprios de catas... est ce qu'il y'a des catas qui dénigrent ou rejètent la faute des drames sur monocoques?
Les proprios de catas ont à 99% débuté sur monocoques, mais combien de voileux en mono ont testé un cata habitable ? à peine 10% je pense... par contre aux apéros, y'a du monde sur les catas...

13 fév. 2016
0

Solitaire: Connaissant bien les deux types de monture, je considère que le catamaran nécessite impérativement une prudence qui s'appelle le sens marin, plus importante qu'un mono. Certains accidents de catamarans récents s'explique par cela.
Il y a une dizaine d'années, traversant du Havre vers Cherbourg par une nuit d'orage et surtout, en panne d'électronique, avec trois amis peu expérimentés. Cela m'ennuyait d'aller me reposer alors que nous avions peu de vent. Je savais fort bien qu'une bourrasque pouvait survenir et sans instruments, sur un cata, cela parle beaucoup moins qu'un mono, il n'est pas facile de s'y retrouver.

15 fév. 2016
0

un "multi est quasi insubmersible ?" malheureusement non; Certains catamarans le sont :Hélios et quelques autres.
J'ai le souvenir d'un Tobago 35 qui a coulé.

Le problème de ce fil est que l'on oublie qu'il existe de bons cata et d'autres à risques et que le risque de chavirer entre des voiliers de 9,5 m et 15 m est très différent.
D'ailleurs, il en est de même entre certains monocoques. Tous les monocoques ne chavirent pas, y compris dans des conditions extrêmes.

13 fév. 2016
1

Mais non, c'est une connerie ce que tu nous raconte, rien ne dit que tu aurais chaviré, sinon ce serait des dizaines de bateaux qui seraient sur le dos tous les mois. Je ne suis pas plus un loup de mer que les gars qui traversent l'atlantique avec dans leur lagoon 380, leur femme et leurs enfants.....
Un cata comme le mien fait 14 t pour 110m² de toile, soit moins de 10 la tonne, ce qui est la base pour éviter un retournement, le mat casserait avant, mais bien sur par le travers d'une vague de 10m de haut et que par un mauvais hasard le bateau serait resté scotché et puis si et puis ça ma bonne Dame.
Je fais du cata depuis l'age de 25 ans et jamais je n'ai eu l'impression de me retourner. Tu as une forte accélération qui te fera réduire avant d'être en danger ce qui ne veut pas dire que ça ne peut pas arriver, tout peut arriver. Mais tu as bien plus de risques de te coucher en mono et ne pas te redresser qu'un cata et donc plus de risques tout court de perdre quelqu'un à la mer ou tout autres trucs...
Mais bon, tu sais tout, t'as déjà dû tout voir, donc je m'incline...
.
........ :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo:.......
.
Tu as raison, on est tous des inconscients qui transportons leur famille amis et autres. Faut vite faire une pétition pour arrêter le carnage ....
.
Pascal... :alavotre: :alavotre: :alavotre:

13 fév. 2016
0

Tu vois "Solitaire35" juste un truc sans importance, un truc bien qui me fait plaisir, tu m'appelles par mon prénom car je me signe .... moi
.
Revenons à nos moutons....
Une déferlante de travers qui bascule à 180°..... :reflechi:
Oui oui, c'est évidant ce genre de situation, surtout en pleine mer, le genre de situation qui arrive tous les jours, j'imagine même que tu as subi cette aventure très souvent ( en espérant que tu aies bien tout arrimé !)....
Bon, t'en as d'autres comme ça de situation improbable? ou juste les mono, tous sans exception, pourront s'en sortir.....
Alors j'aurais peut être une réponse me concernant. Pas sûr que je chavire, mais si comme sur le film que t'as présenté, de grandes chances d’exploser sur la cote...Ca te va comme réponse, pas besoin de la tienne, tu t'en tires haut la main....
Sinon, je ne me fâche pas, je veux juste m'exprimer, faire comprendre qu'un cata n'est pas le cercueil que plusieurs d'entre vous laissent croire que les regrets arrivent toujours "trop tard" quand on hésite et qu'on se dirige vers l'envers de ce qu'on recherche, mais bon, tu as certainement raison...va savoir...
Pascal au digestif... :alavotre: :alavotre: :alavotre:

13 fév. 2016
0

Tu sais François, j'essaie d'argumenter, de raconter ce qui m'est arrivé et toi, sorti de nul part tu viens et hop, tu sors un lapin...
Racontes nous ce qui t'est arrivé pour qu'on puisse comprendre et peut être en tirer des conséquences et des instructions !
Qu'en penses tu ?
Quel bateau?
quand? où?
quelle conditions?
bref, dis nous tout, je m'appelle Pascal et je suis docteur en catamaran... :tesur: :tesur: :tesur: :heu: :whaou:
Non, sans rire, racontes nous ta mésaventure
Pascal :alavotre:

14 fév. 2016
0

Salut François
2.5t pour 9.5m par 4.5m je crois ton bateau.
J'ai l'impression que t'étais pas dans ta meilleur journée ce jour là !
Moi, j'ai eu avec des rafales à plus de 70N, une éolienne d’arrachée, radeau de survie très endommagé, annexe détruite etc... mais pas chaviré...
En même temps, j'étais avec très peu de génois, allez, 20m² maxi pour 14T et 14mx7.5m ..... J'ai attendu que ça se passe, je me suis fait à manger, ai dormi, même regardé des vidéos....
Pour moi le mauvais temps c'est toujours de la merde, j'y trouve aucun plaisir, mais j'étais manœuvrant à 6/8 n sans être balloté comme un bouchon, j'avais fait l'erreur de ne pas avoir de météo embarquée, à l'ancienne en quelque sorte, une véritable connerie ....
Sinon, ça t'es arrivé où cette misère ?
Pascal :tesur:

14 fév. 2016
1

Francois: Si tu ne le savais pas quand ce chavirage t'es arrivé, tu admettra qu'il y a des catamarans plus risqués que d'autres.
Le tien en faisait partie.
Par ailleurs, comparer des catamarans de 10 m et celui de Shazzann de 14.5 m et 14 tonnes n'a pas de sens.

13 fév. 2016
0

ok, je comprends mieux... donc non, je n'ai jamais vu de verso recto en cata (en funboard oui mais en l'air...)
alors en parlant d'expériences vécues : Bouches d'Olbia, sur un Outremer 50', au près 12nds de vent avec GV + FOC , le vent est monté d'un coup de travers à 40nds sans pouvoir rien faire, même roulé le foc, parti en fuite, bonne accélération, pas eu le réflexe de voir le speedo mais ça devait être pas mal.... La fuite nous a permis d'enrouler le foc puis à l'abris (25nds) d'un cap de se mettre au vent pour tout affaler... à sec on filait encore à 7-8nds....je pense que j'ai eu le bon réflexe d'abattre.
Par contre, en On Off catana 50', 30 à 35nds de vent 20nds sous pilote au largue, houle 3-4m 2 risGV + Solent aucune frayeur sauf à un moment ou une vague est arrivée par le travers, rentré dans le cockpit, noyé le carré (avec de la moquette à l'intérieur !!) et l'effet ressort nous a fait lever une coque 1,5m-2m en l'air, toujours sous pilote.... on a pris le 3ème ris !
ce sont là les 2 cas où j'ai angoissé en cata, pourtant 2 à 4000nm/an depuis 3 ans en med

13 fév. 2016
0

Dans ce cas particulier...il se retourne? Ou il se renverse ?
J'ai le même en vert!
Bien à plat!

13 fév. 2016
0

Et le gars en mono qui voit son bateau ne pas se remettre à l'endroit et qu'il le voit s'enfoncer tout doucement tu lui dis quoi ? :-(
Pascal

13 fév. 201613 fév. 2016
0

elle n'est pas stérile.
Elle montre juste que beaucoup ici ne veulent pas reconnaitre qu'un cata retourné ne reprendra pas sa position normale de par sa conception (pas de lest, largeur, ect ...)
c'est un peu "ça" ....
:-D

www.dailymotion.com[...]ne_news

13 fév. 2016
0

Fesses d'Ane, tu m'as mal compris ...
Je trouve les catas formidables, et je le redis !
ces bateaux sont hyper confortables, vue à 360° en nav bien à l'abri pour la plupart, de l'espace, du volume comme je n'en ai jamais vu sur un mono, pas de descente ni de marches quand on passe du cockpit au carré
toutes ces choses là comptent quand on prends de l'age et qu'on devient plus sensibles au confort.
D'ailleurs, je ne connait pas les statistiques, mais je pense les propriétaires de catas sont plus agés que les proprios de mono ? encore que l'aspect financier entre aussi en ligne de compte.
Toutefois, et c'est là ou je mets un GROS bémol, c'est en cas de retournement.
ce n'est pas une situation exceptionnelle quand on navigue un tant soit peu ?
Il l’ai arrivé "à mes début" de m'être fait surprendre dans un orage, j’étais seul à bord de mon Feeling, pas eu le temps de réduire la toile, près des côtes avec des cailloux partout et pas d’échappatoire possible, j'ai vu l'anémomètre à plus de 40 ou 50 nœuds, je ne sais plus, et ça n'a pas d'importance
Ce dont je me souviens en revanche, c'est que le bateau s'est couché,
qu'a 3 reprises, le mât a touché l'eau ...
Tout l'aérien a été arraché, je parle pas du reste ...
j'ai eu la hantise de démâter ce jour là ...
Mon bateau est pourtant la version dériveur intégral .
Il s'est redressé.
qu'en aurait il été si j'avais été sur un cata ou un tri ?
encore une fois, je parle d'une situation lambda, rien d’extrême qui se soit passé au large avec tempête et vagues de 10 m et tout le tintouin, juste un orage qui est passé qui a duré quelques minutes et un skipper qui manquait d'expérience (moi).
Et si l'argument est que "mon brave mossieur" quand on sort par temps d'orage, on fait gaffe, on se prépare, ect ...
Possible. mais tout le monde n'a pas l'expérience de vieux loup de mer ...
Ceci étant, dans la même situation avec un cata, j'aurais chaviré.
Et je me serais pas redressé .
Sûr .

13 fév. 2016
2

Moi je ressens mon bateau, il me parle dans ses accélérations le bruit qu'il fait dans l'eau et justement la vitesse est un gage de sécurité, mais bon tu peux aussi avoir un mauvais multi, ça existe comme les monos...
Pascal :litjournal:

13 fév. 2016
0

@ Viking : c'est indirectement ce que j'affirme dans ce que je dis :
Un monocoque peut pardonner certaines erreurs (sur toilé par exemple)
un cata ou multi, moins, ou pas du tout ...
Il y a des esprits fâchés ici, qui n'aiment pas qu'on disent du mal de leur bateau ...
Faut être un peu plus ouvert que ça à la discussion messieurs .
On parle stabilité/chavirage/redressement des multi comparé au monos et Shazzan qui met une vidéo d'un monocoque entrain de couler a cause d'une voie d'eau ???
quel rapport ???
mais peut être veut il passer le message qu'un mono avec une voie d'eau va couler a pic alors qu'un multi est quasi insubmersible ?
Je n'ai pas dit le contraire ... je le sais ça ...
en revanche il affirme que je sais tout, que j'ai tout vu ect ...
c'est faux, je n'ai jamais dit cela ... mais je peux comprendre qu'il fait de telles fausses affirmations que je n'ai pas dites car il est fâché ... ou agacé ? ...
Il m'es arrivé qu'on dise beaucoup de mal de mon bateau,
et alors ???
ou est le problème ? mon bateau n'est pas parfait, je le sais et le reconnais.
De même que je ne remets pas en cause les affirmations des proprios de multi selon lesquelles ils sont "serein" sur leur cata dans le gros temps.
Je dis juste que MOI, je ne serais pas du tout serein ...
;-)

13 fév. 2016
0

Calme toi Pascal ...
Ne te fâche pas en me faisant dire des choses que je n'ai jamais dites et surtout que je ne pense pas le moindre du monde (que je sais tout, j'ai tout vu que je vous traite tous d'inconscient et j'en passe)
Hey ! je croyais que les proprios de cata étaient des gars hyper cool ??? je me trompe pas j'espère ?
Pour faire plus concret, si quelqu'un a vu une vidéo sur le net d'un cata habitable pris dans une déferlante, de travers, qui bascule à 180° et qui se redresse, alors qu'il nous envoie le lien ...
ça m’intéresse
;-)

13 fév. 2016
1

Je pensais un peu la même chose que toi jusqu'au jour où j'ai chaviré sans avoir trop compris pourquoi...

13 fév. 2016
0

tu l'agresses là ...
Tu lui fait peur !
a cause de toi, il va pas revenir !
:acheval:

14 fév. 2016
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Iroquois, GV à 3 ris, foc 2, soit vraiment peu de voiles avec un centre de voilure très bas, chaviré sur une rafale, pas par la mer, conditions météos difficiles, 7-8, mer forte. J'avais confiance car quelques semaines avant, j'avais affronté du force 10 réél météo sans me sentir en danger. Et c'est là tout le problème du cata habitable, il n'est pas facile de comprendre pourquoi car quand ca arrive, ca va très vite. Et des catas, j'en ai eu beaucoup. Notamment des wharram et eux, c'est les seuls où je me sens sans inquiétude.

15 fév. 2016
0

Je ne comparais pas, je répondais à la demande de Shazzan. Bien sûr que c'est très différent, la stabilité doit être proportionnelle au cube des dimensions. Je pense qu'un catamaran peut passer vite d'une situation à une autre. Et qu'il est dangereux de croire que ca ne peut pas arriver. Curieusement, je n'ai jamais chaviré avec mon Tornado, car on voit assez bien où on en est en surveillant la coque au vent ....Et non plus avec mon Corneel 26 qui me semblait lui aussi plus facile à sentir les limites.

13 fév. 201613 fév. 2016
0

ben je lui dit :
"t'aurais du acheter un cata ..."
:-)

13 fév. 2016
1

Juste une petite question statistique: combien de multicoques retournés sont revenus en position normale?

13 fév. 2016
3

quand je vois en tour du monde le nombre de cata , en famille , en cpl , sans souci , a lire certain je vais vite revendre le miens , pourtant après un Gréce , France , Sénégal , Brésil , Antilles ,Panama , Polynésie , Tongas , Fidji , j ai jamais ressentit un danger , et la mer est bien dur dans le Pacifique ....
avant , expérience de 7 transats aller , 3 transats retour en mono et une pacifique
la façon de manier le bateau apporte beaucoup sur la sécurité ..... .

13 fév. 201613 fév. 2016
2

Oui Pascal, c'est vrai, mais eux ils savent ! Ils ont tout lu sur le sujet, les dangers, la dislocation, le démembrement, la folie de partir avec un engin que des milliers de Polynésiens ont utilisé à travers le Pacifique sans aucun problème, mais ils n'y croient pas encore, un peu comme l'histoire du "kon tiki " tous des menteurs.....
En fait on a de la chance d'être encore de ce monde !..... :pouce:
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:

13 fév. 2016
0

Z'avez raison.... Théorie du complot oblige (c'est de saison !)
laissons à chacun ses terreurs de verre et bouteilles qui tiennent sur la table à 10nds de vitesse, un "plein pied" toute la journée, ne pas être obligé de tout ranger dans les placards même pour ne faire que 5 nm....
qu'il lance un anti - cataton pour la sécurité publique, ça nous fera des vacances....
sur ce j'arrête, faut que je pense à ma navigation "suicidaire" de la saison prochaine....

13 fév. 2016
0

en tout cas, vous êtes solidaires entre vous ...
Et je trouve ça super !!!

:pouce: :pouce: :pouce: :pouce: :pouce: :pouce:

13 fév. 2016
0

Allez, passes le rubicond, je suis sûr que t'en as envie...
.
C'est pas être solidaire, c'est juste comme tous les gars qui ont un cata, on a fait l'expérience du mono avant bien souvent, il n'y a pas de miracle, mais je comprend que certain préfère le mono, c'est une autre façon de naviguer, tout aussi respectable, mais faut arrêter de nous prendre pour des burnes....voilà tout
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre: :alavotre:
.
Tu vois, à l'occasion je boirai bien un coup avec toi pour en parler...

13 fév. 2016
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le problème Pascal, c'est que tu affirmes que nous, (ceux qui naviguent sur des monos) on vous prends pour des burnes ???
Hey ??? t'as vu ça où ???
qui a dit ça ici ???
que nenni !!!
je vais te faire un aveux ...
au dernier grand pavois, j'ai visité le Lagoon 39
on aime ou on aime pas (et je suis sûr que beaucoup de proprios de cata n'aiment pas le Lagoon)
Ma femme et moi, on a adoré ...
et quand j'ai voulu partager mon enthousiasme auprès de mes copains voileux (monocoques bien sûr !) là, ils m'ont regardé avec des gros yeux "comme ça" et m'ont sorti toute la panoplie (les défauts de ce genre de cata pour faire court.)
Moi, il y a 3 " trucs" qui m'ont freiné :
1 : le prix, je ne pourrais jamais me payer un truc comme ça et particulièrement l'entretenir
2 : le fardage, ça me fait peur ...
3 : ça va avec le 2eme point, le retournement
comme quoi, je ne suis pas si "anti-cata" que ça ...
:heu:

14 fév. 2016
0

Shazzan: Ton catamaran fait 14 tonnes et 14,5 m, il est plutôt sous-toilé. Connais tu un monocoque de 14 tonnes qui ait chaviré et ne se soit pas redressé? Non.

Ici, nous parlons plutôt de catamarans de 10 à 12 m. Tu sais très bien que plus la taille augmente, plus le risque de chavirage devient faible.

Par ailleurs, il n'y a rien de commun entre naviguer dans les Caraïbes ou en Manche.

Ce qui serait intéressant serait que tu nous raconte comment tu as géré la dépression que tu as rencontré en rentrant des Antilles.

14 fév. 2016
0

"Shazzan: Ton catamaran fait 14 tonnes et 14,5 m, il est plutôt sous-toilé. Connais tu un monocoque de 14 tonnes qui ait chaviré et ne se soit pas redressé? Non."
et si Dubois.....

14 fév. 2016
0

Le monocoque de Th.Dubois ne pèse pas 14 t et on ne compare pas un voilier de course IMOCA , à un Swan 57 ou Pen Duick VI.
Comme il est ridicule de comparer le cata de Shazzan qui est un ponton en comparaison d'un Maldives ou d'un Iroquois.

14 fév. 2016
1

défaut de conception : monocoques trop larges trop plats et sous lestés , donc courbe de stabilité égale à celle des catas . Donc stabilité à l 'envers . Depuis conception interdite par la jauge .

14 fév. 201614 fév. 2016
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Salut Jean Pierre.
C'est marrant, tu viens juste de répondre à ta question de départ :pouce:
Il faut que chaque navire soit construit pour ce à quoi il va servir, rien de plus rien de moins.
Comme tu as des monos de merde, tu as des cata de merde, mais des fois t'as de bon catas ou mono avec un équipage de branleurs qui transforme une partie de plaisir en drame et ça dans tous les loisirs, que ce soit la montagne, la route, la mer et tout ce que tu voudras....
.
C'est bien quand même, répondre de façon intelligente à une question si difficile , t'es en pleine forme, à part peut être sur "donc courbe de stabilité égale à celle des catas", je te rappelle qu'il y a 2 coques séparées et non une seule qui roule toute seuls sur l'eau, mais bon, t'as tellement envie d'avoir raison..... :-p :-p :-p
.
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:
.
Tient au fait, celui là non plus n'était pas stable? Personne n'est à l’abri, que tu sois en cata comme le mien ou un autre plus petit où sur un monocoque fut il lui aussi de bonne taille... malheureusement et en cherchant tu trouveras d'autres exemples me concernant et moi pareil pour ta gouverne...
passionvoile.forumcanada.net[...]antique

14 fév. 2016
0

Tu sais, il est sous toilé car l'architecte l'a conçu comme ça, mais ça ne m'empêche pas de traverser la manche de St Valéry sur somme à Beaulieu-Rivers en -12h , plus de 110 milles de ponton à ponton quand le zef est là avec des pointes à 17/18n et des moyennes souvent de 10/12n à 8 bord.
Sinon, non, je ne m'y intéresse pas, de toute façon il y a toujours une cause bien spécifique qui fait que ça arrive sans prévenir, mais tapes "naufrage" sur Google, tu devrais avoir la réponse qui t'intéresse.
J'ai navigué pendant des année sur un cata de 11m..et des poussières, en manche, Écosse, mer du nord, Irlande, hollande...etc.. Bretagne... bref pas mal de milles avec le temps de cette région qui va avec. Et pourtant jamais eu non plus de problème, j'ai changé car j'ai eu une occase en or et les moyens qui ont suivi, mais la raison fut le confort, j'ai appart à la mer, en France ou à travers le monde si j'en ai envie tout en étant manœuvrable seul.
Tu as raison sur un truc, en manche comme en méditerranée, tu as du mérite car c'est souvent difficile, par contre aux Antilles, que du bonheur si tu choisis ta saison, des mouillages partout, des iles à moins de 50 m les unes des autres, bref, génial, c'est pour ça que je vais remettre le couvert....
Sinon, quand les deux dépressions sont passées et bien tu subis sans rien pouvoir faire si ce n'est que réduire et attendre en te faisant chier comme un rat que ça se passe, tu regrette de n'avoir pas eu l'intelligence de prendre un moyen pour avoir la météo ce qui m'aurais permis de la contourner et de moins faire souffrir le bateau....
Tu vois, rien de bien sorcier en fait...
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre: il est plus que l'heure :heu:

15 fév. 2016
0

Shazzan:
Ce qui serait intéressant serait que tu nous raconte comment tu as géré la dépression que tu as rencontré en rentrant des Antilles. ce serait tout à fait en phase avec le sujet de ce fil.

15 fév. 2016
1

Je crois déjà l'avoir expliquer, en 3 mots
j' ai subi....
Que veux tu faire, d'autre, après avoir réduit ma voilure au minima, soit un ridicule carré de génois pour garder la maitrise et aligner des milles, d'ailleurs j'avais pas trop le choix ma grand voile avait été détruite sur le 3ème ris (la bosse de ris avait lâchée), alors tu attends, je me suis fait à manger car sur un cata tu peux, je me suis emmerder car c'est mieux à deux quand t'avances plus trop, bref j'ai fait comme tout le monde, j'ai attendu que ça se passe et lorsque je suis arrivé à Orta le responsable de port est venu me demander si j'avais eu des nouvelles de "Grain de sel " et d'un autre je ne me souviens plus qui....
Et après je suis allé me torcher la gueule dans le bar mythique machin chose (me rappelle plus le nom) et le lendemain je suis reparti, le temps s'était calmé et ma germaine me manquait et je commençait à avoir des gerçures aux mains alors il fallait que je rentre au plus vite pour pas que ça s'infecte....
Voili voilou, le tout en cata sans chavirer et sans dériver trop parce que tu réussi à avancer tout de même, mais faut l'avoir subi pour le savoir...
Pascal :alavotre: :alavotre:

16 fév. 2016
1

Avant de boire une bière chez Peter, quelle allure as tu adoptée, la fuite je suppose, toujours avec tes 20 m2 devant? A quelle vitesse allais tu en surf? et en moyenne? Quel vent moyen avais tu? La hauteur des vagues estimées? Tout cela est intéressant de la part de quelqu'un comme toi qui en a l'expérience .

15 fév. 201615 fév. 2016
3

Même si ce fils semble un peu stérile avec les pro et anti cata, je vais essayer de donner une réponse la plus neutre (même je suis partisan des multis).

A la question initiale "les catamarans habitables sont-ils dangereux ?"
De manière générale, la réponse est clairement NON. Si c'était le cas, seuls quelques aventuriers utiliseraient ce genre d'engin, mais je vais essayer de compléter mon argumentaire.

Je rajoute une question "Est ce que tous les catamarans sont égaux face aux dangers maritimes ?"
Voilà une question quelle est intéressante, car la réponse est NON.
Le comportement sera totalement différent selon :
- la longueur (plus c'est gros meilleur c'est :mdr:)
- la largeur
- le rapport longueur/largeur
- la forme des œuvres vives et mortes (principalement les étraves et l'arrière)
- le centre de gravité
- le centrage des poids
- le centre vélique ....

La sécurité d'un multicoque est beaucoup plus dépendante de son architecture que sur un monocoque. Quelques multis sont dangereux, mais ils sont peu nombreux et connus.
Il faut donc bien choisir son multicoque par rapport à son programme.
Plus la taille, ce sont les caractéristiques du bateau qui importe.

La gestion du bateau est importante aussi.
Les plus part des multicoques (même ceux dont le dessin est assez moyen) peuvent passer du très gros temps sans soucis. Ils demandent un peu d'anticipation, de sens marin et quelques techniques spécifiques.
La pire des choses est de se laisser griser par la vitesse au portant sans voir le danger venir.

Certains multis supportent mieux les erreurs du skipper que d'autres. Dans la majorité des cas (grande production) leur niveau de tolérance est souvent inférieur à un monocoque, il faut bien l'avouer, même si pour certains bateaux la tendance s'inverse.
Bien menés les multis ne sont pas dangereux. Les naufrages et retournements sont (pour ceux que je connais) toujours lié à une erreur humaine.

Pour résumé, les multis ne sont pas dangereux, c'est l'utilisation que certains skipper en font qui l'est.

Dans mon cas et pour mon programme (côtier et semi hauturier), je sens ma famille plus en sécurité sur notre cata de 10 mètres que sur la plus part des mono de même taille.

Alex

15 fév. 2016
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Bravo Tangnard: il est rare que je partage la totalité d'un post. c'est le cas ici; le problème est toutefois:
"La pire des choses est de se laisser griser par la vitesse au portant sans voir le danger venir. "
En effet,c'est dans ces conditions que j'ai failli me faire surprendre sur un excellent Cité d'Aleth de 9,5m sur un surf à 20 noeuds par 35 nds au portant. Depuis, j'ai appris, et je suis vigilant; avec un autre cata moins bien dessiné, cela n'aurait surement pas pardonné.

Je confirme :"Les naufrages et retournements sont (pour ceux que je connais) toujours lié à une erreur humaine. "

15 fév. 2016
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Franchement, au portant c'est un des rares cas ou le mono est égal au cata, enfin un vrai mono bien sur. Le cata, c'est vent de travers qui te met la nique et aussi au pré en ce qui me concerne...
Mais bon, j'ai peut être pas forcément un bon cata...
Pascal

15 fév. 2016
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Retenez que, depuis 1970, 13 % des accidents sont relatifs aux multicoques alors qu'ils sont rares à naviguer .
Par exemple, Tangnard et moi serions capables de citer la vingtaine de catamarans qui naviguent entre Brest et Le Havre.
Et pourtant, à eux seuls, ils représentent la majorité des accidents mortels.
PS: Mes relevés ne concernent que les accidents qui se produisent à moins de 200 milles des cotes européennes;

15 fév. 2016
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Entre Brest et Le Havre, c'est plutôt une cinquantaine, mais bon, je te pardonne.

Pour l'accident mortel avec un multi entre Brest et Le Havre, c'est le cas typique d'une erreur humaine collective. Ils sont partis quand il ne fallait pas ( vent très fort) ou il na fallait pas (entre Granville et Jersey à contre courant) et n'ont pas fait ce qu'il fallait (prendre un ris supplémentaire).

"Et pourtant, à eux seuls, ils représentent la majorité des accidents mortels." Est ce que tu sais le % de bateau de location ?

15 fév. 201615 fév. 2016
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"Est ce que tu sais le % de bateau de location ?" Je ne connais pas le pourcentage. A ma connaissance, seulement deux cas .
Le Maldives chavirés dans l'ouest des Minquiers (sur un haut fond déferlant entre la NW et la SW.) et un Jeffcat 32 à La Trinité.

15 fév. 2016
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Je suis pro monocoque de longue date, plus par passion que par raison (j'ai pourtant un dériveur a deux coques ;-) )

Pour autant, il est de très loin préférable e naviguer sur un bon catamaran (catana, outremer...etc...) que de naviguer sur une daube de constructeur de très grande série, construit a la va vite, en version petit tirant d'eau, avec un accastillage sous dimensionné , avec comme seule voile d'avant un genois sur enrouleur enrouleur ''sac poubelle'' et une GV a un ris. etc... etc.... Un bon bateau reste un bon bateau sur une deux ou trois coques.

Quand on parle de sécurité du mono, il faut prendre en compte la stabilité une fois sur le toit, et la possibilité de réellement fermer le bateau. Sinon on peut couler easy baby, cf allures 44 coulé au milieu de l'atlantique.

La question est mal posée, le topic ne peut ressembler qu'a une vilaine guerre de tranchées.

15 fév. 2016
0

Formule 18:Je peux aussi écrire :
il est de très loin préférable de naviguer sur un bon monocoque (X Yachts, Archambault...etc...) que de naviguer sur une daube de constructeur de catamaran de très grande série du style Lagoon 38.
Mais pour naviguer dans les Blue water, je prend le Lagoon.

15 fév. 2016
1

Non mais t'es fou Formule18, là, t'as à faire à des pros qui ont enregistré tout depuis 30 ans, c'est pas des guignoles mon gars...
Non non, un cata c'est de la merde ça se retourne comme un crêpe même sans vent, juste parce que c'est un catamaran un point c'est tout, par contre un mono ça se babance tout le temps, ça se retourne mais comme ils s'enferment tous à l’intérieur en bouchant toutes les ventiles ils finissent toujours par se remettre à l'endroit...
Merde, c'est pas compliqué à comprendre.... :coucou: :coucou: :reflechi:
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:

15 fév. 201615 fév. 2016
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tu prêches un convaincu viking, j'ai noté au dessus que j'étais pro monocoque.

Toi qui tiens des statistiques, un lagoon 39 retourné au large de la teignouse, un jour d'été par 5 établi, petites rafales... Je dirais en juillet/aout 98. Tu l'as celui la?

15 fév. 2016
0

Non, je n'ai jamais entendu parler de Lagoon chaviré. Si tu as des détails, cela m'intéresse évidemment.
Cela dit, chavirer un Lagoon par F 5, je trouve cela étonnant.

15 fév. 2016
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Le Lagoon 39 n'existait pas en 98

Il y avait les 47 et 55-57 puis les 37 ET 42, et peut être les 380 et 410 qui devaient sortir à peine

15 fév. 2016
0

pour le modèle j'avoue ne plus être sur. Pour le fait qu'il ai fini cul par dessus tête, il n'y a point de doute ;-)

15 fév. 2016
1

et pourtant.... Tu bloques le chariot de GV grand ouvert, tu empannes par erreur et tu plantes une vague dans une houle de fréquence très courte mais assez haute. Ben ca Bascule. Le point de tire étant au vent, la coque lève. C'était un F5 avec belles rafales 6. Rien d'extraordinaire. Le bateau a été remis a l'endroit dans le vieux port de quiberon. J'ai quelques photos faudrait que je fouille pour les retrouver.

15 fév. 2016
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En baie de La Trinité, un Jeff Cat 32 de location surtoilé a chaviré, dans les années 90 surement, mais on m'avait indiqué c'était en route vers Houat.
Cela dit, si un cata de 38 pieds chavire par F 5/6 en abattant sans mer formée, c'est qu'il a été mal dessiné ... Ce ne sont pas des Tornado . Mais c'est vrai qu'il y en a dont les formes n'inspirent pas confiance.
Cela dit dans 9 cas sur 10 et peut être même plus, les accidents de multicoques sont directement liés à une faute humaine.

15 fév. 2016
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Bon ok les Gars... :pouce:
.
Vous devez avoir tous raison, continuez à vous faire balloter de droite à gauche, descendre à la cave chercher le picrate et passer votre temps à ranger tout avant de partir si ça vous plait.
Enfin moi, je ne me pose plus ce genre de question, quand je monte sur ma canote il ne me faut pas 3 minutes pour avoir larguer les amarres et aller tenter le diable pour faire un 180° ...
Bon ok, c'est sûr je navigue que très peu, surtout en solo, alors bien sûr je suis pardonnable....
Allez, une dernière, Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre: :alavotre:

15 fév. 2016
0

Paf! le 200 c'est pour moi

15 fév. 201615 fév. 2016
0

.... O ....... merde, raté.... :pecheur: :acheval: :litjournal:

.
............. :alavotre: :alavotre: :alavotre: :alavotre:........

16 fév. 2016
1

rdv a 300
ne pas charger les pointes avant en poids

16 fév. 2016
3

L avantage du cata , ça part rarement au lof , manoeuvre de prise de ris au pieds de mat très sécurisant par rapport a un mono , gite pas donc déplacement sur le pont facile , moins de risque de tomber a la mer
meilleur repos en mer ; ce qui donne un équipage moins fatiguer pour des manoeuvres

16 fév. 2016
0

Dire que le cata est dangereux parce que dans force 10 ou dans une mer grosse, ça peut éventuellement se retourner quand c'est mal mené, c'est comme dire qu'une clio n'est pas adaptée au trajet maison-boulot, parce que dans les virages ça peut se retourner, il vaut mieux une 2CV qui elle reste sur ses quatre roues !!!

Qui roule en 2CV ici ?
La première génération, car les suivantes, elles pouvaient se retourner si on roulait trop vite !

16 fév. 201616 fév. 2016
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Le lien que j'ai mis récemment sur ce fil ou un mono entre dans un port ne fait pas état de Force 10
Il se fait prendre par une déferlante par l'arrière et fini au tas ...
Mais se redresse ...
Construction de grande série (Bavaria) beaucoup dénigré sur ce forum entre autres ...
Situation exceptionnelle ?
pas tant que ça .
Il y a quand même un nombre non négligeable de plaisancier qui se sont retrouvés un jour ou l'autre avec le mat à 180° dans des rafales sur toilé ou sous spi ?
Venez sur la Rance quand ça bastonne en mer, on est nombreux à se faire plaisir sur la Rance par force 7, que du bonheur !
c'est pas des situations exceptionnelles ça . ça fait parti des aléas de la navigation à voile (beh oui, on maitrise pas tout comme certains ici en sous entendu) :-D
Si la proportion de plaisancier navigant sur l'eau sur multi était équivalente a celle en mono, sans aucun doute, il y aurait plus de multi "sur le dos" ...
Tout le monde n'a pas l'expérience en multi de certains cadors ici
Alors pour répondre a la question initiale : "les catas habitables sont ils dangereux"
plus délicats à manœuvrer, sûr.
ce type de bateaux ne pardonnent pas certaines erreurs.
Ne serais ce dans un registre de nav "ordinaire":
je peux passer l'écluse du Barrage de la Rance en solo avec mon 10 m sans difficultés particulières
Si j'avais un cata de 10 m, ce serait une autre affaire
idem pour les manœuvres au port. (ceux qui connaissent le Port de St Malo dans certaines conditions de vent savent de quoi je parle.
à vous ...
:-)

16 fév. 2016
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Solitaire écrit: "un nombre non négligeable de plaisancier qui se sont retrouvés un jour ou l'autre avec le mat à 180° dans des rafales sur toilé ou sous spi ?"

J'imagine que tu as voulu écrire 90°.
Même dans les situations les plus "délicates" en régate, la gite ne dépasse sans doute pas 75°et contrairement à ce qu'on lit souvent, on ne met pas les barres de flèche dans l'eau.
Je parle bien sur de voiliers de croisière, pas de Melges 24 ou de J 24.

16 fév. 201616 fév. 2016
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Non non,
un mat à 90° pour moi est la position "normale" sur un voilier : il est à la verticale de l'axe de vision
un mat à 180° est dans l'axe horizontale , pas trop sa position naturelle, genre départ au lof ... ou ... démâtage ... c'est selon ...
enfin ... j'interprète ça comme cela !
;-)

16 fév. 2016
1

ben c'est pas clair du tout, quand ton bateau ne gite pas, on indique bien 0 degrés, pas 90 ;-) Ton mat est dans le même repère que ton canot et fait partie du même ensemble. On parlerais plus volontiers de mat a l'horizontal que de mat a 180 degrés...; Enfin, tout est question de repère.

16 fév. 2016
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je parle du MAT à 90° ou 180°
a aucun moment, je parle du bateau ...
mais bon, peu importe, vous m'avez compris et on chipote là pour des broutilles ...
le sujet, c'est la dangerosité des catas

16 fév. 2016
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exemple :

on voit pas le mat (c'est pas un voilier de croisière non plus ...:-D ...)
Mais on comprends bien que le mat là, il est pas comme il faut
Faites la même chose avec un cata
il se redressera jamais et va basculer à l'envers

16 fév. 2016
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"Sûr que le nombre de cata et bien moins important que les monos..." En Manche, de Brest au Havre, il est raisonnable d'estimer qu'il y a 1000 fois moins de multicoques de plus de 9.5 m que de monocoques.

Malheureusement, il n'y a pas 1000 fois moins d'accidents.

16 fév. 2016
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Shazzan,
on ne s'acharne pas !
on ne critique pas !
on fait un constat !
tu refuses d'admettre qu'un cata ne sera pas toujours scotché comme une ventouse dans l'eau sur ces 2 flotteurs comme le tien et que passé un certain angle (déferlante, rafales, grain blanc et j'en passe) s'il se couche, il se renversera, et ne se redressera pas !
c'est une certitude mathématique !
j'entends ici et là que sur certaines unité, le mat fait fusible. il va péter avant de lever une coque
ah ouais ?? quand bien même ? il y a pas que le vent qui peut chavirer un navire, il y a l'état de la mer aussi !
ci joint, un Atlantic 57 retourné
faut y aller pour chavirer un truc comme ça !!!
ben ça arrive, et quand ça arrive, c'est foutu

16 mar. 2017
1

@Shazzan;
on t'a reconnu derrière le masque de Dubosc !!!
:mdr: :mdr: :mdr:
Et le "salut Loic!!!"
:mdr:
Merci pour cette vidéo !
:alavotre:

16 fév. 2016
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Oui bien entendu, d'ailleurs tu dire la même chose avec un cata, pas sur qu'après avoir trempé comme ici tu puisse repartir comme lui ! !
Mais je me posai une question...
Pourquoi s'acharner à critiquer sans arrêt un bateau dont la plupart des propriétaires on changer pour abandonner le mono?
Moi pour le coup, quand je pose la question sur google quel est le nombre de naufrage entre les monos et les catas, je ne dois pas bien lire ..... c'est pas la même réponse que vous ! ! :tesur: :heu: :mdr:
Sûr que le nombre de cata et bien moins important que les monos, mais dans mon coin, je vois pas beaucoup de monos sur l'eau par rapport aux catas, sont souvent à quai ...mais bon c'est chez moi en même temps, en Baie de Somme... ailleurs y a pas un cata qui sort trop peu de se retourner.... :-p :-p :litjournal:
Pascal.... :heu: :alavotre: :alavotre: :alavotre:

16 fév. 2016
0

Laisses ta canote au port comme 95% des personnes qui en possèdent un, comme çà la différence sera encore plus flagrante... :mdr:

16 fév. 2016
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Bien sûr, une vidéo de 2010, il y 6 ans, et en cherchant bien tu en trouveras encore et encore, regardes un peu ceux des monos, ça te fera pas changer d'avis puisse que t'es traumatisé par le chavirage, mais tu oublies que c'est le même combat en monocoque...





Tu vois moi aussi je trouve des petits films, il suffit de taper "Naufrage de voilier" pour te faire peur....
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ETC....ETC...
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Dans chaque naufrage il y a eu un problème, certes le cata peut se retourner mais il flotte, mais là aussi tu vas me sortir que "pas toujours" et à chaque fois un petit film pour montrer que tu as raison.
Et bien d'accord tu as raison, le mono est parfait, il y a moins d'accident, enfin que tu penses bien entendu, mais tu vois moi je sors et crois moi, en manche à force 6 sur l'eau je ne rencontre pas beaucoup de mono alors dire qu'il y a 1000 pour 1, c'est possible mais sur l'eau dé que ça baston, on n'est pas nombreux....
Je ne cherche pas à dénigrer les monos, en Europe ça a démarré avec ce genre de bateaux, en Polynésie ce fut les catamarans et tant mieux si tu te sens mieux dans ta coquille qui se balance, moi je préfère naviguer vite et à plat, et j'y emmène mes amis et surtout ma gazelle de 24 ans aujourd'hui et depuis plus de 16 ans dans ma canote...Penses tu un seul instant que si il y avait un risque je l’emmènerais ? Il y a bien plus de risque de crever écrasé par une bagnole que de me retrouver à l'envers et libre à toi de penser le contraire en regardant tous les films d'ici et d'ailleurs de plus de 30 ans en arrière....
Bon visionnage, dés que t'as fini tu me dis, je te remets le couvert...
Pascal sur 2 coques ... :alavotre: :alavotre: :alavotre:

16 fév. 201616 fév. 2016
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Un multi est forcément plus dangereux qu'un mono car il est in-retournable.
Cela ne constitue pas pour autant un argument de dénie lors du choix. Il s'agit de se prémunir au mieux de ce cas de figure, par le choix de l'embarcation et la manière de la piloter lors de conditions de mer les plus difficiles.

16 fév. 2016
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Faux, on peut le remettre à l'endroit....
www.dielette.fr[...]havire/
Je sais, c'est tiré par les cheveux, mais je fais un peu comme toi... :mdr: ...sinon, des exemple de remise à l'endroit de cata existe, mais bon, sur plus de 1000 lagoon vendus, combien se sont retournés?
Par contre quand un mono ne se redresse pas, tu fais comment quand il est au fond, car à part quelques rares exceptions, ils ne sont pas insubmersibles ...je crois :heu: :heu: :heu: :tesur:
Mais , je suis optimiste, vous connaissez tous ce dicton, "on critique toujours ce qu'on aime bien" ou "qui aime bien châtie bien" :pecheur: :doc:
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:

16 fév. 2016
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Shazzan: Pour ma part, je n'ai jamais écrit que je n'appréciais pas les catamarans. Bien au contraire.
De plus, il est probable que j'ai navigué sur plus de catamarans que toi, seulement en Manche et avec moins de milles, je te l'accorde bien volontiers.
Tes vidéos précédentes sont décevantes et ne démontrent rien...
Le sujet de ce fil concerne le danger de naviguer en catamaran.
Ma réponse est OUI, à l'évidence, IL EST NETTEMENT PLUS DANGEREUX DE NAVIGUER EN MULTICOQUE QU'EN MONOCOQUE dans nos eaux européennes.
Mais, dans les cas que je connais, à deux exceptions près, IL Y A TOUJOURS UNE ERREUR HUMAINE à la base.
Au fait, peux tu m'indiquer combien de voiliers de série ont coulé en équipage à moins de 50 milles de nos cotes européennes depuis 1970 ?

16 fév. 2016
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Bonjour.
Au risque d'être banal, je pense que:
- cata et mono ont leurs avantages et inconvénients respectifs
- que les risques inhérents à l'un et à l'autre sont différents
- qu'ils ne fonctionnent pas de la même façon
- qu'il y a des genres très différents de l'un comme de l'autre
- qu'il faut étudier un bateau pour apprécier ses possibilités d'usage et les conditions potentiellement à risque
- que le programme de navigation et l'expérience du skipper et de l'équipage sont les 2 autres paramètres clefs
...
Ex-proprio d'un KL 28 Trophée qui tourne entre 15-20 noeuds avec des pointes, et venant du monocoque de course, j'ai dû apprendre avant de maîtriser ce très exigeant canot'
Obiwan.kl.obi

16 fév. 2016
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Oh, c'est bien possible, mais bon aux Antilles j'en ai pas mal pratiqué avec des voileux comme moi. J'avais été impressionné par un outremer 45, vraiment rapide et incroyablement nerveux, mais pas très volumineux à mon gout, lagoon 38, très grand pour une si petite longueur, on comprend mieux quand on l'a essayé qu'ils en aient vendu autant, mais j'aime pas trop la gueule, un privilège de 14m, mais la cabine propriétaire à l'avant est infernal en navigation quand il y a une mer formée, mais au mouillage, le top! et un aussi que j'avais bien aimé le nautitech 47, il me plait bien, mais on a pas fait beaucoup de mille pour avoir un avis pertinent... mais mon préféré est le mien encore aujourd'hui car je le connais...
J'ai vu que tu étais en Manche, cette année je descends 2 semaines fin juin aux iles Chaussey, peut êtes se verra on!
Sinon, glaner ce genre de truc sur le net me gave, c'est simple, que ce soi ici où aux Antilles je n'ai jamais rencontré une personne qui possédait un cata me dire qu'il regrettait, même des petits, et personne ne m'a parlé d'insécurité, pourtant en toute honnêteté, j'en ai rencontré un paquet et peu d'en eux seraient prêt à revenir au mono car le risque est bien plus grand en mono de perdre un équipier, de se blesser dans les manœuvres même à l’intérieur et franchement quand tu traverses, des coups de vent sournois avec tout dessus c'est d'un commun quand on parcours 2000m d'une traite et je ne connais personne qui s'est retourné, par contre des monos qui se sont couchés, c'est légion et des histoires de femmes traumatisées par ce genre de truc au mouillage j'en ai entendu parler....
Je sais c'est pas pareil et tu vas encore me sortir une autre vidéo pour justifier que je me plante et patati et patata....
Pascal :alavotre:

16 fév. 2016
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Non, je vais juste te dire que les monos dont tu parles qui se sont couchés ... se sont redressés ...
Des femmes traumatisés ?
Bah, si elles avaient été sur un cata, elles auraient subi un traumatisme différent non ?
reste cool Shazzan ... reste cool ...
;-)

16 fév. 2016
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Moi j'en ai connu une de femme traumatisée en cata, enfin connue ! plutôt lu un bouquin d'une famille qui avait fait un tour de l'atlantique et en revenant au large des Acores je crois, pendant son quart alors qu'elle était assise dans le cockpit, une énorme vague est venue frapper le bateau par son travers et elle a été propulsé dans les filières.... Le mat a tenu et le bateau a continué sa route sans casse, sur ses deux coques, j'imagine que c'était juste une petite vaguelette, les femmes exagèrent tellement... :tesur:
Tu sais, tu ne devrais pas prendre ça à la légère, personne n'est à l'abri d'un drame et c'est tant mieux qu'un voilier se redresse,mais certain, même si ils sont rare ne le font pas. Tu m'excuseras, par contre jamais je n'ai entendu personne me raconter l'équivalent en catamaran !
.

Le bouquin, que j'avais dévoré, "Histoire de partir" si je me souviens bien, je l'avais dévoré, tu devrais le lire....

16 fév. 2016
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Dans mon coin, Marseille, des catas y'en à pas beaucoup. Faut dire que ça prend une place folle dans une région sur saturée. Alors le choix il est vite fait d'autant que c'est pas donné un cata de croisière......

16 fév. 2016
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C' est un peu pénible cet affrontement.

Le problème du chavirage est réel en multi. Sinon pourquoi les experts du multi consacrent ils tous un chapitre sur la préparation au chavirage dans leurs ouvrages ?

C'est un cas extrême mais il existe. Il se présentera la plupart du temps dans des circonstances également extrêmes. Peu d' entre nous ont envie d'être dehors dans ce genre de situations, les skippers de monos pas plus que ceux de catas ou de tris.

Dans ces circonstances, certains multis chavirent et certains monos coulent.

En revenant à des conditions plus "aimables", par exemple 35 / 40 noeuds, il est indéniable qu'un multi demande plus d' attention et d' anticipation qu'un mono, en particulier au portant. Plus dangereux, je ne sais pas, plus exigeant sans aucun doute.

Je pense ici à des catas sportifs, je n'ai pas d' expérience des autres. Aucun rapport en fait entre un cata-ravane et un multi sportif. Ca n'est pas la même nav.

Mono contre cata, on s' en fout. Chacun ses gouts. J' aime les multis mais je m' éclate aussi à bord d'un mono avec un bon pote.

Même si ça gîte et ça n' avance pas...
;-)

16 fév. 2016
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Aux Antilles il sont très nombreux... et partout sur les routes des voyages en mer, beaucoup de familles l'utilisent malgré tous ces dangers .... :heu: :heu: :heu:
Pascal :alavotre:

17 fév. 2016
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La question initiale ne faisait pas mention de comparatif mais seulement savoir si les catas étaient dangereux.
Si vous voulez comparez alors comparons. ..

A vitesse égale un cata est beaucoup moins dangereux qu un mono. CQFD

17 fév. 2016
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Non, non et non. Pour utiliser CQFD il faut qu'il y ai raisonnement complet .

Tu souhaites démontrer qu'a vitesse égale cata est plus sur que mono?

Premièrement ce n'est pas la question.
Secondo il n'y a aucun raisonnement.
tertio, cela dépend totalement de l'unité.

On utilise CQFD en maths, physique, chimie qui sont des sciences exactes dans lesquelles nos sensibilités personnelles sont a mettre de coté.

Merci d'éviter ce genre d'abus, continuons a disserter, grand bien nous fasse... Mais ne feignons pas la démonstration quand il n'y en a pas.

17 fév. 2016
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Pourquoi les pros monos disent "les catas ca se retournent" sans avoir à argumenter, et quand un pro multi annoncent quelque chose il doit argumenter lui ?

C'est vrai qu'après CQFD, j'avais prévu de mettre un smiley. Mon post, c'était de l'humour, ça n'a pas était compris comme ça, 1000 excuses, j'ai oublié le sourire à la fin. Mais bon vu le genre de peu de raisonnement dans les réponses depuis le début de ce fils, c'est peut être pas très grave.

Je voulais surtout souligné qu'a une question posée qui est simple "est ce qu'un cata est dangereux ?" nous avons un comparatif entre mono et multi par des gens qui, dans la majorité des cas, ne connaissent qu'un des deux supports. Ce n'est pas un croisière en location de 2 semaines qui fait que vous savait ce que c'est le mauvais temps en multi.
Je ne parle pas des monos, car je n'ai jamais pris plus force 7 sur ces bateaux, donc je ne me considère pas comme sachant.
Je ne veux pas passer pour prétentieux, mais avec 48 heures au large du Portugal avec 40-45nds établi en outremer 55, 12 heures de 45nds en mer du nord en Marquise 56 quelques heures avec 40nds en KL28 et quelques coups de plus de 35nds en F27, je pense savoir un peu comment ça se passe du vent fort en multicoque.

Pour pouvoir réellement comparer (mais est ce vraiment intéressant ?), il faudrait avoir un vécu similaire sur les deux supports. De ce que j'ai put lire sur ce forum, je donne donc du crédit à ce comparatif à peu de personnes...

17 fév. 2016
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C'est vrai, même si le problème peut parfois consister à trouver les freins... :-D

17 fév. 2016
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L'aspect dangereux doit être relativisé entre un 470 un laser et un Hobbycat, tous peuvent dessaler à la moindre bêtise du barreur ou de l'équipier dans la brafougne. Mais c'est pas définitif même s'il n'est pas facile de les remettre à l'endroit et de repartir.

Maintenant avec les caravanes flottantes qui sont le gros des ventes qu'elles soient sur deux coques ou une coque...

17 fév. 2016
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Domde,
on parle habitables
mais je ne suis pas contre le fait que pour certains (des nains de jardin ?) un 470, un laser ou un hobbycat soient considérés comme des habitables ...
:-)

17 fév. 201617 fév. 2016
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Pour toi Shazzan
;-)

un mono, c'est comme un chat ... il retombe toujours sur ces pattes ...

17 fév. 2016
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moi j'aime bien celle là


C'est du mono un peu chargé mais je pense que la famille serait pas contente.

17 fév. 2016
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Va faire la tambouille dans ce genre de situation ...
Si, une omelette !
;-)

17 fév. 2016
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C'est de la triche, il n'a pas de mât ni voiles, j'ai vu des monos restés bien plantés dans le mauvais sens par bonne mer à cause de l'inertie du couple voiles, mât.
OK, si le mât casse, c'est bon, on retourne le shaker !
:-)

17 fév. 2016
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Tu sais "Solitaire35", j'essaie de mettre mon prénom à la fin de chaque poste, juste par respect, politesse, peut importe, tu continues à m'appeler Shazzan enfin, surtout quand t'as un scud, alors que je m'appelle PASCAL... OK, ca ne te touche pas, mais si tu avais mis ton Prénom sur ton profil ou plus simple, dans une réponse, je t'aurais nommé, ... Mais bon, je suis trop vieux certainement, on est pas copain et le respect , jeune ou vieux c'est pas ton truc. J'ai juste 57 printemps et ma mère m'a toujours dit "Pascal", le respect est de se présenter, c'est le minimum pour espérer l'être"... je l'ai cru, et le crois encore, mais tout le monde n'est pas vraiment de cet avis...
Tout ça pour te dire que je dois être vraiment trop con pour toi et forcément toi trop intelligent pour ma pomme, je pensais juste pouvoir essayer de raconter on expérience et éclairer ceux qui auraient eu un doute sur le catamaran et ses problèmes d'y il y a 30 ans et qui maintenant sont résolus, voir inférieur ou égale au monocoque d’aujourd’hui... Bon, ok j'me suis gouré, je suis tombé sur un gourou qui lui sait tout les méambres des multicoques...
.
Bonne soirée et bon débat, j'vais me reprendre une vodka à ta santé..
.
Pascal, sur le cata shazzan :alavotre: :alavotre: :alavotre:

18 fév. 2016
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Bah ... ça y est, t'es encore fâché ...
on parle Cata Vs Mono, et tu parles respect ...
Des Pascal, il y en a un paquet sur le forum, voilà pourquoi je t'ai appelé "Shazzan".
c'est manquer de respect ça ????
ben on est nombreux a manquer de respect alors ...
Pour la phrase que tu cites :
"Tout ça pour te dire que je dois être vraiment trop con pour toi et forcément toi trop intelligent pour ma pomme"
c'est une grosse erreur de jugement, une fois de plus, et cette pensée n'engage que toi !
au même titre que tu es certain que ton cata est sûr quel que soit les conditions ...
Tu mets ton expérience sur la table pour affirmer ce que tu dis.
Dans l'histoire maritime, des capitaines de navire pourtant très expérimenté avec des certitudes sur l'insubmersibilité de leur bateau ont payé très cher leurs erreurs ...
tu devrais être un peu plus humble ...
Pour ma part, je n'ai jamais douter de la vulnérabilité de mon esquif, et c'est un mono ...
Pour terminer, on n'est pas copain, c'est vrai, (difficile d'être copain avec quelqu'un qu'on n'a jamais vu ni rencontré !) mais on n'est pas ennemis non plus ! (je t'aime bien en plus !)
Et ne voit aucune hostilité à ton égard dans mes interventions.
Je n'aime pas la vodka, mais ... mon péché mignon, c'est le Jack Daniel's,

:alavotre:

17 fév. 2016
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Y a-t-il un moyen d'arrêter de recevoir les notifications de ce fil uniquement sans arrêter de recevoir toutes les autres? Pour l'instant je n'ai pas trouvé. Merci

17 fév. 2016
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cliquer sur " ne plus suivre"

17 fév. 2016
17 fév. 2016
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Faut voir ...
:-D

17 fév. 2016
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beh !
il est intéressant ce fil pourtant ?

17 fév. 2016
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@ Aneblanc, tu vas dans mon compte / paramètres et tu coches ou pas ce que tu souhaites.

17 fév. 2016
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Ça serait bien d'avoir des argumentateurs qui ne soient pas pro-ceci, contre cela mais simplement une discussion des faits et des avantages et inconvénients, sans oublier les smiley, hein tangnard ?!
:langue2:

Perso, un mono, j'ai commencé là dessus il y a ... bientôt 52 ans, mais pour ce que je veux maintenant en faire, je n'ai plus envie d'aller à la cave pour dormir ou déjeuner, je veux voir la mer ou le paysage ou parfois la jolie nana qui est là-bas, à travers des jumelles car le cata est plus stable ...

Faire à manger est parfois, heu... sportif, et manger dans un bol je n'ai plus trop envie.
Je trouve que se promener avec une gueuse de fonte n'est pas top question optimisation mais on a du mal à faire autrement en mono.

Et pourtant j'aime les monos et me retourne pour en voir un, ça a de la gueule s'il est en bois ou ancien, il y a un "je ne sais quoi d'intemporel" qui fait qu'on le regarde, l'admire, l'envie, peut-être de vieux souvenirs de bouquins ou récits sur la marine à voile ?
Je ne le ferai pas ça - de l'admirer - avec un bicoque ou un tri, cette chose anachronique pour moi qui allie les avantages et les inconvénients des deux modes sauf pour le lest qu'il a perdu du mono avec une seule exeption, les "bêtes de course" qui respirent la puissance et les emmerdes à gérer pour rester dans le bon sens.
Maintenant, ce sera cata, mais c'est deux fois (heu, tu déconnes, là, c'est pas trois !?) plus cher, sachant que pour la place de port, de marina, ce sera 90% des cas évité vu ce que je veux en faire, mais je sais aussi très bien qu'un cata pardonne très peu l'optimisme ou la lenteur de raisonnement à l'approche d'un grain blanc, que vu sa stabilité de formes, il se retourne et basta, que toutes les pièces mécaniques d'usure sont en double, voiles, gréement sont plus sollicités, deux moteurs à nourrir et entretenir, et il a des inconvénients, des avantages...
Le mono en a aussi, chacun ses choix, je n'irais pas jusqu'à dire ses convictions, faut pas être obtus et buté.
Voili-voilà, c'était ma petite minute, pas forcément nécessaire ...

17 fév. 2016
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Salut Philippe
Bien entendu, neuf c'est 2, voir 3 bras par rapport au mono... mais il y a l'occase et là c'est plus la même chose....
Mais lorsque tu t'achètes un appart de 100m² il est un peu con de le comparer à un 50 m² en plus, l'usure ne s'exprime que si tu navigues, il suffit de faire le pourcentage de temps qu'on passe en mer et celui au mouillage ou au port et là, la facture est la même en cata ou en mono, pour l'usure, voir moins en cata puisse qu'on va plus vite... :mdr:
C'est impossible de s'entendre dans ce genre de fil..... il faut juste vivre une semaine sur deux coques pour pouvoir comprendre.... :reflechi: :reflechi: :reflechi:
Pascal :alavotre:

17 fév. 2016
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Ne t'inquiètes pas pour moi, Pascal, ce sera d'occasion, et il y a de grande chance qu'il soit ancien. A voir les bateaux d'occasion récents, il n'y a pas photo, que ce soit mono ou bi-coques. Le consommable et moi, j'ai donné.
Mon choix est fait pour ma prochaine vie.
Ce sera une coque pour chaque pied !
:lavache:
Mais trouver un plan Caroff, là, dur-dur ! Lerouge est plus facile à trouver.
A suivre ...

18 fév. 2016
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Après 26 ans de monocoque et 2 ans maintenant de multicoque (cata), je ne pense pas que le multi soit plus dangereux que le mono... Il y a de bon mono et il y a aussi de bon multi; il y a aussi des "moins bons" dans les deux camps . J'ose affirmer qu'il y a aussi de bons marins, et des moins bons, un bon marin sur un mauvais "bateau" s'en sortira peut être mieux qu'un mauvais sur un bon bateau, quoi que ?? :reflechi: .
Personnellement je n’achèterais pas certains multicoques pas plus que j'aurais acheté certains monocoques ... Après je peux comprendre que d'autres les achètent, par rapport a leurs budgets et critères d'utilisations, en plus c'est bon pour l’économie :mdr: .
Ces deux "camps de bateaux" présentent des risques, en être conscient et faire le nécessaire pour l'anticiper permet déjà de le diminuer .
Apres ce petit pavé généraliste, sinon il faudrait du cas par cas dans ce versus "marin / bateau", je conclurais d'un point de vue personnel en disant qu'un multicoque demande peut être plus d'attention et d’expérience mais qu'il permet plus facilement de vivre .

:goodbye: :alavotre:

18 fév. 2016
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"je ne pense pas que le multi soit plus dangereux que le mono..."
Il ne suffit pas de penser.
Regarde les chiffres 13 % d'accidents pour les multicoques à l'origine d'une quinzaine de décès. Plus que pour les monocoques durant la même durée!
En Manche 1 multicoque pour 1000 voiliers de plus de 9.5m!
Pour vraiment naviguer en sécurité, un catamaran nécessite une bonne expérience. bien supérieure à celle que nécessite un monocoque.
Je rappelle que la grande majorité des accidents de catamarans sont liés à des erreurs humaines de marins qui, probablement, pensaient mais ne savaient pas.

18 fév. 2016
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Donc 13 % d'accidents d'accident à l'origine de 15 décès !
Lesquels ?, t'as une liste ? des infos ?, sur combien d'années...?
Un cata pour mille mono ! T'es sûr qu'il y en a qui naviguent encore des 2 pattes ? vu le nombre d'accidents :heu: :mdr: :mdr:
.
Pascal :alavotre: :alavotre:

19 fév. 2016
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... "Il y a de bon mono et il y a aussi de bon multi; il y a aussi des "moins bons" dans les deux camps . J'OSE AFFIRMER qu'il y a aussi de bons marins, et des moins bons, "...
... "je conclurais d'un point de vue personnel en disant qu'un multicoque demande peut être plus d'attention et d’EXPERIENCE mais qu'il permet plus facilement de vivre ."

Nous semblons d'accord ? ..."présentent des risques, en être conscient et faire le nécessaire pour l'anticiper permet déjà de le diminuer . " ...

La pensée amène a la réflexion, la réflexion a l'action mais en l’occurrence je préfère, dans ce cas présent, l'anticipation !

:topla:

27 juin 2016
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Je suis tout à fait d'accord : j'ai eu 14 voiliers, dans des tailles très différentes, dont à peu près la moitié en multicoque. Et je crois aussi que le plus dangereux est d'avoir des certitudes sur les risques réels.

18 fév. 2016
2

A mon humble avis:

Dans les météos extrêmes, je pense que le multi est plus dangereux. Lorsqu'on a un multi on n'envisage en général pas de naviguer dans ces conditions extrêmes, pour ma part je ne le ferais pas en mono non plus.

Mais dans les conditions "acceptables" force 7 max par exemple, je pense que le multi apporte plus de sécurité. Les risques de chute à la mer sont infimes, le confort est tel que le marin est moins fatigué et donc plus à l'aise pour gérer des situations à venir, puis sur les catas intelligents (pas trop lents voire rapides) ils permettent d'éviter la mauvaise météo en s'éloignant, ou en ne sortant pas puisqu'ils n'ont pas besoin de vents forts pour avancer!.... :reflechi:

18 fév. 2016
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Parfaitement d'accord avec Clarivoile.
Une nuance toutefois, "les conditions "acceptables" force 7 max par exemple" ne sont pas les mêmes pour un Maldives que pour un Casamance . ;-)

18 fév. 201618 fév. 2016
3

oui, j'aurais du dire acceptables pour le type de bateau, mais pas seulement un cata de 14 m, des tris de 9m peuvent envisager ce genre de vent sans panique.

Et puis voir aussi l'environnement. Force 7 ne représente pas le même souci partout. Je pense par exemple aux zones côtières montagneuses où des vents catabatiques peuvent s'avérer très dangereux.

18 fév. 2016
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De toute façon quand ça devient dangereux pour un cata, fut il un Maldives qui supporte bien un force 7 en pleine mer, j'en ai fait l'expérience, c'est pareil pour un mono, quand ça baston c'est pour tout le monde pareil, et un mono de 10m ne sera pas plus à l'aise qu'un multi de même taille.
Pascal

19 fév. 2016
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J'admet que les fusibles sont de plus faibles intensités sur un multi dans le gros... c'est pour cela que je considere qu'ils demandent plus d'attention, d'experience, de preparation et d'anticipation dans ces conditions là .

27 juin 2016
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Bonjour à tous
Je viens de lire un truc sur "Pratiques et Techniques"
www.plaisance-pratique.com[...]-voyage
Pascal :alavotre: :alavotre: :alavotre:

27 juin 2016
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Oui, très bon retour d'infos de la part d'Amuitz, pas trop partial. Rapport que j'ai fait lire à ma tendre pour info et décision future.

27 juin 2016
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Et sa réaction ?

15 mar. 2017
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le point faible des cata est la trop faible hauteur de sa nacelle centrale. Pour gagner en habitabilité elle devient gigantesque trop longue et beaucoup trop basse. Dans une mer formée ça cogne fort et peut casser en ébranlant la structure.

15 mar. 2017
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structure en fonction , comme les monos qui au près dans une mer formée tape sur le bordé avant

15 mar. 2017
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Que certains catas tapent sous la nacelle, je suis d'accord, mais pas tous, il suffit de bien choisir son catamaran.
Dans ceux qui tapent, que certains deviennent inconfortables à la mer de ce que ça tape, je suis d'accord aussi. C'est pour ça que certains sur ce forum défendent une certaine culture du multicoque.
Mais que les catamarans cassent à cause de ce phénomène, il faut que le bateau soit mal construit, mal géré ou mal entretenu dans une mer déchainée.
On peut lancer des rumeurs, mais il faut rester raisonnable quand même.

16 mar. 2017
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On peu ajouté aussi trop chargé...

Pascal.

15 mar. 2017
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rien à voir !
la coque d'un mono n'a pas de structure horizontale plane...

16 mar. 2017
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sur l avant , bien sur que çi

16 mar. 2017
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pas sur le mien, jamais tapé dans aucune condition

15 mar. 2017
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Tu parles Alain, ça fait des années que les Anglais avec leurs vieilles caravanes trainent partout dans le monde avec leur plateforme centrale à 40cm de l'eau sur toute leur longueur .... T'en as vu combien complétement déstructuré par rapport au nombre qui a navigué ?
Bien entendu, tu trouveras toujours un qui aura morflé, mais ça reste des exceptions comme les monos. S'ils sont bien construits, ils résistent, c'est comme dans tout....
Moi j'ai déjà morflé comme tous ceux qui naviguent bien entendu, et en toute honnêteté, je n'ai jamais rien remarqué sur ma structure et l'ancien cata que j'avais, qui avait une trentaine d'années, voir plus, avec lequel j'avais fait l’Irlande, le nord de l’Angleterre et même monté jusqu'en Norvège continue sa vie ...
D'ailleurs, il suffit de se balader le long des cotes Anglaises pour voir le nombre de vieux cata qui trainent leur culs dans l'eau pour s'en convaincre...
Pascal :alavotre:

15 mar. 2017
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C'est vrai Pascal, mais je parle de conditions exceptionelles plus de la mer que du vent, et fin juin 2015 à 180nm des Bermudes en ramenant son cata, le proprio n'en menait pas large et a plusieurs fois répété le bateau va casser! et c'est un très bon plan LeRouge pas en litre étoilé... de 14/15" on partait au surf blocquant le speedo et bam dans la vague qu'on ratrappait. et ça s'est bien fini... Bonne soirée à tous!

15 mar. 201715 mar. 2017
4

Le bateau est arrivé à bon port, ce qui prouve que c est solide.

C est pas parce que l on a peur qu il y a danger.
Si on ratrape la vague c est la nacelle qui tape, ce sont les étraves qui enfournent, c est signe qu il faut ralentir.

16 mar. 2017
2

Normal qu'à partir d'une certaine vitesse la nacelle tape moins. Voilà ce que j'avais écris en 2014 et sur lequel je n'ai rien à rajouter :

"Je ne suis pas architecte, mais "C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule"

Je suis fervent défenseur des nacelles hautes, mais ce critères ne suffit pas pour avoir une nacelle qui ne tape pas.
En effet, les vagues d'étraves qui forment un angle d'environ 20° de chaque coté de la coque vont se rencontrer à un moment. Selon la largeur du bateau et la position de la nacelle la rencontre des vagues d'étrave peut se faire sous la nacelle ou pas...
Plus le bateau est étroit est plus cette rencontre est située en arrière du bateau.
Plus la nacelle est avancée, plus cette rencontre a de chance de se faire en arrière de la nacelle.
Si ces vagues se rencontrent sous la nacelle, le bateau subira beaucoup plus les assauts de la mer.

Un autre point à prendre en compte pour le tapage maritime des nacelles, c'est la forme de la vague d'étrave. Selon la vitesse su bateau, la longueur d'onde de la vague d'étrave sera plus ou moins longue. Si la nacelle se situe dans le creux des vagues d'étraves le tapage sera faible, même basse la nacelle sera très peu sollicitée.

Pour les nacelles basses, il est possible qu'elles ne tapent que très peu si le bateau avance à la bonne vitesse.

Pourquoi une nacelle basse = pour le centre de gravité pardi, le plus lourd dans un catamaran, c'est la plate forme, si son centre de gravité est bas alors le poids du gréement à moins d'importance. Plus stabilité, moins de tangage, moins de fardage, moins de structure donc moins de poids.
En effet les nacelles basses ont de multiples avantages surtout d'un point de vu sécurité, mais ce coup de buttoir au prés sont à prendre en compte quand on fait son choix.
Au niveau confort, il y a moins de marche pour descendre dans les coques, on aussi plus facilement un carré de plein pied avec le cockpit. "

15 mar. 2017
0

Hello,
Bizarrement, je me suis rendu compte qu'à partir d'une certaine vitesse, justement, mon petit cata" très très bas sur l'eau" ne tapait pratiquement plus...en tout cas, fini les gros "boum", ça devient bien plus agréable.
Mais il faut atteindre les 6.5-7 noeuds...
Pour avoir fait refaire une partie de la nacelle l'année dernière(infiltration d'eau de mer sournoise par les trous d'évacuation de la baille à mouillage...), l'ensemble, en sandwich, fait tout de même +de 4cm d'épaisseur, avec renforts dans les deux sens...
En tout cas, pas d"inquiétudes sur la solidité en ce qui me concerne!
:heu:

16 mar. 2017
0

Hello,
Bien résumé...je pourrai rajouter la facilité à embarquer et à débarquer, que ce soit au mouillage, ou au ponton... :heu:

15 mar. 2017
0

Ouiiiii. Ouiiiiii les cata c'est cata ...c'est dangereux....
Surtout les XXX , YYYY , ZZZ , AAA , et autres autres.
Comment peux tu imaginer mettre dans le même sac des navires aussi différents que outre-mer et fountaine pageot "...y a des cageots et des navires, c'est incomparable , une , trop courte nav sur un outremer m'a fait revoir le plaisir du petit temps.
Garder raison n'est pas une vertu majeure du forum.
Bernard.

15 mar. 2017
0

Et encore il y a de vieux Fountaine qui s'en sortent plutot bien...
D'accord je prêche pour ma paroisse . Peut être que le marin qui est dessus arrive t'il aussi à faire une différence, non ?

16 mar. 2017
0

on critique les Fountaine , et on en trouve partout autour du monde sans souci

16 mar. 2017
1

bonjour,
pour relancer ce fil ..
j'ai eu pendant deux ans un summer twins 28 avec balestron
relativement large pour sa longueur 5mX9
il n'est pas si lent que ça j'ai fait de pointes a 12nds devant un sunfizz
qui ne m'a jamais rattrapé ...
je n'ai jamais osé aller en corse avec par contre j'ai été en espagne avec traversée du golfe ,une fois derrière porquerolles
avec 35nds de mistral en virant de bord j'ai levé une coque à 45°
je ne sais pas pourquoi je n'ai pas fait le tour ,certainement grâce au balestron qui s'est déventé de suite .
mais en rentrant j'ai mis le bato en vente .
et je suis revenu au mono ,dites moi :petits bras ,mais en mer je suis serin ou pinson comme vous voulez .
alain

16 mar. 2017
2

petit cata , peut etre ton systême trop lourd dans les hauts , jamais comme beaucoup de cata levé une coque

17 mar. 2017
0

c est bizare car moi j ai des clients qui me demande d avoir un catas qui peut lever une coque
lever une coque n est pas si terrible que ca !!
moi j ai fait il y a plus de vingt ans avec mon tri f 28 un bord de vent de travers sur toute la longueur de l iles de re en equilibre sur seulement le flotteur sous le vent
flotteur au vent et la coque central etait hors de l eau
et en fait on s en habitue bien !!!

16 mar. 2017
0

levé une coque aussi sur un catfisher 28, rafale tombant d'une falaise, cote de libye hiver 77

on déjeunait peinard sous pilote dans la timonerie avec un bon vent de travers, rafale très violente, le copain a juste eu le temps de choquer la GV

c'est ce voyage qui m 'a définitivement dégouté du cata, on dormait avec un opinel dans la poche aukazou il aurait fallu trouver la sortie apres chavirage, ça ne se discute pas, on a peur ou pas sur un cata

17 mar. 2017
0

la nuit sous pilote par exemple ?

16 mar. 2017
0

le catfisher ,c'est plus un fifty qu'un cata en plus il n'est pas très large .
le summer twins ,n'est pas très lourd ,c'est du sandwich à partir de la flottaison et il est en monomoteur avec embase sonic bien placée .
le grément à balestron en carbone est plus léger que le grement classique 70kgs +les voiles et l'enrouleur .
ce qui m'a fait lever une patte c'est la vague que j'ai pris de travers
juste après avoir viré si je n'avais pas abattu je finissais sur le toit .
alain

16 mar. 2017
0

nous on ne saura jamais mais on a plus jamais laissé le pilote sans être dans le cockpit. en plus on s'est pris un orage avec des trombes en arrivant au Caire, je te dis pas

on était bien payé, d'ailleurs je n'ai mis les pieds sur un cata qu'en étant payé

16 mar. 2017
3

Comparer des catamarans de 28 pieds et d'autres de 40 a peu de sens. Plus le cata est petit, plus le risque est grand.

16 mar. 2017
0

les 40 et plus ne sont pas exclus non plus de chavirer (exemples documentés que tu connais, Daniel, (Outremer, catana, cat sudaf en oregon etc)

16 mar. 2017
0

mauvais dessin de cata alors .

16 mar. 2017
0

2 sur 5 bateaux construit , donc 40 % de la flotte ... de quoi se poser des questions sur ce bateau

16 mar. 201716 mar. 2017
1

un cas que je ne connaissais pas sur le lac Michigan, auto pilot vents 15 à 18 nœuds mer plate tout dessus et bam, "micro burst"

ce qui est intéressant en dehors du fait que les 3 équipiers ont été récupérés sans dommage est que le bateau n'avait pas été démâté, et c'était à quelques milles de la marina

www.cruisersforum.com[...]86.html

archi chris white réputé (les atlantic catas plutôt typés croisière rapide, 2 Atlantic 57 chavirés sur 5 construits)

16 mar. 2017
0

je ne crois pas, c'est un archi au top aux états unis
chriswhitedesigns.com[...]/

excès de confiance des utilisateurs comme pour l'outremer au cap creus

puisque 99, 99 % du temps tout se passe bien !

16 mar. 2017
2

à chaque fois équipage à l'interieur, pilote et temps à grains

je ne crois pas que les catas sont dangereux en soi mais ils demandent de meilleurs marins plus attentifs, et l'excès de confiance peut, ultra rarement se payer cash

16 mar. 2017
0

Je n'ai rien contre cette discussion très intéressante mais je n'arrive pas à m'en désabonner. Je l'ai déjà éliminée de mes bookmarks. Quel est le truc?

16 mar. 201716 mar. 2017
0

En fait, on ne parle que de cas isolé sur les catas retourné, sans savoir ce qui s'est passé aprés comme souvent...
Les mono retournés, ça c'est une légende j'imagine, ils sont tous rentrés à bon port bien entendu....
Jean, c'est une connerie de dire qu'il faille être meilleurs marin pour un cata plutôt qu'un mono, j'en suis la preuve ....
Caroff disait, 10m² la tonne, c'est pas plus compliqué que ça ....
Je fais 140 m² de toile pour 14t , c'est comme les mono, plus tu toiles au m², plus le risque est présent....
Mais bon, c'est comme essayer de dire à un alcoolo que boire est néfaste.... :-D :-D
Pascal :alavotre:

16 mar. 2017
1

Beaucoup de cas isolés! Des monos lent a revenir oui le bateau de la transqudra Pogo 8.5 sinon tu en connais?

17 mar. 2017
0

Viking, tant mieux, si ton expérience de marin hors norme te dicte la vérité, mais moi j'ai aussi la mienne si ça te gène pas comme d'autres d'ailleurs.
Moi, je sais que si tu as comme moi un cata de 14 tonnes avec 140/150 m² de toile, t'es pas moins en sécurité que sur un mono et avant de retourner ma canote il y a plus de chance que j'y laisse mon mat ....
Mais bon, t'en sais bien plus que moi, t'es un grand marin, t'as déjà navigué sur tous les catas de la planète, tu me l'as déjà dis 100 fois et écris certainement le double...
.
Alexandre, mon ratio est d'un peu plus de 10m² pour 1 T et je marche très bien. Mais plus le ration augmente, plus il faudra anticiper, ça je suis d'accord, c'est à chacun de choisir mais là je te parle de ratio de sécurité général, la plupart des bateaux de grande série tentent à avoir ce genre de ratio.
Mais bon, que ce soit Lagoon , Fontaine Pagot, Nautitech .... ne sont certainement pas considérés comme de vrai catamaran j'imagine :heu:
C'est sur qu'un TS 42 ou un Outremer ce n'est pas la même chose, mais c'est plus des bateaux sportifs, toujours comme les monos, c'est comme si on comparait une Alpine A310 à Clio DCI....
Et bien entendu que par gros temps il faut faire gaffe comme sur un mono, le risque est le même, tu sors du contexte ce que j'écris, mais bon....
.
De toute façon, on trouvera toujours un cata qui se retournera pour diverses raisons et on aura toujours des monos qui feront la même chose mais avec un risque supplémentaire de coller .
Mais bien entendu comme à chaque fois il y aura des personnes iront chercher l'exception qui confirmera la règle , donc finalement je pense que vous avez tous raison et le bon sens et au bout de vos doigts...
.
Sur ce, bonne journée et bon débat... :cheri:
.
Pascal :alavotre:

17 mar. 2017
0

C' est quoi du bon matériel pour prendre un ris au portant ( supposé qu il y a au moins 20-25 noeuds de vent apparant) ?
Il y a quand même de la toile sur les bêtes là.
J ai loué 2 fois des catamarans, je n'avais jamais pensé que c'était possible.

Merci

17 mar. 2017
0

De mon expérience, je confirme qu'il faut être meilleur marin sur un cata... Je l'ai déjà écrit ici, j'aurais pu me planter par excès de confiance dans mes débuts. Quand à Shazzan qui a traversé une tempête aux Açores, il aurait été plus inspiré en nous révélant les solutions qu'il a employé autres que de boire le whisky et attendre.

17 mar. 2017
0

j ai 12 M2/Tonne , mais un coque très large , 7 m pour un 40 pieds et surtout incliné a 7 ° , très grande stabilité , a dérive et je joue en fonction du vent et de la mer .L outremer 45 retrouvé a l envers au cap creux par fort vent , il avait sa dérive complément baissée ???
Il faut avoir du bon matériel un enrouleur en bonne état de génois , et surtout pouvoir prendre des ris facilement même au portant , l avantage , un cata ne part pas au lof et surtout pas a l abatté ceux qui est dangereux sur un mono quand on prend un ris

17 mar. 2017
3

Si je regarde ton ratio, je vais mourir avec mes 70m² pour 3T. Dans ce cas comment faire, surtout que mon bateau à 20 ans, il ne devrait déjà plus être là.

J'imagine un corneel 26 avec 9 m² de voilure, ou un tricat 22 avec 3m², plus besoin de GV seul le petit foc suffit.

C'est sure qu'avec ce genre de théorie de ratio, dans certains cas il ne peut rien t'arriver, mais alors vraiment rien, même pas faire de la voile.

Enfin dernière remarque, sur un multi, je suis 100% d'accord avec jeanlittlewing, qu'il faut un peu plus anticiper que sur un mono, le skipper doit être plus attentif dans certaines conditions et un temps à grain en est un. Pour ma part, dans ces conditions, je suis dehors.

17 mar. 2017
1

mon dernier cata en fabrication 5 tonnes en charge et 120 m au pres
donc ultra dangereux ????
c est sur a la limite il faut supprimer le mat comme ca ca risque moins
sur un cata il faut pas laisser faire les choses et prevoir et etre plus aguerie que sur un mono ou tu peus faire completement n importe quoi

17 mar. 2017
0

oui c est un bateau tres performant !!!
13.5 m x 6,9 avec etrave inverse

17 mar. 2017
0

purée ça doit être une bête de course, quelle taille ?

17 mar. 2017
2

Mon expérience sur plusieurs catas et monocoques m'aménent aussi à conclure que dans certaines conditions, la sécurité d'un cata repose sur son équipage beaucoup plus que sur un monocoque. Sous le vent d'une île par exemple une rafale peut passer en quelques secondes de 15 kn à près de 50, le mono se couchera (ca m'est arrivé avec un Dehler 38) et un cata pourra chavirer sans réaction très rapide du barreur. Bien sûr, on peut décider que dans de telles conditions, un cata met ses voiles au bas ris avec le moteur en appui..Les catas qui m'inspirent le plus confiance par rapport à ce phénomène c'est les Warrham.
Un deuxième point est la capacité à sentir la limite sur un cata. Autant, j'ai trouvé facile sur mon Tornado de voir où j'en suis, autant sur un Athena 38 que j'ai eu loué, j'étais incapable de la trouver. Ce gros bidule ne renvoie guère de sensations. Un Corneel 26 est intermédiaire, je voyais quand même où j'en étais, mais toujours l'écoute à la main. Je n'ai pas expérimenté les systémes de largage automatique, c'est peut être une très bonne réponse.
Enfin, les trimarans m'interessent sur ce point : je trouve que l'enfoncement du flotteur, en général facile à voir, est une assez bonne indication de la limite.

17 mar. 2017
0

Ca dépend ! Ca dépend d'abord de l'équipage. Un équipage inconscient peut faire se retourner un cata à partir de force 6 parfois même 5. Ca dépend aussi de la notion de danger. Un cata retourné flottera alors qu'un quillard ira par le fond. Bon d'accord il peut aussi se disloquer mais ça laisse un peu de temps avant et beaucoup restent entiers on les retrouve des mois plus tard.
D'aiilleurs il y a longtemps, (je ne sais pas si ça se fait encore !) les catas anglais avaient des filières sur le dessous de la coque pour se tenir en cas de chavirage. C'est quand même mieux que de barboter dans son gilet.

Il y a des équipages aguerris qui ont fait des trucs incroyables en mono comme en cata. Mais ! toujours pareil ! ca dépend des équipages, il y en a des bons et d'autres moins et c'est de là que peut venir ou non le danger mais chut ! Silence radio partout sinon un corniaud va nous inventer un permis supplémentaire.

17 mar. 2017
1

Parler du chavirage est un peu différent de le vivre. Ca laisse un souvenir impérissable. Et une confiance définitivement limitée dans les certitudes sur ce sujet....

17 mar. 2017
0

parler du chavirage, ça laisse un souvenir impérissable...
on en est pourtant pas loin non?

17 mar. 2017
0

Bonjour. Mon expérience de plusieurs années sur KL 28 Trophée, certes très différent des catas de croisière, est que sur ce bateau il est utile de lever la coque au vent jusqu'à voir un peu de dérive afin de réduire la surface mouillée, 10° environ compte tenu de la largeur, et inutile (car baisse de vitesse) voire risqué (équilibre instable, variation erratique d'assiette latérale) d'aller au delà. Un angle plus important et a fortiori variable en fonction du vent et de la mer, rend aussi plus difficile les déplacements à bord et, si surpris par une rafale ou une vague, on glisse sous le vent sous l'effet de la gîte brutale, on risque de ne pas pouvoir larguer l'écoute de GV et/ou de charriot GV: c'est pourquoi l'écoute de GV est contrôlée depuis les 2 flotteurs et non au niveau du palan (à mon avis, il faut, quelle que soit le bateau, que les écoutes soient au niveau du barreur, même s'il y a plusieurs postes, et largable "en grand"). Sur le Trophée: pas de taquets pour les écoutes de GV et chariot, et des dérives qui ont un "angle de carrossage" positif qui réduit l'effet croche-pied lors d'une rafale avec, si j'osais dire, un léger effet foil... Ah ce bateau!

17 mar. 2017
0

Lagoon 420. Bateau de location. 10 bateau accompagnateurs en flotille.
Heure de l'apéro... 70 personnes sur le cata. Pas très à l'aise avec 4 tonnes de plus même si on est au mouillage. Elle était à peine surchargé vu le peu d'enfoncement dans l'eau. J'ai fais le tour plusieurs fois en annexe pour regarder tous ça... Sans l'avoir vu avec mes yeux je l'aurais jamais cru!!!

17 mar. 2017
0

un vrai ponton fait mieux encore

17 mar. 2017
1

C'est vrai Alain, mais il ne te fera pas traverser l'atlantique en même temps... :heu:
D'ailleurs, ce qu'il y a de marrant, c'est que la majorité des personnes qui les critiquent ne l'ont pratiquement jamais pratiqué et ils t'expliquent ce qui se passe quand tu as le malheur d'en voir un, même si le plus souvent il te passe par ton travers ... :-p
Mais bon, là, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on a affaire à des experts... :bravo:
Pascal :alavotre:

17 mar. 2017
1

He ouais Pascal moins t'en sais plus t'en parles!
et à l'interrogation: les catas habitables sont ils dangereux on te racontes qu'un tri ne marche vraiment bien que sur une seule coque??? je ne bois plus mais à la tienne!

18 mar. 201718 mar. 2017
0

Bonjour Alain
C'est simple, j'ai pratiqué les les deux, mono cata.
En mono, mon expérience ne se résume qu'à un 6.5m à mes 18 ans pendant 5-6 ans et diverses balades avec de plus grands de potes et encore plutôt des aciers, ferro-ciments mais en fait surtout du cata depuis 30 ans.
Le premier étaient un plan Lombard il me semble, un 11m.60 je crois pendant pratiquement plus de 15 ans, très bas sur l'eau qui tapait beaucoup mais qui navigue toujours aujourd'hui sans avoir été déstructuré. Mais finalement très confortable avec 2 cabines doubles et deux simples avec une salle d'eau très grande sur une pointe avant où tu avais la hauteur sous barrot partout avec en prime le plaisir de naviguer à plat.
Le dernier a 17 ans, comme je le disais plus haut 14 tonnes en charge, tous les pleins fait et 145m² à peu-près.
Je tape avec des vent travers de 25/30 N des pointes à plus de 20N avec des moyennes de 14/15 N, sinon par petit temps genre 15/20 n de travers et pas trop de houle des moyennes de 8/10 n comme sur des rails.
Moi la patte, je ne cherche pas à la lever, d'ailleurs j'aurais bien du mal avec mon ratio, mais surtout j'aime mon bateau, je le respecte et en règle général je suis plutôt prudent et en solitaire avec toujours un ris au travers. Au pré, j'ai un bateau puissant s'il y a du vent et là, je fais la nique à pas mal de voiliers.
Alors tu sais, ma façon de naviguer pépère me permet de naviguer à l'intérieur, surtout s'il fait mauvais, me geler les robinioles c'est plus pour moi, j'aime la mer, pas forcément barrer, j'ai un super pilote ou régler pour être à la limite, je leurs préfère un verre allongé sur le pont à regarder et dire bonjour et au-revoir à ceux que je croisent....
Tu vois, je suis loin d'être un expert en cata, mais je connais le mien et ses possibilité et surtout le confort qu'il m'apporte et c'est pour ça que je dis que si demain tu venais à avoir le bonheur d'en acheter un, tu n'aurais pas plus de soucis et de compétences supplémentaire à acquérir pour naviguer avec en toutes sécurité qu'avec ton mono car comme sur le tien tu ressentiras le moindre changement de vent ou d'accélération, enfin moi c'est mon cas mais, je laisse aux experts d'expliquer le contraire, mais bon, de toute façon c'est un débat sans fond dont à chaque fois je me fais un véritable plaisir à répondre à l'excellence :heu:
.
Pascal :alavotre:

18 mar. 2017
0

Non non, c'est vraiment ça, par contre en-dessous de 10 n de vent, c'est pas ça...
Déjà à 14 n je suis à 7/8 n mais bon, dans de bonnes conditions surtout belle mer...
D'ailleurs mon record de vitesse a été de 25 N lors d'un retour de l'ile de Wight avec une traversée de moins de 11 h pour 110 mn du port de Beaulieu River à l'amarrage à St val, pratiquement un vent de nord, 25/30 n pendant toute la traversée avec 6 bonhommes à bord .
Et là depuis que j'ai un geneker de 110m² même le portant est un régal .......
.
Pascal :alavotre:
.


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19 mar. 2017
0

Pascal, tu sais très bien que lorsqu'on est dans une transat, les moyennes sont différentes d'une traversée de la manche avec vent de terre de travers à 20/25 n et mer plate....
Dans les alizées tu as un vent arrière ce que n'affectionnent pas forcément les catas où là le mono peut s'approcher de nos performances . Quand j'ai traversé j'ai fait plusieurs journées à plus de 250 mn mais tu sais très bien que la mer est formée en permanence et cassante donc tu ménages ton matos. Pour ma part, j'avais toujours un ris à demeure par prudence, car je ne faisais pas le Vendée Globe
Mais Pascal, tu n'es pas dupe, tu sais très bien que tu ne peux pas avoir des condition permanente pour tenir 14/15 n de moyenne sur de telles distances, moi je te parle d'une 100 éne de MN et toi de plusieurs milliers de Milles et surtout, tu sais très bien qu'à ces vitesses, ça devient invivable
Je te parle performance pur, pour le plaisir et tu me réponds routine....
Finalement t'es comme beaucoup, t'as décidé de mettre des œillères à l'occasion ...
Allez, bonne journée, Pascal :alavotre:

19 mar. 2017
0

Tu sais Jean Marie, si ça se trouve, c'était des KM/h pour la vitesse du bateau ;-)
:alavotre:

18 mar. 2017
2

tu me laisse dubitatif sur tes performances pour un Lazzi ......

18 mar. 2017
3

bon ça fait 10 nds , ce qui est beau pour un cata Lazzi , mais pas du 14/15 nds de moyenne , tu serais a plus de 330M/24 h , mon copain sur un TS 52 en speedant fait presque 300 M/Jour dans l alizée

19 mar. 201719 mar. 2017
1

D'après la vidéo de Shazzan :
- Vent apparent : 14,7
- Vitesse du navire : 7,3
- Angle du vent apparent : 60°
ce qui donne :
- Vitesse du vent réel : 12,1
- Angle d'incidence du vent réel : 90°

19 mar. 2017
1

Autres données tirées d'une autre petite vidéo de Shazzan, sous réserve de leur fiabilité et sans prendre en compte la dérive, ni le courant


.
- Vent apparent : 30
- Vitesse du navire : 8,6
- Angle du vent apparent : 58°
ce qui donne :
- Vitesse du vent réel : 26,6
- Angle d'incidence du vent réel : 73°

17 mar. 2017
0

He ouais Pascal moins t'en sais plus t'en parles!
et à l'interrogation: les catas habitables sont ils dangereux on te racontes qu'un tri ne marche vraiment bien que sur une seule coque??? je ne bois plus mais à la tienne!

19 mar. 2017
0

en tout cas quand mon cata , c est encore plus agréable a bord quand il est dans les 10 nds ou un peu plus qu a 6/7 nds

19 mar. 2017
0

Bien entendu moi aussi, jusqu'à 12 N ça va mais après c'est pas toujours agréable, en tout cas, c'est ce qui se passe sur le mien, mais moi à 7/8 N comme sur la vidéo ,c'est pratiquement comme au mouillage, mais toujours sans trop de houle et à ces vitesses là, t'es vraiment en sécurité surtout en pleine mer puisqu'on est à plat et on voit arriver le mauvais temps le cas échéant....
Pascal :alavotre:

19 mar. 2017
0

ton cata est léger car plus de peinture de pont :mdr:

19 mar. 2017
0

je frime pour la peinture car on a fait avec ma femme fait tout le pont ( les salles d eau aussi ) il y a 2 mois ( sous le soleil de plomb de Noumea ) a l international Interthane 990 , la dernière fois c etait il y a 8 ans au brésil
Poids dans les 8 t en voyage

19 mar. 201719 mar. 2017
0

C'est vrai vrai, mais plus pour longtemps ! il attend le soleil pour un nouveau lifting :-p et plein d'autre trucs...
Sinon, il fait 14 t avec les pleins fait et l'équipement mais le tien il annonce quoi en configuration voyage ?
Pascal :alavotre:

19 mar. 2017
0

En effet, il est léger par rapport au mien ! J'imagine qu'il doit bien pulser l
Me concernant, j'ai repeint les coques l'année dernière avec de la bi-composant pour camion et je vais faire le pont en avril ou mai. J'ai changé mes moteurs, refais toutes mes pompes de cale changé mes vaigrages , installé de nouveaux panneaux solaire, une machine à laver et un congélot car ça me manquait et là je termine l'installation d'un dessal 200l/h attelé. J'avais rencontré un gars qui en avait un aux Antilles et il en était très satisfait. J'ai changé aussi mes batteries pour du lithium, bref, normalement en juillet je serai prêt.
Je voulais le confort maxi et là, ça commence à le faire, mais c'est dingue le boulot, on ne s'en rend pas compte quand on démarre un chantier pareil! :heu:
Après, il n'y aura plus qu'à .... :-p
Tu repars quand pour la suite et par où tu vas continuer ?
pascal :alavotre:

Phare du monde

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2022