échouage sur béquilles

salutatous
les proprio des bateaux qui échouent sur béquilles relient le pied des béquilles avec 2 bouts au taquets avant et arrière, ça sert à quoi ces bouts ?
cordialités maritimes
larent le hareng

L'équipage
07 mars 2014
07 mars 201407 mars 2014

Deux actions combinées :
Une première "en X" (dans sens longitudinal), interdit aux béquilles d'aller vers l'avant et vers l'arrière.
Une seconde, "en Y" (dans le sens transversal), est rendue possible par le fait que les béquilles sont implantées plus à l'extérieur de l'axe du navire que les taquets sur lesquels sont tournés les bouts. Cette seconde action interdit à chacune des béquilles de partir vers l'extérieur du navire.

Chaque béquille est donc maintenue "en X", "en Y" avec le concours de la coque qui interdit à la béquille de rentrer et "en Z" de par sa fixation .

Voili voilu.
:litjournal:

Éventuellement, il est possible aussi d'utiliser ces bouts pour faire sécher linge et serviette lorsqu'on est échoué.
:-p

07 mars 201407 mars 2014

ok, c'est simplement une sécurité ? ou si tu ne l'as pas, tes béquilles sont comme des spaghettis ?

07 mars 2014

Toute l'explication sur les béquilles est là et en plus c'est très clair.
Bravo nemo 1

07 mars 2014

Sans les bouts, c'est la cata assurée et le bateau couché.

07 mars 2014

parce que la liaison tête de béquille/coque n'est pas assez rigide, solide ?

07 mars 2014

sur les anciens bateaux de travail en bois à quille longue fréquentant les anses et ports à échouage, les béquilles , comparables à des poutres anciennes, souvent taillées avec du fruit à partir de la flottaison, sont tenues dans les jambettes renforcées du pavois en 2 endroits par de forts goujons métalliques boulonnés, serrés et clavettés de l'intérieur.

Il n'y a pas alors de gardes et elles sont manoeuvrées au palan

07 mars 2014

C'est une liaison relativement souple, dans la mesure ou si ça force, il faudra bien que ça pète quelque part.
Et autant que ce soit la tête de béquille et non pas le bordé.
De plus la cadène sur le pont est souvent articulée pour pouvoir remonter ta béquille le long de la coque, pour une manœuvre quelconque sans tout dé-assembler.
Au fait, ces deux bouts se nomment des "garants", sans doute un nom prédestiné lié à la fonction.
Autrement, Némo a tout expliqué :topla:

07 mars 2014

si un garant lache, la béquille pivotera et le bateau risque de tomber et se coucher dessus (dégât sur le flanc, arrachage de liston ou ferrure)

07 mars 2014

Et oui, voir pire !
Poinçonnement de la coque au niveau du bouchin par la béquille .
Et le tout, en dessous de la flottaison, ça arrive, pas souvent heureusement.
M'enfin ce n'est pas tout les jours non plus.

07 mars 201407 mars 2014

merci GG, ta réponse est tout à fait claire;
donc si on est sûr de sa liaison béquille/bateau, pas besoin de garant

08 mars 2014

@ GG : et ta re-réponse est encore plus claire ! :-D

08 mars 2014

! ! ! PAS DU TOUT ! ! !
Les garants sont indispensables, tout du moins sur un bateau plastic.
Autrement, comme indiqué plus haut par Pir2lune, sur une coque en bois bien blindée, pourquoi pas.
Mais, JAMAIS, je dis bien JAMAIS, je ne conseillerai de se passer de garants sans avoir visité personnellement le canot !
Et encore, c'est prendre des risques de ne pas vouloir installer ces bouts de ficelle !
Soyons clairs :topla:

08 mars 2014

:topla:

07 mars 2014

A vrai dire en cas de vent calme, d'absence de courant et de vagues les garants ne servent pas, c'est juste une sécurité mais elle peut être très importante en cas de fort vent quand le bateau se déplace en évitant au moment de la posée ou encore quand le crétin local traverse le port ou l'abri à grande vitesse au moteur en créant des vagues abruptes (Exemple à Sauzon)..

07 mars 2014

et puis une autre raison : en principe les bequilles ont des barrots pour descendre du bateau ils sont situé de part et d'autre de la bequille , le simple fait de peser sur un échelon la bequille va partir sur l'avant ou l'arriere vu qu'elle ne tient que sur 1 point , les garants vont la maintenir verticale

07 mars 2014

L'expert maritime que j'avais embauché lors de l'achat de mon DL m'avait dit: "Croyez moi, et c'est l'expert en assurances qui vous le dit, les béquilles, vous les rangez au fond de votre garage et vous ne les en sortez plus!"
J'ai béquillé une fois en sortie de la Corderie de Bréhat, j'ai eu si peur que je n'ai plus recommencé, sauf pour hivernage sur terre-plein "stabilisé".

07 mars 2014

faut pas exagérer !!
un béquillage avec un quillard "normal" et par beau temps n'est pas un drame quand même ...

07 mars 2014

pfouiiii !!!!!!

si j'avais du avoir peur à chaque fois que j'ai bequillé, je serais mort cardiaque depuis des lustres.
:doc:
le béquillage est un truc simple qu'un peu de bon sens rend tout à fait sympathique, surtout avec un DL qui est naturellement fait pour cet exercice.

quand à " l'expert" qui a sorti cette annerie trois fois grosse comme lui, je veux croire qu'il a dit cela par inféodation à sa compagnie d'assurance (qui comme chacun le sait n'aime pas les "risques" si petits qu'ils soient) car sinon je le considererais comme un fiéffé imbecile et surtout un incompetent notoire.
:litjournal: :lavache: :tesur:
diaoulig bequille toute l'années sur son poste de mouillage et souvent en croisiere et de puis 1998 que mon papa m'en a fait cadeau, je n'ai jamais eu de sueur froide en posant mon lest quelque part.

de tels propos me "tuent" et n'augmente pas mon estime des "experts" de tout poil.
:non: :-(
par contre les garants m'ont ete utiles sur quelques echouages ou l'une ou l'autre des bequilles aurait sans eux glissé et peut etre posé probleme.

cordialement
jpierre

08 mars 2014

ben d'abord mon cabernet accuse ses trois tonnes sur la balance. ensuite je me suis fais plaisir à echouer la grosse yvette qui fait dans les 80 ( tonnes) pour ses 17 m au pont.
dans le cas que tu decris, la marée ne baissant pas à la vitesse de super dupond cela laisse suffisement de temps pour accrocher du poids en bout de bome et la deborder. :reflechi:

ce simple contrepoids suffira à faire pencher le bateau du bon coté. ( sur l'yvette il suffisait de deborder, la bome et la gv etaient assez lourdes).

bref rien qu'un peu de calme et de bon sens ne puissent regler tranquillement.

mais bon, cela ne fait que 35 ans que je pratique l'echouage, je manque encore d'experience... :mdr:
cordialement
jpierre

08 mars 2014

Calypso fait 6.5t il est bequillé 5 mois de l'année sur le haut d'une greve et en croisiere a chaque fois que je peux je bequille meme en solo .

rien de plus simple ,de plus pratique et de plus agréable

par exemple à Hoedic je m'installe sur l'avant du quai de debarquement avec l'autorisation de la capitainerie , le fond c'est du sable propre ...et a marée basse je suis sur les bequilles , pas besoin d'annexe .... et je ne paie rien

Il est nécessaire d'aller inspecter le fond à pied à la marée basse précédente.

08 mars 2014

@ matelot@17523 : où on parle d'un bateau de 5T ? il n'y a que les bateaux de 5T qui ont le droit de s'échouer sur béquille ? je ne comprends pas ta remarque

08 mars 2014

Quand tu vois une béquille s'enfoncer complètement dans le sable mais l'autre rester en l'air, que le safran commence à s'enfoncer aussi et que la voute commence à émettre des craquements, tu rigoles?
On parle d'un bateau de 5 tonnes en charge, pas d'un muscadet.

08 mars 201408 mars 2014

C'est tout simplement que tu as omis d'aller prendre une leçon de béquillage chez un ancien bien habitué à cette manoeuvre.

On ne peut pas tout lire dans les livres .....

Jette un oeil sur les photos jointes (Creux Harbour, Sark) : béquillage d'un 34' de onze tonnes en charge ; j'aime mieux les mouillage sauvages ou les ports à échouage que les marinas-hlm. J'ai vendu ce voilier pour acheter une grande vedette qui pose aussi sur béquilles.

07 mars 2014

D'accord avec toi Bil56.
Béquiller ne pose aucun problème à condition bien sur de respecter certaines règles surtout en fonction du clapot. Il est sûr que dans une zone non abritée ça va cogné dur. Dans un port à échouage, no problèmes à Pornichet, Sauzon par exemple.

08 mars 2014

@ bato770 : "respecter certaines règles" : si il y a des règles à respecter et que tu les connais, ce serait bien que tu les expliques, c'est le principe d'un forum

Il suffit d'avoir un peu de ...bon sens.
C'est comme regarder les deux bouts pour comprendre à quoi ils servent...
Juste du bon sens. :heu: :aurevoirdame:

08 mars 2014

C'est marrant ce sujet, jamais abordé à ma connaissance depuis que je navigue sur ce forum, ça fait quequ'années...

Je pense que ça a déjà été dit, mais pour moi qui béquille assez régulièrement en Manche, cad dans des coins à fort marnage et courant, je dirais que les garants ont essentiellement un rôle de positionnement de la béquille avant échouage, mais que ce n'est évidemment pas eux qui maintiennent ou sécurisent le bateau, une fois le bateau au sec... ceci est avéré en hivernage, lorsque, le bateau étant sur le terre plein du chantier, il m'est souvent arrivé de larguer complètement les garants et de me ballader de long en large ds le bateau sans que ça ne bouge d'un iota (avec 4 points d'appui : la quille, l'aileron de safran et les 2 béquilles)

Dialougig est un peu excessif mais sur le fond je partage son point de vue... sur le point de vue d'expert qui est assez débile. Quand on a un bateau conçu pour échouer sur béquilles... ben on les utilise pour s'échouer en posture vivable, cad avec un espace de bord horizontal, et ainsi profiter de la quiétude des fonds de mouillages forains, complètement inaccessibles sinon dans nos eaux à grand marnage.

Après, selon les situations de fond, de conditions de clapot, de vent et surtout de courant, l'échouage ou le déséchouage demandent la plus grande vigilance, c'est évident. Il y a toujours des risques, et il m'est arrivé encore l'été dernier, des situations un peu merdiques où la résultante entre courant au flot et sens de l'échouage s'est soldée par un vrai bordel avec l'une ou l'autre des béquilles qui, mise en pression par la ligne de mouillage et retenue par les garants sans pouvoir pivoter, s'est littéralement "arrachée" de son axe de fixation.

Mais bon, quand tout ça se produit au fond d'une lagune asturienne, en total solitude dans un paysage de rêve, on n'a aucun regret d'avoir "pris le risque" du béquillage. Il est certain en revanche, qu'il est suicidaire de laisser son bateau sans surveillance sur une longue période dans un port d'échouage, avec ses béquilles ; j'en ai vu un comme ça qui est parti par le fond, à cause d'un arrachage de béquille et une voie d'eau conséquente.

Donc prudence évidemment, mais béquillage à pratiquer sans modération si les conditions s'y prêtent et si l'on assure un minimum de vigilance.

Hervé

Si il y a eu un fil sur le béquillarde mais je ne le retrouve pas.

+1 avec RV29N

08 mars 2014

C'est vrai que nos béquilles sont restées au fond des coffres... En Méditerranée... Mais si on connaît un peu le fond no problème. J'ai eu une fois peur quand même l'an dernier à Sauzon avec plus de 50 nœuds de vent. Ca balayait dur malgré l'ancre arrière et les béquilles avaient du mal à franchir les bosses. Le bateau fait 8 tonnes en charge.

08 mars 2014

je l ai fait plusieurs fois avec 1.6m e tirant d eau, c est impressionnant. il est bon de rajouter une béquille arrière et les garants sont absolument indispensables

08 mars 201416 juin 2020

5 mois de l'année

08 mars 2014

avec 1.90m de TE, tu ferais moins le fierot ! :mdr:

08 mars 2014

salut, ton armagnac était un gte ? le miens aussi et a une facheuse tendance à piquer du cul, pas le tiens ?

08 mars 2014

bil56

j'ai toujours pratiqué de le m^me façon m^me avec mon Armagnac avec son 1.6m de TE ... et celà durant pret de 10ans à St Malo en Rance ...

je ne voie pas ou peut etre le probleme

08 mars 2014

le probleme était resolu simplement en faisant de sorte que la chaine de l'ancre que je mettais à terre soit tendu a marée basse

08 mars 2014

que veux tu Bil , il y a aussi de VRAI bateaux ça existe .. :-D

08 mars 2014

C'est pourquoi il faut y penser avant d'acheter le bateau... ;-)

08 mars 201408 mars 2014

@ Calypso2, super beau ton Calypso2; c'est quoi ton bato ?

08 mars 2014

La photo de Calypso illustre ce que je voulais dire a propos de la comparaison entre échouage d'un muscadet et d'un "vrai" bateau de 5 t (un peu méprisant d'ailleurs...). Ce n'est absolument pas une question de poids mais bien de type de bateau et de profil de carène et de quille. C'est bien évident qu'on peu béquiller sans problème un bateau à quille longue quelque soit son poids, tous les vieux gréement de travail l'illustre parfaitement, et qu'il est hautement hasardeux de s'adonner à ce type d'exercice avec un quillard pourvu d'un aileron aussi profond qu'étroit. Je me rappelle ainsi mes navigations sur un Cognac (plus proche du Muscadet que du Dundee de plusieurs dizaines de tonne...) à grand TE et avec lequel l'échouage sur béquilles était extrêmement périlleux (du genre, bateau piquant du nez, une des deux béquilles battant l'air...)

Bien évidemment quand on a la chance d'avoir un DL qui échoue droit directement sur sa coque c'est idéal, mais les solutions de béquillage sont très nombreuses et anciennes et procurent d'immenses avantagles pour explorer les plus beaux et sécurisés mouillages. Donc les points de vue péremptoires sur la question sont assez vains... et faux.

Hervé

08 mars 2014

"C'est bien évident qu'on peu béquiller sans problème un bateau à quille longue quelque soit son poids, tous les vieux gréement de travail l'illustre parfaitement, ..." C'est vrai que la quille longue facilite un peu les choses, mais l'opération demande quand même quelques petites précautions, ne serait-ce qu'en raison du tirant d'eau et du poids de la bête ... ;-)

08 mars 2014

et un bateau de 850kg maxi, QR avec saumon, bi-safran, qui se pose sur son saumon et ses 2 safrans, T.E.=0.66m, il faut prévoir des béquilles en plus, au cas où ? des garants au cas où ?
5T ou 850kg qui se cassent la gueule, c'est pareil, c'est plus fort que toi et tu peux casser ton bato, non ?

08 mars 2014

je me rajoute au fil , pouvez vous me decrire la bonne façon de béquiller en solo , j'ai essuyé mais je dois me prendre comme un manche la béquille fou le camps

08 mars 2014

tout bête:
avant d'arriver sur la zone,
fixer la béquille au bordé sur sa ferrure, bien verticale, tendre un peu les garants vers l'av et l'arr, et ce sur chaque bord.
aller à la zone choisie tranquillou au moteur,
épicétou !!

08 mars 2014

le probleme est que sa part dans tous les sens ,j'arrive pas a ce quelles tienne dans la ferrure elle tombe , le plot de fixation et petit on le vois sur la photo

08 mars 2014

Déjà, il faut que ta béquille soit munie en tête d'une anse de préhension, afin que tu puisses la manier facilement à la pose et à la dépose, en la maintenant par le haut.

En fin, au moment de la pose, tu sécurises la béquille avec l'un des bouts attaché au bateau, de telle manière que si fausse manoeuvre et béquille à l'eau, tu puisses la récupérer ; sécuriser aussi les boulons de fixation qui se perdent facilement.

Enfin, il n'est pas interdit de se pencher par-dessus bord pour fixer la chose ; en général, tu arrives à marée haute et tu as quelquefois plusieurs heures devant toi pour la mise en place ; procéder méthodiquement, sans se presser.

08 mars 2014

merci daniel je vais essayer comme tu dis

08 mars 2014

pour completer ce que dit daniellouis .. il faut que la bequille soit verticale ,en solo c'est pas simple donc sur les garants avant et arriere j'ai un petit repere à la peinture et ainsi ils sont tendu pile poil du premier coup sans étre obligé de faire et refaire l'amarrage 10 fois .

08 mars 2014

Tout ce qui est excessif est vain et je suis bien d'accord avec toi Jean-Marc pour dire que plus le bateau est grand et lourd, plus la manoeuvre de béquillage nécessitera de la vigilance ; ne serait-ce que par la dimension des béquilles en proportion du canot, et donc plus de force et d'habileté à mobiliser pour les mettre en place. Pour autant, ce n'est pas le poids et la taille du bateau qui sont des limites me semblent-t-ils, mais bien la longueur et le nombre de points de contact sur la zone d'échouage, et bien sûr également la hauteur entre le sol et le point de gravité du boat. Un principe qui doit avoir à voir avec la surface de sustentation, non ?

Quant à la manoeuvre pour béquiller, ça dépend forcément de la configuration propre à chaque bateau et son système de fixation de béquilles et d'amarrage des garants. Pour ma part, je le fais en solo, sans problème, en moins de 15 mn, et contrairement à bil56, c'est une fois que je suis au mouillage, bien positionné et bateau stoppé que je m'occupe du béquillage. Ca peut parfois être acrobatique quand on arrive sur zone à marée descendante et qu'il ne reste plus que quelques cm sous la quille, mais ça le fait bien quand on enchaîne correctement la manoeuvre ; sortie des béquilles du coffre arrière, positionnement sur le pont, boulon de fixation juste au dessus de la pièce encastrée dans la coque, amarrage du garant avant, positionnement de la béquille et vissage du boulon de fixation, équilibrage vertical avec le garant arrière, et rebelote avec la 2è béquille. Plus simple et rapide si le bateau est à son poste de mouillage qu'encore en manoeuvre.

Voili, voilou (y a eu une série d'articles dans le chasse marée sur ce sujet, qui montre bien que le béquillage est une pratique ancienne)

Hervé

08 mars 2014

alors pour le moment ou l'on doit mettre ses bequilles ..

Pour moi il y a une exception : bretagne Nord entre Frehel et Granville ... là on a tout interet a mettre en place les bequilles avant echouage marée descendante ... car il faut etre bougrement rapide pour mettre tout en place avant que le bateau se couche ..

sinon ailleurs ,on atout le temps de faire l'installation apres echouage et ça evite bien des em.. avec les accrochage possible dans les bequilles

08 mars 201416 juin 2020

OUI, je suis à St Malo

Mais au plus fort d'une marée, on peut perdre un mètre en vingt minutes ; il suffit de le savoir et d'en tenir compte ; arriver avec 20 cm sous le quille n'est pas bien raisonnable ; mais au pire, sur du sable, le bateau va se coucher sur le flan et sera inhabitable durant quelques heures ; c'est arrivé au moins une fois à chacun de nous ; c'est au pire une bonne leçon

ci-dessous un échouage sans béquille à Herm

08 mars 2014

@Hervé. Quand j'évoquais des petites précautions, je pensais surtout à deux choses : 1) le profil et la dureté du fond sur lequel on pose, 2) le courant qui peut affouiller sous la semelle des béquilles.
Et puis - c'est évident - l'absence de clapot.

08 mars 2014

ma petite methode :

tout d'abord jamais je ne pose le bateau juste à marée haute toujours 1/2 à 1h apres m^me si la marée suivante est plus haute ( effet barometrique ,vent etc..pieds de pilote) .

un fois installé amarrer avant ,arriere je met les bequilles qui sont chacune en deux parties .
chaque bequille allongé sur le pont ,bd et td ..
je met le garant avant en place amarrer à l'avant avec son petit repere pour le reglage de sa longueur , puis je met la bequille en place ... ainsi si elle tombe à l'eau le garant est là ... puis le garant arriere .............2mn

08 mars 201408 mars 2014

Pour apprécier le pied de pilote à l'arrivée, les tables de marée sont là ; il faut les consulter si tu as l'intention de rester plusieurs jours

08 mars 2014

@Jean-Marc. Pleinement d'accord, il y a bien sûr des précautions à prendre et généralement je suis à bord au moment de l'échouage (toujours, quand c'est le 1er échouage dans un nouveau mouillage), et les "péripéties" de béquillage sont fréquentes. Celle dont je parle plus haut, ou encore, il y a deux ou trois ans derrière l'Ile Vierge au mouillage de Lilla, où le seul endroit où j'ai trouvé le moyen de poser ma pioche, m'a fait échouer entre deux immenses blocs de granit abrupts (+/- 5 à 6 mètres de haut) que j'ai découverts en pleine nuit, lorsque le bateau était à sec ; trouille rétrospective... Ou encore je sais plus quel mouillage à Jersey (ou Guernsey ?) avec une très belle zone d'échouage sur sable dur devant la plage... qui s'est avérée un piège mortel lorsque le vent de SW est monté dans la nuit en levant un méchant clapot et d'où j'ai décampé à toute bringue juste avant échouage et le distribil assuré pour les béquilles et peut être le reste.

Donc prudence prudence évidemment, mais naviguer en Manche, notamment en Bretagne Nord, sans pouvoir échouer, c'est comme regarder le pot de confiture sans pouvoir y mettre les doigts !!

08 mars 2014

Quand à moi, mes trois vieux Bénéteau perso successifs ont toujours échoués dans mon port à marées.
Sur béquilles 8 mois par an, et 4 mois d'hiver sur le flanc,à cause du ressac.
Ma méthode est simple.
Une foi le bon réglage des garants trouvé, je remplace le nœud du bout de devant, une foi pour toutes, par un œil épissé que je positionne sur le taquet avant.
Je fixe la béquille par son boulon.
Je n'ai plus qu'à souquer sur le bout arrière pour tendre le tout.
Le bout avant étant de longueur pré-définie, ma béquille est toujours bien verticale, sans avoir besoin d'y revenir.
Plus de risque d'erreur.
Simple et efficace.
Une petite précision s'impose et n'a pas encore été dite, il me semble.
Il est préférable que la hauteur des béquilles soit inférieure de quelques centimètres au tirant d'eau.
En effet, le poids du bateau doit être supporté par la quille, et non pas par les béquilles qui risquent de forcer sur leur point d'ancrage.

24 déc. 2014

Bonjour,
Je suis toujours perplexe. J'ai un Armagnac MKII et les infos que je trouve sont contradictoires. Certains affirment qu'il béquille sans problème, d'autres disent que non.
Pouvez-vous m'aider ?

02 mai 2016

salut, as tu toujours ton Armagnac? as tu béquillé depuis ?

24 déc. 2014

je ne suis pas un"expert" du béquillage...bien que l'ayant pratiqué pas mal de fois(hoedic/Ars/Sauzon/Sein....)et sur des petits bateaux soit à quille relevable type coulissante verticale +bulbe(miniou-glénans 5,70m TE q relevéé=0,30m et sur first 21.7 te q relevéé à,70m)donc jamais très "haut pérché"!!
j approuve et applaudi les bons conseils
1/des bons garants (quasi en pré-étiré qui ne broncheront pas)
2/à la longueur pré-repéréé une fois pour toutes
3/n'importe quel système pour éviter la perte soit d'une béquille et surtout des "boulons" de fixation
avec le 21.7 à Sauzon j'avais mal dimenssionné la section des garants...et bien une béquille avait un peu ripé vers l'arriére..".enfonçant" un peu le bordé! les garants changés pour une section plus forte et tout était OK
4/oui les "pieds" d'appui des béquilles outre leur surface adaptéé,doivent etre plus courtes que le TE(10 cms je crois)
5/enfin ,sauf erreur,un fabricant de ST Malo ou région? fait des béquilles télescopiques,ce qui permet de s'adapter en présence d'irrégularités du sol de poséé

24 déc. 2014

c'est le chantier Etoile qui est revendeur, mais voir sur le site anglais du fabriquant ...

Ils ont un modèle télescopique avec un vérin de réglage en tête, mais il faut un père Noël très généreux !

25 déc. 201416 juin 2020

Bonjour TY GWEN échoue toute l'année , comme les béquilles ont été refaites en inox de 1cm d'épaisseur donc très lourdes et que les passavents de l'évasion ne sont pas ce qu'il n'y a pas de mieux pour ce genre de manips j'utilise la bome et son palan en guise de bigue , les garants sont a la juste mesure avec un oeil d'un coté et un mousqueton de l'autre : je présente la béquille le long du bordé , je met les mousquetons en place et je choque , tout se met en place pile poil . j'ai des garants d'été (au dessus de la flottaison) et des garants d'hiver. Comme sur les photos , les béquilles ne servent pas seulement a garder le bateau bien droit ,elles peuvent aussi servir a le faire giter .

25 déc. 2014

Question sotte et grenue...:
Est-ce qu'il est indiqué dans les caractéristiques d'un bateau qu'il peut échouer sur sa quille (voile de quille, pas de quille longue) plus béquilles ou est-ce empirique?
Je veux dire, un bateau de TE 1,60 m à quille "classique, non longue, lest fonte sans aileron peut-il être échouable et dans quelles conditions?

Merci d'avance, ce sujet m'intrigue.

25 déc. 2014

Bonjour,afin d eviter que le bout d amarrage ne se prenne dans les garants et empecher le bateau de virer lorsque le mer remonte,je n utilise que de la chaine(de l ancre au taquet) sur un bateau a quille longue

25 déc. 2014

Si un bateau tel que le décris ne peut pas béquiller (pour cause de varangues trop faibles ? ) , par beau temps et absence de clapot, alors il ne faut pas l'acheter et le fuir comme la peste ;
Car qu'en sera-t'il si il t'arrivait de talonner, incident de nav somme toute fréquent ?
Les seuls bateaux non béquillables (mais dans ce cas pas faits pour la Bretagne) sont ceux à quille voile profonde, ou pire à quille orientable.

Une anecdote quand on béquille : si on laisse l'annexe par terre à l'échouage avec un peu de mou dans l'amarre, il arrive qu'elle passe sous le safran à marée montante et alors il vaut mieux s'en apercevoir assez vite !

25 déc. 2014

c'est un bonne précaution de parquer l'annexe sur le côté et pas à la poupe

tout à fait ! on s'y fait prendre une fois mais pas deux !

25 déc. 201425 déc. 2014

Exact Hubert, le coup de l'annexe qui passe sous le safran, et exact aussi daniellouis la manière de s'en prémunir..
En marge de quoi (je suis un grand amateur d'échouage) on parle peu du MOMENT où échouer (début, milieu ou fin de jusant...) : au plus tard au mieux, bien évidemment, sauf si l'on envisage des travaux, car dès lors, tout le plan d'eau se calme, les barrières de roches ferment l'anse etc... et l'on risque moins les séances de torture dont je parlais dans un premier post.
Enfin, conseil apparemment simplot et pourtant souvent pertinent si "en aveugle", béquille ou échoue là où il y a déjà des bateaux...ou même de simples barques : zones sans cailloux, voire anciens autant que redoutables murets de pièges à poissons comme à La Guérinière (fantastique vue océanique... plein Ouest !).

25 déc. 2014

Le fin de jusant, c'est la ceinture et les bretelles ; car ça permet toute sortes d'erreurs ; cependant, quelle que soit la marée, je conseillerais d'opérer avec encore un mètre d'eau sous la quille ; dans le pire des cas (Bretagne Nord) ça laisse vingt minutes pour opérer.

Ne pas perdre de vue que plus tu monteras haut sur l'échouage, à marée haute, plus tu auras du temps posé pour débarquer à pieds secs, et plus tu dormiras tranquille car plus le temps en eau sera court (cas de l'Anse des Blainvillais à Chausey, par exemple).

Mais ne pas faire l'erreur d'avancer trop de façon à ficher l'étrave ou la quille dans le sable ; dans ce cas, la plupart du temps, il manquera qq cm pour mettre les béquilles ;et bonjour l'échouage couché : pas dangereux mais guère vivable !

26 déc. 201416 juin 2020

la photo pour montrer que mes garants ne sont pas très tendus, pas assez sans doute mais comme les béquilles sont lourdes et qu'il n'y avait pas trop de mouvements ça n'était pas important

26 déc. 2014

@ Kaj
en effet,les garants sont assez(trop!)mollassons....
je parie que c'est Sauzon photo prise de la route
j'ai bon,?

27 déc. 2014

oui ! c'est Sauzon, en avril ou mai 2012 je crois mais on y va tous les ans. On y va depuis 1972 mais pas avec le même bateau. On aime bien.

26 déc. 201416 juin 2020

Et moi, c'est sans les béquilles et pas de garants !!!!!!!!
NON NON ce n'est pas un montage photo

Sinon il y a le modèle télescopique.

26 déc. 2014

Très ingénieux ce système des kelt' pas vu sur d autres bateaux ...

26 déc. 201426 déc. 2014

je ne savais pas que le kelt 760 avait été proposé avec béquilles télescopiques.
les 707 par contre, l'étaient tous, il me semble.

26 déc. 2014

Ingénieux ; mais il faut vraiment que le bateau soit "construit autour" , afin de ne pas prendre trop de place à l'intérieur ; enfin, quid de l'étanchéité de tout le système, quand on connaît les efforts et les chocs sur béquilles au moment du posé ?

26 déc. 2014

IDB marine met ce type de système sur le MALANGO 8.88 et sur 9.99 je crois !
Esct-ce plus stable que le système classique ?
une mise en oeuvre plus pratique certainement .

20 sept. 2016

Bonjour,
En fait les Malango sont très larges et les béquilles télescopiques posent bien latéralement, environ 10 cm en deçà du bau maxi.
Ainsi posé, le bateau est très stable. Nous avons des 888 qui posent ainsi tous les jours.
La mise en oeuvre des béquilles est à la portée d'un enfant de 8 ans.....
Cordialement

26 déc. 201416 juin 2020

J'échoue avec ce type de béquille uniquement quand je suis à bord.

Pour ce qui est de l'encombrement, j'ai réalisé un cache béquilles au niveau du plancher du cockpit.

Photo 2, le jour de la vente du voilier.

26 déc. 2014

les KELT 707 avaient quelques problèmes à l'usage de ces béquilles si ingénieuses.
D'abord elles pouvaient se tordre en accrochant quand ça remuait un peu lors de l'échouage. Donc ensuite impossible de les rentrer.

Ensuite elles étaient très agressives dans le cockpit
Enfin il arrivait fréquemment qu'en les refermant il restait accroché un bout ou un paquet d'algues.

02 mai 201616 juin 2020

Tout dépend de la quille: longue = échouage sans souci ( selon qualité des fonds) chez nous les pêcheurs de 18 M sont à l'échouage, parfois sur la béquille, plus souvent contre le quai.
Pour nous le rangement est sur un portique rudimentaire... aucun pb même dans des mers très formées, béquilles toujours dispo, pas de sable ni d'eau à l'intérieur.
J'échoue depuis 45 ans

02 mai 2016

les garants servent surtout à garder la béquille dans la bonne position AVANT de toucher le fond. quand la marée descend le courant "tire" les béquilles vers l'arrière ou vers l'avant selon si le bateau à l'ancre suit le courant ou le vent.
La quille doit toujours toucher avant les béquilles (et c'est pourquoi elles sont plus courtes)
le poids porte sur la quille, les béquilles ne sont là que pour contrer le basculement. d'ailleurs une fois posé, il n'y aura qu'une seule béquille qui sert vraiment. enfin sauf si vous descendez par l'autre et que vous faites basculer le bateau sur l'autre bord!
:mdr:
et sinon, si le fond est très mou, et que la béquille semble ne pas vraiment porter rapidement: retirez l'autre béquille, basculez le bateau sur le bord sans béquille et retirez alors la première béquille libérée.
sur un sable trop mou ou de la vase, vaut mieux s'échouer sans qu'avec.
sinon elle se coince trop bas et le poids du bateau porte dessus au lieu de sur la quille et dans un angle mauvais pour elle en plus: soit elle casse et perfore le bateau, soit elle plie et déforme la coque de façon effrayante...

le top pour les nerfs: se poser de nuit, fatigué, sur de la caillasse éparse avec un peu de houle et en espérant à chaque coup sur la quille que la béquille tombera "à la bonne hauteur" et pas sur une "mine"...
j'aime le café et le fanal à leds qui permet de voir sous l'eau... mais à marée basse quand c'est passé, on dort super bien! ... pas longtemps ok...

:heu:

02 mai 2016

Quasiment tout a été dit.Perso,lorsque je béquillais j'avais également
calculé les longueurs de garants necessaires pour avoir tout de suite des béquilles droites automatiquement à la mise en place.
Garant avant était terminé par un mousqueton frappé sur 1 boucle près du chaumard et garant arrière reprend la tension sur le taquet arrière jusqu'à béquille droite une fois la tension reprise.
Simple et prtique.
Concernant les garants je pense comme tout le monde que c'est très important.On voit beaucoup de bateaux ayant des garants mous sur leurs béquilles;je pense que ce n'est pas une bonne chose.

20 sept. 201616 juin 2020

J'échoue avec un First 27.7 qui a un sail drive et il convient de régler correctement la hauteur des bequilles pour éviter de faire porter l'arrière sur le sail drive.
Mon problème c'est que les bequilles se sont pas en appuis sur la coque (voir photo). Cela génére de l'instabilité.
Elles sont pourtant bien mises dans les ferrures et j'utilise 3 garants : un de chaque coté et un troisieme qui passe sous le bateau pour interdire à la bequille de s'écarter de la coque.

En fait je ne sais pas si je ne devrait pas rallonger la partie qui doit appuyer sur la coque de façon a ce quelle soit en appui en permanence ?

20 sept. 2016

Il me paraît indispensable que les patins appuient sur la coque, sinon l'ensemble peut se déformer en parallélogramme.

20 sept. 2016

Oui. Çà ressemble à une une béqillue Yacht legs dont le bras qui porte le patin doit être scié à la bonne longueur. Là il semble qu'il ait été scié trop court ...
www.yachtlegs.co.uk[...]ndex.pl

21 sept. 2016

j'ai les mêmes et ça appuis et même des fois pas mal. ,faut voir l'angle de la béquille par rapport à l'axe vertical du bateau.il se peut en effet que le té qui appui soit un poil court.

20 sept. 201616 juin 2020

Faut-il obigatoirement percer la coque et inserer une fixation inox?(dont j'ignore le nom)
Mon bateau est a peu près similaire a celui de la photo ci-jointe avec quille longue et 1.70m de tirant d eau. Les bequilles en voyage est-ce necessaire ou plutot une contrainte?

20 sept. 2016

la béquille peut être reprise sur une cadène fixée au niveau liston/pont, mais il faut du costaud ...

20 sept. 2016

Je crois qu'il faudrait checher la raison pour laquelle la ferrure supérieure ne permet pas de plaquer la béquille contre le bordé. Et la modifier si nécessaire.
En attendant de trouver la solution, personnellement je mettrais une cale en coin entre le patin et la coque.

21 sept. 201616 juin 2020

Avec 1.30m de tirant d'eau et 7.20m de long, même sans quille longue, ça marche.

21 sept. 2016

ça commence à faire haut pour un appui assez court : faut bien connaitre l'endroit . si une béquille s'enfonce de 10 cm + du vent , l'autre pourrait plier.elles ont l'air très verticales.

21 sept. 2016

j'ai le même problème, béquilles trop verticales, je pense arranger ça en glissant un pare battage entre la béquille et la coque, plus on le monte et plus la béquille ouvre l'angle. Si on n'exagère pas ça devrait marcher. Je vais essayer tout de suite, on est sur béquilles depuis quelques jours et encore pour quelques jours.

21 sept. 2016

faut un peu d'angle pour la stabilité .

22 sept. 2016

Ma question c'est de savoir quel angle pour avoir suffisamment de stabilite mais pas trop pour éviter de caser la ferrure...

Quelqu'un a t’il la réponse ??

22 sept. 201616 juin 2020

Yacht legs recommande une valeur dans le document fourni avec ses béquilles. J'ai vendu mon précédent bateau avec ses béquilles et ce document...
C'est moins de 10°. Disons 5° ...

22 sept. 2016

oui ! essai concluant, c'est mieux avec les pattes un peu écartées par les pare battages. On n'est pas tombé cette nuit !

22 sept. 2016

Je vois qu'il y a de tout comme béquilles...
J'ai utilisé cet été des béquilles en bois avec marche de remontée incorporées, solides, pas lourdes, très pratique car en cas de maladresse la béquille flotte sur l'eau !
:mdr:

A contrario, le voilier sur lequel j'étais il y a une semaine avait des béquilles acier zingué d'une pièce qui pesaient un âne mort...
On a convenu d'éviter tout béquillage, trop galère avec des béquilles qui pèsent une tonne et seront difficilement récupérables dans l'eau !

Pour les béquilles qui sont boulonnées sur la fixation, je suggère d'avoir quelques écrous du bon diamètre en rab, ça peut être utile !
(épisode bien sur vécu :oups: :lavache: :mdr:)

22 sept. 201616 juin 2020

Lulu à l'échouage sur béquilles

13 avr. 2017

bonjour je possède un voilier puma 23 et je souhaite mettre des béquilles comment faire ? je suis a st briac sur mer un pti coup de main serait le bien venu ou un conseille merci a tous Alain

13 avr. 2017

Bonjour Alain

Je suis également à St-Briac sur Mer
Mouillage devant le gué. N° 55. Kelt 760 DL

Message en MP

A+

16 mai 2017

Bojour à tous,
Je suis à la recherche de cadènes / support des béquilles de la marque : the yacht leg company.
06 03 01 05 05
Merci.
Christian

16 mai 2017

Bonjour. J'ai une paire de béquilles en 4 morceaux dans un coffre. Pas de marque dessus. Comment faire pour trouver la bonne hauteur, à part les mettre et attendre que la marée descende et affiner, au risque que le bateau tombe. J'envisage de mettre le bateau le long d'un quai et mesurer une fois qu'il est à sec. D'autres idées ?

16 mai 2017

:réfléchi:
Distance entre le point de fixation de la béquille et sa semelle.
Comparer avec le tirant d'eau du bateau.
Faire en sorte que celui-ci soit un peu supérieur à la première mesure.

Québec, le cap Gaspé

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